
« Il ne faut pas que la visite du pape puisse être comprise comme un soutien à « la continuation du pouvoir illégitime ou encore comme un encouragement à manifester pour expulser le régime en place », s’est expliqué le prélat.
Prévue en juillet 2016, la visite du pape avait dû être reportée sans fixer de nouvelle date. Ce qui n’avait pas empêché François de recevoir au Vatican le président Kabila deux mois plus tard. Mais ni cette rencontre, ni les critiques acerbes de Montemayor – qui a dénoncé encore jeudi l’attitude des autorités congolaises et de la classe politique dans son ensemble face à la crise humanitaire au Kasaï – n’ont pas réussi jusqu’ici à débloquer la situation.
Par CAS-INFO