
Un des points qui fâchent, pour ses lanceurs d’alertes qui ont approché les négociateurs de ce projet : DPW et la RDC doivent créer une coentreprise qui devra construire et gérer ce port, mais « la RDC ne sera pas représentée par une administration publique légitime, plutôt par une société privée appartenant à un inconnu ».
Cette société privée pourrait gagner jusqu’à 45 millions de dollars en sept ans. « Une fois encore des lanceurs d’alerte indignés par la perspective d’enrichissements personnels ont décidé de révéler les dessous des négociations entre la RDC et une multinationale pour que cessent ces malversations », a expliqué le président de cette plateforme, William Bourdon. Des soupçons qui n’ont pas reçus jusque là, la réplique officielle du gouvernement congolais
Par Tony-Antoine