BA SANGO YA CONGO KINSHASA

En perspective des activités du 23 au 25 mars prochain. Kinshasa: Isabel Tshombe harmonise avec Bouramah Ali Harouna

March 13, 2017

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Le Secrétaire général de la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES), Bouramah Ali HAROUNA a terminé, le jeudi 9 mars 2017, sa mission de travail en République Démocratique du Congo. Lors de cette mission de 2 jours, le nigérien Bouramah Ali HAROUNA a eu des échanges avec certaines autorités. C’est dans ce cadre, qu’il a rencontré le mercredi 8 mars la Représentante Personnelle du Chef de l’Etat à la Francophonie, madame Isabel TSHOMBE.<br />
<br />
Il sied de signaler que le Secrétaire général de la CONFEJES  était accompagné par  la correspondante nationale de la CONFEJES, Thérèse MBUJIBUNGI.<br />
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Mr HAROUNA a informé madame Isabel TSHOMBE de la tenue du 23 au 25 mars prochain à Kinshasa d’une rencontre de directeurs nationaux de la jeunesse et ceux de sports  des Etats membres de la CONFEJES de l’Afrique centrale. Cette session régionale sera axée sur la Gouvernance sectorielle.<br />
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Il a, par ailleurs, salué l’accompagnement  qu’apporte  la Représentante Personnelle du Chef de l’Etat à la Francophonie  à la ministre de la jeunesse et de l’initiation à la nouvelle citoyenneté dans le cadre de la présidence RDC de la CONFEJES.<br />
<br />
En effet, depuis la tenue en 2015 de la 35ème Conférence ministérielle de la CONFEJES à Kinshasa, la RDC assume la présidence de cette Conférence permanente de l’Organisation Internationale de la Francophonie.<br />
<br />
La Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie, Créée en 1969, est une institution intergouvernementale qui œuvre pour la promotion de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs au sein de l’espace francophone.<br />
<br />
Sa mission est de mobiliser les pays, les ressources et les énergies dans une perspective de concertation afin de promouvoir la participation et l’insertion des jeunes au sein de la société.<br />
<br />
La CONFEJES compte 43 Etats et gouvernements membres. En tant que membre, la RDC bénéficie des projets de la CONFEJES notamment le Programme de Promotion de l’Entrepreneuriat des Jeunes (PPEJ) qui appui le financement des jeunes entrepreneurs.

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Le Secrétaire général de la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES), Bouramah Ali HAROUNA a...

« Je ne quitterai jamais l’UNC, je suis à l’aise aux cotés de Vital Kamerhe » (Mayo)

March 13, 2017

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<br />Informé des rumeurs faisant état de son départ de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), Jean Baudouin Mayo Mambeke dément catégoriquement et réaffirme son attachement au président de son parti Vital Kamerhe.<br /><br />« Ceux qui m’aiment m’appellent pour me dire qu’il circulerait des rumeurs sur mon éventuel départ de l’UNC parce qu’ayant fondé mon propre parti. Il n’y a rien de plus faux que cette rumeur, si jamais elle existe. Je ne quitterai jamais alors jamais mon parti, que nous avons bâti autour du président national Vital Kamerhe. Ceux qui caressent un tel projet risquent d’attendre longtemps et de vite déchanter. Est-ce que quitter l’UNC est vraiment nécessaire ? Non, je pense que ça, c’est donner l’impression d’être à l’action de ceux qui veulent isoler le président national Vital Kamerhe de ses collaborateurs de départ. Cette stratégie ne réussira pas. Et en ce qui me concerne, j’ai des relations privilégiées, sincères et responsables avec le chef du parti. C’est ce qui m’importe le plus. Halte au colportage. Ridicule. Tokotikela mutu UNC te. Mbamba na UNC (Ndlr « Nous ne laisseront l’UNC à personne. Nous nous y accrochons). » a déclaré à ACTUALITE.CD Jean Baudoin Mayo Mambeke, interfédéral de l’UNC pour la ville de Kinshasa, ce samedi 11 mars 2017.<br /><br />À ACTUALITE.CD , jeudi 9 mars dernier, Vital Kamerhe avait apprécié le travail abattu par Jean Baudoin Mayo Mambeke, jugé très actif. Pourtant, Jean Baudouin Mayo Mambeke qui avait, 24 heures après la mise en place du gouvernement BADIBANGA, sévèrement critiqué Vital Kamerhe.<br /><br />« Malgré nos efforts et notre attachement, nous venons de donner raison à Ewanga, notre ancien secrétaire général qui avait affirmé que seuls l’Est et les amitiés intimes comptaient pour notre président national, l’Ouest n’étant qu’un faire-valoir. Nous refusons d’assumer ce rôle et sommes prêts à envisager l’avenir autrement. Ça suffit avec le jeu solitaire » avait-il alors lâché.<br /><br />Il faut donc croire qu’entre les deux hommes, les relations se sont harmonisées. Nombreux sont ceux qui voyaient cet élu de la ville de Kinshasa sur le départ, mais le voici confirmer le contraire.<br /><br />Stanys Bujakera<br />

