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RDC # Limete : deux véhicules brûlées dont l'un encore en flammes au niveau de la 10e rue Renforts police

September 19, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLAHJp1jX6GOsPhLQlAs3gJvB8DT7vAxcLdLf96bZS-GQpd0aIUBa9QGit3v9AVEtNfnX1k7xjtZOeLPhYsaJgZKliSqdB7PIx80Vql9p4e8yR33xc-wPHD4CqhXyC3KW_1th4lMvOqQY/s1600/Snapshot_12.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLAHJp1jX6GOsPhLQlAs3gJvB8DT7vAxcLdLf96bZS-GQpd0aIUBa9QGit3v9AVEtNfnX1k7xjtZOeLPhYsaJgZKliSqdB7PIx80Vql9p4e8yR33xc-wPHD4CqhXyC3KW_1th4lMvOqQY/s400/Snapshot_12.jpeg" width="400" /></a><br />
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<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><div dir="ltr" lang="fr"><a href="https://twitter.com/hashtag/RDC?src=hash">#RDC</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/Limete?src=hash">#Limete</a> : deux véhicules brûlées dont l'un encore en flammes au niveau de la 10e rue. Renforts police</div>— Sonia Rolley (@soniarolley) <a href="https://twitter.com/soniarolley/status/777765511149056000">19 septembre 2016</a></blockquote><script async="" charset="utf-8" src="//platform.twitter.com/widgets.js"></script><br />
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Au tour de Kinshasa Politique RDC # Limete : deux véhicules brûlées dont l'un encore en flammes au niveau de la 10e rue Renforts police

#RDC #Limete : deux véhicules brûlées dont l'un encore en flammes au niveau de la 10e rue. Renforts police — Sonia R...

Nangaa : où est le calendrier électoral ? Majorité-Opposition : vers la rupture du dialogue sans Accord !

September 19, 2016

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*C’est une journée riche en rebondissements que s’apprêtent à vivre les Congolais de la RDC, ce lundi 19 septembre 2016. Les activités politiques et judiciaires annoncées dans le courant de la journée, à Kinshasa et dans les autres grandes villes du pays, attestent de la particularité du 19 septembre 2016. Plusieurs ingrédients contribuent à faire monter la tension dans le pays. Il est, en effet, prévu que les participants au Dialogue politique, qui se tient depuis deux semaines à la Cité de l’Union Africaine, à Kinshasa, bouclent leurs discussions sur le processus électoral.  D’un côté, la Cour Constitutionnelle saisie par la CENI devrait donner son avis sur le report sollicité de l’élection présidentielle. De l’autre, l’Opposition, qui s’en tient au respect strict de la Constitution, va déposer un mémo à la CENI pour exiger la convocation du scrutin présidentiel dans les 90 jours avant le 19 décembre prochain, date de la fin de mandat du Chef de l’Etat.<br />
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Suspense<br />
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Du Dialogue politique facilité par l’Union Africaine, on retient que la CENI a été réconfortée dans  ses options. Sans un chronogramme, les opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs se poursuivront dans le but de produire un fichier électoral fiable et inclusif. C’est la conséquence d’un consensus dégagé par  la Majorité Présidentielle et l’Opposition pro-dialogue sur la refonte totale du fichier électoral 2011.  Les deux parties ont librement rejeté deux autres options de constitution du fichier électoral présentées par la CENI. L’une voulait que l’on organise les élections, dans le délai constitutionnel, avec le fichier 2011 dans son état actuel. C’est-à-dire, sans prendre en compte les jeunes majeurs et les Congolais de l’étranger. L’autre portait sur une révision partielle du fichier 2011 avec l’enrôlement des jeunes majeurs et les Congolais de la diaspora.<br />
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La justice à la rescousse<br />
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En optant pour la refonte du fichier électoral, la Majorité et l’Opposition pro-dialogue ont, par le fait même, décidé de reporter les élections. Il ne restait plus qu’à fixer les nouvelles échéances électorales. Les violons sont loin de s’accorder à ce sujet.  Pour la Majorité Présidentielle, le chronogramme des opérations d’enrôlement  des électeurs et l’élaboration du calendrier électoral relèvent des attributions de la CENI. Autrement dit, il n’appartient pas au Dialogue d’en décider. L’Opposition pro-dialogue ne peut se permettre de sortir du Dialogue,  les mains bredouilles, sans un calendrier électoral. C’est alors qu’entre en scène la Cour Constitutionnelle qui devrait, sauf coup de théâtre, répondre favorablement à la requête de la CENI de reporter sine die les élections en RDC. La Cour Constitutionnelle, dont tous les dialogueurs ont reconnu l’inattaquabilité des arrêts, offrira une voie de sortie à toutes les composantes parties prenantes au Dialogue, divisées sur la durée du glissement. Combien de temps faudra-t-il attendre ? S’il n’y a pas d’autres contraintes techniques ou préalables susceptibles de gripper la machine, la CENI aurait théoriquement besoin de 16 mois pour produire un nouveau fichier électoral. Les experts de l’OIF parlent, eux, de 10 mois. C’est seulement après la refonte du fichier qu’un calendrier électoral sera rendu public. Mais,  si le processus électoral continue à manquer de lisibilité, même après la tenue d’un Dialogue qui aura fait couler encre et salive, il n’est pas évident que le Rassemblement et la Dynamique de l’Opposition restent inactifs. C’est le sens à donner à la marche pacifique que les opposants entendent organiser à la mi-journée. Face à eux, les forces de l’ordre sont  prêtes  à entrer en action.

