L’UDS invite le peuple congolais à appuyer la reconstruction nationale initiée par le Président Joseph Kabila

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmC26oGovOlasg3ox9xVMlUkhpZoKRDiwV2q-ZTvyv0Moy2YJtQ2m8qbgYAMiL9Yqub2FQ8-tse0c6yNj_hh2Wv_gknYDTk_HXiOMbtBoFzNaenu6VLjh6QNkqLcsm_AJMwlE0KlAvMTM/s1600/arton40997-0e95c.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmC26oGovOlasg3ox9xVMlUkhpZoKRDiwV2q-ZTvyv0Moy2YJtQ2m8qbgYAMiL9Yqub2FQ8-tse0c6yNj_hh2Wv_gknYDTk_HXiOMbtBoFzNaenu6VLjh6QNkqLcsm_AJMwlE0KlAvMTM/s320/arton40997-0e95c.jpg" width="320" /></a></div> L’Union des Démocrates Socialistes, en sigle UDS, a réuni le samedi 05 Octobre 2013 dernier la quatrième session de son Conseil National au Centre Elikya de la commune de Kinshasa. A l’issue de ses travaux, l’Uds a publié le communiqué final dont voici la teneur :<br /><br /><br />Le Conseil National de l’Union des Démocrates Socialistes, en sigle UDS, a tenu sa Quatrième session ordinaire, le samedi 05 Octobre 2013 à Kinshasa, sous la direction du Président National de l’UDS, Monsieur Crispin KABASELE TSHIMANGA.<br /><br /> <br /><br />Après avoir validé les mandats de ses Membres conformément à l’article 38 alinéa 1er des Statuts de l’UDS, le Conseil National a immédiatement mis en place son Bureau composé comme suit :<br /><br />- Président : M. Crispin KABASELE TSHIMANGA, Président National;<br /><br />- Vice-Présidente : Mme Célestine-Bénie MUZODI, Secrétaire Générale Adjointe chargée de l’Emploi, de la Sécurité Sociale et de la Prévoyance Sociale;<br /><br />- Rapporteur : M. Grégoire MPOYI BADINENGANI, Secrétaire Général;<br /><br />- Rapporteur Adjoint : Me Simon-Bryand NKUNGI NGANI, Président Fédéral Provisoire de l’UDS/Kinshasa.<br /><br /> <br /><br />Dix-huit points ont été inscrits à l’ordre du jour.<br /><br /> <br /><br />Après les différents rapports d’activités présentés par le Président National de l’UDS, le Secrétaire Général, la Présidente Nationale de la LIFUDS, le Président National de l’UJUDS et le Président Fédéral Provisoire de l’UDS/Kinshasa, suivis des débats fort enrichissants, le Conseil National de l’UDS a pris des décisions suivantes :<br /><br /> <br /><br />- a) La déchéance, pour inactivisme et nombreuses absences injustifiées, de quelques Membres de leurs fonctions au sein du Comité Directeur. Il s’agit de Mesdames Vitaline PILI-PILI LUMANA et Adéline LUHUNU NKETI, et de Monsieur Roger TUNK’A PAGNOL;<br /><br /> <br /><br />- b) La désignation de trois Membres ci-après au Comité Directeur :<br /><br />· Mme Yolande PHANZU LEVO comme Trésorière Générale Adjointe ;<br /><br />· M. Gerhard KILELEZI KYALEKANUKA, Secrétaire National chargé de l’Economie, de la Fiscalité, du Commerce, de l’Industrie, des Mines, de l’Energie et du Tourisme :<br /><br />· M Jacques BENA SELEKA, Secrétaire National chargé des Travaux Publics, des Transports, de l’Aménagement du Territoire, des Affaires Foncières, de l’Urbanisme et de l’Habitat.<br /><br /> <br /><br />- c) Le nomination de trois Membres nouveaux de la Commission Nationale de Contrôle, à savoir:<br /><br />· M. Innocent NKWANGA KAMBUNGU, Rapporteur:<br /><br />· M. Christophe IMPOKO EWALA, Membre ;<br /><br />· Mme Bernadette BAKANDOWA NTUMBA, Membre:<br /><br /> <br /><br />- d) La restructuration du Bureau National de l’Union de la Jeunesse de l’UDS, en sigle UJUDS avec l’entrée des nouveaux Membres dont les noms suivent:<br /><br />· M. Willy NZEMBELA BULOBA, Premier Vice-Président National chargé de la Jeunesse Estudiantine:<br /><br />· Me Joseph KALOMBO KANKU, Deuxième Vice-Président National chargé de la Communication et des Relations Publiques ;<br /><br />· M. Blaise LUFUMA BALENGA, Troisième Vice-Président National chargé de la Mobilisation:<br /><br />· Me Gerson MBUMBA, Secrétaire National<br /><br />· M. Samuel LUBAKI, Secrétaire National Adjoint ;<br /><br />· Me Freddy NKUNA, Trésorier National ;<br /><br />· M. Paul MPIA, Conseiller National chargé des Relations Internationales ;<br /><br />· M. Dédé DIKAMBA LUSHIKU, Conseiller National chargé de la Jeunesse Ouvrière et Désoeuvrée ;<br /><br />· M. Eric MUTOMBO MBUYI, Conseiller National chargé des Questions Sociales, Culturelles et Sportives<br /><br /> <br /><br />- e) La nomination de Madame Annie TSHIBOLA en qualité de Secrétaire Nationale de la Ligue des Femmes de l’UDS, en sigle LIFUDS.<br /><br /> <br /><br />S’agissant de la politique nationale, le Conseil National a l’UDS a encouragé le Chef de l’Etat, Président de la République, Son Excellence Monsieur Joseph KABILA KABANGE, à ne ménager aucun effort pour le retour d’une paix durable dans notre pays en vue de poursuivre la politique de reconstruction nationale.<br /><br />.<br /><br />L’UDS renouvelle, une fois de plus, sa demande relative à la lutte sans merci que le Gouvernement de la République doit engager contre la corruption qui gangrène la société congolaise ; les détournements de deniers publics; la mal gouvernance qui caractérise nos institutions.<br /><br /> <br /><br />Le Conseil National de l’UDS lance enfin un vibrant appel au Peuple congolais de faire preuve de patriotisme, d’amour du travail, de discipline, de rigueur dans l’effort en vue d’appuyer sans réserve l’ambitieux programme de reconstruction nationale initié par le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Joseph KABILA KABANGE, pour le développement de notre pays et pour le bien-être de nos populations.<br /><br /> <br /><br />La prochaine session du Conseil National a été fixée au 05 Avril 2014.<br /><br /> <br /><br /> <br /><br />Fait à Kinshasa, le 05 Octobre 2013.-<br /><br /> <br /><br />POUR LE BUREAU DU CONSEIL NATIONAL<br /><br />DE L’UNION DES DEMOCRATES SOCIALISTES,<br /><br /> <br /><br />Le Rapporteur,<br /><br /> <br /><br />Grégoire MPOYI BADINENGANI<br /><br />Secrétaire Général de l’UDS,<br /><br />Membre Fondateur<br /><br />

Politique L’UDS invite le peuple congolais à appuyer la reconstruction nationale initiée par le Président Joseph Kabila

L’Union des Démocrates Socialistes, en sigle UDS, a réuni le samedi 05 Octobre 2013 dernier la quatrième session de son Conseil National a...

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SPORT : Stade Malien 1-2 TP MAZEMBE( vidéo )[ DEMI FINAL CAF )

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgg8Z-geoQnMNdpmJi025XbQDedKcx5JGpHEzkFhj6YBq-di34PSpAbx9Fh8pPMrvibdjlYKnjxd0M6WD3LCex2rgjDVYPM-0iKLz68nIVMiSlxhFhQvHP-aR0MqqR_RRf6kQk5z2dEljs/s1600/instantan%C3%A9_001.bmp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="380" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgg8Z-geoQnMNdpmJi025XbQDedKcx5JGpHEzkFhj6YBq-di34PSpAbx9Fh8pPMrvibdjlYKnjxd0M6WD3LCex2rgjDVYPM-0iKLz68nIVMiSlxhFhQvHP-aR0MqqR_RRf6kQk5z2dEljs/s320/instantan%C3%A9_001.bmp" width="400" /></a></div> <iframe frameborder="0" height="600" src="http://www.dailymotion.com/video/x15mk2s_stade-malien-1-2-tp-mazembe-demi-final-aller-caf-2013_sport?syndication=144230" width="550"> <!-- iframe--></iframe> le TP Mazembe est en Route vers la Finale.

Sport SPORT : Stade Malien 1-2 TP MAZEMBE( vidéo )[ DEMI FINAL CAF )

le TP Mazembe est en Route vers la Finale.

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Ayant taillé son chemin sur le roc : Tshala Muana, ‘‘Je viens de loin et je suis proche de ma destination’’

