RDC: Trop de musique tue le travail

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhDnTO1UqpYcgEuc4Lx24QGOcboGguq32UdWtzFu1vTyxAFkB7Sj5C8QAJSRceHJeXzT_Yj-TsQw-VqqN6l-6yeXmD9XpyhTZ_JUkMTo454XsH-I8r0hyiVX15M6UmT8BMbcD9jFM-sR9HKdL7nvMGGzi0Mgx0IAanKMqYyNfnd0sMRsrg0iGAfF-qhKg=s1052" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="728" data-original-width="1052" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhDnTO1UqpYcgEuc4Lx24QGOcboGguq32UdWtzFu1vTyxAFkB7Sj5C8QAJSRceHJeXzT_Yj-TsQw-VqqN6l-6yeXmD9XpyhTZ_JUkMTo454XsH-I8r0hyiVX15M6UmT8BMbcD9jFM-sR9HKdL7nvMGGzi0Mgx0IAanKMqYyNfnd0sMRsrg0iGAfF-qhKg=s320" width="320" /></a></div>Les musiciens congolais font partie des couches sociales les mieux considérées actuellement. Les autorités nationales, en commençant par le Président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo semblent leur accorder trop d’importance et de considération, au point de rendre jaloux des membres d’autres catégories sociales dont les Professeurs d’universités.<br /><br />Réputée pays de la musique, la République Démocratique du Congo sait honorer les ambassadeurs de sa culture. Vivants ou morts, presque tous les grands noms de la musique congolaise auront été servis, à des proportions différentes par le gouvernement.<br /><br />A cause de cet attachement à la culture, les autorités actuelles semblent avoir décidé de mettre la musique au centre de tout, au risque de négliger l’essentiel.<br /><br />La musique au centre de tout au risque de tout gâter<br /><br />Depuis l’inscription de la Rumba congolaise sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO, plus rien ne se fait sans les musiciens. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Ainsi, le 24 février dernier, les responsables de l’Inspection Générale des Finances (IGF) ont reçu une délégation des artistes musiciens pour les sensibiliser sur leur contribution dans la lutte contre le détournement des deniers publics. Koffi Olomide, Werra Son, Félix Wazekwa, Héritier Watanabe, Jean Goubal, Tshala Muana, Bill Clinton, Innoss’B ( Innoncent Balume) et autres ont été encouragés à intégrer dans leurs chansons, la lutte contre le détournement. Ce qui n’est pas mal.<br /><br />Par ailleurs, dans sa communication lors de la réunion du Conseil des ministres du vendredi 4 mars dernier, le Chef de l’État a lui aussi honoré les musiciens, en recommandant vivement qu’une exposition retrace l’histoire de la Rumba, suivie de la production scénique des artistes congolais qui font l’unanimité dans la promotion de la Rumba, ainsi que d’autres artistes congolais de renommée internationale soient inscrits au programme de la journée consacrée à la RDC à l’Expo 2020 Dubaï.<br /><br />Là aussi, c’est une bonne chose. Sauf qu’une certaine opinion estime qu’il n’y a pas que la musique qui peut servir de vitrine pour le rayonnement de la culture congolaise dans le cadre de la mise en valeur des opportunités d’investissement viables et durables au Congo-Kinshasa. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/03/images-2022-03-10T105419.324.jpeg" />JB Mpiana et le Min.Sports Serge Nkonde Ph.D.T<br /><br />Un jour plus tôt, des artistes musiciens ont été reçus par le ministre des Sports et Loisirs dans le cadre de la sensibilisation pour les barrages de la Coupe du monde Qatar 2022. Le but de cette rencontre était d’encourager Héritier Watanabe, Lokwa Kanza, Innoss’B et leurs collègues à participer à une chanson qui sera composée par Félix Wakekwa avec la participation de nombreux autres musiciens, pour pousser les Léopards à arracher une qualification à la prochaine coupe du monde après sa dernière qui remonte à 1974. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Questions : Les Léopards ont-ils besoin d’une chanson pour jouer ballon ?- Les supporters congolais, qui ont l’habitude de soutenir leur équipe depuis des lustres, auront-ils besoin d’une chanson pour se mobiliser? En tout cas, seul le ministre des Sports et Loisirs, Serge Nkonde Chembo saura répondre à ces question.<br />Qu’à cela ne tienne, trop de musique distrait la population et même les autorités. Or, la distraction tue le travail.<br /><br />ALT.<p> </p>

Musique RDC: Trop de musique tue le travail

Les musiciens congolais font partie des couches sociales les mieux considérées actuellement. Les autorités nationales, en commençant par le ...

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Turquie: Christophe Lutundula porte la voix de la RDC au 2 ème Forum Diplomatique d’Antalya

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiWQNYU6w9Q4KUQGjlUTxvPiISDzyt3KbrEiclA_AES6gxOXpPOFk5Mh3lmn2SX-6u31ic3-wi_SJ2lvei_z8IX3xdyVagyGtY3q_MnGkgNMFZrKO-kHBKDrbPq4-CODvAfgQCk9QHo9UD_Hl_hpFSawKbzpBmZ1F5I6sLHO9duxfuLJVIZDK3UxkArOQ=s835" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="585" data-original-width="835" height="224" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiWQNYU6w9Q4KUQGjlUTxvPiISDzyt3KbrEiclA_AES6gxOXpPOFk5Mh3lmn2SX-6u31ic3-wi_SJ2lvei_z8IX3xdyVagyGtY3q_MnGkgNMFZrKO-kHBKDrbPq4-CODvAfgQCk9QHo9UD_Hl_hpFSawKbzpBmZ1F5I6sLHO9duxfuLJVIZDK3UxkArOQ=s320" width="320" /></a></div>Le Vice-premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula Apala fait partie de plus de 2500 personnalités dont de Chefs d’État, dirigeants, chefs de gouvernement, ministres, vice-ministres et secrétaires de 44 organisations régionales et internationales, acteurs internationaux, diplomates, chefs d’entreprises, universitaires, membres de groupes de réflexion et des représentants de la jeunesse et des médias participant au 2 ème Forum Diplomatique d’Antalya, une ville du Sud de la Turquie, du 11 au 13 mars 2022.<br /><br />Arrivé mercredi 9 mars, il va intervenir aux travaux de ce forum qui se tient quelques semaines après la visite d’État en RDC du Président de la République de la Turquie, Recep Tayyip Erdogan.<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/03/Screenshot_20220310-121231.png" /><br /><br />Selon des médias turcs, ce forum devrait réunir 12 chefs d’État, 15 dirigeants, dont trois chefs de gouvernement, 67 ministres, 6 vice-ministres et les secrétaires de 44 organisations régionales et internationales dont le Secrétaire Général de l’OTAN, Jean Stoltenberg et d’autres personnalités. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Organisé sous le thème « Recoder la diplomatie », le deuxième forum diplomatique (Antalya Diplolacy Forum) est placé sous la haute autorité du président turc et se tient dans la station balnéaire du Sud d’Antalya.<br /><br />Excellente plateforme pour discuter des défis internationaux<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/03/thumbs_b_c_defc3ba62423f8e1e5943a330e06d319.jpg" /><br /><br />Les discussions se porteront notamment sur les questions liées au leadership et la diplomatie, à la paix et la prospérité, à l’économie verte, à la gouvernance démocratique, au renforcement de la solidarité et à la promotion de la paix. C’est donc une excellente plateforme pour les acteurs régionaux et mondiaux des sphères de la diplomatie, de la politique et des affaires pour partager des idées et relever les défis internationaux. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« L’humanité a besoin d’une diplomatie robuste pour résoudre les tensions, gérer le changement, faciliter l’adaptation et promouvoir la coopération. Pour cela, la diplomatie doit rester innovante, efficiente et efficace. Elle exige à son tour des efforts composites de réévaluation, de réaffirmation et de restauration, en d’autres termes, un recodage », explique la Cellule de Communication du ministère des Affaires étrangères dans une dépêche parvenue à alternance.cd.<br /><br />Le recodage de la diplomatie, poursuit-on, implique également de trouver des moyens efficaces de communiquer les intérêts nationaux avec un langage, une perspicacité et un impact renouvelés, tout en faisant un usage intensif de capacités numériques innovantes et en évolution rapide.<br /><br />Le Forum Diplomatique d’Antalya va, pour ce faire, continuer à servir de plateforme pour une discussion interactive et multipartite sur les aspects clés du recodage de la diplomatie en ces temps de changements. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Actualité internationale oblige, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Çavusoglu a annoncé une rencontre, en marge de ce Forum, ce jeudi 10 mars 2022, avec ses homologues russes Sergueï Lavrov et Ukrainien Dmitro Kuleba dans un format tripartite. Il espère que cette rencontre sera un pas positif vers la paix et la stabilité en Ukraine, en proie aux attaques des troupes russes depuis le 24 février dernier.<br /><br />En ce qui concerne la RDC, il faut dire que le Forum Diplomatique d’Antalya se tient quelques semaines après le séjour à Kinshasa du président turc Recep Tayyip Erdogan. Au cours de sa visite officielle, son pays et celui de Félix Tshisekedi Tshilombo avaient signé 7 accords de coopération. Il s’agit de l’accord-cadre militaire, le Protocole relatif aux aides financières, l’Accord de coopération sur l’industrie de défense, le Protocole d’accord sur la construction du Centre des Finances de Kinshasa, le Protocole d’accord sur l’infrastructure et le transport fluvial sur le fleuve Congo et ses affluents, le Protocole d’accord pour la construction de 1.083 Km d’autoroute et le Protocole d’accord pour la construction de la ligne de chemin de fer Banana-Kinshasa. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Par ailleurs, de nombreux autres sujets liés entre autres à la sécurité énergétique, intelligence artificielle, metaverse, racisme, lutte contre les discriminations, lutte contre la désinformation, la migration irrégulière, lutte contre le terrorisme ou encore au développement de l’Afrique et de la région Asie-Pacifique seront développés au cours du deuxième Antalya Diplomacy Forum.<br /><br />JPK<p> </p>

Politique Turquie: Christophe Lutundula porte la voix de la RDC au 2 ème Forum Diplomatique d’Antalya

Le Vice-premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula Apala fait partie de plus de 2500 personnalités dont de Che...

