BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Pétrole de la RDC : l’effort de guerre déjà soldé !

May 21, 2014

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<span style="font-size: large;">Les oreilles des millions de Congolais restent tendues vers Paris, où il est prévu ce mercredi 21 mai 2014, une tripartite Hollande-Kabila-Dos Santos, avec au menu le dossier des tripatouillages de l’Angola sur les gisements pétroliers congolais sur la côte de l’Océan Atlantique.</span></h3>
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En fait, le président français devrait officier en médiateur entre le Congolais Joseph Kabila et l’Angolais Eduardo Dos Santos, afin de permettre aux deux interlocuteurs de trouver un compromis au sujet de l’exploitation du pétrole compris dans la ZIC (Zone d’intérêt Commun), dont Luanda est jusque-là seul à tirer les dividendes, au préjudice de Kinshasa.<br />
<br />
<br />
Il n’est jamais aisé, dans la haute sphère politique de la RDCongo, de parier à haute voix des intérêts du pays spoliés de longue date par la partie angolaise. La gêne de Kinshasa tient spécialement au fameux « effort de guerre » consenti par l’Angola à deux reprises d’abord en avril 1997 pour permettre aux troupes de l’AFDL (Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo) de faire sauter le « verrou » de Kenge tenu par les FAZ (Forces Armées Zaïroises) de Mobutu et les éléments de l’UNITA (Union pour l’indépendance Totale de l’Angola) de Jonas Savimbi ; ensuite en septembre 1998 pour aider les FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) à déloger les rebelles du RCD (Rassemblement Congolais pour la Démocratie) et leurs parrains rwandais de Kitona, Inga, Matadi, Mbanza-Ngungu et Kinshasa.<br />
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Les observateurs pensent qu’à travers de contrats divers en faveur des pays ayant contribué à la chute de Mobutu et aux actions de résistance contre les « agresseurs » ougandais, rwandais et burundais, la RDCongo a fini par payer, tant soit peu, la contrevaleur de ce fameux effort de guerre. En principe, elle ne devrait plus avoir des comptes à rendre à l’Angola, à la Namibie et au Zimbabwe.<br />
<br />
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Par conséquent, la délégation congolaise ne devrait pas faire de complexe vis-à-vis de celle de l’Angola lors des négociations de Paris, placées sous l’arbitrage du président français François Hollande. Le peuple congolais est en droit d’attendre de ses représentants, une défense farouche de ses intérêts dans le dossier du pétrole de l’Atlantique. Il n’est pas normal que Luanda, qui exploite unilatéralement la nappe pétrolifère commune, affiche une<br />
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production<br />
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journalière de plus d’un million de barils, pendant que Kinshasa plafonne à 25.000 barils par jour, soft 40 fois moins. On se souvient qu’en 2009, l’Assemblée Nationale avait obtenu la signature, en urgence, d’une Convention entre la RDC et l’Angola, basée sur une ristourne d’environ 600 millions de dollars en faveur de Kinshasa, au titre de compensation, en attendant que le gouvernement congolais se dote des moyens techniques requis pour l’exploitation de la Zone d’intérêt Commun. Il est dommage de constater, à ce jour, que Luanda n’a jamais versé ces royalties dans les caisses de l’Etat congolais, pour des raisons inexpliquées.<br />
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<br />
Rompre avec un budget de misère<br />
<br />
<br />
La rencontre de Paris suscite beaucoup d’espoirs chez les Congolais, qui pensent que le temps de la transformation du pétrole en source d’entrée d’importantes recettes en devises fortes pour le pays a sonné. Car rien ne s’oppose plus, objectivement, à une revendication ferme de ce qui doit effectivement revenir à la mère patrie sur la Zone d’intérêt Commun. La manne pétrolière, qui fait le bonheur de nombreux Africains, notamment Angolais, Congolais de Brazzaville, Gabonais, Equato-guinéens, Nigerians, Ghanéens, Libyens, Soudanais et même Ougandais et Tchadiens... devrait aussi permettre aux RDCongolais d’avoir chacun le minimum vital.<br />
<br />
<br />
La RDCongo n’a plus le droit de continuer de traîner un budget de misère, estimé cette année à 8 milliards de dollars, alors que son voisin angolais est crédité de 65 milliards de dollars. Chassés de tous les pays voisins, les Congolais, bien lotis en ressources pétrolières, minières, agricoles, énergétiques, devraient cesser d’être la risée de la planète.<br />
<br />
<br />
Si Kinshasa échoue à Paris dans son bras de fer avec Luanda, le pétrole congolais risque de connaître le sort du diamant de la Miba, pillé sans état d’âme par la Sengamines, une société du Zimbabwe, au nom de l’effort de guerre de 1998. A ce jour, cette entreprise d’économie mixte a un genou à terre, prête à jeter l’éponge, à laisser sa concession à la merci des prédateurs. Or, des études menées il y a quelques années ont démontré qu’en plus du diamant, le domaine de la Miba héberge de fabuleuses réserves en minerais divers, capable de produire de plantureuses richesses pour la République. Les planificateurs de sa « mort » n’attendent que son dernier soupir pour faire main basse sur ses gisements et créer des carrés miniers ayant pour propriété des personnes et morales le plus souvent sans scrupules, comme c’est présentement je cas au Katanga.<br />
<br />
Kimp
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Politique Pétrole de la RDC : l’effort de guerre déjà soldé !

Les oreilles des millions de Congolais restent tendues vers Paris, où il est prévu ce mercredi 21 mai 2014, une tripartite Hollande-Ka...

Journal télévisé en Swahili facile du 20 Mai 2014 avec impact et idéologie

May 20, 2014

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsye1tzDuvnPlAIQnlQF8_B0ZqhzVsAAA5l4fhwsTEzu7flq-QUuLV92T-koeN73or2cCDQEks7EI0oyanueoM163pFiPZHMLMqEmLt5czei3M4aPuF8xXtfERt_oF-hMLgHRnPyK7c6A/s1600/siki.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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Au tour de Kinshasa buz Buzz Journal télévisé en Swahili facile du 20 Mai 2014 avec impact et idéologie

Journal télévisé en Swahili facile du 20 Mai 2014 avec impact et idéologie

Journal télévisé en Tshiluba Facile du 20 Mai 2014 avec impact et idéologie

May 20, 2014

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisQvYpeNzdKsEYQ9wyk6XBSX_dWTc8lrz5swVZcBcIHLRmVpiD2PiozM74CPw71XEkR0HEmzjrZG73lZf16inixuIvDWo5S95Wkkb408d-jnjryPMHNLp1DBHcNcvyASBJAke0yNhONvw/s1600/THSI.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEisQvYpeNzdKsEYQ9wyk6XBSX_dWTc8lrz5swVZcBcIHLRmVpiD2PiozM74CPw71XEkR0HEmzjrZG73lZf16inixuIvDWo5S95Wkkb408d-jnjryPMHNLp1DBHcNcvyASBJAke0yNhONvw/s1600/THSI.jpg" width="400" /></a></div>
Journal télévisé en Tshiluba Facile du 20 Mai 2014 avec impact et idéologie

le journal Journal télévisé en Tshiluba Facile du 20 Mai 2014 avec impact et idéologie

