BA SANGO YA CONGO KINSHASA

En consultations avec André Kimbuta : La majorité des mémos pour l’enrôlement de nouveaux majeurs et le respect du calendrier électoral

June 23, 2015

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Avec la permission du chef de l’État Joseph Kabila Kabange, André Kimbuta a poursuivi les consultations dans la ville province de Kinshasa.<br />
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Débutées depuis Mardi 16 juin 2015, la série des consultations avec les forces vives kinoises s’est clôturée, le samedi 20 juin 2015. Le gouverneur de Kinshasa, André Kimbuta, s’est entretenu avec les députés provinciaux et la jeunesse au chômage.<br />
<br />
Il sied de signaler que ces consultations sont organisées dans toutes les provinces de la RDC à l’initiative du Président Joseph Kabila Kabange avec pour objectif d’aboutir à des élections apaisées. Elles tournent autour de quatre thèmes essentiels, à savoir: l’enrôlement des nouveaux majeurs, le calendrier électoral, le financement des élections et la tenue d’un dialogue national.<br />
<br />
S’agissant de l’enrôlement de nouveaux majeurs et du calendrier électoral, la majorité des associations et groupements pensent qu’il est impérieux pour le gouvernement via la Ceni d’enrôler les nouveaux majeurs pour permettre leur participation aux élections. Ils demandent, par ailleurs, au gouvernement de respecter le calendrier électoral tel que prescrit par la Ceni.<br />
<br />
S’agissant du financement des élections et de la tenue en RDC d’un dialogue national, les points de vue divergent. Certains sont pour le dialogue et d’autres sont contre, mais tous ont donné au gouvernement de la République des pistes pouvant lui permettre de trouver les moyens financiers pour l’organisation des échéances.<br />
<br />
Pour certains, le gouvernement doit juste prioriser l’essentiel. Le financement, par exemple, de Bukanga Lonzo, peut déjà servir à l’organisation de ces élections.<br />
<br />
Plusieurs recommandations ont été faites sur cette question de financement dont : le recours aux fonds extérieurs, la création de certaines taxes qui permettront à la population de participer également au financement de ces élections, pour ne citer que ceux-là.<br />
<br />
La position des sportifs<br />
<br />
Reçus par André Kimbuta, le vendredi 19 juin 2015, les mouvements sportifs ont également donné leurs points de vue, par rapport aux quatre questions exploitées lors de ces consultations.<br />
<br />
Selon le Secrétaire général de l’As V.Club, Patrick Banichay Muelela Menji, les mouvements sportifs et culturels ont fait voir au gouverneur de la ville de Kinshasa qu’il était bon pour tout le monde d’aboutir à des élections apaisées. Pour ce faire, ils invitent l’Etat congolais à respecter le calendrier électoral tel qu’il a été établi.<br />
<br />
Ceci, ajoute-t-il, en tenant compte, bien sûr, de certains préalables qui pourraient surgir notamment en ce qui concerne l’enrôlement des nouveaux majeurs.<br />
<br />
» C’est à dire les jeunes qui, en 2011, n’avaient pas 18 ans. Quatre ou cinq ans après, ces enfants sont aujourd’hui majeurs, leurs âges varient entre 18 ans et 22 ans. Alors on estime qu’on ne peut pas oublier ces citoyens », a expliqué Mr Banichay en précisant que pour la majorité des mouvements sportifs, il faut que le gouvernement par le biais de la Ceni enrôle ces jeunes qui ont atteint l’âge majeur, l’âge de vote, en vue de leurs permettre de participer aux élections qui représentent pour eux un droit et un devoir s’agissant de la participation politique d’un citoyen dans son pays.<br />
<br />
En ce qui concerne le financement, le gouvernement devrait fournir des efforts pour réunir les moyens nécessaires. Au cas où il ne parviendrait pas, il pourrait recourir aux partenaires traditionnels, estiment les mouvements sportifs et culturels.<br />
<br />
Par Carroll Madiya<br />
<br />
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En consultations avec André Kimbuta : La majorité des mémos pour l’enrôlement de nouveaux majeurs et le respect du calendrier électoral

Au tour de Kinshasa Politique En consultations avec André Kimbuta : La majorité des mémos pour l’enrôlement de nouveaux majeurs et le respect du calendrier électoral

Avec la permission du chef de l’État Joseph Kabila Kabange, André Kimbuta a poursuivi les consultations dans la ville province de Kinshasa...

