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03 mai : La RDC classée « zone rouge » pour la liberté de la presse dans le contexte de tensions politiques (JED)

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyuqLEnPfJkFkBOIuBtMkysCgPivtuQERlsKmZuKnxhDCCdSJLdfydIBTwMZzPiSXN6MIfWgSAFo7OlXCunYfgmIEkKPZZYmwi03iGa7pAOITvwCq4d5KpnsyVnRzcKwEn_h98kUKv658/s1600/Snapshot_672.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyuqLEnPfJkFkBOIuBtMkysCgPivtuQERlsKmZuKnxhDCCdSJLdfydIBTwMZzPiSXN6MIfWgSAFo7OlXCunYfgmIEkKPZZYmwi03iGa7pAOITvwCq4d5KpnsyVnRzcKwEn_h98kUKv658/s400/Snapshot_672.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />En ce jour où l’humanité toute entière célèbre la journée dédiée à la liberté de la presse, l’Ong de  défense des droits et libertés des journalistes ‘’Journaliste En Danger’’ (JED) considère que le régime du président Kabila n’a pas fourni d’efforts pour protéger les journalistes en RDC.<br /><br /><br /><br /><br />Communiqué<br /><br /><br /><br /><br />La célébration en République Démocratique du Congo, mercredi 03 mai 2017, de la Journée mondiale de la liberté de la presse, pourrait être la dernière du règne de Joseph Kabila, au pouvoir depuis 17 ans.<br /><br /><br /><br /><br />Alors que l’actuel Président de la République doit quitter le pouvoir à la fin de cette année, au terme de son deuxième et dernier mandat expiré en décembre 2016, mais prolongé par un Accord politique signé le 31 décembre 2016, dit « Accords de la Saint Sylvestre », il laisse derrière lui une presse exsangue, des médias sinistrés et des journalistes livrés à eux-mêmes et à la violence d’Etat.<br /><br /><br /><br /><br />Année après année, la situation générale de la liberté de la presse au Congo-Kinshasa accuse un inquiétant recul aussi bien concernant le nombre toujours élevé des différentes atteintes au droit d’informer et d’être informé, que de l’environnement général de l’exercice de cette liberté.<br /><br /><br /><br /><br />Depuis son accession au pouvoir en janvier 2001, après l’assassinat de son père Laurent Désiré Kabila qui avait prétendu mettre fin au régime dictatorial du Maréchal Mobutu, et en dépit des appels répétés des Organisations de défense de la liberté de la presse pour l’amélioration du climat de travail des journalistes, Joseph Kabila, à travers ses gouvernements successifs, n’a jamais posé aucun geste, ni politique, ni législatif, ni juridique en faveur des journalistes et de la liberté de la presse.<br /><br /><br /><br /><br />Bien au contraire : le long règne de Kabila à la tête de la RDC a été marqué par des brimades, des attaques et des fermetures des médias, des arrestations et des violences allant parfois jusqu’aux assassinats des journalistes.<br /><br /><br /><br /><br />Conséquences : dans le dernier classement mondial de la liberté de la presse publié par Reporters sans frontières pour 2016, la RDC occupe la 154è place sur 180 pays du monde considérés comme les plus grands prédateurs de la liberté de la presse.<br /><br /><br /><br /><br />Pour Journaliste en danger (JED) qui publie chaque année des rapports de monitoring sur les atteintes et autres violations au droit à l’information, la situation générale de la liberté de la presse en RD Congo va de mal en pis.<br /><br /><br /><br /><br />A titre illustratif, alors que JED avait répertorié, fin 2016, 87 cas d’attaques directes et diverses contre la presse, au moins 69 autres cas d’atteintes à la liberté de la presse ont été enregistrés depuis le début de l’année 2017, contre 41 cas enregistrés à la même période, le 03 mai 2016. Soit une augmentation de 28 cas, et qui représente une dégradation de près de 60 % de la situation de la liberté de la presse, dans un contexte général marqué par une profonde crise politique et sécuritaire.<br /><br /><br /><br /><br />Depuis le début de cette année, les différentes atteintes à la liberté de la presse se repartissent de la manière suivante :<br /><br /><br /><br /><br />– 21 journalistes interpellés ou arrêtés<br /><br /><br /><br /><br />– 20 cas de journalistes menacés ou agressés<br /><br /><br /><br /><br />– Au moins 26 cas de censure ou de fermeture des médias ;<br /><br /><br /><br /><br />– 1 journaliste tué à Mbuji-Mayi dans des circonstances qui n’ont pas encore été élucidées<br /><br /><br /><br /><br />– Dans le Kasaï central, où un média a été incendié par des miliciens, au moins trois autres journalistes ont été contraints d’abandonner leurs domiciles, pour fuir les violences et les menaces qu’ils ont reçues aussi bien de la part des miliciens que des forces sécurité qui s’affrontent.<br /><br /><br /><br /><br />Ici à Kinshasa, au moment où nous célébrons cette journée dédiée à la liberté de la presse, 1 journaliste croupit à la prison centrale de Makala depuis 4 mois sans aucun jugement le condamnant. Sans parler du signal de RFI qui reste brouillé à Kinshasa, et de ces médias appartenant aux leaders de l’opposition fermés depuis plusieurs mois, sinon quelques années à Lubumbashi.<br /><br /><br /><br /><br />Alors que cette Journée mondiale de la liberté de la presse est placée sous le thème du « Rôle des médias dans la promotion des sociétés justes, pacifiques et inclusives », Journaliste en danger (JED) lance un Appel urgent à la décrispation du climat politique tendu dans lequel travaille les médias depuis que le pays s’est installé dans une crise politique profonde.<br /><br /><br /><br /><br />Cette décrispation passe, notamment par la mise en œuvre des recommandations de l’Accords politique du 31 décembre appelant le Ministre en charge des médias de rétablir, dans les 15 jours, le signal des Entreprises audiovisuelles fermées ou interdites…<br /><br /><br /><br /><br />JED demande instamment aux Institutions actuelles de la transition vers les élections, de prendre des mesures urgentes que requièrent le renforcement de la liberté de l’information, et la sécurisation des journalistes face à la montée de l’intolérance politique et aux interférences fréquentes des services de sécurité dans le travail de la presse, pour leur permettre de jouer en toute liberté et indépendance, le rôle qu’on attend d’eux pour promouvoir la paix, la justice et la cohésion nationale dans un pays confronté à une grave crise politique et sécuritaire.</span>