Journal télévisé en Tshiluba Facile du 20 Mai 2014 avec impact et idéologie

Journal télévisé en Kikongo Facile du 20/05/2014

May 20, 2014

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIoWH1093jw9O9HYWRCoNeEDAdI7eVfHJBS10Md9N53-m86De3vCzHFEOommj4RElipRud_7_faS-1wr7DA96Dr8Lk6oiymVkaZWQSrbGMyQzF9Iu4O5PIuN438wySXwLCBZeW678I4uA/s1600/KIKONGO.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIoWH1093jw9O9HYWRCoNeEDAdI7eVfHJBS10Md9N53-m86De3vCzHFEOommj4RElipRud_7_faS-1wr7DA96Dr8Lk6oiymVkaZWQSrbGMyQzF9Iu4O5PIuN438wySXwLCBZeW678I4uA/s1600/KIKONGO.jpg" width="400" /></a></div>
Journal télévisé en Kikongo Facile du 20/05/2014

Au tour de Kinshasa journal Santé Journal télévisé en Kikongo Facile du 20/05/2014

Journal télévisé en Kikongo Facile du 20/05/2014

Après avoir battu Zamalek : Florent Ibenge , «il est impératif qu’on ramène au moins un point de Lubumbashi»

May 20, 2014

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<h3>
<span style="font-size: large;">*Aussitôt après le coup de sifflet final de l’arbitre gambien Bakari Gassama, sanctionnant la victoire méritée de Vclub face à Zamalek (2-1), au stade Tata Raphaël, à Kinshasa, l’entraineur Jean-Florent Ibenge avait déjà ses yeux tournés vers Lubumbashi.</span></h3>
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La deuxième journée de ces quarts de finales de la Ligue de champions de la Caf, édition 2014, se joue ce week-end. L’As Vclub sera reçue par le Tout-Puissant Mazembe Englebert, le dimanche 25 mai 2014. Florent Ibenge ne jure que de ramener au moins un point. Plus question de perdre !</div>
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Ce match, Mazembe-Vclub, sera la troisième rencontre de ces deux grands clubs de la RDC, en l’espace d’un mois. Le 23 avril dernier, Mazembe avait malmené Vclub chez lui (4-1). Le 11 mai, avec l’appui de son public, Vclub a tenté de prendre sa revanche mais en vain. Mazembe a été de nouveau plus fort en désillusionnant Vclub (0-1), causant même des pertes en vies humaines. Le 25 mai prochain, ce sera visiblement un autre match, au regard de la détermination de Florent Ibenge, qui a tout compris de Patrice Carteron et tiré même des leçons.<br />
<br />
Après le match contre Zamalek, le technicien congolais a été fier de ses poulains : «Mes joueurs ont fait un bon match, surtout en réagissant rapidement à l’égalisation de Zamalek, qui est une équipe expérimentée et pleine de ressources. Maintenant, nous sommes tournés vers Lubumbashi pour le match de la deuxième journée contre Mazembe. Il est impératif que l’on ramène au moins un point de Lubumbashi». Sportivité oblige, la victoire méritée de Vclub a été bien saluée par l’entraineur de Zamalek, Ahmed Hossan Mido : «Nous sommes contrariés par cette défaite qui nous oblige à remporter notre match contre Al Hilal. Vclub a bien manœuvré et a mérité sa victoire. A nous de retrouver nos sensations et d’aller de l’avant».<br />
<br />
Et pourtant, Florent Ibenge n’a pas aligné sa grande équipe. Il n’y a pas eu Hervé Lomboto, ni le diable Etekiama, moins encore Abdoul Aziz. Le tout s’est joué entre Firmin Mubele Ndombe, Guy Lusadisu et Chikito Lema Mabidi. Dans l’axe central, le duo Mondo Moyengi et Thierry Kasereka qui a signé son retour a très bien tourné, même si ce dernier a failli gâcher la fête, parce qu’étant à l’origine du but égalisateur. Heureusement, Emmanuel Ngudikama Mingiedi alias Kila, qui est monté à la deuxième période à la place de Déo Kanda, va réagir rapidement pour le deuxième but, à la 80ème minute. Dans la perche, Nelson Lukong Bongaman n’avait qu’à jubiler et faire son match.<br />
<br />
Un défi pour Mazembe !<br />
<br />
Vraisemblablement, ce match, troisième tête-à-tête entre les deux clubs, sera un grand défi pour les Corbeaux, qui ont perdu leur première journée. Le club lushois a été battu vendredi 16 mai, à Khartoum, par Al Hilal du Soudan (0-1). Une défaite que Patrice Carteron a reconnue sans trop de commentaire : « C’est une énorme déception. Félicitations à Al Hilal qui a mérité son succès. On n’a pas réussi à mettre une seule fois du rythme dans le match, ce qui est notre force principale. Je pense qu’on a joué à 30% de notre potentiel, c’était trop insuffisant pour ramener un résultat. Je pense que, sans doute, c’est l’après le match difficile qu’on a vécu à Kinshasa. Parce qu’aujourd’hui on n’a pas présenté notre vrai niveau de jeu. Je respecte cette victoire».<br />
<br />
De son côté, l’entraineur de Al Hilal, Paulo Campos n’a pas du tout minimisé Mazembe : « Mazembe est une équipe capable de vous ridiculiser dans son stade, voir même chez l’adversaire. Mais, nous, nous allons aborder ces quarts de finale en y allant match par match. Nous irons en Egypte pour affronter l’autre favori, Zamalek, avec une autre motivation. Nous attendrons Vclub chez nous avec un autre plan. Nous respecterons toutes les équipes du groupe, c’est un groupe très difficile. Chaque match aura sa vérité».<br />
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EG</div>
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Le direct
        
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Sport Après avoir battu Zamalek : Florent Ibenge , «il est impératif qu’on ramène au moins un point de Lubumbashi»

*Aussitôt après le coup de sifflet final de l’arbitre gambien Bakari Gassama, sanctionnant la victoire méritée de Vclub face à Zamalek...

Recherche de la crédibilité : La CENI s’ouvre aux Chefs des Confessions religieuses !

