BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Sondage Echos d’Opinion. Soutien au Dialogue : Bongongo, Mende et Bitakwira en tête !

April 24, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5FswCMbV_cnTndLg0uswpclvGSqt8wlF4eCwv-7kWZImACeX0WfMuIdGPxeeCsg5SgrJ2bNcnlEo2T5dxUj5XPJGo3hNbgkZ0KBr8v1KhGNmcGVfwrT8CCr4n9pfjbEtQjXkGemG2hlM/s1600/Snapshot_73.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5FswCMbV_cnTndLg0uswpclvGSqt8wlF4eCwv-7kWZImACeX0WfMuIdGPxeeCsg5SgrJ2bNcnlEo2T5dxUj5XPJGo3hNbgkZ0KBr8v1KhGNmcGVfwrT8CCr4n9pfjbEtQjXkGemG2hlM/s400/Snapshot_73.jpeg" width="400" /></a>Accédant à la revendication de l’opposition formulée sur la base des accords d’Addis-Abeba, le Président de la République a signé un décret convoquant la tenue du Dialogue inclusif entre congolais. Cette initiative du Chef de l’Etat mettra du temps à se concrétiser. Alors que les violons ne s’accordaient pas entre partisans et opposants audit forum, certains acteurs politiques de tous bords et ceux de la société civile s’étaient mobilisés pour soutenir la tenue du dialogue et à démontrer toute son importance au peuple congolais.<br />
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Grâce à la rescousse lui apportée par la résolution 2277 du Conseil de Sécurité des Nations Unies et, celle de l’Union Africaine par la nomination d’un médiateur en la personne de l’ancien Secrétaire Général de l’OUA et ancien Premier Ministre togolais, Edem Kodjo, la tenue du dialogue est devenue inéluctable.<br />
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Compte tenu de l’importance de l’évènement duquel dépend l’issue apaisée des joutes électorales en perspective de la bonne marche du pays, Echos d’Opinion a recouru au baromètre populaire afin d’évaluer comment les Congolais ont apprécié les efforts consentis par les acteurs précités.<br />
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Agent concepteur : Echos d’Opinion.<br />
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Durée : du 11 au 16- avril 2016<br />
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Méthodologie : question posée d’une manière aléatoire et au hasard sur les rues de Kinshasa<br />
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Motif : la tenue du dialogue national inclusif étant une étape importante et un tournant décisif sur la stabilité de l’Etat et de ses institutions, ainsi que de la consolidation de la jeune démocratie RD. Congolaise et de l’Etat de droit, l’impératif de connaître la réaction des Congolais et de savoir comment ils ont apprécié la contribution des acteurs politiques et de la société civile pour la concrétisation dudit forum s’est imposé.<br />
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Interprétation des données<br />
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Qualitative. Le sondage d’opinion est un travail scientifique. Dans ce cas, il doit répondre aux exigences de rigueur et des normes établies dans le domaine. C’est ainsi que plusieurs variables ont été prises en compte. Parmi celles-ci, il faut citer, entre autres : le sexe, le niveau d’étude et la stratification sur les différentes tranches d’âge. Les critères liés aux appartenances ethnique, tribale, régionale et linguistique ont été écartés lors de cette enquête.<br />
Quantitative : le chiffre de mille interviewés a été estimé comme échantillon suffisamment représentatif pour refléter l’opinion de congolais concernant un sujet donné. Dans le cas actuel, il s’agit de la tenue du dialogue que tout le monde attend en vue de préparer une issue apaisée des prochaines élections.<br />
Tableau de noms des dix personnalités ayant réalisé le meilleur score<br />
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Selon les résultats du dernier tableau, Michel Bongongo, SG de l’UFC (Parti Membre de l’Opposition Républicaine) et Ministre d’Etat en charge du Budget arrive en tête avec 82 %, Lambert Mende Omalanga, Ministre de la Communication et des Médias, Autorité Morale de la CCU (Parti appartenant à la MP) recueille 71 % des voix et, est classé deuxième. Il est suivi par Justin Bitakwira de l’Opposition…, qui a, pour sa part, obtenu 66 % et occupe la troisième place. La quatrième place revient à Antoine Boyamba, membre du PPRD (parti de la MP) et Vice- ministre  en charge des congolais de l’Etranger. L’ensemble de sa contribution à la tenue du dialogue a été plébiscité à 65%. Steve Mbikayi, Président du parti Travailliste, (parti membre de l’opposition…) arrive en cinquième position pour avoir été approuvé à 60,4% des voix. Monseigneur Marini Bodho, président de l’ECC a été approuvé à 57,7% et occupe la sixième place. Vient, ensuite, monsieur Mavungu, SG de l’UDPS (opposition radicale), à qui les interviewés ont accordé 55,6% des suffrages pour la septième place. Il est talonné par Mme Cathy Kalanga de la Société Civile avec 55%. Elle est classée huitième position. La neuvième place est occupée par monsieur Alain Atundu Liongo, personnalité de la MP et porte parole de la  plate forme. Il a recueilli 53% des voix.<br />
