Des ONG dénoncent la nomination d’un oncle du premier Ministre à la tête de la Gécamines

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6izxnANFQQ17M2rxsQO1PctmRGC6o9AGXW-ik8CZ27-c4D8wJqR8xv-m9Bkq5v7-fkP5lj0racVLtFNhEX1pNkkwKXPf7vpZoF6tDQqBLV0LB-OQQvHpxpio77F5ToQUmdoH3X5il1aTT/s907/szqzser.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="499" data-original-width="907" height="176" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6izxnANFQQ17M2rxsQO1PctmRGC6o9AGXW-ik8CZ27-c4D8wJqR8xv-m9Bkq5v7-fkP5lj0racVLtFNhEX1pNkkwKXPf7vpZoF6tDQqBLV0LB-OQQvHpxpio77F5ToQUmdoH3X5il1aTT/s320/szqzser.png" width="320" /></a></div> S’achemine-t-on vers la politisation éternelle des entreprises publiques ? La question est sur toutes les lèvres en République Démocratique du Congo. Les dernières ordonnances présidentielles du vendredi 3 décembre 2021 continuent de susciter des réactions. Comme sous joseph Kabila, les nominations ont été effectué sur base des critères politiques, jetant ainsi le discrédit sur la volonté du pouvoir à changer le mode de gouvernance des entreprises étatiques.<br /><br />“Les nominations faites par le Président de la République ne vont rien changer étant donné que la plupart n’est pas faite par la voie d’un concours public et transparent”, a réagi Ernest Mpararo de la Ligue congolaise contre la corruption (Licoco) dans un entretien accordé à Tsieleka.com. Et de poursuivre, “par exemple, le PCA (président du conseil d’administration) serait l’oncle du Premier Ministre même s’il a travaillé à la Gécamines. Je pense que le changement à la GCM ne sera pas pour demain alors qu’elle est la seule entreprise publique ayant un bilan financier positif pour l’année 2020, si vous lisez le rapport financier pour l’exercice 2020”. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Avant ces nominations, plusieurs députés, à l’instar d’André Lubaya avaient appelé le gouvernement à éviter une gestion clanique des entreprises publiques.Ce qui n’a pas été le cas. A la Gecamines Alphonse Kaputo Kalubi a été nommé Président du conseil d’administration en remplacement d’Albert Yuma.“Le Premier Ministre trouve normal d’avoir proposé son oncle maternel comme PCA d’une grande entreprise minière publique dont lui-même était DG? Aucun autre congolais valable n’existe pas pour lui en remplacement de monsieur Yuma Albert?”, s’est interrogé Franck Fwamba du mouvement ne Touche pas à mon Cobalt. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Une chose est sûre, eu égard à ces nouvelles nominations, la République démocratique peine à mettre en œuvre les réformes du portefeuille de l’Etat amorcées en 2008. Pourtant, les audits de l’inspection générale des finances effectués entre janvier et juillet dernier ont démontré que toutes les entreprises publiques ont été transformées en une caisse de financement des acteurs politiques, au détriment des dépenses d’investissement et de rémunérations des agents.<br /><br />tsieleka.com<p></p><br /><p></p>

Politique Des ONG dénoncent la nomination d’un oncle du premier Ministre à la tête de la Gécamines

S’achemine-t-on vers la politisation éternelle des entreprises publiques ? La question est sur toutes les lèvres en République Démocratique...

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Thierry Michel, accusé de plagiat par un cinéaste congolais, veut porter plainte

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjhLVsBfp-ZJPaSVyWyUYYwLNEohB3mbJrzxK6G2zsjGmuaW1-w_0RTpMX7tGIg-G2tcfz-63Il6WWFUNS6S9LdB4hGYhPG9xqbxiD7HA_FGJxKVCO7qc3fNgL6tDH_rZLEiKh5KKUxzgLbInShL3UPEelPpTIZF5t0I5TfQ3nW8qtO3c-y6cXUAmUXgw=s995" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="496" data-original-width="995" height="160" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjhLVsBfp-ZJPaSVyWyUYYwLNEohB3mbJrzxK6G2zsjGmuaW1-w_0RTpMX7tGIg-G2tcfz-63Il6WWFUNS6S9LdB4hGYhPG9xqbxiD7HA_FGJxKVCO7qc3fNgL6tDH_rZLEiKh5KKUxzgLbInShL3UPEelPpTIZF5t0I5TfQ3nW8qtO3c-y6cXUAmUXgw=w320-h160" width="320" /></a></div>Le cinéaste belge Thierry Michel a annoncé dimanche son intention de déposer plainte devant la justice pour "diffamation" et "calomnie" contre un réalisateur congolais, Gilbert Balufu, qui l'accuse de plagiat lors de la réalisation de son dernier documentaire, "L'Empire du silence", un plaidoyer en faveur de la lutte contre l'impunité qui règne depuis des décennies en République démocratique du Congo (RDC).<br /><br />Chaque semaine, recevez l’essentiel de l'actualité sur le thème de l'Afrique. Toutes les infos du continent africain bientôt dans votre boîte de réception. OK<br /><br />"Thierry Michel dénonce, preuves à l'appui, les accusations mensongères et calomnieuses de M. G. Balufu, l'accusant de plagiat, et le menaçant ainsi que son preneur de son congolais Cedric Mbongo, de comparaître en justice", a indiqué sa maison de production, Les Films de la Passerelle, par le biais d'un communiqué de sa gérante et administratrice, Christine Pireaux. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />"L'Empire du silence" est le dernier film de Thierry Michel - une dizaine d'autres l'ont précédé au cours des trente dernières années - consacré à la RDC. Il a été présenté en avant-première mondiale fin octobre à Bruxelles et à trois reprises fin novembre à Kinshasa, dans la grande salle du Palais du Peuple, le siège des deux chambres du parlement (Assemblée nationale et Sénat). <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />"Trois jours après la présentation de son nouveau film (...), Thierry Michel est accusé, de manière mensongère et malveillante, de plagiat par Gilbert Balufu, réalisateur en 2015 du documentaire 'Congo, le silence des crimes oubliés'", ajoute le communiqué publié dimanche. <br /><br />Les Films de la Passerelle citent quelques exemples prouvant, selon la maison de production, qu'il ne s'agit pas de plagiat, dont le nombre de personnes qui témoignent dans "L'Empire du silence". Un seul protagoniste est commun aux deux films: il s'agit du docteur Denis Mukwege.<p></p><p><b>Belga</b></p>

Société Thierry Michel, accusé de plagiat par un cinéaste congolais, veut porter plainte

Le cinéaste belge Thierry Michel a annoncé dimanche son intention de déposer plainte devant la justice pour "diffamation" et "...

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UNIKIN : la chanson » Nini tosali te » et MPR au centre d’un examen à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhtHzMXD7E5RS-TyUO3t0O7HQHGfHhR8j65MsX-tDhUv4hxfUwExU7AZF0qFdOOg4s9A054gX-XpI7Jbw5Paf2DdK_wQ8t9OgCtznqdBD24FHQoogyuLzq3OtHzZOJZgiizO-xsfJuMJM7I0LSPG3kLNKBz-bVKuIV-50nqrGQGrFLlpCsOvypdJ5x82g=s659" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="492" data-original-width="659" height="239" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhtHzMXD7E5RS-TyUO3t0O7HQHGfHhR8j65MsX-tDhUv4hxfUwExU7AZF0qFdOOg4s9A054gX-XpI7Jbw5Paf2DdK_wQ8t9OgCtznqdBD24FHQoogyuLzq3OtHzZOJZgiizO-xsfJuMJM7I0LSPG3kLNKBz-bVKuIV-50nqrGQGrFLlpCsOvypdJ5x82g=s320" width="320" /></a></div> » Soit la chanson Nini tosali te (MPR) : Quel est le signe construit par l’auteur ? Quels sont les signes à partir desquels l’auteur a construit le signe ? Quels rapports établissez-vous entre ce signe et les signes qui l’ont construit ? « .<br /><br />Ce questionnaire vient d’être soumis aux étudiants de première Licence du département des Sciences de l’information et de la Communication, de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université de Kinshasa.<br /><br /><br />C’est dans le cadre du cours de Sémiologie de la communication, dispensé par le professeur Julien Mbwangi Mbwangi, que des étudiants ont eu à faire face, lors de la première session d’examens, pour l’année académique 2020-2021, à ce questionnaire portant essentiellement sur cette chanson qui défraye la chronique.<br /><br /><br />L’examen en question vient de s’ajouter aux multiples commentaires suscités dans les réseaux sociaux, par ladite chanson, vu son caractère interpellateur à l’endroit des dirigeants et responsables socio-économico-politiques. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />La rédaction de CONGOPROFOND.NET s’est penchée davantage sur cette démarche purement scientifique et non politique afin d’éclairer l’opinion sur les contours de cette œuvre qui a bougé toutes les sphères du pays.<br /><br /><br /><br />En effet, la chanson en tant que mode de communication, constitue bien évidemment un champ d’études et d’analyses de spécialistes des Sciences de l’information et de la communication.<br /><br />Le choix de » Nini tosali te « , par le professeur Julien Mbwangi, dans le cadre son cours, pourrait simplement se justifier par son caractère d’actualité. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Rappelons que » Nini tosali te ( Qu’avons-nous pas fait ?) « , est une œuvre du groupe musical MPR, qui vient d’accrocher plus d’un Congolais, parce qu’ interpellant les décideurs sur la misère de la population.<br /><br />Aussitôt lancée sur le marché de disques, elle a créé du boom dans le milieu aussi bien social que politique.<br /><br />Les réactions ont fusé de partout. Les hommes politiques, du pouvoir comme de l’opposition, ont donné de la voix quant à ce.<br /><br /><br />A l’instar de » Nakomitunaka » de Verckys Kiamuangana Mateta de 1973, qui s’interroge sur l’origine de l’homme noir, » Nini tosali te » s’appesantit, quant à lui, sur la situation sociale du peuple congolais qui ne s’améliore pas, en dépit de plusieurs changements des régimes politiques.<br /><br /> » Vous nous aviez promis le bonheur, après le départ de Mobutu. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Mobutu est parti, mais on a rien vu. Vous nous avez dit que tout va s’arranger si Kabila quittait le pouvoir. Kabila est parti, mais c’est toujours compliqué, malgré le changement de régime dans le pays « , soulignent ces jeunes artistes kinois du groupe MPR.<br /><br /><br />Notons qu’aussitôt interdite de diffusion par la commission nationale de censure le 08 novembre 2021, cette chanson a obtenu la levée de cette mesure par le même organe, un jour après, soit le mercredi 10 novembre 2021 grâce à un tollé général sans pareil !<br /><br />C’est ici l’occasion de féliciter le pouvoir de Félix-Antoinne Tshisekedi Tshilombo, pour son respect de la liberté d’expression et d’opinion.<br /><br />C’est une véritable interpellation des autorités, un éveil de conscience collective, pour l’amélioration des conditions de vie des congolais.<br /><br />Jules KISEMA/Congoprofond.net<p></p>