<a href="http://www.lavdc.net/portail/wp-content/uploads/2012/04/Tshala-Mwana.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="http://www.lavdc.net/portail/wp-content/uploads/2012/04/Tshala-Mwana.jpg" width="400" /></a><br /><br /><span style="color: #e06666;">*1978-2013 : 35 ans de carrière musicale. C’est l’expression de la passion musicale d’une chanteuse dont les œuvres fantastiques continuent à toucher la sensibilité des mélomanes dans son pays et partout à travers le continent. 55 ans d’âge, Tshala Muana, de son vrai nom, Elisabeth Muidikayi, a fêté avec beaucoup de dextérité le 35ème anniversaire de sa vie musicale le 31 août 2013, à Kinshasa. Une soirée réussie. Car, Mamu nationale a communié avec un public cosmopolite et select autour de la piscine du GHK. Libanais, congolais, français, belges, chinois et tant d’autres races ont assisté à une belle cérémoniale en l’honneur d’une doyenne de la musique africaine. A sa descente du podium, la Reine de mutwashi, très émotionnée, a accordé une interview à votre Journal, au cours de laquelle elle n’a eu qu’un seul mot : «Merci», adressé à l’assistance avant de retracer l’histoire d’un parcours taillé sur le roc. Que dit-elle de son parcours ? Suivez ses réponses à nos questions.</span><br /> <br /><br />Comment Tshala Muana, une danseuse, s’est-elle muée en chanteuse ?<br /><br />Tshala Muana : J’ai tout simplement emboîté les pas aux chanteuses congolaises, à mes aînées dont Abeti Masikini, Mpongo Love et aussi aux stars américaines, Madonna, Whitney Houston. Mon début était vraiment difficile à cause du manque d’un bon encadreur. Je n’avais ni parolier, ni arrangeur, encore moins un producteur ! Je me débrouillais seule. Grâce à mon dynamisme, courage et détermination, et avec l’appui de Dieu, je suis devenue ce que je suis aujourd’hui, ‘‘Mamu Nationale’’. Lorsque j’avais décidé de chanter, ça ne tenait pas. J’avais repris la danse chez Tantine Abeti et Mpongo Love. Comme j’avais toujours l’idée de tenir le micro, j’ai voyagé pour Abidjan, en Côté d’Ivoire. Arrivée là-bas, personne ne me connaissait. Ceux qui voulaient me produire m’ont exigé des preuves. Alors je ne pouvais pas les convaincre par le chant. La danse était la seule arme pour me défendre. Pour se faire vite remarquer auprès du public, je dansais bénévolement dans tous les spectacles organisés à Abidjan. Un sacrifice qui m’a payé par la suite. Un groupe d’interprétation m’a accordé de présenter mon spectacle dit interdit aux cardiaques à la première partie de la soirée. L’assistance n’avait pas besoin de mes chansons. Elle n’avait besoin que de mon spectacle et de la danse Mutwashi que j’exhibais. J’avais du courage exceptionnel et je me produisais sans avoir honte de qui que ce soit. J’emballais le public à chaque prestation. Lentement mais sûrement, le public commençait à venir nombreux et c’était parti. Le producteur ivoirien, François Cognat, m’a sollicité pour que je réalise un album, parce que je suis une artiste de show. C’est lui qui m’a amené pour la toute première fois à Paris où j’ai réalisé un disque géant de 45 tours avec la chanson «AMINA», interprétée en français et arrangée par Souzy Kaseya. Grâce au succès de mon premier tube, j’ai connu un envol terrible sur la scène musicale en Afrique de l’Ouest et, partout, ce disque a été distribué et vendu comme des petits pains.<br /><br />Après le succès de ladite chanson, j’ai enregistré d’autres tubes tels que «Zaïre », «Tshibola», «Kapinga», «Na si na bali »… C’était ma propulsion et j’ai commencé à livrer des productions en faisant de salles combles dans la partie Ouest du continent. A cette époque, j’étais accompagné d’un groupe ivoirien d’interprétation appelé JET. A Kinshasa, c’est le groupe The Best qui m’accompagnait dans mes concerts. La grande soirée que j’ai présentée à l’hôtel Ivoire est restée gravée dans l’histoire de ce pays. A mon retour d’Abidjan en 1986, mon premier concert à l’hôtel Inter Continental, aujourd’hui Grand hôtel Kinshasa, a connu un monde fou. J’ai tenu le public avec mes numéros du spectacle en présence du défunt journaliste Lukezo Luansi qui présentait la soirée. Les premiers albums que j’ai réalisés avec mon groupe à Kinshasa appelé Dynastie Mutwashi’ s’intitulaient «Malu» suivi de «Tshanza»…<br /><br />Qu’est-ce que la musique vous a apporté 35 ans durant ? <br /><br />TM : Beaucoup ! Je suis considérée et respectée dans la société. Je suis une autorité culturelle au pays. Grâce à la musique, j’ai visité presque tous les continents de la planète. Aujourd’hui, mon nom est connu par les mélomanes du monde entier où la musique congolaise est consommée. J’ai bénéficié des honneurs, des trophées des prix, mérites civiques… La musique a fait beaucoup pour moi et j’ai défendu valablement la musique congolaise partout à l’étranger en représentant sans faille la culture du terroir. Ce n’est pas pour rien que les autorités du pays ont accepté de m’accompagner dans la réussite de la célébration des 35 ans de ma carrière musicale. Elles m’honorent et m’encouragent afin de continuer à faire encore mieux pendant le reste de ma carrière. Je viens de loin et je suis proche de ma destination. Je demande à Dieu de m’accorder encore une longue vie, pleine de succès pour la suite de ma carrière, durant le reste de ma vie sur terre.<br /><br />Quels sont les bons et mauvais souvenirs des 35 ans de votre carrière ?<br /><br />TM: Vous devez savoir que dans toute chose, il y a toujours les hauts et les bas. Dans le parcours de ma carrière, en tout cas, j’ai taillé mon chemin dans le roc. J’ai connu beaucoup de difficultés et j’ai vécu aussi la gloire de la musique. J’ai été applaudie et accueillie comme l’enfant du pays partout où je me suis produite (Afrique, Europe, Asie et Amérique). Dieu le Tout-puissant a beaucoup contribué à la réussite de ma carrière musicale. L’accident mortel de circulation dont j’ai été victime au Malawi, au cours duquel mes cotes ont été touchées, reste un mauvais souvenir de ma vie d’artiste. Je me rappelle encore qu’il y a eu des morts et des blessés graves. J’ai été internée pendant dix jours à la salle d’urgence d’un hôpital de Malawi avant que je sois transférée à Paris pour des soins appropriés. En tout cas, Jésus-Christ est venu me visiter au Malawi pour que je sois encore en vie.<br /><br />Quel conseil pouvez-vous prodiguez aux jeunes filles qui désirent faire la musique ?<br /><br />TM : Qu’elles sachent que la musique est le plus beau métier du monde, mais elle est très difficile pour les êtres féminins. Les jeunes filles doivent être sérieuses, dynamiques, patientes, adaptives, courageuses et fidèles envers leurs encadreurs. Qu’elles ne viennent pas dans la musique pour défier les autres ou faire la prostitution. Qu’elles ne soient pas légères. Car, il y a beaucoup de tentatives d’hommes qui sont comme des loups vis-à-vis des brebis. La montée d’une fille chanteuse dans la musique demande beaucoup de sacrifices. En tout cas en RDC, pour qu’un être féminin réussisse dans la musique, il faut qu’elle soit bien encadrée. Au cas contraire, elle ne fera rien ou elle n’ira pas loin.<br /><br />Peut-on dire que le comportement de MG 30 vous a découragé dans l’encadrement de jeunes ? <br /><br />TM: Je continuerai toujours à aider les jeunes et à les propulser. Malgré la déception que je ne cesse d’enregistrer, je prépare déjà à lancer une nouvelle chanteuse. Elle sera bientôt connue du public.<br /><br />Comment entrevoyez-vous l’avenir de la musique congolaise ?<br /><br />TM: L’avenir de notre musique est en danger par manque des producteurs. Ces derniers sont fatigués et déçus à cause de la piraterie. La musique congolaise regorge beaucoup des jeunes talents qui souffrent par manque d’encadrement. <br /><br />Quelles sont les personnes qui ont le plus marquer votre attention tout au long de ces 35 ans de carrière ?<br /><br />TM : Souzy Kaseya qui était mon arrangeur musical pendant une dizaine d’années et feu Pépé Kallé qui me donnait des chansons à l’époque. Il y a également d’autres personnes, pour leur soutien moral, comme Papa Wemba, Honorable Zacharie Bababaswe, mon Big Manager Claude Mashala et le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange. Je remercie infiniment l’honorable Célestin Mbuyu, mon Papa Mbengele et maman Monique Mbengele, Cardoso Muamba. Je n’oublie pas Remy Musungay, Geneviève Inagosi, Bahati Lukebo et Charles Muyej, respectivement ministres de l’Industrie et PME, du Genre, Familles et Enfants et du Travail et Prévoyance sociale ainsi que de l’Intérieur ; papa Musa et Serge Kasanda … pour ne citer que celles-là. Car, la liste n’est pas exhaustive. Merci à vous tous qui avez assisté à la grande soirée de la célébration du 35ème anniversaire de ma carrière musicale au tour de la piscine de GHK.<br /><br />Que représente Claude Mashala pour vous ?<br /><br />Tshala Muana : Il est tout pour moi. Il a apporté un plus dans ma vie d’artiste. Très intelligent, il est à la fois mon manager, secrétaire, producteur, conseiller et encadreur. Il m’a apporté la paix du cœur et l’amour véritable. Je ne peux lui donner qu’un grand merci. <br /><br />Toujours chouette et dynamique sur scène. Quel est votre secret pour maintenir cette carrure ?<br /><br />Tshala Muana : Etre disciplinée, avoir l’amour du travail bien fait et surtout le sens du professionnalisme et pas de jalousie envers le prochain. Pas des mélanges inutiles de laits de beauté et surtout boire beaucoup du lait en poudre.<br /> <br /> <div style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"> <strong style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Propos retransmis par Jordache Diala    </strong></div>

Au tour de Kinshasa Musique Ayant taillé son chemin sur le roc : Tshala Muana, ‘‘Je viens de loin et je suis proche de ma destination’’

*1978-2013 : 35 ans de carrière musicale. C’est l’expression de la passion musicale d’une chanteuse dont les œuvres fantastiques continuent...

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Coupe de la Confédération: Demi-finales : TP Mazembe croise le Stade Malien le 6 octobre 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifcTh46ML5D6apMnuHO12DXBJ5R4VUQhoZF5bzm3CI0r1i37J-1NLTWbVV0yPRHODmgCuCt_0aBDg_vgU79BQ9P1J4DGgC2d2GYYmqn0YxVFJlQdYk1RxlXjfRahA7RoxetDp4HT2qQrY/s1600/equipe2013hd.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifcTh46ML5D6apMnuHO12DXBJ5R4VUQhoZF5bzm3CI0r1i37J-1NLTWbVV0yPRHODmgCuCt_0aBDg_vgU79BQ9P1J4DGgC2d2GYYmqn0YxVFJlQdYk1RxlXjfRahA7RoxetDp4HT2qQrY/s400/equipe2013hd.jpg" width="400" /></a></div> Après sa qualification pour les demi-finales pour le compte de la Coupe de la Confédération, le Tout Puissant Mazembe, la seule équipe congolaise qualifiée dans cette compétition africaine a installé son quartier général au Lizzy Sports Complex, à Accra, au Ghana. C’est sous la direction du technicien français, Patrice Carteron que les ambassadeurs congolais donnent tout leur souffle pour atteindre l’objectif qu’ils se sont assigné pour cette année sportive, celui de remporter la Coupe de la Confédération ainsi que la Super Coupe.<br /> C’est le Stade Omnisport Modibo Keita de la Capitale malienne qui recevra cette rencontre de la première journée des demi-finales entre le Stade Malien et le TP Mazembe, à 16 heures 30’ TU.<br /> Conscients des enjeux de cette rencontre, les Corbeaux lushois se préparent corps et âmes,a déclaré le capitaine Trésor Mputu. C’est depuis le dimanche 22 septembre dernier que cette équipe congolaise est internée.<br /> Quelques coïncidences seront à ce rendez-vous. C’est le cas de la grande représentation des joueurs maliens qui jouent au TP Mazembe, parmi lesquels Cheibane Traore, Ousmane Cisse, Alou Bagayoko, Bousbacar Diarra ainsi que Salif Coulibaly (récemment arrivé au club mais pas qualifié pour ce match).<br /> Cheibane Traore, ancien avant-centre du stade Malien, se rappellera de beaucoup de choses. Du moins si l’on en croit ses propos : «<em>Lorsque j’ai appris que c’était le Stade Malien que nous allons affronter en demi-finale, bien des souvenirs sont aussitôt passés dans ma tête. J’ai connu des grandes fortunes avec le Stade en gagnant la Coupe de la Confédération en 2009 avant de perdre la Super Coupe à Lubumbashi face au TP Mazembe. Très jeune, c’était assez particulier de jouer Stade Malien. A l’époque, je ne savais pas vraiment m’épanouir sur le plan professionnel, mais maintenant je suis dans un club qui croit en moi, avec un coach qui me fait confiance</em>», a-t-il souligné avant d’ajouter que c’est depuis 2010 qu’il avait quitté Bamako et qu’il se posait mille et une questions sur l’accueil que ses compatriotes pourraient lui réserver. «<em>Ce sont les réalités du football. Je ne pense pas qu’ils nous en voudront, au coach et à moi pour avoir quitté le Stade Malien. Je suis convaincu que nous serons bien accueillis</em> », a-t-il conclu.<br /> Pour sa part,  Patrice Carteron ancien sélectionneur des Aigles du Mali ne connaît pas également ce qui l’attend, lui qui a quitté le Mali pour rejoindre le TP Mazembe, pendant que le football malien avait encore besoin de lui. Avec cette sélection, Patrice Carteron a réussi beaucoup de choses en peu de temps, il a terminé 3^ème à la Can 2013.<br /> <strong>Steve Ilunga</strong><br /> <span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />

Sport Coupe de la Confédération: Demi-finales : TP Mazembe croise le Stade Malien le 6 octobre 2013

Après sa qualification pour les demi-finales pour le compte de la Coupe de la Confédération, le Tout Puissant Mazembe, la seule équipe con...

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Sœur Angélique, la lauréate 2013 de la distinction Nansen du HCR pour les réfugiés, rencontre le Pape François