May 20, 2014

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<h3>
<span style="font-size: large;">*La série continue, aujourd’hui, avec les autorités traditionnelles et coutumières, les responsables des associations de défense des droits de l’homme et des organisations culturelles, les membres du cadre de concertation sécurité électorale et justice électorale (Hauts magistrats), les responsables des ordres professionnels et des syndicats. </span></h3>
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<div>
Le but visé dans cette démarche, selon les responsables de la Centrale électorale, est de présenter à toutes les parties prenantes au processus, des garanties de transparence et de crédibilité des prochaines élections dont le calendrier sera publié incessamment. </div>
<div>
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Le Vice-président de la CENI, M.  André Mpungwe , qu’accompagnaient les autres membres de la CENI,  a ouvert,  au nom du Président de la CENI, M.  l’Abbé Apollinaire Malumalu,  les journées portes ouvertes de la CENI qui dureront une semaine,  soit du lundi 19 au samedi 24 mai 2014. Ces journées rentrent dans l’objectif de crédibiliser et d’assurer la transparence du processus électoral. La première catégorie des parties prenantes à participer aux journées portes ouvertes, a été les Chefs des Confessions religieuses, membres de la Commission d’Intégrité et de Médiation électorales. Cette première journée a connu trois moments essentiels,  à savoir :</div>
<div>
La présentation Power Point<br />
Un documentaire sur la salle du  Serveur.<br />
La visite des stands pour visualiser les opérations en cours.<br />
<br />
Le Secrétaire Exécutif National(SEN) de la CENI , Me Flavien MISONI, a,  dans la présentation power Point,  indiqué que suite aux évaluations et recommandations faites à l’endroit de la CENI par les différentes missions d’observation nationales et internationales et par l’Assemblée nationale, mais aussi,  après l’audit interne, desquels sont ressorties quelques suggestions notamment,  réduire le nombre d’électeurs désorientés,  lors des élections de 2011 ; intégrer les électeurs « omis » dans le fichier électoral; rapprocher les sites de vote des électeurs ; fiabiliser les listes des entités  territoriales ainsi que la liste électorale.<br />
<br />
De ce constat, le nouveau management avait décidé de commencer par l’opération de fiabilisation du Fichier électoral et de stabilisation des cartographies opérationnelles avec une méthodologie qui permettra, a soutenu le SEN, à l’issue de ces opérations d’identifier les entités administratives locales harmonisées ; d’avoir au moins,  un site de vote dans chaque groupement ; les sites de vote géo localisés, de produire un atlas électoral ; les électeurs ‘omis’ minimisés ; chaque électeur connaîtra son site de vote  et d’établir un projet de loi électorale sur la répartition des sièges pour les élections locales.<br />
<br />
C’est après avoir réalisé cette opération de fiabilisation du Fichier électoral que pourra alors s’organiser un audit externe, a conclu le SEN, Me Flavien Misoni.<br />
<br />
Puis, les Chefs des confessions religieuses ont assisté à  la projection d’un documentaire qui présente la salle des serveurs de la CENI,  avec ses différents rôles et caractéristiques,  pour démystifier cet outil stratégique pour l’organisation des élections en RD. Congo.<br />
<br />
La journée porte ouverte des confessions religieuses a été clôturée par la visite des stands composés de 9 stations qui a permis aux hôtes de visualiser de manière pratique comment s’élabore le fichier électoral, la cartographie des sites de vote, des radios communautaires.<br />
<br />
En attendant,  des journées portes ouvertes  se poursuivent au siège de la CENI. Le programme de la journée de ce  mardi 20 mai 2014 prévoit la visite des autorités traditionnelles et coutumières, des responsables des associations de défense des droits de l’homme et des organisations culturelles, des membres du cadre de concertation sécurité électorale et justice électorale (Hauts magistrats), des responsables des ordres professionnels et des syndicats. <br />
<b><br />LPM</b></div>
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la Nation Recherche de la crédibilité : La CENI s’ouvre aux Chefs des Confessions religieuses !

*La série continue, aujourd’hui, avec les autorités traditionnelles et coutumières, les responsables des associations de défense des dr...

Libéralisation du secteur des Assurances : Sénat, Mabi Mulumba appelle à la création d’une Autorité de régulation

May 19, 2014

<h3>
*L’une des mesures prises en Conseil des Ministres est en phase de promulgation par le Chef de l’Etat. Il s’agit de la loi portant Code des Assurances sur  laquelle le Gouvernement compte pour moderniser et libéraliser certaines activités des secteurs économiques et financiers en RD. Congo. La sécurité  juridique est, en effet, un des soucis majeurs des investisseurs et, aussi, une condition pour le développement économique et de l’amélioration des conditions de vie des  Congolais. </h3>
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D’après le Sénateur Mabi Mulumba, président de la Commission économico-financière et Bonne gouvernance, il faut créer  l’Autorité de régulation et de contrôle du marché pour mettre fin à la disparité des textes  obsolètes. Au cours de la plénière du lundi 19 mai 2014, le rapport relatif à l’examen du Projet de loi portant Code des Assurances a été adopté, après débat, moyennant amendements. Parmi ceux-ci, il y a, d’abord, celui qui consiste à  placer les militaires et les policiers au même niveau que les fonctionnaires, car, c’est l’Etat qui souscrit en lieu et place des Fardc et de la PNC et, ensuite, la participation des Congolais dans la structure des Entreprises d’assurance. Aussi, faut-il ajouter la condition d’entrevoir 20% des participations que l’on doit réserver aux congolais.<br />
<br />
<br />
Après examen et adoption du rapport de la Commission économico-financière relatif à l’examen du Projet de loi portant Code des Assurances, les Sénateurs ont formulé quelques amendements après un bref débat, qui a eu lieu  dans l’hémicycle du Palais du peuple. C’est le lundi 26 mai prochain, selon le Président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, que l’Ecofin, présidé par le sénateur Evariste Mabi Mulumba, devra présenter le rapport définitif. Cette étape conduira, enfin, ce projet de loi à l’Assemblée Nationale qui pourra, à son tour, l’acheminer auprès du Président de la République pour promulgation.<br />
<br />
<br />
Très attendus par les opérateurs économiques, particulièrement les souscripteurs de la Police des assurances-vie, ces derniers estiment que l’initiative prise par le Gouvernement mérite un encouragement,  dans la mesure où la loi permet de libérer et moderniser certaines activités des secteurs économiques et financiers du pays. La sécurité juridique, expliquent-ils, est, à cet effet, un des soucis majeurs des investisseurs et une condition du développement économique et de l’amélioration des conditions de vie des Congolais. En proposant ce projet de loi, le Gouvernement a constaté que seule la RDC est restée la dernière sur le marché des assurances. Elle fonctionne, indique-t-on, dans les débats des sénateurs, en monopole d’Etat et la selle à utiliser ce mode d’exploitation. Conséquence, indiquent les sénateurs, l’assurance en RDC demeure largement en deçà de son potentiel dont le taux de pénétration est l’un des plus bas du continent. C’est dans ce cadre que les sénateurs, en adoptant ce projet de loi, ont accepté de supprimer le monopole de la Sonas (Société nationale d’Assurances) et de libéraliser le secteur des assurances en RD. Congo.<br />
<br />
<br />
Autorité de régulation des assurances<br />
<br />
<br />
Le Président de l’Ecofin a estimé qu’il faut créer une structure pour réguler les assurances. « La libération du marché des assureurs implique à l’Etat d’assumer ses responsabilités de régulation et de contrôle du marché », a déclaré Evariste Mabi Mulumba. Il pense, également, de mettre sur pied un établissement public à caractère social, un Conseil consultatif des assurances avec pour mission d’examiner et d’émettre des recommandations sur certaines questions et des moyens susceptibles d’améliorer ses prestations.<br />
<br />
<br />
Relevant les points forts de ce projet de loi sur le Code des assurances, il y a lieu de rappeler le fait que l’Etat se considère comme assureur de ses propres véhicules, contrairement à la pratique internationale, sauf les véhicules des Fardc et de la Police Nationale Congolaise. La nouvelle loi propose que l’Etat souscrive  pour les Fardc et la PNC parce que ces corps utilisent ces engins et ont le même droit que les fonctionnaires.<br />
<br />
<br />
S’agissant de l’avenir de la Société nationale des Assurances, il faut retenir qu’elle a subi plusieurs mutations. De l’Entreprise nationale, elle est devenue une société commerciale. A la lumière de la nouvelle loi, une période de transition lui permet de se conformer à la concurrence.<br />
<br />
<br />
Cependant, forte de ses 514 articles, cette loi est subdivisée en sept chapitres. Notamment, les dispositions d’assurances ; entreprises d’assurances ; cadre institutionnel et contrôle de l’Etat ; agents généraux ; courtiers et autres intermédiaires d’assurances ; organismes particuliers ; régimes comptables et fiscal, dispositions transitoires et abrogations finales.<br />
<br />
<br />
Peter Tshibangu