Education Musique UNIKIN : la chanson » Nini tosali te » et MPR au centre d’un examen à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines

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Signature, ce lundi à Brazza, d’un accord énergétique par la Tripartite Tshisekedi – Lourenço – Sassou

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXX7nYi0ZMo-5AdGGXpiVZpYZzyjVblL4O1gEZ_hsviBIaXSgeUMoRKwDXOZseCiB-4P9qZODiP22tAhTABasLHoYWADXTXMOn3Yy2-K_TyKVo4-c_iSYDKpfLQZwo-LfpOKDFZbdBo5c7D0Z_z_a-DwTKP1kcNKLJSK-7nB-jxg53wqA1343TPrH2Qg=s1490" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="836" data-original-width="1490" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXX7nYi0ZMo-5AdGGXpiVZpYZzyjVblL4O1gEZ_hsviBIaXSgeUMoRKwDXOZseCiB-4P9qZODiP22tAhTABasLHoYWADXTXMOn3Yy2-K_TyKVo4-c_iSYDKpfLQZwo-LfpOKDFZbdBo5c7D0Z_z_a-DwTKP1kcNKLJSK-7nB-jxg53wqA1343TPrH2Qg=s320" width="320" /></a></div> Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est attendu ce lundi 6 décembre 2021 à Brazzaville, pour participer à la tripartite entre la République Démocratique du Congo, la République du Congo et la République d’Angola.<br /><br />Les trois Présidents se retrouveront d’ici quelques heures pour parler de la coopération triangulaire entre voisins, principalement dans le secteur énergétique.<br /><br /><br />On apprend qu’à l’issue de cette rencontre tripartite de Brazzaville, un accord énergétique sera signé par les trois Chefs d’État. Aucun détail n’a été fourni en rapport avec cet accord qui pourra intervenir aujourd’hui. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Toutefois, il importe de rappeler l’impressionnant potentiel énergétique dont regorge la République Démocratique du Congo dont le porte-étendard se trouve être le barrage d’Inga, capable de subvenir aux besoins en énergie de tous ses voisins et d’une grande partie du continent africain.<br /><br />Pour les analystes, le dossier «Grand Inga» ou encore Inga III ne manquerait pas de faire l’objet des discussions entre les trois Chefs d’État.<br /><br />Le Phare<p></p>

Politique Signature, ce lundi à Brazza, d’un accord énergétique par la Tripartite Tshisekedi – Lourenço – Sassou

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est attendu ce lundi 6 décembre 2021 à Brazzaville, pour participer à la...

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Nouvelles mesures contre la 4eme vague Covid-19 : l’exemple doit venir d’en haut !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg5ariuH4cWaFd1_HtO6HHrDjQijsipTmW2PVEhs8wqsVW_-B8rmDA1_Aac5hJi7Yh6kAflIChVpmjHdpQsp9VmUZTHiSQHihXlZ8u5CWXKVSsZGXf5Rw8gf69AWOyeAxNhbL3zZSh4fmvrFDcaI-DGyLWqKOv5oVBcmvC0mHEmT7yq7zYNIO75bHjF_A=s993" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="993" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg5ariuH4cWaFd1_HtO6HHrDjQijsipTmW2PVEhs8wqsVW_-B8rmDA1_Aac5hJi7Yh6kAflIChVpmjHdpQsp9VmUZTHiSQHihXlZ8u5CWXKVSsZGXf5Rw8gf69AWOyeAxNhbL3zZSh4fmvrFDcaI-DGyLWqKOv5oVBcmvC0mHEmT7yq7zYNIO75bHjF_A=s320" width="320" /></a></div> De nouvelles mesures pour faire face à la 4eme vague de la Covid-19 sont imminentes. Alors que les autorités doivent prêcher par l’exemple, il s’est toujours remarqué, fort malheureusement, qu’elles-mêmes qui prennent des mesures, sont les premières à les violer.<br /><br />Au plus fort de la 3eme vague par l’exemple, le Chef de l’État avait annoncé, en juin dernier, des mesures dont certaines sont encore en vigueur aujourd’hui. Il s’agissait, notamment, de l’interdiction de l’organisation des funérailles, de la fermeture des boîtes de nuit et discothèques et de l’avancement du couvre-feu à 22h.<br /><br />Que n’ avait-on pas constaté ? A quelques jours seulement après l’annonce de ces mesures, Félix Tshisekedi lui-même assistait à des obsèques de son conseiller, Me Théthé Kabwe, aux côtés de plus de 500 personnes dont la plupart ne portaient même pas des masques et à l’absence totale de la distanciation sociale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le chef de l’État et toutes les autorités civilo-militaires ont aussi violé le couvre-feu à Lubumbashi lors de sa visite : « Vous êtes exemptés par ce que vous êtes avec le Chef de l’État », avait lâché Félix Tshisekedi dans une vidéo qui avait suscité tant d’indignations sur la toile.<br /><br />Partout sur le territoire, des informations faisant état du non-respect des mesures par les autorités étaient quotidiennent rapportées. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />A l’approche des festivités de fin d’année, il s’avère donc nécessaire, pour le respect strict de nouvelles mesures, que les autorités elles-mêmes prêchent par l’exemple.<br /><br />Pour rappel, le ministre de la santé publique avait, au cours d’un conseil des ministres en fin novembre, proposé notamment un possible confinement en vue de limiter la propagation de la 4eme vague de la maladie. Ce, au regard de la montée du taux de contamination en Europe et de la découverte d’un nouveau variant en Afrique Australe.<br /><br />Parmi les mesures proposées, il s’agit notamment de : la restriction des mouvements des personnes, renforcement du couvre-feu, limitation des rassemblements, réaménagement du travail dans l’Administration, la surveillance renforcée au niveau des frontières avec notamment des Tests Rapides.<br /><br />24sur24.cd<p></p>

Politique Santé Nouvelles mesures contre la 4eme vague Covid-19 : l’exemple doit venir d’en haut !

De nouvelles mesures pour faire face à la 4eme vague de la Covid-19 sont imminentes. Alors que les autorités doivent prêcher par l’exemple,...

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Interdiction de couper le bois rouge dans le Haut-Katanga

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbFxP5RPgDr9reZGKIEC4iAWGT3EyzmDZvi4PnyX-qcQnflBtRA3yaWfuRM_sSqeyFxhoQH2XaW-1bTyyOX855A9OSlgDTmGl7q2iuMYsuNWy9YykGYBAhH2jGIT8Q6Y7ReEybXY5Xa3TCN7NRy7h9bCHcCYXwMMZC9Vm2H3u2koiG2f-nylhvSeW7bw=s989" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="989" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbFxP5RPgDr9reZGKIEC4iAWGT3EyzmDZvi4PnyX-qcQnflBtRA3yaWfuRM_sSqeyFxhoQH2XaW-1bTyyOX855A9OSlgDTmGl7q2iuMYsuNWy9YykGYBAhH2jGIT8Q6Y7ReEybXY5Xa3TCN7NRy7h9bCHcCYXwMMZC9Vm2H3u2koiG2f-nylhvSeW7bw=s320" width="320" /></a></div> Le vice-gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a interdit aux exploitants forestiers artisanaux de sa juridiction de couper le bois rouge afin de conserver la nature sur toute l’étendue de la province.<p></p><br /><br />Cette mesure du Gouvernement Kyabula vise à renforcer encore plus les dispositifs en vue de protéger l’environnement à l’heure où le monde fait face au réchauffement climatique.<br /><br />C’était au cours de la réunion qu’il a présidée jeudi au gouvernorat à leurs intentions. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le Président des Exploitants Forestiers Artisanaux et Exportateurs du bois rouge Haut-Katanga, Jean Lwamba, a mis en garde tous ses membres quant au respect strict de cette décision.<br /><br />Jean-Pierre Ilunga Ngwej, Coordonnateur Provincial à l’Environnement est revenu sur cette mesure à l’issue de la réunion.<br /><br />ACP

Province Société Interdiction de couper le bois rouge dans le Haut-Katanga

 Le vice-gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a interdit aux exploitants forestiers artisanaux de sa juridiction de coup...

