BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Bruxelles: Après l'Île de Gorée, les partis politiques de l'opposition et la société civile réunis pour créer le « Front citoyen 2016 » afin d'empêcher à Joseph Kabila de briguer un troisième mandat ( VIDÉO)

December 20, 2015

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Bruxelles: Après l'Île de Gorée, les partis politiques de l'opposition et la société civile réunis pour créer le « Front citoyen 201...

RDC : le parti au pouvoir mobilise pour contrer toute "insurrection"

December 20, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkAwTdbmubdbJKIzp-sxFPi8YhY-kuYKvPgF7KxqZfFghVAS5bOCs1yHCB9anPSleQXGCqtBrQcpHWBXthpsnxHNUwqbaZP-HmansSB1S27Jl6K0lornIVdMQhpY6hBY5Km5mnRjU25qE/s1600/Snapshot_1149.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkAwTdbmubdbJKIzp-sxFPi8YhY-kuYKvPgF7KxqZfFghVAS5bOCs1yHCB9anPSleQXGCqtBrQcpHWBXthpsnxHNUwqbaZP-HmansSB1S27Jl6K0lornIVdMQhpY6hBY5Km5mnRjU25qE/s400/Snapshot_1149.jpeg" width="400" /></a>Le parti présidentiel en République démocratique du Congo a déclaré vendredi se préparer à contrer toute tentative d'"insurrection" dans un pays sous tension politique à un an de l'échéance du mandat du président Joseph Kabila.<br />
<br />
Henri Mova Sakanyi, secrétaire général du parti déplore, dans une interview à VOA Afrique, que certains acteurs se préparent à l’insurrection alors que le président Kabila a convoqué un dialogue politique en vue d’un processus électoral apaisé.<br />
<br />
" Nous nous chargeons, nous, de préparer en pare-feu le peuple congolais afin qu’il ne se laisse pas entrainer dans des mécanismes qui iraient à l’encontre de son bonheur ", affirme Mova, fustigeant les opposants qui s’opposent au dialogue politique " et qui vont fomenter des complots contre les institutions en tentant des manipuler la population ".<br />
<br />
<br />
Une bonne partie de l’opposition rejette le dialogue politique et estime que le président Kabila tente une manœuvre pour rester au pouvoir au-delà de 2016.<br />
<br />
La Constitution limite à deux le nombre des mandats présidentiels et exclut de ce fait M. Kabila au pouvoir depuis 2001 de la prochaine présidentielle.<br />
<br />
Dans une déclaration dimanche dernier, le gouvernement a accusé une quarantaine d'opposants et de membres de la société civile congolaise qui ont pris part du 12 au 14 décembre à un forum, de chercher à "déstabiliser les institutions de la RDC".<br />
<br />
Les opposants et l’Eglise catholique ont récemment appelé les Congolais à mettre en application l’article 64 de la Constitution qui leur donne le droit de faire échec à tout individu ou tout groupe d'individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l'exerce en violation des dispositions légales.<br />
<br />
M. Mova soutient que le dialogue convoqué ne sera pas le lieu pour modifier la Constitution et n’en a pas d’objectif.<br />
<br />
Le pouvoir a mis en garde début décembre l'Église catholique et une large coalition d'opposition après que l'une et l'autre eurent invoqué dans des déclarations publiques l'article 64 de la Constitution congolaise, disposant que "tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d'individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l'exerce en violation des dispositions" de la loi fondamentale. Le gouvernement et le procureur général de la République ont vu dans ces propos une "incitation à la violence", ce dont se sont défendus les intéressés.<br />
<br />
Dimanche, Kinshasa a haussé le ton contre un forum d'opposants et de membres de la société civile congolaise ayant eu lieu à Gorée (Sénégal) du 12 au 14 décembre, accusant la quarantaine de participants à cette rencontre de chercher à "déstabiliser les institutions de la RDC".<br />
<br />
"Nous pensons que le dialogue peut nous éviter (...) le chaos", a estimé M. Mova accusant ceux qui le rejettent, comme "les participants à la rencontre de l'île de Gorée", d'avoir "leurs solutions qui passent par la violence".<br />
<br />
VOA<br />
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Politique RDC : le parti au pouvoir mobilise pour contrer toute "insurrection"

Le parti présidentiel en République démocratique du Congo a déclaré vendredi se préparer à contrer toute tentative d'"insurrection...

