
A en croire, Marie Ange Mushobekwa, Ministre des droits humains, interrogée ce mardi 31 juillet par la RFI, ces femmes et filles mineures n’existent pas.
« Là, on est entrain de parler de femmes séquestrées comme otages sexuels. Ces femmes n’existent pas. Au début, on nous parlé de 300. Après, on nous parle de 100 et aujourd’hui, vous parlez de 60. Je me pose la question ; où se trouvent ces femmes ? », s’est-elle interrogée.
Pour la Ministre des droits humains, il y a trois femmes lubas et leurs maris chokwes qui se sont disputés à cause des conflits qui opposent leurs ethnies.
Par P. Ndongo