Politique « Je ne quitterai jamais l’UNC, je suis à l’aise aux cotés de Vital Kamerhe » (Mayo)

Informé des rumeurs faisant état de son départ de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), Jean Baudouin Mayo Mambeke dément catégoriqueme...

Bokolombe démissionne du secrétariat de l’UNC mais demeure membre pour préserver son siège de député

March 13, 2017

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« Les raisons sont personnelles », dit-il dans sa lettre déposée au bureau du président du parti, Vital Kamerhe.<br />
Pas surprenant, d’autant plus qu’il ne ménage pas Vital Kamerhe via les réseaux sociaux dont il doute désormais de la qualité d’opposant.<br />
« Se méfier des apparences. Vous êtes de quel camp ? Il y a un problème d’identité politique. Pas de lisibilité. On ne devient pas un opposant parce que la kabilie, votre ancienne famille politique, refuse de vous y réintégrer. Manœuvres politiciennes, ruse politique ! Les endroits les plus incandescents de l’enfer sont réservés aux gens qui n’ont pas de position », avait-il écrit. Des propos qu’il a confirmés au téléphone d’ACTUALITE.CD.<br />
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Sam Bokolombe pousse à sa propre exclusion<br />
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« Il fait des provocations en insultant le chef sur la place publique pour que Kamerhe le chasse du parti, et qu’ainsi, il garde son siège de député à l’assemblée nationale. Ce n’est pas normal qu’il puisse avoir du courage et démissionner », lâche un haut cadre de l’UNC qui a requis l’anonymat.<br />
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Le gouvernement Badibanga, source de problèmes<br />
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Plusieurs cadres de l’UNC ont été frustrés 24 heures après la mise en place du gouvernement Badibanga, reprochant à Vital Kamerhe de ne favoriser que ses frères ressortissants de l’Est qui ont obtenu deux sièges au gouvernement et ses amis dont Pierre Kangudia du Kasaï qui est aussi au gouvernement. Plusieurs membres de la partie ouest du pays, membres de l’UNC, se sentent laissés pour compte.<br />
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Stanys Bujakera

Politique Bokolombe démissionne du secrétariat de l’UNC mais demeure membre pour préserver son siège de député

Le député national Sam Bokolombe a démissionné de son poste de secrétaire national de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), en charge de ...

Samuel, 6 ans, le Aylan congolais retrouvé mort sur une plage espagnole

March 13, 2017

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Samuel et sa mère, comme plusieurs autres migrants, ont été victimes du naufrage d’un canot pneumatique parti du Maroc le 11 juin.<br />
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Véronique Nzazi, la mère du petit garçon, a été enterrée en Algérie où l’océan avait trainé son corps. Samuel, lui, a été trouvé le 27 janvier sur une des plages de Barbate (Cadix), sur la côte Atlantique.<br />
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Aimé Kabamba, père de Samuel, aidé par l’ambassade de Kinshasa, a pu se rendre à Andalousie pour assister aux funérailles de son fils.<br />
<br />
Selon le témoignage du père, la mère de Samuel pensait se rendre en Espagne pour soigner une tumeur cancéreuse derrière l’oreille. Elle se sentait mal à l’idée de voyager sans le petit jeune de ses enfants qui souffraient également des problèmes pulmonaires.<br />
<br />
Comme Véronique et Samuel, de milliers des congolais tentent de rejoindre l’Europe en passant par le Maghreb, mais très peu réussissent cette aventure pour le moins périlleuse. Le cas de Véronique et Samuel est particulier parce que la maladie de Véronique était avérée comme le témoigne les documents présentés par Aimé Kabamba. Des démarches menées à la Maison Schengen à Kinshasa et au Maroc avaient toutes échouées. Pour la famille, c’était donc une question de vie ou de mort.<br />
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actualite.cd

Politique Samuel, 6 ans, le Aylan congolais retrouvé mort sur une plage espagnole

La semaine de l’actualité congolaise a été marquée par l’histoire de ce petit garçon de six ans dont le corps s’était échoué sur une plage d...