Après L’île de Gorée , " Le Front Citoyen Créé Pour Empêcher Le 3ème Mandant de Joseph Kabila "

December 20, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsW7i-uTnDY-qCP6POGIndxypCU7BRYfR9ueCP8g92DCok6ny-54ykOeljdEOfGqQjlJELGWuW4H_6zn_FTh5B8JKfcHPTEJ1WrEZ539vr4qdAAMlgscvtcCEzJfAIoC1s5LsR52106as/s1600/Snapshot_1142.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsW7i-uTnDY-qCP6POGIndxypCU7BRYfR9ueCP8g92DCok6ny-54ykOeljdEOfGqQjlJELGWuW4H_6zn_FTh5B8JKfcHPTEJ1WrEZ539vr4qdAAMlgscvtcCEzJfAIoC1s5LsR52106as/s400/Snapshot_1142.jpeg" width="400" /></a>Vingt-sept leaders politiques congolais ont mis sur pied le Front citoyen 2016.<br />
Cette nouvelle structure veut empêcher Joseph Kabila de se présenter à l’élection présidentielle de 2016, selon ses membres.<br />
Réunis samedi à Kinshasa, ils ont exigé la publication d'un nouveau calendrier électoral "consensuel", à un an de la présidentielle.<br />
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Parmi les signataires de l'acte de naissance de cette plateforme figurent entre autre Samy Badibanga de l'UDPS, Ève Bazaiba du MLC, Vital Kamerhe de l'UNC.<br />
Aucune date n'est fixée pour cette élection devant permettre d'élire le successeur de Joseph Kabila.<br />
Ce dernier n’a pas encore dit s’il est candidat au scrutin présidentiel de l’an prochain.<br />
La Constitution actuelle lui interdit de briguer un nouveau mandat. Elu en 2006, il a été réélu en 2011.<br />
Joseph Kabila est au pouvoir depuis 2001.<br />
<br />
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Politique Après L’île de Gorée , " Le Front Citoyen Créé Pour Empêcher Le 3ème Mandant de Joseph Kabila "

Vingt-sept leaders politiques congolais ont mis sur pied le Front citoyen 2016. Cette nouvelle structure veut empêcher Joseph Kabila de se ...