Société 03 mai : La RDC classée « zone rouge » pour la liberté de la presse dans le contexte de tensions politiques (JED)

En ce jour où l’humanité toute entière célèbre la journée dédiée à la liberté de la presse, l’Ong de défense des droits et libertés des j...

Épreuves de dissertation : Des dépenses supplémentaires pour les ménages à Kinshasa

May 03, 2017

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<br /><span style="font-size: large;"><br />Les épreuves de dissertation, étape préliminaire aux examens d’Etat, constituent une cause de dépenses supplémentaires pour les ménages au vu de la situation socio-économique actuelle. Les familles des élèves finalistes qui participent à ces épreuves se sont vues dans l’obligation de débourser entre 100 et 150 USD.<br /><br />Le droit de participation officiel fixé par le gouvernement de la ville-province de Kinshasa pour ces épreuves s’élève à 54.500 FC, soit 32.000 FC pour les hors-sessions et 22.500 FC pour la session ordinaire.<br /><br />Selon les témoignages recueillis par ACTUALITE.CD, certains élèves ont dû payer des frais connexes au-delà du montant officiel, comme en témoigne Mariam Ngoy, élève finaliste du Collège John Mabuidi, dans la commune de la Gombe<br /><br />« On nous a demandé de payer 60 USD pour le cours d’encadrement, sans compter les 490 USD du minerval. Vous savez aussi qu’actuellement les filles passent ces examens avec des nouveaux uniformes. Et pour ça, j’ai encore dépensé 16.000 FC, 15.500 FC pour les chaussures et 3.500 FC pour arranger mes cheveux. Ce qui fait au total 35.000 FC »<br /><br />De son côté, Junior Kasandji du complexe scolaire Masenga, une école de la capitale, estime que certains élèves demandent aux parents plus d’argent que ce qui est demandé officiellement par les écoles.<br /><br />« Moi, je n’ai demandé que 15.000 FC pour l’achat des nouveaux baskets et pour me coiffer. Mais certains d’entre nous demandent beaucoup trop aux parents et ça, ce n’est pas normal »<br /><br />Pour certains parents, le gouvernement devrait prendre en charge la totalité des frais afin d’épargner certains tuteurs des dépenses supplémentaires.<br /><br />Il est à noter que 149. 923 élèves participent aux épreuves préliminaires de dissertation à Kinshasa. Avec une moyenne de 54.500 FC comme frais de participation, la ville de Kinshasa empoche au moins 8,708 milliards FC, soit plus de 5,836 millions USD.</span>

Politique Épreuves de dissertation : Des dépenses supplémentaires pour les ménages à Kinshasa

Les épreuves de dissertation, étape préliminaire aux examens d’Etat, constituent une cause de dépenses supplémentaires pour les ménages au...

