BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Avec 4000$US en espèce : Koffi pleure seul son chanteur Babia Ndonga ! ( Article et vidéo)

October 28, 2014

<b>4000$US en espèce, location podium, structure de lumières et sonorisation. Telle est la modeste contribution de Koffi Olomidé, pour la réussite de l’organisation des funérailles de Babia Ndonga Chokoro, ancien chanteur de Quartier Latin International. Une organisation, il convient de le souligner, qui a connu un franc succès, en grande partie grâce au Groupe Quartier Latin International, en parfaite harmonie avec la famille biologique de l’illustre disparu. Ce, partant des derniers hommages,  jusqu’à l’inhumation, le 25 octobre 2014, au cimetière nécropole Entre Terre et Ciel, à la N’sele où Babia Ndonga repose désormais pour l’éternité.</b>   <iframe width="640" height="360" src="//www.youtube.com/embed/NnUMBmyPzko?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>  <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoXDZ9Yqjk_qcleQt1nkHdhxfArdF5JLKPFoKys6a41JqygCGJzjfujswAil8kE0L9sLK48reWJei038X81Mki5RRVHx7T0zc0ewDteh5bZf9ABF261HTtYcPvey44WkAKFxsmpGidu1V2/s1600/KOFFI+BABIAAA.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoXDZ9Yqjk_qcleQt1nkHdhxfArdF5JLKPFoKys6a41JqygCGJzjfujswAil8kE0L9sLK48reWJei038X81Mki5RRVHx7T0zc0ewDteh5bZf9ABF261HTtYcPvey44WkAKFxsmpGidu1V2/s1600/KOFFI+BABIAAA.jpg" width="400" /></a></div><br />
C’est à la place Assanef, sur l’avenue de la Libération, ex 24 novembre, à Kinshasa, que les fanatiques, la famille et Koffi Olomidé ont pleuré CHOKORO<em>. </em>Tristesse, émoi ou consternation : l’ambiance était maussade sur le lieu d’exposition de la dépouille mortelle du défunt ténor de Quartier Latin.<br />
Une constellation des mélomanes venus d’Angola, de France, Belgique et de Brazzaville, a effectué le déplacement de Kinshasa, pour partager la douleur avec la famille biologique et musicale congolaise.<br />
La délégation venue d’Angola a été conduite par Papy MAKAYA qui, à l’occasion, a témoigné positivement sur la personne de Babia. Il a salué les efforts fournis par la communauté congolaise de Luanda pour le rapatriement du corps à Kinshasa.<br />
Par ailleurs, le Procureur Jean MUKENGE  qui était Président du comité organisateur des obsèques, a parlé au nom de Quartier Latin. Dans son adresse, il a souligné que les funérailles ont connu la réussite grâce à Mopao Mokonzi qui n’a pas abandonné la famille depuis le premier jour du décès de Babia Ndonga à Luanda.  Selon Jean MUKENGE, la star de Tcha-Tcho a contribué à 70$% dans l’organisation des funérailles. Contrairement à ce que certaines langues affirment, le Président du comité organisateur a précisé qu’il n’y a eu aucun soutien du ministère de la Culture et des Arts ou d’une quelconque autorité du pays.<em> ‘‘Seul Koffi en tant que père artistique et la famille Babia, se sont époumonés pour rendre des honneurs dignes au défunt chanteur’’, a-t-il souligné. </em><br />
Il faut également signaler qu’aucun leader de la musique congolaise n’a pu assister aux funérailles du jeune artiste.<em> ‘‘Même pas un message de condoléances au patron de Quartier Latin’’, a regretté le chateur Gina Infonge, ancien de Zaiko Langa Langa, présent à la Place Assanef.</em><br />
Pour lui, il est inadmissible de voir un jeune musicien mourir et que personne n’y assiste<em>. ‘‘Je sais ce que cette absence remarquée des autres « vieux-leaders » doit néanmoins interpeller la conscience de Koffi, qui a perdu un des généraux </em>de son orchestre. <em>Vraiment, on a senti que Olomidé est abandonné</em>’’, a-t-il déclaré.<br />
Seul aux obsèques, Koffi Olomide, terrassé par cette triste disparition, n’a pas eu le courage de dire un mot. La star s’est contentée de s’incliner devant le cercueil, en déposant sa gerbe de fleurs, avant de signer le livre des condoléances.<br />