Politique Nangaa : où est le calendrier électoral ? Majorité-Opposition : vers la rupture du dialogue sans Accord !

*C’est une journée riche en rebondissements que s’apprêtent à vivre les Congolais de la RDC, ce lundi 19 septembre 2016. Les activités pol...

Ce n’est qu’un début. RDC : Michel Bongongo mécanise 3.675 agents non-payés !

September 19, 2016

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*Ils sont environ 3.675 agents et fonctionnaires de l’Etat jusque-là non-payés dont la situation salariale vient d’être régularisée. Il s’agit de 1774 agents de la Santé Publique, 1526 de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, 120 de la Recherche Scientifique et 255 de l’Enseignement Primaire et Secondaire. C’est le Ministre d’Etat au Budget, Michel Bongongo, qui en a fait l’annonce, le vendredi 16 septembre dernier.<br />
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Il n’entend pas rester là. L’opération de mécanisation des agents va se poursuivre dans tous les secteurs de l’Administration publique, a-t-il promis. En ce moment même, des centaines d’agents et fonctionnaires de l’Etat défilent devant les inspecteurs de la Fonction publique pour se faire identifier en vue d’une mécanisation effective,  dès ce mois d’octobre 2016.<br />
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Ainsi, tous les Secrétaires généraux de l’Administration publique sont invités à envoyer les agents effectifs non encore recensés à la Fonction Publique pour être pris en compte.<br />
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Pour le Ministre d’Etat au Budget, visiblement très content des résultats des missions de contrôle qu’il a déployées à Kinshasa et en Provinces, l’heure de la moisson a sonné pour les agents et fonctionnaires qui s’y sont investis.<br />
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En effet, l’opération de bancarisation de la paie des agents et fonctionnaires, lancée par le Gouvernement de la République, il y a presque 5 ans,  porte des fruits. Il est temps, déclare Michel Bongongo, que l’impact financier soit ressenti au plan social. La bancarisation a, par ailleurs, permis, d’une part, de régulariser la rémunération et, de l’autre, de maîtriser la masse salariale et les effectifs. Il faudra, toutefois, attendre juillet 2015, pour que le Gouvernement donne une impulsion particulière à cette opération. On pense, ici, au processus d’assainissement du fichier de la paie de  la Fonction Publique. Pour ce faire, Michel Bongongo avait lancé une vaste campagne de contrôle des effectifs sur toute l’étendue du territoire national.<br />
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Quelques mois plus tard, il affirme que le fichier de la paie est fiabilisé, que des économies ont été réalisées, lesquelles servent maintenant à la mécanisation des agents et fonctionnaires non-payés.<br />
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La décision de mécaniser les agents non-payés avait été prise à l’issue de la première phase de contrôle effectuée à Kinshasa dans les Ministères de la Santé, de l’EPS-INC/ETP et de l’ESU-RS. Michel Bongongo a reconnu, à sa juste valeur, la contribution apportée par les syndicalistes dont l’implication s’est révélée déterminante,  pour  démanteler,  impitoyablement,   des réseaux maffieux incrustés dans le circuit de la paie des agents et fonctionnaires de l’Etat.