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Coopération Sino-congolaise : la Sicomines tourne le dos à la campagne menée contre la Chine et appelle le gouvernement congolais à faire confiance à l'élan de développement déjà entrepris

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEip6650Msrvw4SVV4thSlwAycwnrhZJJnXN6b6FVgWy-rLHHyaKDQr40Lt094Gyd1seyplPjSFatfVq8msQ3-f14hOiDFqGC4obEKwDEdwltQoVkwr3SQb66Ykurnb4f4l3V3ikv5Vl6LLAZZ2ZZTF3-UpLpbAKGSU7t8eSpJc_GjBo9xSpovXeeDWhOw=s1097" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="1097" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEip6650Msrvw4SVV4thSlwAycwnrhZJJnXN6b6FVgWy-rLHHyaKDQr40Lt094Gyd1seyplPjSFatfVq8msQ3-f14hOiDFqGC4obEKwDEdwltQoVkwr3SQb66Ykurnb4f4l3V3ikv5Vl6LLAZZ2ZZTF3-UpLpbAKGSU7t8eSpJc_GjBo9xSpovXeeDWhOw=s320" width="320" /></a></div> La Sino-congolaise des mines (Sicomines S.A), par le biais de ses services de communication, a fait une nouvelle mise au point par rapport aux enjeux de l’heure ce samedi 4 décembre. Elle annonce sa décision de se passer définitivement de la campagne menée depuis quelque temps par, dit-elle, “des occidentaux” contre la République de Chine. Dans la foulée, la Sicomines S.A appelle le gouvernement de la République Démocratique du Congo, à faire confiance à l'élan de développement déjà entrepris dans le cadre de ce partenariat dont le contrat est fait de manière “équitable”.<br /><br />« Le contrat Sino-congolais est une joint-venture qui respecte la répartition des parts et non une entreprise destinée à un groupe d'individus comme le prétendent les spéculations de ceux qui veulent entraver la bonne continuité ainsi que l'exécution intégrale de ce partenariat. Se référant au fameux rapport "Congo hold-up", la Sicomines révèle qu'il y a de ces signes qui ne trompent pas soulignant par exemple le fait de présenter la SICOMINES comme une entreprise entièrement chinoise et que ses actionnaires étant “ deux groupes industriels détenus par l'Etat chinois. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Or, l'Etat congolais y est présent à travers la Gécamines », écrit la Sicomines. <br /><br />La joint-venture Sino-congolaise considère que les opinions des occidentaux visent, pour seul l’objectif, à disqualifier ce partenariat existant entre les deux pays pour leur permettre de reconquérir le terrain.<br /><br /><br />« Dans la documentation réunie par le consortium European Investigative Collaborations (EIC) à l'initiative de laquelle l'enquête Congo Hold-Up est réalisée et est en diffusion depuis le 19 novembre, les opinions des journalistes, des activistes et des politiques occidentaux vont dans le sens de diaboliser la coopération sino-congolaise pour sa disqualification certes, mais surtout reprendre pied sur le continent africain, particulièrement la République Démocratique du Congo », explique la Sicomines.<br /><br />Et de poursuivre :<br /><br /><br />« Il s'observe dans le chef des gouvernements, des multinationales, des médias et des ONGs, les tirs groupés et croisés sur le contrat Sino-Congolais, tout en portant un message révélateur pour le peuple congolais en particulier, et africain en général. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Les puissances occidentales ayant exploité en solo les ressources naturelles de la RDC plus d'une centaine d'années avant la Chine se réveillent soudain pour rentrer sur le continent. Où étaient-ils au cours des 30 dernières années ».<br /><br />Bien plus, la Sicomines dit regretter le fait qu’il y ait certaines personnes, au sein de la presse notamment, qui parlent en mal de ce programme de partenariat et ce, sans se soucier de penser à approcher l’entreprise pour des éventuelles clarifications à propos de l’exécution ou non de tel ou tel autre projet.<br /><br />Des actions menées pour saboter la coopération Sino-congolaise<br /><br />La Sicomines dénonce, en outre, de multiples actions menées pour saboter les relations tant diplomatiques qu'économiques qu'entretiennent la Chine et la RDC, en l'occurrence le contrat qui lie les deux parties dans le cadre du partenariat sino-congolais.<br /><br /><br />« Alors que la Sicomines multiplie les stratégies et moyens pouvant répondre au bien-être socio-économique de la population de la RDC, les médias internationaux tirent à leur tour les ficelles par des spéculations sans fondement ni preuve concrètes, sans connaissance des contenus et contextes de ce contrat », renchérit la Sicomines. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />A propos du rapport Congo Hold-up, la Sicomines réaffirme sa position : « la Sicomines n’est impliquée ni de près ni de loin à des actes de corruption ou à la promotion des antivaleurs ».<br /><br />La joint-venture note que depuis la première exploitation industrielle des minerais du Congo au Katanga autour des années 1902 et 1906, jamais l'industrie n'a atteint le niveau de la SICOMINES S.A. en matière de technologie en équipements de production, en encadrement social et en protection de l'environnement, notant que c'est tout simplement parce que la Chine en a fait son fleuron avec intention d'une duplication en Afrique. Pour la Sicomines, « c’est sans doute cette perspective qui effraie et énerve les exploitants occidentaux qui, eux, ne veulent pas investir dans les nouvelles technologies ni dans l'encadrement social adéquat, encore moins dans la protection effective de l'environnement », tranche la Sicomines. <br /><br />La Sino-congolaise des mines dit rester attachée à son partenaire, la RDC, et s'emploie à trouver davantage des solutions adéquates capables de susciter le développement dans tous les territoires nationaux.<br /><br />Japhet Toko

Politique Coopération Sino-congolaise : la Sicomines tourne le dos à la campagne menée contre la Chine et appelle le gouvernement congolais à faire confiance à l'élan de développement déjà entrepris

La Sino-congolaise des mines (Sicomines S.A), par le biais de ses services de communication, a fait une nouvelle mise au point par rapport ...

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Activités au Nord-Kivu et Ituri : Julien Paluku s'est exprimé à Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjFs1MNvvkDJ9q4zwzRgHr9_78VQhmR2kBi9jQhnFnpGleYq20BIEDQwcbF_ayaUbDQcw_P_-7MFCMdIQT5nfzeqg3MWhbWEFDCjyl1suyQ0T56NRD3TtO7SM1xweCyOiejOr0-K2C8kSAHlfeARLKYq3Ra0K1-7trdTYAi-2dGZa6-KcX3Qptn4s_8Fw=s1271" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="713" data-original-width="1271" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjFs1MNvvkDJ9q4zwzRgHr9_78VQhmR2kBi9jQhnFnpGleYq20BIEDQwcbF_ayaUbDQcw_P_-7MFCMdIQT5nfzeqg3MWhbWEFDCjyl1suyQ0T56NRD3TtO7SM1xweCyOiejOr0-K2C8kSAHlfeARLKYq3Ra0K1-7trdTYAi-2dGZa6-KcX3Qptn4s_8Fw=s320" width="320" /></a></div> L’évolution de la situation sécuritaire dans les provinces de Nord-Kivu et Ituri ne cesse de troubler les dignes fils du Congo soucieux du climat sécuritaire dans la partie Est de la République Démocratique du Congo.<br /><br />L’ancien gouverneur du Nord-Kivu et actuellement ministre de l’industrie, Julien Paluku Kahongya, est arrivé à Goma ce Dimanche 5 décembre 2021 où il a tenu à s’exprimer devant la population venue lui rendre un accueil chaleureux.<br /><br />L’ancien gouverneur de la province du Nord-Kivu a, devant les hommes et femmes venus l’accueil, lancé un message de réconfort. Dans son allocution, le membre du gouvernement Sama Lukonde a exhorté la population de deux provinces sous état de siège de vivre dans la paix et la solidarité. Le ministre de l’industrie a dont fait savoir qu’il n’y a aucun changement sans la mise en place dans le chef de la population de deux provinces de valeurs constructrices afin de faire avancer l’État. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />« Je suis à Goma d’abord comme un fils de cette province et membre du gouvernement congolais, mon premier message est seul de solidarité et de paix envers toute la population du Nord-Kivu et de L’ituri » a-t-il déclaré<br /><br />Dans la foulée, l’ancien patron de l’exécutif provincial du Nord-Kivu a exhorté la population des provinces sous état de siège à soutenir les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Selon lui, la coopération entre population et FARDC permettra de stopper les actions infructueuses de l’ennemi et permettra à la population de recouvrer sa totale liberté. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Les massacres et tueries sont, selon Julien Paluku, des actions infructueuses de l’ennemi qu’il faut à tout prix arrêter et seule la collaboration entre la population et l’armée peut servir à grand chose.<br /><br />Venu voir la population du Nord-Kivu et de l’Ituri vivant sous l’état de siège depuis le 06 mai dernier, le ministre de l’industrie devra poursuivre son chemin vers Bukavu dans la province du Sud-Kivu où il est attendu au 2ème congrès du BUREC.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p></p>

Politique Activités au Nord-Kivu et Ituri : Julien Paluku s'est exprimé à Goma

L’évolution de la situation sécuritaire dans les provinces de Nord-Kivu et Ituri ne cesse de troubler les dignes fils du Congo soucieux du ...

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Élections 2023 : La CENI se dote d'une feuille de route

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgb_Rm1pv9l24wGDjV1mGx79lZFeWqITj30d6MCXsu4UFPKarblFYAVCg-uNpdS2GE1FkdSq-m4LSsJwjn4GozOAvvLRSzqqZ9KtVLUJHSJENAnT6w5DigBxS9nIsqJ_DOh2HWU5d_jYoY2tmcCofuAVzkqFG-da0FmzRjC-pVGVnJf3nYi7bnmNA2Cww=s989" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="989" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgb_Rm1pv9l24wGDjV1mGx79lZFeWqITj30d6MCXsu4UFPKarblFYAVCg-uNpdS2GE1FkdSq-m4LSsJwjn4GozOAvvLRSzqqZ9KtVLUJHSJENAnT6w5DigBxS9nIsqJ_DOh2HWU5d_jYoY2tmcCofuAVzkqFG-da0FmzRjC-pVGVnJf3nYi7bnmNA2Cww=s320" width="320" /></a></div>La Commission électorale nationale indépendante (CENI) s'est dotée d'une feuille de route des opérations électorales de 2023. C'était au terme du séminaire d'imprégnation organisé, à Kinshasa, en République démocratique du Congo, du 26 novembre au 05 décembre 2021, à l'intention des membres du bureau et de l'assemblée plénière de la Centrale. <br /><br />D'après le président de cette institution d'appui à la démocratie, Denis Kadima, ces assises ont permis également à la CENI de disposer d'un budget des opérations électorales futures.<br /><br /><br />"Que dire des résultats palpables de ce séminaire ? En fait, ce séminaire a permis à la CENI de disposer désormais d'une feuille de route, des orientations en rapport au plan stratégique que nous allons développer dans l'avenir, un budget des opérations futures, d'un plan logistique des opérations, d'un canevas des réformes du cadre légal, d'une stratégie de sensibilisation et d'une stratégie de communication publique. Nous pouvons affirmer aujourd'hui, que la CENI a balisé le chemin qui va conduire le pays aux élections futures que tous, nous voulons vivre démocratiques et transparentes, avec la participation de toutes les parties prenantes au processus électoral", a-t-il dit dans son discours. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour lui, ce séminaire a aussi apporté un plus dans la connaissance des membres de la CENI sur les fondamentaux à maîtriser pour diriger cette institution.<br /><br /><br />"La CENI vient de consacrer 10 jours de réflexion et d'analyse critique sur les matières électorales, du 26 novembre au 05 décembre, durant ce séminaire d'imprégnation structurelle et thématique des membres du bureau et de l'assemblée plénière de la CENI. Cet exercice intellectuel, loin d'avoir fatigué les esprits, a plutôt apporté un plus dans la connaissance des uns et des autres sur les fondamentaux qu'il faut maîtriser pour prétendre administrer avec efficacité une institution de l'ampleur de la CENI. À cette occasion, les membres de la CENI ont eu l'opportunité d'apprécier les compétences techniques et professionnelles dont regorge l'institution à travers les différents exposés sur les thématiques opérationnelles transversales et spécifiques et au cours des travaux en commissions", a renchéri le président de la Centrale électorale.<br /><br />Par la même occasion, Denis Kadima a exhorté les uns et les autres à adopter un comportement responsable pour mener à bon port la mission leur confiée, celle d'organiser les élections de 2023. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />"En substance, ça signifie que nous avons l'appui du gouvernement. Mais en même temps, nous sommes observés. Tous nos actes sont analysés et je pense que si nous nous comportons bien, les choses iront pour le mieux. Le message est clair, c'est une question de bonne gouvernance. Nous devons toujours nous rappeler que nous sommes un pays qui n'est pas pauvre mais disons un pays qui n'a pas des moyens de sa politique. Donc, les quelques ressources qu'on nous donne, ça signifie que d'autres segments de la société ont été sacrifiés. Donc, nous devons en être très conscients", a-t-il déclaré.<br /><br />Il a, par ailleurs, remercié les conférenciers extérieurs qui ont apporté de l'éclairage sur la manière de mener les opérations électorales, mais aussi les agents et cadres de la CENI ppour avoir contribué à la réussite de ce séminaire, tout en les encourageant à l'aller de l'avant.<br /><br />Pour rappel, trois grands temps ont marqué le séminaire d'imprégnation des membres de la CENI, à savoir : l'imprégnation structurelle, l'imprégnation thématique, mais aussi des travaux en commissions dont la validation des conclusions a constitué la feuille de route des prochaines opérations électorales.<br /><br />Prince Mayiro<p> </p>

