Georges Kapiamba, président de l’Association congolaise de l’accès à la justice (Acaj) est monté au créneau pour défendre la liberté de jugement de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) qui, du reste, est garante de la bonne application de l’accord du 31 décembre 2016.

Pour lui, la CENCO est en droit, en tant qu’institution sociale, de participer à la vie démocratique de la société et de s’exprimer à cet effet sur le fonctionnement des institutions.


« Dans une société démocratique, toute personne physique ou morale a Droit de s’exprimer sur le fonctionnement des institutions et la gestion des affaires publiques. Il est dangereux de penser que l’Eglise, institution sociale, ne puisse pas le faire. Donc, la CENCO a effectivement le droit de le faire d’autant plus qu’elle est garante de la bonne et parfaite application de l’accord du 31/12/2016 »

Pour le président de l’Acaj, les opinions doivent être respectées en démocratie. Accusations et autres démontrent l’incapacité à participer à un débat démocratique. Georges Kapiamba soutient qu’il faut opposer aux arguments d’autres arguments et laisser l’opinion en juger.


Il faut soutenir que nous sommes démocrate alors que vous ne tolérer pas les opinions des autres! La meilleure de chose c’est d’opposer aux arguments de la CENCO les vôtres et laisser l’opinion se faire l’idée de celui qui est proche de la vérité. Le recours à des propos et vidéos mensongers et dénigrants établi l’incapacité de leurs auteurs à participer avec force de conviction à un débat démocratique »
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