Face à cet épineux problème qui sème la confusion dans plusieurs formations politiques : Doublons:10 jours accordés aux partis

June 23, 2015

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Ainsi en a décidé la Commission nationale électorale conformément à la loi en la matière, pour éliminer lesdits doublons au terme d’une importante réunion tripartite tenue hier avec la Majorité et l’Opposition<br />
<br />
Une importante réunion tripartite entre la CENI (Commission électorale nationale indépendante), les partis politiques de l’Opposition et ceux de la Majorité s’est tenue hier lundi 22 juin 2015 au siège de la centrale électorale, comme prévu.<br />
<br />
En l’absence de l’abbé-président, c’est le vice-président de la CENI, André Mpungwe, qui a présidé cette rencontre qui s’est focalisée essentiellement sur les doublons constatés aussi bien parmi certains partis politiques de l’Opposition que dans ceux de la Majorité.<br />
<br />
La CENI, à travers ses BRTC (Bureaux de réception et traitement des candidatures), a en effet répertorié plus de 700 doublons dans 156 partis politiques, pendant que 57 de ces formations politiques ont recommandé les mêmes candidats concernant 125 circonscriptions électorales à travers le pays !<br />
<br />
De nombreux partis politiques de la Majorité et de l’Opposition sont cités comme auteurs de cette mauvaise pratique de doublon.<br />
<br />
Parmi ces partis politiques figurent l’UNC de Vital Kamerhe, le MLC dont le secrétariat général est tenu par Mme Eve Bazaïba, le MLC/Libéral de Thomas Luhaka, le CCU de Lambert Mende, l’UNAFEC de Kyungu wa Kumwanza, le Palu du patriarche Gizenga et même le PPRD c onsidéré comme le parti phare de la majorité présidentielle.<br />
<br />
Face à cette situation, les participants à la réunion tripartite tenue hier ont évoqué les dispositions de la Loi électorale dans son article 21, alinéa 6 qui stipule « …en cas de non-conformité et dans un délai de 10 jours, la CENI retourne la liste ou la déclaration de candidature avec un avis motivé sur les raisons de non-conformité, aux mains du candidat ou du mandataire selon le cas, en l’invitant à présenter une nouvelle liste ou déclaration de candidature rectifiée. »<br />
<br />
A l’issue de la rencontre, certains acteurs politiques ont reconnu la responsabilité des partis et regroupements politiques dans cette situation confuse. Le cas du député national et Secrétaire général adjoint du PPRD Emmanuel Ramazani Shadary.<br />
<br />
Parlé pour le compte de la Majorité, celui-ci a confirmé l’existence des doublons pour certains partis politiques. Il a évoqué à l’article 21 qui permet de donner un délai de 10 jours aux partis politiques auteurs des doublons afin de se mettre en ordre.<br />
<br />
Le coordonnateur de Front populaire de l’Opposition, JP Lisanga Bonganga, est aussi intervenu pour relever que la CENI devait d’abord informer en primeur les partis politiques en leur accordant un délai de 10 jours avant de faire passer l’information dans les médias.<br />
<br />
Pour lui, ce sont des candidats qui trompent les partis politiques en jouant au malin pour se retrouver dans plusieurs formations politiques au même moment. Il a sollicité, lui aussi, un délai de 10 jours pour permettre aux parti concernés de se mettre en ordre.<br />
<br />
Intervenant lui aussi au nom de l’Opposition, le député Delly Sesanga a insisté sur la gouvernance électorale dans l’ensemble.<br />
<br />
Pour ce député national, outre le problème de doublons pour lequel il appelé au respect de la loi électorale dans son article 21 alinéa 6, il a rappelé la nécessité pour les nouveaux majeurs de voter, et déploré le non respect des dates reprises dans le calendrier électoral global et de financement des élections.<br />
<br />
Pour lui, ce sont là des sujets sur lesquels les deux familles politiques et l’autorité chargée d’organiser les élections sont invitées à échanger pour la tenue des élections dans un environnement de paix.<br />
<br />
Le rapporteur de la CENI, Jean-Pierre Kalamba Mulumba, a rappelé que c’est dans le cadre de la recherche de la paix que cette rencontre a été organisée.<br />
<br />
La CENI, selon son rapporteur, a entendu les avis des uns et des autres et a annoncé que l’assemblée plénière de cette Commission va tenir une réunion afin de se prononcer par rapport au problème de doublons. En attendant, les partis concernés par ces doublons ont dix jours pour se mettre en règle.<br />
<br />
Par Lucien Kazadi T.<br />
<br />
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Face à cet épineux problème qui sème la confusion dans plusieurs formations politiques : Doublons:10 jours accordés aux partis

