Le Chérif des finances publiques en République Démocratique du Congo, Jules Alingete s’est, depuis l’avènement du régime Tshisekedi, érigé comme le cauchemar de tous les gestionnaires publics encrés dans la fraude et les détournements. L’inspecteur Général de l’inspection Générale des Finances (IGF) s’est illustré par des révélations fracassantes qui n’épargnent personne, allant jusqu’à pointer son nez dans la présidence de la République. “Mettre fin aux antivaleurs” est devenu son champ de bataille comme jamais auparavant.
Au cours d’un récent entretien, le patron de l’IGF a déploré le comportement de certains médiocres à la tête de la République, médiocres mais devant lesquels le citoyen lambda est contraint de faire usage de l’expression excellence. Pour lui, un grand décalage est donc observable entre ces gestionnaires médiocres et leurs actions, ce qui permet à la masse populaire de les identifier sans peine.

Jules Alingete tacle donc une frange de la classe dirigeante en la taxant de corrompue.

« Nous sommes contraints d’appeler des médiocres, excellence. Une classe dirigeante corrompue, incapable de résister face aux dollars», a déclaré Jules Alingete.

J. Alingete est donc pour une prise de conscience collective, prise de conscience qui se doit de commencer au sommet de l’État. Depuis quelques temps, le patron de l’IGF ne cesse de tenir des séminaires sur la gestion saine de finances publiques afin d’éradiquer le phénomène de détournement qui appauvri la nation toute entière au détriment d’un groupe de gens.

Gaël Hombo/acturdc.com


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