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjE_65jO22yGTwO6ss4b5PxTiV2Fz_AhuX5xdlHIB2Ug6h9AhzNZPBOYgiow8t9qGX7mPeMFRvCz8sgY4hhSyiSMmddaPT2tc1J5SFhlkkTyXL6vMc7f-B2N85yzhMC2bDJbuafPh7ofac/s1600/sfahw2v5uv9nmvhphnos.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjE_65jO22yGTwO6ss4b5PxTiV2Fz_AhuX5xdlHIB2Ug6h9AhzNZPBOYgiow8t9qGX7mPeMFRvCz8sgY4hhSyiSMmddaPT2tc1J5SFhlkkTyXL6vMc7f-B2N85yzhMC2bDJbuafPh7ofac/s400/sfahw2v5uv9nmvhphnos.jpg" width="400" /></a></div> Sa Sainteté le <span style="color: red;">Pape François </span>a reçu aujourd’hui la lauréate 2013 de<br />la distinction Nansen du HCR pour les réfugiés, Sœur <b><span style="color: magenta;">Angélique Nako<br />Namaika</span></b>, à la suite d’une Audience Générale au Vatican.<br /><br />Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés avait rendu<br />hommage deux jours auparavant à Sœur Angélique lors d’une cérémonie<br />organisée lundi à Genève, au cours de laquelle le HCR lui a remis la<br />médaille de la distinction Nansen pour les réfugiés en reconnaissance<br />de son travail inlassable et courageux au bénéfice des rescapés de la<br />violence et du déplacement, des abus perpétrés principalement par<br />l'Armée de résistance du Seigneur (LRA).<br /><br />Travaillant dans une région isolée de la République démocratique du<br />Congo, Sœur Angélique a aidé plus de 2 000 femmes et jeunes filles ayant<br />été forcées de quitter leur foyer. Nombre de celles qu’elle aide<br />témoignent d’enlèvement, de travail forcé, de violences, de<br />meurtres, de viols et d’autres violations des droits humains. Grâce à<br />son Centre de réinsertion et de développement, Sœur Angélique les a<br />aidées à transformer leur vie en leur offrant une chance<br />d’apprendre un métier, de lancer leur entreprise ou de retourner à<br />l’école.<br /><br />Après l’Audience Générale d’aujourd’hui à la basilique<br />Saint-Pierre, Sœur Angélique a été reçue par le Pape François et a parlé<br />au souverain pontife de son travail dans et autour de la ville reculée<br />de Dungu, à l’est de la République démocratique du Congo.<br /><br />« Je n’aurais jamais cru que je rencontrerais le Saint-Père. Quand<br />j’ai appris la nouvelle, j’ai pleuré pendant un long moment », a<br />déclaré Sœur Angélique. « Lors de ma rencontre avec le Saint-Père, je<br />lui ai dit, ‘je suis originaire de la RDC et je porte avec moi les<br />femmes et les enfants qui ont été victimes des atrocités commises par la<br />LRA [Armée de résistance du Seigneur], pour que vous puissiez les bénir<br />ainsi que moi’. »<br /><br />Le Pape a répondu : « Je connais votre cause, vous devez continuer à<br />aider les réfugiés », a ajouté Sœur Angélique. « Il a alors placé les<br />deux mains sur ma tête, il a prié pour moi et il m’a bénie ainsi que<br />les femmes. »<br /><br />Laurens Jolles, Représentant régional du HCR pour le sud de l’Europe,<br />s’est également félicité de l’intérêt porté récemment par le Pape<br />aux personnes déplacées. « Le HCR apprécie grandement l’attention et<br />l’intérêt dont fait preuve de manière continue Sa Sainteté, depuis le<br />début de son pontificat, à l’égard des personnes déracinées. Son<br />intérêt pour le travail de Sœur Angélique est une preuve<br />supplémentaire de sa proximité avec les plus vulnérables. »

Réligion Sœur Angélique, la lauréate 2013 de la distinction Nansen du HCR pour les réfugiés, rencontre le Pape François

Sa Sainteté le Pape François a reçu aujourd’hui la lauréate 2013 de la distinction Nansen du HCR pour les réfugiés, Sœur Angélique Nako Na...

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SPORT : TRESOR MPUTU ANNONCE A KABUSCORP DE Palanca.

<span style="font-size: large;">Luanda - Le président du club sportif Kabuscorp de Palanca, <b><span style="color: cyan;">Bento Kangamba</span></b> a annoncé dans son communiqué de presse du 5 Octobre 2013 qu'il pourra acquérir les services de l' internationale Congolais <span style="color: orange;"><b>Mputu Mabi Trésor</b></span> d'ici décembre.</span><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLr8wNpZ1fNM3FICXkrkK8AQox915-m4fU3rIkm-ONM6jV3vslc07QjbF913W1cH3cYRWbQnfD0tq78GD0LwABufNiFyIcxFlnJn1j2yi36dnERNe6X-xQKEj9sk55SQz3xjE6aDGZjKY/s1600/instantan%C3%A9_007.bmp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLr8wNpZ1fNM3FICXkrkK8AQox915-m4fU3rIkm-ONM6jV3vslc07QjbF913W1cH3cYRWbQnfD0tq78GD0LwABufNiFyIcxFlnJn1j2yi36dnERNe6X-xQKEj9sk55SQz3xjE6aDGZjKY/s640/instantan%C3%A9_007.bmp" width="640" /></a></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span><div> <span style="font-size: large;"><br /></span><div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> </div> </div>

Sport SPORT : TRESOR MPUTU ANNONCE A KABUSCORP DE Palanca.

Luanda - Le président du club sportif Kabuscorp de Palanca, Bento Kangamba a annoncé dans son communiqué de presse du 5 Octobre 2013 qu...

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LA FONDATION QATAR ET EURONEWS ANNONCENT DES « INNOVATIONS FAVORABLES » POUR LA RDC

<br /><img src="http://lepotentielonline.com/site2/images/Ma%20soeur%2010.png" /><br />Les apports d’Euronews et de la Fondation Qatar au sommet mondial pour l’innovation dans l’éducation « seront favorables pour la RDC si elle s’implique positivement », a déclaré vendredi 4 octobre 2013 à Kinshasa, Sony Nlemvo, membre du comité directeur de l’International Schools Alliance (ISA), organisme sans but lucratif basé à Genève (Suisse), aux délégués des écoles retenues au programme des laboratoires multimédias et des langues.<br /><br /><br />Il se tiendra du 29 au 31 octobre 2013 à Doha (Qatar), le 5è Sommet mondial pour l’Innovation dans l’Education (WISE) lancé en 2009 sous l’impulsion de Son Altesse la Princesse Sheikha Mozah Bint Nasser al-Missned, Première Dame du Qatar et Présidente de la Fondation Qatar pour l’éducation, la science et le développement communautaire.<br /><br />Ce rendez-vous planétaire est une véritable plateforme et un espace de rencontre pour les professionnels de l’éducation, les décideurs et leaders du monde entier qui y vont pour partager des solutions concrètes devant contribuer à relever les défis de l’éducation de demain.<br /><br />Unique en son genre, il participe à la promotion de l’innovation dans l’éducation, notamment en milieu rural, en stimulant les collaborations et les nouvelles approches dans des secteurs variés. Il identifie des pratiques innovantes afin d’encourager leur diffusion à l’échelle internationale.<br /><br />Les actions déployées par cette plate forme, à laquelle pourront prendre part des délégués de la RDC, sont motivées par la conviction selon laquelle « l’innovation doit permettre d’atteindre les trois objectifs prioritaires que sont l’éducation pour tous, un apprentissage tout au long de la vie et un enseignement accessible en tout temps et en tout lieu ».<br /><br />« Plusieurs projets novateurs seront présentés lors du Sommet WISE 2013 et dont les plus innovants recevront chacun 20 000 USD devant plus de 9 000 experts et professionnels de l’éducation issus de 152 pays. Les participants pourront ainsi nouer des partenariats conduisant à la reproduction et à l’adaptation de projets promus à d'autres contextes éducatifs et régions du monde », a indiqué Sony Nlemvo dans un entretien à Lepotentielonline.com.<br /><br />L’intérêt du sommet Wise 2013 pour la RDC<br /><br />Outre le partenariat formel que la RDC pourra nouer avec la Fondation Qatar et le Projet Education rurale de Mme Aurora Velez, chef du projet - Producer « Learning World » chez EuroNews, le sommet Wise apportera des réponses adéquates aux défis auxquels sont confrontés les acteurs du monde de l’éducation en RDC.<br /><br />Il constituera surtout, en tant que point focal éventuel de ces deux structures ( Fondation Qatar et Euronews ), une véritable boîte à outils des meilleures solutions dans ce domaine.<br /><br />« Ce sera une fenêtre d’opportunités pour faire un plaidoyer et mieux canaliser les préoccupations de ces deux partenaires potentiels que sont Euronews et la Fondation Qatar en faveur d’une éducation rurale et numérique, grâce aux innovations des laboratoires multimédias et des langues expérimentés dès cette année scolaire 2013-2014 par 20 écoles privées catholiques de l’Archidiocèse de Kinshasa », selon le représentant de l’ISA.<br /><br />L’éducation de qualité pour tous en faveur des populations rurales de la RDC est indispensable pour atteindre à la fois les objectifs d’éducation pour tous (EPT) et les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) visant à éradiquer l’extrême pauvreté et la faim, assurer l’enseignement primaire pour tous d’ici 2015, promouvoir l’égalité entre les sexes et à protéger durablement l’environnement.<br /><br />En RDC, l’illettrisme concerne 55.1 % des femmes, contre 36.5 % des hommes, a commenté Sony Nlemvo.<br /><br />Pour le Révérend Père Jean Pierre Mbayamvula, promoteur du Collège Saint Pierre la Coquette, « le projet Education rurale de Mme Aurora Velez et la Fondation Qatar de la princesse Sheikha Mozah, avec ses innovations en matière de l’éducation, a intérêt à se faire connaître dans d’autres zones géographiques comme l’Afrique centrale, particulièrement la RDC ».<br /><br />Quelques apports en faveur de l’éducation<br /><br />En tant que présidente de la Fondation du Qatar pour l'Education, la Science et le Développement de la Communauté et présidente du Conseil suprême pour les Affaires familiales, la princesse Sheikha Mozah a supervisé des actions et des projets dans les domaines de l'éducation de base et de l'enseignement supérieur, créant plusieurs écoles privés à but non lucratif et plusieurs instituts d'enseignement, tous de grande qualité, pour les enfants et les jeunes du Qatar.<br /><br />Elle a inaugurée en 2003 la Cité de l’Education, projet le plus ambitieux de la Fondation du Qatar, qui figure au nombre des universités de renom international dispensant des formations de premier ordre en matière d'éducation et de recherche.<br /><br />La conviction de Son Altesse Sheikha Mozah, selon laquelle l’éducation constitue le pilier du développement national, l’a conduite également à assumer les fonctions de vice-présidente du Conseil suprême pour l’éducation.<br /><br />Afin d'encourager l'insertion des jeunes générations du Qatar et du monde arabe sur le marché du travail, elle est à l'origine d'initiatives nommées « Silatech », destinées à faciliter l'accès au travail des jeunes à travers la création d'emplois, la formation professionnelle et les prestations de services pour les jeunes entrepreneurs.<br /><br />Les responsabilités exercées par Son Altesse Sheikha Mozah en tant que présidente de la Fondation arabe pour la démocratie (à Doha) lui permettent de promouvoir le rôle des femmes dans la vie politique et au sein des processus de décision. Elle s’intéresse à la promotion de la famille, de l’éducation, de la santé et du patrimoine.<br /><br />En 2002, elle a été nommée vice-présidente du Conseil suprême de l’Education, une institution gouvernementale dont la fonction est de superviser les idées de réformes qataries dans le système éducatif de son pays.<br /><br />Une année après, elle a été nommée le 13 janvier 2003 Envoyée spéciale de l’Unesco pour l’éducation de base et l’enseignement supérieur, en hommage à son implication à la promotion de l’éducation au Qatar. En cette qualité, elle a déjà apporté une contribution de 20 millions USD à l’Unesco pour l’aider à faire face à un déficit financier.<br /><br />En 2009, elle avait été reçue à l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France, en tant que membre étranger.<br /><br /> « Voilà de quoi faire profiter à la RDC, à la faveur de ce sommet mondial de Doha 2013, le bénéfice de ces innombrables innovations », ont conclu bon nombre de participants à cette rencontre.

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Les apports d’Euronews et de la Fondation Qatar au sommet mondial pour l’innovation dans l’éducation « seront favorables pour la RDC si elle...

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FÊTES WALLONIEBRUXELLES Les artistes sélectionnés aux Jeux de la Francophonie en spectacle.

<br />L’ambiance, c’est ce qui manquait lemoins à la soirée du 27 septembre<img height="202" src="http://img.over-blog.com/455x230/0/52/28/82/02.01.2013/FILM.-KINSHASA-MBOKA-TE-CHEIKFITANEWS.NET.jpg" width="400" /><br /><br />agrémentée par le chanteur Moli, les<br /><br />danseurs d’Artcon, les marionnettistes<br /><br />d’ABC Chocolat show et le jongleur<br /><br />Hussein Dondja dans les jardins de la<br /><br />résidence de la déléguée Kathyrn<br /><br />Brahy. Cette dernière a salué le dynamique<br /><br />partenariat avec la RDC, se réjouissant<br /><br />de l’ouverture, à Lubumbashi,<br /><br />du bureau de représentation de<br /><br />la Région Wallonne et la Fédération<br /><br />Wallonie-Bruxelles. Dans le registre<br /><br />éducation, la déléguée Wallonie-<br /><br />Bruxelles a rappelé avec joie «ces formations<br /><br />à distance des instituteurs<br /><br />dans les espaces numériques de Likasi<br /><br />et de Kolwezi » en remerciant le<br /><br />ministère de l’Enseignement primaire,<br /><br />secondaire et professionnel. L’occasion<br /><br />était également propice pour féliciter<br /><br />le cinéaste Jean-Michel Kibushi<br /><br />et le Dr Denis Mukwege pour le « dynamique<br /><br />centre d’écoute et d’accompagnement<br /><br />psychologique de Bukavu<br /><br />».

Musique FÊTES WALLONIEBRUXELLES Les artistes sélectionnés aux Jeux de la Francophonie en spectacle.