Economie la Nation Libéralisation du secteur des Assurances : Sénat, Mabi Mulumba appelle à la création d’une Autorité de régulation

*L’une des mesures prises en Conseil des Ministres est en phase de promulgation par le Chef de l’Etat. Il s’agit de la loi portant Code des...

Grande édition du journal télévisé de la RTVS1 du Lundi 19/05/2014

May 19, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Grande édition du journal télévisé de la RTVS1 du Lundi 19/05/2014

le journal le JT de la RTVS1 Grande édition du journal télévisé de la RTVS1 du Lundi 19/05/2014

Grande édition du journal télévisé de la RTVS1 du Lundi 19/05/2014

CAB 5 en Afrique Centrale : PT&NTIC, Kin-Kiey lance une réflexion sur le projet Large Bande

May 19, 2014

<h3>
Le monde entier a célébré, le samedi 17 mai dernier, la Journée mondiale de la société de l’information, avec pour thème : ‘‘le large bande au service du développement durable’’. En d’autres termes, selon le Prof. Tryphon Kin-Kiey Mulumba, Ministre RD-Congolais en Charge des PT&NTIC, la fibre optique par le haut débit et le très haut débit qu’elle permet par le transport fiabilisé, au plus bas coût, à la vitesse lumière, des informations et des dossiers les plus lourds.