Qu’à cela ne tienne, les observateurs avertis ont salué la présence de Ferré Gola, Fally Ipupa, Bill Clinton, Céléo Scram, Brigade, Héritier Watanabe, Papy Kakol, Fabrigas, Dakumuda, Bozi Boziana et Manda Chante, qui se sont déplacés pour consoler leur collègue de Quartier Latin.<br />
Décédé le 8 octobre dernier, rappelle-t-on, CHOKORO a reçu des hommages dignes de son rang. Une bonne organisation a permis à tout le monde de le pleurer avec honneur. La nuit comme la journée, ses collègues de Quartier Latin ont chanté sur le podium érigé à l’occasion par Mopao Mokonzi. Il y a eu la participation de figures emblématiques de Quartier Latin tels que Suzuki Luzubu, Beevens et Basekose. Sur scène, ils ont tous interprété la célèbre chanson «Amen», l’unique œuvre laissée par l’illustre disparu dans le répertoire de l’orchestre.<br />
Ainsi, s’en est fini pour Babia Ndonda Chokoro, une des meilleures voix de la musique à l’âge de 40 ans, à la suite d’une mort dont les causes exactes ne sont pas encore élucidées.<br />
Adieu  Babia… immortel !<br />
<strong>Jordache Diala</strong><br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />

infos en vidéos Musique Avec 4000$US en espèce : Koffi pleure seul son chanteur Babia Ndonga ! ( Article et vidéo)

4000$US en espèce, location podium, structure de lumières et sonorisation. Telle est la modeste contribution de Koffi Olomidé, pour la réuss...

La voix de la Jeunesse Africaine : Dieuleveut Butey, ‘‘l'Afrique a besoin de la réforme éducative pour l'émergence de la STI’’

October 28, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2VffpX4sCi9I3j5pDPa_i5K_jlU4C-6IwymSK7SGoZloMaojbTJepez2O37v7XcUaGhJEVo8KDiJ43lLe0wVkk9s6lQP3DvSXAFcnQtJi-77SYDOdv2iwLFYHu1zMa7-m2pja9kd5s4C5/s1600/Snapshot_21.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> *Venu de la Rd Congo, Dieuleveut Butey est un jeune aux grandes idées. Certains observateurs avertis l’ont surnommé «La Voix de la Jeunesse Africaine», à cause de son combat pour l’émergence des jeunes et surtout de ses actions humanitaires en faveur de la population la plus démunie du Congo-Kinshasa. À peine 25 ans d'âge, il inspire un avenir meilleur pour le continent africain. </h3><div>    <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2VffpX4sCi9I3j5pDPa_i5K_jlU4C-6IwymSK7SGoZloMaojbTJepez2O37v7XcUaGhJEVo8KDiJ43lLe0wVkk9s6lQP3DvSXAFcnQtJi-77SYDOdv2iwLFYHu1zMa7-m2pja9kd5s4C5/s1600/Snapshot_21.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="391" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2VffpX4sCi9I3j5pDPa_i5K_jlU4C-6IwymSK7SGoZloMaojbTJepez2O37v7XcUaGhJEVo8KDiJ43lLe0wVkk9s6lQP3DvSXAFcnQtJi-77SYDOdv2iwLFYHu1zMa7-m2pja9kd5s4C5/s1600/Snapshot_21.jpeg" width="400" /></a></div><div>Au cours d’une interview accordée à votre journal, Dieuleveut Butey a donné son point de vue sur l’apport de la Science, la Technologie et l’Innovation (STI) en Afrique. A cette occasion, le jeune congolais d’Allemagne a mis en exergue ses idées rationnelles qui donnent de l'espoir pour le développement du continent. Retrouvez, ci-dessus,  l’intégralité de ses propos. </div><div><br />
Que peut-on retenir de votre personne ?<br />
<br />
Je réponds au nom de Dieuleveut Butey Bulary. Je suis né dans la ville de Matadi, chef-lieu du Bas Congo, une province côtière de la République Démocratique du Congo. 3ème d’une famille de 5 enfants, mon parcours scolaire a commencé au Collège Cartésien à Kinshasa, où j’ai décroché mon Bac en Biologie- Chimie. Après, j’ai poursuivi mes études pour arracher un brevet de techniciens Supérieurs en Administration Réseau à l’École de Sciences de métiers informatiques et commerces, à Kinshasa. Ce diplôme m’a permis d’obtenir une inscription à l'université Arabe des Sciences de Tunis, où j'ai suivi une formation académique pour obtenir un Bachelor en Informatique Appliquée à la gestion. Ainsi, je suis détenteur d'un master en Management and Business Administration. Du côté humanitaire, je suis président – fondateur de l’Ong «ASB COOPERATION» basée à Kinshasa. Son but est de venir en aide à la population la plus vulnérable à travers des actions humanitaires. Notre souci est de contribuer à l'émergence de la Jeunesse Africaine. Je suis Co-Fondateur de la marque Africa Young Fashion en Afrique, et représentant de la ligue de la jeunesse pour la démocratie et les droits de l'homme. L’Organisation panafricaine Ammafrica world m’a chargé aussi  de m’occuper du bureau de la jeunesse.  Grâce à mes œuvres sociales qu’Afreecan Humanitaire m’a décerné un Prix Nobel Humanitaire en Allemagne.<br />