L’ambiance, c’est ce qui manquait lemoins à la soirée du 27 septembre agrémentée par le chanteur Moli, les danseurs d’Artcon, les marionnett...

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CNS :Le problème se pose toujours au niveau de la mise en application de ces résolutions qui seront soumises à Joseph Kabila

<br /><img src="http://www.lavdc.net/portail/wp-content/uploads/2013/08/KabilaKengo.jpg" /><br />Les participants aux concertations nationales ont tenu, hier jeudi 3 octobre au Palais du peuple, une plénière générale pour permettre aux différents groupes thématiques de présenter leurs recommandations qu'il faudra soumettre, par la suite, aux états-généraux, avant de les envoyer à Joseph Kabila.<br /><br />Les rapporteurs des groupes thématiques qui se sont succédés à la tribune ont reproduit exactement les recommandations formulées lors de la Conférence nationale souveraine (CNS), et jamais appliquées jusqu'à ce jour.<br /><br />Pour certains Congolais, qui ont suivi ce direct sur une chaîne de télévision, il n'était finalement pas important de vider les caisses de l'Etat pour organiser ces concertations dont les résolutions sont contenues dans les rapports de la Conférence nationale souveraine.<br /><br />La Commission Gouvernance, par exemple, a évoqué des merveilles telles que la construction de logements sociaux, la modernisation des villes et cités urbaines, l'assainissement de l'environnement judiciaire, policier, militaire… assurer la professionnalisation du sport congolais, libérer les détenus politiques, en citant nommément Kutino, Chalupa, Diomi et autres, organiser les élections à partir des locales plutôt que l'inverse, lutter contre les enrichissements illicites et punir tous ceux qui versent dans cette pratique, lutter contre la criminalité et la spoliation des œuvres de l'esprit, réhabiliter les services postaux de l'Etat, rétablir la SCPT dans la gestion du code 00243, construire des ports…<br /><br />Bref, plus de 500 recommandations rien que pour la commission Gouvernance, " un chapelet de bonnes intentions ", selon un observateur avisé qui, sans pour autant être pessimiste, ne croit pas que ces recommandations seront véritablement appliquées par Joseph Kabila, comme Mobutu a foulé au pied celles de la Conférence nationale souveraine.<br /><br />En plus, s'il faut prendre une moyenne de 500 recommandations, pour les cinq commissions thématiques, il faudra donc 2 500 recommandations à observer scrupuleusement, si l'on veut gagner le pari de ces consultations qui viennent déjà de manquer son objectif principal pour lequel elles ont été convoquées, à savoir la cohésion nationale.<br /><br />Il importe de rappeler que le rapporteur de cette commission est plusieurs fois revenu sur l'aspect " Réforme institutionnelle " pour mettre en œuvre la " politique d'ouverture ".<br /><br />Le souci majeur est donc de mettre en place un gouvernement de " large ouverture " auquel prendra part aussi bien les membres de l'actuelle majorité que ceux de l'opposition, sans oublier la société civile. Est-ce cela la solution pour avoir la cohésion nationale et se mettre ensemble pour en finir définitivement avec la guerre à l'Est ?<br /><br />Il faut savoir que le groupe thématique II n'était pas prêt hier pour présenter ses recommandations. Ce qui n'est pas le cas pour les groupes thématiques III et IV, qui traitent respectivement du Désarmement, démobilisation, réinsertion et/ou rapatriement ; et de la paix et réconciliation nationale que dirige Thomas Luhaka Losendjola, du Mouvement de Libération du Congo (MLC).L'assemblée plénière a pris acte de leurs conclusions.

Politique CNS :Le problème se pose toujours au niveau de la mise en application de ces résolutions qui seront soumises à Joseph Kabila

Les participants aux concertations nationales ont tenu, hier jeudi 3 octobre au Palais du peuple, une plénière générale pour permettre aux ...

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La moralité comme critère de sélection : Choix des parrains dans le mariage

<br /><br />La moralité des parrains a été retenue comme critère principal devant concourir dans le choix des parrains par des couples qui aspirent au mariage.<div> <br /></div> <div> <img height="308" src="http://www.congoplanete.com/pictures/kabila/joseph_kabila_olive_lembe.jpg" width="400" /><br /><br />Outre ce principe, d'autres qualités qui doivent caractériser les parrains ont été citées par Mme Yvette Mwaka lors de la Conférence débat qu'elle a animée le vendredi 27 septembre 2013 à la paroisse Notre Dame de Fatima sous la houlette de l'Eglise catholique.<br /><br />L'oratrice a dépeint le parrain de mariage comme conseiller conjugal. Il est monogame, doté d'une moralité avérée, il traine derrière lui un témoignage.<br /><br />C'est quelqu'un que l'on connait. Un parent qui se porte garant pour un accompagner le jeune couple. A l'inverse, le parrain n'est pas un sponsor pour prendre en charge les jeunes mariés. Il n'est pas versé dans le libertinage ou la licence. Il n'est pas polygame.<br /><br />On peut retenir au passage que l'animatrice du jour est graduée en sociologie. Comme profession, elle est journaliste animatrice à Brtv. C'est donc pour ces double casquette qu'elle a été chargée par la paroisse Notre Dame de Fatima d'aborder ce sujet qui n'est pas de moindre en plus du fait qu'elle est encadreur des jeunes.<br /><br />Pour mieux cerner la question du jour " Comment choisir le parrain de mariage ? " l'oratrice a mis en exergue l'importance et l'obligation de faire un bon choix dans le parrainage. D'autant plus que le parrain et la marraine sont aux yeux des filleuls, des véritables conseillers conjugaux, des encadreurs.<br /><br />Selon l'oratrice du jour, les parrains endogènes (mariés) ou exogènes (non mariés ensemble) doivent jouir d'au moins de dix années d'expérience dans le mariage. Autrement dit-ils ne peuvent être eux-mêmes de nouveaux mariés.<br /><br />Pour leur part, les parents ont l'obligation d'aider leurs enfants à choisir des parrains dignes de ce nom. Car leur vie conjugale devrait en principe être calquée sur le modèle de leurs parrains considérés comme modèles.<br /><br />L'Eglise joue aussi un rôle dans le choix des parrains. Ce rôle consiste à sensibiliser les futurs mariés à travers des enseignements tirés de la parole de Dieu.<br /><br />Yvette Mwaka a conclu son exposé en soulignant le rôle prépondérant de la femme dans le choix des parrains. C'est à elle qu'incombe l'éducation des enfants ainsi que l'équilibre du foyer.</div>

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La moralité des parrains a été retenue comme critère principal devant concourir dans le choix des parrains par des couples qui aspirent au m...

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Réforme de la police nationale congolaise : les innovations du décret de création de la direction générale des écoles

<br /><br /><span style="color: lime;">Dans le but de faire de la Police nationale congolaise, un nouveau corps d’élite digne de ce nom, constitué par des éléments à la bonne moralité, tous bien formés, devant assurer la protection de la population et de ses biens, selon les règles de l’art et conformément aux standards internationaux, comme le font toutes les polices modernes du monde, le gouvernement a décidé de doter le Commissariat général de la PNC, d’un outil important, la Direction générale des écoles et formations (DGEF).</span><div> <img src="http://ds2.ds.static.rtbf.be/article/big_info/4/5/1/624_341_70ea546cacab582efc30d624d8ac6f86-1323616490.jpg" /><span style="color: lime;"><br /></span><br /><span style="color: #e06666;">Le décret du Premier ministre Augustin Matata n° 13/037 signé le 16 septembre 2013, portant organisation et fonctionnement de cette structure, vient en effet, de matérialiser cette volonté, maintes fois exprimée par le président de la république et qui répond à l’un des besoins formulés par la population dans le domaine de la sécurité, à savoir un nouveau type de policier. Il tombe à point nommé quand on sait que la Direction générale des écoles et formations ( DGEF) est chargée d’assurer la mise en œuvre de la politique de la formation au sein de la Police nationale congolaise. Cette formation, comme il faudrait l’expliquer, part des centres d’instruction, en passant par des écoles de spécialisation, pour aboutir aux études supérieures de la police. Ce sera la plus grande pépinière par laquelle passeront toutes les unités de la police, de manière à avoir un corps homogène composé des fonctionnaires de la police et des techniciens formés. Avec son implantation et son fonctionnement harmonieux, on peut être sûr que dans les années à venir, en RDC, ne peut s’improviser policier qui le veut.</span><br /><br /><span style="color: #e06666;">Il faut souligner ici le fait que ce projet conçu par une équipe mixte d’experts nationaux et internationaux, sous la coordination du secrétaire exécutif du Comité de suivi de la réforme de la police, le général Michel Elesse Yombentole, entend opérer un changement majeur au sein de la Police nationale congolaise.</span><br /><br /><span style="color: #e06666;">Ce changement va certainement insuffler, un nouvel état d’esprit et dicter un nouveau comportement du policier. Ce qui tranchera avec un certain passé révolu où la non prise en compte du critère de formation de base, a favorisé le recrutement massif au sein de la police, des personnes éprouvant mille et une difficultés pour lire un document, rédiger un rapport et présenter une situation sécuritaire. C’est au cours de cette même époque que les effectifs de la police se sont accrus avec l’incorporation des membres des unités combattantes, des membres des groupes armés et autres qui ne passeront par aucun cursus de formation, avant d’exercer le métier exigeant de policier, mais qui seront déployés sur le terrain, pour rétablir « à leur manière », l’ordre public perturbé, disperser les manifestants, et interpeller les meneurs de troubles dans les universités et instituts supérieurs. On connaît l’étendue des préjudices causés par les abus et autres dérapages commis.</span><br /><br /><span style="color: #e06666;"> Pour le Réseau de la société civile pour la réforme du secteur de sécurité et justice, ce décret vient de combler un vide important dans le processus de réforme de la police, dans son volet formation. Certes, la Direction générale des écoles et formations (DGEF) va récupérer les anciens centres d’instruction de la police, de l’ex-gendarmerie nationale, de l’ex-Garde civile, les écoles d’application de la police, et construire l’Académie de la police. Il faudrait alors que toutes les batteries soient mises en place pour que « le nouveau policier du peuple » soit un fonctionnaire de la police formé et très outillé pour la sécurisation de la population. Le Comité de suivi de la réforme de la police qui est l’un des architectes de la Direction générale des écoles et des formations, veillera certainement à l’aboutissement heureux de ce projet important.</span><div align="right" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">                                                                                                             <b>J.R.T.  </b></div> </div>

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Dans le but de faire de la Police nationale congolaise, un nouveau corps d’élite digne de ce nom, constitué par des éléments à la bonne mora...

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Une dame accusée d’enlèvement de ses petites-filles

<br /><br />Maman Thérèse Ngoya Mukadi a été mise aux arrêts le mercredi 02 octobre 2013 et placée au cachot du Sous-Commissariat du quartier Herrady, dans la commune de Selembao, à la suite d’une plainte déposée à sa charge par sa belle-fille, la nommée Anto, qui l’accuse d’avoir enlevé ses deux fillettes. <div> <img src="http://www.cnidh.bi/sites/default/files/styles/gallery_original/public/gallery/DSC00651.JPG" /><br /><div> <br /></div> <div> <br /></div> <div> Selon l’acte d’accusation, Anto avait décidé, voici plusieurs semaines, de quitter sa belle-famille, qui réside sur l’avenue Mukwala, dans la commune de Mont-Ngafula, pour aller habiter, dans la même municipalité. Mais, elle avait pris soin d’emporter, dans ses bagages, ses deux fillettes. Elle avait invoqué comme motif les mauvais traitements qu’elle subissait non seulement de la part de sa belle-mère, Thérèse Ngoya, mais aussi de ses belles-sœurs, depuis le départ de son mari, fils de la précitée, au Maroc.<br /><br />Au cours de son audition par l’OPJ verbalisant, la vieille dame (65 ans) a soutenu qu’Anto avait déserté le toit conjugal, sans raison plausible et sans avoir laissé l’adresse de son nouveau lieu d’habitation. C’est après plusieurs semaines de recherche, a-t-elle indiqué, qu’elle a finalement résolu d’aller récupérer ses « koko » (petites-filles), à la sortie de leur école. A son avis, la garde de ces dernières lui revenait car Anto est encore régulièrement marié à son fils, bien que ce dernier vive à l’étranger.<br /><br />Elle a renchéri qu’Anto est devenue sans domicile fixe et n’a pas les moyens d’élever les deux enfants. Aussi, pour les mettre à l’abri, a-t-elle préféré les envoyer loin de Kinshasa, plus précisément à Boma.<br /><br />Au niveau de la police, Maman Ngoya a été sommée de ramener ses deux petites-filles à Kinshasa, au risque de se voir déférée au parquet pour kidnapping d’enfants, une menace qu’elle n’accepte pas car estimant être en droit d’assurer la garde des enfants de son fils.<br /><br /> Annette Kapinga</div> </div>

Au tour de Kinshasa Justice Une dame accusée d’enlèvement de ses petites-filles

Maman Thérèse Ngoya Mukadi a été mise aux arrêts le mercredi 02 octobre 2013 et placée au cachot du Sous-Commissariat du quartier Herrady, d...