Politique Élections 2023 : La CENI se dote d'une feuille de route

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) s'est dotée d'une feuille de route des opérations électorales de 2023. C'...

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RDC : Grâce à l'impulsion du chef de l'État, la DGDA dotée d’infrastructures modernes au poste de Kasumbalesa

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsTveFDpP7CT1ceV0o_tM3zWYeD_Dr0OkC0IQpLkz9gf0LY_L1qfDgv1Oss3ubDOgOS9z1BWtQiF0aV_w9JN4LpWW-7pHAg2Cr3N_c98vILYHx99UggKieT2_YoSMgd9sK5Elxq4ID58ZDoo7eeEtMCZtL7cTPdP7rcOVUSyqPx3N2W7B-U-jrWxD-bw=s965" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="965" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsTveFDpP7CT1ceV0o_tM3zWYeD_Dr0OkC0IQpLkz9gf0LY_L1qfDgv1Oss3ubDOgOS9z1BWtQiF0aV_w9JN4LpWW-7pHAg2Cr3N_c98vILYHx99UggKieT2_YoSMgd9sK5Elxq4ID58ZDoo7eeEtMCZtL7cTPdP7rcOVUSyqPx3N2W7B-U-jrWxD-bw=s320" width="320" /></a></div><p></p><br />La Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA), une des régies financières de la République démocratique du Congo, vient d’être dotée d’un nouveau bâtiment moderne, construit selon les standards internationaux, au poste de Kasumbalesa dans la province du Haut-Katanga. <br /><br />L'information a été confirmée à 7SUR7.CD ce lundi 6 décembre 2021 par des sources proches de la DGDA. À les en croire, ce bâtiment est aussi doté d'un système informatique de haute technologie et d'une voie d’évacuation exclusivement douanière. <br /><br /><br />"En effet, la volonté exprimée par le chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo de voir Kasumbalesa jouer pleinement son rôle de l’un des plus grands postes douaniers aux frontières d'Afrique Australe, s’est concrétisée", a affirmé une de nos sources. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />En outre, ce bâtiment moderne de 2.400 m² est équipé des matériels nécessaires à l’ordre opérationnel. Cet ouvrage est doté d’un parking de 250.000 m² et d’un matériel numérique de "haute technologie". <br /><br /><img src="https://www.7sur7.cd/sites/default/files/inline-images/IMG-20211206-WA0034.jpg" /><br /><br />Toujours selon nos sources, ces infrastructures seront inaugurées dans les tout prochains jours. Le but est de permettre à la DGDA d'améliorer la qualité des services dans le souci de consolider l’augmentation des recettes publiques. <br /><br /><br />"Ces nouvelles infrastructures ont été construites avec des fonds propres générés à Kasumbalesa grâce à l’implémentation d’un dispositif anti-coulage des recettes douanières 100% congolais opérationnel depuis près de 2 ans", renchérissent-elles. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Elles précisent par ailleurs que la traçabilité des recettes a été restaurée à la DGDA. Cela a eu comme effet, la hausse des revenus de ce poste frontalier qui dépassent les 1.000% et l'amélioration de la gestion du trafic import-export.<br /><br />Signalons par ailleurs que la mise en œuvre de ce projet a été suivi par le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui, selon nos sources, tient à l’amélioration de la gestion de ce poste frontalier du pays et sa numérisation avec l’accompagnement des compétences locales. <br /><br />Jephté Kitsita<p> </p>

Société RDC : Grâce à l'impulsion du chef de l'État, la DGDA dotée d’infrastructures modernes au poste de Kasumbalesa

La Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA), une des régies financières de la République démocratique du Congo, vient d’être dotée d...

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Des ex-otages des ADF racontent la vie de ces rebelles : « Ils mangent difficilement. Parfois des maniocs ou des bananes sans sel »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEheo1um6o0y2N2wfdCfw7p-KszlmMU2ffNGubww1fNjRsTKd2ryzSTTlDZkb9APfibcW8Qu73rRMrvl-jzmEBKuGWm7Hm_TCBXTPuh3bDnyf03FlPvPImORe1ax6c65AI-LzwqOEp16PAH5JCwHTeFAaZMqJ4A01ASTBqg9LfIuhxKLx1a1G58nx0Ob0Q=s1267" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="665" data-original-width="1267" height="168" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEheo1um6o0y2N2wfdCfw7p-KszlmMU2ffNGubww1fNjRsTKd2ryzSTTlDZkb9APfibcW8Qu73rRMrvl-jzmEBKuGWm7Hm_TCBXTPuh3bDnyf03FlPvPImORe1ax6c65AI-LzwqOEp16PAH5JCwHTeFAaZMqJ4A01ASTBqg9LfIuhxKLx1a1G58nx0Ob0Q=s320" width="320" /></a></div> Des rebelles Ougandais de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF) traversent des conditions de vie difficiles dans la brousse dans le territoire de Beni, au Nord-Kivu, et en Ituri, où ils se replient chaque fois après des attaques contre la population de cette partie de la République démocratique du Congo.<br /><br />Deux des 35 otages relâchés, le mercredi dernier, ont confié une interview exclusive à Actu30.cd. Ils font savoir que, dans la forêt, ces rebelles ADF détiennent des plantations des maniocs, des haricots et d’autres produits qu’ils exploitent juste pour leur survie.<br /><br />Un chauffeur Tanzanien qui figurait parmi ces otages, indique que ce sont les otages qui entretiennent ces plantations. Il ajoute que parmi ces rebelles il y a des citoyens Congolais, Tanzaniens, Burundais, Kényans, etc.<br /><br />À l’en croire, les rebelles ADF ont invité ces otages à devenir des musulmans pour qu’ils évitent de se faire tuer par eux. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« La vie que nous avons trouvée là-bas, ce n’est pas la meilleure. Ils nous ont soumis aux travaux d’entretien des maniocs, des arachides, des haricots et autres. D’autres entretenaient des champs. Ces ADF sont des gens normaux et sont de la religion musulmane. Ils nous ont demandé de devenir des musulmans. Parmi eux, il y a des Congolais, des Tanzaniens, des Somaliens, des Burundais, et même des Rwandais. Des éthiopiens sont là-bas », déclare-t-il sous l’anonymat.<br /><br />L’autre otage, un Congolais, affirme que les rebelles ADF mangent difficilement. Tantôt, des nourritures sans sel ou huile, dit-il.<br /><br />Ce dernier révèle que ces rebelles libèrent certains après paiement des rançons, avant de confirmer aussi l’existence de plusieurs nationalités dans les rangs des ADF. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Ils mangent difficilement. Parfois des maniocs ou des bananes sans sel (…) Quand les voyez-vous vous voyez que réellement ils sont souffrants vraiment. Il y a toutes les nationalités, sauf les pygmées. Nous étions nombreux mais d’autres avaient été libérés après avoir payé de l’argent. C’est par pitié qu’ils nous ont libérés », relate cet ex-otage.<br /><br />Tous ont confirmé le bombardement des positions ADF par des avions militaires. Ils soulignent que les différentes opérations militaires ont anéanti considérablement la force des rebelles ADF.<p></p><p>Anderson Shada Djuma<br />Actu 30</p>

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Des rebelles Ougandais de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF) traversent des conditions de vie difficiles dans la brousse dans le ter...

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Congo Hold-up : Ce silence assourdissant de Fayulu et Katumbi!