<br />
Quel est l’apport de la science, la technologie et l’innovation en Afrique ?<br />
<br />
La science qui, en latin, signifie " Connaissance " est tout simplement  ce que l'on sait pour l'avoir appris et ce que l'on tient pour vrai. Au sens large, la science est l'ensemble des connaissances, d'études d'une valeur universelle. Elle se compose d'un ensemble de disciplines particulières dont chacune porte sur un domaine particulier du savoir scientifique. <br />
Quand à la technologie, elle désigne l'étude des outils et des techniques. Ce terme se réfère à tout ce qui peut être dit à plusieurs périodes.<br />
L'innovation est un concept économique qui recouvre l'ensemble des activités micro-économiques marchandes des entreprises de production, de prestations de service et de distribution. Une innovation est une nouveauté, un nouveau produit, un nouveau service innovant qui implémente au succès de l’entreprise.<br />
Et lorsqu'on associe, ces 3 mots clefs pour un continent Africain dans lequel habite près de 80% d’une population juvénile, il y a obligation d’y mettre un accent. Car, nous voulons que la Jeunesse Africaine soit portée à réfléchir et à agir sur le devenir de notre continent en lieu et place de se lancer dans des conflits fratricides et militaires.<br />
L'Afrique, jusqu'à nos jours, reste un continent vierge dont la science, la technologie et l'innovation n'ont pas encore vu leurs grandes apparitions. Ces 3 domaines sont les clefs fondamentales pouvant apporter le développement rapide du continent.<br />
Une expansion de la science dans toute l'Afrique en matière d'éducation éradiquera le taux des analphabètes et développera la capacité des réflexions des jeunes dans le savoir. Elle mettra en place des pistes des solutions aux problèmes socio-politico et économique.<br />
En effet, l'abondance des outils techniques dans tous les domaines relèvera l'Afrique du sous développement. L’apport  de la technologie  permettra un autre envole vers le chemin de l'émergence. C’est ainsi que  le  bon usage des outils techniques développera à son tour l'industrie africaine.<br />
Tandis que l'innovation est simplement la mise en place d'un produit nouveau. Elle ne peut trouver sa place que lorsque la science est transmise en bonne et due forme.  Ainsi, on parlera des créations à travers les outils techniques  bien adaptés  et maîtrisés  à l’aide de la science. C’est alors que l’on découvrira ou créera des produits et services qui pourront susciter le développement.<br />
<br />
A ton avis, comment les africains peuvent-ils innover ? Malgré les conditions précaires dans lesquelles vivent la Jeunesse Africaine, nous l’encourageons et la félicitons  pour sa forte énergie. Les jeunes ne cessent de se déterminer pour apporter un changement radical du continent. Ils sont très créatifs. Les jeunes africains innovent par rapport à leurs contextes et  réalités. En dépit des matériels et infrastructures de base non conséquents, on retrouve déjà sur la liste des innovations les noms des Jeunes Africains. Notamment, la création du système d'exploitation " UBUNTU " par le sud-africain " Mark Shuttle Worth " en 2004.  La première tablette et Smartphone Africain par le Jeune Congolais " Vérone Mankou " en 2011. La tablette éducative africaine par l'ingénieur ivoirien " Thierry N'Doufou ".<br />