</h3>
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<strong><em> Dans son message radiotélévisé, en marge de ladite  commémoration, la 149<sup>ème</sup> édition, qui survient alors que précisément, le secteur des PT&NTIC lance, avec la Banque mondiale qui l’accompagne, une réflexion sur le Projet Large Bande en Afrique Centrale appelé CAB 5, le patron rd-congolais des NTIC donne des avantages de l’utilisation efficace et optimale de cette nouvelle technologie. Pour Kin-Kiey Mulumba, comme le manger et le boire, l’accès à la mémoire surdimensionnée qu’est l’Internet, la pierre angulaire de la société de l’information, permet à l’homme de satisfaire ses aspirations et aux Etats d’atteindre les objectifs de développement. D’où, pense-t-il, l’impossibilité d’atteindre cet objectif qui s’inscrit dans les objectifs du millénaire, en dehors de la fibre optique. Impossible, par ailleurs, de basculer dans l’économie numérique et d’espérer atteindre l’émergence sans la fibre optique, sans l’ultra haut débit banalisé dans nombre de pays, dont chez des voisins les plus immédiats. Voilà pourquoi, l’Exécutif national, soutient Kin-Kiey, sous le leadership visionnaire du Raïs, a priorisé le lancement de la fibre optique, en faisant ainsi basculer la RDC dans l’économie numérique, dans le but de faire du congolais l’homo numericus, l’homo smartophonicus qu’il doit être, par l’achèvement du point d’atterrage de Muanda.</em></strong><br />
<strong><em>Lisez, ci-après, le message radiotélévisé intégral du Ministre Tryphon Kin-Kiey Mulumba, à l’occasion de la journée mondiale de la société de l’information.</em></strong><br />
<div align="center">
<strong>MESSAGE RADIO-TELEVISE DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE MINISTRE DES PTNTIC, TRYPHON KIN-KIEY MULUMBA A L’OCCASION DE LA JOURNEE MONDIALE DE LA SOCIETE DE L’INFORMATION</strong></div>
<strong>Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,</strong><br />
<strong>Chers compatriotes,</strong><br />
Nous voici le 17 mai, Journée Mondiale des Télécommunications et de la Société de l’Information, décrétée par l’UIT, notre Union Internationale des Télécommunications.<br />
<strong>2014 marque la 149<sup>ème</sup> édition.</strong><br />
Comme la vie offre parfois des tels concours de circonstances, l’édition 2014 qui a pour thème «le large bande au service du développement durable» - c’est-à-dire la fibre optique par le haut débit et le très haut débit qu’elle permet par le transport fiabilisé, au plus bas coût, à la vitesse lumière, des informations et des dossiers les plus lourds - survient alors que précisément notre Secteur lance au Congo, avec la Banque Mondiale qui nous accompagne, une réflexion sur le Projet Large Bande en Afrique Centrale appelé CAB 5.<br />
Le droit de communiquer, tout comme l’accès à l’information - un accès libre, équitable, universel, c’est-à-dire à portée de chaque Citoyen à la mémoire surdimensionnée qu’est l’Internet - est la pierre angulaire de la Société de l’information.<br />
Comme le manger et le boire, l’accès à cette mémoire permet à l’homme de satisfaire ses aspirations et aux Etats d’atteindre les objectifs de développement.<br />
Impossible, en effet aujourd’hui, d’atteindre cet objectif qui s’inscrit dans les Objectifs du Millénaire, en dehors de la fibre optique.<br />
Impossible, en effet aujourd’hui, de garantir une utilisation efficace et optimale des technologies de l’information et de la communication dans le domaine de l’éducation, de la santé, de l’administration publique, de la gouvernance, du commerce, sans la fibre optique.<br />
Impossible aujourd’hui de basculer dans l’économie numérique et d’espérer atteindre l’émergence sans la fibre optique, sans le haut débit, sans l’ultra haut débit banalisé dans nombre de pays, dont chez des voisins les plus immédiats.<br />
Voilà pourquoi la fibre optique, moteur de toute économie, est au cœur de toutes les politiques économiques des Etats.<br />
Voilà pourquoi tôt le Gouvernement de la République, sous le leadership de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Joseph KABILA KABANGE, a priorisé le lancement de la fibre optique, en faisant basculer le pays dans l’économie numérique, dans le but de faire du Congolais l’homo numericus, l’homo smartophonicus qu’il doit être, par l’achèvement du Point d’atterrage de Muanda, point de départ de toute politique numérique.<br />
Depuis ce 8 juillet 2013 historique, nous avons entrepris la Phase II en passe de boucler la boucle - le Katanga - quand la Phase III qui va inonder l’Est de la République mais aussi interconnecter notre pays avec les différents câbles, notamment ceux de la SADC, déjà pré-positionnés à nos frontières, est déjà lancée alors que des redondances, des branchements et autres rings métropolitains, sont à l’œuvre. Outre la téléphonie rurale et la mise en réseau de nos administrations qui très vite vont converser entre elles. Sans parler de la 3G déjà effective, et de la 4G en expérimentation. Ou, le nouvel environnement légal des télécoms en examen au Gouvernement.<br />
Si la fibre optique a permis d’accroître de 1 à 3 l’indice de développement humain de nombre de pays, en déplaçant la ligne de la pauvreté et à certains de devenir la 1ère Economie du Continent, le Gouvernement de la République ne voit pas comment ce qui marche ailleurs ne marcherait pas chez nous.<br />
Voilà pourquoi l’ordinateur fixe ou portable, la tablette ou la phablette, le téléphone mobile, la télévision numérique doivent cesser d’être des gadgets pour devenir les symboles d’une industrie qui change nos modes et nos comportements de production, transmutent nos habitudes de consommation, révolutionnent nos systèmes d’éducation, de santé, d’administration, redimensionnent la gouvernance de la cité.<br />
<br />
<strong>Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,</strong><br />
<strong>Chers compatriotes,</strong><br />
Comme désormais chaque année, cette journée tombe un jour historique dans notre pays – le Jour de Libération - je donne rendez-vous sous peu aux acteurs du Secteur pour réfléchir, dans un cadre plus vaste, et plus interne, sur le large bande.<br />
En attendant, bonne fête à tous, Mesdames et Messieurs les Acteurs des Télécommunications et de la Société de l’Information.<br />
Je vous remercie.<br />
<br />
<strong>Fait à Kinshasa, le 17 mai 2014</strong><br />
<strong>Prof. Tryphon KIN-KIEY MULUMBA</strong><br />
<strong>Ministre des PT & NTIC</strong><br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Economie CAB 5 en Afrique Centrale : PT&NTIC, Kin-Kiey lance une réflexion sur le projet Large Bande

Le monde entier a célébré, le samedi 17 mai dernier, la Journée mondiale de la société de l’information, avec pour thème : ‘‘le large bande...

La démission de Bitakwira ‘‘suspectée’’ : Gouvernement de cohésion : l’UNC et Alliés menacent !

May 18, 2014

<h3>
Des questions brûlantes d’actualité ont été abordées, le samedi 17 mai dernier, par les Députés membres du Groupe parlementaire UNC et Alliés, lors de la réunion tenue au siège du parti cher à Kamerhe sis avenue de l’enseignement, dans la Commune de Kasa-Vubu. Le Bureau de ce Groupe a, au cours de ladite messe politique, annoncé, officiellement, à tous ses membres, la démission de Justin Bitakwira de la présidence du Groupe. </h3>
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S’agissant du gouvernement de cohésion nationale, le Groupe Parlementaire UNC et Alliés réaffirme sa position selon laquelle, il n’est pas concerné par les tractations en cours. Tout membre du Groupe qui ferait partie de ce gouvernement sera considéré comme ayant démissionné du groupe. La démission de Bitakwira serait-elle suspectée? Certains noms de ce Groupe parlementaire seraient-ils cités au cours de ces tractations ? Voilà autant des questions qui taraudent les esprits de ceux qui recherchent à comprendre des menaces, à peine voilées, de l’UNC & Alliés à l’endroit de ce qui vont se laisser débaucher.    <br />
<br />
Il a fallu attendre 5 jours après la démission de l’Honorable Justin Bitakwira de la présidence du Groupe Parlementaire UNC et Alliés, pour avoir la réaction officielle des ténors de ce regroupement parlementaire de l’opposition à l’Assemblée nationale. En effet, le samedi 17 mai dernier, au siège de l’Union pour la Nation Congolaise, situé sur l’avenue de l’enseignement, dans la commune de Kasa-Vubu, les Députés membres de ce groupe, sous la présidence de l’Honorable Lusenge, Vice-président du groupe, se sont réunis et ont planché sur des questions d’actualité en République Démocratique du Congo.<br />
<br />
Trois points, au total, étaient inscrits à l’ordre du jour de ladite rencontre, à savoir : la démission de Justin Bitakwira à la tête du Groupe Parlementaire, la position du groupe parlementaire UNC & Alliés en rapport avec  la formation du Gouvernement dit de Cohésion nationale et, enfin, les divers.<br />
<br />
Faisant la restitution à la presse, le rapporteur de ladite réunion, Steve Mbikayi, Président du Parti Travailliste et membre de ce regroupement, a indiqué, concernant le premier point relatif à la démission de Justin Bitakwira, que ‘’ Le bureau du groupe parlementaire a officiellement porté à la connaissance des membres, la démission de l’honorable Bitakwira de la présidence du groupe. Respectant la liberté de l’Honorable Bitakwira, le GPUA a pris acte de sa démission et va procéder à son remplacement dans les prochains jours’’.<br />
<br />
Gouvernement de cohésion nationale<br />
<br />
C’est depuis le 23 octobre 2013, convient-il de rappeler, lors de son discours de clôture des travaux des concertations nationales, devant les deux chambres du parlement réunies en congrès, que le Président de la République, Joseph Kabila, avait promis de mettre en place un gouvernement de cohésion nationale. C’est maintenant, soit près de 7 mois après, que les tractations ont commencé, par l’entremise de co-présidents du Présidium des concertations nationales, à savoir : Léon Kengo et Aubin Minaku.<br />
<br />
Réagissant par rapport à ces tractations, le Groupe Parlementaire UNC et Alliés n’est pas allé par le dos de la cuillère pour dire, haut et fort, qu’il n’est pas concerné par ce gouvernement. Il a, de ce fait, mis en garde tous ses élus. ‘’S’agissant du gouvernement de cohésion nationale, le Groupe Parlementaire UNC&Alliés réaffirme sa position selon laquelle, il n’est pas concerné par les tractations en cours. Tout membre du Groupe qui ferait partie de ce gouvernement sera considéré comme ayant démissionné du groupe’’, a dit Steve Mbikayi.<br />
<br />
Il y a lieu de signaler que tous les partis membres ont été représentés à cette réunion importante notamment, par les grands noms de ce groupe parlementaire. Parmi eux, il y a lieu de citer Jean-Baudouin Mayo Mambeke, Sam Bokolombe, Steve Mbikayi, Lusenge, Juvénal  Munubo, etc., qui, tous, ont pris part à ce rendez-vous.      <br />
<br />
La Pros.</div>
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Des questions brûlantes d’actualité ont été abordées, le samedi 17 mai dernier, par les Députés membres du Groupe parlementaire UNC et Alli...