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Voici pourquoi Félix Tshisekedi ne devrait pas demander un second mandat

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEimpw5jb1OKb8ivPBSHelaRWB7qwJ_zcs-iCkB8VCX4EdcozSyfBCZlKmdV70O5-Pa9zGxsULzia50W7GvQkmlNt-hNLmjmj0h5VMqb7Z8nOBcAJi8hCF3VIcje0gx2Y7RFCJOy4Bi1LCfMLfI2bj5N4Rz43WpoTTXgVnFx6hQ87WSTaECJjRIa-Mj4tg=s1490" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="865" data-original-width="1490" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEimpw5jb1OKb8ivPBSHelaRWB7qwJ_zcs-iCkB8VCX4EdcozSyfBCZlKmdV70O5-Pa9zGxsULzia50W7GvQkmlNt-hNLmjmj0h5VMqb7Z8nOBcAJi8hCF3VIcje0gx2Y7RFCJOy4Bi1LCfMLfI2bj5N4Rz43WpoTTXgVnFx6hQ87WSTaECJjRIa-Mj4tg=s320" width="320" /></a></div>Je l’apprécie beaucoup, le président Félix Tshisekedi. J’aime ses intentions, sa simplicité, sa disposition à renforcer la démocratie et à respecter le peuple. Cependant, cela ne suffit pas pour demander un second mandat. Voici pourquoi.<br /><br />Il faut, avant tout, noter que la présidence de Félix Tshisekedi est sur la voie d’une présidence normale. Pour ça, soyons d’accord qu’il y a des choses qui ont marqué une rupture avec les mandats précédents.<br />Une présidence qui m’a fait rêver d’un renouveau<br /><br />Un président de la République qui recule quand on l’accule, quand le peuple refuse : la RDC ne l’avait pas encore connu, que je sache. Je ne voudrais cependant pas être trop affirmatif sur ce point, car je n’ai pas connu la présidence de Kasavubu, le seul que je n’ai jamais vu diriger. Puisque je suis né longtemps après son départ du pouvoir.<br /><br />Mais Félix Tshisekedi, tout le monde l’a vu abandonner le RAM, écouter la clameur autour de la désignation d’ambassadeurs de la rumba, etc. Avec lui, la leçon est claire : un président de la République écoute sa population. Pour ça, je le laisse savourer et finir son mandat de cinq ans. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il faut aussi reconnaître qu’en matière des droits humains, le Congo se porte mieux aujourd’hui qu’il y a 20, 10, 5 ans.<br /><br />Comme vous pouvez l’imaginer, des exemples du genre, il y en a sous ce président. Malheureusement, en même temps, je dois noter d’autres exemples qui plaident plutôt en faveur de son départ en 2023.<br />Par amour pour lui-même, il devrait partir<br /><br />D’abord, par amour pour lui-même, Félix Tshisekedi devrait ne pas se représenter. Car il détruirait toute la lutte de rêve menée par son parti et par de nombreux militants qui y ont perdu la vie. Un tel sacrifice de soi ne mérite-t-il pas qu’un président l’honore comme il se doit ?<br /><br />Or, plus les années passent, plus les scandales se multiplient sous le mandat de l’actuel président. Je ne m’attarderai pas sur les luttes intestines qui minent son propre camp, mais aussi sur ce qui s’apparente à une guerre contre tous ceux qui l’ont soutenu. Des trahisons, crie-t-on. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Félix Tshisekedi commet les mêmes erreurs que son prédécesseur Joseph Kabila. Tout se passe comme s’il était son véritable dauphin ! Pourtant, c’est un fils d’un opposant. Il ne sanctionne pas du tout le détournement et le vol. Quand il le fait, c’est pour offrir du spectacle aux Congolais avides de sensationnel.<br /><br />Je prends juste un exemple : 300 millions de dollars américains ont été détournés au ministère de la Santé. Je n’ai pas vu un procès se tenir. De tels comportements existaient également sous le régime précédent.<br /><br />Si une coalition anti Tshisekedi devait avoir lieu au prochain scrutin présidentiel, le résultat serait humiliant pour Fatshi. Il faudrait éviter ça.<br />Insécurité persistante<br /><br />J’avais beaucoup aimé l’idée d’un état de siège pour venir à bout de l’insécurité entretenue dans l’est de la RDC. Hélas, ça ne fonctionne pas du tout. De plus en plus de gens demandent au président de lever la mesure et de revenir aux gouvernements civils dans les provinces concernées. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> La situation n’évolue plus bien comme on l’espérait. Que s’est-il passé ? Notre président ne communique plus à propos.<br /><br />Je vais m’arrêter ici : la famille du président est malheureusement, elle aussi, trop citée dans des affaires de trafic d’influence, d’affairisme dans l’exploitation des ressources naturelles. C’était aussi le cas sous Kabila, Mobutu… Pourtant, Félix Tshisekedi crie « le peuple d’abord », à qui veut l’entendre.<br /><br />Pendant ce temps, ce peuple meurt de faim, d’insécurité, même dans la capitale où des femmes et de jeunes filles sont enlevées et traumatisées.<br />Le sénateur à vie Fatshi !<br /><br />Je ne veux pas faire ici le procès le Félix Tshisekedi. Je préfère ne plus évoquer d’autres exemples. Tout cela, finalement, me permet de constater que ce n’est pas le président qui va nous aider à sortir du désordre dans lequel le Congo est entré depuis des décennies.<br /><br />Félix Tshisekedi, comme tout artiste, a montré ses limites. Il a fait ce qu’il pouvait. Ne lui donnons plus un nouveau mandat. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Aidons-le plutôt à organiser de bonnes, de meilleures élections et sans lui comme candidat. Puis, faisons-en un sénateur à vie, quelqu’un qui sera respecté pour de bonnes oeuvres qu’il aura accomplies.<br /><br />Lui donner cinq ans de plus, ce serait une grave erreur, ça nous ferait prendre un retard de plus.<p style="background-color: white; color: #333333; font-family: -apple-system, BlinkMacSystemFont, "Segoe UI", Roboto, "Droid Sans", Oxygen, Ubuntu, Cantarell, "Fira Sans", sans-serif; font-size: 16px; margin: 0px 0px 20px;"> </p><span style="font-size: medium;"><b> Par Nsemi Kadilo</b></span>

Politique Voici pourquoi Félix Tshisekedi ne devrait pas demander un second mandat

Je l’apprécie beaucoup, le président Félix Tshisekedi. J’aime ses intentions, sa simplicité, sa disposition à renforcer la démocratie et à r...

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Tenue des élections dans le délai constitutionnel : la crainte du report hante les esprits

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhO0m9_StKvUCNmZtawYz6IvNdJ7vUEWKL-lTTB4ZGlFInyWg02OnNgYI3HoE8pEIt3Ceg76CSISg26cUnAOG3qAIi4320xo6k9bwb1vvGPPP4EbiWg56B9VeGNZT4Rz__tQgyt8laM-iSzoGHyBX6kiiadSqVMCng6Uv4W_4QDXJG3Qoq2DHLxa49NBg=s1218" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="895" data-original-width="1218" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhO0m9_StKvUCNmZtawYz6IvNdJ7vUEWKL-lTTB4ZGlFInyWg02OnNgYI3HoE8pEIt3Ceg76CSISg26cUnAOG3qAIi4320xo6k9bwb1vvGPPP4EbiWg56B9VeGNZT4Rz__tQgyt8laM-iSzoGHyBX6kiiadSqVMCng6Uv4W_4QDXJG3Qoq2DHLxa49NBg=s320" width="320" /></a></div>Kinshasa, 10 mars 2022- La crainte du report de l’organisation des élections se dessine peu à peu à la grande inquiétude de certains acteurs politiques et de la société à l’instar de Jean Claude Katende qui affirme craindre la reproduction des scénarios de 2016.<br /><br />“Il y a un grand risque la situation de 2016 se répete dans quelques mois : manifestations, transition sans Tshisekedi, Tshisekedi dégage… négociations, gouvernement de transition… Le peuple est fatigué de tout ça. Les congolais veulent les élections dans le délai”, a tweeté cet activiste de droit de l’homme.<br /><br />Le même souci a été au centre d’une audience accordée aux représentants de la Cenco et de l’ECC dans la journée de mercredi 09 mars par le speaker de la chambre basse du parlement, Mboso Nkodia. A ce dernier, ces représentants ont présentés leur souci d’avoir des élections crédibles, inclusives et apaisées dans le délai constitutionnel. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Dans le commentaire sur la feuille de route proposée par la CENI, les représentants des commissions justice et Paix de la CENCO et de l’ECC ont estimé énormes les contraintes évoquées dans ce document technique que le parlement peut décanter.<br /><br /><br />Autre réaction dans la même sens est celle Jean-Claude Masangu Mulongo qui appelle à l’autonomie de la CENI et de l’abandon de la mutualisation ONIP, BCR et INS qui est une opération, estime-t-il, susceptible de retarder à coup sûr la tenue des élections. Pour faire, face aux contraintes techniques, financiers et sécuritaires, cet ancien gouverneur de la Banque Centrale du Congo dit que seul le bon sens suffit. Ainsi il appelle à la table ronde. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Du côté du pouvoir, aucune thèse du report n’est évoquée ce qui suppose que ces acteurs restent confiants pour la tenue des élections dans les 21 mois et quelques jours nous séparent de scrutin électoral.<br /><br />Manassé DIBWA<p></p>

Politique Tenue des élections dans le délai constitutionnel : la crainte du report hante les esprits

Kinshasa, 10 mars 2022- La crainte du report de l’organisation des élections se dessine peu à peu à la grande inquiétude de certains acteurs...

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Maniema : un partenariat signé avec une société Portugaise pour la construction des infrastructures

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgBVV69bM9Q92AZJAOO5GQHFLJeTtLSXFUePdDVmyNttBShTbjT3T4AUhokNVQdf0WIU8SICHB1-hQpTWkZDBmamRZuu6w2CvRahr363vrwcShdGqACMDUjzAmvcgW-oCaFyi5KbuawBiGG6hrxC5c7MFzGckPPpJ8xB_6MeT1E1XxfQhGHn6fRfulzAQ=s987" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="987" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgBVV69bM9Q92AZJAOO5GQHFLJeTtLSXFUePdDVmyNttBShTbjT3T4AUhokNVQdf0WIU8SICHB1-hQpTWkZDBmamRZuu6w2CvRahr363vrwcShdGqACMDUjzAmvcgW-oCaFyi5KbuawBiGG6hrxC5c7MFzGckPPpJ8xB_6MeT1E1XxfQhGHn6fRfulzAQ=s320" width="320" /></a></div>Le gouvernement provincial du Maniema a signé un partenariat public-privé (PPP) avec la société Portugaise « Future Motion », le mercredi 09 mars 2022. Ce, pour la construction des infrastructures dans cette partie de la République démocratique du Congo.<br /><br />Ce partenariat public-privé prévoit notamment l’asphaltage d’une route longue de 138 km et la construction d’un « port moderne » au Maniema.<br /><br />Future Motion se charge également de construire des édifices pouvant abriter les sièges de l’Assemblée provinciale et de l’hôtel du gouvernement provincial, qui fonctionnent dans les anciens bâtiments de la Société nationale congolaise du chemin de fer (SNCC).<br /><br />Pour sa part, l'exécutif provincial se réjouit de ce partenariat et souligne que « le port moderne » de Katopa (qui sera construit sur la rivière Lomani, ndlr) doit servir de transit pour atteindre Kinshasa au lieu de passer par Kisangani.<br /><br />« Nous avons une très grande joie de conclure ce contrat parce qu’il ouvre la voie vers le financement de ces grands travaux qui vont être effectués. Le port de Katopa va nous ouvrir la voie directement vers la capitale au lieu de souffrir en passant par Kisangani. Les bateaux vont directement quitter Kinshasa jusqu’à Katopa et nos véhicules vont [nous, ndlr] ravitailler en marchandises », a déclaré à la presse locale le gouverneur intérimaire, Afani Idrissa Mangala.<br /><br />Il sied de noter que plusieurs projets similaires avaient été annoncés par le gouvernement provincial du Maniema, dans le cadre du partenariat public-privé, dont le début d’exécution n’est plus au rendez-vous tel qu’annoncé au premier trimestre de l’année 2022.<br /><br />La province du Maniema souffre de manque criant d’infrastructures nécessaires pour son désenclavement. Son réseau routier est quasi impraticable ; le chemin de fer qui le relie au Grand Katanga construit dans les années 1920 est presque abandonné ; la seule voie qui facilite les échanges commerciaux reste le transport aérien qui coûte cher.<br /><br />Morisho Tambwe, à Kindu<p> </p>

Province Société Maniema : un partenariat signé avec une société Portugaise pour la construction des infrastructures

Le gouvernement provincial du Maniema a signé un partenariat public-privé (PPP) avec la société Portugaise « Future Motion », le mercredi 09...