En RDC, Sandrine Mubenga a construit pour la première fois de l'histoire une voiture électrique qui ne pollue pas et dont le seul déchet est l'eau pure. Toujours en RDC, on a salué l’invention du Robot routier fabriqué par les constructeurs de la société " Women technology ". <br />
La liste n’est pas exhaustive. Mais, retenez que la Jeunesse africaine a des atouts énormes pour pouvoir mettre en place plusieurs produits pouvant apporter de l'innovation et le développement du continent. Malheureusement, l'Afrique a tout, mais l'Africain manque de tout.<br />
<br />
En quoi la STI est-elle utile pour l’Afrique?<br />
<br />
La STI a aussi besoin d’un bon usage pour sa participation au développement du continent noir. Concrètement,  l'Afrique attend de la science un allégement du système d'enseignement et d'une formation qui réponde à ses besoins. Elle  attend de la technologie les équipements modernes à installer pour la fabrication des autres appareils. Le continent attend de l'innovation la mise en place des différentes formes des structures de réflexions sur les études et statistiques des problèmes qui freinent son émergence.<br />
Pour que la STI ait un impact visible,  il faudra que ceux qui l'utilisent soient qualifiés.  Ce qui nécessite un investissement dans la  formation de l’Homme. Celui-ci à  son tour va partager cette connaissance aux autres. Il faut que la jeunesse africaine s'adapte totalement au nouveau système imposé par la STI. Car, la technologie évolue du jour au lendemain. D’où, les jeunes doivent  être à la page pour une bonne  mise à jour. Qu’ils saisissent des opportunités de formations qui vont leur ouvrir des portes vers  de nouvelles technologies.<br />
<br />
Quelles sont les limites actuelles du continent au-delà des problèmes de finances ?<br />
<br />
Depuis la nuit de temps,  l'Afrique traverse une période précaire avec une crise économique atroce. Celle-ci affaiblit le développement de sa population et de sa Jeunesse en particulier. Le problème d'argent reste une barrière pour l'émergence du secteur de la science, la technologie et l'innovation.  A l’instar de financement, il y a aussi trois choses qui bloquent  l’Afrique : le manque des matériels adéquats et adaptés aux nouvelles technologies.<br />
Pour obtenir l'innovation, il faut être à la page de la technologie.  La maîtrise de nouvelle technologie exige la connaissance. Or,  la connaissance ne vient que par la formation. Cette dernière nous ramène à l'éducation. En conclusion, l'Afrique a besoin de la réforme éducative pour l'émergence de la STI qui est le socle de son développement.<br />
On ne peut jamais aspirer au développement au 21 siècle sans associer la recherche scientifique.  Cette recherche scientifique n’est réelle qu’avec des équipements répondant aux normes de la technologie moderne.<br />
<br />
Votre mot de la fin ?<br />
<br />
Mon combat est l'émergence de l'Afrique. Particulièrement, mon message s’adresse à la jeunesse africaine à qui je demande de se mettre au travail. Approfondissons nos connaissances sur les STI, évitons de nous mêler aux conflits fratricides et militaires qui ne résoudront jamais les problèmes en Afrique. Par contre, réfléchissons et agissons sur le devenir de notre cher et beau continent. Mettons nos connaissances sur la science, la technologie et l'innovation qui fera de notre Afrique, un continent fort et dynamique.<br />
‘‘Nous devons créer un monde nouveau autre que celui de nos aînés, pour un avenir meilleur de nos enfants ".<br />
Mes sincères remerciements à l'Africa Science Technologie et Innovation de m'avoir accordé cette occasion.  J'encourage l’initiative qu’elle a pour l'Afrique.<br />
<br />
Propos recueillis par J. Diala </div>      Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Education la Nation La voix de la Jeunesse Africaine : Dieuleveut Butey, ‘‘l'Afrique a besoin de la réforme éducative pour l'émergence de la STI’’

*Venu de la Rd Congo, Dieuleveut Butey est un jeune aux grandes idées. Certains observateurs avertis l’ont surnommé «La Voix de la Jeunesse...