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Koffi OLOMIDE et SIATULA demandent aux congolais de permettre à KABILA d’achever ce qu’il a commencé (vidéo)

June 23, 2015

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Koffi OLOMIDE et SIATULA demandent aux congolais de permettre à KABILA d’achever ce qu’il a commencé (vidéo)

UN FAUX PROCÈS CONTRE MINAKU

June 23, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhri92WEZkDngpHnivs9m2zG_feJz_Cytb2VpO1BcnAhn6H2_uEwvn8QoTr_Hff8V7SAPbU1VMUAhwAyy8i0WK4hKvKXuAVrhUjZQ3ihlk3OBfMNVUK2SlEIqGXIk3FaGUlijoaQD1kn8/s1600/Snapshot_210.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhri92WEZkDngpHnivs9m2zG_feJz_Cytb2VpO1BcnAhn6H2_uEwvn8QoTr_Hff8V7SAPbU1VMUAhwAyy8i0WK4hKvKXuAVrhUjZQ3ihlk3OBfMNVUK2SlEIqGXIk3FaGUlijoaQD1kn8/s400/Snapshot_210.jpeg" width="400" /></a></div>* Il ne revient pas au speaker de la Chambre d’imposer son diktat aux députés <br />
de l’Opposition réfractaires au dialogue républicain.<br />
* Sous la modération de l’actuel bureau de l’Assemblée nationale, <br />
plus de 100 lois ont été produites.<br />
Pas grand monde au Palais du peuple dans cette entre deux sessions. L’ordinaire qui s’est achevée le 15 juin et l’extraordinaire qui débute la semaine prochaine. Silence radio ? Rien à signaler ? Cela devrait être le cas. Hélas, la fraîcheur de la saison sèche charrie aussi mauvais vent et poussière que des anti " minakuistes " primaires de tous bords et des adversaires en " service commandé " s’activent à diriger au troisième niveau du temple chinois où est niché le premier d’entre les députés. Une cabale contre Aubin Minaku que cache mal un procès- uniquement à charge- en déficit de leadership. Un coup fourré de plus. Sans doute de trop. Mais pas évident que la mayonnaise ait pris.<br />
<br />
Lorsque le mardi 16 juin 2015 le speaker de la Chambre conduit ès qualité ses pairs auprès du chef de l’Etat dans le cadre des consultations, il était à mille lieues de s’imaginer que certains allaient lui reprocher la posture fort peu républicaine de la majorité des députés de l’Opposition. Ces derniers avaient tout simplement décliné l’invitation du Président de la République. <br />
Pas besoin d’être prestidigitateur pour deviner la raison. Le refus des élus de l’Opposition cadrait avec le mot d’ordre de leurs partis ou regroupements respectifs. Libre à eux sans doute. Seulement voilà, c’est tout de même le chef de l’Etat, garant constitutionnel de la bonne marche de l’Etat qui a invité ceux qui incarnent le pouvoir législatif. Une invitation survenue synonyme d’un échange républicain, voire patriotique vu les enjeux du moment d’où transparaît l’intérêt supérieur du pays.<br />
<br />
OU EST LE PROBLEME DE LEADERSHIP ? <br />
D’où vient alors cette charge contre Aubin Minaku ? En quoi le refus des députés de l’opposition serait-il imputable au Président de l’Assemblée nationale ? D’autant que le Parlement est tout sauf " godillot ". Dans l’Hémicycle siègent des députés d’horizons divers et aux agendas tout aussi divers. Certains ont fait le choix de faire l’impasse sur le pourtant nécessaire dialogue républicain. Cela ne saurait échapper à personne. C’est dans la même logique qu’ils ont décidé de boycotter la session extraordinaire. Il a beau être président du bureau, Aubin Minaku n’a pas le pouvoir de caporaliser ses collègues de l’opposition. Cela se passe ainsi dans tout parlement pluraliste et pluriel. De ce point de vue, le procès en déficit de leadership est mal venu. <br />
Les adversaires de Minaku ont raté là l’occasion de faire l’économie d’une cabale. <br />
<br />
PLUS DE 100 LOIS EN TROIS ANS, UN RECORD<br />
Comme si ce pétard mouillé ne suffisait pas, voilà Minaku attaqué sur un terrain où les faits plaident en sa faveur, à savoir le bilan de l’actuel bureau de l’Assemblée nationale. Au bout de trois ans au perchoir, l’élu d’Idiofa a déjà " pondu " plus de 100 lois ! Un record en la matière quand on sait qu’avant aucun bureau de la Chambre post-2006 n’a fait mieux. Et quelles lois ? Pas n’importe lesquelles. Des lois aussi essentielles que celle sur la CNDH, la parité, la sécurité juridique et judiciaire… Sur le front de la diplomatie parlementaire et de la place de l’Assemblée nationale au sein du gotha mondial, l’actualité charrie des hauts faits. Aubin Minaku est en passe de devenir le Président de l’Assemblée des parlementaires francophones (APF) à l’échelle planétaire. Ce, après avoir bouclé un mandat de premier-vice président de l’APF. au niveau africain. C’est fort justement de son succès à la tête de l’APF que ses pairs africains l’ont plébiscité comme le candidat du continent. Son intervention, très remarquable à Yamousoukro, a beaucoup séduit ses pairs africains. <br />
<br />
FDA<br />
<br />
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Justice UN FAUX PROCÈS CONTRE MINAKU