Société Ce n’est qu’un début. RDC : Michel Bongongo mécanise 3.675 agents non-payés !

*Ils sont environ 3.675 agents et fonctionnaires de l’Etat jusque-là non-payés dont la situation salariale vient d’être régularisée. Il s’...

Des adhésions en cascades : des magistrats, avocats, architectes, professeurs, ... frappent à la porte de l’UDA Originelle !

September 19, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinUMXDk20TAbOXF_Ek575rrNQFtALYhvaBuxfG8cFzds0p28i8HtO4VYfKlNMzk-8NDhHl9SZdqwBXjxOoCUp0AxL-V3OaUZGBqncJfblJKaBRL3m17DQ27HNIDjtZkges1izc-6yCOmw/s1600/Snapshot_710.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinUMXDk20TAbOXF_Ek575rrNQFtALYhvaBuxfG8cFzds0p28i8HtO4VYfKlNMzk-8NDhHl9SZdqwBXjxOoCUp0AxL-V3OaUZGBqncJfblJKaBRL3m17DQ27HNIDjtZkges1izc-6yCOmw/s400/Snapshot_710.jpeg" width="400" /></a><br />
* Plus les jours n’avancent, mieux l’Union Démocratique Africaine Originelle monte en puissance. Il faut dire que ce parti politique de l’opposition séduit plus la population par son message. Des adhésions en cascades  sont enregistrées presque chaque semaine. Des centaines des personnes de haut niveau se bousculent pour faire partie  de ce parti qui prend de plus en plus de l’ampleur.  Samedi 17 septembre dernier, les cadres du parti ont échangé avec plus de 60 personnes qui sont venues adhérer. Il s’agit de  plusieurs catégories dont les médecins, magistrats, avocats, architectes, professeurs d’Universités, pour ne citer que ceux-là.  Pour le Secrétaire Général de l’UDA Originelle, Jean-Martin Mukonkole, c’est un grand plaisir ainsi qu’une   grande joie de savoir que le parti attire  un grand nombre de la population congolaise.  <br />
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Ils sont plus de 60 à choisir l’UDA Originelle comme leur parti politique. Ils, ce sont des Médecins, Avocats, Magistrats, Architectes, Professeurs d’Universités, Economistes,… qui ont été présentés,  le samedi 17 septembre au siège de l’UDA Originelle, situé le long de  l’avenue Kasa-Vubu  à Kinshasa. Pour Jean-Martin Mukonkole, il s’agit d’une cérémonie d’accueil de nouveaux adhérents, membres de l’UDA Originelle. Au regard de cette manifestation, il était important d’échanger avec cette grande équipe dans le but d’expliquer les objectifs et missions de ce parti politique de l’opposition qui est membre de la Dynamique de l’Opposition et du Rassemblement des Forces politiques et sociales acquises au changement que dirige Tshisekedi. L’UDA est un parti qui a des missions bien précises  notamment,  la conquête du pouvoir, soutient, par ailleurs,  le Premier Ministre du parti qui rappelle que l’UDA Originelle  est une maison en construction.  « Nous sommes en train de nous restructurer, nous nous facilitons l’entrée  en fonction de certains cadres qui ont choisi l’UDA Originelle comme leur parti », a-t-il déclaré.<br />
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Quel est le secret ?<br />
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Le directoire du parti est formel : «le secret qui excite les militants,  c’est le message et le sérieux de l’UDA Originelle.  Il s’agit aussi de la lutte politique et de  la sincérité du parti qui poussent les gens à comprendre qu’ils peuvent devenir membres  d’un parti où il n’y a pas trop d’interférences, pas trop de problèmes, moins encore de coups bas. Ici, nous respectons les textes et nous militons pour le respect de la démocratie », déclare le Secrétaire Général. Expliquant les raisons de ces adhésions massives, Michel Bofua, SGA de l’UDA s’est exprimé en ces termes : « le secret,  c’est le travail, le secret c’est la foi dans ce que nous faisons. C’est également le fait que nous avons intériorisé ce qui est notre combat de chaque jour et notre lutte.  L’UDA, en ce jour d’aujourd’hui,  reçoit des camarades qui sont venus de partout. Nous sommes en train d’élargir l’espace du parti. Aussi, sommes-nous  déterminés à implanter le parti dans tous les coins et recoins de la République.  J’étais chargé de retracer  l’historique du parti, partant de sa création en 1962 par le Père-Fondateur de triste mémoire, le Feu André-Guillaume Lubaya et donc,  après j’ai expliqué comment le parti a été traqué après l’assassinat de son fondateur,   en 1968,  par la dictature sanguinaire de Mobutu».<br />
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En ce qui concerne l’UDA Originelle, il y a lieu de souligner qu’il est un parti Lumubiste, Nationaliste et Panafricain et donc,  un parti de gauche.  Parmi ses combats, il faut dire qu’il se bat pour le respect  de la démocratie, de la constitution et pour avoir un parti qui milite pour la consolidation d’un Etat de droit.        <br />
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Grandes nouvelles  <br />
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Les adhésions massives ? C’est loin de finir. Déjà, mercredi 21 septembre, le parti va accueillir 120 nouveaux membres qui ont choisi d’adhérer  officiellement à l’UDA Originelle. La très grande nouvelle interviendra également,   le samedi 24 septembre,  où de  grands noms de la RDC vont intégrer officiellement ce parti politique de l’opposition. A ce sujet, Jean-Martin Mukonkole explique : « Et la grande information que nous avons,  c’est le samedi, nous annonçons d’ores et déjà que nous aurons une activité qui n’est pas familière par rapport à ce que nous faisons parce que nous aurons l’adhésion officielle de l’Honorable André-Claudel  Lubaya et je vous réserve la surprise de la grande équipe qui viendra avec lui et ça sera une grande nouvelle. Mais, au moins pour la base de l’UDA, elle est toute mobilisée pour la marche de ce lundi 19 septembre 2016, nous avons pris acte de la détermination de notre base parce que nous sommes défenseurs du respect de la Constitution ». A la lumière de ce qui précède, il faut dire que  ce parti politique est,  désormais,  compté parmi les grands de la RD. Congo.

