Cette confusion a immédiatement suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Nombreux sont les internautes qui ont partagé la séquence de l’interview, dénonçant une supposée méconnaissance des textes fondamentaux de la part de la Première ministre. Pour beaucoup, cet incident met en lumière les attentes des Congolais envers leurs dirigeants, tenus de maîtriser les rouages constitutionnels du pays.
Au-delà de ce lapsus, cette situation souligne les défis auxquels fait face la classe politique congolaise, qui doit répondre à une exigence de précision et de compétence dans un contexte politique particulièrement tendu.