Kabila, Tshisekedi lui manque déjà…

March 13, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfHP0lTxtR-SSqJCI301yhg-3_JX7kkxdBST_v3oezDlAzV-Qm9d9Sohazb3Pg43lXlaoHgtPfHcIM3AzqQGGBxTXOx6Yimv5aofAUF31M4NbNhySDgcK2J4ECotNTCtmRCaoKsRDdOfjP/s1600/Snapshot_1182.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfHP0lTxtR-SSqJCI301yhg-3_JX7kkxdBST_v3oezDlAzV-Qm9d9Sohazb3Pg43lXlaoHgtPfHcIM3AzqQGGBxTXOx6Yimv5aofAUF31M4NbNhySDgcK2J4ECotNTCtmRCaoKsRDdOfjP/s400/Snapshot_1182.jpeg" width="400" /></a>Le président Joseph Kabila est peut-être plus touché qu'on ne pouvait l'imaginer à la disparition, le 1er février dernier, de son opposant attiré, Etienne Tshisekedi wa Mulumba.« C’est le président Kabila qui sort gagnant », affirmait la journaliste Colette Braeckman du journal LE SOIR en Belgique,  dans la foulée de l’annonce fracassante de la mort du leader de l’opposition congolais à l’âge de 84 ans à Bruxelles . La dame, Spécialiste attitrée du Congo, qui a couvert pendant plus de trois décennies la scène politique de la RDC, y affirmait en outre que la disparition d’Étienne Tshisekedi fragilisait l’opposition congolaise regroupée au sein du Rassemblement, et que de ce fait, Joseph Kabila devrait en profiter.<br />
<br />
« L’opposition radicale. Sa disparition risque de fragmenter l’opposition en RDC, et de laisser à nouveau les intérêts individuels ou politiciens l’emporter sur l’intérêt général. Une fois de plus c’est le président Kabila qui sort gagnant : il a gagné du temps, ce qui est à lui est à lui et ce n’est pas négociable, il peut rester en fonction jusqu’aux prochaines élections. Ce qui appartient à l’opposition est négociable« , disait-elle dans une interview à la télévision belge RTBF, le 2 février dernier.<br />
<br />
Hélas, si la première partie de l’analyse de la journaliste belge s’est avérée exacte, à savoir la « fragmentation » de l’opposition congolaise, caractérisée par des dissensions et guerres au sein du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement, l’autre partie ne semble pour autant pas se concrétiser.<br />
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En effet, alors que l’accord signé le 31 décembre dernier à Kinshasa semblait être garanti par deux principaux protagonistes de la crise politique en RDC, à savoir le président Joseph Kabila et sa famille politique d’un côté, et Etienne Tshisekedi et son Rassemblement de l’autre, la disparition du Sphinx de Limete pourrait priver les Kabilistes d’un interlocuteur valable.  Même si la division au sein de la  première coalition de l’opposition semble pour l’instant arranger les plans de la Majorité au pouvoir, nul n’est sûr que cela soit le cas dans le long terme. Un Rassemblement fort déstabilisé, voir amoindri menacerait directement ce fameux accord trouvé à l’arrache-pied et qui a permis à Joseph Kabila de respirer un peu sur la scène internationale.<br />
<br />
Tout le monde se souviendra que le président congolais y a couru après depuis novembre 2015, date à laquelle il a décrété le Dialogue politique, croyant mordicus avoir la participation d’Etienne Tshisekedi, pour ainsi crédibiliser cette manoeuvre. Les réunions entre des représentants du pouvoir et ceux des proches de Tshisekedi à travers l’Europe et dans des officines à Kinshasa n’ont fait que renforcer la thèse selon laquelle: seule le leader de l’UDPS restait un interlocuteur crédible tant aux yeux du pouvoir qu’à ceux de la Communauté internationale; qui, entre-temps, n’a pas dévissé sa pression sur un Kabila suffocant.<br />
<br />
Et lorsque le Lider-Maximo a réussi, comme par magie, à fédérer les Katumbi et les Olenghankoy autour du grand Rassemblement, le pouvoir n’a pas hésité à sauter sur l’occasion pour institutionnaliser son glissement au pouvoir, allant jusqu’à remettre en cause un allié comme Vital Kamerhe et à s’offrir même un deuxième Dialogue.<br />
<br />
En panne d’interlocuteurs<br />
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Aujourd’hui, comme le Porte-parole de la Majorité présidentielle, André-Alain Atundu Liongo l’a dit dans une interview dimanche sur POLITICO.CD, le blocage actuel dans l’application de l’accord est plus que jamais lié à la situation au sein du Rassemblement.<br />
<br />
« C’est l’UDPS et le Rassemblement qui n’ont pas un Président du Conseil des Sages qui bloquent l’accord. La Majorité est prête mais nous n’avons pas de partenaire de discussion. Le Rassemblement se décline actuellement en 3 courants et est incapable de se présenter dans les discussions en un front face à la MP« , explique l’Ambassadeur André Atundu. Même si le Porte-parole de la coalition des partis au pouvoir  est plus que jamais partial et Kabiliste, une petite vérité ressort néanmoins de ces propos: Jospeh Kabila manque d’interlocuteur de la trempe de Tshisekedi.<br />
<br />
Désignés à la tête du Rassemblement, puis contestés par une frange certes disparate, Félix Tshisekedi et Pierre Lumbi seront sincères d’admettre qu’ils ne peuvent pas autant peser sur la Kabilie, encore moins sur l’opposition que pouvait le faire Etienne Tshisekedi. Alors que déjà le Mouvement de Libération du Congo (MLC) aboie comme un chien enragé, avec sa coalition du Front pour le Respect de la Constitution dont personne ne sait réellement ce qu’il vaut vraiment, contre Pierre Lumbi, de la même manière que certains au sein même du Rassemblement, Joseph Kabila qui a la rancune tenace ne pourrait de ce fait se faire à l’idée d’adouber un homme qui l’a copieusement trahit; certes à démonter.<br />
<br />
De plus, derrière les ficelles mimant les mouvements de Lumbi, nous avons un Katumbi qui n’est rien d’autre que l’homme à abattre de la Kabilie. Juste à côté, un Vital Kamerhe égaré et de nouveau amoureux, à qui on a clairement montré qu’on ne lui faisait pas confiance. Des pions utilisables comme Olenghankoy ou Katebe Katoto ont un travail de popularité à faire… dans cette navigation en eaux troubles, Joseph Kabila devrait se sentir perdu, au point de vouloir plus que jamais ressuscité « le vieux ». Sauf s’il n’a jamais été question d’appliquer cet accord…<br />
<br />
SOPOLITICO,<br />
Par Litsani Choukran,<br />
Le Fondé.