Sorti de Makala : UDPS, Bruno Kabangu écroué de nouveau à Mbuji-Mayi !

May 18, 2014

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Bruno Kabangu, Secrétaire Fédéral de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, a quitté la Prison Centrale de Makala, à Kinshasa,  le vendredi 16 mai dernier. A Mbuji-Mayi où il se trouve présentement, rapportent des sources dignes de foi, il serait retenu au Parquet général, pour des raisons judiciaires. </h3>
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Justice Politique Sorti de Makala : UDPS, Bruno Kabangu écroué de nouveau à Mbuji-Mayi !

Bruno Kabangu, Secrétaire Fédéral de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, a quitté la Prison Centrale de Makala, à Kinshasa, l...

17 MAI : COMMÉMORATION RÉUSSIE !

May 18, 2014

Les organisateurs ont, cette fois-ci, impliqué l’élite de demain en décortiquant, à leur intention, la relation entre la « Révolution pardon » de M’Zee et la « Cohésion nationale » initiée par le Raïs
Une idée originale que celle qu’a eue le comité organisateur des commémorations du 17 mai, dirigé par Richard Muyej Mangez.
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<strong> Pour le 17ème anniversaire de la Révolution menée par Laurent-Désiré Kabila, le comité organisateur a placé le curseur sur la jeunesse estudiantine. En somme l’avenir du pays, en terme d’élite. A cette jeunesse, il a été proposé de s’imprégner du b.aba de la cohésion nationale initiée et pratiquée par Joseph Kabila, à l’aune de la Révolution pardon théorisée et mise en œuvre par Laurent Désiré Kabila. Comme pour dire que dix sept ans après, la vision du M’Zee reste vivante à travers son digne successeur, qu’est le Raïs Kabila. Un fils qui a pris part, du reste, à la longue marche initiée par le feu son père.</strong></div>
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Les étudiants des universités et instituts supérieurs de Kinshasa ont tiré profit de la 17ème commémoration de la libération du pays menée par M’Zee Laurent-Désiré Kabila à la tête de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL). A l’initiative du comité organisateur des manifestations en mémoire de la Révolution du 17 mai, les cadres de demain en provenance de l’Unikin, Ista, Isp, Ifasic, Unpc, Isc, Upn… ont été conviés à une conférence-débat sur le thème " de la révolution pardon à la cohésion nationale ". Une manière pour Richard Muyej, président du Comité organisateur, de permettre à cette frange de l’élite de revisiter M’Zee.<br />
Des centaines d’étudiants sélectionnés selon différentes facultés ou options, ont suivi avec intérêt l’exposé du Pr Biyoya sur la vraie démarche poursuivie par Laurent-Désiré Kabila. Les étudiants ont retenu que la date du 17 mai 1997 n’aura été que aboutissement d’un long combat justifié par l’amour de la patrie qui animait le troisième Président de la RDC. Combat qui, du reste, est sanctionné par le sacrifice suprême : la mort de M’Zee.</div>
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<strong>PARDON AUX MOBUTISTES</strong><br />
Dès son avènement à la tête du pays, reconnaît le Pr Biyoya, " M’Zee Laurent-Désiré Kabila, visionnaire, a déclenché un vrai changement de mentalités et de méthodes de travail par-delà les clivages politiques et idéologiques en prônant la révolution pardon. Ce, en graciant d’anciens collaborateurs du défunt maréchal alors que toutes les révolutions ont toujours été vengeresses ". Mieux, aux dires de l’intervenant, " Kabila n’est pas arrivé à Kinshasa en concurrent, mais plutôt en libérateur.<br />
Sur toutes les lignes, le Pr Biyoya, comme les autres intervenants notamment Didier Mumengi, Baby Mbayi démontrent que " la révolution du 17 mai a été au service de la cohésion nationale ". " M’Zee s’est présenté en serviteur du peuple avec une vision d’une nation congolaise forte ". Pour le Pr Biyoya, " les grandes idées de Laurent-Désiré Kabila sont à la base de la révolution pardon ". Pour cause, M’Zee ne voulait pas que les mobutistes quittent le pays après la libération, mais restent pour comparer les réalisations du nouveau régime à celles du régime Mobutu. Et de conclure que la cohésion nationale tant cherchée lors des Concertations nationales de septembre 2013 "n’était que la conséquence logique du combat de M’Zee ".<br />
Ce qui justifierait le parallèle entre la révolution pardon et les Concertations nationales convoquées par l’actuel chef de l’Etat, Joseph Kabila.</div>
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<strong>LE PATRIOTISME, UN IMPERATIF</strong><br />
" Le patriotisme était un devoir civique pour Laurent-Désiré Kabila, un impératif géopolitique inspiré après que la RDC soit attaquée à l’Est par les voisins et était logique à son égard plus qu’une bonne conscience professionnelle ".<br />
C’est de la sorte que " Kabila est mort avec sur sa table des documents où il couchait les idées de créer le panafricanisme devant réunir les jeunes africains de la sous-région de la Conférence internationale de la région des grands-lacs (Cirgl) dont il est l’initiateur ", a expliqué Baby Mbayi.<br />
L’idéal politique de M’Zee, a-t-on expliqué aux étudiants regroupés dans un palace de la Gombe, était qu’il tenait à faire de ses compatriotes de véritables bénéficiaires des richesses de leur pays. " Fort de cet idéal, il a légué au peuple congolais un héritage, celui de l’amour du travail, seul vrai facteur du développement de ce pays. Son idée-force ou sa philosophie se résumait en une phrase : nous devons nous prendre en charge ". <strong>Rachidi MABANDU</strong></div>
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la Nation 17 MAI : COMMÉMORATION RÉUSSIE !

