BA SANGO YA CONGO KINSHASA

La Monusco annonce l’arrestation des 200 suspects

November 06, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhldoYF0rANhW1YKLyaKV0X4uz0cZVJ00sSL36WmiYRKmyKiNaKGX-eCaa_SRrKwhJK78D-xOhEobXwtAtua1OWB9gkG586jkO5cHDrlbiVby4DZ0TQMvKaCI6bymNvqnFGMl7QoBWrlr4/s1600/Snapshot_15.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> Deux semaines après le carnage de Beni<br />
C’était au cours  de son point de presse hebdomadaire  d’hier mercredi à Kinshasa que  la Monusco a annoncé que deux cents personnes ont été arrêtées dans le territoire de Beni, après les massacres qui ont fait environ 120 morts en un mois.</h3><div>     <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhldoYF0rANhW1YKLyaKV0X4uz0cZVJ00sSL36WmiYRKmyKiNaKGX-eCaa_SRrKwhJK78D-xOhEobXwtAtua1OWB9gkG586jkO5cHDrlbiVby4DZ0TQMvKaCI6bymNvqnFGMl7QoBWrlr4/s1600/Snapshot_15.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="282" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhldoYF0rANhW1YKLyaKV0X4uz0cZVJ00sSL36WmiYRKmyKiNaKGX-eCaa_SRrKwhJK78D-xOhEobXwtAtua1OWB9gkG586jkO5cHDrlbiVby4DZ0TQMvKaCI6bymNvqnFGMl7QoBWrlr4/s1600/Snapshot_15.jpeg" width="400" /></a></div><div>« La police de la Monusco a mis en place conjointement avec la Police nationale congolaise une stratégie opérationnelle de lutte contre l’insécurité à Beni qui a permis l’arrestation de 200 suspects, dont des membres du groupe armé ADF (Forces démocratiques alliées) », a annoncé, mercredi 5 novembre à Kinshasa, Charles Bambara, directeur de l’information à la Monusco.</div><br />
« Les arrestations ont permis la saisie d’armes et de munitions de guerre, de bombes, de radios et de nombreux effets militaires », a-t-il précisé, soulignant que la Monusco avait fourni un soutien logistique pour les interpellations.<br />
<br />
Le Samedi dernier, les autorités provinciales avaient présenté à la population quelques suspects, expliquant qu’ils se préparaient à faire sauter le marché de Beni à l’aide de bombes artisanales – montrées au public avec un lot de machettes, l’arme utilisée dans les <a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20141102165207/kivu-monusco-adf-beni-nord-kivu-rdc-un-nouveau-carnage-a-beni-provoque-une-manifestation-violente.html">récents massacres</a>.<br />
<br />
Pour améliorer les interventions au profit des populations en danger, la Monusco, qui appuie la lutte contre les nombreux groupes armés de l’Est du pays, a pris en charge le fonctionnement de deux numéros verts.<br />
<br />
Rappel des faits<br />
<br />
Depuis début octobre, le territoire de Beni, dans la province instable du Nord-Kivu est la cible d’attaques répétées d’individus armés qui s’en prennent aux populations civiles. Environ 120 morts en un mois.<br />
<br />
Les observateurs constatent que ces attaques contre les civils se suivent et se ressemblent à Beni, territoire de la province du Nord-Kivu, dans l’Est de la RDC. Par armes à feu ou à la machette, les populations sont massacrées dans les quartiers périphériques de la ville éponyme et dans les villages environnants.<br />
<br />
À en croire le bilan de la société civile locale, du « 2 octobre au 2 novembre », les tueries ont fait environ 120 morts et entraîné le « déplacement massif d’au moins 10 000 ménages ».<br />
<br />
Fin octobre, Joseph Kabila lui-même s’était rendu dans la région pour essayer de rassurer la population, promettant de « vaincre » les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), soupçonnés d’être responsables de cette série des massacres. Mais le passage du chef de l’État congolais n’a rien changé sur le terrain. Dès le lendemain de son départ, <a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20141102165207/kivu-monusco-adf-beni-nord-kivu-rdc-un-nouveau-carnage-a-beni-provoque-une-manifestation-violente.html">entre 7 et 11 personnes ont été tuées à Beni</a>, provoquant une <a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20141103092314/joseph-kabila-rdc-kivu-adf-nord-kivu-rdc-a-beni-des-manifestants-deboulonnent-la-statue-de-joseph-kabila.html">violente émeute dans la ville</a>.<br />
<br />
De son côté, la Monusco a indiqué avoir « d’ores et déjà apporté des moyens d’appui et des renseignements à la douzaine de régiments de l’armée congolaise actuellement engagées dans les combats contre les ADF ». Et les patrouilles ont été multipliées de nuit comme des jours.<br />
<br />
Une compagnie d’intervention malawite supplémentaire a été dépêchée sur place à Beni. Même le général brésilien Carlos Alberto Dos Santos Cruz, commandant de la force onusienne, est descendu sur le terrain.<br />
<br />
Pas suffisant pour convaincre la société civile du Nord-Kivu. « La Monusco a failli dans sa mission de protection des civils à Beni.<br />
<br />
Elle ne doit pas attendre l’armée congolaise pour mener des actions contre les forces négatives », se plaint Thomas d’Aquin Muiti,  président de coordination provinciale de la société civile du Nord-Kivu qui rappelle les dispositions de la résolution 2098 du Conseil de sécurité de l’ONU, laquelle  autorise la brigade d’intervention de la Monusco à « mener, seule ou avec les FARDC, des offensives ciblées et robustes » contre les forces négatives dans l’Est de la RDC.<br />
<br />
ADF, une menace pour les populations civiles de Beni et ses environs<br />
<br />
Dans un communiqué, la Nouvelle société civile congolaise(NSCC) se dit choquée et excédée suite à la série des massacres perpétrés en toute impunité par les terroristes ougandais de l’ADF-NALU en territoire de Beni.<br />
<br />
Elle dénonce ces tueries, des décapitations, des enlèvements, des viols et pillages auxquels se livrent à cœur joie ces hors-la-loi, ces terroristes ougandais sur le sol congolais.<br />
<br />
Le bilan depuis le mois d’octobre jusqu’à ce jour est très lourd, plus d’une centaine de Congolais ont été tués à Beni, signale la NSCC.<br />
<br />
A titre indicatif, 9 personnes ont été tuées à Oïcha dans la nuit du 8 au 9 octobre 2014, une trentaine des civiles massacrés la nuit du 15 au 16 octobre 2014 à Beni ; une vingtaine d’autres tués à Eringeti dans la nuit du 17 au 18 octobre 2014 ; 14 personnes tuées à Beni dans la localité Kampi ya chui, dans la nuit du 29 au 30 octobre 2014 situé à 70 kms du chef-lieu du territoire.<br />
<br />
Comme si cela ne suffisait plus en ce début de mois de novembre 2014 dans la nuit du 1er et 2 novembre 2014, 14 personnes viennent encore d’être tuées non pas dans les périphéries du territoire de Beni, mais plutôt au centre-ville et dans la commune de Ruwenzori au quartier Sokede. Ce lundi 3 Novembre 2014 dans le village Ondoto en localité de Luna, secteur de Beni Mbau, ces terroristes ont encore tué à la manchette deux personnes.<br />
<br />
Et, le mardi 4 Novembre 2014 les populations vident à nouveau la localité à destination d’Eringeti à 54 Km au Nord de Beni Ville.<br />
Face à cette situation, la NSCC invite Kinshasa à enquêter sur l’origine réelle des attaques et massacres contre les populations civiles de Beni et engager les poursuites contre les auteurs et complices de ces massacres. Elle appelle la Monusco à se déployer dans les zones en proie à l’activisme des groupes armés.<br />
<br />
<a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20141105142818/securite-kivu-monusco-adf-crise-dans-le-kivu-rdc-massacres-de-beni-200-suspects-aux-arrets-selon-la-monusco.html">Par Godé Kalonji Mukendi</a><br />
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Deux semaines après le carnage de Beni C’était au cours de son point de presse hebdomadaire d’hier mercredi à Kinshasa que la Monusco a...

Zamba Zamba du 6 novembre 2014 en intégralité : séance répétitive et werrason apesi 4 afiches pona Ingeta alobi publique epona moko ( vidéo)

November 06, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6fpm36u6xasPFwCU315BOK8vcYoECHqEEnP-xpczxCWZEidVFQhTQn4SkIa7aJLlm6uAwWdOjS6QbKmO4NjoHgnRCEsjVhlxGCH1l_vTVbH19x8hqLLhojbmt3Fb2QDyEiPpqk6WdZTc/s1600/zinnnaa.jpg" rel="image_src" width="400"></link> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6fpm36u6xasPFwCU315BOK8vcYoECHqEEnP-xpczxCWZEidVFQhTQn4SkIa7aJLlm6uAwWdOjS6QbKmO4NjoHgnRCEsjVhlxGCH1l_vTVbH19x8hqLLhojbmt3Fb2QDyEiPpqk6WdZTc/s1600/zinnnaa.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6fpm36u6xasPFwCU315BOK8vcYoECHqEEnP-xpczxCWZEidVFQhTQn4SkIa7aJLlm6uAwWdOjS6QbKmO4NjoHgnRCEsjVhlxGCH1l_vTVbH19x8hqLLhojbmt3Fb2QDyEiPpqk6WdZTc/s1600/zinnnaa.jpg" width="400" /></a></div>Zamba Zamba du 6 novembre 2014 en intégralité : séance répétitive et werrason apesi 4 afiches pona Ingeta alobi publique epona moko ( vidéo)           <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/t98RPtwBhh0?feature=player_embedded" width="600"></iframe>

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ONIP : l’équipe Lumanu chez Muyej !

