BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Élections 2023 : la peur bleue !

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEji0bGynZ0q9_ZrR9BBRPpgpNT1buY_b8FmZTC8ZvGkyKAXbf9vbn6EXb6yO741q9PJTTjjnlFWUMsmKdy2o5Lqpu6GibjFsKKOrlOEu0PR5U_5kh61dS6yieh6OCl6sHTEU75Gl-qFx1n_C5wCbv1mJ3TjI-Gk8ikIZ-PRVx_gXYOur9a3nWE3TzdHEw/s1025/Snapshot_1tftfdrdrdr.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="715" data-original-width="1025" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEji0bGynZ0q9_ZrR9BBRPpgpNT1buY_b8FmZTC8ZvGkyKAXbf9vbn6EXb6yO741q9PJTTjjnlFWUMsmKdy2o5Lqpu6GibjFsKKOrlOEu0PR5U_5kh61dS6yieh6OCl6sHTEU75Gl-qFx1n_C5wCbv1mJ3TjI-Gk8ikIZ-PRVx_gXYOur9a3nWE3TzdHEw/s320/Snapshot_1tftfdrdrdr.png" width="320" /></a></div>Qui a peur des élections de 2023, l’opposition ou le pouvoir? C’est la question à laquelle l’on ne peut répondre qu’après examen des déclarations des uns et des autres.<div><br />Dans une récente prise de position, les députés de l’Union Sacrée de la nation, USN ( pouvoir) ont rejeté en bloc l’idée d’un quelconque dialogue peu importe l’émanation.<br />Aussi, toute initiative qui viserait le débat sur la Loi électorale hors parlement est sans objet. Pour les sociétaires de l’Union Sacrée, les élections en 2023 ou rien.<br /><br />Avis diamétralement opposé à celui du Front Commun pour le Congo, FCC (opposition) de Joseph Kabila qui crie au voleur et réclame un large consensus autour des questions électorales pour des scrutins libres, apaisés et transparents.</div><div><br />Même son de cloche du côté de Lamuka et de la Conférence épiscopale nationale du Congo. Le dialogue pour baliser le chemin des bonnes élections.
  
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  <br /><br /><b>Qui a alors peur ?</b><br /><br />Avant d’y apporter des éléments de réponse, la logique veut que l’on s’introduise aussi dans les couloirs de la Commission Électorale nationale indépendante, CENI. À en croire, la feuille de route de la centrale électorale congolaise, les élections dans les délais ne sont possibles que si le gouvernement congolais dispose des moyens financiers conséquents. Or, jusqu’à présent rien de palpable à une année de la tenue constitutionnelle des scrutins.<br />Aussi, ajoute la CENI, le parlement doit devoir mettre à sa disposition l’arsenal juridique requis pour de bonnes élections.<a href="https://actu7.cd/2021/01/27/je-ne-dois-pas-demissionner-avant-linstallation-du-bureau-definitif-de-lass-nat-ilunkamba-a-tshisekedi-avant-sa-destitution/"><br /></a><br /><br />
  
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  De ce qui précède, les analystes arrivent à la conclusion selon laquelle, tous ont peur, principalement, le camp du dialogue. Or le peuple au nom de qui tout le monde parle en a assez des discours politiciens. Le seul voeu du souverain primaire longtemps chosifié est de voir, sa situation socio- politique s’améliorer. Le reste est à jeter dans le box du buzz.<br /><br />Zamenga Odimbale<p> </p></div>

Politique Élections 2023 : la peur bleue !

Qui a peur des élections de 2023, l’opposition ou le pouvoir? C’est la question à laquelle l’on ne peut répondre qu’après examen des déclara...

