Par CAS-INFO


Comme on pouvait bien s’y attendre, le Front Commun pour le Congo (FCC) a réagi aux menaces de Félix Tshisekedi. S’exprimant dimanche devant la communauté congolaise de Londres, le chef de l’État n’a pas exclu l’hypothèse de dissoudre l’assemblée nationale en cas de crise persistante.

Pour la présidente de la chambre parlementaire visée, la question est déjà tranchée par le constituant.

« La Constitution est claire. Allez à l’encontre des prescrits de l’Art 148 c’est s’exposer aux poursuites pour haute trahison comme le stipule l’Art 165 », a déclaré Jeannine Mabunda lors d’un déjeuner mardi avec la presse.

La présidente de la chambre basse du parlement qui qualifie ce débat d’indécent estime qu’il y a mieux à faire.

« Je trouve quand-même ce débat un peu indécent, ou c’est un débat peut être accessoire et mineur par rapport à ce que moi j’appelle la douleur sociale que vivent nos frères et sœurs », a dit l’ancienne conseillère spéciale de Joseph Kabila en matière des violences sexuelles.

Selon Jeannine Mabunda, la priorité droit être la sécurité à l’Est, la stabilité du taux de change, la solution aux conditions sociales des congolais. Des sujets qui doivent selon elle, s’effacer devant ce qu’elle qualifie d’essentiel.
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