Selon le porte-parole de la Majorité présidentielle, André-Alain Atundu, le candidat n°13, porté et supporté par le Front commun pour le Congo (FCC), est "le candidat de la vérité. La vérité sur sa personne, son passé, ses parcours politique, social, académique...", a-t-il déclaré lors d’un point de presse vendredi 7 décembre à Kinshasa.

Pour la famille politique du président Kabila, Emmanuel Ramazani Shadary est "le seul candidat crédible car il n’a jamais trompé le peuple et n’a jamais, à aucun moment, tenté de lui faire un enfant dans le dos. En vrai démocrate, Shadary est aussi un homme du dialogue grâce auquel il est parvenu à rétablir dans ses droits la lignée régnante chez Kamuena Nsapu", a indiqué Alain Atundu.
En cette période particulière où le peuple congolais a son destin entre ses mains, la Majorité présidentielle appelle les électeurs à approfondir la réflexion de l’archevêque de Kinshasa sur la nécessité de "travailler tous ensemble pour l’avènement du règne d’amour, de vérité et de paix" en RDC. C’est dans cette même logique, explique Atundu, que Shadary demande aux électeurs de lui donner la victoire le 23 décembre. Car, avec l’appui de tous, estime le porte-parole de la MP, le candidat n°13 pourra alors oeuvrer "pour faire reculer les frontières de l’injustice, de l’égoïsme, de l’exploitation des pauvres par le mensonge" et bâtir alors un Congo réellement plus beau qu’avant non seulement sur le plan matériel mais aussi sur le plan moral et spirituel.
Lire, ci-dessous, l’intégralité de la communication du porte-parole de la MP, André-Alain Atundu. Didier KEBONGO

Mesdames, Messieurs,
Bien avant la campagne électorale, les principaux candidats Président de la République ont publié leurs programmes électoraux avec comme clé de voûte le budget estimé nécessaire pour réaliser leurs projets.
D’aucuns, pour impressionner l’opinion, vont jusqu’à dépasser, dans leurs évaluations, le cap de 100 milliards USD.
Celui de RAMAZANI, le Candidat n°13, porté par le FCC, tourne autour de 85 milliards USD.
Ce budget, qui couvre cinq ans, est réaliste, crédible puisque ses chiffres reflètent la réalité et les possibilités réelles du candidat.
Cette appréciation est la conclusion de l’analyse dudit budget autour de 4 questions fondamentales :
1. Ce budget est-il réaliste, c’est-à-dire est-il conforme, raisonnable, à la hauteur de l’ambition déclinée dans le programme ?
2. Ce budget est-il réalisable, c’est-à-dire, peut-il être réellement disponible au regard de l’expérience ?
3. Quel dispositif le candidat a-t-il mis en place pour disposer, à coup sûr, d’un budget au moins proche ?
4. La nation peut-elle supporter cet effort sans hypothéquer l’avenir immédiat de l’Etat ? Question fondamentale, s’il en est.
A la première question, la réponse est "ou/" cuis que Joseph KABILA KABANGE nous a conduit à l’émergence économique avec un budget qui est parti de moins d’un million USD jusqu’à + 7 milliards, grâce à la volonté politique du Gouvernement et à la détermination personnelle du Chef de l’Etat.
II est dès lors évident que le candidat n°13 va poursuivre l’augmentation progressive du budget de l’Etat en fonction des moyens disponibles ou disponibilisés, selon l’évolution de la situation globale de l’Etat durant son mandat.
Le résultat réel dépendra des retombées effectives de la lutte contre la déperdition monétaire sous quelque forme que ce soit.
Mais alors, pour le cas d’espèce, ce budget est-il réalisable ?
certainement Oui, au regard des dispositifs mis en amont pour éviter les pertes techniques comme la non consommation du budget ou l’épuisement du budget avant terme et les pertes conjoncturelles dues à faction de l’homme, comme la fraude, le coulage, la corruption ou la concussion.
Ces dispositifs sont à la fois de nature générale, globale et spécifique autour de l’homme, facteur de collecte et de capture mais aussi agent de dépenses confuses et de gaspillages ou perte quelconque. Les dispositifs mis en place à cet effet, apparaissent, mis ensemble, comme le centre névralgique du projet SHADARY dont l’efficacité conditionne la réalisation et la crédibilité de son ambition pour le Congo.