Référendum constitutionnel au Rwanda : le "oui" l'emporte avec 98,13% des voix

December 20, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhle8Degl7taqh1JFBWoLSPWi-qedm74PecQdi155MimD7whBQ2JBM6aqeRRNMI_4Vh8MaxBWxefCTdSWKN4JdIGONbs4OJHaxVcB1Hh4pyJexSyQHqtpEDmnr3_Eh3BeEXEADMuMgLRRU/s1600/Snapshot_1146.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhle8Degl7taqh1JFBWoLSPWi-qedm74PecQdi155MimD7whBQ2JBM6aqeRRNMI_4Vh8MaxBWxefCTdSWKN4JdIGONbs4OJHaxVcB1Hh4pyJexSyQHqtpEDmnr3_Eh3BeEXEADMuMgLRRU/s400/Snapshot_1146.jpeg" width="400" /></a>Le "non" n'a engrangé que 1,71%, selon des résultats officialisés samedi par la Commission électorale et portant sur 21 des 30 districts, soit 70% du pays.<br />
<br />
Les Rwandais ont plébiscité leur président Paul Kagame, en votant massivement en faveur d'une révision de la Constitution qui doit lui permettre de se présenter pour un nouveau mandat en 2017 et de potentiellement diriger le pays jusqu'en 2034.<br />
<br />
Le "oui" en faveur de la réforme constitutionnelle obtient 98,13% des voix, contre 1,71% au "non", selon des résultats officialisés portant sur 21 des 30 districts, soit 70% du pays.<br />
<br />
Elu en 2003 et réélu en 2010, avec plus de 90% des voix à chaque fois, M. Kagame, 58 ans, n'a pas encore dit s'il se représenterait en 2017, date limite de son dernier mandat selon la Constitution non révisée.<br />
<br />
Il avait indiqué que sa décision dépendrait des résultats du référendum. L'ampleur du vote en faveur du "oui" devrait l'inciter à se présenter à nouveau.<br />
<br />
"Nous avons vu la volonté du peuple. Il est clair que ce que le peuple veut, il peut l'obtenir", a déclaré Kalisa Mbanda, le chef de la Commission électorale nationale après avoir annoncé ces résultats préliminaires.<br />
<br />
"Ils avaient demandé le changement de Constitution et ils l'ont obtenu", a-t-il ajouté, cité par le quotidien pro-gouvernemental New Times.<br />
<br />
Il faisait peu de doutes que le "oui" l'emporterait largement. La révision avait été présentée comme une initiative populaire par les autorités, 3,7 millions de Rwandais ayant demandé par pétition un maintien au pouvoir de M. Kagame après 2017.<br />
<br />
Quelque 6,4 millions de Rwandais avaient été conviés à répondre par oui ou non à la question: "Êtes-vous d'accord avec la Constitution de la République du Rwanda telle que révisée pendant l'année 2015?".<br />
<br />
Divers articles ont été modifiés en novembre par le Parlement. Mais les deux changements cruciaux concernent les articles 101 et 172 qui autorisent M. Kagame à potentiellement se maintenir au pouvoir pendant 17 années supplémentaires.<br />
<br />
Le nouvel article 101 continue de limiter à deux le nombre de mandats présidentiels, tout en abaissant sa durée de sept à cinq ans. Parallèlement, un nouvel article 172 stipule que la réforme n'entrera en vigueur qu'après un nouveau septennat transitoire, entre 2017 et 2024. Le président sortant y sera donc éligible, de même qu'aux deux quinquennats suivants.<br />
<br />
Critiques internationales<br />
<br />
M. Kagame est l'homme fort du pays depuis juillet 1994: à l'époque, sa rébellion du Front patriotique rwandais (FPR) avait chassé de Kigali les extrémistes hutu et mis fin au génocide qu'ils avaient déclenché trois mois auparavant (800.000 morts, essentiellement membres de la minorité tutsi).<br />
<br />
La révision constitutionnelle a été sévèrement critiquée par les partenaires internationaux du Rwanda, Etats-Unis en tête, qui ont appelé M. Kagame à quitter le pouvoir en 2017.<br />
<br />
Washington avait estimé que "personne n'est indispensable" et l'Union européenne (UE) que cette réforme menée dans l'intérêt d'un "individu seulement" perdait en "crédibilité".<br />
<br />
La délégation de l'UE à Kigali a également critiqué vendredi le "manque de temps et d'espace accordés pour le débat", en notant que le texte de la Constitution révisée n'avait été publié que "moins d'un jour avant le vote".<br />
<br />
Le Parti démocratique vert, unique formation parmi les partis homologués à refuser cette révision, a encore dénoncé samedi le délai trop court - dix jours - entre l'annonce et la tenue du référendum, qui l'a empêché de faire campagne pour le "non".<br />
<br />
"Après des années d'intimidations de la part du gouvernement (...) les manifestations publiques de désaccord sont rare", a observé Carina Tertsakian de l'ONG Human Rights Watch, considérant que le résultat du référendum n'était pas une surprise.<br />
<br />
"Comme un homme nous l'a dit: il serait stupide de voter +non+, parce que ça ne changera rien", a-t-elle ajouté.<br />
<br />
Les observateurs doutent de la spontanéité de l'engouement populaire pour cette révision, dans un pays souvent pointé du doigt pour son manque d'ouverture politique et ses entraves à la liberté d'expression.<br />
<br />
Ils accusent le FPR, le parti présidentiel présent à tous les échelons de la société, de manoeuvrer pour permettre à M. Kagame de rester au pouvoir. Ce dernier a balayé ces critiques et dénoncé l'immixtion de la communauté internationale dans les affaires rwandaises.<br />
<br />
"Les Rwandais ont parlé haut et fort. Ils ont pris leur destinée et celle de leur pays en main", s'est réjoui le New Times.<br />
<br />
Avec AFP<br />
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internationale Politique Référendum constitutionnel au Rwanda : le "oui" l'emporte avec 98,13% des voix