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RDC : En séjour en Belgique, Félix Tshisekedi « se porte bien n’a subi aucune opération du cœur » (Proches)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhr-WERc9xRdZ7xo3HotdOLqYvEBhmtj4CsAg8habbrglJe0LkLY5jYp16i0GB9X-UVkGkVf2xLYmpjpBOxw7Ph0w_xu2O6Qi8RfwewGkBYh4_VuZsZoS1bHs6g40QFlTJ_hHtDLpKB77bZyjY_BqYE4fRqZWe6FPDrXR2ChyG4imwiKAN_tzyZl5Icdw=s985" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="561" data-original-width="985" height="182" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhr-WERc9xRdZ7xo3HotdOLqYvEBhmtj4CsAg8habbrglJe0LkLY5jYp16i0GB9X-UVkGkVf2xLYmpjpBOxw7Ph0w_xu2O6Qi8RfwewGkBYh4_VuZsZoS1bHs6g40QFlTJ_hHtDLpKB77bZyjY_BqYE4fRqZWe6FPDrXR2ChyG4imwiKAN_tzyZl5Icdw=s320" width="320" /></a></div> La nouvelle de l’opération du cœur qu’aurait subie le Président de la RDC se repend telle une drainée de poudre. Pour ses proches, il n’en est rien des rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux.<br /><br />Apprend-t-on d’une source près de la famille présidentielle, le Chef de l’état Félix Tshisekedi séjourne bel et en bien en Belgique, seulement il n’a pas été opéré du cœur.<br /><br />Par contre, il a profité de son séjour en Belgique pour rencontrer son médecin en raisons du check-up de routine, nous indique-t-on.<br /><br />Toutefois, d’après un média belge, le Président Congolais Félix Tshisekedi aurait subi une intervention chirurgicale au cœur, « qui s’est bien passée», à l’en croire. Cette version des faits est balayée du revers de la main par les proches du Chef de l’état. <div>  <br />Junior Ngandu<p></p></div>

Politique RDC : En séjour en Belgique, Félix Tshisekedi « se porte bien n’a subi aucune opération du cœur » (Proches)

La nouvelle de l’opération du cœur qu’aurait subie le Président de la RDC se repend telle une drainée de poudre. Pour ses proches, il n’en ...

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Félix Tshisekedi opéré du coeur à Bruxelles

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsYxdsn5MxbD7r2bJRQKKKFiNb1Nrdtpv953l2Qym2CkyUPNNB0E91g-DCzOjcrAf-y0_niWFnMrR79x1kd6JHv3JBfOGMg4ydZ8QHyOaTTW8wu4ebmmWJXNgqkKCrEPmmdd_1e08TPI3vIRC8K0NOHKFQJ2OlKZIYeg7CLGVOCbRXBAO0oHKZOBTtlw=s829" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="510" data-original-width="829" height="197" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsYxdsn5MxbD7r2bJRQKKKFiNb1Nrdtpv953l2Qym2CkyUPNNB0E91g-DCzOjcrAf-y0_niWFnMrR79x1kd6JHv3JBfOGMg4ydZ8QHyOaTTW8wu4ebmmWJXNgqkKCrEPmmdd_1e08TPI3vIRC8K0NOHKFQJ2OlKZIYeg7CLGVOCbRXBAO0oHKZOBTtlw=s320" width="320" /></a></div> Le président aurait subi une intervention au coeur ouvert qui se serait bien déroulée ce mardi 8 mars.<br /><br />Le président congolais Félix Tshisekedi est invisible depuis son atterrissage lundi à Bruxelles. Seule certitude, le voyage n’était pas programmé. A l’origine, le président devait être à Kinshasa pour accueillir la délégation royale belge qui aurait dû, sans un enième report de la visite dû cette fois à la situation en Ukraine, débarquer dans la capitale congolaise le dimanche 6 mars en soirée.<br /><br />Le voyage semblait précipité. L’aéroport avait été prévenu sur le coup de 16 heures pour un départ dans les deux heures.<br /><br />« La situation est gérée », nous dit un des proches de la présidence à Kinshasa qui confirme l’opération « à coeur ouvert qui s’est ben passée ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Et qui nous confirme que le président de la République « a quitté le pays dans un état critique dimanche« .<br /><br />Les problèmes cardiaques de Félix Tshisekedi avaient été diagnostiqués bien avant la campagne électorale de 2018. Une intervention avait été conseillée mais les médecins ne pouvaient pas garantir sa réussite ce qui avait poussé celui qui était alors un opposant à repousser cette opération sans doute devenue inévitable cette fois.<p></p><p>Lalibre.be</p>

Politique Félix Tshisekedi opéré du coeur à Bruxelles

Le président aurait subi une intervention au coeur ouvert qui se serait bien déroulée ce mardi 8 mars. Le président congolais Félix Tshisek...

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Deux Congolais condamnés à Paris pour des incidents en marge d’un concert de Fally Ipupa

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhmikV-UFe_TRy1oM_qGOb7zJvPpFsxdmvjrbjIIHPnM3n-PLm6fxngQqOy8nj7fpsk-AXWrnjAv78GXvifEfJDDnJQw2HHqOW9OmyfEf8f4PBo9Wqrp9hkrxsj7v51bGuq3JkIVne1tCcMEJbpn8zjCsh9ZXr-FhLVfP968Ms5umtlkYRqltzlwAGu4w=s1025" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="715" data-original-width="1025" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhmikV-UFe_TRy1oM_qGOb7zJvPpFsxdmvjrbjIIHPnM3n-PLm6fxngQqOy8nj7fpsk-AXWrnjAv78GXvifEfJDDnJQw2HHqOW9OmyfEf8f4PBo9Wqrp9hkrxsj7v51bGuq3JkIVne1tCcMEJbpn8zjCsh9ZXr-FhLVfP968Ms5umtlkYRqltzlwAGu4w=s320" width="320" /></a></div>La justice française a condamné mercredi deux Congolais impliqués dans de violentes manifestations de février 2020 en marge d’un concert parisien de la star congolaise Fally Ipupa.<br /><br /><br />Le 28 février 2020, l’alliage explosif de la rumba et de la politique congolaises s’était invité au cœur de la capitale française.<br /><br />Malgré l’interdiction de manifester, de multiples incidents avaient éclaté en amont du concert à Bercy du chanteur, l’une des plus grands vedettes d’Afrique francophone.<br /><br />Issus de la diaspora, les manifestants accusaient la star de 44 ans, qui mêle harmonies traditionnelles africaines et musiques urbaines, d’être proche de l’ancien président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila et de son successeur Félix Tshisekedi.<br /><br />Deux hommes étaient convoqués au tribunal correctionnel de Paris pour avoir, au cours de ces violences urbaines, brûlé leur propre voiture. Seul l’un d’eux, le propriétaire du véhicule, s’est présenté à l’audience, pour être condamné à 150 jours-amende à 10 euros conformément aux réquisitions. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« On voulait coûte que coûte faire annuler ce concert », a déclaré à la barre ce technicien de maintenance de 31 ans. « On est dans un mouvement qui manifeste pacifiquement, on avait demandé l’autorisation au préfet de police mais qui nous l’a refusé. »<br /><br />Les images de vidéosurveillance montrent plusieurs hommes arrivant à bord d’une Peugeot 106, en sortir, dévisser les plaques d’immatriculation avant d’y mettre le feu.<br /><br />Mais pourquoi donc brûler sa propre voiture ? s’interroge le tribunal, perplexe devant cette « revendication ». « C’était un acte de passion, pas du tout un acte prémédité », soutient le prévenu, grand, longiligne et cintré dans un caban.<br /><br />« C’est une soirée qui coûte cher… », a ironisé le procureur, qui a également requis huit mois de prison ferme contre le prévenu absent. Ce dernier a été condamné par défaut à cinq mois de prison ferme.<br /><br />Dans sa plaidoirie, l’avocat du propriétaire de la voiture, Me Félix Alfonsi, a mis en avant l’histoire personnelle de son client, qui a fui la RDC à l’âge de 15 ans. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />En ne prenant pas position politiquement, le chanteur Fally Ipupa est de fait « une arme du régime autoritaire congolais, de soft power. C’est la perception qu’en a la diaspora congolaise qui vit ici, exilée », a-t-il soutenu.<br /><br />Une cinquantaine de personnes avaient été placées en garde à vue à la suite de ces violences. La plupart avaient donné lieu à des alternatives aux poursuites ou à un classement sans suite.<br /><br />AFP<br />Actualité.cd

Société Deux Congolais condamnés à Paris pour des incidents en marge d’un concert de Fally Ipupa

La justice française a condamné mercredi deux Congolais impliqués dans de violentes manifestations de février 2020 en marge d’un concert par...

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RDC : Madame Kabila dans les startings bloks

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgshLDHZ0-pqbQqtaUnot87rV7B1mVWpvk9D4hwCnDkz6-nyYga93xTNj81KgHjFGyQbo2RDyn6yS7TP5FT0hfLuV5RGvwq625YkUkz2LkY7SFnPGGOnGGI3Aabigw7sAQfh7psIpAXe3UN4nIfczLzuQevayNRNEdPXQiUhhePcqmOQRxYLV0_T1dlNw=s990" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="990" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgshLDHZ0-pqbQqtaUnot87rV7B1mVWpvk9D4hwCnDkz6-nyYga93xTNj81KgHjFGyQbo2RDyn6yS7TP5FT0hfLuV5RGvwq625YkUkz2LkY7SFnPGGOnGGI3Aabigw7sAQfh7psIpAXe3UN4nIfczLzuQevayNRNEdPXQiUhhePcqmOQRxYLV0_T1dlNw=s320" width="320" /></a></div>Olive Lembe, l’épouse de l’ancien chef de l’État, lorgne-t-elle la présidence  ?<br /><br /><br />« Décidément, elle prend de plus en plus la lumière”, s’amuse, volontiers persifleur, un ancien opposant au clan Kabila, devenu ministre dans l’actuel gouvernement congolais.<br />“Il faut être attentif aux gesticulations de la Kabilie, prévient un autre éternel opposant à l’ancien chef de l’État. Il faut s’attendre à ce que cette famille mette en avant une carte généralement acceptable dans la perspective de la prochaine présidentielle. Olive Lembe-Kabila coche pas mal de cases pour l’ancienne majorité. Premièrement, c’est la femme de l’autorité morale incontestée du PPRD et de sa plateforme politique le FCC. Ensuite, elle a une image assez positive dans la population. Elle est simple, va facilement vers les gens et n’a jamais été impliquée dans des affaires trop louches. Enfin, même dans les rangs des autres opposants, elle est plutôt acceptable, compatible, si je puis dire”, poursuit notre opposant qui siège à l’Assemblée nationale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Visite catholique<br /><br />L’ancienne Première dame a marqué les esprits en apparaissant le 7 février dernier au côté du cardinal Ambongo dans la ferme familiale de Kingakati, non loin de Kinshasa.<br />Une visite largement mise en scène sur les réseaux sociaux congolais. On y entend le cardinal féliciter la dame et son mari pour le travail accompli. Une rencontre que certains jugeaient impensables en se remémorant les vives tensions qui étaient de mise entre l’institution catholique et le pouvoir d’un Joseph Kabila dont la fin prolongée du dernier mandat avait notamment débouché sur la répression mortelle de certaines manifestations de catholiques et même, sacrilège suprême et inconcevable, sur des scènes lors desquelles des militaires ont ouvert le feu sur des catholiques en plein cœur d’une église de Kinshasa le 31 décembre 2018. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br />Le temps n’efface pas tout mais la manière dont le pouvoir de Félix Tshisekedi s’est joué des catholiques et des protestants pour imposer son candidat à la tête de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a laissé des traces. Le divorce est net, les plaies béantes. Cette visite du cardinal Ambongo avait une vraie saveur pour les kabilistes et un goût bien amer pour le nouveau cercle du pouvoir.<br /><br />Accord de partage du pouvoir<br /><br />Ce 8 mars, comme elle en a pris l’habitude ces dernières années, Olive Kabila s’est offert une nouvelle sortie médiatisée au stade de Kalemie, dans la province du Tanganyika. Dans ce stade baptisé Joseph Kabila, l’ex-Première dame a reçu une ovation de plus de 20 000 personnes. Le tout largement diffusé sur les réseaux sociaux une fois de plus. Mais cette fois, elle est flanquée de la sœur jumelle de son mari, Jaynet Kabila, journée de la femme oblige. Une manière aussi de souligner que la dame dispose du soutien du premier cercle familial. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />“Le retour sur les réseaux de l’accord secret sur le partage du pouvoir signé entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila le 8 janvier 2019, doit aussi être lu avec le prisme de cette mise en avant de Mme Kabila, nous confirme un kabiliste de la première heure. Ce qui est publié n’est pas le texte complet. On ne découvre que 3 articles de l’accord ; or il y en a une vingtaine et certains témoins qui sont repris sur le document originel n’apparaissent pas. Mais on y voit que les Kabila disposent d’une immunité et que Félix Tshisekedi s’est engagé à soutenir la candidature représentant la famille du FCC lors de la présidentielle de 2023. Autant d’éléments qui servent la cause d’une éventuelle candidature de Mme Kabila”, poursuit-il.<br /><br />Ballon d’essai ou vrai début de campagne ? La montée en puissance d’Olive Lembe Kabila doit être suivie avec attention dans les prochaines semaines.<div><span style="font-size: medium;"><b><br />Hubert Leclercq

Politique RDC : Madame Kabila dans les startings bloks

Olive Lembe, l’épouse de l’ancien chef de l’État, lorgne-t-elle la présidence  ? « Décidément, elle prend de plus en plus la lumière”, s’amu...