Signature de l’arrangement particulier : La MONUSCO exige plus d’inclusivité

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5nLXSDKMRp0uSe-cUbngwbwqhjaQOawxyIJlwPNiV5OSduxN0q3gDAu-i9s74CaxX2hwKEcvPCVZxnXmyxcWsrGvovSxpU70WE4Gg6wQ2ZSmmKocxaKBWbBWXBDz-esxvL9EDq2UFAE0/s1600/Snapshot_643.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5nLXSDKMRp0uSe-cUbngwbwqhjaQOawxyIJlwPNiV5OSduxN0q3gDAu-i9s74CaxX2hwKEcvPCVZxnXmyxcWsrGvovSxpU70WE4Gg6wQ2ZSmmKocxaKBWbBWXBDz-esxvL9EDq2UFAE0/s400/Snapshot_643.jpg" width="400" /></a></div>
La signature de l’arrangement particulier qui eu lieu le jeudi 27 avril dernier, sous l’égide du Parlement congolais, et présentée comme la mise en œuvre de l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016 a fait réagir la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en République Démocratique du Congo (MONUSCO) qui, à travers un communiqué de presse, a donné sa position.<br /><br /><br /><br /><br />Dans ce communiqué publié le 29 avril 2017, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en République démocratique du Congo (RDC) et Chef de la MONUSCO, Maman Sidikou, dit avoir pris acte des derniers développements politiques en RDC. Aussi exhorte-t-il les différentes parties prenantes à œuvrer pour la mise en œuvre rapide de l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016. Le patron de la MONUSCO constate malheureusement que la totalité des parties concernées par l’Accord de la Saint Sylvestre n’a pas signé ces arrangements particuliers.<div>
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Selon Maman Sidikou, toutes les parties prenantes doivent redoubler d’efforts dans l’objectif de parvenir à une plus grande inclusivité en conformité avec la lettre et l’esprit de l’Accord du 31 décembre 2016. Il n’a pas manqué de réaffirmer les dispositions de la Résolution 2348 du Conseil de sécurité des Nations Unies.<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">
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En outre, la MONUSCO réitère sa disponibilité à faciliter ce processus en offrant ses bons offices, en étroite concertation avec les dirigeants de la sous-région et de l’Union africaine, conformément à la Résolution 2348. Question de permettre à ce que les parties prenantes congolaises puissent, sans autre délai, s’atteler à la tenue des élections d’ici fin 2017, selon les engagements pris au terme de l’Accord politique global et inclusif.<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px;">
Par TSM</div>
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Politique Signature de l’arrangement particulier : La MONUSCO exige plus d’inclusivité

La signature de l’arrangement particulier qui eu lieu le jeudi 27 avril dernier, sous l’égide du Parlement congolais, et présentée comme l...

Le gouverneur déchu du Haut-Katanga saisit la justice contre la nomination d’un gouverneur intérimaire