Le "non" n'a engrangé que 1,71%, selon des résultats officialisés samedi par la Commission électorale et portant sur 21 des 30...

DCMP : 600000 actions accessibles aux supportes

December 20, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjU2DaHULVGTMHQoBtfHp28Glj4MEX7NlcKhmBkSV3FtnzuSBZq2lpxbx32TPuDd6LkDD4nDTr8P8e30RnI2jMnaX7-Ka6qjyCIrsGeC53r7-GOlT1Rdeuw_nAPfYMRZ7zCpqMX1zYKAfY/s1600/Snapshot_1140.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjU2DaHULVGTMHQoBtfHp28Glj4MEX7NlcKhmBkSV3FtnzuSBZq2lpxbx32TPuDd6LkDD4nDTr8P8e30RnI2jMnaX7-Ka6qjyCIrsGeC53r7-GOlT1Rdeuw_nAPfYMRZ7zCpqMX1zYKAfY/s400/Snapshot_1140.jpeg" width="400" /></a>Depuis le jeudi 17 décembre 2015, le Daring Club Motema, en pleine mutation, d’une association sans but lucratif vers une entreprise à caractère sportif, a procédé à l’opération de souscription de ses sympathisants  comme actionnaires de l’équipe. Le lancement de cette opération a eu lieu ce jeudi, à l’Hôtel du Fleuve, dans la commune de la Gombe. C’était au cours une conférence de presse co-animée par les deux co-présidents de l’équipe.<br />
<br />
En l’occurrence, Gentiny Ngobila Mbaka et d’Henri Legarda, sous la modération du directeur général de l’entreprise sportive, Antoine Selles. Témoin privilégié de cette conférence de presse, Patrick Kabisi, le représentant de l’Ecobank, l’entreprise bancaire qui va accompagner le Dcmp dans sa démarche. Aux dires de deux orateurs, la transformation envisagée dans cette équipe intervient au moment où le club vert et blanc va est en passe de devenir octogénaire. <br />
<br />
Car,  fondé en 1936, ont soutenu l’un et l’autre, le Daring aura quatre-vingts ans en 2016. Pourtant, depuis près d’un an, ont-ils souligné, Daring était au bord de la ruine, à la suite d’une longue crise,  quasi chronique,  qui l’a secouée. Gentiny Ngobila est d’avis que depuis sa prise de pouvoir, le club immaculé est au mieux de sa forme. Pour preuve, a-t-il fait remarquer, Daring, qui se défend bien, est aux commandes de la zone ouest du championnat. Et on n’entend nullement lâcher prise.<br />
<br />
25 dollars américain la part<br />
<br />
De cette entrevue  avec  la presse et dans l’opération de souscription, le minimum requis pour l’obtention d’une action s’élève à 25 dollars américains. Cette somme, ont soutenu les deux orateurs, est à la portée  même de  bourses les moins nanties. Par ailleurs, ont affirmé l’un et l’autre, 600.000 actions paraissent beaucoup, en même temps peu. Cela dans la mesure où, ont-ils fait remarquer, il n’y aura pas 600.000 preneurs mais bien un nombre inférieur à la barre fixée. Car certaines personnes peuvent prendre individuellement, à titre exemplatif,  dix milles parts  voire plus. Aussi, le s deux conférenciers ont-ils invité les Daringmen intéressés de faire diligence pour ne pas rater le départ du train immaculé qui, dans si peu de temps sera sur les rails pour un autre pan de son histoire. <br />
<br />
Pour la circonstance, les daringmen dont la chose intéresse n’ont qu’à se ruer aux agences de l’Ecobank, sur place dans la capitale, dans les provinces. Les congolais de la diaspora, n’auront aucune inquiétude. Simplement, l’Ecobank est éparpillé sur le continent.  L’opération de souscription va s’étendre durant trois mois à partir de ce 17 décembre 2015.<br />
<br />
Dcmp doté d’un site internet<br />
<br />
Pour plus de visibilité, les administrateurs du Dcmp ont doté leur club chéri d’un site web sur l’adresse suivante : www.imana-dcmp.com. Le DG Antoine Selles qui y a donné de plus amples détails a affirmé que les Imaniens peuvent suivre le live du derby V.Club contre Daring, prévu, le dimanche, 20 décembre 2015, à travers cette toile imanienne.<br />
<br />
<br />
<br />
Kinshasa, 20/12/2015 (Léopards Foot)<br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjU2DaHULVGTMHQoBtfHp28Glj4MEX7NlcKhmBkSV3FtnzuSBZq2lpxbx32TPuDd6LkDD4nDTr8P8e30RnI2jMnaX7-Ka6qjyCIrsGeC53r7-GOlT1Rdeuw_nAPfYMRZ7zCpqMX1zYKAfY/s400/Snapshot_1140.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Sport DCMP : 600000 actions accessibles aux supportes