Kongo-Central : l’éléphant en divagation reste introuvable

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9GKDdvh7IrlP3Ko-mrek5ZiBiDVjNWnywwmK4JFKJLz8I5tb814y9InPRaKYkLPODul2OuC1Exe20btM3gjbfmgppdkSmxrkxZPE7uonPM74wMAXTNnAFU0feLhSscSGnDaa300rvEPFVNRjWorfh0uiPYcFNehlNfFzScC2IX_-LgbKYa74THAEdKQ/s1230/Snapshot_451.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="857" data-original-width="1230" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9GKDdvh7IrlP3Ko-mrek5ZiBiDVjNWnywwmK4JFKJLz8I5tb814y9InPRaKYkLPODul2OuC1Exe20btM3gjbfmgppdkSmxrkxZPE7uonPM74wMAXTNnAFU0feLhSscSGnDaa300rvEPFVNRjWorfh0uiPYcFNehlNfFzScC2IX_-LgbKYa74THAEdKQ/s320/Snapshot_451.jpg" width="320" /></a></div>Au Kongo-Central, le Service de l’environnement est à la recherche d’un éléphant qui a fait son apparition le dimanche dernier dans la cité de Lukula jusqu’à s’introduire au sein de la paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus pendant que le culte s’y déroulait.<br /><br />Des sources sur place ont fait savoir qu’avant son introduction à l’église, cet animal sauvage a grièvement blessé un jeune homme qui, malheureusement, ne s’était pas aperçu de sa présence.<br /><br />Actuellement, la population est plongée dans la grande psychose, ne sachant à quel moment l’animal pourrait réapparaître.<p> Par Fabrice Lukamba</p>

Société Kongo-Central : l’éléphant en divagation reste introuvable

Au Kongo-Central, le Service de l’environnement est à la recherche d’un éléphant qui a fait son apparition le dimanche dernier dans la cité ...

Ouganda : un homme tue un lion après un combat ensanglanté

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcnkjmis0QgJBKKZnn1J0fj9P0rk4IMnrsWMXcG9_008dw79hgkx2LqbDAe4N-OYWwVrxjSYPvckXvVKCpxm6ewNy6kgOxr3EfqJRgDbxVzMzdyqBb8dcITELxBaD5q3AzShl8vsGzz6NglVtQ_ElMvuzEPqJZq-9bbu1nLSISHyCAGqgnJNUbSDnE8Q/s988/Snapshot_449.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="532" data-original-width="988" height="172" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcnkjmis0QgJBKKZnn1J0fj9P0rk4IMnrsWMXcG9_008dw79hgkx2LqbDAe4N-OYWwVrxjSYPvckXvVKCpxm6ewNy6kgOxr3EfqJRgDbxVzMzdyqBb8dcITELxBaD5q3AzShl8vsGzz6NglVtQ_ElMvuzEPqJZq-9bbu1nLSISHyCAGqgnJNUbSDnE8Q/s320/Snapshot_449.jpg" width="320" /></a></div> Des photos choquantes ont émergé sur la toile en Ouganda après qu’un homme aurait tué un lion à mains nues dans une lutte sanglante qui l’a laissé avec des bandages partout<br /><br />Un homme courageux serait sorti victorieux d’un combat acharné contre un lion dans le district d’Iganga, en Ouganda.<br /><br /><br /><br />Selon les médias locaux, celui-ci a tué à lui seul l’animal qui s’était introduit dans son domicile à CMS, Iganga. Il aurait tué le lion de ses propres mains avant de l’écorcher et de le cuisiner pour le dîner, affirme-t-on.

<p></p><p><br /><br /><img src="https://i2-prod.dailystar.co.uk/incoming/article26679298.ece/ALTERNATES/s615b/0_Man-wrestling-lion-kills-beast-before-boiling-it-with-soup-for-dinner.jpg" /><br /><br />Le courageux homme a subi de graves blessures corporelles pendant le combat et aurait été conduit à l’hôpital. Un utilisateur de Twitter, @Rickykagino96, a partagé des photos du lion mort et de l’homme gravement blessé.
  
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  <br /><br /><br /><br />« Un homme du district de CMS l ganga, dans l’est de l’Ouganda, reçoit des soins après s’être battu contre un lion qui se trouvait dans son domicile », a-t-il écrit.<br /><br />Afrikmag</p>

Insolite internationale Ouganda : un homme tue un lion après un combat ensanglanté

Des photos choquantes ont émergé sur la toile en Ouganda après qu’un homme aurait tué un lion à mains nues dans une lutte sanglante qui l’a...