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Enfin, Ruberwa Manywa ferme la marche du podium de dix meilleurs contributeurs aux efforts pour la tenue du dialogue inclusif avec 51% d’opinion favorable. Suffrages qui le placent à la dixième position.<br />
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Interprétation des Résultats<br />
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Sur base des résultats repris au dernier tableau dans lequel ne sont repris que les noms des dix personnalités ayant réalisé le meilleur score au cours du présent sondage, on peut constater que l’opposition politique a joué un rôle important par l’appui qu’elle apporté à la tenue du Dialogue. Elle s’est taillé la part de lion pour avoir été au-devant du front. A elle seule, l’opposition aligne cinq personnalités issues de ses rangs, soit la moitié du top du palmarès. Michel Bongongo, SG de l’Union des Forces du Changement (UFC) et actuel Ministre d’Etat en charge du Budget trône au haut du classement avec 82% des suffrages. Les congolais ont aussi salué son courage, sa clairvoyance politique et sa détermination d’avoir rompu très tôt avec une certaine tiédeur observée dans le camp de la majorité présidentielle et les atermoiements de  l’opposition, qui ne parvenait pas à se prononcer clairement au sujet de l’approbation ou non de la tenue du dialogue inclusif au départ réclamée par elle. Il a mis fin à l’inertie en organisant deux fracassantes matinées politiques auxquelles étaient conviés les militants et militantes de l’UFC associés à la presse pour sensibiliser les congolais à soutenir la tenue d’un forum national inclusif afin de préparer une issue apaisée des élections en vue. Une nécessité justifiée par le retard pris dans l’organisation matérielle et, aussi par le faite que l’audit indépendant du fichier électoral requis par la même opposition avait conclu que celui-ci était corrompu.<br />
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Il est secondé par Lambert Mende Omalanga, autorité morale de la Convention des Congolais Unis ( CCU), parti membre de la majorité présidentielle (MP). Le rôle joué par l’intrépide ministre Rd congolais  de la Communication et Médias a été approuvé par 71% des congolais. Contre vents er marrées, il a défendu mordicus l tenue d’un forum grâce auquel le peuple congolais pourra s’attendre à une issue apaisée des élections afin de ne pas retomber dans des cacophonies et désordres aux conséquences néfastes consciemment et sciemment entretenus qui ont été constatés en 2006 et 2011. Le Porte- Parole du gouvernement est suivi par Justin Bitakwira de l’opposition…<br />
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En effet, 66% des Congolais ont apprécié sa très forte personnalité, son esprit indépendant et sa liberté d’opinion. Aux regards des enjeux présents et avenirs, l’Elu d’Uvira dans le Sud-Kivu n’a pas hésité un instant à privilégier  l’intérêt du peuple au détriment de ceux de son parti en adoptant une position contraire à celle de sa formation politique, L’Union pour la Nation Congolaise (UNC) dirigée par Vital Kamhere.  Bitakwira s’était prononcé favorable à la tenue du dialogue national inclusif à tout prix pour éviter les souffrances au peuple et toutes les conséquences néfastes qui peuvent en découler en ca d’atterrissage en catastrophe du processus électoral  en vu.<br />
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Le Vice-ministre en charge des congolais de l’Etranger, Antoine Boyamba, qui a su rallier la diaspora congolaise, surtout une partie de celle appelée « les combattants » à la cause du dialogue obtient 65% des suffrages. Ceux qui l’ont plébiscité ont jugé très positif son initiative consistant à se rendre auprès de la diaspora pour la  sensibiliser à prendre une part active dans un forum par lequel la destinée du pays sera tracée. Et par l’occasion, il ramène les brebis égarées au bercail.<br />
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La cinquième place est occupée par Steve Mbikayi, président du Parti Travailliste. Membre de l’opposition politique. L’Elu de la Funa à la verve oratoire distinguée a été parmi les premiers hommes politiques congolais à réclamer la tenue d’un dialogue pouvant permettre de baliser le chemin de la jeune démocratie en RD Congo. Il n’a pas hésité à souscrire à l’initiative de Joseph Kabila convoquant le dialogue national. Steve Mbikayi fustige l’attitude de tous ceux qui s’opposent à l’organisation de pareil forum, en leur reprochant de vouloir se faire imposer au pouvoir en RDC par l’Occident auquel ils ont vendu leurs âmes au détriment des intérêts du peuple.<br />