En effet, ils visent à " combattre toute violence des règles ", le clientélisme, l’abus de pouvoir, la corruption, la fraude à tous les niveaux, bref, tout fait quelconque de coulage ou de dissipation.
Dès lors, l’amélioration progressive des soldes des militaires, des policiers et autres services spécialisés participe de sa volonté d’éliminer ab ovo les tentations et les causes fondamentales de la concussion comme la sous location par les civils dans les camps.
Le candidat SHADARY a compris que pour rallier les populations congolaises à son combat contre la corruption et l’impunité dans les différents secteurs de la justice, il doit améliorer les conditions financières des agents. Pour diminuer le coulage généralisé dans l’enseignement et pour une meilleure utilisation des ressources disponibles, il est nécessaire de poursuivre la mécanisation des enseignants et de favoriser la rationalisation de la gestion autocentrée des provinces.
Pour la population active, particulièrement la jeunesse, victime d’oisiveté et de chômage, il est nécessaire de faire appel à des initiatives innovantes notamment par la professionnalisation des métiers du tourisme avec, à l’horizon, la création de 100.000 emplois.
Les secteurs réputés budgétivores, comme la culture, doivent intégrer cette dynamique nationale de création des richesses.
Pour inciter l’investissement des hommes d’affaires, tant nationaux qu’étrangers, le candidat SHADARY prend l’engagement ferme d’éliminer les tracasseries administratives qui souvent donnent naissance à des multiples intermédiaires inutiles qui alourdissent le processus de développement et hypothèquent le résultat.
Tous ces engagements visent à avoir une mens sana in corpore sano à travers le payement d’un salaire décent aux enseignants ou l’extension de la couverture des soins de santé au bénéfice de ce corps sur l’ensemble du territoire national.
Puisqu’il a l’ambition de renforcer l’autorité de l’Etat, et que la force de tout Etat réside dans l’efficacité de son administration publique, SHADARY a pris l’engagement d’améliorer la situation du huissier avec comme objectif 400 USD par mois.
Dans la perspective de cette lutte implacable et généralisée contre l’impunité, la concussion, la corruption, le coulage et toute source de dissipation des ressources financières de la communauté nationale, notre candidat compte sur un allié de poids : les journalistes. Il veillera à l’indépendance des médias et de la profession des journalistes.
En effet, ceux-ci jouent un rôle spécifique dans la communauté en tant que lanceurs d’alerte aux autorités.
Il revient à ce noble corps d’être à la hauteur de ce crédit en éliminant des fausses alertes et autres manipulations de l’opinion publique dans un but immoral ou inavoué.
Le candidat SHADARY en appelle à la conscience républicaine, à la capacité et à la volonté de l’homme congolais, au-delà des clivages idéologiques, de changer notre pays qualitativement et quantitativement afin d’améliorer le sort de la communauté nationale et des personnes qui la composent
Son rote en tant que Chef de l’Etat, dans ce contexte, sera de coordonner ta synergie de toutes les initiatives de la communauté nationale et de veiller jalousement à l’application delà loi, et de toutes les lois, au bénéfice des populations congolaises.
Une telle approche est perspicace puisqu’il met l’homme, tout l’homme, au centre d’une synergie d’actions sous la coordination du candidat, futur Président de la République.
Mesdames, Messieurs,

La nation peut-elle supporter cet effort ?
Logiquement oui, parce que cet effort sera progressif d’une part et consistera davantage à récupérer les ressources financières qui se perdent en coulage, d’autre part. Il ne s’agit donc pas de demander à la population congolaise de serrer la ceinture.
Puisque l’opinion estime que les 2/3 des ressources nationales partent en coulage et en fraude, il s’agit d’éliminer les points de dissipation des ressources de l’Etat par le biais du management, sans demander un effort supplémentaire aux congolais. L’augmentation du budget SHADARY sera donc une conséquence logique, une retombée plutôt que le résultat d’une contrainte.
Voilà qui pousse population à adhérer spontanément à ce budget et à soutenir la candidature de SHADARY parce qu’il demande à chacun d’intervenir dans l’effort de l’amélioration de sa propre situation sociale et donc d’en être directement responsable pour être sûr d’en bénéficier personnellement.