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Le président Joseph Kabila est peut-être plus touché qu'on ne pouvait l'imaginer à la disparition, le 1er février dernier, de son op...

Des associations portent plainte contre le président Kabila à la CPI

March 13, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidfQjufZOq4sc1O9UvpBYBh4LDEJIQ7SojcOZJLQ934Dlj7Gty4FCVZZP0w2gCxdcTj5PW_4cGn4c-Mtf7T4kKKWHaF3U8-cTJBuO88AcIujbL-qYYy-dw_TZJjveI7d1k3jzLWmdVGUrN/s1600/Snapshot_1189.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidfQjufZOq4sc1O9UvpBYBh4LDEJIQ7SojcOZJLQ934Dlj7Gty4FCVZZP0w2gCxdcTj5PW_4cGn4c-Mtf7T4kKKWHaF3U8-cTJBuO88AcIujbL-qYYy-dw_TZJjveI7d1k3jzLWmdVGUrN/s400/Snapshot_1189.jpeg" width="400" /></a></div>
Un collectif d’associations congolaises a déposé une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre du président Joseph Kabila pour les exactions commises par ses services de sécurité. Une plainte jugée recevable par la CPI, même si aucune enquête ne vise pour l’instant le chef de l’Etat congolais.<br />
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Depuis 2012, de nombreuses plaintes sont régulièrement déposées devant la Cour pénale internationale (CPI) contre l’Etat congolais pour des violations répétées des Droits de l’homme. Vendredi 10 mars 2017, un collectif d’associations accompagné de plus de 200 Congolais de la diaspora ont déposé de nouvelles plaintes à la suite de la récente flambée de violence au Kasaï et de la découverte de fosses communes. Des plaintes jugées recevables par la Cour et qui seront désormais regroupées dans un même dossier avec les plaintes antérieures. Ce qui ne veut toutefois pas dire que la CPI engagera des poursuites. A la tête de cette action, l’association APRODEC, l’Association pour la promotion de la Démocratie et de Développement, ou la LICOF, la Ligue contre la Corruption et la Fraude que préside Oscar Rashidi qui répond aux questions d’Afrikarabia.<br />
<br />
Afrikarabia : Sur quels éléments vous basez-vous pour déposer cette plainte à l’encontre du président congolais ?  <br />
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Oscar Rashidi : C’est une plainte contre Joseph Kabila pour crime contre l’humanité, crimes de guerre et génocide. Des fosses communes ont été découvertes à Maluku en avril 2015, ou récemment au Kasaï après les massacres commis par l’armée contre les adeptes de Kamuina Nsapu. Ces tueries ont pour responsable le chef de l’Etat qui est censé protéger les civils alors que toutes ces exactions sont perpétrées par les forces de sécurité congolaises. C’est donc le chef de l’Etat qui doit répondre de ces actes. Nous avons également remarqué que des groupes de miliciens sont financés par le gouvernement congolais. Trop c’est trop. Et c’est pour cela que ces Congolais ont déposé des plaintes pour que Joseph Kabila puisse enfin répondre de ces actes.<br />
<br />
Afrikarabia : Toutes ces accusations sont-elles documentées ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Nous avons une documentation solide, avec des photos à l’appui. Et toutes ces plaintes déposées depuis plusieurs années seront désormais rassemblées, en accord avec la CPI, sous un même numéro de dossier.<br />
<br />
Afrikarabia : Avez-vous reçu une réponse de la CPI ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Ces plaintes ont été jugées recevables et seront désormais regroupées par ce collectif d’associations ce qui permettra d’assurer le suivi des affaires auprès de la CPI. Auparavant, il y avait trop de plaintes multiples… nous avons maintenant un numéro de dossier unique à la Cour pénale internationale.<br />