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60.4% des congolais ont ainsi plébiscité son action en le plaçant en cinquième position des personnalités ayant œuvré pour la tenue du dialogue national inclusif.<br />
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La première personnalité de la société civile congolaise, en la personne de Mgr Marini Bodho se retrouve en sixième position. Le président de l’ECC a recueilli 57.7% d’opinions favorables pour avoir été le premier dignitaire issu des confessions religieuses à avoir pris une position sans équivoque en faveur du dialogue national inclusif.<br />
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Ensuite, vient Monsieur Mavungu, Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), qui a obtenu 55.6% des voix des interviewés. Après s’être concerté avec son président, Etienne Tshisekedi wa Mulumba à Bruxelles, Monsieur Mavungu a déclaré que son parti, l’UDPS prendra part au dialogue. Il a tenu bon, en dépit des quelques flibustiers de son parti qui ne l’on jamais ménager de leurs projectiles, l’accusant de déviation, il est classé à la septième place.<br />
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C’est à la huitième place que l’on unique femme ayant réussi à se classer parmi les dix meilleures personnalités ayant  œuvré en faveur de la tenue du Dialogue inclusif en RDC. Madame Cathy Kalanga est la présidente de l’ONG… Elle est descendue tôt à la base aux fins de la sensibiliser sur l’importance de la tenue d’un dialogue national inclusif avant l’organisation des prochaines joutes électorales en vue de leur préparer une issue apaisé. Car, à tout prix, il faut éviter les désordres dont la femme est toujours la première victime, a-t-elle souligné. Cette campagne lui a valu 55% d’opinion favorable de la part des Congolais.<br />
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Monsieur Alain Atundu, personnalité indépendante, membre et porte-parole de la Majorité Présidentielle (MP) est classé 9ème recueillant 530 voix, soit 53% des suffrages. Depuis les consultations pré dialogue initiées par le Chef de l’Etat, le Président Joseph Kabila Kabange,  Alain Atundu a, d’une manière ininterrompue, exprimé la position de sa plate forme politique qui soutenait la tenu d’un dialogue national inclusif.<br />
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Enfin, on retrouve en dixième position, l’ancien Vice-président de la République et président du Rassemblement des Congolais pour la Démocratie, parti bien connu sous l’appellation de RCD/GOMA, Azarias Ruberwa Manywa. Très discret, on l’entend très peu depuis que son parti est sorti très diminué des élections de 2006 et, surtout des législatifs tenu en 2011. Cette fois-ci, Monsieur Ruberwa dont le parti fait partie de l’opposition politique, s’est fait rappeler aux Congolais  en prenant faits et cause en faveur du dialogue national inclusif. Compte tenu du prestige qu’il bénéficie, surtout auprès des décideurs de ce monde, l’avis du président du RCD Goma vaut son pesant d’Or. Ainsi, les Congolais ont  apprécié à 51% sa prise de position en faveur du dialogue national inclusif. Ce  choix lui vaut la dixième place sur la liste des personnalités ayant fourni des efforts appréciables pour soutenir la tenue du dialogue national initié par le Président de la République, Joseph Kabila Kabange. Il ferme la marche du top dix.<br />
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Conclusion<br />
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Au regard des résultats obtenus à la suite de ce sondage d’opinion, il est prouvé à suffisance que les Congolais s’intéressent au dialogue national et soutienne sa tenue. Ils savent aussi évaluer et apprécier les efforts fournis par les différentes personnalités politique et de la société civile destinés à soutenir l’initiative prise par le Chef de l’Etat, celle de réunir les fils et les filles de la RDC dans un forum qui les aidera à statuer souverainement sur une issue apaisée des élections à venir dans le but de pérenniser la tradition de la démocratie du pays, consolider les institutions et les acquis de ces quinze dernières années : la paix, l’intégrité du territoire national, la cohésion national, l’unité, le développement et, l’amélioration du social de la population.<br />
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Ainsi, l’objectif visé par Echos d’Opinion est atteint, car le peuple est le principal concerné par l’enjeu de la tenue ou non du dialogue national inclusif. Tout le monde, acteurs politiques de deux camps, tout comme ceux de la Société civile prétendent parler à son compte. D’où, Echos d’Opinion s’était atteler à recueillir l’avis du peuple en recourant à un sondage d’opinion sur le sujet.<br />
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En  plus des dix noms qui ont été repris dans le dernier tableau, beaucoup d’autres personnalités de la classe politique comme la Société civile ont également recueillis des suffrages.