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Insécurité à Kingasani/Pascal : La famille Wangana pillée par des inciviques armés

<br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="http://www.cooperation.net/groupetaccems/quid-de-lemancipation-de-la-femme-a-kisangani/image" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="http://www.cooperation.net/groupetaccems/quid-de-lemancipation-de-la-femme-a-kisangani/image" width="400" /></a></div> Dans la nuit de mercredi 02 octobre 2013, dans la commune de Kimbanseke, quartier Kakudji, à Kingasani/Pascal, la famille Wangana, domiciliée sur rue Lukubama n°52, a été l’objet d’une attaque à main armée. Celle-ci, intervenue vers 22 heures 30, avait pour auteurs trois inciviques, dont deux en tenues militaires et un autre en civil.<br /> <br /> Selon la version livrée au journal Phare par un des membres de la famille, le nommé Wangana Demalo, les assaillants avaient mis à profit l’obscurité provoquée par la défectuosité du câble « Moyenne Tension » qui alimente le quartier, pour tracasser et détrousser de paisibles citoyens le long de la route Mokali. Une fois au croisement de cette route avec l’avenue Lukubama, en face de la chambre froide « Dokolo », ils ont vu détaler devant eux une maman et ses enfants, qui avaient compris leur manège. Pour échapper au rançonnement, ils ont cru bon d’aller se réfugier à la terrasse « La Grâce » qu’exploite Elysée Wangana, la nièce de Wangana Demalo.<br /> <br /> En dépit de cela, les bandits les ont pourchassé jusqu’au débit de boisson précité, que sa propriétaire s’apprêtait à fermer. Ayant repéré cette dernière, ils ont laissé tomber leurs premières cibles pour exiger de l’argent Elysée Wangana. Sous la menace des armes, elle s’est fait arracher la somme de 150 dollars Usd ainsi que ses bijoux. Non content du butin, les trois éléments armés ont exigé le contenu de la caisse de la terrasse.<br /> <br /> Comme celle-ci était vide, leur victime leur a proposé d’aller chercher quelque chose dans la maison familiale. Mais, au lieu d’attendre dehors, ils l’ont poursuivis jusque dans sa chambre à coucher, où ils se sont saisis de son sac à main qui contenait toute la recette de la journée, qu’elle n’avait pas encore comptée. En plus, ils ont vidé sa garde-robe de toutes les belles vestes qui s’y trouvaient.<br /> <br /> Satisfaits de leur coup, ils ont disparu dans la nuit noire. Toute la famille Wangana, qui était encore éveillée, a assisté au pillage d’Elysée. Personne n’a pu ni intervenir, ni donner l’alerte, compte tenu de la menace que représentaient les armes des assaillants.<br /> <div align="right" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;"> <b>Annette Kapinga (stagiaire UPN)</b></div>

la Nation Insécurité à Kingasani/Pascal : La famille Wangana pillée par des inciviques armés

Dans la nuit de mercredi 02 octobre 2013, dans la commune de Kimbanseke, quartier Kakudji, à Kingasani/Pascal, la famille Wangana, domic...

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L’Agence Française de Développement convole en noces avec l’INPP

<br /><br />L’Agence Française de Développement (AFD) et l’Institut national de préparation professionnelle (INPP) viennent de convoler en noces. Ce partenariat d’une durée de trois ans a été conclu le mercredi 02 octobre 2013, en marge d’une visite guidée des filières et de la salle de formation de l’INPP par une délégation de l’Agence Française de Développement conduite par son nouveau directeur en République démocratique du Congo, Jean-Christophe Maurin.<div> <img src="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/afd.gif" /><br /><br /> Ce partenariat porte essentiellement sur la construction des infrastructures immobilières des directions provinciales de cet établissement public, notamment : l’INPP-Bukavu dans la province du Sud-Kivu et Matadi dans le Bas-Congo. Outre ces infrastructures d’accueil, le nouveau partenariat porte également sur l’apport de l’expertise française en ingénierie pédagogique, l’assistance technique en matériels et équipements, ainsi que l’amélioration de la qualité de la formation par la qualité des formateurs. Un expert de l’AFD et spécialiste de la formation professionnelle du nom de Pierre Descombes est, à cet effet, affecté à l’INPP pendant toute la durée du projet. Il a été installé le même jour à son bureau à la Direction générale de cet établissement public sise sur la 6ème rue, quartier Industriel, dans la commune de Limete. Il sera secondé par deux collaborateurs de l’institution congolaise.<br /><br />Dans son adresse de circonstance, le nouveau directeur de l’AFD en RDC, Jean-Christophe Maurin, s’est dit très impressionné par le nombre des stagiaires. Signe ou lampe témoin de la forte demande. Comme quoi, le besoin est énorme.<br /><br />Il a exprimé sa grande satisfaction et surtout sa détermination d’être aux côtés de l’INPP pour accompagner le pays à développer le capital humain. « L’AFD, a-t-il martelé, va contribuer à la modernisation des infrastructures immobilières de l’INPP et de ses outils de travail, à l’amélioration de la qualité de la formation et à l’ingénierie pédagogique.<br /><br />De son côté, Pierre Descombes a pris l’engagement solennel de s’atteler à améliorer la qualité de la formation par la qualité des formateurs qui ont un réel besoin de matériels et équipements ad hoc.<br /><br />Pour sa part, l’Administrateur directeur général de l’INPP, Maurice Tshikuya Kayembe, a assuré son nouveau partenaire de la grande disponibilité de son institution à lui apporter sa franche collaboration dans tout ce qu’il entreprendra pour la réussite du projet. « Notre souci, a-t-il souligné, est que le projet puisse aboutir ».<br /><br /><br /><br />Fruit de la bonne gouvernance<br /><br /><br /><br /> Pour rappel, le présent partenariat est, sans conteste, le fruit de la bonne gouvernance de l’INPP. Tenez : en février 2011, les experts des partenaires avaient décidé de passer au peigne fin la gestion des fonds et des équipements mis à la disposition de cet établissement public. Et c’est l’Agence Française de Développement (AFD), via la SOFRECO, une structure française très outillée et très réputée en la matière, qui avait été chargée de cette mission. Dans son rapport (d’audit) de plusieurs centaines de pages transmis aux plus hautes autorités de l’Etat, l’AFD a relevé, sans complaisance, les forces et les faiblesses de l’INPP, mais aussi ses opportunités et ses menaces.<br /><br /> Une des conséquences positives de cet audit, c’est l’arrivée à Kinshasa d’une délégation du ministère français des Affaires étrangères et de l’AFD, en vue de négocier un accord de désendettement pour le développement, sur demande du gouvernement congolais.<br /><br /> Mardi 22 janvier 2013, cette délégation française, conduite par Marc Trouyet, chef de la mission de la Gouvernance démocratique à la direction de l’Economie globale et des Stratégies du développement au ministère français des Affaires Etrangères, est descendu à l’INPP. Objectif : palper du doigt les réalités de cet établissement public pour une appréciation beaucoup plus objective et pragmatique lors des négociations avec leurs partenaires congolais. Surtout que le volet formation professionnelle figurait au menu des négociations entre les deux parties. Car, l’AFD tenait à construire des centres de formation modernes à Matadi, dans la province du Bas-Congo et à Bukavu, dans la province du Sud-Kivu.<br /><br /> Au terme de la visite guidée de toutes les filières et salles de formation, Marc Trouyet, fidèle à la tradition de son pays, ne s’était pas empêché d’apprécier à sa juste valeur le travail du Comité de gestion de cette institution publique. Il avait déclaré être très impressionné par les diverses filières organisées et les actions menées en faveur de la jeunesse congolaise.<br /><br /> Marc Trouyet s’était dit également marqué par l’extension de l’INPP dans toutes les provinces de la RDC.<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;"> <b>Michel Luka</b></div> </div>

Au tour de Kinshasa L’Agence Française de Développement convole en noces avec l’INPP

L’Agence Française de Développement (AFD) et l’Institut national de préparation professionnelle (INPP) viennent de convoler en noces. Ce par...

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Garantir l’accès à l’information pour promouvoir la cohésion nationale, la paix et la bonne RD Congo

<h1 class="entry-title" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Georgia, serif; font-size: 22px; line-height: 1.25; margin: 0px 0px 10px; padding: 0px;"> <span style="background-color: transparent;">Le samedi 28 septembre 2013, l’humanité toute l’humanité entière a célebré la journée internationale dédiée à l’accès à l’information et au droit du savoir pour la onzième fois.</span></h1> <div> <img height="293" src="http://www.celtnet.org.uk/images/DR-congo-info.gif" width="400" /></div> L’accès à l’information est un des droits fondamentaux de l’homme consacrés et reconnus par les principaux instruments juridiques internationaux et régionaux ratifiés par la République Démocratique du Congo.<br /><br />Ce droit a une importance capitale dans tous les secteurs de la vie. Il est souvent ignoré et/ou parfois confondu avec la liberté de la presse par plusieurs personnes qui le limitent au seul travail du journaliste. Pour sa promotion, les Nations Unies furent amenées à lui consacrer toute une journée.<br /><br />Cette attention particulière des N.U. a contribué à la promotion de ce droit à travers le monde. Plusieurs Etats, dont certains Etats africains, se sont dotés d’une loi d’accès à l’information. L’Union Africaine a mis à la disposition des Etats africains, un modèle d’une loi d’accès à l’information. Certains Congolais ont pris conscience de l’importance de cette loi et sont en train de travailler pour aider la RDC à en avoir.<br /><br />Il est reconnu comme étant un droit transversal et, nécessaire pour la promotion et la jouissance des autres droits humains.<br /><br />Cette célébration est une opportunité pour les acteurs congolais engagés dans la promotion du droit d’accès à l’information, de réfléchir sur ce droit dans le contexte de la République Démocratique du Congo, de sensibiliser le public sur son droit d’accès à l’information détenue par les institutions publiques et, interpeller les gouvernants sur les avantages à tirer d’un Gouvernement transparent et accessible. Nous aborderons le thème qui est le notre en trois points.<br /><br />1. L’ACCES A L’INFORMATION EST UN FACTEUR DE LA COHESION NATIONALE<br /><br />Cette communication est faite au moment où l’actualité nationale de la RDC est dominée par les travaux du forum dénommé Concertations Nationales qui a pour finalité de renforcer la cohésion nationale.<br /><br />Le droit d’accès à l’information peut-il avoir d’incidence sur la cohésion nationale ? Peut-il contribuer au maintien ou au renforcement de la cohésion ? Si oui de quelle manière ?<br /><br />Avant toute autre considération, il nous revient de relever que la cohésion nationale a ses exigences parmi lesquelles nous pouvons citer :<br /><br />- L’identité commune ;<br /><br />- Le regard dans la même direction ;<br /><br />- Le partage des mêmes valeurs essentielles ;<br /><br />- Le même niveau de compréhension ;<br /><br />- L’ouverture aux autres ;<br /><br />- La confiance mutuelle…<br /><br />Toutes ces exigences ne peuvent être réalisées sans l’accès à l’information pour tous les membres de la communauté. La discrimination dans l’accès à l’information crée la dissension entre les membres de la communauté. Ceux qui détiennent l’information possèdent la connaissance et ont la supériorité sur ceux qui en sont dépourvus. Bien qu’étant membres d’une même société, ils ne peuvent pas regarder dans la même direction et, partager la même compréhension.<br /><br /> Les travaux des Concertations Nationales dans cette ville est une illustration de ce qui vient d’être affirmé. Ces travaux, au lieu d’être une opportunité pour cimenter la cohésion nationale tant recherchée, ils renforcent paradoxalement le manque de la cohésion nationale à cause de l’absence de l’accès à l’information.<br /><br />Le fait que le public n’ait pas accès aux informations sur les travaux et les débats crée de plus en plus des dissensions entre les participants et les congolais qui sont en dehors de ce forum. Ce qui fait qu’au lieu de recréer la cohésion tant recherchée, nous assistons à la division entre la classe politique d’une part et, entre la classe politique et la population d’autre part.<br /><br /> L’adoption de la loi d’accès à l’information contribuera pour beaucoup à la restauration de la cohésion nationale.<br /><br /><br /><br />2. L’ACCES A L’INFORMATION CONCOURT<br /><br />A LA SAUVEGARDE DE LA PAIX<br /><br />La plupart des guerres que connait la République Démocratique sont liées au conflit d’intérêts entre les prétendants au pouvoir.<br /><br />Tous ceux qui ont pris les armes justifient leur rébellion contre le pouvoir par plusieurs reproches adressés aux dirigeants.<br /><br /> Lorsque nous regardons de près les motivations avancées, toutes ne sont pas forcement fondées. A la base, il se pose le problème d’accès à l’information publique confisquée par les dirigeants au pouvoir.<br /><br /> Ceci renforce la méfiance entre les acteurs politiques et pousse certains à prendre les armes pour rompre avec la paix.<br /><br />Le partage de l’information publique par l’exercice du droit d’accès à l’information calme les tensions, renforce la participation citoyenne à la gestion des affaires publiques et, favorise le climat de paix. Ce qui éloigne le risque des guerres interminables, faute des prétextes.<br /><br /> En considérant les demandes d’informations relatives à l’accès au fichier électoral et aux données du serveur de la commission électorale nationale indépendante, formulées par les partis politiques de l’opposition et les ong de la société civile avant les élections de novembre 2011, nous pouvons nous rendre compte de l’incidence de l’accès à l’information sur la paix.<br /><br />En effet, le refus d’accéder aux demandes formulées avait entraîné la crise de confiance du public vis-à-vis de la CENI, la contestation de résultats, la crise de légitimité et les affrontements armés.<br /><br /><br /><br />3. PAS DE BONNE GOUVERNANCE SANS LA GARANTIE DE L’ACCES A L’INFORMATION<br /><br /> Le droit d’accès à l’information est une condition indispensable pour la promotion de la culture de la transparence et de la responsabilisation des gouvernants dans la gestion de la chose publique.<br /><br /> Le droit d’accès à l’information est un moyen incontournable pour la lutte efficace contre la corruption, sans laquelle la bonne gouvernance reste une utopie. Et les acteurs de la lutte contre la corruption sont désarmés en l’absence des garanties d’accès à l’information.<br /><br />Il suffit pour s’en rendre compte de considérer l’apport de l’initiative ITIE dans la promotion de la transparence, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption. Tout ce processus est basé et tourne autour de l’accès à l’information par le public.<br /><br /> Les entreprises extractives livrent au public l’information sur les paiements qu’ils ont effectués au profit de l’Etat et, les régies financières qui perçoivent ces paiements pour le compte du trésor public, livrent au même public l’information sur tous les paiements reçus des entreprises extractives. Sans ces informations, l’initiative ITIE devra s’arrêter.<br /><br /> Dans le cadre de la redevabilité, le public sur base de ces informations reçues, peut demander des comptes aux autorités gestionnaires des paiements déclarés. Ce qui ne peut être possible que par l’exercice du droit d’accès à l’information.<br /><br />La campagne Publiez ce Que vous payez est également, à l’instar de l’initiative ITIE, fondée sur l’accès à l’information par le public. Les deux sont de mécanismes qui concourent à la bonne gouvernance et à la transparence.<br /><br />La participation citoyenne qui est aussi un facteur important de la bonne gouvernance, n’est possible qu’avec la garantie de l’accès à l’information publique par les citoyens.<br /><br />En conclusion, pour retrouver la cohésion nationale, la paix durable et promouvoir la bonne gouvernance, la République Démocratique du Congo a besoin de la loi d’accès à l’information.<br /><br />Jean Keba Kangodie<br /><br />Directeur chargé<br /><br />de la protection<br /><br />des victimes<br /><br />Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme.