* Il ne revient pas au speaker de la Chambre d’imposer son diktat aux députés de l’Opposition réfractaires au dialogue républicain. * Sous...

Justice internationale à double vitesse : Pourquoi la CPI ne fait-elle arrêter Bachar el-Assad ?

June 23, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSBjHW3y11QuCaD0SiLHcuLfV_BmiHCatwAxop1FVMU4-6Er6hKjS3K19h56gnyAxd6u7sxbTtt1h5pOIFQKE3sU_GpC958SSulaDKtX4hXI3TqTGPq1htTB1RL4ah6tVe0dPw2vhh3B0/s1600/Snapshot_209.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSBjHW3y11QuCaD0SiLHcuLfV_BmiHCatwAxop1FVMU4-6Er6hKjS3K19h56gnyAxd6u7sxbTtt1h5pOIFQKE3sU_GpC958SSulaDKtX4hXI3TqTGPq1htTB1RL4ah6tVe0dPw2vhh3B0/s400/Snapshot_209.jpeg" width="400" /></a></div>*Nouvelles attaques au chlore en Syrie perpétrées par les troupes du sanguinaire tyran Bachar el-Assad qui, en plus de quatre ans, a déjà massacré près de 400.000 Syriens et qui ne contrôle plus que 20% du pays. Cette nouvelle a été diffusée sur TV5 Monde, le jeudi 18 juin 2015. Un timide traitement des faits si graves ! En revanche, l’opinion africaine et mondiale se souvient  du matraquage médiatique et de la polémique autour de la probable arrestation du Président soudanais, Omar el-Béchir, venu participer au 25ème Sommet de l’Union Africaine (UA) en Afrique du Sud, du 13 au 15 juin 2015. Humiliés, les Africains attendent des réponses claires et nettes aux questionnements suivants : Qu’attend le Conseil de Sécurité des Nations Unies pour intimer l’ordre à la Cour Pénale Internationale (CPI) d’émettre un mandat d’arrêt international contre le Président syrien ? Pourquoi deux poids, deux mesures ?<br />
<br />
Une équipe médicale américano-syrienne vient de faire publiquement rapport au Congrès des Etats-Unis d’Amérique sur l’utilisation récurrente des armes chimiques par le régime de Bachar el-Assad contre les populations syriennes. A ce jour, ces chirurgiens ont recensé trente-et-une attaques au chlore qui ont mortellement brûlé et fait périr un grand nombre de civils syriens. Curieusement, très peu de médias internationaux en font écho. Au grand étonnement général, le dirigeant syrien n’est pas du tout inquiété par l’instance judiciaire internationale qui aurait du l’inculper depuis belle lurette. Certes, la Syrie n’est pas signataire du Traité de Rome qui institue la CPI. Ledit Traité n’a pas non plus été ratifié par le Soudan, l’Israël, les USA et bien d’autres Etats occidentaux. Mais pourquoi la CPI ne cible et ne s’acharne que sur les dirigeants et leaders africains ? Certaines dispositions de la machiavélique Charte de l’Impérialisme, notamment l’article 28, clarifient cette attitude malveillante et partisane : « Les dirigeants des puissances occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêtés ni incarcérés par les cours et tribunaux de l’ « ONU » même s’ils commettent des « crimes de guerre », de « génocide », des « crimes contre l’humanité ».<br />