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMdR4nCJ17P_TCAZOgnkTrASSS5PYphAshzrpN5ysxTp4ykPaKiELhPldmhwP8drp0KmI_iwxpc0efczhBjc6T4u-LgInNy1Y3zmPLuGG7Z-KT9Eo9lug65gWKf0C_kNaX4bwCqslt76I/s1600/Snapshot_670.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMdR4nCJ17P_TCAZOgnkTrASSS5PYphAshzrpN5ysxTp4ykPaKiELhPldmhwP8drp0KmI_iwxpc0efczhBjc6T4u-LgInNy1Y3zmPLuGG7Z-KT9Eo9lug65gWKf0C_kNaX4bwCqslt76I/s400/Snapshot_670.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />Jean Claude Kazembe, gouverneur déchu de la province du Haut-Katanga, a saisi la Cour suprême de justice contre la désignation d’un gouverneur intérimaire à la tête de la province par le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur et de la Sécurité. Dans une interview accordée à ACTUALITE.CD ce 2 mai 2017, Thierry Mukelekele, collaborateur de Kazembe, dénonce ce qu’il considère comme le dédoublement de l’institution “gouverneur” par le ministère de l’Intérieur pour vice de procédure.<br /><br />Que savons-nous de la démarche de Kazembe après sa démission ?<br /><br />Sur le plan du droit, le gouverneur Kazembe n’est pas encore destitué parce que dans la démarche de l’Assemblée provinciale, il était en route vers la démission. Mais quand nous voyons la procédure, après le vote de la motion de censure, il faut une notification de l’Assemblée provinciale. Après cette notification, la constitution demande au gouverneur de déposer sa démission. Cette démission doit être entérinée par le président de la République. Ainsi, le processus de convocation du corps électoral au sein de l’Assemblée provinciale peut être déclenché par la CENI, suivi par les institutions. Et il faut à la CENI soixante jours pour organiser les élections ou encore 120 jours avec l’autorisation de la Cour constitutionnelle. Mais avant que le gouverneur Kazembe ne puisse déposer sa démission, il avait contesté la motion de censure et s’est adressé à la Cour constitutionnelle selon les articles 161 et 162 de la constitution. Maintenant, le gouverneur saisit la Cour suprême sur les défauts commis par le ministère de l’Intérieur en ce qui concerne l’usurpation du pouvoir du chef de l’Etat en désignant un gouverneur intérimaire. Il n’y a que la Cour suprême de justice qui devrait produire un jugement pour casser ce que le ministère de l’Intérieur a commis comme dédoublement de l’institution gouverneur.<br /><br />Jean-Claude Kazembe a-t-il autorisé son cabinet à saisir la Cour suprême contre Shadary ?<br /><br />Non, nous n’attaquons pas le vice-Premier ministre Shadary. Nous attaquons plutôt la lettre du vice-Premier ministre qui désigne un gouverneur intérimaire. Finalement, Kazembe a-t-il été destitué ou a-t-il démissionné ? Le gouverneur est démissionnaire par rapport à la motion de censure. Mais il a refusé de démissionner. Parce qu’il fallait qu’il dépose sa démission auprès du chef de l’Etat, et que ce dernier puisse voir si sa démission est conforme. Or, le président n’a pas reçu la démission du gouverneur. Et le Conseil juridique du gouverneur a saisi les instances judiciaires.<br /><br />Que cherche Mr. Kazembe actuellement avec toutes ces procédures ?<br /><br />Le gouverneur cherche le respect de droit. On a attaqué une institution en fonction : « le gouverneur de province ». Donc, l’institution de Kazembe est attaquée sur un problème qu’il estime être dans la compétence de l’exécutif et non du législatif. C’est à la Cour constitutionnelle d’interpréter qui est compétent dans telle matière. Nous sommes au sixième jour ouvrable, le parlement provincial doit montrer ses moyens de défense à la Cour constitutionnelle pour que cette dernière se déclare. Donc jusqu’au moment où nous parlons, Kazembe est gouverneur en fonction.</span>

Politique Province Le gouverneur déchu du Haut-Katanga saisit la justice contre la nomination d’un gouverneur intérimaire

Jean Claude Kazembe, gouverneur déchu de la province du Haut-Katanga, a saisi la Cour suprême de justice contre la désignation d’un gouver...

Nord-Kivu : Deux militaires et leur conducteur tués dans une embuscade à Rutshuru