Politique Des adhésions en cascades : des magistrats, avocats, architectes, professeurs, ... frappent à la porte de l’UDA Originelle !

* Plus les jours n’avancent, mieux l’Union Démocratique Africaine Originelle monte en puissance. Il faut dire que ce parti politique de l’...

Urgent Scandale diplomatique : Tom Perriello agressé par un groupe des jeunes PPRD et un député à l'aéroport de Ndjili

September 19, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhioYQwaFsPN0fBMpUpXRYTKoxmJFKlp_Uk7XCqgf8MBE6cKxZOi8DqMmAehRTxZFXQkLCLen3FGpp_uH6UTEDfaWO1Qg2mvxYR6rLrq5-AJjHS7eBqoMPqCtS1s5oeYnAscQ-a1lg_kZs/s1600/Snapshot_8.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; display: inline; float: left; font-family: "times new roman"; font-size: medium; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhioYQwaFsPN0fBMpUpXRYTKoxmJFKlp_Uk7XCqgf8MBE6cKxZOi8DqMmAehRTxZFXQkLCLen3FGpp_uH6UTEDfaWO1Qg2mvxYR6rLrq5-AJjHS7eBqoMPqCtS1s5oeYnAscQ-a1lg_kZs/s400/Snapshot_8.jpeg" style="cursor: move;" width="400" /></a>C'est un employé de la Régie des Voies Aériennes qui a alerté CAS-INFO. L'envoyé spécial des États-unis dans la région des grands lacs Tom Perriello attendait patiemment son avion à l'aéroport international de Ndjili dimanche soir, lorsqu'un groupe des jeunes du PPRD, le parti présidentiel, a surgi.<br />
«Il voulaient le tabasser. Ils l'ont suivi jusqu'au tarmac, par la sotie du salon officiel Départ et cherchaient même à le faire sortir du bus. Ils l'accusaient d'avoir tenu des propos discourtois contre le prés<br />
ident», raconte ce témoin qui note aussi la présence aux cotés de ces jeunes, du député PPRD Deo Ingulu, mais aussi, du président de la ligue des jeunes de la CCU, Thierry Mosenepo sans préciser rôle que ces derniers ont joué dans cette agression.<br />
Mais l'agent de la RVA ajoute «qu'heureusement le chauffeur du bus ne s'est pas arrêté».<br />
Un incident grave confirmé par un membre du protocole d'État à l'aéroport qui a lu le rapport écrit par ses collègues à ce sujet.<br />
Tom Perriello venait de boucler une visite de 5 jours à Kinshasa. Il a, à cette occasion, dénoncé les arrestations arbitraires qui se poursuivent dans le pays.<br />
Selon l'opposition congolaise et des membres de la CENCO, le diplomate américain avait aussi proposé de réunir une somme de 50 millions de dollars pour l'achat des kits électoraux afin de réduire les délais d’enrôlement des électeurs.<br />
Visiblement, certains n'ont pas apprécié.<br />
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<div style="background-color: white; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 0.56em; margin-top: 0.56em; padding: 0px;">
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Politique Urgent Scandale diplomatique : Tom Perriello agressé par un groupe des jeunes PPRD et un député à l'aéroport de Ndjili