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Urgent : la directrice financière à la SNEL au cœur d’un scandale

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj2sOP7mWL_8NSiC6z7UYS-fkRJRLcJtxoqmSZXq8_Kq5rnz25OPtZ_gJZ3ldWVJUrXmAlHOkf9zwXwaZPRxtjTlMwIBYvF3FHfShUrxEn93d5dz737a2lvjIVdFlADYKW2h6tfpl7ANV_iZyJFRmyEsyiONIbVFrZFh1D-eMYABzqsSCIwUc1Jwf95Kw=s496" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="496" data-original-width="493" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj2sOP7mWL_8NSiC6z7UYS-fkRJRLcJtxoqmSZXq8_Kq5rnz25OPtZ_gJZ3ldWVJUrXmAlHOkf9zwXwaZPRxtjTlMwIBYvF3FHfShUrxEn93d5dz737a2lvjIVdFlADYKW2h6tfpl7ANV_iZyJFRmyEsyiONIbVFrZFh1D-eMYABzqsSCIwUc1Jwf95Kw=s320" width="318" /></a></div>Cette dernière usant de sa qualité de directrice financière à la SNEL se targue d’avoir la justice en main et de sa capacité de soudoyer les juges.<br /><br />Ayant obtenu gain de cause depuis 2010 par un arrêt de la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe suite à une requête en appel sous RCA.25.531 initiée par Mme Bilali Bwila Dada contre Mme Christine Tshibanda Meta Kabuya et Mme Bofua Sizi Marie Claude. Ces dernières sont victimes d’un séquestrement et déguerpissement illégal dans leurs parcelles N°18.275 et 18.276 du plan cadastral de lotissement Kilimani dans la commune de Ngaliema.<br /><br />Pas plus tard qu’hier , ayant même sollicité une ordonnance d’annulation d’un seconde jugement attribué clandestinement à Bilali Bwila Dada auprès du président du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa-Gombe malgré l’existence d’un certificat de non pourvoi en cassation portant N°153/2012 du 06 mars 2012 , les deux dames propriétaires précipitées font face depuis le dimanche 6 mars 2022 d’une destruction méchante et d’un déguerpissement dans leurs parcelles. Une Salle de fête appartenant à Christine Tshibanda est même fortement endommagée par les hommes en uniformes non encore identifiés au mépris du libellé « dudit jugement » qui n’autorise pas une quelconque destruction des meubles.<br /><br />Suite à la destruction méchante de la maison de la famille de Madame Bofua qui se retrouve à la rue depuis le week-end dernier et passe les nuits à la belle étoile. Des conditions qui ont détérioré sa santé déjà fragile. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Selon le constat des professionnels des médias qui sont descendus sur place, ce déguerpissement a été préparé et organisé intentionnellement un week-end pour restreindre l’intervention des juridictions vu qu’elles n’étaient pas accessibles.<br /><br />Mais hélas ce qui est plus scandaleux , le greffier ne reconnait pas le document d’exécution portant sa signature.<br /><br />Durant l’exécution du déguerpissement, contre toute attente, un homme se présentant comme un huissier de justice était accompagné des policiers requis pour assister par Mme Bilali Bwila Dada. Sur le champs , il va recevoir des appels en cascade des autorités judiciaires du ressort de Kinshasa-Gombe l’ordonnant d’exécuter séance tenante cette exécution au fallacieux motif que l’une des parties détiendrait l’unique certificat d’enregistrement valable. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Dans le couloir judiciaire, apprend-on que la dame en question utilise son « statut de la directrice financière » de la société nationale d’électricité (SNEL) pour soudoyer les juges avec les fonds de l’État. Un tel comportement terni l’image des institutions du pays et surtout les efforts de l’inspection générale des Finances (IGF) contre le détournement des finances publiques.<br /><br />Une seule question qui nécessite un audit sérieux à la SNEL, est de savoir comment une simple salariée de l’État peut se permettre de faire de tels investissements ?<br /><br />De ce fait, la ministre du portefeuille ainsi que les autorités de la SNEL doivent une explication à l’opinion nationale et internationale.<br /><br />Pour votre information, en 1996 lors du lotissement du site Kilimani situé à l’entrée de Ma Campagne dans la commune de Ngaliema, Monsieur Esalo Monga Mongwa et Mme Bofua Sizi Marie Claude avaient acquis auprès de la division des affaires foncières de Lukunga chacun une parcelle de terre. C’est la même division qui les a délivré un contrat de location pour se conformer à la législation foncière en vigueur. Toutes ces parcelles sont cadastrées respectivement sous les numéros 18.275 et 18.276 . <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> La signature de location est intervenue le 15 mars 1996 devant l’État congolais . C’est vers 2004 que monsieur Monga a cédé son contrat de location à Mme Tshibanda Meta Kabuya en respect de la législation congolaise.<br /><br />Contre toute attente, Quelques jours après Mme Bilali Bwila Dada se présente dans la concession avec un contrat de réunification de deux parcelles et s’installant. Cette situation a conduit Christine Tshibanda Meta Kabuya et Bofua Sizi Marie Claude à saisir les services compétents de l’État (Affaires foncières et cadastres) pour un contentieux . De là , Mme Bilali Bwila Dada a été désavouée et son document parcellaire était introuvable dans les archives. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il a été déclaré par le suite faux . Du TGI de Kinshasa-Gombe au premier degré à la cour d’appel de la même juridiction, les juges ont donné raison aux deux dames . C’est la raison de deux jugements en leurs faveur et un autre de non pourvoi en cassation. Ce qui veut dire que l’affaire était déjà close devant la justice.<br /><br />Curieusement le 24 janvier 2022 , le TGI Gombe orfdonne par défaut le déguerpissement de ces deux propriétaires en se fondant sur les jugements frappés d’appel et de tierce opposition respectivement sous RC.119.081 et 120.090 pour assortir son œuvre de la clause d’exécution provisoire. Sans signification aux parties au procès aux parties au procès, les huissiers sont descendus dans les parcelles querellées pour le déguerpissement.<br /><br />Selon plusieurs experts en droits , ce déguerpissement a été fait en violation du droit à un procès équitable et des articles 19 et 34 de la constitution telque modifié à ce jour .<br /><br />Une autre question dans ce trafic d’influence : Est-ce que tout homme en uniforme en possession d’un document d’un huissier de justice est compétent pour déguerpir ? Oui dans un état monarque et non dans un état de droit que prône le président de la république, Félix Tshisekedi, depuis son avènement au pouvoir.<br /><br />C’est ici l’occasion de rappeler au Chef de l’Etat et le Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) de rappeler à l’ordre les différentes autorités judiciaires à s’abstenir de poser des actes qui ternissent l’image positive de la justice que le monde entier tente de croire.<br /><br />Christine Tshibanda Meta Kabuya et Bofua Sizi Marie Claude interpellent les autorités de Kinshasa Gombe pour une réparation urgente.<br /><br />Ozimbale Wata<p></p>

Société Urgent : la directrice financière à la SNEL au cœur d’un scandale

Cette dernière usant de sa qualité de directrice financière à la SNEL se targue d’avoir la justice en main et de sa capacité de soudoyer les...

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Vivement un débat d’évaluation à l’Assemblée nationale

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhLGY3hUXjip98EQUr4RqAV3oL4HDex3_mU4QDZ3XR21c_3DU9mjn9vgcOspjixxNBhgSLYJfSHtELmS1rsnGId97pnp7BbfN6DOVPBTqs5iziWyJ5PUkWCKelmySyE5RC4CrOz2FnASuepECUeJ6oHRJqYi8AlrX2SVd9tuyjm3Ccvl91fcuxHMvD_TA=s1037" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="735" data-original-width="1037" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhLGY3hUXjip98EQUr4RqAV3oL4HDex3_mU4QDZ3XR21c_3DU9mjn9vgcOspjixxNBhgSLYJfSHtELmS1rsnGId97pnp7BbfN6DOVPBTqs5iziWyJ5PUkWCKelmySyE5RC4CrOz2FnASuepECUeJ6oHRJqYi8AlrX2SVd9tuyjm3Ccvl91fcuxHMvD_TA=s320" width="320" /></a></div>Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a échangé hier mercredi 9 mars, avec les parlementaires membres de la Commission défense et sécurité de l’Assemblée nationale. Au menu de cette rencontre élargie à certains membres du Gouvernement, au chef d’état-major général des FARDC et au Commissaire général de la police, les recommandations de ladite commission sur l’état de siège en Ituri et au Nord-Kivu.<br /><br />«Nos échanges aujourd’hui avec le Premier Ministre ont porté sur l’état de siège décrété par le Président de la République en Ituri mais aussi au Nord-Kivu. Comme vous le savez, la commission Défense et Sécurité de l’Assemblée nationale, pendant la session de septembre, avait procédé à l’évaluation de l’état de siège. Il y a des recommandations qui avaient été faites au Gouvernement et nous sommes en train de nous rassurer à travers les différentes rencontres que nous avons initiées, que ces recommandations sont en train d’être respectées et observées. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> C’est très important parce que l’observation de ces recommandations, va permettre à l’état de siège de s’améliorer dans sa partie opérationnelle et ainsi atteindre l’objectif pour lequel il avait été décrété, à savoir, restaurer la Paix et la Sécurité à l’Est de la République qui est un souci majeur pour toutes les institutions, le Gouvernement, le Parlement mais aussi le Président de la République», déclare le député Mubonzi, cité par la dépêche de la cellule de communication de la Primature.<br /><br />Nombre de Congolais qui ont suivi cette information sur leur petit écran ou, pour certains, à la radio, voudraient savoir si cette séance de travail va aplanir le malentendu entre l’Exécutif et les députés nationaux de ces deux provinces concernées par l’état de siège. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Déjà prorogée à plusieurs reprises, cette mesure exceptionnelle prise le 6 mai par le Chef de l’Etat pour permettre d’endiguer l’interminable cycle de violence dans cette partie du pays, est de plus en plus critiquée par la société civile et une partie de la classe politique qui sollicitent sa requalification…<br /><br />Les élus de l’Ituri et du Nord-Kivu se font régulièrement l’écho du malaise qui prévaut au sein de la population par rapport à l’état de siège. Selon une bonne frange de l’opinion locale, loin d’apporter davantage de sécurité, cette mesure exceptionnelle ne produirait pour l’instant, à ses yeux, que le résultat mitigé.<br /><br />Aussi, se rappelle-t-on, les députés chargés d’évaluer l’efficacité de cette mesure sécuritaire en Ituri et au Nord-Kivu, avaient interpelé quelques membres du Gouvernement concernés par la gestion de l’état de siège : Gilbert Kabanda Rukemba (Défense nationale et Anciens ciombattants), Rose Mutombo Kiese (Justice), Jean-Claude Molipe Mandongo (Vice-ministre de l’Intérieur), Nicolas Kazadi (Finances) et Aimé Boji Sangara Bamanyirwe (Budget). Ils avaient clôturé leurs travaux en adoptant une série de plusieurs recommandations qu’ils avaient déposées au bureau du speaker de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Selon des sources, la commission présidée par le député Bertin Mubonzi aurait suggéré d’abord de solliciter en urgence auprès du Commandant, la restructuration profonde et le renouvellement de la chaîne de de commandement militaire. Elle aurait appelé aussi l’Assemblée nationale à solliciter, auprès du Chef de l’Etat, un remaniement à tous les niveaux stratégiques mais aussi opérationnels dans les provinces concernées par l’état de siège.<br /><br />Ce n’est pas tout. Pour marquer leur désapprobation avec le Gouvernement dont ils disent ne pas les écouter, les élus de ces contrées avaient suspendu même leur participation aux débats à l’Hémicycle.<br /><br />Plutôt qu’une rencontre entre le Premier ministre Sama Lukonde et ces députés de l’Ituri et du Nord-Kivu, l’Assemblée nationale ferait œuvre utile en organisant un débat général sur l’évaluation de cette d’exception avec tous les acteurs directement concernés par cet état de siège. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Dans deux mois, ça fera une année que ces provinces vivent sous ce régime d’exception qui par nature ne devrait pas être pas être long. Et cela coïncide avec une année électorale. Ce qui voudrait dire qu’il faille étudier les voies et moyens de les sortir de cet état de siège pour leur permettre de retrouver une vie normale afin de participer aux élections.<br /><br />Alors que les parlementaires effectuent leur rentrée le mardi 15 mars courant, le rapport qui se trouve sur le bureau du président Christophe Mboso, préconise d’obtenir du gouvernement un plan de sortie de l’état de siège avant une énième prorogation.<br /><br />Didier KEBONGO<br />Forum des as<p></p>