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjVdTnB2Y4vPVrITkqQcas5AJYP9RKoJwU5r4f8ZnKdXlZ5Jmw12hxIWga6EGWmgJzUy9j7BpxV0K9M5w6pWKebGAM9EvzRv88mMhcZbz_XOTEX4Hy9Yl8m8uNVPh7Pnus1a5ijY3H-OJZV0qwER9dbN1HSXyMAudThzChrxIggH6ukgVwJi38s94-QRQ=s1357" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="930" data-original-width="1357" height="219" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjVdTnB2Y4vPVrITkqQcas5AJYP9RKoJwU5r4f8ZnKdXlZ5Jmw12hxIWga6EGWmgJzUy9j7BpxV0K9M5w6pWKebGAM9EvzRv88mMhcZbz_XOTEX4Hy9Yl8m8uNVPh7Pnus1a5ijY3H-OJZV0qwER9dbN1HSXyMAudThzChrxIggH6ukgVwJi38s94-QRQ=s320" width="320" /></a></div>Congo Hold-up, ce titre qui fait la Une des médias et le plus commenté des hauts lieux de débats dans le pays comme ailleurs ne semble pas intéresser curieusement, Martin Fayulu dit poids lourd de Lamuka aile dure de l’opposition Congolaise et Moïse Katumbi Chapwe président du parti Ensemble pour la République, membre de l’Union Sacrée, coalition politique au pouvoir à Kinshasa.<br /><br />Les deux acteurs politiques connus pour leurs réactions sur des sujets d’actualité donnent brusquement leurs langues au chat pour le cas de Congo Hold-up. La grande question ici est de savoir, le pourquoi de cette attitude?<br /><br />Grandes gueules, Fayulu et Katumbi reçoivent depuis peu des tirs de combattants qui en appellent à leurs différents mots dans l’un ou l’autre sens. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Cela n’est que juste pensent-ils au regard de l’importance du sujet qui pointe du doigt, l’ancien régime dans le détournement des deniers publics via une Banque citée dans plusieurs autres publications dénonçant la mafia au sommet de l’Etat sous Kabila. Qui ne dit mot consent, dit une sagesse. Que pensent Fayulu de ce rapport sulfureux ? s’interrogent plusieurs des combattants sur les réseaux sociaux. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour le cas de Katumbi par exemple, co- gestionnaire du pays pendant près de 12 ans ensemble avec Kabila se sentirait-il visé par cette dénonciation sur la gabegie financière en RDC ? La réponse n’est pas loin de l’affirmative, fait remarquer un analyste spécialiste du Congo. Province la plus riche, le Katanga pourtant entre les mains de Moïse Katumbi, 8 ans durant n’a jamais livré son secret sur le pourquoi elle peinait à donner le meilleur d’elle même à la population comme du beau vieux temps alors que Katumbi faisait croire à la galerie que tout marchait comme sur des roulettes<br /><br />Une autre paire de manche sur laquelle nous reviendrons mais dans l’entre temps,<br />Fayulu et Katumbi, vivement vos réactions sur Congo Hold-up.<div><br />Zamenga Odimbale<br />Actu 7 <p><br /></p></div>

Politique Congo Hold-up : Ce silence assourdissant de Fayulu et Katumbi!

Congo Hold-up, ce titre qui fait la Une des médias et le plus commenté des hauts lieux de débats dans le pays comme ailleurs ne semble pas i...

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Félix Tshisekedi va s’adresser à la Nation le 13 décembre devant le congrès

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjRn2-xvRcioB-RljBjhwaRKWFqfjga4a8pB83ALculenfC4Y-TkIyAbUooY-ZBQxYPj3JOZpBrM33rQGtKNkvo__d4ILLOibpKnQ8bAdckafE5gk_YRtkz6fnWhG4QaV9eeOJ2R7XrpKHoDycGa_XP52Z48XIwiWpqhKwR6c0sF7agfa2sf12vQY8KJw=s1341" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="890" data-original-width="1341" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjRn2-xvRcioB-RljBjhwaRKWFqfjga4a8pB83ALculenfC4Y-TkIyAbUooY-ZBQxYPj3JOZpBrM33rQGtKNkvo__d4ILLOibpKnQ8bAdckafE5gk_YRtkz6fnWhG4QaV9eeOJ2R7XrpKHoDycGa_XP52Z48XIwiWpqhKwR6c0sF7agfa2sf12vQY8KJw=s320" width="320" /></a></div>Le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi s’adressera à la Nation le 13 décembre prochain devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès. Il a déjà saisi pour ce faire les bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat.<br /> Ceci est une exigence constitutionnelle pour faire l’état de la Nation. L’adresse de Tshisekedi interviendra deux jours avant la clôture de la session de septembre.<div><br /></div><div>Il s’agira du troisième discours de Félix Tshisekedi sur l’état de la Nation depuis son avènement à la tête du pays. </div><div><br /></div><div>Son adresse est attendue dans un contexte où le pays est confronté à l’insécurité grandissante dans sa partie orientale où deux provinces ont été placées sous état de siège depuis six mois. Cette mesure n’ayant pas apporté de résultats positifs, les troupes ougandaises sont intervenues et mènent des opérations depuis le 30 novembre dernier contre les combattants ADF dans le territoire de Beni.<p>Actualite.cd</p><p> </p></div>

Politique Félix Tshisekedi va s’adresser à la Nation le 13 décembre devant le congrès

Le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi s’adressera à la Nation le 13 décembre prochain devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès....

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Koffi Olomide déjà à Kigali pour un concert

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhNyBjDr14NX8cCqj68HJm-tfAjLcXm-hgHCei4M5axA-SHnFkTn-ljVMdgEPv7B4y3kVDUfmSaslKTu8qC1BKQ0p--2We1dgkN8e-0oEU8oyNGsPawAiDW5PUrZJaqJS0msHVEFnFJwwJFbcHhQ42PJEnw7veBYcNdQDmLDtDSwPCHz1rKRuUv7QrmmQ=s1049" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="608" data-original-width="1049" height="185" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhNyBjDr14NX8cCqj68HJm-tfAjLcXm-hgHCei4M5axA-SHnFkTn-ljVMdgEPv7B4y3kVDUfmSaslKTu8qC1BKQ0p--2We1dgkN8e-0oEU8oyNGsPawAiDW5PUrZJaqJS0msHVEFnFJwwJFbcHhQ42PJEnw7veBYcNdQDmLDtDSwPCHz1rKRuUv7QrmmQ=s320" width="320" /></a></div>Après un périple à Beni où il a compati avec ses compatriotes, Koffi Olomide est arrivé vendredi 3 décembre à Kigali, la capitale du Rwanda.<br /><br />Le grand Mopao devra livrer un concert live en terre rwandaise dans la salle Kigali Arena, ce samedi 4 décembre.<br /><br />Arrivé à l’hôtel où il est logé, Papa Rappa a reçu un accueil chaleureux digne à son aura dans la musique africaine. Il a reçu une gerbe des fleurs des mains propres des hôtesses venues pour l’accueillir.<br />Bien avant son arrivée au pays de Paul Kagame, Papa Mobimba a invité au cours d’une vidéo sur les réseaux sociaux, tous ses fans rwandais à prendre part à ce spectacle.<br /><br />Jegou – Miguel<p> </p>

Musique Koffi Olomide déjà à Kigali pour un concert

Après un périple à Beni où il a compati avec ses compatriotes, Koffi Olomide est arrivé vendredi 3 décembre à Kigali, la capitale du Rwanda....

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RDC: quand la mafia s’organise dans le circuit de la dépense publique

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiqNelD30sG0uzMbeuA5gkyGMgU6JhnI_tui9XmaXlZPG3V4r58Vuy7t7QgeemMn-Z0Mj7oG2xjMdCZQvGDJWQnZUizmnoi2w4FbR0fZdEO7s41WJwS12VKu6q45Sf437RlIdqEAxTQlrCxqxa1bXh89CPQYR0c79r3Re3RLvZMctOGbTnLuUrzCh-59A=s1272" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="716" data-original-width="1272" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiqNelD30sG0uzMbeuA5gkyGMgU6JhnI_tui9XmaXlZPG3V4r58Vuy7t7QgeemMn-Z0Mj7oG2xjMdCZQvGDJWQnZUizmnoi2w4FbR0fZdEO7s41WJwS12VKu6q45Sf437RlIdqEAxTQlrCxqxa1bXh89CPQYR0c79r3Re3RLvZMctOGbTnLuUrzCh-59A=s320" width="320" /></a></div>Le changement intervenu au sommet de l’Etat avait donné une lueur d’espoir sur la gestion des finances publiques. Des scandales financiers qui se multiplient ces derniers jours démontrent qu’il reste beaucoup à faire en matière de contrôle. La dernière sortie médiatique du ministre des finances Nicolas Kazadi sur une radio locale (Top Congo) laisse croire qu’aucune réforme d’envergure n’a été envisagée jusque-là pour freiner l’hémorragie.<br /><br />Cette fois, des réseaux mafieux s’organisent au niveau de la chaîne de la dépense publique. Nicolas Kazadi a lui-même admis ouvertement qu’il est dans certains cas induit en erreur par ses services, dans un entretien à l’émission Face à Face avec Christian Lusakueno, en début de la semaine. Il a par exemple procédé par deux fois à autoriser un même paiement à hauteur de neuf cent mille dollars en faveur du Ministère de la culture et art. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> « C’est une situation dramatique, mais il y en a beaucoup qui arrive comme ça. Quand j’ai signé, je ne savais pas que le même document avait déjà été payé. Problème: le ministère du budget aurait envoyé le DTO avec la mention régularisation, ce qui n’a pas été fait. Du coup, le ministre du budget et moi avons été abusés par nos services. Malheureusement, le bénéficiaire s’est fait payer à la BCC », a-t-il regretté.<br /><br /><br />D’après le manuel des procédures du circuit de la dépense publique, les contrôleurs budgétaires jouent un rôle de premier plan avant tout paiement par le trésor public. Objectif, s’assurer de la régularité de l’acte budgétaire. Sans moyen ni considération, le métier n’est pas valorisé par l’Etat, affirment certains à Tsieleka. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Couplés à l’inspection générale des finances, qui a déployée ses agents dans le cadre de la patrouille financière, la combinaison des deux actions devrait en principe apporter des effectifs positifs. Pour l’instant, la situation va de mal en pis.<br /><br />«On nous a aussi fait pression pour le paiement d’un DTO, qui concerne la construction d’une caserne pour militaire à Mbandaka. J’ai eu des doutes sur la réalité de ce projet », raconte le ministre des finances à Top Congo. Et de poursuivre, « dans le document on m’a fait comprendre que les travaux ont été achevés, en me présentant un PV de réception des ouvrages. J’envoie une mission pour vérifier et celle-ci trouve que rien n’a été fait sur place. On a juste démoli ce qu’il y avait. Le coût de démolition, c’est juste 25.000 dollars. Puis, on n’a jamais construit la moindre brique. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Mais ils prétendaient que la construction avait été faite à 70% avec 11 villas pour 6 millions de dollars. Heureusement que je n’ai pas payé. Et ils ont abusé le Ministre de la défense qui est rigoureux dans son travail ».<br /><br />D’après certains experts, il est temps de déconcentrer l’ordonnancement de la dépense publique et de basculer vers le budget-programme, en application à la loi relative aux finances de juillet 2011. Ceci induit une responsabilisation accrue des acteurs. La redynamisation de la cour des comptes aurait également un effet dissuasif, d’après la recommandation des experts en atelier de validation du nouveau stratégique de la réforme des finances publiques. La campagne lancée par l’observatoire de la dépense publique (Odep) pour la viabilisation des organes de contrôle étatique, va donc dans ce sens pour rendre les finances publiques au service de la lutte contre la pauvreté.<br /><br />tsieleka.com<p></p>

Politique RDC: quand la mafia s’organise dans le circuit de la dépense publique

Le changement intervenu au sommet de l’Etat avait donné une lueur d’espoir sur la gestion des finances publiques. Des scandales financiers q...