November 06, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6-xVv40Rrfr792Gyu78myBPSxtx5PIXe8ODeO-QxY0vn1B0z1VhrU_nGdjcTMPMgDa28-jGBnQlvFFwlw1WQj3mcyZVR3enr3CtOsDUH0AAxiQQ3XMFqM1tMIz1YJILgwd7mC2ixytjk/s1600/Snapshot_6.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> Les sept membres de l’Office national d’identification de la population, Onip en sigle, de la République Démocratique du Congo ont été reçus, le mercredi 5 novembre 2014, pour la toute première fois, par le Ministre de l’Intérieur, Sécurité,  Décentralisation et Affaires coutumières, Richard Muyej Mangez Mans. Il a été question au cours de cette réunion de prise de contact d’échanger avec l’Autorité de Tutelle sur différents points concernant le fonctionnement de ce nouvel établissement public.  Cette rencontre augure déjà le début du travail pour cette équipe constituée de la Présidente du Conseil d’Administration, Geneviève Inagosi ; du Directeur Général Adolphe Lumanu ainsi que des Administrateurs.</h3>     <br />
<div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6-xVv40Rrfr792Gyu78myBPSxtx5PIXe8ODeO-QxY0vn1B0z1VhrU_nGdjcTMPMgDa28-jGBnQlvFFwlw1WQj3mcyZVR3enr3CtOsDUH0AAxiQQ3XMFqM1tMIz1YJILgwd7mC2ixytjk/s1600/Snapshot_6.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6-xVv40Rrfr792Gyu78myBPSxtx5PIXe8ODeO-QxY0vn1B0z1VhrU_nGdjcTMPMgDa28-jGBnQlvFFwlw1WQj3mcyZVR3enr3CtOsDUH0AAxiQQ3XMFqM1tMIz1YJILgwd7mC2ixytjk/s1600/Snapshot_6.jpeg" width="400" /></a></div><div>Le Ministre Richard Muyej leur a prodigué des sages conseils pour la bonne marche de cet établissement public chargé de l’identification de la population. Selon la présidente du Conseil d’Administration, cette séance de prise de contact a permis d’échanger sur les missions assignées aux membres du Conseil d’Administration et de la Direction générale de l’Onip.</div><br />
Pour sa part, le Prof. Lumanu a donné des précisions sur les  priorités de cet établissement. Le travail, a-t-il indiqué, va commencer par l’élaboration des textes fondateurs qui vont permettre le fonctionnement efficient de cet Office. Il s’agit, entre autres, du Statut du personnel, le Règlement Intérieur. Puis, s’en suivra le calendrier ainsi que d’autres documents importants de travail. Il a annoncé, d’ici quelques jours, la convocation d’une réunion par la Présidente du Conseil d’Administration afin de rendre opérationnel l’Office national d’Identification de la population de la RD Congo. <br />
<br />
Pour rappel, le Président de la République, Joseph Kabila avait promulgué, le jeudi 15 octobre 2014, trois ordonnances portant respectivement, nomination des membres de Conseil d’Administration, du Directeur général et de deux directeurs  généraux adjoints de l’Office national d’Identification de la population (ONIP).<br />
<br />
Peter Tshibangu                      Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Politique ONIP : l’équipe Lumanu chez Muyej !

Les sept membres de l’Office national d’identification de la population, Onip en sigle, de la République Démocratique du Congo ont été reçu...

Constitution, élections générales… : Z’Ahidi Arthur Ngoma exige la convocation d’une véritable rencontre politique !

November 06, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIVw3_MgtbQ7geLf_Y8hnkBBEu1GqHUh-63Izh3RY08SUrtQeUoazD0SwKtRHpDtaR-QxzDFmHBVgx0D3bi_gjC7jUDCReQZstUm05fM65RratyJdkdK_zoXkN5kNXOC3o6rPgJyzJf7E/s1600/Snapshot_1.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> *‘‘Le pays ne peut pas vivre dans des «atermoiements funestes. Il est temps d’agir et d’agir vite, plutôt que pousser un peuple, aussi pacifique que le peuple congolais, à emprunter des voies qui contredisent sa volonté de paix’’. Tel est l’appel lancé par le Cartel de la Composante Opposition Politique, signataire de l’Accord Global et Inclusif de Sun City, à toutes les forces politiques et sociales du pays. </h3><div>  <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIVw3_MgtbQ7geLf_Y8hnkBBEu1GqHUh-63Izh3RY08SUrtQeUoazD0SwKtRHpDtaR-QxzDFmHBVgx0D3bi_gjC7jUDCReQZstUm05fM65RratyJdkdK_zoXkN5kNXOC3o6rPgJyzJf7E/s1600/Snapshot_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIVw3_MgtbQ7geLf_Y8hnkBBEu1GqHUh-63Izh3RY08SUrtQeUoazD0SwKtRHpDtaR-QxzDFmHBVgx0D3bi_gjC7jUDCReQZstUm05fM65RratyJdkdK_zoXkN5kNXOC3o6rPgJyzJf7E/s1600/Snapshot_1.jpeg" width="400" /></a></div><div>Pour  Z’Ahidi Arthur Ngoma, Porte-parole du Cartel de l’Opposition, le mal dont souffre le pays depuis son accession à la souveraineté internationale, a été clairement et pertinemment identifié à Sun City. Il s’agit de la crise de légitimité du pouvoir. Et c’est ce constat qui a forgé la rédaction de la Constitution du 18 février 2006, en particulier quand elle prévoit des dispositions qui ne peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle, entre autres, l’Art.220. Est-ce que les faits qui ont motivé ces dispositions constitutionnelles ont-ils changé et en quoi? Quelle est la raison qui rend nécessaire, c’est-à-dire,  indispensable, la révision constitutionnelle? A ces interrogations, le Cartel de l’Opposition considère que les concertations politiques, d’octobre 2013, n’auront finalement été convoquées que pour enterrer le débat. Tout y aura été dit mais, plus d’un an après, rien n’aura été pris en compte à quelque niveau que ce soit. C’est pourquoi, le Cartel de l’Opposition politique demande la convocation d’une véritable rencontre des forces politiques et sociales du pays. Au menu, l’organisation consensuelle d’une transition pour une meilleure préparation des élections générales projetées. Le Cartel croit fermement que son appel sera entendu. Car, soutient-il, ‘‘la vie à sauver, c’est la nôtre, nous peuple congolais’’.</div><div><br />
Découvrez, ci-après, l’intégralité de l’appel du Cartel de la Composante Opposition Politique, signataire de l’Accord Global et Inclusif de Sun City.   <br />
<br />
CARTEL DE LA COMPOSANTE OPPOSITION POLITIQUE SIGNATAIRE DE L’ACCORD GLOBAL  ET INCLUSIF<br />
<br />
APPEL DU 06  NOVEMBRE 2014 DU CARTEL DE L’OPPOSITION POLITIQUE SIGNATAIRE DE L’ACCORD GLOBAL ET INCLUSIF DE SUN CITY<br />
<br />
La République Démocratique du Congo, notre pays, a connu toutes les abominations et n’en a pas fini. Pour y mettre fin, les forces politiques et sociales du pays avaient compris l’absolue nécessité d’une cohésion nationale, sur le fondement d’un Etat de droit et d’une gouvernance politique démocratique.<br />
<br />
Il en faut encore beaucoup pour atteindre l’objectif; mais, ce qui compte c’est le mouvement, plutôt que la recherche de la perfection.<br />
<br />
A Sun City, le mal dont souffre le pays, depuis son accession à la souveraineté internationale, a été clairement et pertinemment identifié: la crise de légitimité du pouvoir. Ce constat a forgé la rédaction de notre Constitution, du 18 février 2006, en particulier quand elle prévoit des dispositions qui ne «peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle) (Art.220 de la Constitution).<br />
<br />
Le Cartel de l’opposition politique, signataire des accords de Sun City, rappelle que cette disposition constitutionnelle est le mandat qu’ont reçu nos parlementaires, celui de ne pas procéder à la révision constitutionnelle», en l’occurrence, de l’article 220 de notre Constitution.<br />
<br />
Bien sûr, la validité d’une norme juridique peut aussi être considérée au regard du principe selon lequel rebus sic stantibus (si les choses restent en l’état).<br />
<br />
Or, c’est bien le cas. Les faits qui ont motivé ces dispositions constitutionnelles ont-ils changé et en quoi? Au nom des valeurs, nous avons bataillé pour notre indépendance nationale, mais jusqu’à ce jour, nous n’arrivons toujours pas à fonder sur elles, la gouvernance de notre pays. Est-ce sur les ruines de notre pacte pour la paix, notre Constitution, que nous construirons notre cohésion nationale?<br />
<br />
Bien sûr, le droit ce n’est pas un devoir-être indifférent à l’être. Mais, encore faut-il expliquer en quoi il en est ainsi? Quelle est la raison qui rend nécessaire, c’est-à- dire indispensable, la révision constitutionnelle? La réponse qui ne serait qu’outrage à l’intelligence c’est nous qui en avons le pouvoir ».<br />
<br />
La question, qui plus est, n’est pas que juridique; elle est aussi politique. Le Cartel de l’Opposition Politique observe, avec consternation, que les «Concertations politiques, d’octobre 2013, n’auront finalement été convoquées que pour enterrer le débat. Tout y aura été dit mais, plus d’un an après, rien n’aura été pris en compte à quelque niveau que ce soit. Dès lors, il est à nouveau fondé de demander la convocation d’une véritable rencontre des forces politiques et sociales du pays.<br />
<br />
Une seule question ou thème justifierait cette rencontre: « l’organisation consensuelle d’une transition pour une meilleure préparation des élections générales projetées».<br />
<br />
Pour le Cartel de l’Opposition politique, le pays ne peut pas vivre dans des «atermoiements funestes ; il est temps d’agir et d’agir vite, plutôt que pousser un peuple, aussi pacifique que le peuple congolais, à emprunter des voies qui contredisent sa volonté de paix.<br />
<br />
La vie à sauver, c’est la nôtre, nous peuple congolais. Puisque nous parions tous en son nom, le Cartel de l’Opposition politique est confiant que son appel sera entendu!<br />
<br />
Pour le Cartel,<br />
<br />
Le Porte-Parole,<br />
<br />
S.E.M Z’Ahidi Arthur NGOMA<br />
<br />
Ancien Vice-Président de la République </div>       Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Politique Constitution, élections générales… : Z’Ahidi Arthur Ngoma exige la convocation d’une véritable rencontre politique !

*‘‘Le pays ne peut pas vivre dans des «atermoiements funestes. Il est temps d’agir et d’agir vite, plutôt que pousser un peuple, aussi paci...

LES OPPOSANTS SIGNATAIRES DE L’ACCORD GLOBAL ET INCLUSIF DE SUN CITY PRENNENT DATE UNE TRANSITION POUR PRÉPARER LES ÉLECTIONS !

November 06, 2014

Politique LES OPPOSANTS SIGNATAIRES DE L’ACCORD GLOBAL ET INCLUSIF DE SUN CITY PRENNENT DATE UNE TRANSITION POUR PRÉPARER LES ÉLECTIONS !

Plus d’une année après les Concertations nationale, l’essentiel de recommandations de ce forum restent encore confinées dans les tiroirs....

Le Président du CSM réagit : Grève des Magistrats, Jérôme Kitoko dément !