Politique Vivement un débat d’évaluation à l’Assemblée nationale

Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a échangé hier mercredi 9 mars, avec les parlementaires membres de la Commission défense et s...

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CPVS: un rapport pour attirer l’attention de Félix Tshisekedi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgp9SJphM0MJeFZSkSpb6MnHlkvf-nvcSFWnAdxnLsgLEFWUVIl6j_ciwwelEKxJXaDjD8CP9IR2DjCx4Db9nLGryjRL5-Cb_s7zXXpTn96L7n0qIT470VpvUHGo50auIo9JuUfcOobDOjZL2a24QfX6Z-Pq8_Otku1BLzrjWP5og4bpJzC-7XJZF4Aew=s791" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="438" data-original-width="791" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgp9SJphM0MJeFZSkSpb6MnHlkvf-nvcSFWnAdxnLsgLEFWUVIl6j_ciwwelEKxJXaDjD8CP9IR2DjCx4Db9nLGryjRL5-Cb_s7zXXpTn96L7n0qIT470VpvUHGo50auIo9JuUfcOobDOjZL2a24QfX6Z-Pq8_Otku1BLzrjWP5og4bpJzC-7XJZF4Aew=s320" width="320" /></a></div> « Tout n’est pas parfait. Mais nous sommes dans la bonne direction », reconnait François Muamba.<br /><br />« La priorisation des engagements du Président de la République déclinés dans le programme du Gouvernement », tel est l’objectif d’un atelier organisé du mardi 8 au mercredi 9 mars, à Kinshasa, par le Conseil présidentiel de veille stratégique (CPVS), avec l’appui financier et technique du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).<br /><br /><br />Les participants à cet atelier composés essentiellement des ministères concernés ont eu pour tâche de mettre à la disposition du CPVS des informations crédibles relatives à la mise en œuvre effective des priorités retenues.<br /><br />« Le chef a ce qu’on appelle les engagements emblématiques phares que nous suivons comme la mise en place de la couverture sanitaire universelle. En termes de ligne de temps, c’est aux mois de février et mars en cours que ce programme devrait être mis en oeuvre d’une manière complète », a rappelé le coordonnateur du CPVS.<br /><br />RETARD DANS LA RÉALISATION DES ENGAGEMENTS<br /><br />Toutefois, François Muamba estime que la matérialisation dudit projet a pris du retard. « Bien heureusement que le vendredi dernier on a vu que l’une des choses qui bloquait c’est la signature des décrets nécessaires pour mettre en place l’infrastructure indispensable. Ça été approuvé au conseil des ministres ».<br /><br />Parmi ces priorités, François Muamba évoque, entre autres, la question emblématique de la gratuité de l’enseignement. « Là aussi, c’est mitigé. D’une part, on peut observer que grâce à cette mesure édictée par le Président de la République, bien des enfants qui n’avaient pas accès à l’école, à cause de barrières financières, ont bénéficié de la scolarité », constate-t-il. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Cependant, Il y a encore un certain nombre de défis à relever puisque ce que les parents apportaient servait aussi à rémunérer les enseignants. Et compte tenu de la modicité de notre budget, ce défi est devant nous et nous devons créer des conditions à partir desquelles des ressources de substitution doivent être trouvées de manière à satisfaire cette demande qui est légitime », explique le coordonnateur du CPVS.<br /><br /><br />Pour François Muamba, un autre défi à relever dans ce domaine de la gratuité de l’enseignement « c’est trouver le juste milieu entre le nombre de salles de classes et le nombre d’élèves. Quand il y a plus d’élèves, il nous faut des bâtiments équipés ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />François Muamba laisse entendre qu' « on est là pour faire un monitoring, un rapport au chef de l’Etat pour attirer son attention sur tous ces éléments pour que progressivement ça puisse être levés de manière à faire de la gratuité de l’enseignement un succès total parce que nos enfants et notre Nation méritent cela. Nous sommes ici en train d’aller dans une situation à partir de laquelle notre pays va devenir un État fort, solidaire, prospère et que chacun, en ce qui lui concerne, doit faire sa part. Le chef de l’Etat est là pour donner l’impulsion, il y a un Gouvernement pour la mise en place et les acteurs sont appelés à réaliser les différents projets ».<br /><br />Après ces deux jours des travaux, François Muamba considère que « tout n’est pas parfait mais nous sommes dans la bonne direction et en ce qui nous concerne, nous allons faire en sorte que les choses montent en puissance dans les vingt mois qui nous restent ». Il cite, pour ce faire, le projet du Président de la République de 145 territoires qui, à ses dires, permettra aux Congolais, qui n’habitent pas tous à Kinshasa, de bénéficier des fruits de ce mandat du chef de l’État. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Un des participants affirme que le chef de l’Etat a besoin du CPVS. « Il y a beaucoup à faire mais tout n’est pas prioritaire. Le service technique de suivi a besoin des axes prioritaires. Plus vous aurez beaucoup d’axes de suivi dans votre matrice, moins vous serez efficaces », dit-il. « C’est à cet exercice auquel nous nous sommes livrés. L’essentiel de l’atelier a été de mettre ensemble le CPVS et les services publics qui nous alimentent en termes d’informations pour que les deux camps aient la même compréhension de priorisation. Je suis satisfait, mais le travail n’est pas encore fini », précise-t-il.<br /><br /><br />« L’idée de cet atelier part de la volonté du CPVS. Il est important que nous puissions nous reconcentrer. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> A force de tout suivre, on se disperse. On part de la vision du chef de l’État. Dans ce cadre, on met en exergue les actions qui en découlent. On doit aller vers ceux qui mettent en œuvre ces engagements, c’est-à-dire les points focaux. Ils nous ont permis de comprendre ce qui a été fait et les obstacles rencontrés. Le Gouvernement fait son travail et nous on apporte juste les informations au Président de la République », martèle un participant<br /><br />Le CPVS est un service de la Présidence de la République institué par l’ordonnance n°20/013 du 19 mars 2020. Il a pour mission de suivre et d évaluer la mise en œuvre des engagements du Président de la République repris dans le programme commun du Gouvernement afin de faciliter la prise des décisions stratégiques pour la nation grâce à une analyse des évolutions tendancielles et de leur environnement. <br />Rachidi Mabandu<br />Forum des As <p></p>

Politique CPVS: un rapport pour attirer l’attention de Félix Tshisekedi

« Tout n’est pas parfait. Mais nous sommes dans la bonne direction », reconnait François Muamba. « La priorisation des engagements du Prési...

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Foot : Théo Bongonda peut jouer avec la RDC dès le match contre le Maroc (Officiel)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjxTywhWzzwAGk3hftJPVuzorWP8GBOe7gHYPnff6fIDgR5KoZLgEgkB2hH3FIOJjfkoqI-NxnNtxtQOJyNpMMitfY3lVZPB71H8gLxV6-EPnhQp69DaitWxXKNDLnNIdx4cavIqB3h1-obRIIX3W8q1E5H6f5NLUrIqrr21RVfQMA8_iZScqMYw_xB4g=s1490" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="851" data-original-width="1490" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjxTywhWzzwAGk3hftJPVuzorWP8GBOe7gHYPnff6fIDgR5KoZLgEgkB2hH3FIOJjfkoqI-NxnNtxtQOJyNpMMitfY3lVZPB71H8gLxV6-EPnhQp69DaitWxXKNDLnNIdx4cavIqB3h1-obRIIX3W8q1E5H6f5NLUrIqrr21RVfQMA8_iZScqMYw_xB4g=s320" width="320" /></a></div>L’ailier congolais de KRC Genk en Belgique, Théo Bongonda Mbul’Ofeko Batombo, est éligible à jouer avec les Léopards de la RDC dès le 25 mars prochain face à l’équipe du Maroc, pour le compte du match aller des barrages du Mondial Qatar 2022.<br /><br />Le néo-léopard est arrivé à Kinshasa depuis le 6 mars dernier afin de régulariser ses documents administratifs, et obtenir son passeport congolais pouvant lui permettre de devenir officiellement Léopard, lui qui a déjà joué avec l’équipe junior de la Belgique. <br /><br /><br />Le 8 mars dernier, le joueur a obtenu son passeport et a été reçu par le ministre des Sports et Loisirs, Serge Nkonde Chembo, accompagné de son père, pour un échange en vue des prochaines échéances qui attendent les Léopards. <br /><br />À 26 ans, l’ancien joueur de Celta Vigo (D1 Espagnole) va découvrir le football africain avec la RDC après plusieurs tentatives de le convaincre à porter le maillot congolais, amorcées par les prédécesseurs de l’argentin Hector Cúper, sélectionneur de la RDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Découvert par le public congolais lors du dernier stage à Bahreïn en janvier dernier, Bongonda a fait forte impression et a presque convaincu les analystes et observateurs du football congolais, avec son pied gauche « remarquable ».<br /><br />Né d’un père congolais et d’une mère belge, Théo Bongonda avait la possibilité de jouer pour les deux nations de ses parents, et il a choisi de représenter la RDC. Il compte à présent 10 buts et deux passes décisives en 26 matchs du championnat belge. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Son apport devrait être important pour la sélection congolaise, car elle manquait ce genre de profil en attaque. Bongonda peut jouer comme milieu offensif ou ailier (gauche ou droite) selon le dispositif tactique mis en place par le sélectionneur.<br /><br />7sur7.cd<p></p>

Sport Foot : Théo Bongonda peut jouer avec la RDC dès le match contre le Maroc (Officiel)

L’ailier congolais de KRC Genk en Belgique, Théo Bongonda Mbul’Ofeko Batombo, est éligible à jouer avec les Léopards de la RDC dès le 25 mar...