Depuis le jeudi 17 décembre 2015, le Daring Club Motema, en pleine mutation, d’une association sans but lucratif vers une entreprise à carac...

RDC-Rwanda : Ladislas Ntaganzwa contre Laurent Nkunda ?

December 20, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8V0GFpQR8br_WkMPZcOMBd1juxbaNTkArQTMg5psUBZpExZnqdTPYOISHVnU0OPpqVhckmCAeIuN6SYkLXS3aMtokAFTWA8HGHHr7Uj3r1zC0SoaQG6kLHCywqMSKWKHOiFx2oDl4Z6M/s1600/Snapshot_1135.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8V0GFpQR8br_WkMPZcOMBd1juxbaNTkArQTMg5psUBZpExZnqdTPYOISHVnU0OPpqVhckmCAeIuN6SYkLXS3aMtokAFTWA8HGHHr7Uj3r1zC0SoaQG6kLHCywqMSKWKHOiFx2oDl4Z6M/s400/Snapshot_1135.jpeg" width="400" /></a>Kinshasa détient le présumé génocidaire rwandais Ladislas Ntaganswa et pourrait demander à Kigali l'extradition de Laurent Nkunda en échange de celle de l'ancien maire de Nyakizu.<br />
<br />
À quand l’extradition de Ladislas Ntaganzwa ? Ce génocidaire rwandais présumé a été arrêté il y a une dizaine de jours dans la province du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo, puis transféré à Kinshasa. Le Mécanisme pour les tribunaux pénaux internationaux de l’ONU, qui remplace le Tribunal pénal international pour le Rwanda, avait demandé une extradition rapide, mais Kinshasa pose maintenant des conditions.<br />
<br />
« Oui, nous extraderons le génocidaire rwandais, mais nous attendons que le Rwanda agisse de même », souligne le ministre congolais de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba. Il rappelle que son pays a lancé « plusieurs mandats » contre des ressortissants exilés au Rwanda et qu’ils sont restés lettre morte. Cette fois, il attend de Kigali un « engagement » qu’elle enverra l’un des Congolais recherchés.<br />
<br />
Une préférence ? « No comment », dit-il. Mais un haut-responsable de l’armée interrogé par Jeune Afrique se montre catégorique : c’est Laurent Nkunda – qui a dirigé l’ex-rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), soutenue par le Rwanda – que Kinshasa veut en échange de Ladislas Ntaganzwa. Ce dernier est accusé d’avoir participé au meurtre de milliers de Tutsis en 1994 alors qu’il était maire de Nyakizu (sud du pays).<br />
<br />
Pour l’heure, Ladislas Ntaganzwa est encore interrogé. La RDC dit se renseigner sur les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), une rébellion hutu rwandaise fondée par des génocidaires après leur fuite dans l’est congolais. Mais jusqu’à maintenant, le prisonnier a nié toute activité militaire et affirme qu’il était un simple « infirmier ».<br />
<br />
Habibou Bangré<br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8V0GFpQR8br_WkMPZcOMBd1juxbaNTkArQTMg5psUBZpExZnqdTPYOISHVnU0OPpqVhckmCAeIuN6SYkLXS3aMtokAFTWA8HGHHr7Uj3r1zC0SoaQG6kLHCywqMSKWKHOiFx2oDl4Z6M/s400/Snapshot_1135.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique RDC-Rwanda : Ladislas Ntaganzwa contre Laurent Nkunda ?