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Le samedi 28 septembre 2013, l’humanité toute l’humanité entière a célebré la journée internationale dédiée à l’accès à l’information et au...

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Les femmes orientées vers l’hôpital Biamba Marie Mutombo

<b>Le Fonds de Nations Unies pour la Population (UNFPA), en collaboration avec l’hôpital Biamba Marie Mutombo (HBMM)et l’ONG ACDFE (Association chrétienne pour le développement de la femme et de l’enfant) ont lancé le mercredi 2013 la campagne d’élimination de la fistuleobstétricale à Kinshasa pour sa seconde phase.</b><img alt="hbmm_0" height="276" src="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/hbmm_01-300x207.jpg" width="400" /><div> <b>                                              </b><br />Cette campagne est organisée dans le but de venir en aide aux femmes pauvres avec la gratuité des soins médicaux de qualité au niveau de l’hopital Biamba Marie Mutombo.<br /><br /> En effet, cette seconde phase qui a eu l’eglise Goshen pour cadre concerne les cinq sites ci-après : Maluku, Kinkole, Kimbanseke cimétiere, Kikimi et Bikuku.<br /><br />Elle est organisée dans l’objectif de sensibilisé, répertorié et orienter les femmes souffrant de cette maladie.<br /><br />Dans son exposé, la présidente des mamans de l’église Goshen a défini la fistule obstétricale comme étant une ouverture anormale au niveau des voies génitales de la femme qui fait couler les urines de façon non voulue.<br /><br />Selon elle, la fistule peut avoir plusieurs causes, telles que le traumatisme d’un viol, l’accouchement à domicile, le mariage précoce, le manque d’instruction, un accouchement difficile en dehors de services sanitaires entrainant des écoulements continus involontaires des urines, dégagement de mauvaises odeurs, infections et plaies, etc.<br /><br />Bref, elle a demandé aux mamans de demeurer garante de leur vie mais aussi d’éviter le rejet et la stigmatisation des femmes atteintes par la maladie.<br /><br />L’occasion faisant le larron, Julien Tshibuabua, directeur de l’ONG ACDFE, a indiqué que huit cas ont déjà été enregistrés bien que la campagne sont encore à sa première semaine<br /><br />Cinq ont été référés à l’hôpital Biamba Marie Mutombo.<br /><br />Et pour la plupart des cas répertorié, les femmes deviennent renfermées, moins ouvertes au premier contact.<br /><br /> D’où, a-t-il soutenu, il faudrait lutter contre les mauvaises pratiques et mentalités qui peuvent freiner le développement de femmes.<br /><br />Dernière à intervenir, docteur Irène a martelé que l’objectif de cette descente était d’informer la communauté sur la problématique de la fistule obstétricale car selon le constat qui a été fait, la majorité de gens ne connaissent pas du tout la fistule.<br /><br /> A en croire docteur Irène, la fistule est une maladie qui est causée par une mauvaise prise en charge<br /><br />Et d’ajouter que l’UNFPA aide le gouvernement à travers des partenariats avec différentes ong pour sensibiliser un plus grand nombre de personnes et prévenir ce problème.<br /><br /> Toutefois, docteur Irène Katoba, chargée de programme de la santé de la reproduction à l’UNFPA, a soutenu que selon une enquête, plus de 40 000 femmes en RD Congo souffrent de cette maladie. Une intervention chirurgicale coûte au moins 500dollars à l’intérieur du pays et 2500 dollars dans la capitale.<br /><br /> Elle a confirmé qu’au-delà de la sensibilisation, il y a une prise en charge gratuite.<br /><br />Mais pour mieux faire les choses, l’UNFPA a également pensé à accompagner ces femmes pour leur réinsertion sociale au sein des communautés locales.</div>

Au tour de Kinshasa Les femmes orientées vers l’hôpital Biamba Marie Mutombo

Le Fonds de Nations Unies pour la Population (UNFPA), en collaboration avec l’hôpital Biamba Marie Mutombo (HBMM)et l’ONG ACDFE (Associatio...

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Goma : psychose d’une nouvelle guerre

<br /><br />C’est juste au moment où les négociations de Kampala s’enlisent et qu’à Kinshasa, les concertations nationales touchent à leur fin que Kigali abat l’une de ses cartes stratégiques : l’envoi de nouveaux renforts en préparation de nouvelles offensives militaires contre les FARDC et la Brigade Internationale Neutre. Cela, sous couvert des familles des faux réfugiés tutsi congolais fatigués et revenus de leur propre gré dans « leur pays ».<br /><img alt="rebels-goma" height="266" src="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/rebels-goma-300x200.jpg" width="400" /><br />D’une pierre, les stratèges de Kigali espèrent avoir frapper deux coups. D’une part, cette sortie permet au régime du FPR de toucher la corde sensible de la communauté internationale par le retour volontaire des réfugiés tutsi congolais vers leur pays car fatigués d’attendre l’issue des négociations politiques qui s’enlisent à Kampala. D’autre part, introduire subtilement des sujets rwandais sur le territoire congolais pour piéger Kinshasa et le monde. Car, si Kinshasa chasse ses 200 familles, Kigali aura là un prétexte pour créer une autre rébellion animée par des gens s’estimant chassés de leur pays d’origine. C’est l’un des points essentiels du cahier des charges du M23 et de toutes les rébellions délibérément créés et appuyées militairement par le régime de Kigali depuis l’AFDL, le RCD, le CNDP et aujourd’hui le M23.<br /><br />Mais seulement voilà : Kigali fait semblant d’ignorer les principes élémentaires du Droit International Humanitaire, qui concernent le rapatriement des réfugiés. Logiquement, les opérations de rapatriement doivent s’effectuer en plusieurs phases. Tout d’abord, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Réfugiés doit au préalable s’atteler à l’identification des candiats au retour au niveau des différents sites d’hébergement dans le pays hôte, notamment leur nombre exact, leurs villages respectifs dans leurs pays d’origine, les compositions familiales, etc. Ensuite, le HCR devra tenir informé le pays d’accueil au sujet de toutes ces démarches en vue de fixer les dates, les itinéraires et les moyens de transport pour les opérations du rapatriement. Enfin, ce sera le tour des séances techniques tripartites réunissant le pays d’accueil, le pays d’origine et le HCR qui peut bénéficier de l’assistance des ONG de défense des droits de l’homme et d’appui aux opérations de rapatriement. Autrement dit, ces opérations demandent un temps assez long et minutieux pour éviter des incidents malheureux ou autres blocages, soit au niveau de la frontière entre le pays d’accueil et le pays d’origine, soit lors du départ.<br /><br />On rappelle à ce sujet le massacre en août 2005 des 160 réfugiés Tutsi dits Banyamulenge dans la localité burundaise de Gatumba. Suite à la précipitation et au fait que ni les autorités de la RDC ni le HCR n’avaient pas été préalablement tenus informés et encore moins associés à ces opérations. Lesquelles s’étaient déroulées juste au lendemain des évènements sanglants perpétrés à Bukavu au mois d’avril de la même année par les éléments rebelles du duo NKUNDA-MUTEBUTSI. Gatumba est une localité burundaise située juste à la frontière avec la RDC et selon les prescrits de la Convention de Genève, les réfugiés ne doivent pas être placés sur des sites situés à moins de 150 Kilomètres de la frontière entre le pays d’accueil et leur patrie d’origine. On ne comprend pas pourquoi Paul KAGAME se précipite à renvoyer des populations civiles non armées présumées en situation des réfugiés dans une zone des combats entre l’armée régulière de leur pays d’origine et des éléments de la force négative du M23.<br /><br /><br /><br />A malin, malin et demi <br /><br /> <br /><br /> Ainsi donc, si Kigali tenait à rapatrier les soit disant réfugiés tutsi congolais, il aurait préalablement associé le HCR et le gouvernement congolais pour préparer le terrain et les esprits au niveau des villages d’où prétendent provenir ces 200 familles-là rwandophones. Selon Julien PALUKU, gouverneur du Nord-Kivu, il est impensable qu’un père de famille se permette de ramener sa femme et ses enfants dans une zone des opérations militaires, particulièrement dans la partie occupée par l’un des belligérants, en l’occurrence ceux du M23. Non seulement, la Convention de Genève interdit de placer les réfugiés à moins de 150 kilomètres de la frontière avec leur pays d’origine, mais surtout, nulle part au monde, l’on a osé placer des populations civiles et non armées dans les zones des opérations militaires. Preuve s’il en faut une que le régime du FPR se moque des instruments juridiques du Droit Humanitaire International et des principes de bon voisinage. Bref, Paul KAGAME se moque délibérément des principes élémentaires des droits humains en poussant le cynisme méprisant sur la vie des populations civiles innocentes.<br /><br /><br /><br />Chantage de P.KAGAME sur la communauté<br /><br />internationale<br /><br /> Ce tableau annonce clairement les véritables visées expansionnistes du Rwanda, notamment la perpétuation des conflits sanglants dans le Nord Kivu en vue de continuer à exploiter les ressources naturelles et installer des populations rwandaises dans cette partie du territoire national. Raison pour laquelle Julien PALUKU a dénoncé que ces soit disant 200 familles rwandophones ne sont que des éléments de l’armée régulière venus en renfort au M23 en prévision d’une nouvelle guerre. Mais au regard des nouveaux rapports de force sur le terrain, il s’agit là tout simplement d’un chantage sur la communauté internationale pour qu’elle fasse pression sur Kinshasa et le M23 pour reprendre le chemin de Kampala.<br /><br /> Comme il est établi que, fortement affaibli sur le plan diplomatique et militaire sans compter ses déboires avec tous les Etats de l’Afrique Australe, dont particulièrement la Tanzanie, l’Afrique du Sud, le Malawi, le Mozambique, le Botswana, La Namibie, surtout la majorité des Etats membres de la CIRGL sans oublier les puissances occidentales, Kigali ne dispose plus des moyens logistiques et militaires pour déclencher de nouvelles hostilités contre les FARDC et la Brigade Internationale d’Intervention. Coincé, humilié, car à court d’arguments et devenu infréquentable, le régime du FPR ne décolère pas pour autant. Il fonde tous ses espoirs aujourd’hui plus qu’hier sur ces négociations pour sauver la face en espérant obtenir pour ses poulains du M23 une voie de sortie honorable.<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">                                     <b>F.M. </b></div>

la Nation Goma : psychose d’une nouvelle guerre

C’est juste au moment où les négociations de Kampala s’enlisent et qu’à Kinshasa, les concertations nationales touchent à leur fin que Kigal...