Processus électoral : Risque d’attraper le retard suite aux divergences autour de la loi électorale

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxMEPKrAOCfuJjQIfK7hcb32PTfQiWDR_FJYY5X_nbUHtcAJuWj25Sm8ntFmE2XClAqmtmpPE9_2-_46iqDJZniKB6HHRsSzMwmzqOFKvxzHmSoPEnXsQMUE_kuTI46hqF9rhrGUKEDjnSqlAGU7Nbv3dT0pEFZV_7yLQchloFQ734bIjzZiaIaYVY4g/s992/Snapshot_251.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="594" data-original-width="992" height="192" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxMEPKrAOCfuJjQIfK7hcb32PTfQiWDR_FJYY5X_nbUHtcAJuWj25Sm8ntFmE2XClAqmtmpPE9_2-_46iqDJZniKB6HHRsSzMwmzqOFKvxzHmSoPEnXsQMUE_kuTI46hqF9rhrGUKEDjnSqlAGU7Nbv3dT0pEFZV_7yLQchloFQ734bIjzZiaIaYVY4g/w320-h192/Snapshot_251.jpg" width="320" /></a></div>Alors que les jours sont à compter pour aller aux élections en République démocratique du Congo, les acteurs politiques sont loin de parler un même langage en ce qui concerne la mise en place de la nouvelle loi électorale. L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti au pouvoir, s’oppose à l’idée d’un dialogue proposée par Adolphe Muzito, le coordonnateur de la plateforme politique de l’opposition Lamuka, en vue des réformes consensuelles.<br /><br />« C’est une initiative irresponsable qui ne pouvait pas être présentée par l’ancien premier ministre de notre pays », a déclaré le secrétaire général de l’UDPS ce matin sur les Antennes de nos confrères de la radio Top Congo.<br /><br />Ces réactions contradictoires des acteurs politiques sont intervenues après que la plateforme politique G13 a déposé la semaine dernière à l’Assemblée nationale une proposition de la nouvelle loi électorale.

<br /><br />D’après plusieurs analystes, ces divergences à l’allure d’une longue discussion pourraient retarder le processus électoral en cours.<br /><br />

Politique Processus électoral : Risque d’attraper le retard suite aux divergences autour de la loi électorale

Alors que les jours sont à compter pour aller aux élections en République démocratique du Congo, les acteurs politiques sont loin de parler ...

"L’UDPS originel n’était pas tribaliste encore moins UDPS/Tshisekedi, mais il n’y manque pas des tribalistes dans l’UDPS actuel’’ (Albert Moleka)

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoE15XMPpij74TnPzSu3XSwD1dZJpTSRRhu8moOae2bBhFUMh_CBhs85w-A2XbJ-S66M1FCTbPvPovzg2WuGytVmzEMhwx5nUqq0ePjZw730T3BknTrpb84FUAWXqGayuEpuQIbYps9eDxz2ML2augpHLQWuN_VysRBqVrrtL_HpV_S2atu-cUrMQY6Q/s919/Snapshot_448.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="456" data-original-width="919" height="159" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoE15XMPpij74TnPzSu3XSwD1dZJpTSRRhu8moOae2bBhFUMh_CBhs85w-A2XbJ-S66M1FCTbPvPovzg2WuGytVmzEMhwx5nUqq0ePjZw730T3BknTrpb84FUAWXqGayuEpuQIbYps9eDxz2ML2augpHLQWuN_VysRBqVrrtL_HpV_S2atu-cUrMQY6Q/s320/Snapshot_448.jpg" width="320" /></a></div>Réagissant concernant le tribalisme qui prend de plus en plus de la place dans l’espace congolais. Albert Moleka, ancien directeur du cabinet du feu Étienne Tshisekedi déclare, « l’UDPS originel n’était pas tribaliste par composition que ce soit au niveau des cadres et des membres, ni dans ses visées ni dans ses intérêts. Elle ne défendait pas des intérêts tribalistes. Il y avait une large consensus de tous ces leaders qui provenaient des tous les coins du pays pour créer ce parti», a-t-il fait savoir.<br /><br />A en croire Albert Moleka, " Étienne Tshisekedi était quelqu’un de tout sauf tribaliste. L’UDPS Tshisekedi en tant que parti rejette à 100% le tribalisme, mais bien sûr au sein de l’UDPS comme au sein de tout autre parti politique, il y a des tribalistes". Il continue, " à l’UDPS, il y a un courant des tribalistes qui pensent que le parti doit être géré que par des gens qui proviennent d’une région spécifique".<br /><br /><br />Concernant la photo prise avec le président déchu de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, Jean-Marc Kabund, Albert Moleka balaie d’un revers de la main tout soupçon d’un complot contre l’UDPS.