Kinshasa détient le présumé génocidaire rwandais Ladislas Ntaganswa et pourrait demander à Kigali l'extradition de Laurent Nkunda en éch...

RDC: Front Citoyen 2016 exige la publication d'un calendrier électoral "consensuel"

December 20, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHuyJaVb-ero_nJ58JmZSf37uQ_5u03xDnAM_EL6isxZN-SmJg62CPvdTmZu4kclBX9weXE7N11oGcA1nJjjoKYymi5HQayd_znwoq8MOdAaT2Pt7mex3lM894ROv860M2dKO74GiDq-k/s1600/Snapshot_1144.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHuyJaVb-ero_nJ58JmZSf37uQ_5u03xDnAM_EL6isxZN-SmJg62CPvdTmZu4kclBX9weXE7N11oGcA1nJjjoKYymi5HQayd_znwoq8MOdAaT2Pt7mex3lM894ROv860M2dKO74GiDq-k/s400/Snapshot_1144.jpeg" width="400" /></a>Un groupement composé d'opposants et d'acteurs de la société civile congolaise a exigé samedi à Kinshasa la publication d'un nouveau calendrier électoral "consensuel", à un an de la présidentielle devenue incertaine en République démocratique du Congo.<br />
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"Nous exigeons le déblocage du processus électoral, par la publication au plus tard le 31 janvier 2016 d'un calendrier électoral consensuel, respectant le délai constitutionnel pour l'élection du prochain président et intégrant la mise à jour du fichier électoral" dont le "démarrage" doit intervenir "au plus tard le 10 février 2016", a déclaré le porte-parole du "Front citoyen 2016", lors de la présentation officielle de cette nouvelle plate-forme.<br />
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Aucune date n'est fixée pour la présidentielle devant permettre d'élire le successeur du président Joseph Kabila, à qui la Constitution interdit de se représenter, et dont le mandat s'achève fin décembre 2016.<br />
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Mercredi, l'Eglise catholique avait exhorté le gouvernement à dégager en "toute urgence, les ressources nécessaires" pour l'organisation des élections.<br />
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Le "Front citoyen 2016" regroupe plusieurs composantes: le parti historique d'opposition, UDPS; la Dynamique de l'opposition, fédération active depuis plusieurs mois et regroupant des opposants de plus ou moins longue date à M. Kabila; le G7, groupe de sept partis ayant claqué en septembre la porte de la majorité, mais aussi les membres de la société civile et défenseurs congolais des droits de l'Homme.<br />
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Pour ce regroupement, M. Kabila, au pouvoir depuis 2001, "ne fait plus mystère de son intention délibérée de renverser le régime constitutionnel en vigueur pour se maintenir" à la tête du pays au-delà du terme de son mandat.<br />
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"La paix, l'unité et la stabilité de la RDC sont gravement menacées. La République est en péril", s'est alarmé ce groupe, appelant le peuple à faire usage de l'article 64 de la constitution qui stipule que "tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d'individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l'exerce en violation des dispositions" de la loi fondamentale.<br />
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Début décembre, le pouvoir a mis en garde l'Église catholique et une large coalition d'opposition après que l'une et l'autre eurent publiquement invoqué cette disposition constitutionnelle.<br />
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La RDC traverse une crise politique profonde depuis la réélection de M. Kabila en novembre 2011. L'opposition le soupçonne depuis des mois de chercher à tout faire pour se maintenir en poste.<br />
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Avec AFP.<br />
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Politique RDC: Front Citoyen 2016 exige la publication d'un calendrier électoral "consensuel"