Il ne s’agit pas de demander aux populations de se serrer la ceinture dans un effort surhumain. Il s’agit d’améliorer les moyens de collecte, de capture et de pleine utilisation des ressources financières, en fonction des objectifs assignés.
Les rebellions du M23, de MUTEBUSI, de NKUNDA BATUARE et la longue présence des forces de déstabilisation dans l’Est du Pays, aujourd’hui intentionnellement oubliées par les adeptes du mensonge comme tactique politique, n’ont pas permis à Joseph KABILA de récolter le résultat de ses efforts en vue de doter la République d’un budget conséquent et à la hauteur de ses besoins et de son ambition.
Mais il a réussi à mettre définitivement en place des préalables qui permettent aujourd’hui à son successeur d’agir efficacement dans la collecte des ressources financières grâce à une armée forte, la 10ème d’Afrique, à un pays débout et lancé dans l’émergence par les efforts qui ont abouti à la suppression de la dette publique odieuse, de s’occuper de la bonne gouvernance grâce à la paix sociale, par l’amélioration progressive de la situation du corps médical, des enseignants, des étudiants et de la fonction publique.
Cet effort doit être poursuivi et sera poursuivi par le successeur de KABILA si tant est qu’il cherche d’abord la dignité du Peuple et l’indépendance du pays et non des combines avec les puissances d’argent pour rattraper son retard personnel au mépris des besoins de nos populations.
Mesdames, Messieurs,
Une cause juste doit être défendue en toute circonstance par nos autorités, conformément au serment constitutionnel du Chef de l’Etat. Il en est ainsi du combat pour la levée inconditionnelle des sanctions injustes de l’Union Européenne contre les personnalités congolaises en raison de leurs fonctions. Ces sanctions sont prises dans le but inadmissible d’humilier le Peuple congolais en jetant inutilement l’opprobre sur ses dirigeants.
C’est pourquoi, la Majorité Présidentielle encourage le Gouvernement à prendre toutes tes dispositions envisageables pour contrer les effets des sanctions injustes et immorales de l’UE contre les autorités congolaises dont te seul péché est d’avoir la charge d’accompagner le Garant de la Nation dans la réalisation de son serment constitutionnel.
La Majorité Présidentielle appelle solennellement toutes les organisations sous-régionales de l’Afrique, du nord au sud, de l’est à l’ouest, à s’associer en bloc à ce combat du Peuple congolais pour la dignité des peuples africains et le respect de leurs institutions.
Puisque, légitime défense contre légitime défense ne vaut, le Gouvernement congolais est en légitime position de prendre toutes les sanctions moralement acceptables et politiquement correctes dans cette circonstance particulière du moment où certaines puissances d’argent mettent tout en œuvre pour réaliser leur rêve perdu, par la faute de KABILA, de confisquer la souveraineté du Peuple congolais.
Leur objectif actuel est d’empêcher par tous les moyens, au besoin par un pacte avec le diable, la tenue des élections le 23 décembre 2018. D’où ces rumeurs sur le report des élections ou la suspension de la campagne de SHADARY sur ordre du Président KABILA.

Mesdames, Messieurs,
Après vous avoir présenté en profondeur la personnalité de SHADARY, prédestiné à réaliser l’ambition du FCC à la tête de la république, et décortiqué son budget, l’on comprend alors tout l’engouement de notre Peuple à sa candidature et l’afflux massif des populations, particulièrement des jeunes, à chacune de ses apparitions et prestations.
Par contre, il suffit de jeter un regard honnête en face pour réaliser qu’empêtrée dans ses contradictions, l’opposition se prépare davantage à contester les résultats des élections du 23 décembre qu’à appeler le Peupte à voter pour elle.
La Majorité Présidentielle, consciente du danger que constitue cette tactique pour notre démocratie, en appelle à la haute conscience républicaine des acteurs politiques afin de privilégier l’expression de la volonté authentique du Peuple congolais à leurs ambitions égoïstes, voire à leurs frustrations personnelles.