La voix de la Jeunesse Africaine : Dieuleveut Butey, ‘‘l'Afrique a besoin de la réforme éducative pour l'émergence de la STI’’

October 28, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2zUMdC9Gt25IO1iK7h7CZUxnsHXn471CYAIwlONPDmpPeIh-aDzrP1Xxdd31Nbp8AUWdF-02X1SKV7ZdJNehagFsT51SsWPxh0sIepUHLoLU9w8g1K8hq6QFU_RTiHsu1B2NHak8QFp18/s1600/Snapshot_20.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> *Venu de la Rd Congo, Dieuleveut Butey est un jeune aux grandes idées. Certains observateurs avertis l’ont surnommé «La Voix de la Jeunesse Africaine», à cause de son combat pour l’émergence des jeunes et surtout de ses actions humanitaires en faveur de la population la plus démunie du Congo-Kinshasa. À peine 25 ans d'âge, il inspire un avenir meilleur pour le continent africain. </h3><br />
<div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2zUMdC9Gt25IO1iK7h7CZUxnsHXn471CYAIwlONPDmpPeIh-aDzrP1Xxdd31Nbp8AUWdF-02X1SKV7ZdJNehagFsT51SsWPxh0sIepUHLoLU9w8g1K8hq6QFU_RTiHsu1B2NHak8QFp18/s1600/Snapshot_20.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="367" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2zUMdC9Gt25IO1iK7h7CZUxnsHXn471CYAIwlONPDmpPeIh-aDzrP1Xxdd31Nbp8AUWdF-02X1SKV7ZdJNehagFsT51SsWPxh0sIepUHLoLU9w8g1K8hq6QFU_RTiHsu1B2NHak8QFp18/s1600/Snapshot_20.jpeg" width="400" /></a></div><div>Au cours d’une interview accordée à votre journal, Dieuleveut Butey a donné son point de vue sur l’apport de la Science, la Technologieet l’Innovation (STI) en Afrique. A cette occasion, le jeune congolais d’Allemagne a mis en exergue ses idées rationnelles qui donnent de l'espoir pour le développement du continent. Retrouvez, ci-dessus,  l’intégralité de ses propos. </div><div><br />
Que peut-on retenir de votre personne ?<br />
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Je réponds au nom de Dieuleveut Butey Bulary. Je suis né dans la ville de Matadi, chef-lieu du Bas Congo, une province côtière de la République Démocratique du Congo. 3ème d’une famille de 5 enfants, mon parcours scolaire a commencé au Collège Cartésien à Kinshasa, où j’ai décroché mon Bac en Biologie- Chimie. Après, j’ai poursuivi mes études pour arracher un brevet de techniciens Supérieurs en Administration Réseau à l’École de Sciences de métiers informatiques et commerces, à Kinshasa. Ce diplôme m’a permis d’obtenir une inscription à l'université Arabe des Sciences de Tunis, où j'ai suivi une formation académique pour obtenir un Bachelor en Informatique Appliquée à la gestion. Ainsi, je suis détenteur d'un master en Management and Business Administration. Du côté humanitaire, je suis président – fondateur de l’Ong «ASB COOPERATION» basée à Kinshasa. Son but est de venir en aide à la population la plus vulnérable à travers des actions humanitaires. Notre souci est de contribuer à l'émergence de la Jeunesse Africaine. Je suis Co-Fondateur de la marque Africa Young Fashion en Afrique, et représentant de la ligue de la jeunesse pour la démocratie et les droits de l'homme. L’Organisation panafricaine Ammafrica world m’a chargé aussi  de m’occuper du bureau de la jeunesse.  Grâce à mes œuvres sociales qu’Afreecan Humanitaire m’a décerné un Prix Nobel Humanitaire en Allemagne.<br />
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Quel est l’apport de la science, la technologie et l’innovation en Afrique ?<br />
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La science qui, en latin, signifie " Connaissance " est tout simplement  ce que l'on sait pour l'avoir appris et ce que l'on tient pour vrai. Au sens large, la science est l'ensemble des connaissances, d'études d'une valeur universelle. Elle se compose d'un ensemble de disciplines particulières dont chacune porte sur un domaine particulier du savoir scientifique. <br />
Quand à la technologie, elle désigne l'étude des outils et des techniques. Ce terme se réfère à tout ce qui peut être dit à plusieurs périodes.<br />
L'innovation est un concept économique qui recouvre l'ensemble des activités micro-économiques marchandes des entreprises de production, de prestations de service et de distribution. Une innovation est une nouveauté, un nouveau produit, un nouveau service innovant qui implémente au succès de l’entreprise.<br />