Les organisateurs ont, cette fois-ci, impliqué l’élite de demain en décortiquant, à leur intention, la relation entre la « Révolution pardon...

Gouvernement de cohésion : Matata, difficile succession !

May 18, 2014

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*L’une des résolutions des concertations nationales, du moins la plus attendue, sera concrétisée vraisemblablement cette semaine. Il s’agit du fameux Gouvernement dit de cohésion nationale, pour lequel les consultations seraient très avancées, à en croire des sources proches de la co-présidence du CNS-RCN.
</h3>
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D’après plusieurs analystes patentés, l’escamotage de la formule classique, qui consiste à désigner un informateur avant la mise sur pied d’une telle équipe cosmopolite, laisse croire que l’actuel locataire de la primature serait en passe d’être reconduit. Non sans raisons. Les performances accomplies par Matata et les perspectives par lui tracées, ont replacé la RDC sur orbite, avec des records non égalés au départ des années 1970. En effet, les comptables des réalisations du cabinet Matata pense qu’au vu de l’accomplissement de la mission la plus exaltante, celle de la pacification de l’Est du pays, dans le strict respect du front, à volet triple, tracé par le Raïs notamment, politique, diplomatique et militaire, pour venir à bout du M23 et des autres groupes négatifs, nationaux comme étrangers, suscite de l’espoir pour un pays qui canalise désormais toutes ses ressources à sa reconstruction et pour le mieux-être de ses populations. Bien plus, le dépassement de la barre de 8% du taux de croissance fin 2013 et le bouclage, la même année, du taux d’inflation à moins de 2%, un record jamais égalé depuis le début des années 1970, témoigne de la maîtrise des paramètres macro-économiques qui, du reste, ont séduit les agences de cotation les plus tatillonnes à travers le monde. Les félicitations de la RDC, outre mer, de l’Unesco, au travers de sa Directrice Générale, Irina Bokova, ont valu au pays de Kabila USD 100 millions pour l’éducation, alors que le pays s’est engagé dans un ambitieux programme de reconstruction de 1000 écoles. La liste est loin d’être exhaustive. Voilà pourquoi, des voix s’élèvent, pour mettre en garde contre la mise en cause de tels fondements, à travers un Gouvernement dit de cohésion, mais qui, dans la pratique, risque de devenir un Gouvernement de zizanie. Car, cohésion doit rimer avec symphonie. A défaut, des efforts fournis, qui ont engrangé des résultats probants,  seront tout simplement annihilés. En lieu et place de la consolidation des acquis, l’on reprendra le chemin, mais à tâtons, le temps pour plusieurs nouveaux  arrivants,  de se familiariser avec les dossiers. En cette dernière ligne droite du quinquennat, lâche un ténor de la majorité présidentielle, l’heure doit être à capitalisation des acquis. Et qui dit capitalisation, dit continuité dans la lancée. Parce qu’il va falloir, avec la nouvelle équipe, naviguer en haute mer, dans des eaux troubles. Et, en haute mer, il faut savoir faire confiance au pilote et au co-pilote, Kabila et Matata, qui ont amené le bateau ‘‘Révolution de la Modernité’’, à son stade actuel.         <br />
<br />
Deux ans, c’est peu ; deux ans, c’est beaucoup, c’est selon. Oui ! Tel est l’âge du Cabinet Matata, mis en place par le Chef de l’Etat,  en avril 2012. Mais, que dire des réalisations ? A cette question-bilan posée le week-end dernier au Porte-parole du Gouvernement, M. Lambert Mende, sa réponse a été méthodique.<br />
<br />
Le plan sécuritaire<br />
<br />
A l’en croire, la première mission, la plus importante, la plus exaltante, confiée à cette équipe, était la pacification de l’Est de la République Démocratique du Congo, c’est-à-dire, ramener la stabilité sur le plan sécuritaire. En bref, mettre fin à la guerre ou, mieux, à l’aventure cynique de la création rwandaise qu’était le M23. Mission accomplie à ce jour. Bien plus, le Gouvernement, avec l’appui de la Monusco, sur mandat des Nations Unies, au terme de la résolution 2098,  a étendu cet objectif à tous les autres groupes armés actifs à l’Est, nationaux comme étrangers. Au point qu’à ce jour, la situation est sous contrôle de l’armée régulière. Cette performance est une  conjonction de trois fronts : politique, diplomatique et militaire, dictés par Kabila Kabange, a été pris à bras-le-corps par l’équipe Matata.<br />
<br />
Record inégalé au départ des années 1970<br />
<br />
Sur le plan économique, la chanson la plus chantée, et la plus maîtrisée par Augustin Matata, reste la stabilisation du cadre macroéconomique, laquelle a séduit les agences les plus sceptiques qui, au finish, ont reconnu les prouesses du Chef du Gouvernement Congolais. Les notes de Moody’s à l’endroit du Congo-Kinshasa sont donc satisfaisantes. Parce que convaincu par les chiffres. Tenez ! Rien que pour l’année 2013, le taux de croissance a dépassé la barre de 8%  et le pays a bouclé la même année 2013, avec un taux d’inflation de moins de 2 %, un record, il convient de le souligner, jamais égalé depuis le début des années 1970.  <br />
<br />
Le social bouge<br />
<br />
Au plan Social, secteur négligé des décennies durant, l’Education a été porté à un niveau qui a honoré la République au plan international, principalement à l’Unesco qui n’a pas manqué de jeter  des  fleurs publiquement à la RDC.<br />
<br />
Adoubé par les éloges de Mme Irina Bokova de l’Unesco, Matata Ponyo explose dans le domaine qu’il maîtrise le mieux : les chiffres. En effet, dans son intervention à Mascate, capitale du Sultanat  d’Oman, où il a été l’invité d’honneur de la réunion mondiale sur «l’Education pour tous» organisée, du 12 au 14 mai 2014, le Premier ministre a souligné les progrès accomplis en matière de scolarisation et d’alphabétisation en RD Congo ces dernières années. Ainsi, a-t-il révélé, le taux brut de scolarisation a progressé de 83,7 % en 2007 à 101 % en 2012 en école primaire, pour des effectifs qui sont passés de 8,8 millions d’élèves à 12,6 millions sur la même période. Les dépenses consacrées à l’éducation, a-t-il indiqué, sont passées de 6% du budget national en 2007 à 16,04 % en 2014.<br />
<br />
Le miracle, c’est que le gouvernement congolais a lancé, en avril 2013, le Programme de reconstruction et de réhabilitation des infrastructures scolaires (PRRIS) avec une dotation en fonds propres de 100 millions de dollars, avec pour objectif de construire ou réhabiliter 1.000 écoles sur l’ensemble du territoire national. À ce jour, 180 écoles ont déjà été livrées et 580 sont en chantier.<br />
<br />
Par ailleurs, une nouvelle loi-cadre de l’enseignement national a été promulguée, le 11 février 2014, et une Mutuelle de santé des enseignants a été créée.<br />
<br />
Bancarisation ?<br />
<br />
Que dire de la bancarisation de la paie des fonctionnaires, lancée en 2011 et étendue en 2013 sur l’ensemble du territoire, a largement contribué à l’amélioration des conditions de vie de cette catégorie socioprofessionnelle du pays.<br />
<br />
Le transport en commun ressuscite<br />
<br />
Depuis les années ‘‘ Sotraz’’, la République n’avait plus jamais vu une société de transport de la trempe de Transco, avec des bus neufs, effectuant de longs trajets à un prix qui étonne.<br />
<br />
‘‘L’opération l’esprit de vie’, cette démarche qui ne vise qu’à créer une classe moyenne dans ce secteur porteur, sort de l’ordinaire.<br />
<br />
Les Lignes aériennes congolaises qui sont restées lignes sans aucun aéronef est en passe de renaître, cette fois-là, sous une nouvelle appellation, Congo-Airways. <br />
<br />
Les grands travaux<br />
<br />
Jamais la RDC n’a été aussi un chantier comme ces deux dernières années. En effet, dans la droite ligne de la Révolution de la Modernité chère au Raïs, Matata a entrepris la construction et la réhabilitation des infrastructures sanitaires, routières et aéroportuaires. Sans compter des bâtisses à la dimension de l’Hôtel du Gouvernement à la place Le Royal, dans la Commune de la Gombe. Que dire des parcs agro-industriels destinés à la relance de l’agriculture, avec la finalité de réaliser, dans un avenir pas trop lointain, l’autosuffisance alimentaire.<br />
<br />
La RDC de plus en plus fréquentable<br />
<br />
Sous le leadership du Chef de l’Etat, le cabinet Matata a rendu le Congo-Kinshasa fréquentable. Au point d’organiser les sommets d’envergure sous-régionale, régionale, voire internationale. La voix de ce géant au cœur de l’Afrique est désormais portée au loin, et se fait entendre. A telle enseigne que les partenaires, de la taille de la Banque mondiale n’hésitent pas à financer les grands projets, à l’instar du projet Inga III qui est très avancé.<br />
<br />
Les Congolais tranchent<br />
<br />
Eu égard à toutes ces prouesses, et d’autres encore non relevées ici, des congolais ont fini par adopté le style Matata. En témoignent les derniers sondages réalisés par ‘‘Les Points’’ où le Chef de l’Exécutif national a recueilli 61% d’opinions favorables. <br />
<br />
Et donc, pour les sondés, le pays a plus à gagner en poursuivant l’élan actuel, en lieu et place de le briser.<br />
<br />
La Pros.

