
Dans ces conditions, poursuit la note, " le résultat du processus électoral en cours n’a aucune chance de conforter l’unanimité nationale et de garantir la paix pendant et après les élections. Cette situation est intolérable d’autant plus que depuis 2016, toutes les institutions de la République sont illégitimes parce que hors mandat ", indique le CLC.
Face à ce tableau peint par les laïcs catholiques, l’implication de l’institution panafricaine est sollicitée pour assurer une alternance pacifique en RDC, en vue de garantir la paix et la stabilité dans la région. Mais pour sauvegarder l’intérêt commun, le CLC dit ne pas avoir d’autres choix que de reprendre ses actions, avec l’ensemble des Congolais, dans les semaines qui suivent. Ci-contre l’intégralité de la correspondance du CLC, adressée au président de l’UA. MOLINA