Et lorsqu'on associe, ces 3 mots clefs pour un continent Africain dans lequel habite près de 80% d’une population juvénile, il y a obligation d’y mettre un accent. Car, nous voulons que la Jeunesse Africaine soit portée à réfléchir et à agir sur le devenir de notre continent en lieu et place de se lancer dans des conflits fratricides et militaires.<br />
L'Afrique, jusqu'à nos jours, reste un continent vierge dont la science, la technologie et l'innovation n'ont pas encore vu leurs grandes apparitions. Ces 3 domaines sont les clefs fondamentales pouvant apporter le développement rapide du continent.<br />
Une expansion de la science dans toute l'Afrique en matière d'éducation éradiquera le taux des analphabètes et développera la capacité des réflexions des jeunes dans le savoir. Elle mettra en place des pistes des solutions aux problèmes socio-politico et économique.<br />
En effet, l'abondance des outils techniques dans tous les domaines relèvera l'Afrique du sous développement. L’apport  de la technologie  permettra un autre envole vers le chemin de l'émergence. C’est ainsi que  le  bon usage des outils techniques développera à son tour l'industrie africaine.<br />
Tandis que l'innovation est simplement la mise en place d'un produit nouveau. Elle ne peut trouver sa place que lorsque la science est transmise en bonne et due forme.  Ainsi, on parlera des créations à travers les outils techniques  bien adaptés  et maîtrisés  à l’aide de la science. C’est alors que l’on découvrira ou créera des produits et services qui pourront susciter le développement.<br />
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A ton avis, comment les africains peuvent-ils innover ? Malgré les conditions précaires dans lesquelles vivent la Jeunesse Africaine, nous l’encourageons et la félicitons  pour sa forte énergie. Les jeunes ne cessent de se déterminer pour apporter un changement radical du continent. Ils sont très créatifs. Les jeunes africains innovent par rapport à leurs contextes et  réalités. En dépit des matériels et infrastructures de base non conséquents, on retrouve déjà sur la liste des innovations les noms des Jeunes Africains. Notamment, la création du système d'exploitation " UBUNTU " par le sud-africain " Mark Shuttle Worth " en 2004.  La première tablette et Smartphone Africain par le Jeune Congolais " Vérone Mankou " en 2011. La tablette éducative africaine par l'ingénieur ivoirien " Thierry N'Doufou ".<br />
En RDC, Sandrine Mubenga a construit pour la première fois de l'histoire une voiture électrique qui ne pollue pas et dont le seul déchet est l'eau pure. Toujours en RDC, on a salué l’invention du Robot routier fabriqué par les constructeurs de la société " Women technology ". <br />
La liste n’est pas exhaustive. Mais, retenez que la Jeunesse africaine a des atouts énormes pour pouvoir mettre en place plusieurs produits pouvant apporter de l'innovation et le développement du continent. Malheureusement, l'Afrique a tout, mais l'Africain manque de tout.<br />
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En quoi la STI est-elle utile pour l’Afrique?<br />
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La STI a aussi besoin d’un bon usage pour sa participation au développement du continent noir. Concrètement,  l'Afrique attend de la science un allégement du système d'enseignement et d'une formation qui réponde à ses besoins. Elle  attend de la technologie les équipements modernes à installer pour la fabrication des autres appareils. Le continent attend de l'innovation la mise en place des différentes formes des structures de réflexions sur les études et statistiques des problèmes qui freinent son émergence.<br />
Pour que la STI ait un impact visible,  il faudra que ceux qui l'utilisent soient qualifiés.  Ce qui nécessite un investissement dans la  formation de l’Homme. Celui-ci à  son tour va partager cette connaissance aux autres. Il faut que la jeunesse africaine s'adapte totalement au nouveau système imposé par la STI. Car, la technologie évolue du jour au lendemain. D’où, les jeunes doivent  être à la page pour une bonne  mise à jour. Qu’ils saisissent des opportunités de formations qui vont leur ouvrir des portes vers  de nouvelles technologies.<br />
<br />
Quelles sont les limites actuelles du continent au-delà des problèmes de finances ?<br />