Politique Gouvernement de cohésion : Matata, difficile succession !

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May 18, 2014

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17 mai 2014 : Mzee Kabila, Marini rappelle le sens de la révolution-pardon

May 18, 2014

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Un samedi vécu autrement à Kinshasa. Kabilistes de tous bords, hommes et femmes épris de paix, jeunes et  acteurs politiques, autorités politico-militaires ainsi que les Ambassadeurs et Chefs des Missions Diplomatiques étaient tous là. Avec eux, une cohorte de militants et sympathisants, venus de tous les coins de Kinshasa, la capitale, pour rendre, une fois de plus, des hommages dignes à Mzee Kabila, le tombeur du Maréchal Mobutu.</h3>
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C’est une cathédrale du Centenaire Protestant pleine  à craquer qui, ce jour-là, a accueilli cette cérémonie de haute portée historique, pour la révolution-pardon qui triompha, il y a dix-sept ans.<br />
En première ligne, au devant de la scène, l’occasion était, pour les compagnons du Soldat du Peuple, de rappeler à la mémoire collective, la pensée, l’œuvre et le parcours de cet homme, ce grand libérateur que fut Mzee Kabila.<br />
Après l’hymne national et le chant entonné par la chorale,  Monseigneur Marini Bodho  a articulé son homélie sur deux axes.<br />
Primo, il a développé les hauts faits  de la révolution-pardon  prônée  par Laurent-Désiré Kabila,  à son  accession au pouvoir.<br />
Et,  secundo,  sur le mystère de la  réconciliation.<br />
Substantiellement, l’officiant du jour a tiré son message de  l’évangile de Matthieu 18 : 15-18, qui stipule : « si ton frère a péché contre toi, va et reprends-le entre toi et lui seul. S’il t’écoute,  tu as gagné ton frère. Mais, s’il ne t’écoute pas, prends avec toi une ou deux personnes, afin que toute l’affaire se règle sur la déclaration de deux ou de trois témoins. S’il refuse de les écouter, dis-le à l’Eglise ; et s’il refuse aussi d’écouter l’Eglise, qu’il soit pour toi comme un païen et un publicain ».<br />
Il a établi  un  parallélisme entre  Jésus qui enseignait à ses disciples le pardon et  Mzee Kabila qui,  au lendemain de la prise de pouvoir,  prêchait la révolution-pardon.<br />
Ce dernier, grâce au pardon,   avait réuni  autour de lui, des anciens dignitaires politiques et militaires de la Deuxième République.<br />
Le mot pardon symbolise, selon les Saintes Ecritures,   un amour.  C’est aussi une puissance qui libère.<br />
Concernant la réconciliation,  Monseigneur Marini  a fait savoir, enfin,  qu’ensemble,  nous pouvons tout.  Allusion faite, ici, aux dissensions politiques qui, très souvent, n’aident pas le pays à aller de l’avant.<br />
Un petit témoignage<br />
Interrogé par la presse, en marge de cette cérémonie, Bahati Lukwebo, Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale,  a déclaré  que : « ce genre de message prouve que le  peuple congolais  veut s’assumer.  Parce que nous devons quitter ce paradoxe ; celui d’un peuple qui a été gâté par la nature, par le bon Dieu. Mais  qui demeure pauvre. Ce paradoxe, c’est nous les dirigeants qui devons  le relever  par des méthodes et  stratégies qui nous permettent de transformer nos ressources et de les distribuer à l’ensemble de la population ».<br />
<strong>Jimmy Biata</strong><br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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