November 05, 2014

<h3>Officiellement, il n’y a pas de grève des Magistrats en République Démocratique du Congo, à en croire le communiqué officiel du Conseil Supérieur de la Magistrature signé par son Président, M. Jérôme Kitoko Kimpele. ‘‘Le Bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature  informe l’opinion publique qu’aucun mouvement de grève n’a été déclenché à ce jour par un syndicat des magistrats, seule structure reconnue apte à canaliser certaines revendications des magistrats’’, lit-on dans le communiqué. </h3><div><br />
</div><br />
<br />
</div><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizLMmCCwuUNRdITNLniVa442UKwkDyTM-p0rCB0RE1tJzho5kVhyphenhyphenTsslr4XWU43ZM7LOodotn7EcS5KwzYD8V6gKW8khqrbGhda49H00l304Xdg1aSwujo7Tj9QXmuYrWdnfnLWvvDuZs/s1600/Snapshot_52.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="330" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizLMmCCwuUNRdITNLniVa442UKwkDyTM-p0rCB0RE1tJzho5kVhyphenhyphenTsslr4XWU43ZM7LOodotn7EcS5KwzYD8V6gKW8khqrbGhda49H00l304Xdg1aSwujo7Tj9QXmuYrWdnfnLWvvDuZs/s1600/Snapshot_52.jpeg" width="400" /></a></div><div>N’ayant donc pas été saisi, le Bureau du CSM invite en conséquence tous les magistrats à continuer à vaquer librement à leurs activités et à ne pas céder à toutes manipulations. Une enquête, précise le communiqué,  serait en cours, pour identifier des magistrats qui, en marge de la loi et de l’éthique, ont par leur comportement troublé l’ordre public et empêché leurs collègues de certains offices et juridictions à accomplir leurs obligations professionnelles.</div><div><br />
Ci-après, in extenso, le communiqué officiel du Bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature.<br />
<br />
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO<br />
<br />
CONSEIL SUPERIEUR DE LA MAGISTRATURE<br />
<br />
CABINET DU PRESIDENT<br />
<br />
COMMUNIQUE OFFICIEL<br />
<br />
Le Bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature a suivi avec stupéfaction dans une certaine presse un communiqué faisant état d’une grève illimitée prétendument déclenchée par les Magistrats.<br />
<br />
Le Bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature  informe l’opinion publique qu’aucun mouvement de grève n’a été déclenché à ce jour par un syndicat des magistrats, seule structure reconnue apte à canaliser certaines revendications des magistrats.<br />
<br />
Le Bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature n’ayant pas été saisi à ce sujet, invite en conséquence tous les magistrats à continuer à vaquer librement à leurs activités et à ne pas céder à toutes manipulations.<br />
<br />
Une enquête est en cours pour identifier des magistrats qui, en marge de la loi et de l’éthique, ont par leur comportement troublé l’ordre public et empêché leurs collègues de certains offices et juridictions à accomplir leurs obligations professionnelles.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 4 novembre 2014<br />
<br />
Le Président du Conseil Supérieur de la Magistrature<br />
<br />
Jérôme KITOKO KIMPELE<br />
<br />
Premier Président de la Cour Suprême de Justice   </div>          <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizLMmCCwuUNRdITNLniVa442UKwkDyTM-p0rCB0RE1tJzho5kVhyphenhyphenTsslr4XWU43ZM7LOodotn7EcS5KwzYD8V6gKW8khqrbGhda49H00l304Xdg1aSwujo7Tj9QXmuYrWdnfnLWvvDuZs/s1600/Snapshot_52.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>          Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Justice Le Président du CSM réagit : Grève des Magistrats, Jérôme Kitoko dément !

Officiellement, il n’y a pas de grève des Magistrats en République Démocratique du Congo, à en croire le communiqué officiel du Conseil Supé...

La Belgique expulse une vingtaine de Congolais dont des opposants

November 05, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQdPOQcLgaQXzgBBxu9ct-ILqL85fxj-e1aFSecs3rKNaYrRzp6jQqlcsCMGFS2gelMayvwzKuo-65grw00prMqqmv78lmqZSzJthFYiYutw7o70tHWZIEr8c3q1mhziNxT4kfASGsbQE/s1600/Snapshot_51.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> Ils ont décollé depuis l'aéroport militaire de Melsbroek dans un avion militaire. Direction : la République démocratique du Congo. Parmi eux, on trouve des opposants au gouvernement congolais qui risquent d'être torturés, une fois de retour au pays. </h3><br />
<div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQdPOQcLgaQXzgBBxu9ct-ILqL85fxj-e1aFSecs3rKNaYrRzp6jQqlcsCMGFS2gelMayvwzKuo-65grw00prMqqmv78lmqZSzJthFYiYutw7o70tHWZIEr8c3q1mhziNxT4kfASGsbQE/s1600/Snapshot_51.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQdPOQcLgaQXzgBBxu9ct-ILqL85fxj-e1aFSecs3rKNaYrRzp6jQqlcsCMGFS2gelMayvwzKuo-65grw00prMqqmv78lmqZSzJthFYiYutw7o70tHWZIEr8c3q1mhziNxT4kfASGsbQE/s1600/Snapshot_51.jpeg" width="400" /></a></div><div>La Ligue des Droits de l'Homme et le CIRE (Coordination et Initiatives pour Réfugiés et Étrangers) ont réagi, ils dénoncent ce genre d'expulsions collectives.</div><div><br />
"Ce qui nous inquiète dans le vol sécurisé, explique Damienne Martin (du CIRE), c’est que la dimension collective risque de prendre le pas sur l’examen des situations individuelles et des risques que ces personnes encourent au pays."<br />
<br />
Autre crainte formulée par la Ligue des Droits de l’Homme et le CIRE : le manque de contrôle démocratique entourant ces expulsions. "Les vols sécurisés ont lieu à l’abri du regard des citoyens et de la société civile."<br />
<br />
Thierry Vangulick<br />
Bruxelles, 4/11/2014 (RTBF /MCN, via mediacongo.net)</div>Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

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Nord-kivu: les combats font toujours rage entre l’armée et les rebelles ougandais

November 05, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBMwEviKaUsNwfSFZIjyxPqPjbDqKwnqev2bW2fXvhVOy2PsXPyYJzTmZ0HzQJJtSA4W5TozVAyCsEpQS9NYgdSjdZNnj1K_j0hwm3Grc07tmFEozW-VcF-6F8z2sffriSWnCDEbhXs9Q/s1600/Snapshot_50.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> La tension monte de nouveau dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC). L’armée congolaise et des rebelles ougandais de l’ADF s’affrontent toujours, pour le deuxième jour consécutif, ce mardi, dans une zone près de la province de Béni. Selon un responsable de la société civile, « les combats se poursuivent à Munzambay, Mayangose et Tubameme entre les FARDC (armée congolaise) et l’ennemi », faisant état de trois morts, dont un officier, et deux morts parmi les assaillants. </h3><div><br />
</div>    <br />
<div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBMwEviKaUsNwfSFZIjyxPqPjbDqKwnqev2bW2fXvhVOy2PsXPyYJzTmZ0HzQJJtSA4W5TozVAyCsEpQS9NYgdSjdZNnj1K_j0hwm3Grc07tmFEozW-VcF-6F8z2sffriSWnCDEbhXs9Q/s1600/Snapshot_50.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="286" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBMwEviKaUsNwfSFZIjyxPqPjbDqKwnqev2bW2fXvhVOy2PsXPyYJzTmZ0HzQJJtSA4W5TozVAyCsEpQS9NYgdSjdZNnj1K_j0hwm3Grc07tmFEozW-VcF-6F8z2sffriSWnCDEbhXs9Q/s1600/Snapshot_50.jpeg" width="400" /></a></div><div>De son côté, un haut responsable de la Mission de l’ONU (MONUSCO) a indiqué que leur structure a « un rôle dans les opérations, y compris d’autres plus importantes menées en parallèle ».</div><div><br />
Massacres successifs<br />
<br />
Ces dernières semaines, du 2 octobre au 2 novembre, les « massacres successifs des rebelles ougandais de l’ADF dans différentes localités du territoire de Beni ont coûté la vie à environ 120 personnes et poussé des milliers de familles à fuir », selon la Société civile du Nord-Kivu, appelant le président Joseph Kabila à instaurer l’état d’urgence. Selon la société civile, « dans la nuit du 15 au 16 octobre, une trentaine de personnes a été massacrées à Beni », qui abrite 500 000 habitants. « Onze autres ont été tuées dans la nuit de samedi, quelques heures après le départ du Président, qui avait promis de vaincre l’ADF », précise la société civile.<br />
<br />
L’armée congolaise dépassée<br />
<br />
L’armée congolaise n’a jusqu’à présent jamais réussi à tenir tête aux rebelles de l’ADF, hostile au président ougandais Yoweri Museveni. Cette rébellion est présente depuis 1995 dans une région montagneuse du territoire de Beni, où elle commet des exactions : viols de masse, massacres, enrôlements forcés, pillages...contre les civils. Sans compter qu’elle se livre à de lucratifs trafics, dont celui de bois. Bien qu’elle ait été affaiblie par une série d’attaques lancées depuis janvier par l’armée congolaise et la MONUSCO elle a toujours une forte capacité de nuire.<br />
<br />
Le conflit dans l’est de la RDC dure depuis près de 20 ans. Des groupes armés sévissent dans la région, commettant de multiples exactions et d’atrocités contre les civils mais surtout envers les femmes sous le regard impuissant des autorités congolaises. L’armée congolaise et la MONUSCO ont lancé depuis janvier une série d’attaques qui ont affaibli l’ADF. Celle-ci a toutefois conservé une capacité de nuisance et repris l’initiative depuis la mort brutale, en août, du général Jean-Lucien Bahuma, chef des opérations de l’armée congolaise.<br />
<br />
<br />
Beni, 4/11/2014 (Afrik / MCN, via mediacongo.net)</div>      Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

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La tension monte de nouveau dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC). L’armée congolaise et des rebelles ougandais de l’ADF ...

Gestion Responsable des ressources en Eau : Lac Kivu & Ruzizi, Bavon N’sa Mputu discute avec le Rwanda et le Burundi !