Politique Sondage Echos d’Opinion. Soutien au Dialogue : Bongongo, Mende et Bitakwira en tête !

Accédant à la revendication de l’opposition formulée sur la base des accords d’Addis-Abeba, le Président de la République a signé un décr...

LE VICE-PRÉSIDENT DE L’UNION NATIONALE DES...

April 24, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWyqVoXsn_nHL5YN67sZ3aqUGQuNqajCBqI_Wb_tKrjbmEIXaNqWICkbVoLteOvLdHsXHi5uKu6FjxpXIWFRT2Yhh17zg6WXSfGmNVfa4lFi3DUuQEOGXBmK9bkoDS9Tj6C8Ot92Titu8/s1600/Snapshot_72.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWyqVoXsn_nHL5YN67sZ3aqUGQuNqajCBqI_Wb_tKrjbmEIXaNqWICkbVoLteOvLdHsXHi5uKu6FjxpXIWFRT2Yhh17zg6WXSfGmNVfa4lFi3DUuQEOGXBmK9bkoDS9Tj6C8Ot92Titu8/s400/Snapshot_72.jpeg" width="400" /></a>Le vice-président de l’Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC), Bertin Kanunu, a dénoncé mercredi 20 avril à Kinshasa les attaques perpétrées contre les sièges du parti à Kinshasa et à Lubumbashi (Haut-Katanga). A l’occasion, il a qualifié les auteurs de ces actes de "Kulanas", avant d’appeler la population au calme et à la vigilance.<br />
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La police nationale a ouvert une enquête pour avoir la lumière sur l’attaque de la permanence du parti à Kinshasa, a indiqué Bertin Kanunu au cours d’une conférence de presse.<br />
"L’enquête a été ouverte par la police. Je crois que cette police suit aussi les télévisions parce qu’une chaine de télévision a diffusé ces images en direct. Donc, elle [la police] n’a qu’à dresser les mandats à ces gens (assaillants, pour qu’ils disent) pourquoi ils se sont faits justice. Tout ça, nous disons à la population d’être vigilante", a-t-il souligné.<br />
Le vice-président de l’UNAFEC a également appelé la population au calme et à ne pas céder à la distraction.<br />
Il a par ailleurs signalé que le siège de l’UNAFEC à Lubumbashi avait été scellé par la police qui, selon lui, a commencé mercredi à disperser des attroupements des militants de ce parti avec des tirs des gaz lacrymogène.<br />
Des sources concordantes renseignent que les militants de ce parti ont protesté contre l’assaut de la police mené contre le siège de ce parti, mardi vers 19 heures, heures locales.<br />
Une unité de la police lourdement armée, d’après des sources locales, avait alors arraché et emporté tous les calicots portant les effigies de l’ancien gouverneur de l’ex-province du Katanga, Moïse Katumbi, placardées à la devanture de la permanence de ce parti.

la Nation Société LE VICE-PRÉSIDENT DE L’UNION NATIONALE DES...

Le vice-président de l’Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC), Bertin Kanunu, a dénoncé mercredi 20 avril à Kinshasa les atta...

CDC : Florentin Mokonda éjecté !

April 24, 2016

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<br />
DECLARATION POLITIQUE DE LA CONVENTION DES DEMOCRATES CHRETIENS,   -CDC-<br />
<br />
Nous soussignés :<br />
<br />
Membres Fondateurs, Membres du Comité Directeur, Membres du Conseil National, Députés Nationaux, Sénateurs et Cadres de la Convention des Démocrates Chrétiens  -CDC- en sigle, signataires de la présente déclaration politique.<br />
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Apres avoir suivi par voie de presse, à la surprise générale, la sortie officielle de la plateforme politique, ‘’Nouvelle Initiative pour le Congo’’, en date du vendredi 8 avril 2016 présidée par le Président National de la CDC, le Sénateur Florentin MOKONDA BONZA.<br />
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Portons à la connaissance de l’opinion nationale et internationale ce qui suit :<br />
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En date de mercredi 23 mars 2016, lors de la réunion extraordinaire du Comité Directeur de la CDC, le Président National, le Sénateur Florentin MOKONDA BONZA, a fait part de sa décision de faire adhérer la CDC à la Plate-forme ‘’Nouvelle Initiative pour le Congo’’, NIC.<br />
Apres débats et délibérations, il a été décidé de la non-participation de la CDC à la plate-forme ‘’Nouvelle Initiative pour le Congo.<br />
<br />
Lors de la réunion du Comité Directeur de la CDC qui a suivi, tenue le jeudi 14 avril 2016, le Président National de la CDC, le Sénateur Florentin MOKONDA BONZA a confirmé :<br />
L’adhésion de la CDC à la plate-forme politique ‘’Nouvelle Initiative pour le Congo’’ ;<br />
<br />
La sortie officielle, le vendredi 8 avril 2016, de ladite plate-forme dont il assume également la présidence.<br />
<br />
De ce fait, les signataires dénoncent :<br />
<br />
L’engagement de la CDC par le Président National sans l’aval du Comité Directeur ;<br />
La propension du Président National à privilégier l’adhésion à des plate-formes au contenu vide dont il est toujours Président, au lieu de veiller à la consolidation des acquis du Parti ;<br />
La publication d’un projet de société ni connu, ni discuté, ni approuvé par le Comité Directeur du Parti ;<br />
La mise constante du Parti devant des faits accomplis avec la seule volonté manifeste de le désorganiser ;<br />
La violation des décisions prises le 23 mars 2016 par le Comité Directeur du Parti ;<br />
L’ensemble de ces faits constitue une violation flagrante des dispositions des articles 10, 18, 19, 20, 63, 67, 69 et 70 des Statuts de la CDC. Ce qui crée, dans la forme et dans le fond, une vacance à la présidence de la CDC en vertu de l’article 24 de nos Statuts.<br />
<br />
Eu  égard à ce qui précède, nous signataires de la présente déclaration politique décidons ce qui suit :<br />
<br />
La CDC n’est ni de loin, ni de près engagée dans une Plate-forme politique dénommée ‘’Nouvelle Initiative pour le Congo’’, NIC en sigle ;<br />
Le retrait de notre confiance au Président National de la CDC, le Sénateur Florentin MOKONDA BONZA ;<br />
La vacance à la présidence du Parti ;<br />
La mobilisation de toutes nos ressources est requise en vue de préparer et de gagner ensemble,  les prochaines élections.