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Depuis la nuit de temps,  l'Afrique traverse une période précaire avec une crise économique atroce. Celle-ci affaiblit le développement de sa population et de sa Jeunesse en particulier. Le problème d'argent reste une barrière pour l'émergence du secteur de la science, la technologie et l'innovation.  A l’instar de financement, il y a aussi trois choses qui bloquent  l’Afrique : le manque des matériels adéquats et adaptés aux nouvelles technologies.<br />
Pour obtenir l'innovation, il faut être à la page de la technologie.  La maîtrise de nouvelle technologie exige la connaissance. Or,  la connaissance ne vient que par la formation. Cette dernière nous ramène à l'éducation. En conclusion, l'Afrique a besoin de la réforme éducative pour l'émergence de la STI qui est le socle de son développement.<br />
On ne peut jamais aspirer au développement au 21 siècle sans associer la recherche scientifique.  Cette recherche scientifique n’est réelle qu’avec des équipements répondant aux normes de la technologie moderne.<br />
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Votre mot de la fin ?<br />
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Mon combat est l'émergence de l'Afrique. Particulièrement, mon message s’adresse à la jeunesse africaine à qui je demande de se mettre au travail. Approfondissons nos connaissances sur les STI, évitons de nous mêler aux conflits fratricides et militaires qui ne résoudront jamais les problèmes en Afrique. Par contre, réfléchissons et agissons sur le devenir de notre cher et beau continent. Mettons nos connaissances sur la science, la technologie et l'innovation qui fera de notre Afrique, un continent fort et dynamique.<br />
‘‘Nous devons créer un monde nouveau autre que celui de nos aînés, pour un avenir meilleur de nos enfants ".<br />
Mes sincères remerciements à l'Africa Science Technologie et Innovation de m'avoir accordé cette occasion.  J'encourage l’initiative qu’elle a pour l'Afrique.<br />
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Propos recueillis par J. Diala </div>Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Education la Nation La voix de la Jeunesse Africaine : Dieuleveut Butey, ‘‘l'Afrique a besoin de la réforme éducative pour l'émergence de la STI’’

*Venu de la Rd Congo, Dieuleveut Butey est un jeune aux grandes idées. Certains observateurs avertis l’ont surnommé «La Voix de la Jeunesse...

François Muamba : « Il n’y a plus d’espace occupé en permanence par des groupes armés à l’Est… »

October 28, 2014

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUwl6bK-g4YCzD9Flw18tXpivQSBpTRLzgAsjsbZGx5jRLNXWgv21gIOXr4rXdZeWfhlaRVwD8K2fDmJyq4TUAe_KsAxs8Br9RgieL3UXR499MBZtJd48JRk4Y5Iv1QxiM8xTsXZx0SkEN/s1600/Snapshot_18.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>  <br />
<h3>Coordonnateur du Mécanisme national de suivi des engagements internationaux pris par la RDC pour la paix et la stabilité dans les Grands Lacs(MNS), François Muamba Tshishimbi, a animé le vendredi 24 octobre 2014 dans les locaux de cette structure, à Gombe, une conférence de presse afin de fixer l’opinion sur les efforts fournis par le gouvernement de la RDC pour créer les conditions d’une paix durable dans la sous-région, conformément aux engagements pris dans le cadre de l’accord signé à Addis-Abeba.</h3><div>        </div><div><br />
</div><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUwl6bK-g4YCzD9Flw18tXpivQSBpTRLzgAsjsbZGx5jRLNXWgv21gIOXr4rXdZeWfhlaRVwD8K2fDmJyq4TUAe_KsAxs8Br9RgieL3UXR499MBZtJd48JRk4Y5Iv1QxiM8xTsXZx0SkEN/s1600/Snapshot_18.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="311" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUwl6bK-g4YCzD9Flw18tXpivQSBpTRLzgAsjsbZGx5jRLNXWgv21gIOXr4rXdZeWfhlaRVwD8K2fDmJyq4TUAe_KsAxs8Br9RgieL3UXR499MBZtJd48JRk4Y5Iv1QxiM8xTsXZx0SkEN/s1600/Snapshot_18.jpeg" width="400" /></a></div><div>En effet, pour lui, beaucoup de progrès ont été réalisés ces derniers temps. Ces avancées, précise-t-il, sont rétraçables car « il n’y a plus d’espaces occupés d’une manière permanente par les groupes armés dans la partie Est de la RDC ». Ce qui cadre avec l’engagement pris par le gouvernement, dans le cadre de cet accord, de restaurer l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire national. « Des pans entiers du pays étaient, il y a près d’une année, contrôlés par des forces négatives. Mais, grâce à la restructuration menée par le commandant suprême de notre armée et la détermination de nos officiers et nos soldats accompagnés par la brigade internationale de la Monusco, nous avons mis fin à cette occupation de fait de pans entiers de notre territoire », a-t-il expliqué.</div><br />