Ce serait un hommage mérité, et c’est le seul qu’est du reste en droit d’attendre légitimement la Majorité Présidentielle, à l’action et à l’œuvre du Président KABILA depuis 2001 jusqu’à son départ, marquées par l’esprit de démocratie, de tolérance, de l’émergence économique, de la souveraineté de la République Démocratique du Congo, de la dignité du Peuple congolais et de la cohésion nationale inculqué au Peuple congolais.
Mesdames, Messieurs,
Qui est donc réellement SHADARY, le candidat n°13, porté et supporté par le FCC pour mériter la confiance des populations congolaises !
Le Peuple a compris que, face aux adeptes de la politique comme art consommé de mauvaise foi et de duperie, SHADARY est le candidat de la vérité.
La vérité sur sa personne, son passé, ses parcours politique, social, académique.
Vérité sur sa désignation en tant que candidat du FCC, avec l’appui de tous les membres de sa famille politique à la différence des initiatives de Genève et de Nairobi qui ont produit 2 candidats communs alors qu’ils s’y étaient rendus plutôt pour sortir un seul candidat.
En vrai démocrate, SHADARY est aussi l’homme du dialogue grâce auquel il est parvenu à rétablir dans ses droits la lignée régnante chez KAMUENA NSAPU.
SHADARY est le seul candidat crédible car il n’a jamais trompé le Peuple et n’a jamais, à aucun moment, tenté de lui faire un enfant dans le dos.
Mesdames, Messieurs,
En tant que force démocratique du FCC, la Majorité Présidentielle a l’obligation de dénoncer la mauvaise pratique en cours, inspirée par les ennemis de la démocratie et du Peuple congolais, qui consiste à répandre de faux messages à travers les réseaux sociaux ou l’internet. Une honteuse culture de mensonge élevée et érigée en tactique de combat politique.
En cette période particulière de notre Pays, où le Peuple congolais a son destin entre ses mains, la Majorité Présidentielle appelle les électeurs à approfondir la réflexion de -l’archevêque de Kinshasa sur la nécessité de " travailler tous ensemble pour l’avènement du règne d’amour, de vérité et de paix" en République Démocratique du Congo.
C’est dans cette même logique que SHADARY demande aux électeurs de lui donner la victoire le 23 décembre 2018 ; car, avec l’appui de tous, il pourra alors œuvrer " pour faire reculer les frontières de l’injustice, de l’égoïsme, de l’exploitation des pauvres par le mensonge " et bâtir alors un Congo réellement plus beau qu’avant non pas seulement sur le plan matériel mais aussi sur le plan moral et spirituel.
La Majorité Présidentielle déplore qu’un candidat à la présidence de la République ait l’outrecuidance de recourir à une méthode cynique et particulièrement avilissante, destinée à saboter les élections du 23 décembre 2018, en infantilisant les électeurs et les populations congolaises.
En effet, comment espérer raisonnablement gagner une élection avec des bulletins nuls. Même l’ignare béotien ne peut le suivre dans cette logique paradoxale.
Ce n’est qu’une façon élégante peut être même plaisante de préparer sous nos yeux incrédules la contestation des résultats dans le but de créer une atmosphère de chaos susceptible de mener, avec le concours de puissances obscures de la communauté internationale, à un dialogue de plus pour instaurer une transition sans KABILA.
Est-il preuve plus éloquente de haute trahison que ce projet ?
Et comme l’avait dit Cicéron à Catilina " comme il en est ainsi, LAMUKA, poursuis ta vilaine entreprise contre la Nation ".
Le Peuple est prévenu - Heureusement que la Constitution a prévu le comportement à adopter en pareil cas dans son article 64. Le Peuple saura en faire bon usage en cas de nécessité.
Au lieu de célébrer la démocratie et la victoire du Peuple, ces adeptes du non-sens politique proclament ouvertement leur projet d’enterrer la démocratie et le Peuple par égoïsme et frustrations personnelles.
Mesdames, Messieurs,
Appeler le Peuple sans état d’âme à voter en dehors du mécanisme prévu par la CENI, institution légalement compétente en matière d’organisation de référendum et d’élection, est une prestidigitation politique destinée à cacher tant soit peu le désarroi de Monsieur FAYULU après le fiasco de Genève, son incapacité à faire face à la situation ainsi créée et qui le condamne à jouer les seconds rôles dans la campagne présidentielle.