<br />
Les Chefs d’Etat  et de Gouvernement  africains ont unanimement déploré les événements provoqués par les mandats d’arrêt de la CPI contre un Président en exercice. « C’est une tentative pour perturber les débats productifs de nos dirigeants », a déclaré, depuis Johannesburg, Joseph Chilengi, Président en exercice du Conseil économique et social de l’UA. C’était donc une distraction pour que les pays africains ne se penchent pas sérieusement sur les vrais problèmes auxquels est confronté le continent. Nonobstant une interdiction formelle d’un juge sud-africain, Omar el-Béchir sous le coup de deux mandats d’arrêt internationaux pour crimes de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité, a quitté tranquillement le pays de Nelson Mandela, le lundi 15 juin dernier. Le refus du Président sud-africain et hôte du Sommet, Jacob Zuma, d’arrêter son homologue soudanais est un nouveau camouflet pour la CPI. Cette dernière avait, quelque temps auparavant, abandonné ses poursuites contre l’actuel Président kenyan, Uhuru Kenyatta, faute de preuves.<br />
<br />
Beaucoup ne comprennent pas un tel acharnement sur le Berceau de l’Humanité et ses ressortissants. Alors que les dirigeants israéliens qui colonisent et martyrisent le peuple Palestinien se baladent tranquillement à travers le monde, l’Américain George W. Bush et le Britannique Tony  Blair n’ont jamais été inquiétés malgré des prétextes fallacieux dont ils ont usé pour envahir l’Irak de Saddam Hussein et piller son pétrole. Peut-on en estimer les nombreux dommages collatéraux ? Et les corrompus de la fameuse opération « pétrole contre nourriture »… Quel est le sort des soldats français qui ont violé récemment des mineures en Centrafrique ? Ces donneurs des leçons occidentaux !!!<br />
<br />
En conclusion, Bachar el-Assad n’est pas trainer à la CPI puisque protéger par un ou plusieurs membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies,  y compris la Russie de Vladimir Putin. Pour sa part, l’UA est déterminée à tourner rapidement le dos à cette justice internationale à double vitesse et instrumentalisée par laquelle les « forts » (les Occidentaux) continuent de coloniser et d’écraser les « faibles » (les Africains). Autrement dit, fini  l’époque du néocolonialisme !!!<br />
<br />
James M. Yende<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Justice Justice internationale à double vitesse : Pourquoi la CPI ne fait-elle arrêter Bachar el-Assad ?

*Nouvelles attaques au chlore en Syrie perpétrées par les troupes du sanguinaire tyran Bachar el-Assad qui, en plus de quatre ans, a déjà ma...

4 vérités dans un mémo sur le Dialogue : Ligue du Peuple, Didier Mumengi répond à l’appel de Kimbuta !