<br />
Afrikarabia : Avez-vous espoir qui ces plaintes aboutissent ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Je crois qu’il y a maintenant une forte mobilisation des Congolais contre le silence de la communauté internationale. Surtout auprès de la Cour pénale internationale qui a pour mission de poursuivre tous ces dictateurs qui sont aujourd’hui impunis. L’espoir est permis tout simplement parce que désormais la CPI a jugé recevable ces plaintes. Pour nous, nos documents sont convaincants et solides.<br />
<br />
Afrikarabia : La RDC traverse une grave crise politique. Ces plaintes sont-elles en mesure de faire évoluer Joseph Kabila ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Le dépôt de cette plainte est un signal fort contre le gouvernement de Kinshasa. Il faut que les autorités comprennent l’exaspération de la population congolaise. Les Congolais en ont assez de ces massacres de civils à l’infini. Les autorités doivent comprendre qu’il faut maintenant faire cesser ces massacres.<br />
<br />
Afrikarabia : Certains présidents africains ont déjà été ciblés par la CPI sans résultat, comme le président soudanais Omar El Béchir. Le président Joseph Kabila peut-il vraiment être inquiété par la CPI ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Nous dénonçons justement cette politique des deux poids deux mesures. Laurent Gbagbo avait commis ce genre d’exactions lors des élections en Côte d’Ivoire. La communauté internationale avait alors réagi rapidement et aujourd’hui Laurent Gbagbo est devant la CPI. C’est donc possible. Joseph Kabila a tué des millions de personnes, des enfants ont été massacrés… Il faut maintenant que la CPI sorte de son sommeil vis à vis de la situation en RDC.<br />
<img src="https://i1.wp.com/www.politico.cd/wp-content/uploads/2017/03/IMG_20170313_073155.jpg?resize=702%2C964" /><br />
Afrikarabia : Cette plainte peut-elle également sonner comme un avertissement pour les responsables des services de sécurité congolais, militaires ou policiers ?<br />
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Oscar Rashidi : Il y a un commanditaire qui est connu aujourd’hui, c’est Joseph Kabila, mais il utilise bien sûr ses forces de sécurité pour commettre les massacres. Les auteurs des tueries doivent bien évidemment être identifiés et sanctionnés. Avec le dépôt de ces plaintes, nous sommes persuadés que tous les responsables des services de renseignements et de sécurité peuvent maintenant être poursuivis. La pression est de plus en plus forte.<br />
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Afrikarabia : Les menaces de sanctions ciblées de l’Union européenne à l’encontre de hauts dignitaires congolais vont dans le bon sens selon vous ?<br />
<br />
Oscar Rashidi : Il faut clairement aller au-delà de ces simples déclarations d’intention. Ces mesures ont insuffisantes jusqu’à ce jour. Une délégation de la FIDH est actuellement aux Etats-unis pour sensibiliser les américains à la situation congolaise et que des sanctions soient prises au plus haut niveau. Et nous profitons du dépôt de cette plainte à la CPI pour renouveler notre appel à tous les Congolais et toutes les organisations des droits de l’homme qui détiennent des preuves des exactions des autorités de Kinshasa ou de nouveaux éléments, à nous transmettre les documents pour les porter au dossier.<br />
<br />
Propos recueillis par Christophe RIGAUD – Afrikarabia