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RDC : Félix Tshisekedi recommande au gouvernement d’attribuer une partie de la concession de la MIBA à la SNEL

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgM0c7ZMgnBJIupqRvtkln4r6Vl-82jKJ5qDK9wBa-6z7oKQKNbipm6A67GiWE0iUOxnKwXA8BsxvxpVL0m7WlJaWb8ywv6ls616GUh4H8kDidDDT6zVOCduDm3f_9F-keR3_tXgTl808MnvkZHSLFhsMM4O0R0IrjargdkCQ2Fgsm8xSpFCRGeLUHl9A=s995" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="557" data-original-width="995" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgM0c7ZMgnBJIupqRvtkln4r6Vl-82jKJ5qDK9wBa-6z7oKQKNbipm6A67GiWE0iUOxnKwXA8BsxvxpVL0m7WlJaWb8ywv6ls616GUh4H8kDidDDT6zVOCduDm3f_9F-keR3_tXgTl808MnvkZHSLFhsMM4O0R0IrjargdkCQ2Fgsm8xSpFCRGeLUHl9A=s320" width="320" /></a></div> Le gouvernement central de la RDC devra faciliter l’attribution à la Société nationale d’électricité (SNEL) d’une partie de la concession de la Minière de Bakwanga (MIBA). Le Président de la République, Félix Tshisekedi a fait cette recommandation vendredi 3 octobre, lors du Conseil des ministres. Cette dotation permettra d’entamer la réalisation des travaux de la fournitire d’électricité et d’adduction d’eau potable à Mbuji-Mayi dans le Kasaï-Oriental.<br /><br /><br />En effet, la REGIDESO est éligible, depuis 7 ans, à un financement sous forme de don de l’institution financière allemande KFW (Kreditanstalt für Wiederaufbau) pour un montant de 20 millions USD. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <p></p><p><br /><br />La KFW conditionne le lancement des travaux visant la production d’électricité de la centrale hydroélectrique de Tshiala II à huit (8) mégawatts, à la mise à disposition par l’État congolais, au profit de la SNEL, d’une partie de la concession où sont installées actuellement les centrales hydroélectriques Tshiala 1, Lubilanji 1 et 2, propriétés de la MIBA.<br /><br />A en croire Félix Tshisekedi, il y a risque de ce financement, aussi bien pour la province du Kasaï-Oriental que pour la MlBA. L’entreprise minière devra, à travers ce projet, bénéficier d’une partie de l’énergie nécessaire pour la relance de ses activités.<br /><br />Le Président de la République a donc demandé aux Ministres du Portefeuille, celui des Ressources Hydrauliques et Electricité ainsi que celui des Affaires Foncières de faciliter l’attribution d’une partie de la concession de la MIBA à la SNEL, au nom de l’Etat congolais. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br /><br />Construit initialement pour desservir une ville de quelques dizaines de milliers d’habitants seulement, le réseau de distribution d’eau de la Regideso à Mbuji-Mayi n’est plus en mesure de combler le besoin en eau de cette population estimée actuellement à environ 2 millions d’habitants.​<br /><br /> <br /> radiookapi.net</p>

Politique RDC : Félix Tshisekedi recommande au gouvernement d’attribuer une partie de la concession de la MIBA à la SNEL

Le gouvernement central de la RDC devra faciliter l’attribution à la Société nationale d’électricité (SNEL) d’une partie de la concession d...

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Les recettes de la ville de Kinshasa chiffrées à 705.887.175.012 FC contre 705.469.238.002 FC des dépenses effectuées en 2020

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiYIW9qTpvdEgALJGXF3GsDlM5aHT3RU-JVvSWRIfX64GUEVn2IgdrluGK6JauP9ozI5qo_Z_p4MwT8EWZNvNBFFz-8ZuQVtY7TaBEDL-vO_Cvt3yijJT2R2GRvhifP1JMmiJIBgmZPb07RPgcR7jK-zZ6JMUk1nd4iHWSmtAfp4CWCzjzZCRzv_s85Tw=s824" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="587" data-original-width="824" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiYIW9qTpvdEgALJGXF3GsDlM5aHT3RU-JVvSWRIfX64GUEVn2IgdrluGK6JauP9ozI5qo_Z_p4MwT8EWZNvNBFFz-8ZuQVtY7TaBEDL-vO_Cvt3yijJT2R2GRvhifP1JMmiJIBgmZPb07RPgcR7jK-zZ6JMUk1nd4iHWSmtAfp4CWCzjzZCRzv_s85Tw=s320" width="320" /></a></div><p></p>Le ministre provincial des Finances et économie, Jean Ngoie Mvunzi, a affirmé jeudi que l’Exécutif provincial a mobilisé des recettes de l’ordre d’ environ 705.887.175.012 FC contre 05.469.238.002 FC de dépenses effectuées pour réaliser son plan action de l’année passée, lors de la présentation de l’édit portant reddition des comptes de la ville pour l’exercice 2020, à l’Assemblée provinciale de Kinshasa (APK).<br /><br />Le ministre Jean Ngoie Mvunzi a indiqué que ce projet d’édit s’appuie sur les politiques publiques définies par le gouverneur de la ville dans le cadre de la mise en œuvre du programme « Kinshasa- Bopeto ». Lequel programme est prioritairement consacré à la réalisation des projets et actions liés à des secteurs tels que l’administration et la sécurité, l’assainissement, l’éducation, la santé publique, la voirie urbaine ainsi que l’aménagement du territoire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script>  <div><br /></div><div>« Du point de vue formel, du budget de l’exercice 2020 étaient arrêté en équilibre à 980.043.040.508,00 Franc congolais dont 907.012.998.191,00 CDF du budget général et 73.030.042.316,69 CDF des budgets annexes », a-t-il rappelé.<br /><br />Il a précisé que ce budget avait comme prévisions des recettes et des dépenses en équilibre de l’ordre respectivement de 705.887.175.012, 50 FC contre 705.469.238.002,36 FC, signalant que son exécution a conduit à un excédent de 407.937.010,14 FC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Après la présentation de son rapport, une série des questions de la part des députés ont été posées au ministre sur plusieurs points contenus dans cet édit, notamment sur la faible mobilisation de recettes. <div><br /></div><div>ACP </div></div>

Economie Les recettes de la ville de Kinshasa chiffrées à 705.887.175.012 FC contre 705.469.238.002 FC des dépenses effectuées en 2020

Le ministre provincial des Finances et économie, Jean Ngoie Mvunzi, a affirmé jeudi que l’Exécutif provincial a mobilisé des recettes de l...

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RDC : Le Conseil des ministres adopte le Projet de Loi portant habilitation du Gouvernement

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhBpzbDrz1_qnMuIhLchkBy2Fp4t6OLiB76hRDlTWnJfg2nr1fBje5vpB3WTOz3DJypp_qkcDho9fS3BrwKOdoUDO2N3TAUOEMzrepQJCrxjnolvg_rM-hOtc8WKqK-Ub-kpDJM9FqYfuvsqSwPRHbnZNWeFl7IjQ84cwqnorTHSSnMCUvYa3if1Lv1wQ=s991" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="991" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhBpzbDrz1_qnMuIhLchkBy2Fp4t6OLiB76hRDlTWnJfg2nr1fBje5vpB3WTOz3DJypp_qkcDho9fS3BrwKOdoUDO2N3TAUOEMzrepQJCrxjnolvg_rM-hOtc8WKqK-Ub-kpDJM9FqYfuvsqSwPRHbnZNWeFl7IjQ84cwqnorTHSSnMCUvYa3if1Lv1wQ=s320" width="320" /></a></div>La ministre d’Etat en charge de la Justice et Garde des Sceaux a présenté le 3 décembre 2021, à l’attention du Conseil des ministres, le projet de Loi portant habilitation du Gouvernement à prendre, pendant un temps limité, des mesures qui relèvent du domaine de la Loi. Et ce, conformément à l’article 129 alinéas 1 et 2 de la Constitution. <br /><br />C'est ce que renseigne le compte-rendu du conseil des ministres signé par le ministre de la Communication et Médias, et porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya. <br />Lors de son exposé au conseil des ministres, Rose Mutombo a souligné "la nécessité pour le Gouvernement d’être habilité à prendre, par ordonnances-Lois, pendant un délai de 3 mois, des mesures qui sont du domaine de la Loi". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />La promulgation de ce projet de loi permettra à l'exécutif national de prendre des mesures qui relèvent du domaine de la loi comme la prolongation de l'état de siège, conformément à l’article 129 alinéas 1 et 2 de la Constitution. <br /><br />Moise Dianyishayi<p> </p>

Politique RDC : Le Conseil des ministres adopte le Projet de Loi portant habilitation du Gouvernement

La ministre d’Etat en charge de la Justice et Garde des Sceaux a présenté le 3 décembre 2021, à l’attention du Conseil des ministres, le pro...