A l’en croire, en combattant les forces négatives actives au pays dont le M 23, les Adf-Nalu et les FDLR, le gouvernement met également tout en œuvre afin d’annihiler tout prétexte d’activités de pays voisins de la RDC au sein du territoire congolais, étant donné que les groupes armés sont soutenus par les pays étrangers. « « Il est clair que tous ceux qui ne sont pas Congolais n’ont pas vocation à revenir dans notre pays. Nous n’en voulons plus de ces gens-là sous cette forme-là dans notre pays », a-t-il insisté.<br />
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Au sujet des FDLR particulièrement, le coordonnateur du MNS a nettement souligné la volonté du chef de l’État et du gouvernement congolais de les voir quitter le territoire de la RDC. « Pour le gouvernement congolais, leur destination, c’est le Rwanda. Ceux qui trouvent qu’ils ne peuvent pas regagner leur pays pour une raison ou une autre, qu’ils cherchent où aller. Ils n’ont pas de place sur le territoire congolais », a-t-il insisté.<br />
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François Muamba a également appuyé sur l’entente signée avec la communauté internationale d’accorder à ces FDLR six mois pour leur désarmement volontaire, à partir du 2 juillet 2014, délai au terme duquel, si rien n’est fait, elles seront contraintes au désarmement forcé. S’appuyant ainsi sur l’évaluation à mi-parcours de ce délai accordé aux FDLR par la SADC et la CIRGL, il a noté que jusqu’au 20 octobre, rien n’a encore bougé. Ce qui l’a amené à rappeler la détermination de la communauté internationale de ne plus accorder de sursis supplémentaire à ce groupe armé pour son désarmement volontaire. « Le chef de l’État, Joseph Kabila, avait, à la clôture des concertations nationales, demandé à toutes les forces négatives de saisir la chance de déposer volontairement les armes. Mais, le président de la République avait également noté que cette fenêtre ouverte ne le resterait pas éternellement. Aujourd’hui, il est inconcevable que ces gens que nous avons accueillis chez nous et qui nous ont fait subir des actes décriés dont les pillages, massacres, viols, etc. se mettent, en ce moment, à poser des questions », a-t-il déclaré.<br />
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Des réponses spécifiques au terrorisme<br />
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Concernant l’ « aventure » M23 que François Muamba affirme être close,  il a ajouté que malgré la loi sur l’amnistie, la justice devra être de mise. En clair, tous ceux qui, par leurs activités dans l’Est du pays ont été reconnus comme auteurs des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité, des viols, pillages, destruction méchantes des avoirs des particuliers, devront pouvoir rendre compte à la justice nationale, régionale ou internationale.<br />
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Parlant des ADF, il a noté que ce groupe a toujours été traqué. Ce qui conduit ses membres, a-t-il indiqué, dans leur débandade, à se constituer en petits groupes menant des actions de terrorisme. « Nous faisons face à une forme de terrorisme qui appelle à des réponses spécifiques », a-t-il souligné. C’est cette forme d’activités de ce groupe qui est à la base des morts enregistrés dernièrement dans cette partie du pays dont à Beni. Mais, à l’en croire, tout est mis en œuvre afin de créer des conditions de la neutralisation de ces petits groupes terroristes.<br />
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Tshieke Bukasa        </h3>           Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Politique François Muamba : « Il n’y a plus d’espace occupé en permanence par des groupes armés à l’Est… »

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