Politique Des associations portent plainte contre le président Kabila à la CPI

Un collectif d’associations congolaises a déposé une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre du président Joseph K...

Bertrand Ewanga : « L’AR a exclu Raphaël Katebe Katoto pour assurer l’élection de Moïse Katumbi à la prochaine présidentielle «

March 13, 2017

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Interrogé par Politico.cd sur l’exclusion de Raphaël Katebe Katoto de l’AR, le Secrétaire général de l’Alternance pour la République, Bertrand Ewanga a justifié cette exclusion par le fait que Raphaël Katebe Katoto prenait de plus en plus des positions qui mettaient des bâtons dans les roues de la machine à faire élire son jeune frère Moïse Katumbi, à la future présidentielle en RDC.<br />
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« Katebe Katoto était notre sage. Mais il prenait des décisions sans impliquer sa base l’AR. Nous l’avons suspendu à titre provisoire et il est venu jusqu’à Kinshasa pour répondre à la commission de discipline instituée à cet effet. Mais après avoir répondu, il a continué également à faire des déclarations et à prendre des initiatives qui vont à l’encontre des intérêts de la plateforme et dans le sens de déstabiliser le Rassemblement. La meilleure de chose était alors de lui demander de partir« , a-t-il expliqué.<br />
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Bertrand Ewanga a rappelé qu’avant l’ULD de Raphaël Katebe Katoto, l’AR avait déjà exclu trois  autres partis politiques, pour des raisons de discipline. Raphaël Katebe Katoto est un grand acteur politique qui pourra s’organiser autrement et l’AR poursuivra son bonhomme de chemin sans lui, selon lui.<br />
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» Nous avons un candidat à nous, Monsieur Moïse Katumbi, et nous nous préparons pour son élection future. Il faut éviter qu’il y ait des obstacles dans le parcours en rapport avec les amis du Rassemblement. C’est pourquoi nous avons décidé de nous séparer de lui « , a-t-il confié.<br />
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Si le gouvernement continue à bloquer l’application des mesures de décrispation, pour empêcher à Moïse Katumbi de venir postuler, Bertrand Ewanga avertit que sa famille politique entreprendra très prochainement des mesures civiles pour débloquer ce blocage.<br />
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Ecoutez Jean-Bertrand Ewanga au micro d’Aline Engbe<iframe frameborder="no" height="150" scrolling="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=https%3A//api.soundcloud.com/tracks/311677020&auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false&visual=true" width="100%"></iframe>

Politique Bertrand Ewanga : « L’AR a exclu Raphaël Katebe Katoto pour assurer l’élection de Moïse Katumbi à la prochaine présidentielle «

Le Secrétaire général de l'Alliance pour la République explique la décision de cette coalition de radier l'opposant Raphaël Katebe. ...

Jean Marc Kabund sest adressé aux combattants de l'UDPS ce samedi 11 mars 2017 (VIDEO)

March 13, 2017

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