Pour le 17ème anniversaire de la Révolution menée par Laurent-Désiré Kabila, le comité organisateur a placé le curseur sur la jeunesse estudiantine. En somme l’avenir du pays, en terme d’élite. A cette jeunesse, il a été proposé de s’imprégner du b.aba de la cohésion nationale initiée et pratiquée par Joseph Kabila, à l’aune de la Révolution pardon théorisée et mise en œuvre par Laurent Désiré Kabila. Comme pour dire que dix sept ans après, la vision du M’Zee reste vivante à travers son digne successeur, qu’est le Raïs Kabila. Un fils qui a pris part, du reste, à la longue marche initiée par le feu son père.
Les étudiants des universités et instituts supérieurs de Kinshasa ont tiré profit de la 17ème commémoration de la libération du pays menée par M’Zee Laurent-Désiré Kabila à la tête de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL). A l’initiative du comité organisateur des manifestations en mémoire de la Révolution du 17 mai, les cadres de demain en provenance de l’Unikin, Ista, Isp, Ifasic, Unpc, Isc, Upn… ont été conviés à une conférence-débat sur le thème " de la révolution pardon à la cohésion nationale ". Une manière pour Richard Muyej, président du Comité organisateur, de permettre à cette frange de l’élite de revisiter M’Zee.
Des centaines d’étudiants sélectionnés selon différentes facultés ou options, ont suivi avec intérêt l’exposé du Pr Biyoya sur la vraie démarche poursuivie par Laurent-Désiré Kabila. Les étudiants ont retenu que la date du 17 mai 1997 n’aura été que aboutissement d’un long combat justifié par l’amour de la patrie qui animait le troisième Président de la RDC. Combat qui, du reste, est sanctionné par le sacrifice suprême : la mort de M’Zee.
Des centaines d’étudiants sélectionnés selon différentes facultés ou options, ont suivi avec intérêt l’exposé du Pr Biyoya sur la vraie démarche poursuivie par Laurent-Désiré Kabila. Les étudiants ont retenu que la date du 17 mai 1997 n’aura été que aboutissement d’un long combat justifié par l’amour de la patrie qui animait le troisième Président de la RDC. Combat qui, du reste, est sanctionné par le sacrifice suprême : la mort de M’Zee.
PARDON AUX MOBUTISTES
Dès son avènement à la tête du pays, reconnaît le Pr Biyoya, " M’Zee Laurent-Désiré Kabila, visionnaire, a déclenché un vrai changement de mentalités et de méthodes de travail par-delà les clivages politiques et idéologiques en prônant la révolution pardon. Ce, en graciant d’anciens collaborateurs du défunt maréchal alors que toutes les révolutions ont toujours été vengeresses ". Mieux, aux dires de l’intervenant, " Kabila n’est pas arrivé à Kinshasa en concurrent, mais plutôt en libérateur.
Sur toutes les lignes, le Pr Biyoya, comme les autres intervenants notamment Didier Mumengi, Baby Mbayi démontrent que " la révolution du 17 mai a été au service de la cohésion nationale ". " M’Zee s’est présenté en serviteur du peuple avec une vision d’une nation congolaise forte ". Pour le Pr Biyoya, " les grandes idées de Laurent-Désiré Kabila sont à la base de la révolution pardon ". Pour cause, M’Zee ne voulait pas que les mobutistes quittent le pays après la libération, mais restent pour comparer les réalisations du nouveau régime à celles du régime Mobutu. Et de conclure que la cohésion nationale tant cherchée lors des Concertations nationales de septembre 2013 "n’était que la conséquence logique du combat de M’Zee ".
Ce qui justifierait le parallèle entre la révolution pardon et les Concertations nationales convoquées par l’actuel chef de l’Etat, Joseph Kabila.
Dès son avènement à la tête du pays, reconnaît le Pr Biyoya, " M’Zee Laurent-Désiré Kabila, visionnaire, a déclenché un vrai changement de mentalités et de méthodes de travail par-delà les clivages politiques et idéologiques en prônant la révolution pardon. Ce, en graciant d’anciens collaborateurs du défunt maréchal alors que toutes les révolutions ont toujours été vengeresses ". Mieux, aux dires de l’intervenant, " Kabila n’est pas arrivé à Kinshasa en concurrent, mais plutôt en libérateur.
Sur toutes les lignes, le Pr Biyoya, comme les autres intervenants notamment Didier Mumengi, Baby Mbayi démontrent que " la révolution du 17 mai a été au service de la cohésion nationale ". " M’Zee s’est présenté en serviteur du peuple avec une vision d’une nation congolaise forte ". Pour le Pr Biyoya, " les grandes idées de Laurent-Désiré Kabila sont à la base de la révolution pardon ". Pour cause, M’Zee ne voulait pas que les mobutistes quittent le pays après la libération, mais restent pour comparer les réalisations du nouveau régime à celles du régime Mobutu. Et de conclure que la cohésion nationale tant cherchée lors des Concertations nationales de septembre 2013 "n’était que la conséquence logique du combat de M’Zee ".
Ce qui justifierait le parallèle entre la révolution pardon et les Concertations nationales convoquées par l’actuel chef de l’Etat, Joseph Kabila.
LE PATRIOTISME, UN IMPERATIF
" Le patriotisme était un devoir civique pour Laurent-Désiré Kabila, un impératif géopolitique inspiré après que la RDC soit attaquée à l’Est par les voisins et était logique à son égard plus qu’une bonne conscience professionnelle ".
C’est de la sorte que " Kabila est mort avec sur sa table des documents où il couchait les idées de créer le panafricanisme devant réunir les jeunes africains de la sous-région de la Conférence internationale de la région des grands-lacs (Cirgl) dont il est l’initiateur ", a expliqué Baby Mbayi.
L’idéal politique de M’Zee, a-t-on expliqué aux étudiants regroupés dans un palace de la Gombe, était qu’il tenait à faire de ses compatriotes de véritables bénéficiaires des richesses de leur pays. " Fort de cet idéal, il a légué au peuple congolais un héritage, celui de l’amour du travail, seul vrai facteur du développement de ce pays. Son idée-force ou sa philosophie se résumait en une phrase : nous devons nous prendre en charge ". Rachidi MABANDU
" Le patriotisme était un devoir civique pour Laurent-Désiré Kabila, un impératif géopolitique inspiré après que la RDC soit attaquée à l’Est par les voisins et était logique à son égard plus qu’une bonne conscience professionnelle ".
C’est de la sorte que " Kabila est mort avec sur sa table des documents où il couchait les idées de créer le panafricanisme devant réunir les jeunes africains de la sous-région de la Conférence internationale de la région des grands-lacs (Cirgl) dont il est l’initiateur ", a expliqué Baby Mbayi.
L’idéal politique de M’Zee, a-t-on expliqué aux étudiants regroupés dans un palace de la Gombe, était qu’il tenait à faire de ses compatriotes de véritables bénéficiaires des richesses de leur pays. " Fort de cet idéal, il a légué au peuple congolais un héritage, celui de l’amour du travail, seul vrai facteur du développement de ce pays. Son idée-force ou sa philosophie se résumait en une phrase : nous devons nous prendre en charge ". Rachidi MABANDU
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