<br /><br />« Quand on veut servir sa communauté, il faut côtoyer tout le monde. Notre Seigneur nous recommande de visiter et soutenir ceux qui sont dans des difficultés. Je connais Jean-Marc Kabund depuis 2011 ».<br /><br />Cet ancien proche d’Etienne Tshisekedi rejette les propos de ceux qui disent que Jean-Marc Kabund était un inconnu pour le sphinx de Limete.<br /><br />« (…) pendant que j’étais directeur du cabinet je recevais des instructions d’Etienne Tshisekedi me demandant d’intervenir en faveur de Jean-Marc Kabund à chaque fois qu’il avait des soucis quand il se battait contre les autorités politiques pour faire asseoir la cellule UDPS à Kamina au Katanga à l’époque », a-t-il expliqué.

<br /><br />Face à la montée du tribalisme, le chef de l’État, Félix Tshisekedi propose un arsenal des mesures légales répressives contre les contrevenants. Au cours de la quarante-neuvième réunion du Conseil des ministres tenue vendredi 15 avril, il a rappelé, partant de l’histoire de notre pays, que chaque montée en puissance d’un discours tribaliste s’est toujours soldée par l’écoulement du sang de nos compatriotes et de la destruction de l’identité et de l’unité nationale. Aussi a-t-il également rappelé que, la Constitution de la république reconnait à tout citoyen congolais, le droit d’habiter partout où il veut, sur toute l’étendue du territoire national.<br />Hénoc Mpongo<br />

congo-press.com (MCP) <p></p>

"L’UDPS originel n’était pas tribaliste encore moins UDPS/Tshisekedi, mais il n’y manque pas des tribalistes dans l’UDPS actuel’’ (Albert Moleka)

Politique "L’UDPS originel n’était pas tribaliste encore moins UDPS/Tshisekedi, mais il n’y manque pas des tribalistes dans l’UDPS actuel’’ (Albert Moleka)

Réagissant concernant le tribalisme qui prend de plus en plus de la place dans l’espace congolais. Albert Moleka, ancien directeur du cabine...

L'état de siège prolongé pour la 22ème fois

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUW4LxDzAsouRSGvLRBjlV1RMNWGUVpHOCn8k4COY0eIhHG4-uoeKALYtr_d8169bxXn-I2-X4LegGr7dd0QNwtAamsePTfmDSziXvd_6RKPVDjZepPfoUrK4dmfmk-v6DEw6qmvoEofRhGc-03VjjD4uccGV-Nn7Y3E09n8HZoVSREGgD4lm4w3Cldg/s1490/Snapshot_102.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="865" data-original-width="1490" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUW4LxDzAsouRSGvLRBjlV1RMNWGUVpHOCn8k4COY0eIhHG4-uoeKALYtr_d8169bxXn-I2-X4LegGr7dd0QNwtAamsePTfmDSziXvd_6RKPVDjZepPfoUrK4dmfmk-v6DEw6qmvoEofRhGc-03VjjD4uccGV-Nn7Y3E09n8HZoVSREGgD4lm4w3Cldg/s320/Snapshot_102.jpg" width="320" /></a></div> Une délégation des diplomates accrédités en RDC a rencontré lundi 18 avril le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso. Ce dernier s’est entretenu notamment avec une délégation de l’Union africaine représentée par Michelle Ndiaye et celle de l’Union européenne, conduite par Guillaume Chartrain, sur le processus électoral et la divergence autour de l’examen de la loi électorale. <p></p><p><br />A la sortie de l’audience accordée par le président de l’Assemblée nationale, le diplomate Guillaume Chartrain a affirmé que la question de la réforme de la loi électorale intéressait l’Union européenne : <br /><br />« Nous suivons les discussions entre parlementaires, sans nous immiscer. Nous sommes prêts à accompagner la RDC à ces élections en 2023 et nous suivons avec attention le déroulé, la mise en place des conditions préalables à la tenue en 2023 afin de déclencher notre accompagnement.
  
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  Il y aura un accompagnement de l’Union européenne sur ces élections, comme c’était le cas lors des cycles précédents, mais qui reste à définir et déterminer dans les mois à venir ». <br /><br />Pour sa part, la représentante spéciale du président de la commission de l’Union africaine souhaite des élections apaisées en 2023 :  <br /><br />« Nous avons un débat franc sur les difficultés rencontrées, les défis et les opportunités qui existent aujourd’hui pour qu’il ait des élections crédibles et transparentes en RDC en 2023. L’Union africaine souhaite un cycle électoral apaisé et des élections transparentes en 2023 ».
  