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Qui est Jean-Hervé Mbelu Biosha, le nouveau patron de l’ANR ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbKMZWyKv7NhnNzHj8z6oWREoWa6RtyQm2pBQRbaoM3nypwF5gi5ljRlOoyf1i5YIT2PXH-QbSK9FHk5p8AC2VjyzgJLfNTJ1Lwqfup3Fm5tR3iAi462Ju_ife82DDTSqTht_s4KLtHg8tI9yCkJZWe7xMewOfUMrsq1j4NTa8IwM6hkhw73bEjq_EsA=s1452" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="1452" height="176" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbKMZWyKv7NhnNzHj8z6oWREoWa6RtyQm2pBQRbaoM3nypwF5gi5ljRlOoyf1i5YIT2PXH-QbSK9FHk5p8AC2VjyzgJLfNTJ1Lwqfup3Fm5tR3iAi462Ju_ife82DDTSqTht_s4KLtHg8tI9yCkJZWe7xMewOfUMrsq1j4NTa8IwM6hkhw73bEjq_EsA=s320" width="320" /></a></div><br /><br /> 9 mars 2022-Propulsé à la tête des renseignements congolais au début du mois de décembre, le patron de l’ANR a joué un rôle central dans la disgrâce de François Beya, ce conseiller sécurité de Tshisekedi que l’on pensait intouchable.<br /><br />1. Kasaïen<br /><br />Le patron de l’Agence nationale de renseignements (ANR) est originaire, comme Félix Tshisekedi, de la province du Kasaï-Oriental. Ils sont issus du même territoire, celui de Kabeya-Kamwanga. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />2. Sun City<br /><br />Au début des années 2000, il participe au dialogue inter-congolais de Sun City. Il fait partie de la composante « forces vives » et planche au sein de la commission politique et juridique en tant que délégué national de la Société civile du Congo (SOCICO), dont il est le secrétaire général. Il est l’un des nombreux signataires de l’accord final.<br /><br />3. Ascension<br /><br />Dans la foulée, il fait ses premiers pas dans le renseignement et endosse rapidement le rôle de directeur provincial de l’ANR pour la ville de Kinshasa. À ce poste, il travaille en étroite collaboration avec certains des futurs hauts cadres de l’agence, comme Kalev Mutond, à l’époque directeur central en charge du contre-espionnage. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />4. Député<br /><br />En parallèle de cette carrière dans les services, il devient le secrétaire général du Parti de l’alliance nationale pour l’unité (PANU), une formation membre de la majorité présidentielle de Joseph Kabila. Désigné député en 2003, il deviendra plus tard vice-gouverneur de la capitale. Il est également professeur à l’université de Kinshasa.<br /><br />5. Promotion<br /><br />Selon un ancien haut cadre de l’ANR, c’est à François Beya qu’il doit sa nomination au poste d’administrateur général adjoint. Début 2019, alors que Félix Tshisekedi venait d’arriver au pouvoir, c’est l’ancien patron de la Direction générale de migration (DGM) qu’il avait chargé de plancher sur les nominations au sein de l’appareil sécuritaire. Déjà en disgrâce en décembre dernier, Beya n’aura en revanche pas été associé à sa promotion à la tête de l’agence.<br /><br />6. Kamerhe<br /><br />En août 2019, alors qu’il n’est encore que numéro 2 de l’ANR, Mbelu exige, auprès de l’Inspection générale des finances (IGF), un audit des dépenses des différents ministères depuis l’arrivée. Une initiative qui le place en conflit avec le puissant directeur de cabinet de l’époque, Vital Kamerhe, lequel ira jusqu’à demander la suspension des enquêtes. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />7. Beya<br /><br />Propulsé à la tête de l’ANR en remplacement d’Inzun Kakiak, Jean-Hervé Mbelu Biosha a joué un rôle central dans la mise à l’écart de Beya. Le 5 février, il a personnellement participé à l’interpellation du « conseiller spécial », sur instruction directe de Tshisekedi. C’est d’ailleurs dans les locaux de l’ANR que Beya a été entendu et détenu.<br /><br />8. Confiance<br /><br />Si son prédécesseur était réputé proche de Kalev Mutond, dont il a été l’adjoint, Mbelu bénéficie davantage de la confiance du chef de l’État, qu’il connaît de longue date, selon un conseiller du président. Sa nomination s’inscrit en partie dans une volonté d’une reprise en main des services de sécurité par Tshisekedi.<br /><br />9. Jet<br /><br />Mbelu dispose de prérogatives renforcées. C’est lui qui a désormais la main sur les autorisations de départ et d’atterrissage des jets – c’était auparavant du ressort de Beya. Cette prérogative lui confère un droit de regard sur les déplacements de certaines personnalités. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />10. Paranoïa<br /><br />En janvier, il a retardé les déplacements de deux poids lourds de la scène politique congolaise : ceux de Moïse Katumbi et de Joseph Kabila, dont les allers-retours en Afrique australe – notamment en Afrique du Sud – alimentent une forme de paranoïa dans l’entourage du président congolais. Officiellement, l’ANR souhaitait s’assurer de l’identité des gardes qui accompagnaient l’ancien chef de l’État.<br /><br />okapinews <p></p>

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Zacharie Bababaswe aux artistes musiciens : » Ne demandez pas le passeport diplomatique même si vous remplissez les critères… »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjfBxff-g2Dey3dlaksV8wQqL9RCl41ZSWxu_5yXMPqWa0oXg4yxPwAiXwrC8_qpsmB_XCcM14vjNmixe2OQRs37z243smFExu-tw5s_8UJmLbBtF1thrEFCg_wPbWILLUJ45zQPA0ZANmJeA3LRbS3PGOHhYJqR4s_Ke71Et4CqImxu4YFBzpy8C0VHA=s789" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="591" data-original-width="789" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjfBxff-g2Dey3dlaksV8wQqL9RCl41ZSWxu_5yXMPqWa0oXg4yxPwAiXwrC8_qpsmB_XCcM14vjNmixe2OQRs37z243smFExu-tw5s_8UJmLbBtF1thrEFCg_wPbWILLUJ45zQPA0ZANmJeA3LRbS3PGOHhYJqR4s_Ke71Et4CqImxu4YFBzpy8C0VHA=s320" width="320" /></a></div>Bien que des jours se sont écoulés après l’octroi des passeports diplomatiques à quelques artistes musiciens, la polémique à ce sujet continue de battre son plein. Dans la sphère musicale, certains artistes musiciens réclament aussi le passeport diplomatique surtout après la remise officielle de celui de Dobolo King.<br /><br />Après observation de la polémique qu’a créée le choix du chef de l’Etat, Zacharie Bababaswe a lancé un message limpide aux artistes musiciens en ces termes:<br /><br /><br />« Ne demandez pas le passeport diplomatique même si vous remplissez les critères, parce que c’est le président qui le donne à qui il veut. Demandez plutôt des médailles de mérite, comme Manda Chante, Jeanot Bombenga, Modogo ils peuvent le réclamer « , c’est le message de Zacharie Bababaswe aux artistes musiciens lancé à travers Clé Boa.<br /><br />D’après certaines sources, le chef de l’Etat Félix Tshisekedi ne va pas se limiter que dans le domaine musical.<br /><br />Grâce Bolakongo<p> </p>

Société Zacharie Bababaswe aux artistes musiciens : » Ne demandez pas le passeport diplomatique même si vous remplissez les critères… »

Bien que des jours se sont écoulés après l’octroi des passeports diplomatiques à quelques artistes musiciens, la polémique à ce sujet contin...

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Assemblée nationale : La CENCO et l'ECC insistent sur la tenue des élections dans le délai constitutionnel

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjoDmWgLkOvfenmWJaVmEfF6VLGnEsKibQoSKHCJVAe13bAjoFMWrkCAHHUtENFPDdLuK-d9ZKcAxxZwZ7rGa1JI_HHeMoUMsDZMVxps6ct558MFBav5I89EDEp-4zX8OxBVT32G7e-jJQG0kmgwVi9ELiaCm4IcH0G1jHiCapc0yr8btbTivI9tety-A=s994" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="994" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjoDmWgLkOvfenmWJaVmEfF6VLGnEsKibQoSKHCJVAe13bAjoFMWrkCAHHUtENFPDdLuK-d9ZKcAxxZwZ7rGa1JI_HHeMoUMsDZMVxps6ct558MFBav5I89EDEp-4zX8OxBVT32G7e-jJQG0kmgwVi9ELiaCm4IcH0G1jHiCapc0yr8btbTivI9tety-A=s320" width="320" /></a></div> Mgr Donatien N’shole et Révérend Maurice Mondengo qui représentent les Commissions Justice et Paix de la CENCO et de l’ECC ont été reçus en audience, le mercredi 9 mars, par le Président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’kodia, dans le cadre de leur mission assignée d’accompagner les institutions du pays.<br /><br />Au sortir de cette audience, Mgr Donatien N’shole, Porte-parole de la délégation et secrétaire général de la CENCO, a renseigné que les deux Commissions Justice et Paix de l’ECC et de la CENCO sont venues chez Christophe Mboso dans le cadre du processus électoral.<br /><br />D’après lui, ils sont habités par un seul souci, celui d’avoir des élections crédibles, inclusives et apaisées dans le délai constitutionnel en 2023. De ce fait, le Chapelain du Pape, Donatien N’shole a fait savoir qu’il est de leur pouvoir moral et pastoral de contribuer à ce processus électoral et il le fera comme cela a toujours été le cas.<br /><br />Cependant, il a indiqué que les deux Commissions Justice et Paix ont travaillé sur la feuille de route qu’avait présentée la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI). <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Selon eux, cette feuille de route portes d’énormes contraintes relatives notamment au cadre juridique, au financement des élections, à la volonté politique et le Parlement se retrouve partout.<br /><br />À ce sujet, le Speaker de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso a fait savoir qu’il a mis en place un groupe de travail pour y réfléchir, tout en rappelant à ce groupe-là l’enjeu majeur de l’analyse du traitement des projets de lois y relatifs en vue d’avoir des élections inclusives, apaisées dans le délai constitutionnel. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Pour cela, on devait mettre de côte tout ce qui peut servir de prétexte pour aller au-delà du délai constitutionnel. Nous sommes là pour manifester notre volonté d’accompagner le pays, mais sans donner du crédit à ce qui amènerait le pays dans des difficultés. Tant mieux, on se comprend bien, Dieu aidant, nous espérons que le pays va dans la bonne direction », a déclaré Christophe Mboso.<br />Christian Okende<p></p>

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Mgr Donatien N’shole et Révérend Maurice Mondengo qui représentent les Commissions Justice et Paix de la CENCO et de l’ECC ont été reçus en...