C'est un employé de la Régie des Voies Aériennes qui a alerté CAS-INFO. L'envoyé spécial des États-unis dans la région des grands la...

Elections en RDC : un Sénateur américain revient à la charge !

September 19, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNKW9HqX0zktZafBXZDUxkRgsTPrzj7p3uBmov5w71fKnaUngKroAVr0zYWnyys-63s5NWlt1Rm2PLdqNHcWXRstdiDo8Mr1L6zx93_Z7JxMuG4MtUJCzfkSMgSVtRztyiqxViVQDQIdI/s1600/Snapshot_707.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNKW9HqX0zktZafBXZDUxkRgsTPrzj7p3uBmov5w71fKnaUngKroAVr0zYWnyys-63s5NWlt1Rm2PLdqNHcWXRstdiDo8Mr1L6zx93_Z7JxMuG4MtUJCzfkSMgSVtRztyiqxViVQDQIdI/s400/Snapshot_707.jpeg" width="400" /></a><br />
La tentative de retarder les élections, surtout la présidentielle, constitue le nœud gordien  ayant conduit à l’adoption par le Sénat américain, d’une résolution signée par les Démocrates et les Républicains  appelant la République Démocratique du Congo à tenir constitutionnellement l’élection présidentielle en 2016. A défaut de quoi, «il est temps pour le Président Kabila d’affirmer publiquement qu’il va démissionner à la fin de son mandat, c’est-à-dire, au plus tard, le 19 décembre 2016 », a martelé le Sénateur Edward J. Markey.  Ci-après, le texte de la Résolution du Sénat américain dans son intégralité.<br />
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RESOLUTION<br />
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Pour encourager le gouvernement de la République Démocratique du Congo à respecter les dispositions constitutionnelles relatives à la tenue de l’élection présidentielle en 2016, dans le but d’assurer une transition démocratique pacifique et ordonnée du pouvoir ;<br />
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Considérant que les Etats-Unis et la République démocratique du Congo (RDC) ont un partenariat fondé sur le développement économique, l’investissement et les intérêts mutuels en matière de sécurité et de la stabilité, et marqué par les efforts visant à résoudre la crise humanitaire prolongée face à la RDC ;<br />
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Considérant que, en 2006, le gouvernement de la RDC a adopté une nouvelle Constitution avec une disposition limitant le président à deux mandats consécutifs ;<br />
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Considérant que la Constitution exige que les élections se tiennent à temps pour l’inauguration d’un nouveau président le 19 décembre 2016, lorsque le mandat présidentiel expire;<br />
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Considérant que les évènements en RDC au cours de la dernière année et demi ont sérieusement remis en question l’engagement du gouvernement de la RDC à tenir ces élections sur le délai requis, et le président Joseph Kabila ne s’est pas engagé publiquement à démissionner à la fin de son terme ;<br />
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Considérant que les services de sécurité et de renseignement responsables de la RDC ont arrêté, harcelé et détenu des militants pacifiques (comme Fred Bauma et Yves Makwambala), les membres de la Société civile, les dirigeants politiques et d’autres, ainsi que les groupes internationaux et nationaux des droits humains ont fait état de l’aggravation de la situation des droits de l’homme en RDC ;<br />
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Considérant qu’il y a 12 élections présidentielles qui devrait avoir lieu sur le continent africain d’ici la fin de 2017, et ce qui transpire en RDC va envoyer un message important aux dirigeants de la région ;<br />
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Alors que le président Barack Obama a parlé avec le président Kabila, le 31 mars 2015 et « a souligné l’importance des élections en temps opportun, crédibles et pacifiques qui respectent la Constitution de la RDC et protéger les droits de tous les citoyens de la RDC» ;<br />