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  <br /><br />Pour Michelle Ndiaye, plusieurs éléments plaident en faveur de la tenue d’élections apaisées et transparentes.<br /><br />« D’abord, ce dialogue au niveau de l’Assemblée nationale, entre députés ; la manière dont les choses vont être abordées dépendra, bien sûr, de la volonté de chacun de travailler sur la réforme de la loi électorale, et ce débat doit avoir lieu au sein de l’Assemblée nationale sur les différentes propositions qui viennent de différentes parties prenantes à ce processus », a-t-elle précisé. <br /><br />Michelle Ndiaye encourage les députés à tenir un débat républicain au sein du Parlement, afin d’offrir à la RDC une loi électorale consensuelle et démocratique.
  
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  <br /><br />En effet, des sources parlementaires font état d’un regain de tension et méfiance au sein de l’Assemblée nationale. Le Front commun pour le Congo (FCC) soutient avoir suspendu sa participation à toute plénière portant examen de la proposition de loi électorale, estimant qu’elle plante le décor d’une fraude électorale à grande échelle. <br /><br />Les députés de l’Union sacrée accusent, de leur côté, le FCC de manœuvres visant à déstabiliser le bon fonctionnement du Parlement, afin d’empêcher le vote de la loi électorale, nécessaire pour la tenue des élections en 2023. <br /><br /> <br />radiookapi.net</p>

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Une délégation des diplomates accrédités en RDC a rencontré lundi 18 avril le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso. Ce dern...

Processus électoral au menu des échanges entre Mboso et délégués de l’UA et de l’UE

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-mgCUksulqO2q1MlnCuksolTI0qAIAYELePw0pgUk8ubzOlEALY8U8jc4p_Hh9BXr3hAaHSC8jetqOj69cjFiF2VU1uddU35SBsi5XQUAi9GoOUxImCpi8WkhGeqW4YVZSEsG_OAZRGR3_BApbPQCmuG7Xi1vBTafXzo_qdNBygY7Sykl5cQmXc2wVA/s989/Snapshot_447.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="539" data-original-width="989" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-mgCUksulqO2q1MlnCuksolTI0qAIAYELePw0pgUk8ubzOlEALY8U8jc4p_Hh9BXr3hAaHSC8jetqOj69cjFiF2VU1uddU35SBsi5XQUAi9GoOUxImCpi8WkhGeqW4YVZSEsG_OAZRGR3_BApbPQCmuG7Xi1vBTafXzo_qdNBygY7Sykl5cQmXc2wVA/s320/Snapshot_447.jpg" width="320" /></a></div>Le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, a reçu, lundi 18 avril 2022 dans la matinée, tour à tour M. Guillaume Chartrain, chef de délégation adjoint et chef de section politique, presse et information de la Délégation de l’Union européenne en République démocratique du Congo et Mme Michelle H.N Ndiaye, représentante spéciale du président de la commission et chef de bureau de liaison de l’union africaine en RDC.<br /><br />Dans le cadre des échanges réguliers avec les membres du corps diplomatique en général, et en particulier avec l’Union européenne, le speaker de la Chambre basse du Parlement a discuté avec le diplomate européen sur l’avancée des discussions autour de la réforme sur la loi électorale.<br /><br />Sur cette question, a dit le diplomate européen, s’est voulu rassurant sur l’avancée de discussions au sein du Parlement.<br /><br />« Nous suivons les discussions entre parlementaires, sans nous immiscer. Nous sommes prêts à accompagner la RDC à ces élections en 2023 et nous suivons avec attention le déroulé, la mise en place des conditions préalables à la tenue en 2023 afin de déclencher notre accompagnement », a dit le diplomate Chartrain.<br /><br />Avant de préciser en ces termes : « Il y aura un accompagnement de l’Union européenne sur ces élections, comme c’était le cas lors des cycles précédents, mais qui reste à définir et déterminer dans les mois à venir ».<br /><br />Avec Mme Michelle H.N Ndiaye, représentante spéciale du président de la commission et chef de bureau de liaison de l’union africaine en RDC, l’honorable président de l’Assemblée nationale a également échangé sur le processus électoral dont le débat est en cours au sein de l’Assemblée nationale. « Nous avons un débat franc sur les difficultés rencontrées, les défis et les opportunités qui existent aujourd’hui pour qu’il ait des élections crédibles et transparentes en RDC en 2023. L’Union africaine souhaite un cycle électoral apaisé et des élections transparentes en 2023. Plusieurs éléments plaident en la tenue d’élections apaisées et transparentes. D’abord, ce dialogue au niveau de l’Assemblée nationale, entre députés ; la manière dont les choses vont être abordées dépendra, bien sûr, de la volonté de chacun de travailler sur la réforme de la loi électorale et ce débat doit avoir lieu au sein de l’Assemblée nationale sur les différentes propositions qui viennent de différentes parties prenantes à ce processus », a déclaré Mme Michelle Ndiaye au sortir de l’audience.<br />St Augustin Kinienzi<br /><br /><br />Le Potentiel