Politique CDC : Florentin Mokonda éjecté !

*Plusieurs ténors de la Convention des Démocrates Chrétiens, CDC, viennent de signer une fronde contre Florentin Mokonda Bonza, présiden...

Dividendes de l’économie numérique : le COPIREP annonce un séminaire à Kinshasa !

April 24, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgN_IUCjBNU_FPNh8beqGNxoJ76-ukbPyCJOZPhsRn13sHTKa6ZZPF5J8saufZ9NSgh1ZkyJoYTAWzpqM-vt_fRQEOSMXuV0Du04rCpnQdpHW048OsFiAq1bg9kWTRN7c7XKIAIWNQFgSA/s1600/Snapshot_70.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgN_IUCjBNU_FPNh8beqGNxoJ76-ukbPyCJOZPhsRn13sHTKa6ZZPF5J8saufZ9NSgh1ZkyJoYTAWzpqM-vt_fRQEOSMXuV0Du04rCpnQdpHW048OsFiAq1bg9kWTRN7c7XKIAIWNQFgSA/s400/Snapshot_70.jpeg" width="400" /></a>*C’est à Béatrice Hôtel que les invités, sélectionnés en raison de leurs spécialités, se rencontrent, le mercredi 27 avril 2016,  pour analyser en profondeur les dividendes du développement de l’économie numérique. Le Comité de Pilotage de la Réforme des Entreprises du Portefeuille de l’Etat a pris la mesure de ses responsabilités, en initiant,   sous l’impulsion du gouvernement de la République et de la Banque Mondiale,  un tel séminaire à Kinshasa  sur une matière  liée notamment,  au progrès prodigieux de nouvelles  technologies.<br />
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La révolution de l’information et de la communication, dit-on, est la plus importante de l’histoire de l’humanité. Les quelques chiffres flatteurs distillés dans différents rapports le témoignent de façon diserte. Plus de 40 % de la population mondiale a accès à l’Internet, de nouveaux usagers intégrant le web chaque jour. Et, même dans les ménages les plus pauvres, il est fait état  que sur les 20%, près de 7 sur 10 possèdent un téléphone mobile. Et, d’ailleurs, pour s’en convaincre, il suffit de faire la ronde dans les coins et recoins de la RD. Congo.<br />
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Les mêmes documents indiquent que pour beaucoup de personnes, l’accès accru aux technologies numériques offre aujourd’hui plus de choix et de commodité. En favorisant l’inclusion, l’efficacité et l’innovation, la technologie permet aux populations pauvres et défavorisées d’accéder à un monde de possibilité auparavant hors de portée.<br />
<br />
Il ressort que les investissements dans le numérique  permettent,  à la fois,  la création d’entreprises, qui sont appelées à devenir plus productives ; il y a la population qui trouvera assez d’opportunité d’emplois et d’élargir leurs possibilités  et,  enfin,  les pouvoirs publics de tout mettre en œuvre, pour fournir des services de meilleure qualité à tous. Ce qui donne une conjonction entre les facteurs de croissance, créateurs d’emplois et des services.<br />
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Comment est-ce que les technologies numériques favorisent-elles le développement et génèrent-elles des dividendes numériques ?<br />
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Voilà que c’est pour bien se pénétrer des méandres de la révolution de l’information et de la communication que le Comité de Pilotage de la Réformes des Entreprises du Portefeuille (COPIREP) organise ce mercredi 27 avril 2016, à Béatrice Hôtel, un séminaire. Le thème choisi est : « Les Dividendes du Développement de l’Economie Numérique».<br />
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Au-delà de ce qui s’observe ailleurs, dans les pays émergents, les organisateurs de ce séminaire ont voulu approfondir davantage la situation de la République Démocratique du Congo. Pour ce faire, quelques secteurs ont été choisis à titre purement indicatif.<br />
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Ce faisant, le programme  de la cérémonie qui a été communiqué à cet effet, indique de  qu’il y aura le mot de bienvenue du Secrétaire Exécutif du COPIREP. Ensuite, interviendra le mot de circonstance du Directeur des Opérations Banque Mondiale, qui sera aussi suivi du mot de circonstance du Vice-premier Ministre, Ministre des Postes,  Téléphones et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication, PTNTIC.<br />
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A 9 heures 30 minutes, il y aura présentation du rapport 2015 de la Banque Mondiale sur les dividendes Numériques. M. J Bezzina (TTL Projet CAB5) se chargera de cette présentation.<br />
<br />
Après le cocktail, puis le retrait des autorités, les séminaristes vont entrer dans le vif de la matière, pour tenter de comprendre les réalités de cette révolution dans le contexte exclusivement congolais.<br />
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Pour ce faire, des interventions pointues sont prévues. On peut les classer de la manière suivante : 1. Comment le développement du numérique peut-il participer au développement de l’économie congolaise ? 2. Services à la population : point de vue d’un opérateur. Ce sujet, pour plus de clarté, sera développé par  un Opérateur privé. 3. Ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel. C’est le ministre de tutelle qui se chargera de cet aspect. 4. Ministère du Tourisme : Dividendes du numérique pour le secteur du tourisme. Là aussi, comme précédemment, c’est le ministre du Tourisme qui planchera sur l’expérience de son secteur. Et, à 11 heures 10, la voie sera ouverte aux échanges, débats et recommandations. Enfin, le programme prévoit, aux alentours de 12H30, la lecture des recommandations et le mot de clôture du Secrétaire Exécutif du COPIREP. Pour lier l’utile à l’agréable, un cocktail sera offert aux participants ainsi qu’aux autres invités.