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A PARIS, LE 1ER SALON DU LIVRE ET DE LA CULTURE KIMBANGUISTES PRODUIT UNE ESQUISSE DE CLASSIFICATION ÉPISTÉMOLOGIQUE

<div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <strong><em>                                                                  </em></strong></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <strong><em>La première édition du Salon du livre et de la culture kimbanguistes, organisée en région parisienne du 20 au 21 septembre 2013 au 7 avenue Albert Einstein 93000 Blanc Mesnil sur « la littérature kimbanguiste de 1921 à nos jours », a produit une esquisse de classification épistémologique.</em></strong></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="http://lepotentielonline.com/site2/images/Einstein%2001.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://lepotentielonline.com/site2/images/Einstein%2001.png" style="background-color: transparent;" /></a></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <br />Les essais de bibliographie, qui renseignent sur les écrits littéraires consacré au prophète Simon Kimbangu et au Kimbanguisme (Paul Eric Chassard 1971, archives de  CDAF 1973 et de la bibliothèque de la faculté kimbanguiste de théologie de Lutendele), constituent environ 700 à 800 ouvrages. Et ce, tous domaines littéraires confondus (droit, théologie, histoire, sociologie).</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <strong>Esquisse de classification épistémologique</strong></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Le thème du 1er Salon du livre de la culture kimbanguiste a été scindé en trois sous-thèmes préfigurant une esquisse de classification épistémologique de la littérature kimbanguiste.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <strong>I - Les premiers écrits kimbanguistes</strong></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Les premiers écrits kimbanguistes sont essentiellement les rapports quotidiens des collaborateurs sacerdotaux du prophète Simon Kimbangu (Pierre Nzungu et Gabriel Mfinangani 1921), les lettres et correspondances des relégués, les rapports d’enquêtes (Léon Morel et Snoek 1921), les récits des témoins oculaires, les articles de presse des autochtones dans « Les actualités africaines – La Chronique de la saga judiciaire en répression contre Simon Kimbangu et ses adeptes, réquisitoires, Mandats judiciaires, procès verbal du jugement de Simon Kimbangu (Rossi et al 1921) », et les écrits et déclarations des églises missionnaires (Van Wing et al 1960).</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> De toutes ces sources formelles, il a été noté une mention spécifique. Il s’agit des rapports quotidiens, dans les quels sont relatés, jour après jour, les activités, les prédications, les prophéties, les prières, les actes de grande portée spirituelle  posés par Simon Kimbangu.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Ces rapports ont été considérés comme étant de véritables monographies, c'est-à-dire la transcription brute, la reproduction de la pensée du Maître, sans aucune interprétation. Tous ces documents historiques constituent un « matériau théologique » de grande importance qui restera, pour l’éternité, la source et le précurseur de la littérature kimbanguiste moderne.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <strong>II – La Période de la constitution doctrinale</strong></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> C’est la période d’élaboration des bases administrative, juridique et baptismale,  prélude à la reconnaissance officielle de l’Eglise kimbanguiste en tant qu’institution.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Elle marque aussi sa reconnaissance par l’administration coloniale belge et au Conseil œcuménique des églises chrétiennes (COE) et au Conseil des églises d’Afrique (CETA).</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Les exposés faits sur cette période ont été axés sur « La passion de Simon  Kimbangu » (Jules Chome 1960), « La littérature doctrinale, sacramentologie et ritologie » (Salomon Dialungana 1959, 1960, 1961, 1962) et sur « Essence de la théologie kimbanguiste » (Joseph Diangienda 1977).</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <strong>III – Essais théologique et littérature contemporaine</strong></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Les pièces constitutives de l’exposé sont respectivement : Histoire du kimbanguisme (Joseph Diangienda 1984) ; Condensé doctrinal (Salomon Dialungana 1964, 1970) ; Kimbanguisme et Identité noire (Aurélien Mokoko 2004), Recueil des cantiques kimbanguistes (éditions EKI 2008) : L’Eglise du prophète Simon Kimbangu (Susan Asch 1983) ; Le kimbanguisme (Alphonse Banzouzi 2002) ; Précis géographique : Kamba, ville sainte des kimbanguistes (Kina Kutala P. 2009) ; Les Actes de la Conférence internationale sur Simon Kimbangu 2006).</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <strong>Tentative de définir la théologie kimbanguiste</strong></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> <br /></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px;"> <strong><img alt="" border="0" height="225" src="http://lepotentielonline.com/site2/images/Thologie%20kimbanguiste.png" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto; max-width: 100%;" width="301" /></strong></div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Les participants au 1er Salon livre et de la culture kimbanguiste ont observé que, dans tous les ouvrages, les différents auteurs tentent de définir la théologie kimbanguiste comme une science à part entière que certains n’hésitent pas à dénommer « Kimbangologie » (Bios Bazizidi 2013).</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Leur constat unanime est le suivant : « la culture kimbanguiste est une réalité quotidienne vécue et qui, en plus du christianisme, se définit comme une nouvelle ère, celle d’une reconquête identitaire méconnue, une renaissance qui prend acte a travers le ministère de Simon Kimbangu ».</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Ils ont aussi noté que les recueils des cantiques kimbanguistes sont une anthologie d’une valeur inestimable, à tel point que la délégation du Conseil œcuménique des églises chrétiennes, conduite par Marie Louise Martin et Willy Béguin en 1968, lors de sa visite aux Kimbanguistes, déclarait que « l’Eglise kimbanguiste est une église qui chante et qui prie ».</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;">  Les tableaux d’arts et autres imageries de synthèse complètent ce panorama qui, dans son ensemble, a une grandeur numérique conséquente. C’est sur ce stock varié et diversifié, très riche, que s’est organisé le 1er Salon du livre et de la culture kimbanguistes.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Ce concept novateur très répandu, solidement ancrée dans la modernité, est désormais le credo des kimbanguistes, avec une forte volonté de porter haut la culture et l’histoire du kimbanguisme, leur identité spirituelle et leurs racines séculaires.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> La partie vente-exposition a connu également une forte participation, avec une vingtaine d’exposants répartis entre les livres, la presse, la librairie du CD et DVD, les traditions et les arts.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Sur l’ensemble du salon, il a été dénombré plus de 100 entités d’objets exposés,  plus de 200 transactions réalisées, dont 115 livres.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> La plus grande et la plus belle surprise aura été, bien sûr, les participants qui a été la grande inconnue du départ. Au final, plus de 300 participants, dont une majorité de non kimbanguiste les premiers jours, ont été identifiés en provenance de la Belgique, de l’Angleterre, des Pays-Bas et des provinces de France. Le rendez-vous a été pris pour la prochaine édition en 2014.</div> <div style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 20px; margin-bottom: 5px; margin-top: 5px; padding: 0px; text-align: justify;"> Ce chalenge, qui n’était pas gagné d’avance, est l’œuvre d’une équipe performante dirigée par Joseph Shiashia et deux membres du présidium du comité d’organisation.</div>

A PARIS, LE 1ER SALON DU LIVRE ET DE LA CULTURE KIMBANGUISTES PRODUIT UNE ESQUISSE DE CLASSIFICATION ÉPISTÉMOLOGIQUE

                                                                   La première édition du Salon du livre et de la culture kimbanguistes, ...

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Une école de sécurité sociale bientôt ouverte à Kinshasa:Selon le ministre Modeste Bahati Lukwebo

<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;"> <br /></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY1jgL5cNmwSSxyxJYHmPt9iOF1TDpGLJMNxPJJJMyJbDb9uy5xJwtP9Yl5-24YICuAl0reWc0YUtP8Q6ZrNOH7SYqz9y0Jegfpf5mkbE3L17JpKfUpyxS6x6SV65u_OHgtwGQwDAJdpA/s1600/bahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY1jgL5cNmwSSxyxJYHmPt9iOF1TDpGLJMNxPJJJMyJbDb9uy5xJwtP9Yl5-24YICuAl0reWc0YUtP8Q6ZrNOH7SYqz9y0Jegfpf5mkbE3L17JpKfUpyxS6x6SV65u_OHgtwGQwDAJdpA/s1600/bahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.jpg" /></a></div> <div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;"> <b><span style="color: blue;">Le ministre de l'Emploi, du travail et de la prévoyance sociale, Modeste Bahati Lukwebo a indiqué le samedi 28 septembre dernier que grâce aux efforts du Représentant Pays du Bureau international du travail (BIT) en RD Congo, une grande école de sécurité sociale ouvrira bientôt  dans la ville de Kinshasa.</span></b></div> <div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;"> <b><span style="color: blue;">Modeste Bahati a donné cette information au cours d'un déjeuner d'au revoir organisé au Congo Fleuve Hôtel dans la commune de la Gombe, en l'honneur de ce haut fonctionnaire du BIT, arrivé fin mandat.</span></b></div>

Au tour de Kinshasa Une école de sécurité sociale bientôt ouverte à Kinshasa:Selon le ministre Modeste Bahati Lukwebo

Le ministre de l'Emploi, du travail et de la prévoyance sociale, Modeste Bahati Lukwebo a indiqué le samedi 28 septembre dernier qu...

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La RDC a mal géré l'aide reçue de l'UE Selon la Cour des comptes européenne

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhATADbeSyfQateuP7plY3YXNuH_xxMVxo9s9iSIuBqq8CNni0Vcp1grmKEbPRnvgQ7T1KaCULjtX9m8V2fLHYbmD5TdxzdoHzBydp73Z5OXpBNpsp1QHQ3W7_pD4kZgxeC3URakvMLRBA/s1600/mmmmmmmmmmmmmmm.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="191" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhATADbeSyfQateuP7plY3YXNuH_xxMVxo9s9iSIuBqq8CNni0Vcp1grmKEbPRnvgQ7T1KaCULjtX9m8V2fLHYbmD5TdxzdoHzBydp73Z5OXpBNpsp1QHQ3W7_pD4kZgxeC3URakvMLRBA/s320/mmmmmmmmmmmmmmm.jpg" width="320" /></a></div> <b>Cette Cour recommande qu'il soit posé, désormais, des conditions précises avant d'aider la RDC, sous peine de suspension ou d'interruption du financement.A l'issue d'un audit sur son soutien financier à l'organisation des deux élections présidentielles en République démocratique du Congo, aux réformes de la justice et police, à la refonte des finances publiques et au processus de décentralisation, la Cour des comptes européenne a appelé, mardi 1er octobre 2013, l'Union européenne (UE) à se montrer plus exigeante envers la République démocratique du Congo (RDC). Ce, pour éviter l'évaporation des aides financières qui lui sont versées.</b>

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Cette Cour recommande qu'il soit posé, désormais, des conditions précises avant d'aider la RDC, sous peine de suspension ou d'...

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Un gouvernement de large ouverture recommandé.