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Considérant que, le 30 Mars2016, le Conseil de sécurité des Nations Unies a adopté, à l’unanimité, la Résolution 2277, qui exprime sa profonde préoccupation avec « les retards dans la préparation de l’élection présidentielle » en RDC et « l’accroissement des restrictions de l’espace politique en RDC » et appelle à assurer « la tenue réussie et en temps opportun des élections, notamment les élections présidentielle et législatives en Novembre 2016, conformément à la Constitution » ;<br />
<br />
Alors que de nombreux observateurs ont exprimé la crainte que le recul avec les élections en RDC, pourrait conduire à la violence et à l’instabilité à l’intérieur de la RDC, ce qui pourrait se répercuter dans toute la région;<br />
<br />
Considérant que, le 23 Juin 2016, le Département du Trésor a imposé  des sanctions contre le général Célestin Kanyama, Commissaire de police provinciale de Kinshasa, la capitale de la RDC ; et<br />
<br />
Alors que le Département du Trésor a noté que ces sanctions envoient un « message clair que les Etats-Unis condamnent la violence et la répression des actions du régime, en particulier ceux du général Célestin Kanyama, qui menacent l’avenir de la démocratie pour le peuple de la RDC » ;<br />
<br />
MAINTENANT DONC, QUE CE SOIT RESOLU QUE LE SENAT<br />
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Exprime sa préoccupation à l’égard de l’échec de la RDC à prendre des mesures nécessaires pour organiser des élections en Novembre 2016, comme l’exige la Constitution de la RDC ;<br />
Reconnaît  que l’impunité et l’absence de primauté du droit minent la démocratie, et que l’arrestation et la détention de militants de la Société civile et le harcèlement des opposants politiques, ainsi que la restriction de l’espace politique et la répression de la dissidence pacifique ;<br />
Réaffirme son soutien à la démocratie et la bonne gouvernance en Afrique Sub-saharienne ;<br />
Demande au gouvernement de la RDC et toutes les autres parties à respecter la Constitution de la RDC pour assurer une transition libre, ouvert, pacifique et démocratique du pouvoir tel que requis par la Constitution ;<br />
Demande instamment au gouvernement de la RDC  à faire preuve de leadership et d’engagement à des élections en accélérant des mesures concrètes pour la tenue d’élections, y compris l’inscription des électeurs et la protection de la parole et les activités politiques partisanes ;<br />
Encourage le gouvernement de la RDC et toutes les autres parties concernées à engager, maintenant, une discussion urgente ciblée pour faire avancer le processus électoral et parvenir à un consensus rapidement sur la voie à suivre en établissant un calendrier électoral détaillé pour toutes les élections et permettant la sélection des candidats et le processus de la Campagne ; et<br />
Demande instamment au Président des Etats-Unis, en étroite coordination avec les partenaires régionaux et internationaux de :<br />
Vérifier en permanence que ce dialogue technique nécessaire se produit et se déroule en un temps et de la manière nécessaire pour assurer le bon déroulement des élections en temps opportun ;<br />
Utiliser des moyens appropriés pour assurer ces objectifs qui peuvent inclure l’imposition de sanctions ciblées supplémentaires sur les personnes ou entités responsables de la violence et les violations des droits de l’homme, ainsi qu’à ceux qui vont saper les processus démocratiques en RDC à tout moment dans le processus ; et <br />
Poursuivre la politique des Etats-Unis consistant de fournir un soutien pour l’organisation d’élections nationales libres, justes et pacifiques<br />
Document écrit en Anglais et traduit par ADC

Politique Elections en RDC : un Sénateur américain revient à la charge !

La tentative de retarder les élections, surtout la présidentielle, constitue le nœud gordien ayant conduit à l’adoption par le Sénat amér...