November 05, 2014

<h3>*Infatigable et déterminé, Bavon N’sa Mputu Elima est toujours au four et au moulin. Quelques jours seulement après la grande rencontre avec ses collègues de la CEEAC au Grand Hôtel Kinshasa,  le revoici au devant de la scène. Cette fois-ci, il discute et tâte le terrain sur  d’autres matières, bien au-delà de la simple problématique liée au fonds de l’économie verte.</h3><div>      <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQ1XoiY0Gq18ttFLV5hP7BA7AzxQoOugYEDRnmQ5DfCfXQLMYRjMgH4xbm9XwFCZ3drgx-RYrup7n6sPUOfgF8n0c5F_NCZmdWJwlJtsg1tKzxQ274K4LCXQpjlpYx85qMmVEXEBCpNmU/s1600/Snapshot_49.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQ1XoiY0Gq18ttFLV5hP7BA7AzxQoOugYEDRnmQ5DfCfXQLMYRjMgH4xbm9XwFCZ3drgx-RYrup7n6sPUOfgF8n0c5F_NCZmdWJwlJtsg1tKzxQ274K4LCXQpjlpYx85qMmVEXEBCpNmU/s1600/Snapshot_49.jpeg" width="400" /></a></div><div> Comment, en effet, jeter les bases d’une coopération sous-régionale responsable en vue d’une gestion concertée et responsable  des ressources en Eau ? Telle est la question primesautière  qui fonde la tenue, depuis hier, mardi 4 novembre 2014, à Kinshasa, des assises du Conseil des Ministres des Pays membres de l’Autorité du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi. Ainsi pris globalement,   le fond du  sujet  résiderait, à en croire les propos de Bavon N’sa Mputu, en l’issue  des concertations visant à arrêter des stratégies communes afin de garantir les intérêts de trois pays de la Sous-région, à savoir, la RD. Congo, le Rwanda et le Burundi. Normalement, la justesse de la démarche veut qu’on débouche sur des recommandations de nature à mettre ces trois pays ensemble dans l’optique du développement durable.  Vincent Biruta, le Ministre rwandais des Ressources Naturelles et l’Ambassadeur Muzeyi, le Représentant du Ministre Burundais de l’eau, sont à Kinshasa. Ils  étaient hier, en effet, avec  leur homologue  Bavon N’sa Mputu Elima,  à Béatrice Hôtel,  un tout nouveau  cadre idéal, très prisé  pour abriter  ces genres de  conférences de haut niveau, à la lisière de la Gombe.  Des recommandations devraient faire en sorte  que les trois pays  trouvent, chacun, son compte.  La coopération  ‘’ gagnant-gagnant’’  étant à la mode dans le monde, il va de soi que ces trois  pays de la sous-région ne fassent pas  exception à la règle.</div><div><br />
Le Conseil des Ministres des pays membres de l’Autorité du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi (ABAKIR), a tenu une réunion  hier,  mardi  4 novembre 2014, à Béatrice Hôtel à Kinshasa, à la Gombe.  C’était  pour renforcer la coopération entre les trois pays situés  autour du  Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi, à savoir, la République Démocratique du Congo, la République du Rwanda et la République de Burundi. Ceci, pour relever le  défi de la  gouvernance commune, qui n’est autre que la gestion efficiente des ressources en eau, vu leur  importance pour le développement socio-économique mais  aussi,  pour l’avenir de ces trois Etats.  <br />
<br />
L’ouverture de cette rencontre a été marquée par les discours lus respectivement,  par Vincent Biruta, Ministre Rwandais des Ressources Naturelles, Ambassadeur Muzeyi Mana, Représentant du Ministre en charge de l’Eau de Burundi, et Bavon N’sa Mputu Elima,  Ministre de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme en RDC. Ces derniers, ainsi que d’autres autorités régionales et internationales, ont tenu une réunion à huis  clos, pour harmoniser  les vues et arrêter des stratégies nouvelles en cette matière d’intérêt commun. Trois points étaient donc à l’ordre du jour, notamment, les impératifs de développement afin de  garantir aux générations actuelles et futures,  un développement harmonieux, la signature de la Convention Internationale sur la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE) du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi  et,  enfin, la mise en place des Statuts de l’Autorité dudit Bassin.<br />
<br />
«L’approche de Gestion Intégrée de la Ressource en Eau dans ce bassin représente l’un  des enjeux multidimensionnels cruciaux majeurs. Car,   elle va permettre non seulement, d’assurer une meilleure durabilité de ces eaux mais aussi, de prendre des  mesures appropriées et de fixer des règles communes pour la régulation des activités anthropiques et celles endogènes au Lac Kivu», telle est l’une des phrases si rassurantes, prononcées par Bavon N’sa Mputu,  lors de son discours d’ouverture.  Il a poursuivi son propos,  en disant que l’approche de GIRE aura des répercussions positives sur le plan environnemental, sécuritaire, de la santé publique avec la présence du gaz (CH4) et du dioxyde de carbone (CO2) en forte concertation dans les eaux Lac Kivu. Sur le plan énergétique et aussi sur le plan socio-économique avec le développement de la Pêche.<br />
<br />
Vincent Biruta, le Ministre Rwandais des Ressources Naturelles,  n’a pas manqué, pour sa part,  de rappeler  les activités régionales et internationales auxquelles l’ABAKIR a eu à participer jusque-là. Il a cité, par exemple,  la semaine Ougandaise en Eau, les Conférences sur le changement climatique, la semaine Africaine de l’eau à Dakar  et tant d’autres activités.<br />
<br />
Quant à l’Ambassadeur  Muzeyi, cette  rencontre  va aboutir à des propositions portant sur  des voies et moyens pouvant développer les pays membres de l’ABAKIR à partir de  leurs ressources communes.<br />
<br />
Il est important de noter que l’ABAKIR est une structure régionale regroupant en son sein,  les pays d’Afrique qui se partagent le Bassin du Lac Kivu et la Rivière Ruzizi. Elle existe depuis le 06 juillet 2011, après une Déclaration Commune  des Ministres en charge de l’Eau du Burundi, de la RDC et du Rwanda. Cette structure est opérationnelle depuis le premier janvier 2013, et poursuit ses œuvres.  Cette fois-ci, elle promet la signature d’une convention et la mise en place d’une Convention. Ces trois pays sont réunis au travers d’une coopération sous-régionale responsable et gagnant-gagnant.   Retrouvez, ci-après, l’allocution d’ouverture du Ministre congolais de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme. Il circonscrit, ici,  le cadre, trace les voies et déblaie le terrain pour des discussions sincères et empreintes de considérations mutuelles, tout en proposant des   pistes qui, en principe, devraient faire en sorte que les trois pays dégagent des recommandations consensuelles sur  cette épineuse question de la gestion responsable des ressources en Eau. Allusion faite, faut-il le rappeler, aux intérêts communs, au niveau du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi. <br />
<br />
Réunion du Conseil des Ministres des Pays Membres de l’Autorité du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi, ABAKIR<br />
<br />
(Kinshasa,  Béatrice Hôtel, le  04 novembre 2014)<br />
<br />
<br />
<br />
Discours de Son Excellence,  Bavon N’SA MPUTU ELIMA,  Ministre de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme<br />
<br />
<br />
Honorables Députés et Sénateurs ;<br />
Excellences Mesdames et Messieurs les Ministres et Chers Collègues :<br />
Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Chefs des Missions Diplomatiques ;<br />
Mesdames et Messieurs les Représentants des Partenaires Techniques et Financiers ;<br />
Madame et Messieurs les Co-Directeurs de la Structure Transitoire de l’ABAKIR ;<br />
Mesdames et Messieurs ;<br />
Distingués invités, tout protocole observé ;<br />
<br />
<br />
<br />
Je me réjouis d’être ce jour parmi vous pour prendre la parole à l’occasion de la Réunion du Conseil de Ministres des Pays Membres de l’Autorité du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi, ABAKIR en sigle.<br />
<br />
Je voudrais, avant tout propos, présenter mes hommages les plus déférents à Son Excellence Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo, Chef de l’Etat, Joseph KABILA KABANGE, dont la volonté de développer des programmes d’intégration régionaux et sous régionaux  porteurs de stabilité et de croissance inclusive, demeure une des idées force dans la Vision Présidentielle de la Révolution de la Modernité.<br />
<br />
Egalement, permettez-moi, d’exprimer toute ma gratitude à Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Augustin MATATA PONYO MAPON, pour avoir permis la tenue de cette importante réunion sous régionale, ici à Kinshasa.<br />
<br />
<br />
<br />
Enfin, je veux traduire ma grande satisfaction de vous voir aussi nombreux pour la cérémonie de ce jour et je m’en vais souhaiter une cordiale bienvenue en République Démocratique du Congo à tous ceux d’entre vous qui êtes venus de l’extérieur de notre pays, particulièrement, Monsieur le Ministre des Ressources Naturelles de la République du Rwanda. Et, à vous, Monsieur l’Ambassadeur de la République du Burundi qui représente  Monsieur le Ministre Burundais en charge de l’Eau,  j’adresse mes  sincères et vives remerciements pour votre haute participation.<br />
<br />
Honorables Députés et Sénateurs,<br />
<br />
Excellences,<br />
<br />
Mesdames, Messieurs,<br />
<br />
Je voudrais,  ici,  souligner l’importance que revêt cette rencontre décisive qui devrait être couronnée par la signature de la Convention Internationale relative à la Gestion Intégrée des la Ressource en Eau (GIRE) du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi et des Statuts de l’Autorité du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi (ABAKIR).<br />
<br />
Comme vous le savez, le Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi est transfrontalier à nos trois (3) pays, à savoir, la République du Burundi, la République Démocratique du Congo et la République du Rwanda et est également un sous bassin du bassin du Fleuve Congo.<br />
<br />
L’importance d’une gestion durable de ce Bassin pour le développement socio-économique et l’avenir de nos Etats respectifs est étroitement liée à la manière dont la ressource en eau sera gérée et adaptée à l’évolution des circonstances environnementales pour le bénéfice des générations actuelles et futures.<br />
<br />
D’une manière plus stratégique, l’approche de Gestion Intégrée de la Ressource en Eau (GIRE)  dans ce bassin représente des enjeux multidimensionnels cruciaux majeurs car elle va permettre non seulement d’assurer un meilleur suivi des eaux mais aussi de prendre des mesures adéquates coordonnées et concertées de régulation des activités anthropiques et celles endogènes au Lac Kivu, et ce :<br />
<br />
<br />
sur le plan environnemental, sécuritaire et de santé publique avec la présence du gaz méthane (CH4) et du dioxyde de carbone (C02) en forte concentration dans les eaux Lac Kivu ;<br />
<br />
<br />
sur le plan énergétique avec le potentiel l’hydroélectrique qu’offre l’aménagement par phases de la cascade de la rivière Ruzizi  et la possibilité de l’extraction du gaz méthane à des fins énergétiques ;<br />
<br />
<br />
sur le plan socio-économique avec le développement de la Pêche, de l’Agriculture, du Transport lacustre, du Tourisme etc.   <br />
<br />
Tels vous sont présentés en quelques mots, les fondamentaux partageables à l’origine du consensus trilatéral, qui a aboutit à l’élaboration de la Convention Internationale relative à la Gestion Intégrée des la Ressource en Eau (GIRE) du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi et des Statuts de l’ABAKIR, entendu comme Organisation sous régionale chargée de la mise en œuvre de cette Convention.<br />
<br />
Honorables Députés et Sénateurs,<br />
<br />
Excellences,<br />
<br />
Mesdames et Messieurs,<br />
<br />
A ce jour et aux termes de la Déclaration commune du 06 juillet 2011, des Ministres en charge de l’Eau du Burundi, de la RDC et du Rwanda, une Structure Transitoire de l’ABAKIR est opérationnelle depuis le 1er janvier 2013.<br />
<br />
Des importantes activités menées par cette Structure Transitoire, nous pouvons noter l’accompagnement de tout le processus d’harmonisation et de finalisation des textes de la Convention et des Statuts portant création de l’Autorité sous régionale.<br />
<br />
A ce sujet, je tiens à adresser mes  félicitations aux trois Co-Directeurs, au Comité Technique et aux Experts Juridiques venus des trois pays membres de l’ABAKIR pour leur contribution à l’élaboration des deux textes constitutifs du dispositif juridique, qui seront soumis ce jour, à notre approbation pour  leur signature officielle.<br />
<br />
Egalement, nous pouvons inscrire à l’actif de la Structure Transitoire, le lancement des études sur l’état des lieux des ressources en eau du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi afin de disposer de données actualisées et fiables et d’assurer un monitoring de l’évolution de l’intensité quantitative et qualitative des eaux de notre bassin transfrontalier.<br />
<br />
Je voudrais insister sur ce point en encourageant la Structure Transitoire dans cette démarche car un des défis majeur dans la planification et la gestion des bassins versants est le manque d’information sur les ressources en eau. Ceci a été largement reconnu comme entrave à la gestion durable des ressources en eau en Afrique.<br />
<br />
Honorables Députés et Sénateurs,<br />
<br />
Excellences,<br />
<br />
Mesdames et Messieurs,<br />
<br />
La mise en place d’une Autorité du Bassin du Lac Kivu et de la Rivière Ruzizi par les trois (3) pays membres de la Communauté Economique des Pays  des Grands Lacs constitue donc indéniablement, une initiative de très haute portée économique, sociale et environnementale, sans faire abstraction de la portée politique, gage de stabilité et de paix sous régionale, en vue de promouvoir un environnement favorable, de créer des institutions de coordination efficaces et de mettre en place des mécanismes concertés de gestion.<br />
<br />
Ainsi, pour l’intérêt et la préservation des plans d’eau de notre sous région, la signature de la Convention et des Statuts marquera une première étape dans la reconnaissance officielle de l’ABAKIR en qualité d’Autorité dudit Bassin garantissant son développement durable et celui de toute la région.<br />
<br />
Voilà pourquoi, avant de clore mon propos de ce jour, je voudrais exprimer mes remerciements aux Gouvernements de la République du Burundi, de la République Démocratique du Congo et de la République du Rwanda pour leur vision partagée et leur volonté politique d’aborder les problèmes liés au Bassin dans un contexte de développement global de tous les Etats riverains au travers  d’une coopération sous-régionale responsable et gagnant-gagnant.<br />
<br />
Vive la Coopération Internationale<br />
<br />
Vive la Coopération Sous Régionale.<br />
<br />
Vive l’ABAKIR et l’Entente entre le Burundi, la RD Congo et le Rwanda dans la GIRE du Bassin du lac Kivu et de rivière Ruzizi<br />
<br />
Je vous remercie.</div><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQ1XoiY0Gq18ttFLV5hP7BA7AzxQoOugYEDRnmQ5DfCfXQLMYRjMgH4xbm9XwFCZ3drgx-RYrup7n6sPUOfgF8n0c5F_NCZmdWJwlJtsg1tKzxQ274K4LCXQpjlpYx85qMmVEXEBCpNmU/s1600/Snapshot_49.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>          Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