Economie Dividendes de l’économie numérique : le COPIREP annonce un séminaire à Kinshasa !

*C’est à Béatrice Hôtel que les invités, sélectionnés en raison de leurs spécialités, se rencontrent, le mercredi 27 avril 2016, pour an...

Récusant le Dialogue en gestation. RDC : le G7 pour la mise en place d’un panel de facilitation !

April 24, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiItgMHJfuRMfAa8TdnTXWhoZTfTD1yIBmb9uE_VjRK8e7KSQ1arZeBJH0hUr-FuI8Ifx1HA27lIL2rEJuxIjNhNWq2PfEVsJflpA4jROihkwv-0cdC5FUm3dlGLRbWxtVPUM6jbOkhUKc/s1600/Snapshot_69.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiItgMHJfuRMfAa8TdnTXWhoZTfTD1yIBmb9uE_VjRK8e7KSQ1arZeBJH0hUr-FuI8Ifx1HA27lIL2rEJuxIjNhNWq2PfEVsJflpA4jROihkwv-0cdC5FUm3dlGLRbWxtVPUM6jbOkhUKc/s400/Snapshot_69.jpeg" width="400" /></a>*Au cours de son point de presse du vendredi 22 avril dernier, tenu à son siège de Kinshasa, le G7 a réaffirmé sa non-participation au Dialogue National convoqué par le Chef de l’Etat. Il s’en tient,  plutôt, à la mise en place d’un panel de facilitation. Chose qu’il a proposée, il y a quelques temps,  avec le Dynamique de l’Opposition à la Communauté Internationale afin de rassurer et de garantir l’impartialité à toutes les parties concernées. Cela, pour résoudre la crise électorale et politique au Congo-Kinshasa. Ledit point de presse a été animé par Olivier Kamitatu et Christophe Lutundula, tous deux Vice-présidents de cette Plateforme de l’Opposition Politique. Il a été passé en revue, durant cette rencontre avec les professionnels des médias, la question de la saisine de la Cour Constitutionnelle par les  Députés de la Majorité Politique. Tout en s’insurgeant contre cette démarche, le G7 martèle que la durée du mandat du Chef de l’Etat est de 5 ans renouvelable une fois, selon les articles 70 et 220 de la Constitution. Le groupe de  sept partis a dit tout son étonnement de voir combien des élus nationaux s’attachent au mandat du Président de la République, alors que cela n’est aucunement lié à leur mandat qui lui, devra prendre fin non en 2016 mais, plutôt, au mois de février 2017. Outre ces sujets, d’autres dossiers  ont été également  au menu. Entre autres, la situation sécuritaire du pays avec comme nœud gordien,  les incidents survenus contre l’UNAFEC etc.<br />
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Ce regroupement de l’opposition réitère son soutien à la résolution 2277 du Conseil de Sécurité qui souligne la nécessité de respecter la Constitution et d’organiser les élections dans le délai prescrit  par la loi des lois du Congo-Kinshasa.<br />
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Appuyant toute initiative allant dans ce sens, il précise que le Panel de facilitation qu’il prône avec la Dynamique de l’Opposition sera composé des représentants de l’UA, ONU, UE et de l’OIF, en  raison d’un délégué par organisation. Il s’agit d’une équipe qui sera appuyée par les Représentants Spéciaux habituels. Puisque selon le G7, il est illusoire de penser qu’une rencontre politique peut réussir et contribuer à débloquer la situation actuelle sans sincérité et engagement formel du Chef de l’Etat, ni prise en compte de la résolution 2277.<br />
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Saisine de la Cour Constitutionnelle<br />
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Evaluant cette question, étant  entendu que les Députés de la Majorité Présidentielle ont déposé une pétition pour l’interprétation de  certains articles de la Constitution, le G7 considère que la durée du mandat présidentiel  est de 5 ans renouvelable une fois. Aussi, la convocation du corps électoral doit-elle se faire 90 jours avant la fin du mandat, selon l’article 73.<br />
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Pour le G7, si les élections ne se tiennent pas dans le  délai constitutionnel, la responsabilité entière incombera à ceux qui sont actuellement au pouvoir. Il s’étonne du fait que  la MP saisisse la Cour Constitutionnelle alors qu’elle réclame la tenue du dialogue national, qu’elle présente comme baguette magique aux entraves qu’elle a dressées sur le chemin des élections et de l’alternance démocratique. Tout porte à croire que, de l’avis de  cette plateforme de l’Opposition,  l’objectif visé,  en saisissant cette haute Cour, serait d’éviter que la question ne soit débattue au cours du dialogue. Et de ce fait, obtenir la prorogation du mandat du Chef de l’Etat, au-delà du délai constitutionnel. ‘’La saisine de la Cour Constitutionnelle par les Députés de la Majorité est donc une énième tentative pour une seule et unique fin, à savoir, contourner les échéances fixées par la Constitution et donner une légalité au plan funeste de glissement pour se maintenir au pouvoir contre la volonté du  peuple congolais’’, constate-t-il.<br />