Politique Processus électoral au menu des échanges entre Mboso et délégués de l’UA et de l’UE

Le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, a reçu, lundi 18 avril 2022 dans la matinée, tour à tour M. Guillaum...

Affaire Dan Gertler : la communauté internationale maintient injustement des sanctions et l’opinion publique s’interroge

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvxew8uiC_DDNQHxG8Ondh232AuDrZWgXVFvDm6-k9dh0jhOSDuuF_Hdoe7-suxt5OXEY6YtbQCQN97buAoS6E9KdTVJiK-ulcG1BAz0_CFCstx60saivl0kcLNvOGEzzFoQ4_V3OLAVZjOTy50YaFj7KVz4Lp4AfrvkDUmPdBMpuO1-qdXucpqQhU-w/s1208/Snapshot_446.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="674" data-original-width="1208" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvxew8uiC_DDNQHxG8Ondh232AuDrZWgXVFvDm6-k9dh0jhOSDuuF_Hdoe7-suxt5OXEY6YtbQCQN97buAoS6E9KdTVJiK-ulcG1BAz0_CFCstx60saivl0kcLNvOGEzzFoQ4_V3OLAVZjOTy50YaFj7KVz4Lp4AfrvkDUmPdBMpuO1-qdXucpqQhU-w/s320/Snapshot_446.jpg" width="320" /></a></div>Entre ingérence et acharnement, l’Occident souffle un vent de néo-colonialisme en RDC et l’opinion publique s’interroge.<br />Pourquoi des sanctions sont-elles maintenues sur Dan Gertler alors que la RDC a signé un accord historique avec sa société, le Groupe Ventora, pour récupérer l’intégralité des actifs pétroliers et miniers ? A  qui profite réellement ces sanctions ?<br />Une table ronde s’est tenue, mercredi 13 et jeudi 14 avril entre la Présidence de la République du Congo, quelques membres de la société civile, et des ONG autour du protocole d’accord signé entre l’État congolais et le groupe Ventora appartenant à l’homme d’affaire israélo-congolais Dan Gertler sur la restitution des actifs pétroliers et miniers d’une valeur de 2 milliards USD.<div><br />Cette réunion avait pour but de rappeler l’importance de cet accord historique et de grand intérêt national qui a été signé le 23 février 2022 entre le groupe Ventora et le gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC).</div><div><br />En signant cet accord, les deux parties écrivent une nouvelle page dans l’histoire de l’exploitation des ressources naturelles de la RDC. Les relations entre l’homme d’Affaires Dan Gertler et l’Etat congolais sont à présent assainies. Cet accord exemplaire préserve le climat des affaires et des investissements auquel les deux parties sont sensibles. 
  
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  La RDC est d’ailleurs le pays d’adoption de Dan Gertler qui y réside depuis plus de 20 ans, en veillant jalousement à remplir le devoir de responsabilité sociale qui incombe à ses sociétés.<br />Ingérence occidentale<br /><br />Seule incompréhension des deux parties, l’ingérence et l’acharnement de l’Occident dans ce dossier désormais clos qui ne les concerne ni de près, ni de loin. La société civile s’offusque qu’un air de néo-colonialisme flotte encore en terre africaine et interroge : « Quel agenda caché conduit certains Etats à maintenir ces sanctions contre Dan Gertler, homme d’affaires et acteur majeur du développement en RDC ? »<br /><br />Ces interrogations et les accusations de néo-colonialisme sont d’autant plus fondées que, malgré sa bonne foi et les bons rapports avec l’État congolais, Dan Gertler demeure injustement sous sanctions depuis 2017 pour des soupçons de « contrats miniers et pétroliers opaques et entachés de corruption » en RDC. 
  