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E. Tshisekedi : «Je vais bien»

November 05, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhC310JTW1UmIKcwf8lWhGVzmsoXPVs7bsdMX3h_Uj10wZuxoGGPv9VBxhPHvOXZ1nKFs7WJ1BmzQ7MPUCC8buqe-ijki1LNWg7BakV_snYDrgvd-n_8uAP3Mc0OgJ1LLoSGp1hrFpbrfw/s1600/Snapshot_48.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> Certains le donnaient déjà pour mort. D’autres préféraient le présenter comme étant à l’article de la mort. Dans les deux cas, il s’agissait de susciter une certaine «guerre de succession» et justifier des initiatives de déstabilisation de l’Udps entreprises parfois par ses propres représentants à l’extérieur. </h3><div>    </div><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhC310JTW1UmIKcwf8lWhGVzmsoXPVs7bsdMX3h_Uj10wZuxoGGPv9VBxhPHvOXZ1nKFs7WJ1BmzQ7MPUCC8buqe-ijki1LNWg7BakV_snYDrgvd-n_8uAP3Mc0OgJ1LLoSGp1hrFpbrfw/s1600/Snapshot_48.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhC310JTW1UmIKcwf8lWhGVzmsoXPVs7bsdMX3h_Uj10wZuxoGGPv9VBxhPHvOXZ1nKFs7WJ1BmzQ7MPUCC8buqe-ijki1LNWg7BakV_snYDrgvd-n_8uAP3Mc0OgJ1LLoSGp1hrFpbrfw/s1600/Snapshot_48.jpeg" width="400" /></a></div><div>Pendant que les membres du Secrétariat général -et particulièrement le Secrétaire national aux Relations extérieures- descendaient sur le pont en vue de raviver la flamme de la lutte, des voix malveillantes ont tenté maladroitement de distraire les militants en voulant créer de toutes pièces des conflits de compétences au sein du Secrétariat général. La démarche a tourné court parce que le travail de redynamisation entrepris depuis quelques mois requiert l’implication de tous les responsables du parti sur le terrain. Chacun doit aller au devant des militants pour les aider à bouger, avant de se lancer dans la conquête de nouveaux patriotes en vue d’élargir davantage la base électorale.</div><div><br />
C’est probablement pour tordre le coup à toutes les rumeurs relatives à l’état de santé du lider maximo et de rassurer ses nombreux partisans que l’équipe restreinte qui entoure le président national de l’Udps a permis à deux journalistes congolais résidant en Belgique, Amba Wetshi et Cheik Fita, de rencontrer Etienne Tshisekedi le jeudi 30 octobre 2014 à Bruxelles.<br />
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On retient de cette visite la réponse du numéro un de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social concernant son état de santé : «Je vais bien», a-t-il déclaré, sans détour, aux deux confrères.<br />
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Les deux journalistes auraient bien voulu aller plus loin avecT   shisekedi, surtout en ce moment où l’Afrique des «Présidents Monarques» est extrêmement préoccupée par les événements du Burkina Faso. Où un Président à vie, propriétaire de son propre pays, a brutalement abandonné le fauteuil présidentiel et ses palais pour un exil inattendu en Côte d’Ivoire, laissant derrière lui des courtisans déboussolés, eux qui, jusqu’au soir du mercredi 29 octobre dernier, avaient tous les pouvoirs entre leurs mains, contrôlaient l’armée, la police, le pouvoir parallèle ainsi que les services de répression de l’opposition et de la population.<br />
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Si Baudoin Amba Wetshi et Cheik Fita n’ont eu droit qu’à la réponse pré-rappelée, c’est d’abord parce que l’essentiel était de montrer que le président de l’Udps était bien debout, prêt à aller au charbon, contrairement à tous les bobards diffusés dans le seul but de décourager les militants de ce parti politique. Mais c’est aussi parce queTshisekedi prépare une rentrée politique structurée, qui fixe des balises à l’action de l’ensemble du parti.<br />
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Au terme d’une réunion tenue à Bruxelles et dont les images seront disponibilisées à l’intention des différentes fédérations et cellules du parti, le président Tshisekedi annonce la revivification du parti. Cette revivification ne signifie pas faire table rase des structures actuelles. Celles-ci continueront, moyennant des aménagements, à animer le parti, mais ce qui est poursuivi, c’est la remise en selle de tous les udpésiens, de manière à compter sur la contribution d’un chacun, parce que «pour gagner une élection, il faut avoir un parti fort et bien organisé».<br />
<br />
A ce sujet, l’Udps annonce dans un communiqué daté du samedi 1 novembre 2014 et signé à Bruxelles, queTshisekedi «entend prendre des contacts diplomatiques en vue de se doter de tous les atouts indispensables pour relever les défis majeurs de la nation». Le Congrès du Parti est annoncé pour décembre 2015 et Etienne Tshisekedi espère qu’il sera désigné.<br />
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En politique, les choses sérieuses ne font que commencer.</div>      Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Politique E. Tshisekedi : «Je vais bien»

Certains le donnaient déjà pour mort. D’autres préféraient le présenter comme étant à l’article de la mort. Dans les deux cas, il s’agissai...

Déclarations finales dans une semaine : Bemba, le procès tire vers sa fin à la CPI !