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IX èmes Jeux de la Francophonie : Didier Mazenga fait bouger les lignes

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgFOdoAydFxPCQ_RZwMo5ACwJayM9Wn1tEFtq-lC-y2wmOOsbI4RKii82OuzaC_DBmSYFIbG-MBlxtfSdT_WFT4ic1znHSyfiLIZwLs-t4svne0qG8lUHDC5g1btuWS4OymiIdIMek8sQfUOtd4gA01TANqeM0PQgez_9Y7V2C6RPVE2a7T88Y--JbiZQ=s1056" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="605" data-original-width="1056" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgFOdoAydFxPCQ_RZwMo5ACwJayM9Wn1tEFtq-lC-y2wmOOsbI4RKii82OuzaC_DBmSYFIbG-MBlxtfSdT_WFT4ic1znHSyfiLIZwLs-t4svne0qG8lUHDC5g1btuWS4OymiIdIMek8sQfUOtd4gA01TANqeM0PQgez_9Y7V2C6RPVE2a7T88Y--JbiZQ=s320" width="320" /></a></div> Après le report des IX èmes jeux de la Francophonie en août 2023, le Ministre de l’Intégration régionale et Francophonie, Me Didier Mazenga Makanzu met les bouchées doubles pour que tous les travaux préparatoires soient réalisés en temps. A cet effet, il a effectué, mercredi 09 mars 2022, une visite d’inspection sur les site qui va abriter le Centre Culturel et Artistique pour les pays de l’Afrique Centrale, situé en diagonal du Palais du peuple.<br /><br />Ce site devra abriter entre autres, de complexes sportifs pour les athlètes des 88 États membres de la Francophonie attendus à Kinshasa l’an prochain.<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/03/IMG-20220310-WA0020-1024x683.jpg" /><br /><br />Sur place, Didier Mazenga a été accueilli par 4 représentants de l’entreprise chinoise Beijing Urbain Construction Group, chargée d’exécuter les travaux de construction du site, sous la conduite de Li Zheng, chef de la mission de construction de l’Institut National des Arts(INA).<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/03/IMG-20220310-WA0017-1024x683.jpg" /><img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/03/IMG-20220310-WA0015-1024x683.jpg" /><br /><br />Accompagné des experts de son ministère, le patron de l’Intégration régionale et Francophonie a visité la maquette illustrant la cartographie pétrie de ce centre avant d’être conduit dans des Réunions où il a suivi une brève projection du film retraçant le déroulement des travaux dudit centre de 2019 à ce jour.<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/03/IMG-20220310-WA0009-1024x683.jpg" /><br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Didier Mazenga et sa suite se sont ensuite rendus sur d’autres sites en construction, situés sur l’avenue Assossa. Ici, il a déploré la présence des agents de l’hôtel de ville de Kinshasa qui occupe des locaux pourtant sensés être occupés par quelques services de la société Beijing Urbain Construction Group et servir de dépôt de matériels de construction. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />S’adressant à la presse, le Ministre de l’Intégration régionale et Francophonie a expliqué, en substance, que le Centre Culturel de Kinshasa, en construction, dont le coût est estimé à 100 millions de dollars américains est le fruit de la coopération entre la RDC et la Chine et a vocation à devenir le plus grand centre culturel d’Afrique Centrale.<br />Il s’est dit satisfait de l’avancement des travaux de construction, insistant sur le fait que la culture et l’art constituent la première richesse d’un peuple et une force motrice en faveur du développement. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Les travaux de construction de ce centre devront s’achever, sauf changement, au mois de juillet prochain, d’après un des responsables de Beijing Urbain Construction Group.<br /><br />A en croire le ministre de l’Intégration régionale et Francophonie, à l’instar d’autres sites, notamment ceux de l’UNIKIN, stade du 20 mai ou encore l’échangeur de Limete, le bâtiment visité, composé de grands perrons devant, de bâtiments de cuivre gravé, doré et orné, de salles de gymnases en planque pliante, de mûrs en briques accélérées, sera utilisé par les athlètes lors des IX èmes jeux de la Francophonie.<br /><br />JPK<p></p>

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Après le report des IX èmes jeux de la Francophonie en août 2023, le Ministre de l’Intégration régionale et Francophonie, Me Didier Mazenga...

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Le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi insiste sur l’achèvement des travaux de la ligne de transport du courant de la centrale hydroélectrique de Lungudi à Kamonia, au Kasaï

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgvGeu4tD9-4rHyA8dWxVUKGphuJsZpKPsj3nsebWsj8r9JEkUtmT8zDbEeWj_8vC7Na-I23hhEj6zctuF6DeJpfgnAYy05k-ALX2zB14zhzlcd_QusMkaL2p3gFRzWYHPmuDKp3dNyRTDq_YYsEHkW1lXwHfasn__VSGOS2LX8LMKssirCOvAHFVm9jw=s993" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="993" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgvGeu4tD9-4rHyA8dWxVUKGphuJsZpKPsj3nsebWsj8r9JEkUtmT8zDbEeWj_8vC7Na-I23hhEj6zctuF6DeJpfgnAYy05k-ALX2zB14zhzlcd_QusMkaL2p3gFRzWYHPmuDKp3dNyRTDq_YYsEHkW1lXwHfasn__VSGOS2LX8LMKssirCOvAHFVm9jw=s320" width="320" /></a></div> Kinshasa, 09 mars 2022 (ACP).- Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, a encouragé, vendredi dernier, le gouvernement de la République dans son projet de construction de la ligne de transport du courant électrique à haute tension de 72 kilovolts de la centrale hydroélectrique de Lungudi à Kamonia, un des territoires de la province du Kasaï, situé à quelques kms de son chef-lieu, Tshikapa.<br /><br />Le Chef de l’Etat a posé cet acte lors de la quarante-troisième réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée, en visioconférence, à la Cité de l’UA, en réagissant positivement au Rapport sur l’état des lieux de ce projet soumis à la délibération des membres du gouvernement par le ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité, complété par le Ministre d’Etat, Ministre du budget et le Ministre des Finances. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Dans ce dossier adopté moyennant actualisation, après débat et délibérations des ministres, le Ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité a préconisé la relance de ce projet pour rencontrer le souci du Président Tshisekedi « d’apporter l’énergie nécessaire aux activités économiques et au bien-être social des populations de Tshikapa et du territoire de Kamonia », a indiqué le Ministre de la Communication et médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya.<br /><br />Il est, par ailleurs, envisagé la possibilité d’interconnexion avec la centrale de Katende à l’achèvement de sa construction de cette dernière. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le président Tshisekedi déterminé à parachever les travaux du barrage de Katende<br /><br />Par ailleurs, il est à noter que le président Félix-Antoine Tshisekedi a exprimé, en janvier dernier, lors de sa tournée dans l’Espace Kasaï, sa détermination à parachever les travaux de la Centrale hydroélectrique de Katende.<br /><br />En construction sur la rivière Lulua, à plus de 75 Km de Kananga, ce barrage est d’une capacité de 64 mégawatts. Il fait partie des projets relevés dans l’adresse du chef de l’Etat lors de son arrivée à Kananga. Félix -Antoine Tshisekedi s’est engagé à construire cette centrale censée donner de l’énergie électrique aux populations de l’espace Grand Kasaï. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />C’est dans ce cadre qu’il s’est rendu sur le site où les ingénieurs chargés d’exécuter les travaux lui ont fait l’état des lieux de la situation.<br /><br />Depuis quelques mois, les matériels qui étaient bloqués à Lubumbashi ont été acheminés à Katende.<br /><br />ACP/JFM<p></p>

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Kinshasa, 09 mars 2022 (ACP).- Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, a encouragé, vendredi dernier, le gouvernement de...

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ONU: L’Ukraine rapatrie ses 250 casques bleus déployés en RDC pour aller combattre contre l’invasion russe

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjQTkJjlUrOVhLpCt2yaJydlvks-pZCoVgHuxzsKhc1Nb9gELNyy64276q8zwptKdqicXHvDHmyNaxKD28RwHQgtX2HcTA97qzZq7sjoQm9dQFEw8oKXGdIetI2FBJt8mzDgy6Ni6PnhtNk6wxirMdVELfTWQHhFA6deU0GhbUm_-abzKo9eS4b8tXpAw=s1789" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="893" data-original-width="1789" height="160" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjQTkJjlUrOVhLpCt2yaJydlvks-pZCoVgHuxzsKhc1Nb9gELNyy64276q8zwptKdqicXHvDHmyNaxKD28RwHQgtX2HcTA97qzZq7sjoQm9dQFEw8oKXGdIetI2FBJt8mzDgy6Ni6PnhtNk6wxirMdVELfTWQHhFA6deU0GhbUm_-abzKo9eS4b8tXpAw=s320" width="320" /></a></div>L’Ukraine a décidé de rapatrier ses militaires en mission de maintien de la paix des Nations Unies en République démocratique du Congo” (Monusco), pour aller combattre les russes. <p>Selon l’AFP qui cite un porte-parole du département des Opérations de paix de l’ONU, une notification officielle de la décision du gouvernement ukrainien de retirer son contingent militaire de la mission de maintien de la paix des Nations Unies en République démocratique du Congo” (Monusco) a été reçue par l’ONU.</p> <p>Sur terrain, ces forces ukrainiennes comprennent le personnel, les hélicoptères et l’équipement mis à la disposition du contingent onusien.</p> <p>En RDC, le contingent ukrainien compte 250 soldats, 6 officiers, 5 policiers et 7 experts de l’ONU. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </p> <p>L’ONU dit avoir pris acte de cette décision et remercie l’Ukraine pour sa solide contribution à la Monusco et aux autres opérations de paix.</p> <p>Bishop Mfundu</p>

Politique ONU: L’Ukraine rapatrie ses 250 casques bleus déployés en RDC pour aller combattre contre l’invasion russe

L’Ukraine a décidé de rapatrier ses militaires en mission de maintien de la paix des Nations Unies en République démocratique du Congo” (Mon...

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LE COLLECTIF FREE FRANÇOIS BEYA KASONGA DENONCE LE MONTAGE DES ÉLÉMENTS POUR INCULPER FRANÇOIS BEYA ET MET EN GARDE L'ANR QUI INTIMIDE SES MEMBRES AINSI QUE LES RESPONSABLES DE CEPAS. ( VIDEO )

<iframe width="640" height="367" src="https://www.youtube.com/embed/1D8i0LtkT6c" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

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Assemblée nationale : loi électorale, contrôle du gouvernement, gestion du bureau, … au menu de la session de mars

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgDgWGYyigzQvKadGoiT3c3gV7YGm7RqJXiNob6aIoyvEAjOi-46a_RvWi1Lj7xXg3pp6PqDEwCtlRJXy4hhtIkFcxEkJRDj0Y-ym8lKIta0cRERVWRGu2zVPE8iFg2aXIBhtWjikXnG4kJbzSqJE61cbj4nqrxRk6OnixD1wfVPvAltgDsrrRO9dOAWA=s1037" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="735" data-original-width="1037" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgDgWGYyigzQvKadGoiT3c3gV7YGm7RqJXiNob6aIoyvEAjOi-46a_RvWi1Lj7xXg3pp6PqDEwCtlRJXy4hhtIkFcxEkJRDj0Y-ym8lKIta0cRERVWRGu2zVPE8iFg2aXIBhtWjikXnG4kJbzSqJE61cbj4nqrxRk6OnixD1wfVPvAltgDsrrRO9dOAWA=s320" width="320" /></a></div>La loi électorale, le contrôle du gouvernement, la gestion du bureau de l’Assemblée nationale sont parmi les sujets qui seront au menu de la session de mars à l’Assemblée nationale. <br /><br /> Plusieurs dizaines d’initiatives de contrôle du gouvernement sont sur la table du président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso. Les députés exigent déjà un contrôle sérieux et non complaisant. <br /><br />Sur le plan législatif, près d’une quarantaine de propositions de loi, d’arriérées de la dernière session ainsi que des nouvelles matières sont en attente d’examen. <br /><br />La loi électorale devra être prioritaire pour permettre à la CENI de bien exécuter son chronogramme. Déjà, le président de la CENI a demandé le 7 mars au président de l’Assemblée nationale et à celui du Sénat de bien jouer leur rôle. <br /><br />« C’est pour cela que nous sommes venus pour demander aux présidents Mboso et Bahati de poser des actes qu’il faut pour que nous puissions avoir des réformes à temps. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> S’il y a un retard, cela va affecter nos opérations », avait prévenu Denis Kadima. <br /><br />Il y a aussi la loi portant abrogation du CNSA, celle de Sakata contre le tribalisme, ainsi que la loi Mbau portant révision du code de la famille qui sont classées parmi ces dizaines d’arriérés législatifs. <br /><br /> L’Assemblée nationale devrait aussi aménager un temps pour examiner les rapports de gestion du bureau de l’Assemblée nationale, de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) ainsi que du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC). <br /><br /> A cela, il faut ajouter la pétition du député Gratien Iracan en cours contre le président Mboso, ainsi que la question du remplacement probable du premier vice-président de cette institution, Jean-Marc Kabund. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Au Sénat, la question de l’alimentation de la caisse de péréquation ainsi que celle du développement des provinces devra être mise sur la table des discussions avec le gouvernement. <br /><br /><b>radiookapi.net </b>

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La loi électorale, le contrôle du gouvernement, la gestion du bureau de l’Assemblée nationale sont parmi les sujets qui seront au menu de la...