Un groupement composé d'opposants et d'acteurs de la société civile congolaise a exigé samedi à Kinshasa la publication d'un nou...

«Z’ahidi, Ruberwa, Muanda Nsemi, Bitakwira, Mushi Bonane, Mbikayi … créent un front»

December 20, 2015

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Les journaux parus vendredi 18 décembre à Kinshasa commentent notamment l’élargissement du front de l’opposition pro-dialogue national.<br />
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Forum des As rapporte à la Une: «Z’ahidi, Ruberwa, Muanda Nsemi, Bitakwira, Mushi Bonane, Mbikayi,… créent un front»<br />
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Pour soutenir le dialogue national, note le journal, la plateforme initiée par cinq membres de l’opposition du centre, s’élargit  avec l’adhésion d’une cinquantaine d’autres partis politiques de l’opposition, dont Bundu Dia Mayala du député national Ne Muanda Nsemi.<br />
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Au cours d’une conférence de presse jeudi 17 décembre à Kinshasa, Azarias Ruberwa a indiqué que la Constitution de la RDC ne s’opposait pas au dialogue et qu’aucune disposition n’interdisait cet exercice.<br />
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La Prospérité revient sur le processus électoral et titre : « Trop de préalables : RDC, la Ceni dans un faux rythme !»<br />
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La RDC n’a plus de calendrier électoral depuis le 8 septembre dernier, date de la publication d’un arrêt de la Cour constitutionnelle conditionnant tout nouveau cycle électoral à l’élection des gouverneurs intermédiaires à la tête de 21 nouvelles provinces. Et la Commission électorale indépendante (Ceni) ne voit pas par quel bout sortir du tunnel, constate le journal.<br />
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Le nouveau président de la Ceni, Corneille Nangaa, a animé une conférence de presse à l’issue de laquelle,  les analystes politiques n’ont pas eu grand-chose à se mettre sous la dent, note le quotidien.<br />
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Il est revenu sur ce que les Congolais savaient déjà, avançant les raisons qui empêchent la Ceni d’élaborer ou de publier un calendrier électoral réaménagé : manque des ressources financières. Et cette institution n’a aucune proposition pour évacuer ce qu’elle présente comme préalables, écrit le journal.<br />
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Sur un autre chapitre, L’Avenir annonce: «Aubin Minaku, droit dans ses bottes».<br />
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Le journal souligne que, dans le contexte de l’indignation générale suite à la révélation par les médias congolais d’un séminaire subversif organisé à Dakar par «une bande des terroristes  qui s’est cachée sous un label international respectueux», certaines voix se lèvent pour faire grief à Aubin Minaku d’avoir délivré des autorisations de sortie à quelques députés de l’opposition pour se rendre au Sénégal.<br />
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L’Avenir indique qu’Aubin Minaku n’a aucun pouvoir d’empêcher la Majorité de s’imposer en tant que telle, mais pour que celle-ci n’écrase pas l’Opposition, il revient au président de l’Assemblée nationale de lui garantir la jouissance de tous ses droits.<br />
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Pour que l’institution qu’il préside soit exemplaire, le président de la chambre basse du parlement agit, depuis son élection, avec impartialité et équité et ce qui lui vaut d’être accusé de complaisance à l’endroit de l’Opposition par ses collègues de la Majorité, soutient le confrère.<br />
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«Complot contre la RDC: Dakar commence à livrer ses secrets», titre pour sa part Le Phare. La conférence sur « démocratie et les processus électoraux en Afrique subsaharienne» organisée du 11 au 14 décembre à Dakar par la fondation allemande « Konrad Adenauer Stiftung», continue de faire couler encre et salive. Car le pouvoir de Kinshasa a vite crié à un complot contre la République démocratique du Congo, avec la bénédiction du Sénégal, assis sur des stratégies planifiées de renversement de ses institutions.<br />
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Le président de l’Assemblée nationale a emboité le pas au gouvernement en menaçant de mettre en place une commission d’enquête chargée d’approfondir le dosser et de proposer des sanctions contre les députés ayant effectué le déplacement de Dakar.<br />
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A ce sujet, le journal publie in extenso l’invitation lancée aux Congolais par les organisateurs, le calendrier des travaux et même le rapport final du séminaire.<br />
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Revue de presse du vendredi 18 décembre 2015 Les journaux parus vendredi 18 décembre à Kinshasa commentent notamment l’élargissement du fr...