November 05, 2014

<h3><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioqddH_w_HivfPvFmOa2rjBdDseTeW5SGzkrXbMNesYbPVChYwfq0RcX7jgVqB1OJfvaRFOHS5qHeYe67C2HpXomoWYDogzqZjC6lrVpCBFNVmPogvIzKnu5BzWXQBV2R3Me2c1cEhHSs/s1600/Snapshot_47.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> *Le procès Jean-Pierre Bemba devant la CPI est entré dans sa dernière ligne droite. Deux jours vont changer le statu quo actuel. Le mercredi 12 et le jeudi 13 novembre 2014. Bemba aura trois heures pour convaincre les juges de la CPI. Ses adversaires en auront presqu’autant pour tenter de l’enfoncer. Après les délibérations des juges, le verdict interviendra. En attendant le jour-j, les bembistes  croisent les doigts dans une attitude de méditation.</h3><div><br />
</div>    <br />
<div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioqddH_w_HivfPvFmOa2rjBdDseTeW5SGzkrXbMNesYbPVChYwfq0RcX7jgVqB1OJfvaRFOHS5qHeYe67C2HpXomoWYDogzqZjC6lrVpCBFNVmPogvIzKnu5BzWXQBV2R3Me2c1cEhHSs/s1600/Snapshot_47.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioqddH_w_HivfPvFmOa2rjBdDseTeW5SGzkrXbMNesYbPVChYwfq0RcX7jgVqB1OJfvaRFOHS5qHeYe67C2HpXomoWYDogzqZjC6lrVpCBFNVmPogvIzKnu5BzWXQBV2R3Me2c1cEhHSs/s1600/Snapshot_47.jpeg" width="400" /></a></div><div>Plus qu’une semaine à attendre et la messe sera dite. Mais, pour quelqu’un qui est à sa huitième année de détention, une semaine peut paraître une éternité. La dernière confrontation entre les avocats de Bemba et les avocats des victimes des crimes présumés commis par ses hommes en Centrafrique aura lieu à partir du 12 novembre 2014. Elle va se poursuivre le lendemain, c’est-à-dire, le 13 novembre. Il sera question pour chaque partie au procès d’apporter, par écrit, des éléments de réponse aux questions soulevées par les preuves admises dans l’affaire Bemba. Des informations en provenance de La Haye font savoir que la responsabilité personnelle du leader du Mouvement de Libération du Congo n’a pas été établie. Il répond seulement des actes que ses hommes auraient commis. Ce qui devrait avoir une incidence significative dans la fixation de la peine, en cas de condamnation. D’où, la joie de ses partisans qui estiment, non sans raison, que si Jean-Pierre Bemba venait à être condamné, il ne passerait plus beaucoup de temps en prison. Pour avoir déjà vécu environ 8 ans en détention préventive. Les plus optimistes envisagent, sans blague,  une relaxation pure et simple de Bemba. Pour eux, en effet,  Jean-Pierre est innocent dans les violences de Bangui. Comme pour convaincre, l’on s’appuie sur les actes de barbarie dont se rendent coupables les anti-balaka et les milices Seleka. En 2010, quand s’est ouvert le procès Bemba, le Procureur le tenait personnellement responsable, en qualité de chef militaire, de deux crimes contre l’humanité (viol et meurtre) et de trois chefs de crimes de guerre (viol, meurtre et pillage). En attendant le jour-j, les bembistes croisent les doigts dans une attitude de méditation.</div><br />
D’ici-là, il faut signaler que la CPI a envoyé plusieurs signaux positifs aux bembistes, pendant le mois d’octobre dernier. Plusieurs co-accusés de Jean-Pierre Bemba, dans l’affaire d’atteintes à l’administration de la justice, ont recouvré la liberté provisoire. Il s’agit, entre autres, de Fidèle Babala, Aimé Kilolo Musamba, Jean-Jacques Mangenda et Narcisse Arido.  Le Juge unique Cuno, qui avait ordonné la libération provisoire, avait estimé que pour des infractions d’atteintes à l’administration de la justice, la peine maximale ne pouvait dépasser 5 années d’emprisonnement, une amende ou les deux. Pourtant, Fidèle Babala et consorts étaient sur le point de totaliser une année en détention préventive. Sans que l’audience de confirmation des charges n’ait lieu.<br />
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La Pros.         Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Justice Politique Déclarations finales dans une semaine : Bemba, le procès tire vers sa fin à la CPI !

*Le procès Jean-Pierre Bemba devant la CPI est entré dans sa dernière ligne droite. Deux jours vont changer le statu quo actuel. Le mercred...

Curieux : Koffi préoccupé par la sortie du dernier album de Babia !

November 04, 2014

<b>Pas de moindre taille, la contribution de Koffi Olomidé aux funérailles de son ex-chanteur Babia Ndonga Shokoro ne suffit pas. Grand Mopao veut aller jusqu’au bout. Le patron de Quartier Latin nous confirme que son label Kofficentral va désormais produire et distribuer « Vrai moment», le dernier disque de Babia Ndonga.</b>   <br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlw_sOD_dMvoKSEVxioTA6Cm1xHgZsHdtIBCNQmKvNjtwA2ecSmiNLr7uD2PnR5aEohjr6s_1Pryig9ABEC01vFrLcC7cp8q91M2INEspS3b0ITWIh77wH5bFTAAZrqxeHNmWpTQYlP7-Z/s1600/Snapshot_499.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlw_sOD_dMvoKSEVxioTA6Cm1xHgZsHdtIBCNQmKvNjtwA2ecSmiNLr7uD2PnR5aEohjr6s_1Pryig9ABEC01vFrLcC7cp8q91M2INEspS3b0ITWIh77wH5bFTAAZrqxeHNmWpTQYlP7-Z/s1600/Snapshot_499.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="257" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlw_sOD_dMvoKSEVxioTA6Cm1xHgZsHdtIBCNQmKvNjtwA2ecSmiNLr7uD2PnR5aEohjr6s_1Pryig9ABEC01vFrLcC7cp8q91M2INEspS3b0ITWIh77wH5bFTAAZrqxeHNmWpTQYlP7-Z/s1600/Snapshot_499.jpeg" width="400" /></a></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.7272720336914px; line-height: 22px; text-align: justify;"><span style="line-height: 1.6em;"> Il mettra les moyens nécessaires afin que cette œuvre, laissée par son géniteur, sorte à titre posthume. Cet héritage musical sera disponible dans les tout prochains jours en supports K7, CD et DVD, à Kinshasa et à Luanda. Pour le créateur de Koffi central, cet engagement implique deux objectifs majeurs : Primo. La disponibilité de ce disque constitue un moyen par excellence pour que le nom de BABIA ne soit pas jeté dans les oubliettes.  Plus ses chansons  passent  à la télévision ou la radio, plus sa voix restera immortelle dans la mémoire collective de fans. Secundo. La prise en charge de la production de l’album « Vrai moment » est aussi une manière de venir à la rescousse des orphelins BABIA. Le patron de Quartier Latin a décidé d’être au chevet de la descendance du défunt. Car, ils ont droit aux  dividendes de la vente de ces supports. Pour ceux qui ne le savent, « Shokoro » se préparait pour lancer le premier album de sa carrière musicale. Enregistré à Kinshasa, «Vrai moment» comprend douze titres dont une chanson a été fignolée en featuring avec Fally Ipupa.</span></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.7272720336914px; line-height: 22px; text-align: justify;">Décédé le 8 octobre dernier, à Luanda, alors que l’on s’y attendait le moins, l’auteur de la chanson « Amen » a été inhumé le samedi 25 octobre 2014, au cimetière Nécropole entre Ciel et Terre.  A  cette occasion, son ex-patron Koffi remercie tous ceux qui ont pris part aux obsèques et  montré leur compassion envers ce talentueux jeune artiste congolais disparu.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.7272720336914px; line-height: 22px; text-align: justify;"><strong>JD</strong></div><script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>  <br />
<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-slot="5034238229" style="display: inline-block; height: 280px; width: 336px;"></ins><script>
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Au tour de Kinshasa Musique Curieux : Koffi préoccupé par la sortie du dernier album de Babia !

Pas de moindre taille, la contribution de Koffi Olomidé aux funérailles de son ex-chanteur Babia Ndonga Shokoro ne suffit pas. Grand Mopao v...

Déclarations finales dans une semaine : Bemba, le procès tire vers sa fin à la CPI !

November 04, 2014

<b>*Le procès Jean-Pierre Bemba devant la CPI est entré dans sa dernière ligne droite. Deux jours vont changer le statu quo actuel. Le mercredi 12 et le jeudi 13 novembre 2014. Bemba aura trois heures pour convaincre les juges de la CPI. Ses adversaires en auront presqu’autant pour tenter de l’enfoncer. Après les délibérations des juges, le verdict interviendra. En attendant le jour-j, les bembistes  croisent les doigts dans une attitude de méditation. </b>   <br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3NtdSMzFrugiHVG3VWm5UYqVjAIoS_ufSYNaAG_LIJw1SCptMCWcwDnS5q9A0K2lJYN0CBRnkOZ_NpCqzO6kb0GVk0qiBVkDMo_rXfdpM_TUQDUC7gzEDhcrtYLzr7We-P4f5gDCihs6-/s1600/Snapshot_498.jpeg" rel="image_src" width="400"></link> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3NtdSMzFrugiHVG3VWm5UYqVjAIoS_ufSYNaAG_LIJw1SCptMCWcwDnS5q9A0K2lJYN0CBRnkOZ_NpCqzO6kb0GVk0qiBVkDMo_rXfdpM_TUQDUC7gzEDhcrtYLzr7We-P4f5gDCihs6-/s1600/Snapshot_498.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3NtdSMzFrugiHVG3VWm5UYqVjAIoS_ufSYNaAG_LIJw1SCptMCWcwDnS5q9A0K2lJYN0CBRnkOZ_NpCqzO6kb0GVk0qiBVkDMo_rXfdpM_TUQDUC7gzEDhcrtYLzr7We-P4f5gDCihs6-/s1600/Snapshot_498.jpeg" width="400" /></a></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.7272720336914px; line-height: 22px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12.7272720336914px;">Plus qu’une semaine à attendre et la messe sera dite. Mais, pour quelqu’un qui est à sa huitième année de détention, une semaine peut paraître une éternité. La dernière confrontation entre les avocats de Bemba et les avocats des victimes des crimes présumés commis par ses hommes en Centrafrique aura lieu à partir du 12 novembre 2014. Elle va se poursuivre le lendemain, c’est-à-dire, le 13 novembre. Il sera question pour chaque partie au procès d’apporter, par écrit, des éléments de réponse aux questions soulevées par les preuves admises dans l’affaire Bemba. Des informations en provenance de La Haye font savoir que la responsabilité personnelle du leader du Mouvement de Libération du Congo n’a pas été établie. Il répond seulement des actes que ses hommes auraient commis. Ce qui devrait avoir une incidence significative dans la fixation de la peine, en cas de condamnation. D’où, la joie de ses partisans qui estiment, non sans raison, que si Jean-Pierre Bemba venait à être condamné, il ne passerait plus beaucoup de temps en prison. Pour avoir déjà vécu environ 8 ans en détention préventive. Les plus optimistes envisagent, sans blague,  une relaxation pure et simple de Bemba. Pour eux, en effet,  Jean-Pierre est innocent dans les violences de Bangui. Comme pour convaincre, l’on s’appuie sur les actes de barbarie dont se rendent coupables les anti-balaka et les milices Seleka. En 2010, quand s’est ouvert le procès Bemba, le Procureur le tenait personnellement responsable, en qualité de chef militaire, de deux crimes contre l’humanité (viol et meurtre) et de trois chefs de crimes de guerre (viol, meurtre et pillage). En attendant le jour-j, les bembistes croisent les doigts dans une attitude de méditation.</span></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.7272720336914px; line-height: 22px; text-align: justify;">D’ici-là, il faut signaler que la CPI a envoyé plusieurs signaux positifs aux bembistes, pendant le mois d’octobre dernier. Plusieurs co-accusés de Jean-Pierre Bemba, dans l’affaire d’atteintes à l’administration de la justice, ont recouvré la liberté provisoire. Il s’agit, entre autres, de Fidèle Babala, Aimé Kilolo Musamba, Jean-Jacques Mangenda et Narcisse Arido.  Le Juge unique Cuno, qui avait ordonné la libération provisoire, avait estimé que pour des infractions d’atteintes à l’administration de la justice, la peine maximale ne pouvait dépasser 5 années d’emprisonnement, une amende ou les deux. Pourtant, Fidèle Babala et consorts étaient sur le point de totaliser une année en détention préventive. Sans que l’audience de confirmation des charges n’ait lieu.</div>Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Justice Politique Déclarations finales dans une semaine : Bemba, le procès tire vers sa fin à la CPI !