Demander aux congolais, dans une posture à la fois folklorique et cynique, d’aller voter en déposant dans l’urne un bulletin de leur fabrication en lieu et place du bulletin imprimé par la machine, c’est se moquer des électeurs et bafouer la démocratie.
L’autre tactique abjecte de démobilisation de l’opinion congolaise, conçue par les ennemis de la démocratie et du Peuple, consiste à répandre le bruit selon lequel SHADARY est le candidat du statu quo.
La continuité dont se réclame SHADARY est une poursuite de l’esprit d’innovation et d’émergence économique qui a permis à son prédécesseur KABILA de remporter de haute lutte les combats pour la souveraineté, la suppression de la dette odieuse qui nous empêchait d’avoir une ambition économique, pour l’intégrité du territoire national et de l’autorité de l’Etat, préalables qui ont amené la paix sociale.
SHADARY n’est donc pas le candidat de l’immobilisme ni du statu quo !
SHADARY est le candidat de l’évolution véritable, de la révolution par la modernité.
Peut-être faudrait-il chercher le candidat du statu quo et de l’arriération du Peuple congolais parmi ceux qui se battent à New York, à Genève et à Nairobi pour arrêter la marche en avant de notre démocratie, en préconisant sans vergogne l’organisation d’une deuxième élection dans 2 ans pour supprimer toutes les avancées démocratiques acquises par le Peuple congolais au prix du sang et de sacrifices homériques.
Ces personnages ne sont pas sans rappeler l’âne de la fable romaine qui, ayant revêtu la peau du lion, se mit à rêver qu’il était devenu le roi des animaux et la terreur des humains. Grande et immédiate fut sa désillusion lorsque le premier serviteur de passage, lui ordonna, à coup de fouet, de porter les charges qui lui étaient destinées.
Ce qu’il exécuta évidement avec une couardise courageuse par peur de représailles.
Le Peuple congolais doit choisir le véritable lion, SHADARY, et non des ânes revêtus de peau de lion. Car, la réalité finit toujours par mettre fin à l’illusion la plus flatteuse

Mesdames, Messieurs,
Avant de conclure ce point de presse, la Majorité Présidentielle tient à mettre fermement la population congolaise en garde contre certains vendeurs d’illusion qui veulent donner l’impression que la République Démocratique du Congo est le seul pays au monde à être confronté aux problèmes sociaux et de gouvernance.
Un regard panoramique sur le monde nous permet de constater que la manifestation des gilets jaunes n’est pas un signe de grande prospérité ;. le reniement du Parlement britannique par rapport à la volonté du Peuple de quitter l’Union Européenne pose de façon dramatique la problématique du fossé entre l’establishment et la population ; ou encore le casse-tête du gouvernement belge sur la question des migrations.
Je pourrais continuer la liste de façon infinie.
La leçon à en tirer est simple et s’impose d’elle-même : les problèmes de société et l’agitation politique ne sont pas un privilège réservé uniquement au Congo et à KABILA, et inaccessible aux dispensateurs de leçons de démocratie.
Enfin, en observant la vie internationale des Etats, il est évident qu’aucun Etat ne peut être réprimandé, condamné ou faire l’objet de sanctions, pour avoir sauvegardé les intérêts de son Peuple et de l’Etat, par l’exercice légitime de son droit de souveraineté,
Sinon les États signataires de COP21 à Paris auraient déclaré la guerre aux Etats Unis et accablé le Président TRUMP des sanctions pour avoir dénoncé cet accord universel sur l’avenir de l’humanité par la protection de l’environnement.
Les populations congolaises ne doivent pas se faire un cas de conscience lorsque ses dirigeants sont sanctionnés pour avoir pris une décision en faveur des intérêts réels de l’Etat et du Peuple congolais.
Au contraire, ces dignes serviteurs de l’Etat et du Peuple méritent la reconnaissance et la protection de toute la Nation !
Car ils ne sont que des simples victimes de la méchanceté et de l’aversion tenace des certaines puissances prédatrices contre le patriote Joseph KABILA KABANGE.
Je vous remercie.
Fait à Kinshasa, le 07 décembre 2018
Ambassadeur
André-Alain ATUNDU LIONGO
LIENS COMMERCIAUX

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