June 23, 2015

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnyC0meKylkZNwOJtfPMCrYDw7FVpb51LtqHkmqeDjzmzv8N8Q63S7im8_9j8QEJ9TL1BcYQTkLxpY5qj-D9bU6TU5kQDo98KV3JSNe6GUuQMQO8IZO60ZAaVhAGCVcfoW1-FYwiTw-lc/s1600/Snapshot_208.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnyC0meKylkZNwOJtfPMCrYDw7FVpb51LtqHkmqeDjzmzv8N8Q63S7im8_9j8QEJ9TL1BcYQTkLxpY5qj-D9bU6TU5kQDo98KV3JSNe6GUuQMQO8IZO60ZAaVhAGCVcfoW1-FYwiTw-lc/s400/Snapshot_208.jpeg" width="400" /></a></div>
*La politique n’est pas un lieu de villégiature. C’est, par contre, un espace de lutte et  d’expression. Là où certains  apprentis sorciers, animés sans nul doute de mauvaise foi, s’illustrent dans la rébellion des armes, en écumant   l’Est du pays, Didier Mumengi, ci-devant, Président National de la Ligue du Peuple, un nouveau  parti politique, a toujours fait appel, lui,  à la rébellion des intelligences. Ici, il répond à une main tendue de Kimbuta Yango,  dans le cadre des consultations initiées par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange.   Vendredi dernier, La Ligue du Peuple, par les soins d’un des ses hauts cadres,  a transmis un mémo-canon à l’Autorité Urbaine.  Il exige les quatre vérités sur table. Telle est, dans l’esprit de ce mémo,  la principale condition de réussite du  dialogue, si les congolais issus de toutes les couches sociales et de tous les horizons politiques, acceptent, finalement, de  rebâtir la RD. Congo  sur un ferment de paix et de cohésion.<br />
<br />
Akwety à La Ligue du Peuple<br />
<br />
Comme prévu, la Ligue du Peuple, Parti Cher à Didier Mumengi, a remis officiellement son mémo à André Kimbuta Yango,  Gouverneur de la Ville, le vendredi 19 juin dernier, en son siège situé le long de l’avenue Basoko à Kinshasa/Gombe. C’était par l’entremise de son émissaire, M. Akwety, Ministre Provincial de la Sécurité, que tout s’est déroulé. Au nom du Numéro Un de la Capitale, ce dernier a   remercié   cette Organisation Politique, qui s’est distinguée par une diligence remarquable, face à ce dossier mis en œuvre en perspective d’un dialogue politique.  <br />
<br />
Elle n’a pas dormi sur ses lauriers, depuis le passage d’André Kimbuta dans ses intallations,  le mardi dernier, pour le compte des consultations  dont la main du Chef de l’Etat a été passée aux Gouverneurs de Provinces. A cet effet, une commission ad hoc était mise en place afin de confectionner en bonne et due forme, ce mémo, qui pourra être pris  en compte, dans la constitution du format d’un ‘’dialogue politique’’, tant souhaité par une frange importante de   la classe politique congolaise.<br />
<br />
En toute diligence, tout était fin prêt au jour ‘’J’’, soit le vendredi dernier, et n’attendait plus que la présence des Autorités compétentes en vue d’entrer en possession du  contenu de ce mémo.<br />
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Après un bref entretien qui a suivi son arrivée  sur le lieu indiqué, le Ministre Provincial de l’Intérieur a directement été servi  par les Membres de cette Organisation qui l’y attendaient avec beaucoup de minutie.<br />
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A son tour, il a invité  la Ligue du Peuple à avoir adhérer à l’idée du Gouverneur de mettre par écrit un document qui reprend les idées sur le dialogue. Très rassurant, il leur a exprimé  la  reconnaissance  du Gouverneur de la Ville, pour l’intérêt accordé à cette démarche  salvatrice,  pour  la nation.<br />
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Pour rappel, André Kimbuta est descendu personnellement, dans le cadre des consusltations locales, au siège de la Ligue du Peuple, le  mardi 17 juin 2015, où il a exposé clairement les problèmes liés essentiellement aux élections. Se dotant comme option, de relever le défi consistant à contruire une société dialogique et collaborative, Didier Mumengi a opté pour le dialogue, à condition que soit mises sur table les quatre vérités. Cela concerne  d’abord,   l’état réel de la société qui vit sous une crise criante  qui la paralyse.  Ensuite, ce  sera le sujet lié à la fin de la guerre et la qualité de la paix qu’il est important de construire pour baliser le terrain du redressement du pays.  Aussi, les parties prenantes doivent-elles soulever la question liée à la viabilité, faisabilité  et  au financement réelle du processus électoral, dans le respect et l’inviolabilité de la Constitution.    Enfin, une vérité basée sur l’intelligentia politique économique, intellectuelle et associative que peut apporter dans une charte républicaine de redressement décisif de la Patrie, qu’il faut concevoir lors de ces assises. Il précise tout de même que  le dialogue doit se dérouler sans arrière-pensées politiciennes.  Mais, plutôt,  dans un esprit patriotique,  avec les problèmes du Congo à cœur.  D’autant plus que  depuis  1960, 18 autres rencontres se sont tenues, sans un changement majeur du Peuple.<br />
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La Pros.    <br />
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Politique 4 vérités dans un mémo sur le Dialogue : Ligue du Peuple, Didier Mumengi répond à l’appel de Kimbuta !

*La politique n’est pas un lieu de villégiature. C’est, par contre, un espace de lutte et d’expression. Là où certains apprentis sorcier...

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