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Altercation Mboso - Sessanga: un cadre de l'Udps en appelle au “comportement responsable des uns et des autres"

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEic7zknDIzOxuM5ejw_u6L8VCieKGHJG_ornY02gJOUQdSg4zuJ3krP-WMB39ySIVt85cXgGH0GtXw32zn9aEH1fVwzKPoHktOdDtfZzv-8MQhbH09WLBez1_jtSrxPKOQPHrt7mas2gY3UX1gcwkaZ8AQbsifnLNHz3PU79fafK7e0LSAzhC50YY0Slw=s1190" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="1190" height="215" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEic7zknDIzOxuM5ejw_u6L8VCieKGHJG_ornY02gJOUQdSg4zuJ3krP-WMB39ySIVt85cXgGH0GtXw32zn9aEH1fVwzKPoHktOdDtfZzv-8MQhbH09WLBez1_jtSrxPKOQPHrt7mas2gY3UX1gcwkaZ8AQbsifnLNHz3PU79fafK7e0LSAzhC50YY0Slw=s320" width="320" /></a></div>Les insultes échangées en pleine plénière du vendredi 3 décembre 2021 entre le président de l'Assemblée nationale, Christophe Mboso N'kodia, et le député national,Delly Sessanga, n'a pas laissé indifférent Luc Kabunangu, cadre de l'Union pour la démocratie et le progrès social (Udps), parti au pouvoir en République démocratique du Congo.<br /><br />"Nous ne cesserons d'en appeler au comportement responsable des uns et des autres", a-t-il déclaré ce samedi 4 décembre à MCP.<br /><br />Et de poursuivre, "Notre démocratie doit atteindre la maturité pour qu'elle soit vecteur de bonne gouvernance et de développement. Sinon, elle risquerait d'être un handicap au bon fonctionnement d l'Etat”. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br /><br />Plusieurs Congolais ont manifesté leur indignation face à cet échange houleux entre Christophe Mboso et Delly Sessanga.<br /> <br />LM<br />congo-press.com (MCP)<p> </p>

Politique Altercation Mboso - Sessanga: un cadre de l'Udps en appelle au “comportement responsable des uns et des autres"

Les insultes échangées en pleine plénière du vendredi 3 décembre 2021 entre le président de l'Assemblée nationale, Christophe Mboso N...

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Congo Hold-up : pétard mouillé du dernier épisode de Kabila bashing (Opinion)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjqlniX2kyYgoFscARHl3vpbaMlZpw92GvGc43HX6kLGMxxPANaPBW7LH9MedpPZHbLLemtgNdD57HaIj_A0RSmlspjOSJF8lehOQdF_hyoIiBo10akS_FNGrfaCoz7FrDyDKVLPyGeDpwOwz8LbQRA_fHFjST3FB8m2Bnbhh-UL0c8H-c9D34UAND_IQ=s948" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="948" height="187" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjqlniX2kyYgoFscARHl3vpbaMlZpw92GvGc43HX6kLGMxxPANaPBW7LH9MedpPZHbLLemtgNdD57HaIj_A0RSmlspjOSJF8lehOQdF_hyoIiBo10akS_FNGrfaCoz7FrDyDKVLPyGeDpwOwz8LbQRA_fHFjST3FB8m2Bnbhh-UL0c8H-c9D34UAND_IQ=s320" width="320" /></a></div>Tout était conçu pour en mettre plein les yeux aux opinions publiques africaines. Les présumées preuves imparables d’une kleptocratie institutionnalisée au cours du règne de Joseph Kabila Kabange se sont transformées en peau de chagrin en passant au crible de la critique par les intellectuels africains de tout bord.<br /><br />Après les Panama papers et toutes les autres tentatives de diabolisation de Joseph Kabila rondement menées dans le but tout d’abord de le « dégager » à l’époque du printemps arabe, le fils du révolutionnaire Laurent-Désiré Kabila avait toujours réussi à faire dos rond, jusqu’à quitter le pouvoir à la faveur d’une passation civilisée du pouvoir avec le candidat de l’emblématique parti de l’opposition, l’UDPS Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.<br /><br /><b>Une invulnérabilité qui agace</b><br /><br />Il faut dire que les officines interventionnistes occidentales n’avaient pas l’habitude d’essuyer des revers dans la manipulation de la gouvernance des pays africains qu’ils croyaient avoir définitivement gagné à leur influence. Il leur suffisait de tousser pour qu’un coup d’État s’opère, qu’une rébellion armée éclate ou qu’une insurrection populaire voie le jour. Ces dernières années, à cause de la recrudescence du terrorisme international, le néocolonialisme semblait avoir délaissé le hard power des coups d’État et rébellions pour un soft power plus à même de mettre sous coupe réglée les dirigeants africains, à partir de l’activisme des ONG aux ordres et des médias globaux stipendiés. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il en est de même des organismes internationaux qui sont souvent mis à contribution avec leurs rapports au vitriol orientés, dont on se sert allègrement pour jeter le discrédit sur des dirigeants indociles.<br /><br />C’est sur cette base que le changement de régimes a été obtenu avec succès sous le printemps arabe en Tunisie, en Libye, en Egypte, au Burkina Faso et même au Sénégal. Les stratèges des « régimes change » à la manœuvre pensaient pouvoir faire de Joseph Kabila une bouchée en actionnant l’insurrection populaire à partir des coups de boutoir des mouvements citoyens et de la société civile manipulée à dessein.<br /><br />Ayant jeté leur dévolu sur un homme lige sorti des entrailles de la famille politique de Joseph Kabila, ils étaient convaincus qu’il leur suffisait de sécouer le cocotier de l’intérieur pour que le régime s’écroule. C’est ce qui explique des procès d’intention sur le troisième mandat alors qu’aucune tentative de révision constitutionnelle n’était à l’ordre du jour.<br /><br />Nul n’ignore que les démissions des caciques du pouvoir de l’époque et la création subséquente du G7 étaient motivées par la promesse de l’avènement annoncé au pouvoir de Moïse Katumbi… Les sponsors des conférences de l’opposition à l’île de Gorée, à Johannesburg, à Genval et à Genève étaient donc les mêmes qui avaient financé la campagne électorale de Martin Fayulu à la dernière présidentielle, de l’aveu des sociétaires de Lamuka eux-mêmes. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Cependant, avant d’être obligés par la force de choses à se plier aux exigences démocratiques des scrutins du 30 décembre 2018, l’objectif visé était d’abord d’obtenir un chaos en dégageant Joseph Kabila du pouvoir. C’est ainsi que les marches de l’opposition de l’époque avaient pour visée non pas de battre le pavé pour exprimer une désapprobation, mais de chasser Kabila, ou à tout le moins de susciter des violences afin de lui faire porter la responsabilité d’une comptabilité macabre laborieusement préméditée.<br /><br />Personne ne se souvient encore aujourd’hui des noms de militants des partis au pouvoir tués dans les sièges vandalisés des partis au pouvoir ou des policiers sauvagement abattus par des manifestants armés. Par contre Rossy Mukendi, Thérèse Kapangala et Hussein Ngandu tombés sous les balles de bévues policières ont été présentés à tout va comme des trophées de guerre par ceux qui avaient investi dans le Kabila bashing.<br /><br />Malgré tout cet investissement, Joseph Kabila parvenait toujours à imposer son agenda en déjouant toutes sortes de peaux de bananes. En quittant le pouvoir à la régulière contrairement à la fin tragique lui promise par les néocolonialistes, Kabila aurait commis un deuxième crime de lèse majesté pour avoir confié les rênes du pouvoir à un vainqueur de la présidentielle autre que le candidat Martin Fayulu, porté à bout de bras par des néo-libéraux avides des ressources naturelles du coffre fort congolais. Nous reviendrons sur le dernier épisode du Kabila bashing, non sans avoir levé le voile sur le premier crime de lèse-majesté qui a valu à ce dernier la volée de bois vert que nous venons de décrire.<br /><b><br />Les contrats chinois ou la ligne rouge franchie par Kabila</b><br /><br /><img height="386" 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width="640" /><br /><br />Vainqueur de la première élection présidentielle pluraliste au suffrage universel direct organisée en 2006, Joseph Kabila avait à cœur de faire savourer à ses compatriotes les délices de la démocratie retrouvée, après plusieurs décennies d’incertitude ayant débouché sur des guerres sur fond de contestation de la légitimité du pouvoir. Jusque-là, tout semblait se dérouler dans une entente parfaite avec les occidentaux, sous la houlette du Comité international d’accompagnement de la transition (CIAT).<br /><br />Ayant repris tous les leviers du pouvoir, Joseph Kabila attendait de ces partenaires traditionnels un appui conséquent pour la réalisation de son projet de société dénommé « Cinq chantiers », essentiellement axé sur la réhabilitation et la construction des infrastructures qui faisaient cruellement défaut.<br /><br />Quelle ne fut pas sa déception de ne recevoir que des promesses cosmétiques, jugées insuffisantes par rapport aux attentes soulevées par les promesses électorales du président élu. Soucieux de réussir son premier mandat, Joseph Kabila n’a pas eu d’autres choix que de recourir à un financement innovant de ses chantiers par la Chine, en contrepartie de la cession de quelques actifs miniers . Tel est le crime de lèse-majesté qui sonna la fin de la lune de miel entre les occidentaux et Joseph Kabila. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> « Ce garçon a osé offrir notre Congo aux chinetoques, il doit recevoir une punition exemplaire », confiait sous cape un diplomate belge gonflé à bloc.<br /><br /><b>Le lynchage médiatique de « Congo hold up »</b><br /><br /><img src="https://img-s-msn-com.akamaized.net/tenant/amp/entityid/AAR02N4.img?h=630&w=1200&m=6&q=60&o=t&l=f&f=jpg" /><br /><br />La question à se poser est de savoir pourquoi les mêmes réseaux des ONG et médias occidentaux ont repris du service pour s’acharner contre Kabila alors qu’il n’est plus au pouvoir ? Se vantant d’avoir réalisé la plus grande fuite de documents bancaires de l’histoire de l’Afrique, un consortium de médias et ONG occidentaux s’est résolu à bassiner l’opinion publique en rabâchant sur des actes supposés de détournement de 138 millions de dollars par Joseph Kabila. Ils avaient besoin de quinze jours pour publier des enquêtes à charge contre Joseph Kabila grâce à 3,5 millions de documents bancaires chipés à la BGFIBank, une banque internationale installée depuis un demi-siècle en Afrique centrale.<br /><br />A l’analyse, les insinuations de ce lynchage médiatique pompeux semblent avoir accouché d’une souris. Comme dit l’adage, tout ce qui est excessif est dérisoire. L’enfumage de ce qui est présenté comme l’enquête du siècle et la fixation viscérale sur un Joseph Kabila dont le nom ne figure nulle part sur les 3,5 millions de documents bancaires épluchés soulèvent plus de questions qu’ils n’apportent de réponses. Par ailleurs, les méthodes dolosives et l’appel à la délation contre Kabila qui sous-tendent ce lynchage médiatique sont tout autant questionnables. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Au demeurant, personne de ces enquêteurs n’a répondu à la question de savoir qui a financé ces enquêtes à charge et dans quel but ? Question dont les opinions publiques africaines semblent détenir la vraie réponse, à en croire par la fin de non recevoir réservée aux délibérations du fameux consortium de médias et ONG occidentaux.<br /><br /><b>Échaudés, les Africains méfiants<br /></b><br /><img height="358" src="https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRIVvkV2cwRxCeT1WrpVRCk_gjYQC8Bjw6w2A&usqp=CAU" width="640" /><br /><br />Malgré l’illusion de la campagne de médias globaux visant à décrédibiliser Joseph Kabila, les opinions publiques africaines ont eu du mal à avaler certaines couleuvres indigestes y étalées pour en avoir vu des vertes et de non mûres.<br /><br />De façon générale, les Africains ont compris que Joseph Kabila n’est ni le premier, ni le dernier dirigeant africain à subir le lynchage médiatique savamment orchestré dans les officines des puissances coloniales et néocoloniales. Tous ceux que le continent noir connaît comme héros sont passés par là. De Simon Kimbangu à Laurent Gbagbo, en passant par le camerounais Ruben Umyobe, le Congolais Patrice-Emery Lumumba, le Sud-africain Nelson Mandela qualifié de terroriste, l’Égyptien Nasser, le Libyen Mohamar Khadafi, le Burkinabè Thomas Sankara ou le Congolais Laurent-Désiré Kabila, tous les valeureux fils d’Afrique ont subi la foudre des médias globaux. De quoi se demander si Joseph Kabila n’est pas un autre héros vivant que la pègre du néocolonialisme décadent s’active à désacraliser pour briser la résilience et la souveraineté des Congolais qui souhaitent décider seuls de leur avenir et avoir le fin mot sur les richesses de leur sol et sous-sol.<br /><br />La circonspection affichée par les opinions publiques africaines semble être partagée par le pouvoir de Félix-Antoine Tshisekedi. Tout porte à croire que les bonzes du régime ont rapidement flairé le piège et ne souhaiteraient plus répéter les erreurs du passé. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Car en effet, le Premier ministre belge avait tôt fait d’annoncer les couleurs en prétendant que « Félix Tshisekedi devait se servir des enquêtes de Congo Hold up pour consolider le combat qu’il mène contre la corruption ». Une façon de demander au président congolais d’endosser le sacrifice de Joseph Kabila tel que préparé sur l’autel de leurs ONG et médias aux ordres.<br /><br />A chacun ses intérêts<br /><br />Tout compte fait, les États n’ont pas d’amis. Ils n’ont que les intérêts. C’est de bonne guerre que des médias et ONG occidentaux agissent selon les intérêts des États qui les financent. Depuis la Conférence de Berlin, l’Afrique a toujours été considérée par les puissances occidentales comme un réservoir de matières premières pour leurs industries. Les intérêts des occidentaux les ont ainsi obligés de maintenir ce statu quo pendant et après la colonisation. Or, ces intérêts sont clairement aux antipodes de ceux des Africains qui ont compris qu’ils ne se développeront jamais si l’occident continue à piller sans contrepartie leurs ressources naturelles.<br /><br />Nourri à la mamelle du nationalisme lumumbiste de type panafricaniste, Joseph Kabila n’a eu de cesse d’en appeler au respect de la souveraineté de son pays. Il est normal que des médias occidentaux fassent de lui leur ennemi public numéro 1. Il n’en demeure pas moins qu’il devient par ce fait une fierté pour ses compatriotes qui doivent poursuivre son combat, seule issue pour parvenir au développement et à l’émergence. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />C’est ce qu’a compris Jules Alingete dans sa sage répartie au journaliste Franco-camerounais Alain Foka. En des termes clairs, le Shérif congolais des finances publiques, que personne ne pourrait soupçonner de complaisance vis-à-vis de Joseph Kabila, s’est refusé de faire des raccordements frauduleux entre les opérations bancaires opaques de la BGFIBank et Joseph Kabila. Comme le dit si bien un adage africain : « il ne faut pas laisser le voleur soutirer deux fois le butin dans la même poche ».<br />Jean Bodin Shimuna Luvumbu<br />OURAGAN<p> </p>

