
Un impressionnant dispositif sécuritaire attire l'attention de la population. Deux chars de combat sont dans la suite de Fatshi. Pourtant, jusqu'il y a peu, ces engins de guerre n'accompagnaient pas le chef de l'État.
Ceci a aussitôt alimenté des discussions dans le chef des badauds qui affirment que, "l'heure est grave". Surtout avec le crash de l'Antonov A72 commis à sa suite dans sa récente tournée dans l'Est du pays, certaines langues s'accrochant à la piste de sabotage, alors que les enquêtes sont encore en cours.
MEDIA CONGO PRESS