Enjeux politiques de l’heure : Lumuna Ndubu exige un autre Dialogue !

September 19, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFTRcNnBZ76I9p1C9gM9AFwQBm__yzLM7wOSfCqIOUg2FlG4ZCybu_DYXnrvNbgX787gd4KVoDNJbmgdH9Cyim9Ksp_2PQLXkIbMZD1SYymAG6D9P0LmM2ZWHEtg_-BmP19-whIwLXJ8Q/s1600/Snapshot_297.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFTRcNnBZ76I9p1C9gM9AFwQBm__yzLM7wOSfCqIOUg2FlG4ZCybu_DYXnrvNbgX787gd4KVoDNJbmgdH9Cyim9Ksp_2PQLXkIbMZD1SYymAG6D9P0LmM2ZWHEtg_-BmP19-whIwLXJ8Q/s400/Snapshot_297.jpeg" width="400" /></a><br />
Après avoir été pro-dialogue et pro-Kodjo, Lumuna Ndubu, vient, aujourd’hui, de se radicaliser vis-à-vis du format actuel du dialogue politique qui se déroule à la cité de l’Union Africaine, à Mont Ngaliema. Il estime que ce forum n’est pas du tout inclusif. Il récuse en même temps Edem Kodjo, le Facilitateur togolais pour sa «partialité» dans la conduite du train du dialogue. En ce sens qu’il devait y intégrer les partis politiques en conflit avec le pouvoir en place, et ceux qui seront concernés aux échéances électorales qui se profilent à l’horizon. Cela éviterait une éventuelle contestation et confrontation. Maître Lumuna voudrait bien que le dialogue débouche sur une transition politique qui sera conduite par l’Opposant Moïse Katumbi Chapwe afin de faire respecter  les résolutions du dialogue.<br />
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Cependant, en ce qui concerne l’arrêt rendu par la Cour Constitutionnelle qui donnait au Président en exercice la possibilité de continuer jusqu’à l’installation du nouveau président élu, Maître Lumuna pense que tout cela n’était que manœuvres dilatoires et politiciennes aux fins d’éterniser les institutions actuelles. Pour lui, le choix du chairman du Tout-Puissant Mazembe est bien clair. «Nous soutenons Moïse Katumbi parce qu’il a fait preuve de  bonne gestion dans l’ex-province du Katanga. Etant donné que tout le monde est hors mandat, et qu’on a besoin de la cohésion nationale, il reviendra au Président de la République d’accorder une grâce présidentielle susceptible de faire en sorte que Moïse ne soit plus dans le collimateur de la justice», nous a-t-il confié.<br />
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Face à tout ce qui arrive à la République, il demande aux dialogueurs de penser essentiellement à un schéma de transition s’il faut préserver la case «Congo » contre la brûlure. Pour en arriver, il est encore impérieux que le Gouvernement réunisse, une fois de plus, autour d’une table, les partis politiques, regroupements politiques, les forces vives de la nation, les délégués du Gouvernement, les délégués du Président de la République, les représentants de femmes et des jeunes, la vraie société civile et consorts pour qu’ensemble qu’on réfléchisse sur le fond du problème qui est la «crise de légitimité». C’est cette nouvelle configuration du gouvernement de transition qui va organiser les élections apaisées, transparentes et crédibles. Parce qu’il ne revient nullement aux institutions hors mandat d’organiser, elles seules, toutes les élections. Cette façon de faire discréditera les élections. Ce qui, d’une manière ou d’une autre, va probablement engendrer les contestations et le refus des résultats des urnes. Ainsi, pour éviter la réédition des événements macabres et funestes de 2006 et 2011, Lumuna Ndubu suggère un nouveau dialogue qui sera réellement inclusif. Car, a-t-il renchéri, on peut dialoguer plusieurs fois. Rien ne sert à courir. <br />
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A l’en croire, le dialogue actuel n’est pas porté par le peuple congolais. Or, «Il faut être à l’écoute du peuple», a-t-il lancé. Au vu donc du manque de confiance mutuelle, il a suggéré que ce second dialogue soit sous l’initiative et la médiation de la communauté internationale notamment, l’ONU, l’UA, l’UE, et les organisations sous régionales.

Politique Enjeux politiques de l’heure : Lumuna Ndubu exige un autre Dialogue !

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