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Tout cela, alors que la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) n’a pas encore démarré les opérations préélectorales. En plus, le G7 veut connaître la cause de cette  démarche  des Députés de la Majorité  envers   la Cour.  D’autant plus que  leur sort ne fera l’objet d’un problème que le 22 février 2017, date de validation de leurs pouvoirs. Dans le même ordre d’idées, il se demande ce que signifie l’attachement seulement aujourd’hui du mandat des Sénateurs, dont les élections n’ont pas  été organisées à temps requis par la Constitution.<br />
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Au cas où la Cour Constitutionnelle décide d’examiner malgré tout cette requête, le G7 recommande qu’elle précise le régime selon lequel cela doit s’appliquer et, après combien de temps, le Chef de l’Etat actuel restera-t-il au pouvoir au-delà de la durée légale. ‘’Sans légalité constitutionnelle certaine, ni légitimité populaire qui ne peut être conférée que par le Peuple souverain à travers un suffrage universel conformément aux articles 5 et 220 de la Constitution, un Président de la République qui ne tirerait son mandat que d’un arrêt d’une Cour Constitutionnelle perçue comme à sa dévotion, ne peut dans un régime démocratique prétendre à la plénitude de l’exercice des prérogatives constitutionnelles et légales d’un Chef d’Etat normal et régulier’’, précise-t-il.<br />
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Par conséquent, le G7 interpelle la conscience morale et interroge l’éthique professionnelle des  Hauts Magistrats de la Cour Constitutionnelle qui portent,  désormais,  par leur comportement et décision de la lourde responsabilité de la paix civile et la cohésion nationale en RDC.<br />
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Sécurité<br />
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Passant en revue la situation sécuritaire du pays, le G7 s’indigne de la mise à sac du siège de l’Union Nationale des Fédéralistes du Congo (UNAFEC) à Lubumbashi et l’incendie de sa représentation à Kinshasa. S’étonnant que l’affichage des portraits de Moïse Katumbi  dont l’annonce de la candidature à la prochaine élection présidentielle avait été qualifiée de non-évènement par la MP, ait conduit aux agressions dans ces deux villes. Il rappelle,  à ce sujet,  que l’UNAFEC aile Majorité avait été déboutée par la Cour d’Appel de Kinshasa, à travers le jugement RCE 024 du 10 juillet 2015 et notifié le 5 février 2016. Ledit jugement, a confirmé que le seul parti UNAFEC légal et légitime est celui conduit par Gabriel Kyungu wa Kumwanza. Affirmant sa solidarité à leur collègue, le G7 stigmatise l’instrumentalisation des forces de l’ordre à des fins politiciennes. Toutefois, il demande à la MONUSCO de garantir la sécurité de l’ancien Gouverneur du Katanga, le considérant comme cible de plusieurs attaques.  <br />
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En plus, figurent  les incidents meurtriers survenus à Kolwezi entre les forces de l’ordre et la population civile. A cet effet, le G7 dénonce la riposte disproportionnée des forces de l’ordre et exprime toute sa compassion aux familles des victimes. <br />
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Pour la recrudescence de l’insécurité dans les villes de Kinshasa, en Ituri et au Nord-Kivu, allusion est faite,  ici, aux moments sombres et de triste mémoire que le peuple a connus récemment. Pour lui, le décor de la déstabilisation de l’Est du pays est en train de se planter pour ramener le pays à la situation du dialogue de Sun City et servir d’alibi au report sine die des élections tant attendues  par le peuple. A cet effet, un rappel a été lancé au Gouvernement, à qui revient la charge de sécuriser le territoire national. Quant à la MONUSCO, il lui est demandé de prendre toutes les dispositions pour assurer la protection de la population civile et mettre en exécution la résolution 2277 qui lui donne la charge notamment,  de constater la violation des droits de l’homme.<br />
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Ainsi, le G7 ouvre-t-il  des registres pour accueillir les témoignages des victimes des exactions et de la répression, dans toutes les villes du pays afin de lui permettre de saisir toutes Autorités Nationales et Internationales.