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RDC : Les premieres consequences de la guerre en Ukraine

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjCYh5h1CVjADyV2bwMs-1rkorOtlcNXpA-UC3SQozC_TwnvmxMTTdWGo7JeP3rqQxbXhUkodbVCQruKBmvq0vJ1RLOyIZBWOwFPRRglmwce_gpHFQalRJZcibWDCrtzh9ksf0nwJC1kFKC_AuI966xaxUCpxoksvHaKePfnNWn_d4rhwWZeeaeJd8Mhg=s994" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="994" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjCYh5h1CVjADyV2bwMs-1rkorOtlcNXpA-UC3SQozC_TwnvmxMTTdWGo7JeP3rqQxbXhUkodbVCQruKBmvq0vJ1RLOyIZBWOwFPRRglmwce_gpHFQalRJZcibWDCrtzh9ksf0nwJC1kFKC_AuI966xaxUCpxoksvHaKePfnNWn_d4rhwWZeeaeJd8Mhg=s320" width="320" /></a></div> Déclenchée le 24 février 2022, bien qu’à des milliers de kilomètres de la RDC, la guerre en Ukraine a déjà des conséquences en RDC. Pres de 250 casques bleus Ukrainiens sont rentrés chez eux pour combattre les forces russes qui envahissent leur pays.<br /><br />Ces soldats Ukrainiens vont repartir avec hélicoptères et tout le personnel.<br /><br />La MONUSCO est officiellement notifiée et tente de minimiser ce retrait.<br /><br />« Nous prenons acte« , dit Mathias Gilman.<br />« Nous allons étudier l’impact de ce retrait et voir comment maintenir nos capacités opérationnelles« , a-t-il renchérit.<br /><br />Le porte-parole de la MONUSCO a surtout rassuré que « nous avons à peu près 12 mille soldats sur le sol Congolais« . <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Il faut rappeler que ces soldats ukrainiens faisaient jusqu ici partis de la force onusienne qui appui les forces loyalistes dans la sécurisation des populations civiles dans la partie Est de la Rdc.<br /><br />Matininfos.NET<p></p>

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Déclenchée le 24 février 2022, bien qu’à des milliers de kilomètres de la RDC, la guerre en Ukraine a déjà des conséquences en RDC. Pres de...

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Vacances parlementaires : plus de 210 députés nationaux ont abandonné leurs électeurs (GEC)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhMCSfy0mrSdJIcAc9t5R1wBmX_ASLxvZPjOAX04y0QTTx1NWssGf6-fvHVfr6V8ZfQeoXBOMEVcO0I01zlE1BD9pOzjJwlenU4cfL4uo4jRW9OE8vOWDxOskkOv2BYAxngHOtp33YHNk_bDhU7MCFZVuGhuOw0PEUG9nrMIwzAkScHHwKgCZNUUnY3dg=s794" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="794" height="173" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhMCSfy0mrSdJIcAc9t5R1wBmX_ASLxvZPjOAX04y0QTTx1NWssGf6-fvHVfr6V8ZfQeoXBOMEVcO0I01zlE1BD9pOzjJwlenU4cfL4uo4jRW9OE8vOWDxOskkOv2BYAxngHOtp33YHNk_bDhU7MCFZVuGhuOw0PEUG9nrMIwzAkScHHwKgCZNUUnY3dg=s320" width="320" /></a></div> Plus de 210 députés nationaux ne séjournent pas dans leurs circonscriptions électorales pendant cette période des vacances parlementaires, abandonnant ainsi leurs électeurs à leur triste.<br /><br />C'est ce que relève une étude du Groupe d'étude sur le Congo (GEC) qui a pu consulter la synthèse des rapports de dernières vacances parlementaires, entre juin et septembre 2020, mais aussi entre décembre 2020 et mars 2021.<br /><br />À quelques jours de l’ouverture de la session de mars 2022, Talatala, un des membres du GEC, a pu consulter ces différents rapports qui concernent les vacances parlementaires de la période de juin à septembre 2020 et celles de décembre 2020 à mars 2021. En voici les principaux enseignements : Entre juin 2020 et mars 2021, 31 circonscriptions n’ont pas vu leurs députés.<br /><br />Lors de ces dernières vacances parlementaires, 150 sur 181 circonscriptions électorales ont été couvertes par un rapport des vacances parlementaires. Autrement dit, 31 autres n’ont pas été concernées parce qu'aucun de leurs députés ne s’y est rendu.<br /><br />Il s’agit, entre autres, de Moanda, Lukula et Luozi, dans le Kongo Central ; Gbadolite, Mobayi Mbongo, Yakoma, dans le Nord Ubangi ; Isangi, Opala, Ubundu et Yahuma, dans la Tshopo. Aucun député de ces circonscriptions n'a déposé son rapport des vacances parlementaires en 2020 et en 2021.<br /><br />Le territoire de Tshikapa, dans la province du Kasaï, paraît être la circonscription la plus abandonnée par ses députés. Aucun de ses sept élus n’a rendu un rapport des vacances parlementaires. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pourtant, le règlement intérieur de l’Assemblée nationale stipule que « pendant les vacances parlementaires, chaque député séjourne, d’une façon ininterrompue, pendant un mois au moins dans sa circonscription électorale (...). À la fin des vacances parlementaires, le député dresse, conformément au canevas établi par le bureau de l’Assemblée nationale, et dépose auprès de ce dernier, un rapport sur la vie politique, administrative, économique, sociale et culturelle de l’entité ».<br /><br />En outre, plus de 40 % de députés ne déposent pas leurs rapports de vacances parlementaires.<br /><br /><br />Ces chiffres deviennent inquiétants lorsque l’on considère le nombre des députés qui ont déposé lesdits rapports : seulement 287 sur 500. Ce qui veut dire que 40 % des députés n’ont pas séjourné dans leurs circonscriptions pendant les vacances parlementaires, ou n’ont pas rendu compte de leur travail à leurs électeurs pendant la même période.<br /><br />À Kinshasa par exemple, la situation est peu reluisante. Sur 55 députés de la capitale, seulement 27 ont déposé leurs rapports de vacances parlementaires. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Le cas de Lukunga en est une illustration éloquente : cinq députés seulement sur les 14 que compte cette circonscription du nord-ouest de Kinshasa ont rendu compte de leurs vacances.<br /><br />Anciens membres du bureau, mauvais élèves<br /><br /><img src="https://i1.wp.com/cameroonvoice.com/wp-content/uploads/2020/06/Jeanine-Mabunda-et-Aubin-Minaku.png?fit=1222%2C503&ssl=1" /><br /><br />Parmi les mauvais élèves, on compte les anciens présidents de la chambre basse. Destituée en décembre 2020, Jeanine Mabunda n’a pas déposé son rapport de vacances parlementaires pendant les deux périodes sous examen.<br /><br />Il en est de même de deux autres membres de son bureau : Célestin Musao, ancien rapporteur, et Innocent Unyon, ancien questeur adjoint, décédé en décembre 2021. Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale de 2012 à avril 2019, n’a pas non plus déposé son rapport des vacances parlementaires.<br /><br /><br />Députés nommés ministres, pas tous bons élèves<br /><br /><img src="https://www.actualite.cd/sites/default/files/styles/800_400/public/2021-04/Sama%20et%20gouvernement.png?itok=bcadNa8n" /><br /><br />Du côté de l’exécutif, l’on ne trouve pas non plus de bons élèves. Fin avril 2021, le gouvernement Sama Lukonde est investi. Cette nouvelle équipe comprend alors près de 20 députés à peine revenus de leurs vacances parlementaires un mois plus tôt.<br /><br />En épluchant les rapports de vacances parlementaires des périodes sous examen, l’on constate pourtant que la plupart de ces nouveaux ministres n’ont pas déposé leurs rapports de vacances parlementaires. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Cette obligation réglementaire à l’Assemblée nationale n’a en effet été respectée que par cinq députés devenus membres du gouvernement : Aminata Namasia, vice-ministre de l’Enseignement primaire, Adèle Kanyinda, ministre du Portefeuille, Antoinette Kipulu, ministre de la Formation professionnelle, Godard Motemona, vice-ministre des Mines et Jean-Pierre Lihau, vice-premier ministre chargé de la Fonction publique.<br /><br />Dans quelques jours, le 14 mars, prennent fin les vacances parlementaires en cours. Les députés seront-ils, cette fois-ci, plus nombreux à rendre leurs rapports ? « Beaucoup sont fatigués à le faire parce que leurs recommandations ne sont jamais prises en compte », expliquait en substance une élue de l’ex-Katanga lors d’un forum public organisé au mois de février par le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) à Lubumbashi. La donne ne risque donc pas de changer.<br />LM<br />congo-press.com (MCP)<p></p>

Politique Vacances parlementaires : plus de 210 députés nationaux ont abandonné leurs électeurs (GEC)

Plus de 210 députés nationaux ne séjournent pas dans leurs circonscriptions électorales pendant cette période des vacances parlementaires, ...

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À son 13ème anniversaire, l'ECIDé contre le report des élections de 2023

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhHpH8eYRYfYgnOo6wwk-Z4MSjf9gcTy4HDrdgFEzN0ZWKjviR0fmBwlGj92k2NbYARQ2nyX3X1gIeKXeJIb-HGyWJGDHJ6FSPWSnuWgBTW05SdqDSC0pRAPyhHW2DGySvQB3GtpWo-mZh-Au7-ax8HnUbkqQxrEIBkIpt60C23xzOMg09pkrTB9cNEdw=s793" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="793" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhHpH8eYRYfYgnOo6wwk-Z4MSjf9gcTy4HDrdgFEzN0ZWKjviR0fmBwlGj92k2NbYARQ2nyX3X1gIeKXeJIb-HGyWJGDHJ6FSPWSnuWgBTW05SdqDSC0pRAPyhHW2DGySvQB3GtpWo-mZh-Au7-ax8HnUbkqQxrEIBkIpt60C23xzOMg09pkrTB9cNEdw=s320" width="320" /></a></div> Le parti Engagement pour la citoyenneté et le développement (ECIDé) est formel. Il refusera que les scrutins de 2023 soient repoussés. C'est ce qu'on peut retenir du tweet de Martin Fayulu, à l'occasion des 13 ans d'existence de cette formation politique.<br /><br />"Un seul message en ce jour du 13ème anniversaire de l'ECIDé : Nous n'accepterons pas le report des élections de 2023", a déclaré Martin Fayulu via son compte twitter.<br /><br />En ce moment où le report des élections de 2023 est au cœur du débat politique, avec certaines déclarations du président de la Centrale électorale, Denis Kadima, qui laissent planer le doute quant à la tenue effective des élections dans le délai, l'occasion a été propice pour cet opposant de lancer un appel à ses compatriotes. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />"Les Congolais et les amis du Congo doivent conjuguer leurs efforts pour défendre la démocratie en RDC", a-t-il poursuivi dans le même tweet.<br />"Bon anniversaire à tous les membres du parti", a-t-il conclu.<br />Eric Wemba<br />congo-press.com (MCP)<p></p>

Politique À son 13ème anniversaire, l'ECIDé contre le report des élections de 2023

Le parti Engagement pour la citoyenneté et le développement (ECIDé) est formel. Il refusera que les scrutins de 2023 soient repoussés. C...

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