*Le procès Jean-Pierre Bemba devant la CPI est entré dans sa dernière ligne droite. Deux jours vont changer le statu quo actuel. Le mercredi...

Les héros de l’AS V. Club de retour depuis dimanche soir à Kinshasa

November 04, 2014

<h3>L’avion transportant les héros de l’AS V. Club a atterri à 21h45′ le dimanche 2 novembre dernier à l’aéroport international de Ndjili, à Kinshasa. Les vice-champions d’Afrique ont immédiatement pris place à bord de leur bus, qui les a amenés dans un luxueux hôtel de la commune de la Gombe, où ils se sont reposés avant la grande soirée d’hier lundi 3 novembre, organisée en leur honneur au grand parking du Grand Hôtel/Kinshasa.</h3><div>      <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoSuTFwqOeVv8Swez309r4w7bUp5aixsKMbDl2lsg5KKokM-yoOz4V10PUELcaNJYJCv8DiwDuQU_2WT1EUumcsx-NB_ZlYu8BERC73xe-ZHCKwBG9WLtjXlCXSxo1ON6EW682Q2VlwraZ/s1600/Snapshot_33.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="276" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoSuTFwqOeVv8Swez309r4w7bUp5aixsKMbDl2lsg5KKokM-yoOz4V10PUELcaNJYJCv8DiwDuQU_2WT1EUumcsx-NB_ZlYu8BERC73xe-ZHCKwBG9WLtjXlCXSxo1ON6EW682Q2VlwraZ/s1600/Snapshot_33.jpeg" width="400" /></a></div><div>Le samedi 1er novembre au stade Mustapha Tchaker, à Blida, l’AS V. Club avait partagé de nouveau 1-1 (2-2 à l’aller le dimanche 26 octobre au stade Révérend Père Raphaël de la Kethulle, à Kinshasa), lors de la manche retour de la finale de la 18ème Ligue des champions de la Confédération africaine de football (CAF), avec la formation algérienne de l’Entente Sportive de Sétif. Celle-ci a enlevé à cette occasion le trophée pour la deuxième fois de son histoire, après celui gagné en 1988.</div><br />
V. Club est passé tout près<br />
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L’AS V. Club regrettera longtemps d’avoir encaissé deux buts lors de la finale aller au stade Père Raphaël de la Kethulle (2-2). Au retour à Blida, les Dauphins Noirs ont rivalisé avec l’ES Sétif (1-1) et sont même passés tout près d’un succès qui leur aurait donné le trophée. Les Algériens ont été paniqués après l’égalisation de Lema et s’imposent sans avoir su battre les Dauphins Noirs kinois.<br />
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Après s’être fixé l’objectif d’atteindre les quarts de finale, l’entraîneur Jean-Florent Ibenge et ses protégés ont fait plus que ce qu’on attendait d’eux en atteignant la finale, dont ils n’ont perdu aucun match. La pression et la récupération politique les ayant embrouillés à Kinshasa lors du match aller.<br />
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La composition de deux équipes<br />
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AS V. Club: 1. Nelson Lukong Bongaman, 2. Chikito Lema Mabidi, 3. Dayo Issoufou, 4. Munganga Omba, 5. Mondo Movegni, 6. Patou Ebunga Simbi, 7. Mabele Bawaka, 8. Junior Yunus Sentamu, 9. Guy Lusadisu, 10. Héritier Luvumbu Zinga, 11. Fimin Mubele Ndombe<br />
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Entente Sétif: 1. Sofiane Khedairia, 2. Amine Megateli, 3. Farid Mellouli, 4. Mohamed Lagraa, 5. Abdelghani Demou, 6. Benjamin Ze Ondo, 7. Akram Djahnit, 8. Toufik Zerara, 9. EL Hedi Belameiri, 10. Abdelmalik Ziaya, 11. Sofienne Younes<br />
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Jean Florent Ibenge : « Nous avons perdu le trophée à Kinshasa »<br />
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Pour l’entraîneur de l’AS V. Club, Jean Florent Ibenge Ikwange, son équipe a perdu la Ligue des champions au match aller lorsqu’elle a encaissé deux buts : « Je pense que le fait d’avoir encaissé deux buts à Kinshasa nous a perturbés. Ce soir, il y a beaucoup de déception. Je crois que c’était un match disputé. On n’a pas bien débuté. C’est la seule chose que je peux reprocher à mes joueurs. Cela a donné une première période pas très rythmée ».<br />
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Le technicien congolais s’est même montré convaincu par la prestation de son équipe, en deuxième mi-temps, en dépit de la défaite : « Sur la deuxième période, on a fait ce qu’on pouvait avec les moyens de l’équipe et nos adversaires ont été chanceux. On perd la finale sur un coup du sort. Je suis extrêmement triste pour mes joueurs qui, même s’ils ont été moins tranchants que d’habitude, ont effectué un parcours exceptionnel. Nous avons essayé de faire du mieux possible en produisant du jeu.<br />
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Il nous a manqué des changements de rythme dans les 20 derniers mètres. On savait que Sétif joue bien en contre et était plus confortable par rapport au résultat du match aller.<br />
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Il ne fallait pas se jeter à corps perdu dans la bataille. Mais il faut le dire, nous avons été plus maladroits et moins tranchants que lors du match aller. Nous n’avons pas pu concrétiser, même si on savait après l’égalisation que tout se jouerait jusqu’à la dernière minute. Il faut maintenant se remettre au travail pour atteindre les phases finales plus régulièrement et pas tous les quarante ans ! Mais on a fait une grande saison. Personne ne nous attendait à ce niveau-là. »<br />
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Kheireddine Madoui : « Le plus important, c’est la consécration »<br />
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Pour sa part, le coach Kheireddine Madoui de l’Entente Sétifienne, aux anges, a déclaré : « C’est fabuleux ce que nous sommes en train de vivre. Je me remémore qu’il y a quelques mois, on est parti un peu de zéro. Quelque part, on a eu tout à prouver. Je savais que dans le groupe, ça vit bien et qu’il y a un exceptionnel esprit de solidarité ».<br />
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Il a expliqué aussi la stratégie adopté par son équipe lors de ce match, tout en remontant au match aller à Kinshasa : « Pour ce match, je pense que le plus dur a été fait à Kinshasa.<br />
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Aujourd’hui on a été soudés, solidaires. On a eu des contres et on a tenu lors des moments difficiles. Notre gardien et les défenseurs ont fait une très belle partie. On a bien joué les moindres opportunités. Il est vrai que parfois, c’était le feu dans notre défense, mais on a résisté. Il est certain que le plus important est le sacre ».<br />
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Neuf titres en faveur de l’Algérie contre sept à la RD Congo<br />
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La RD Congo a gagné cinq fois le titre avec le TP Mazembe (1967, 968, 2009, 2010) et l’AS V. Club (1973). Par ailleurs, elle a eu cinq équipes finalistes, TP Mazembe (1969, 1970), AS Bilima (1980, 1985) et AS V. Club (1981).<br />
L’Algérie compte aujourd’hui cinq titres avec le Mouloudia d’Alger (1976), la JS Kabylie (1981, 1990) et l’Entente de Sétif (1988, 2014), auquel il faut ajouter un finaliste, le Mouloudia d’Oran (1989).<br />
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En Coupe des vainqueurs de coupe, la RD Congo s’est imposée à deux reprises avec le TP Mazembe (1980) et le Daring Club Motema Pembe (1994) et a placé en finale l’AC Sodigraf (1996). L’Algérie a gagné une fois le trophée avec la JS Kabylie (1995) et a également eu un finaliste, le NA Hussein Dey (1978). C’est dans la Coupe de la CAF que l’Algérie a fait la différence avec le triplé historique de la JS Kabylie (200, 2001, 2002), seule équipe continentale à avoir gagné trois fois de suite une Coupe d’Afrique interclubs après l’inévitable Al Ahly, lauréat de la Coupe des vainqueurs de coupe en 1984, 1985 et 1986. Au total l’Algérie est légèrement en tête devant la RD Congo avec désormais 9 victoires contre 7, toutes épreuves confondues, mais la RD Congo est rejointe depuis le samedi 1er novembre 2014 dans la Coupe/Ligue des champions (5 à 5). Les Congolais ont placé 6 autres fois une équipe en finale contre 2 aux Algériens. L’histoire des Coupes d’Afrique interclubs depuis la création de la Coupe des clubs champions a connu cent finales avant celles de cette année. Si l’Egypte caracole en tête avec un total de 22 victoires accumulées lors de la Coupe/Ligue des champions et de la défunte Coupe des vainqueurs de coupe, les représentants des deux finalistes cette année de l’épreuve-phare du calendrier sont donc au coude à coude, l’Algérie et la RD Congo.<br />
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L’avion devant transporter les supporteurs de l’AS V. Club à Alger invisible à Kinshasa Un feuilleton a pris corps avec l’absence à Kinshasa de l’avion affrété devant transporter les supporteurs congolais à Alger avant de se rendre à Blida soutenir l’AS V. Club en finale retour de la 18ème Ligue des champions de la CAF contre l’Entente de Sétif, le samedi 1er novembre 2014 au stade Mustapha Tchaker.<br />
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Au cours d’une conférence de presse tenue le samedi 1er novembre 2014, en sa résidence dans la commune de la Gombe, à Kinshasa, le Gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, qui avait justement annoncé l’affrètement d’un aéronef par le Président de la République, s’en est pris nommément à M. Basile, présenté comme le responsable de la société Air Kasaï.<br />
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Après avoir perçu la somme de 170.000 $US pour cette opération, ce dernier n’a pas envoyé à l’heure indiquée (entre 3h00 et 6h00 du matin) l’avion qu’il aurait dû mettre à la disposition des supporteurs congolais.<br />
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L’autorité provinciale lui a intimé l’ordre de remettre la somme touchée par virement dans une banque de la place pour n’avoir pas honoré l’engagement pris. D’ailleurs, en vérifiant auprès de la banque par laquelle s’était déroulée la transaction, le gouverneur de la ville de Kinshasa apprendra que c’est plutôt 115.000 $US qui y avaient été déposés, et envoyés, non en direction de l’Afrique du Sud comme cela avait été compris au départ mais plutôt des Philippines.<br />
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Palmarès<br />
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1965: Oryx de Douala (Cameroun) 2-1 face à Stade Malien de Bamako (Mali)<br />
1966: Stade d’Abidjan (Côte d’Ivoire) face à Real Bamako (1-3, 4-1)<br />
1967: TP Englebert (RDC) devant Asante Kotoko (Ghana) 1-1, 2-2, firfait de Kotoko au match d’appui<br />
1968: TP Englebert (RDC) contre Etoile Filante de Lomé (Togo) 5-0, 1-4<br />
1969: Ismaily (Egypte) devant TP Englebert (RDC) 2-2, 3-1<br />
1970: Asante Kotoko (Ghana) contre TP Englebert (RDC) 1-1, 1-2<br />
1971: Canon de Yaoundé (Cameroun) face à Asante Kotoko (Ghana) 0-2, 2-0, 1-0)<br />
1972: Hafia FC Conackry (Guinée) face à Simba Uganda Army (Ouganda) 4-2, 2-3<br />
1973: AS Vita Club face à Asante Kotoko (Ghana) 2-4, 3-0<br />
1974: CARA 5Congo) devant Mehalia (Egypte) 4-2, 2-1<br />
1975: Hafia FC (Guinée) devant Enugu Rangers (Nigeria) 1-0, 2-1<br />
1976: Mouloudia Club d’Alger (Algérie) contre Hafia FC (Guinée) 0-3, 3-0, 4-1 t.a. b.<br />
1977: Hafia FC (Guinée) au détriment de Hearts of Oak (Ghana) 1-0, 3-2<br />
1978: Canon de Yaoundé (Cameroun) au détriment de Hafia FC (Guinée) 0-0, 2-0<br />
1979: Union de Douala (Cameroun) face à Hearts of Oak (Ghana) 0-1, 1-0, 5-3 t. a. b.<br />
1980: Canon de Yaoundé (Cameroun) contre AS Bilima (RDC) 2-2, 3-0<br />
1981: JET (Algérie) devant AS Vita Club (RDC) 4-0, 1-0<br />
1982: Nadi Al Ahly (Egypte) devant Asante Kotoko (Ghana) 3-0, 1-1<br />
1983: Asante Kotoko (Ghana) contre Al Ahly (Egypte) 0-0, 1-0<br />
1984: NADI El Zamalek (Egypte) contre IICC Shooting Stas Ibadan (Nigeria) 2-0, 1-0<br />
1985: FAR Rabat (Maroc) contre AS Bilima (RDC) 5-2, 1-1<br />
1986: NADI El Zamalek (Egypte) face à Africa Sport (Côte d’Ivoire) 2-0, 0-2, 2-4 t. a. b.<br />
1987: NADI Al Ahly (Egypte) face à Al Hilal (Soudan) 0-0, 2-0<br />
1988: Entente Sportive de Sétif (Algérie) contre Iwuanyanwu (Nigeria) 0-1, 4-0<br />
1989: RAJA Casablanca (Maroc) devant Mouloudia Oran (Algérie) 1-0, 0-1, 4-2 t. a. b.<br />
1990 : JSK (Algérie) devant Nkana Red Devils (Zambie) 1-0, 0-1, 5-3 t. a. b.<br />
1991: Club Africain (Tunisie) contre Villa SC (Ouganda) 6-2, 1-1<br />
1992: Wydad (Maroc) face à Al Hilal (Soudan) 2-0, 0-0<br />
1993: NADI El Zamalek (Egypte) contre Asante Kotoko (Ghana) 0-0, 0-0, 7-6 t. a. b.<br />
1994: Espérance Sportive de Tunis (Tunisie) contre Zamalek (Egypte) 0-0, 3-1<br />
1995: Orlando Pirates (Afrique du Sud) face à Asec Mimosas (Côte d’Ivoire) 2-2, 1-0<br />
1996: Zamalek (Egypte) devant Shooting Stars (Nigeria) 1-2, 2-1, 5-4 t. a. b.<br />
1997: RAJA Casablanca (Maroc) devant Obuasi Goldfields (Ghana) 0-1, 1-0, 5-4 t. a. b.<br />
1998: Asec Mimosas (Côte d’Ivoire) contre Dynamos (Zimbabwe) 0-0, 4-2<br />
1999: RAJA Casablanca (Maroc) contre Espérance Sportive de Tunis (Tunisie) 0-0, 0-0, 4-3 t. a. b.<br />
2000: Hearts of Oak (Ghana) face à Espérance Sportive de Tunis (Tunisie) 2-1, 3-1<br />
2001: Al Ahly (Egypte) face à Sundowns (Afrique du Sud) 1-1, 3-0<br />
2002: Zamalek (Egypte) aux dépens de RAJA (Maroc) 0-0, 1-0<br />
2003: Enyimba (Nigeria) aux dépens d’Ismaily (Egypte) 2-0, 0-1<br />
2004: Enyimba (Nigeria) au détriment d’Etoile Sportive Sahel (Tunisie) 1-2, 1-0<br />
2005: Al Ahly (Egypte) au détriment d’Etoile Sportive Sahel (Tunisie) 0-0, 3-0<br />
2006: Al Ahly (Egypte) devant CS Sfaxien (Tunisie) 1-1, 1-0<br />
2007: Etoile Sportive Sahel (Tunisie) 0-0, 3-1<br />
2008: Al Ahly (Egypte) devant Coton Sport (Cameroun) 2-0, 2-2<br />
2009: TP Mazembe (RDC) face à Heartland (Nigeria) 1-2, 1-0<br />
2010: TP Mazembe (RDC) face à Espérance Sportive Tunis (Tunisie) 5-0, 1-1<br />
2011: Espérance Sportive Tunis (Tunisie) contre Wydad (Maroc) 0-0, 1-0<br />
2012: Al Ahly (Egypte) contre Espérance Sportive Tunis (Tunisie) 1-1, 2-1<br />
2013: Al Ahly (Egypte) aux dépens d’Orlando Pirates (Afrique du Sud) 1-1, 2-0<br />
2014: Entente Sportive Sétif (Algérie) 2-2, 1-1    <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoSuTFwqOeVv8Swez309r4w7bUp5aixsKMbDl2lsg5KKokM-yoOz4V10PUELcaNJYJCv8DiwDuQU_2WT1EUumcsx-NB_ZlYu8BERC73xe-ZHCKwBG9WLtjXlCXSxo1ON6EW682Q2VlwraZ/s1600/Snapshot_33.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>     Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Sport Les héros de l’AS V. Club de retour depuis dimanche soir à Kinshasa