<h3> Le groupe Gouvernance a fait cette proposition pour " ouvrir l'architecture institutionnelle aux autres forces politiques "</h3> <img src="http://www.lobservateur.cd/images/minaku-kengo.png" /><br /><br />Ce que <b style="background-color: lime;">Léon Kengo Wa Dondo</b> avait lâché pendant la période des consultations, commence malheureusement à prendre de plus en plus forme au regard des échos en provenance du Palais du peuple.<br /><br />Alors que l'objectif principal visé par les concertations nationales était la recherche de la cohésion nationale pour faire face à la guerre à l'Est de la République démocratique du Congo, ce membre du présidium avait sèchement lâché qu'au terme de ces assises, il y aura formation d'un nouveau gouvernement qui sera composé des ministres issus de l'actuelle majorité, de l'opposition et de la société civile. Cela avait créé un véritable tollé dans la classe politique, précisément dans l'opposition congolaise.<br /><br />Même quelques ministres de la Majorité présidentielle avaient critiqué ces propos qui, selon eux, ne respectaient pas l'esprit et la lettre de la constitution en vigueur.<br /><br />Lambert Mende, ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, avait d'ailleurs soutenu que Kengo montait ses propres stratégies pour attirer le plus possible d'opposants de manière à prendre part à ces concertations boudées par tous les grands partis de l'opposition avant même qu'elles ne démarrent.<br /><br />Aujourd'hui, l'opinion commence à craindre que le schéma divulgué, il y a plus d'un mois, par le président du Sénat, soit le principal objectif des concertations qui se tiennent encore au Palais du peuple.<br /><br />En effet, les travaux au sein des états généraux des concertations nationales sont bel et bien finis, à en croire un membre du présidium de ce forum contacté hier. Mais en attendant la tenue de la plénière de validation et d'adoption du rapport final de ces travaux, le présidium s'attelle à synthétiser et à faire le toilettage de toutes les recommandations.<br /><br />Parmi celles-ci, la plus importante est celle relative à la formation d'un " gouvernement de large ouverture ". C'est le groupe thématique Gouvernance, démocratie et réforme institutionnelle qui a fait de cette proposition sa principale recommandation. Il s'agit, à en croire quelques membres de ce groupe thématique, une recommandation qui prône l'ouverture des institutions, c'est-à-dire, la mise en place d'un gouvernement de large ouverture.<br /><br />Des sources garantissent qu'il ne sera pas question de changer l'architecture institutionnelle établie mais de l'ouvrir aux autres forces politiques. Bref, assurer une gestion consensuelle en RDC. Il se raconte dans les couloirs que, si Matata Ponyo a beaucoup de chances de rester à la primature, tel n'est pas le cas pour beaucoup de membres du gouvernement qui seront obligés de quitter cette institution au profit de la société civile et d'une certaine " opposition ".<br /><br />Or, la cohésion nationale recherchée dans ces assises a connu davantage des fractures tant dans le camp de l'opposition, de la majorité que dans la société civile. Les membres d'une même famille politique se sont traduits en justice en pleins travaux de concertations nationales, quelques concertateurs arrêtés et jetés en prison, des chefs de partis politiques chassés par leurs membres, des délégués aux travaux qui ont finalement claqué la porte, des préalables de l'opposition qui ne sont toujours pas respectés jusqu'à la fin des assises, des prisonniers politiques qui croupissent injustement dans des prisons, tels sont les vrais éléments qui vont sanctionner les travaux de concertations nationales.<br /><br />Dans le deuxième groupe ayant trait à l'économie, les participants ont recommandé, entre autres, de mettre fin au paradoxe existant entre les performances économiques dont se vante le gouvernement Matata et la misère dans laquelle vit la population congolaise. L'écart est tellement grand entre le slogan et la réalité, que l'on tient à le réduire sensiblement pour que cette théorie ressemble également à la pratique.<br /><br />Ne plus gratifier les acteurs des groupes armés et ne jamais amnistier les auteurs des crimes, telles sont les recommandations les plus en vue du troisième groupe thématique Désarmement. L'idéal est de combattre les groupes armés et mettre fin à toutes leurs velléités en renforçant l'autorité de l'Etat et en mettant en place une armée forte.<br /><br />En ce qui concerne le groupe thématique Conflit communautaire, les recommandations ont abondé dans le sens du renforcement de l'administration et de l'autorité coutumière. Les participants ont aussi recommandé d'éviter les injustices sociales pour permettre une cohabitation pacifique entre les peuples.<br /><br />Enfin, le découpage immédiat des provinces et l'organisation dès 2014 des élections pour le renouvellement du Sénat et des Assemblées provinciales ont constitué l'essentiel des recommandations du groupe 5 consacré à la Décentralisation.<br /><br />Toutes ces recommandations ne sont pas nécessairement reprises sur le rapport officiel, mais " résultent des négociations politiques ", à en croire certains délégués aux concertations nationales.<br /><br />Ce forum est présenté par son initiateur, Joseph Kabila, comme " la réunion de toutes les couches socio-politiques de la nation ". Il a été convoqué dans le but de "réfléchir et débattre en toute liberté et sans contrainte des voies et moyens susceptibles de consolider la cohésion nationale, de renforcer l'autorité de l'Etat sur toute l'étendue du territoire national afin de mettre fin au cycle de violences dans l'Est du pays, d'accélérer le développement du pays dans la paix et la concorde".<br /><br />Une fois validées par la plénière, ces recommandations seront transmises à Joseph Kabila qui, à son tour, en rendra compte à la nation devant l'Assemblée nationale et le Séant réunis en congrès.<br /><br />Selon l'ordonnance instituant ces assises, le suivi de l'application de ces conclusions est confié au président de la République, aux présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale et au chef du gouvernement.<br /><br />On se demande dès lors si le peuple congolais se reconnaitra dans les conclusions qui seront présentées à Kabila, lui qui a besoin de son bien-être social, de la paix, de la bonne gouvernance, d'une justice équitable et d'une vraie démocratie.

Politique Un gouvernement de large ouverture recommandé.

Le groupe Gouvernance a fait cette proposition pour " ouvrir l'architecture institutionnelle aux autres forces politiques " ...

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PROCESSUS ÉLECTORAL Flavien Misoni et Corneille Nangaa portés à la tête de l’administration de la Céni

<b>Les deux personnalités occupent respectivement le poste de secrétaire exécutif national <span style="color: #e06666;">(SEN)</span> et de secrétaire exécutif national adjoint <span style="color: #e06666;">(SENA)</span>. Les heureux promus sont des fonctionnaires internationaux oeuvrant dans le domaine des élections. </b><br /><div> <b><br /></b><div> <img height="301" src="http://i2.wp.com/direct.cd/wp-content/uploads/2013/06/Remise-et-reprise-Cei-Ceni.jpg" width="400" /></div> <div> <b>Le premier a été, jusqu'au mois de septembre, conseiller technique principal du projet Élections du Pnud en Guinée-Conakry. Il a également occupé le poste du directeur du bureau national des opérations de la Commission électorale indépendante. <br /><br />Quant au second, il a treize ans d’expérience professionnelle dont huit en démocratie et élections aussi bien au niveau national qu'international Il était jusque là directeur des programmes à l’école de formation électorale en Afrique centrale. </b></div> </div>

la Nation PROCESSUS ÉLECTORAL Flavien Misoni et Corneille Nangaa portés à la tête de l’administration de la Céni

Les deux personnalités occupent respectivement le poste de secrétaire exécutif national (SEN) et de secrétaire exécutif national adjoint (S...

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«Taxis » à hauts risques à Gombe

<b><i><br />Depuis quelques temps, les taxis faisant la navette entre le centre-ville et d’autres communes, n’inspirent plus confiance aux clients. Et pour cause ! De nombreux braquages ont perpétrés à bord de ces véhicules où généralement il y a toujours des passagers déjà embarqués et qui réservent une place pour les victimes éventuelles. Ces passagers aux allures inoffensives, dont souvent l’un est assis devant à côté du chauffeur, et les deux autres vautrés sur le siège arrière, paraissent peu intéressés aux derniers clients et à leurs biens. Une indifférence qui ne dévoile pas leurs affinités. Pourtant, ce sont des groupes de « braqueurs » opérant en duo ou en trio, avec ou sans la complicité des conducteurs.</i></b><div> <img height="300" src="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/taxi_kinshasa.jpg" width="400" /><b><i><br /><br />Madeleine Mukoma, domiciliée sur avenue Mbomu n° 211, quartier Wenze, commune de Lingwala, garde de certains taxis, de très mauvais souvenirs. Elle entendait souvent parler des braqueurs, sans les croiser, mais la semaine passée, elle a personnellement vécu cette expérience traumatisante. Dans sa plainte déposée à l’état-major du Bataillon de la police d’investigations criminelles, Mado Mukoma se rappelle qu’un soir du 19 septembre 2013, alors qu’elle venait de récolter les fonds d’une ristourne, elle attendait un taxi à l’arrêt Sabena, sur le boulevard du 30 Juin, bondé de monde. Un taxi banalisé s’immobilisa à son hauteur et après avoir proposé sa destination Kintambo-Magasins, elle embarqua sur accord du conducteur. A bord du taxi, trois premiers passagers qui ne se parlaient pas, semblaient favorables à cette même destination. Et la voiture roulait à grande vitesse jusqu’au moment où dans les parages du cimetière de la Gombe, un client demanda que le chauffeur puisse s’arrêter. C’est ce qu’il fit croyant que le passager allait certainement descendre. Voilà qu’au lieu de débarquer, le suspect, revolver pointé vers le chauffeur, ordonna à ses acolytes assis derrière, de fouiller la dame. Eux aussi ont menacé Mme Madeleine Mukoma, qui réalisa dès cet instant qu’elle vivait en live un braquage dont elle-même était la victime.<br /><br />Ce n’était plus un récit qu’on lui racontait, mais un fait qui se produisait en sa présence. Les brigands lui ont arraché la somme de 5.000 dollars, 80.000 FC, ainsi que ses deux téléphones cellulaires. Le taxi et les braqueurs embarqués, prendra ensuite une destination inconnue.<br /><br />Un cadre d’une société commerciale de la place, manifeste aujourd’hui une méfiance à l’égard de ce type de moyens de transport, depuis qu’il a échappé à la mort, dans les alentours du Palais de justice de Kinshasa. Embarqué devant l’agence de transfert des fonds Solidaire sur le boulevard du 30 Juin, vers 20 heures, M. Amisi, devait se rendre à la clinique Ngaliema pour visiter un membre de famille hospitalisé. A la demande d’un client, le taxi a emprunté l’avenue séparant le collège Boboto et le lycée Bosangani. Et va s’immobiliser non loin de Cepas. Soudain, les passagers vont se dévoiler comme des bandits, parce que tous ont sorti leurs armes, intimant l’ordre à M. Amisi de leur remettre son porte-monnaie. Il contenait 450 dollars et dans ses poches, les malfrats ont sorti le montant de 25.000 FC.<br /><br />Il voulait réagir comme pour attendre un secours providentiel qui le sauverait de ce braquage, mais aucun véhicule ne passait par-là. Et il était 20 heures quand il a été débarqué du taxi avec pour consigne de se diriger vers la Cadeco.<br /><br />Une autre victime de ce genre de braquage, est M. Jean-Paul Mboyo, homme d’affaires qui fait le trafic des articles vestimentaires entre Kinshasa et Brazzaville. Ses colis contenant 30 pantalons jeans, et 20 pièces wax, logés dans le coffre arrière, il monta le 30 août 2013 à bord d’un taxi sur avenue colonel Lukusa, avec pour destination, sa maison de Lemba. Les deux clients trouvés à bord, ont demandé à être débarqués dans les parages du stade Tata Raphaël dans la commune de Kalamu, chose qu’il accepta avec beaucoup de courtoisie. Et il ignorait que sa gentillesse allait lui causer un grave préjudice.<br /><br />Dans les alentours de ce stade, les deux clients se présenteront comme des agents chargés de contrôler les colis en provenance de Brazza pour détecter les armes. Sûr que ces fonctionnaires étaient tombés sur un homme honnête, Jean-Paul Mboyo est descendu le premier pour déballer ses colis et dévoiler le contenu. Voilà qu’au lieu de le suivre, les deux suspects sont restés à bord de la voiture qui a aussitôt démarré en trombe vers une destination inconnue. Butin réalisé par ces bandits : 30 pantalons jeans et 20 pièces wax.<br /><br /> Le vœu ardent de Kinois est de voir la police faire diligence pour neutraliser ces malfaiteurs et mettre un terme à leurs mésaventures. Il n’est pas normal qu’ils puissent continuer à dépouiller impunément de paisibles citoyens, opérant souvent sur le boulevard du 30 Juin où opèrent de nombreux agents de services de la police.<br /><br />J.R.T. </i></b></div>

Au tour de Kinshasa «Taxis » à hauts risques à Gombe

Depuis quelques temps, les taxis faisant la navette entre le centre-ville et d’autres communes, n’inspirent plus confiance aux clients. Et p...

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