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L'Assemblée nationale adopte le projet de loi de finances rectificative 2021 chiffré à 8,3 Milliards USD

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhPZPxGDli5u0NY0Wa8SMu0CjP1PrsvfTfPH3XnQPvCQmjYta617VP94YlXMwDH1DMTq7R4-LV5mt2oJi0Y_oUVyeh8FbaWgbNp5dJKWgdJk7Q8IEVuTr-N8hssshp82xoB-VRAzJdplJJOgklCLT_JSD8BT1I7-C9tQ4lrzx1zDA9xBf7bxRavdru88Q=s1591" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="890" data-original-width="1591" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhPZPxGDli5u0NY0Wa8SMu0CjP1PrsvfTfPH3XnQPvCQmjYta617VP94YlXMwDH1DMTq7R4-LV5mt2oJi0Y_oUVyeh8FbaWgbNp5dJKWgdJk7Q8IEVuTr-N8hssshp82xoB-VRAzJdplJJOgklCLT_JSD8BT1I7-C9tQ4lrzx1zDA9xBf7bxRavdru88Q=s320" width="320" /></a></div> L'Assemblée nationale a adopté, vendredi 3 décembre, le projet de loi de finances rectificatives 2021. Il est adopté en équilibre, en recette et en dépense à 16 621 578 308 843 FC. Le Gouvernement de la République justifie ce projet de loi de finances rectificative par la prise en compte de nouvelles orientations du Programme d'actions du Gouvernement investi le 26 avril 2021 par l'Assemblée nationale. Ce dernier tient compte de la modification apportée à la taille et la structure du Gouvernement qui est passé de 65 à 57 membres, entrainant ainsi la fusion de certains ministères, la création ou la suppression d'autres. <div><br /></div><div> Cette situation ayant un impact budgétaire a occasionné la reconfiguration du budget initial en vue de la réallocation des dépenses au profit des sections budgétaires devant mettre en œuvre le Programme du gouvernement. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </div><div><br /></div><div><br />Sur les 335 députés qui ont pris part au vote, 333 ont voté "pour" et 2 se sont abstenus.<br /><br /><br />Ce projet avait été présenté et défendu par Aimé Boji, ministre d'État, ministre du Budget. La chambre basse du parlement l'a déclaré recevable après les réponses de ce dernier 13 novembre 2021.</div> actualite.cd

Politique L'Assemblée nationale adopte le projet de loi de finances rectificative 2021 chiffré à 8,3 Milliards USD

L'Assemblée nationale a adopté, vendredi 3 décembre, le projet de loi de finances rectificatives 2021. Il est adopté en équilibre, en r...

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RDC: Albert Yuma puissant patron pro-Kabila, écarté de la Gécamines

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEirkXKOu0O2UImMCxpsmQaSTyEqozg2ue_6tLON3DYiiKFMbmFGUbaNsS4SIcwATxge3zAS_bFKM24N_nFnv5R-tYsKX9Jg2890jk_uMEP8BB3HY0qxr5usyyjBqqKSwbKXpmG0fS9e8fN3v4rEFfjFl1Ma3CBxgpQyBUAI79-aDo2_ughRG8pN-BgJfA=s1195" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="789" data-original-width="1195" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEirkXKOu0O2UImMCxpsmQaSTyEqozg2ue_6tLON3DYiiKFMbmFGUbaNsS4SIcwATxge3zAS_bFKM24N_nFnv5R-tYsKX9Jg2890jk_uMEP8BB3HY0qxr5usyyjBqqKSwbKXpmG0fS9e8fN3v4rEFfjFl1Ma3CBxgpQyBUAI79-aDo2_ughRG8pN-BgJfA=s320" width="320" /></a></div>Kinshasa (AFP) – Le président du conseil d'administration de la société publique minière Gécamines, Albert Yuma, a été écarté de la tête de cette entreprise, fleuron industriel de la République démocratique du Congo, selon une ordonnance publiée samedi.<div><br />Le président Félix Tshisekedi a nommé de nouveaux dirigeants à la tête de quelques entreprises publiques dont la Générale des carrières et des mines (Gécamines).<br /><br />A la Gécamines, géant minier congolais, Albert Yuma, a été remplacé par Alphonse Kaputo Kalubi au poste de président du conseil d'administration, selon cette décision datée de vendredi et lue samedi à la télévision publique. Proche du Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, M. Kaputo est un ancien cadre de la Gécamines à la retraite. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Homme d'affaires de 66 ans, qui a fait fortune dans le textile, Albert Yuma est un proche de l'ex-président Joseph Kabila, dont la famille politique subit depuis décembre 2019 une offensive du président Tshisekedi.<br /><br />Également président de la Fédération des entreprises du Congo(FEC), puissant syndicat patronal en RDC, M. Yuma avait été nommé à la tête de la Gécamines en 2010 par M. Kabila. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />M. Yuma était aussi un pourfendeur d'ONG étrangères comme Global Witness, qui ont avancé en 2017 que 750 millions de dollars avaient été détournés des caisses de la Gécamines à la fin des années Kabila (janvier 2001 - janvier 2019).<br /><br />Fin 2020, la réélection pour la sixième fois consécutive de M. Yuma à la tête du syndicat patronal FEC avait été contestée comme jamais devant la justice par son rival.<br /><br />D'abord mis à l'écart, M. Yuma a ensuite été rétabli au poste du président de la FEC, quelques semaines plus tard, par une décision de justice.<b> </b></div><div><b><br /></b></div><div><b>france24.com</b></div><div><span style="background-color: white; color: #555555; font-family: Roboto-Regular; font-size: 14px;"><br /></span></div>

Politique RDC: Albert Yuma puissant patron pro-Kabila, écarté de la Gécamines

Kinshasa (AFP) – Le président du conseil d'administration de la société publique minière Gécamines, Albert Yuma, a été écarté de la tête...

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