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  L’Occident l’accuse sans la moindre preuve d’avoir fait perdre à la RDC « 1,36 milliard de dollars de recettes » fiscales dans les années 2010.<br /><br />Des soupçons non-avérés et démentis par la République Démocratique du Congo.<br /><br />Et pour cause, plus que de contribuer à améliorer le développement économique de ce pays d’Afrique centrale, cette ingérence dans les affaires de la RDC a empêché le développement d’actifs qui sont vitaux à l’avenir économique du pays.<br /><br />Priscilla Wolmer<p> <strong style="color: #353535; font-family: Georgia, "Times New Roman", Times, serif;">AFRICA DIGITAL POWER</strong></p><p style="background-color: white; color: #353535; font-family: Georgia, "Times New Roman", Times, serif; margin: 0px 0px 1em; padding: 0px;"><strong>contact@africadigitalpower.com</strong></p></div>

Economie Politique Affaire Dan Gertler : la communauté internationale maintient injustement des sanctions et l’opinion publique s’interroge

Entre ingérence et acharnement, l’Occident souffle un vent de néo-colonialisme en RDC et l’opinion publique s’interroge. Pourquoi des sancti...

Blocage sur la révision de la loi électorale : les diplomates s’impliquent

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1Wj-0Gp6E2kdVuD_8148DCBxMaNnzRu1i_9-ekcjF-z2AOqRNph-XnfPMG7cfZY9kuwUycL2Jm2G5yaDfycaBJ-CIz_NkGfVOlL5cTjHSUvrw4PWLr7u1YD6n4I3-c3wlBYYBdGX3-vqkG65gs9BL7gEeT73RON7aDohuSnQmJh8oebGBO5-JLMGxzA/s1270/Snapshot_235.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="708" data-original-width="1270" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1Wj-0Gp6E2kdVuD_8148DCBxMaNnzRu1i_9-ekcjF-z2AOqRNph-XnfPMG7cfZY9kuwUycL2Jm2G5yaDfycaBJ-CIz_NkGfVOlL5cTjHSUvrw4PWLr7u1YD6n4I3-c3wlBYYBdGX3-vqkG65gs9BL7gEeT73RON7aDohuSnQmJh8oebGBO5-JLMGxzA/s320/Snapshot_235.jpg" width="320" /></a></div> Une délégation des diplomates accrédités en RDC a rencontré lundi 18 avril le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso. Ce dernier s’est entretenu notamment avec une délégation de l’Union africaine représentée par Michelle Ndiaye et celle de l’Union européenne, conduite par Guillaume Chartrain, sur le processus électoral et la divergence autour de l’examen de la loi électorale. <br /><br />A la sortie de l’audience accordée par le président de l’Assemblée nationale, le diplomate Guillaume Chartrain a affirmé que la question de la réforme de la loi électorale intéressait l’Union européenne : <br /><br />« Nous suivons les discussions entre parlementaires, sans nous immiscer. Nous sommes prêts à accompagner la RDC à ces élections en 2023 et nous suivons avec attention le déroulé, la mise en place des conditions préalables à la tenue en 2023 afin de déclencher notre accompagnement.

Il y aura un accompagnement de l’Union européenne sur ces élections, comme c’était le cas lors des cycles précédents, mais qui reste à définir et déterminer dans les mois à venir ». <br /><br />Pour sa part, la représentante spéciale du président de la commission de l’Union africaine souhaite des élections apaisées en 2023 :  <br /><br />« Nous avons un débat franc sur les difficultés rencontrées, les défis et les opportunités qui existent aujourd’hui pour qu’il ait des élections crédibles et transparentes en RDC en 2023.

L’Union africaine souhaite un cycle électoral apaisé et des élections transparentes en 2023 ».<br /><br />Pour Michelle Ndiaye, plusieurs éléments plaident en faveur de la tenue d’élections apaisées et transparentes.<br /><br />« D’abord, ce dialogue au niveau de l’Assemblée nationale, entre députés ; la manière dont les choses vont être abordées dépendra, bien sûr, de la volonté de chacun de travailler sur la réforme de la loi électorale, et ce débat doit avoir lieu au sein de l’Assemblée nationale sur les différentes propositions qui viennent de différentes parties prenantes à ce processus », a-t-elle précisé.