Politique Récusant le Dialogue en gestation. RDC : le G7 pour la mise en place d’un panel de facilitation !

*Au cours de son point de presse du vendredi 22 avril dernier, tenu à son siège de Kinshasa, le G7 a réaffirmé sa non-participation au Di...

Opération Pelisa Mwinda : Clément Kanku annonce une grande marche pacifique à Kinshasa !

April 24, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWuQJYFFk9H3gzOO6ImmKvUCcr3a2_Wn6CqHRvY9CXYSQGOfIiGi1gs8EDv2jzIvBuZSQDtqG9YLFbLFnFvxMiDgIti6NDkyag-srDR-L9yosHw45S822QQjvNfnz1PdZewC09O2FRoPw/s1600/Snapshot_68.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWuQJYFFk9H3gzOO6ImmKvUCcr3a2_Wn6CqHRvY9CXYSQGOfIiGi1gs8EDv2jzIvBuZSQDtqG9YLFbLFnFvxMiDgIti6NDkyag-srDR-L9yosHw45S822QQjvNfnz1PdZewC09O2FRoPw/s400/Snapshot_68.jpeg" width="400" /></a>*L’idée est venue des consultations populaires organisées par le Mouvement pour le Renouveau, MR, de Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, pour répondre aux attentes de la population qui peine à jouir de l’électricité dans la capitale et à travers l’ensemble du pays. Pour ce leader politique, la solution idoine, c’est bien l’opération « Pelisa Mwinda », une façon de faire pression sur les  dirigeants de la Société nationale d’électricité, qui pèchent par le non-respect des engagements. Pour resserrer l’étau, Clément Kanku organise une grande marche pacifique,  le 7 mai prochain, à Kinshasa. « C’est pour revendiquer un droit qui est garanti par la Constitution, en   son article 48 », a-t-il fait savoir ce week-end, au cours d’une matinée de sensibilisation à la base.   <br />
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La population  a ras-le-bol des promesses non tenues des dirigeants de la Société Nationale d’Electricité, SNEL en sigle. Voilà pourquoi,  la population s’est associée au  Mouvement pour le Renouveau, MR, dans sa mission de recherche du bonheur du peuple congolais. C’est la trame essentielle  de la rencontre autour de laquelle, les cadres et militants du MR, accompagnés  de leur Président national, Clément Kanku Bukasa, ont effectué  une descente sur terrain. Objectif ?  Siffler et distribuer des flyers  afin de sensibiliser la population à ouvrir l’œil, et le bon, face à la mauvaise foi, dit-il, manifeste, des dirigeants de la SNEL. C’est aussi pour inviter la population à se joindre à l’action, pour la marche qui se tiendra,  le 7 mai prochain, expression d’un mécontentement. Le tout s’est passé,  le samedi  23 avril 2016, au siège du parti, situé dans la commune de Lingwala. C’est d’ailleurs là que le coup d’envoi a été donné.<br />
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Campagne de mobilisation<br />
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Nombreux sont ceux qui ont pris part à ces assises qui ont porté sur la mobilisation de la population pour la marche du 7 mai prochain.  Les coups de sifflet ont retenti. Les  flyers ont  circulé.<br />
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En effet, cette marche qu’organise le MR est la réponse à la préoccupation de la population congolaise qui est victime de manque du courant électrique au jour le jour.<br />
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Il sied de rappeler que le Mouvement pour le Renouveau avait déposé un mémo auprès des  autorités de la SNEL. Ces dernières avaient,  pourtant,  promis une solution à ce problème dans un bref délai. Chose grave et étonnante, après le délai fixé, la situation s’est de plus en plus détériorée, indique-t-on. Donc, la Snel a failli à sa mission, constate le MR  qui déclare, tout  haut,  l’incompétence du comité de gestion de la Société nationale d’électricité et lui demande de dégager, en démissionnant tout simplement. Joignant la parole à l’acte, une question écrite a été adressée au Ministre ayant l’Energie dans ses attributions, afin d’éclairer la lanterne de la population sur ce point. Mais également, le MR envisage une grande marche pour le  7 mai prochain, en vue de dénoncer et réclamer du  courant en faveur des populations en  RD. Congo.<br />
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Il y a lieu de signaler  que lors de cette manifestation, la population sera munie de  sifflets et   d’ustensiles de cuisine  afin de faire des bruits. Le point de départ sera le Boulevard triomphal, en passant par l’avenue de la  Libération jusqu’au Boulevard  du 30 juin pour s’arrêter sur l’avenue de la Justice, dans l’enceinte de la SNEL, située  dans la commune  de la Gombe. En définitive, le MR demande au gouvernement, en général, mais à la police, en particulier, d’encadrer la population durant la tenue de cette manifestation pacifique, citoyenne et démocratique, afin que cette dernière obtienne gain de cause.

Société Opération Pelisa Mwinda : Clément Kanku annonce une grande marche pacifique à Kinshasa !

*L’idée est venue des consultations populaires organisées par le Mouvement pour le Renouveau, MR, de Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, p...

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