Ancien Directeur de cabinet de l’ex Président de la République, Joseph Kabila, le professeur Néhémie Mwilanya, vient de publier un ouvrage intitulé : « La République démocratique du Congo sous Joseph Kabila : Devoir de mémoire ».

Cet ouvrage était porté sur les fonds baptismaux par le haut cadre du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), Henri Mova Sakanyi, ce vendredi 18 février 2022.

Dans ce livre, l’auteur démontre comment l’ancien Président de la RDC, Joseph Kabila Kabange, a laissé 1,3 milliard de dollars américains de réserves de change en 2019 alors qu’il en a trouvé seulement 51 millions USD en 2001.

Ce nouveau né dans le monde littéraire compte quatre chapitres et retrace toutes les réalisations de l’ancien Chef de l’État et autorité morale du Front Commun pour le Congo, de 2001 à janvier 2019 lorsqu’il a cédé le pouvoir à l’actuel Président Tshisekedi.

Selon l’auteur du livre, Joseph Kabila qui est arrivé au pouvoir à l’âge de 29 ans et l’a quitté à 47 ans a su consolider la jeune démocratie et faire place à la toute première alternance pacifique de son pays et de la sous-région.

Divisé en quatre chapitres, ce livre de 348 pages est publié aux éditions l’Harmattan.

Il permet en effet aux lecteurs de mesurer la contribution de Joseph Kabila qui, sur les ruines d’un Congo en lambeaux, ensanglanté par la guerre et dévasté au plan socio-économique, obtint la réunification du pays, sa pacification, sa démocratisation et sa mise sur les rails du point de vue de l’économie mondiale.

Selon le professeur Toengao, ancien recteur de l’Université de Kinshasa (UNIKIN), qui a résumé cet ouvrage lors du vernissage, au-delà de 1,3 milliard USD de réserves de change laissés sous le règne de Joseph Kabila, plus de 300 lois étaient promulguées dont 170 de 2012 à 2018 et plus de 20 ordonnances-lois.

Pour ce qui est de la vie sociale, le professeur Néhémie reconnaît que l’absence des actions prises à l’encontre des ministres et autres responsables de services publiques interpellés traduit l’un des principaux déficits de l’exercice démocratique.

De ce fait, le professeur Néhémie Mwilanya fait savoir que l’impunité, l’absence des actions, le laisser-aller et le laisser-faire méritent d’être retenus comme les principales faiblesses du régime Kabila.

Agnès KAYEMBE


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