Lubumbashi: paralysie des activités suite à une marche de soutien au dialogue

December 20, 2015

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhI97_aVENXSy0tmtG8gojpZgWDKd4W08UegiDun59bsWzWhGOfljwHttyCPBFisB9v9BvymPyvI1csft8p2209Pz755k0C_pBnqEsueli06ZKvRqXtqumcKBAmw86R4sr86ehpz51bTjA/s1600/Snapshot_1133.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhI97_aVENXSy0tmtG8gojpZgWDKd4W08UegiDun59bsWzWhGOfljwHttyCPBFisB9v9BvymPyvI1csft8p2209Pz755k0C_pBnqEsueli06ZKvRqXtqumcKBAmw86R4sr86ehpz51bTjA/s400/Snapshot_1133.jpeg" width="400" /></a>Des activités commerciales ont été paralysées, samedi 19 décembre, à Lubumbashi, chef-lieu du Haut-Katanga, à la suite de l’organisation d’une marche de soutien au chef de l’Etat et au dialogue politique.<br />
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A l’occasion,  le commissaire spécial du Haut-Katanga, Fabien Katanga Lokunda, a invité ses administrés à soutenir ce forum politique, prévu à Kinshasa.<br />
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Selon des sources concordantes, les manifestants se sont retrouvés, sous une pluie battante, sur différentes artères de Lubumbashi, selon le programme arrêté à cet effet par  la mairie de la ville.<br />
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Ils sont partis de plusieurs communes pour boucler leur marche à la grande place de la poste. Parmi eux, les élèves, les marchands, les travailleurs et les militants des différents partis politiques de la Majorité présidentielle.<br />
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Certaines personnes contactées  au centre-ville ont déploré que des activités commerciales soient paralysées pendant  plusieurs heures pour la tenue de dette manifestation.<br />
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A ces voix s’ajoutent celles des partis politiques de l’opposition comme l’Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec).<br />
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"On ne peut pas paralyser la ville  pour une marche de soutien  alors que les autorités avaient  indiqué que toutes manifestations publiques étaient suspendues" a estimé Gabriel Kyungu.<br />
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Il a fait allusion à la dernière marche de son parti qui avait été interdite par la mairie de Lubumbashi.<br />
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«C’est donc la politique de deux poids, deux mesures», a poursuivi le président de l’Unafec, notant que cette marche marque la reprise des activités publiques à Lubumbashi.<br />
 radiookapi.net<br />
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Politique Province Lubumbashi: paralysie des activités suite à une marche de soutien au dialogue

Des activités commerciales ont été paralysées, samedi 19 décembre, à Lubumbashi, chef-lieu du Haut-Katanga, à la suite de l’organisation d’u...

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