L’avion transportant les héros de l’AS V. Club a atterri à 21h45′ le dimanche 2 novembre dernier à l’aéroport international de Ndjili, à Kin...

EN MARGE DU SIT-IN « NON AUTORISE » DEVANT LA MONUSCO POLÉMIQUE SUR L’ "ARRESTATION" DES OPPOSANTS

November 04, 2014

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<h3>* L’UDPS et l’UNC dressent un bilan d’au moins 58 personnes interpellées, la Police affirme n’avoir arrêté aucun manifestant.<br />
Situation confuse hier lundi 3 novembre devant le siège de la Monusco. Pour le parti de Vital Kamerhe, au moins trois jeunes, dont le président des jeunes du parti seraient arrêtés au cours de ce sit-in à Gombe. Des affirmations que contredit le directeur de l’information de la Police nationale congolaise (PNC). « J’ai eu le commandant sur le terrain : on a renforcé le dispositif pour les empêcher d’aller envahir le siège de la Monusco, mais ils ne sont pas arrêtés », a affirmé à l’AFP le colonel Pierrot Mwanamputu. Cet officier de la PNC a ajouté que les organisateurs de la marche n’avaient pas reçu « l’autorisation officielle » de manifester, et qu’à ce titre le rassemblement devait être dispersé.</h3><br />
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;"><strong><br />
</strong></div><div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinE3KSxgh7bI3msgbHmI2TAeqPTowDxpMnLGKhXks5G4GotJcY1kL1SQ52X0_fpJlVHV482plSNAI_b1wMbhZX3firSdxEmy2DExC8eGkHOzvZQGsMf1hRI9yhpFlpyGiNmCiXxMmUuOUC/s1600/Snapshot_31.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinE3KSxgh7bI3msgbHmI2TAeqPTowDxpMnLGKhXks5G4GotJcY1kL1SQ52X0_fpJlVHV482plSNAI_b1wMbhZX3firSdxEmy2DExC8eGkHOzvZQGsMf1hRI9yhpFlpyGiNmCiXxMmUuOUC/s1600/Snapshot_31.jpeg" width="400" /></a></div><div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), et l’Union pour la nation congolaise (UNC), deux majors, avaient annoncé un sit-in hier lundi devant la Mission de l’ONU (Monusco) « pour demander l’ouverture du dialogue national ». Ce dialogue a été recommandé dans l’Accord d’Addis-Abeba, signé en février 2013 par la RDC, ainsi que dix autres pays africains, pour mettre fin à l’instabilité chronique dans l’Est congolais, vieille de deux décennies. </div><div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">La police aurait procédé à l’ « arrestation du président des jeunes de l’UNC Tracien Boma Place de la Gare », a indiqué sur son compte Tweeter Lydie Omanga, porte-parole de Vital Kamerhe, chef de l’UNC. Il aurait été arrêté « avec d’autres militants », a-t-elle ajouté.<br />
Un important dispositif policier a été déployé dans la zone où il devait y avoir le sit-in pour dissuader les rassemblements. « La police interpellait tout le monde à pied et arrêtait si besoin. Le dispositif a été impressionnant, tout regroupement est impossible ! Nous avons demandé à nos militants de se déplacer par petits groupes », a déclaré à l’AFP la porte-parole de Vital Kamerhe.<br />
Le chef de l’UNC, a indiqué lui-même à l’AFP qu’il y avait 48 hommes et 10 femmes arrêtés au camp (de police) Lufungula, dont de nombreux militants de l’UDPS et de l’UNC. « Nous ne voulons pas de Burkina Faso immédiatement ici. Il y a moyen d’éviter la casse. Nous voulons le dialogue pour baliser le chemin pour de bonnes élections, adopter un calendrier global et consensuel et une feuille de route globale et consensuelle », a ajouté M. Kamerhe.<br />
En septembre, le secrétaire général de l’UNC, Jean-Bertrand Ewanga, a été condamné à un an de prison ferme pour offense au chef de l’Etat après un rassemblement d’opposition contre toute modification de la Constitution.<strong> Rachidi MABANDU</strong></div><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinE3KSxgh7bI3msgbHmI2TAeqPTowDxpMnLGKhXks5G4GotJcY1kL1SQ52X0_fpJlVHV482plSNAI_b1wMbhZX3firSdxEmy2DExC8eGkHOzvZQGsMf1hRI9yhpFlpyGiNmCiXxMmUuOUC/s1600/Snapshot_31.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>       Le direct           <iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

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