<br /><br />Michelle Ndiaye encourage les députés à tenir un débat républicain au sein du Parlement, afin d’offrir à la RDC une loi électorale consensuelle et démocratique. <br /><br />En effet, des sources parlementaires font état d’un regain de tension et méfiance au sein de l’Assemblée nationale. Le Front commun pour le Congo (FCC) soutient avoir suspendu sa participation à toute plénière portant examen de la proposition de loi électorale, estimant qu’elle plante le décor d’une fraude électorale à grande échelle. <br /><br />Les députés de l’Union sacrée accusent, de leur côté, le FCC de manœuvres visant à déstabiliser le bon fonctionnement du Parlement, afin d’empêcher le vote de la loi électorale, nécessaire pour la tenue des élections en 2023. <br /><br /> <br />radiookapi.net<p></p>

Politique Blocage sur la révision de la loi électorale : les diplomates s’impliquent

Une délégation des diplomates accrédités en RDC a rencontré lundi 18 avril le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso. Ce dern...

Assemblée nationale : Muzito, Minaku, Mova, Mwilanya bientôt invalidés

April 19, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTcck-1GoIgQ5gzknDWJnk13vKioYyOKMREf4Qx-WvUOAmM7VW_VNXFkvUUCJCwmFc7ozBJfuqJmzireMPa6tkjMb3aNuvPB-CKnIAQokevxrkT0ELZ7vcmKj6G_R2St0gRJEnXrhO7BMJ9zZAU0p4GPnUiuhkVt2eT8J0CT2xoSJk58DtNKDGgrBkbA/s993/Snapshot_445.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="539" data-original-width="993" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTcck-1GoIgQ5gzknDWJnk13vKioYyOKMREf4Qx-WvUOAmM7VW_VNXFkvUUCJCwmFc7ozBJfuqJmzireMPa6tkjMb3aNuvPB-CKnIAQokevxrkT0ELZ7vcmKj6G_R2St0gRJEnXrhO7BMJ9zZAU0p4GPnUiuhkVt2eT8J0CT2xoSJk58DtNKDGgrBkbA/s320/Snapshot_445.jpg" width="320" /></a></div>L’Assemblée nationale décide d’invalider tous les députés absentéistes. Une motion a été adoptée à la plénière de ce lundi 18 avril 2022.<br /><br />La promesse faite par Christophe Mboso à l’ouverture de la session de mars se matérialise. Plusieurs caciques du Front commun pour le Congo (FCC) sont visés par cette décision, notamment Aubin Minaku, Néhémie Mwilanya, Henri Mova Sakanyi et Marie-Ange Mushobekwa. Le cabinet du président de la Chambre basse du Parlement prévient que même le coordonnateur de la coalition Lamuka, Adolphe Muzito n’échappera pas à cette mesure.<br /><br /><br />« Bientôt, les députés nationaux absentéistes seront invalidés. N’échapperont pas à cette sanction : Adolphe Muzito, Papy Niango, Marie-Ange Mushobekwa, Mova Sakani, Néhémie Mwilanya, Asani, Balamage, Alfani Masozi, Aubain Minaku, Charles Nawej et bien d’autres.

La motion a été votée par la majorité des députés présents à la plénière de ce lundi 18 avril 2022 », a rapporté la cellule de communication de l’Assemblée nationale.<br /><br />Aussitôt annoncée, la décision est contestée par la députée Marie-Ange Mushobekwa. L’ancienne ministre des Droits humains dénonce un règlement des comptes. « Je ne fais pas partie des absentéistes. J’assiste presque à toutes les plénières. Les vidéos d’archives et les listes de présence faisant foi. La décision du bureau de l’Assemblée nationale est un règlement des comptes pour chercher à me réduire au silence. Il n’y a pas une autre explication », a-t-elle tempêté.

<br /><br />Par ailleurs, s’agissant de la pétition initiée contre Mboso, le directeur de cabinet du président de l’Assemblée nationale a demandé au député Papy Niango de fournir la carte de chaque signataire pour authentifier le document. En réaction, le chef des petionnaires trouve absurde cette exigence qui viole le règlement intérieur de la Chambre basse du Parlement. Papy Niango dénonce la fermeture du bureau de réception des courriers par Mboso et ses hommes.<br />Reagan Ndota<br /><br /><br />Ouragan FM

Politique Assemblée nationale : Muzito, Minaku, Mova, Mwilanya bientôt invalidés

L’Assemblée nationale décide d’invalider tous les députés absentéistes. Une motion a été adoptée à la plénière de ce lundi 18 avril 2022. La...

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