
Au-delà de cette échéance, le CLC avait promis de reprendre ses manifestations, « au cas où les acteurs politiques n’arrivaient pas à s’attendre ».
Par ailleurs, le CLC réitère son interpellation à toutes les parties prenantes à s’« organiser pour aboutir avant le 30 avril 2018 à l’assainissement de l’environnement préélectoral pour garantir l’égalité des chances à tous les candidats potentiels dans les compétitions électorales à venir. Il y a de l’intérêt pour tous », indique le texte.
Dans une correspondance adressée au Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, le CLC avait annoncé la suspension de ses marches de protestation jusqu’au 30 avril, « afin de permettre aux parties prenantes du processus électoral de trouver un terrain d’attente ».
Par Djodjo Vondi