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOUUdqM-nvpD_bckbqtaaKM9zVmFg17t8iQSwEIyuArNU1rBUnJJwhE2FNBSx779R3chzFhpedgpfVOSxTfClWEFEh79g9_6-5EVi3Z2OUsN2Cosgb1HoYeWCZQ0Og-2Nbj-Xnv6SsT10/s1600/Snapshot_669.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="236" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOUUdqM-nvpD_bckbqtaaKM9zVmFg17t8iQSwEIyuArNU1rBUnJJwhE2FNBSx779R3chzFhpedgpfVOSxTfClWEFEh79g9_6-5EVi3Z2OUsN2Cosgb1HoYeWCZQ0Og-2Nbj-Xnv6SsT10/s400/Snapshot_669.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />Deux militaires et un taxi-moto ont trouvé la mort l’après-midi de ce mardi 2 mai 2017 dans une embuscade tendue par des hommes armés à la hauteur de Kabuendo, sur l’axe routier Kibirizi-Rwindi, en chefferie de Bwito, dans le Rutshuru (Nord-Kivu).<br /><br /><br /><br /><br />Selon le délégué adjoint du gouverneur Julien Paluku dans la région, les victimes étaient en route pour rejoindre leur position militaire près de la rivière Rwindi.<br /><br /><br /><br /><br />« Deux militaires et un conducteur de taxi-moto sont tombés dans une embuscade d’hommes armés non identifiés à Kabuendo. C’est à 3 kilomètres de Kibirizi. Ils se rendaient près de la rivière Rwindi où ils ont une position militaire. Cette zone est souvent contrôlée par les FDLR/RUDI« , a dit le délégué du gouverneur Sabini Hope.<br /><br /><br /><br /><br />Mr Sabini a précisé qu’après leur forfait, les assaillants se sont volatilisés dans la nature. Un renfort de l’armée est arrivé sur le lieu pour rétablir la quiétude après des crépitements des balles.<br /><br /><br /><br /><br />« La sécurité demeure volatile dans la chefferie de Bwito. Plusieurs groupes armés encerclent la localité de Kibirizi. Il y a, en plus, une faible présence militaire dans la région« , a conclu le délégué du gouverneur du Nord-Kivu.</span>

Insécurité Province Nord-Kivu : Deux militaires et leur conducteur tués dans une embuscade à Rutshuru

Deux militaires et un taxi-moto ont trouvé la mort l’après-midi de ce mardi 2 mai 2017 dans une embuscade tendue par des hommes armés à la...

L’UDPS lance l’opération « Mandalala » pour préparer le rapatriement de la dépouille de Tshisekedi

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqAFGPm1U2cWI1-SLqZFWI2F5_ZCCrFRwSBqCExiuLwVl-VA8foshp-u_SMYd9UGBTJwLdAfAWCDPm66_JQ7el2RL8ehYWgKryFTS_qmcuP5j3ouXFbjjes5m6b7pMcxWibjn-WwpVA4Y/s1600/Snapshot_668.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="247" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqAFGPm1U2cWI1-SLqZFWI2F5_ZCCrFRwSBqCExiuLwVl-VA8foshp-u_SMYd9UGBTJwLdAfAWCDPm66_JQ7el2RL8ehYWgKryFTS_qmcuP5j3ouXFbjjes5m6b7pMcxWibjn-WwpVA4Y/s400/Snapshot_668.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />Le secrétaire général de l’UDPS, Jean-Marc Kabund, a lancé ce mardi 2 mai 2017 l’opération « Mandalala », en français « rameaux », en rapport avec le rapatriement de la dépouille d’Etienne Tshisekedi annoncé pour le 12 mai à Kinshasa.<br /><br />L’Hôtel de Ville de Kinshasa a accusé réception ce mardi 2 mai 2017 de la lettre de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) adressé au gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, pour l’informer de l’enterrement d’Etienne Tshisekedi au siège du parti, situé à Limete, tel que décidé par les deux familles (politique et biologique) de l’illustre disparu.<br /><br />«Tenant compte de l’envergure nationale de l’illustre disparu et nous référant à la loi et à la pratique en matière des inhumations dans la ville de Kinshasa et à travers le pays, notamment le cas du professeur Bianganyi Tampon, enterré dans l’enceinte de l’Université chrétienne Cardinal Malula, située sur l’avenue Saïo, dans la commune de Kasa-Vubu, nous avons choisi d’enterrer le président Etienne Tshisekedi wa Mulumba à la permanence du parti, sur le petit boulevard Lumumba, dans la commune de Limete», dit l’UDPS dans un communiqué signé le 28 avril 2017 par son secrétaire général Jean-Marc Kabund.<br /><br />Contacté par ACTUALITE.CD ce mardi 2 mai 2017, le ministre provincial de l’Intérieur, Emmanuel Akweti, n’a pas voulu commenter sur ces prises de position de l’UDPS et de la famille Tshisekedi faisant attendre la réaction du gouverneur Kimbuta.</span>

Politique L’UDPS lance l’opération « Mandalala » pour préparer le rapatriement de la dépouille de Tshisekedi

Le secrétaire général de l’UDPS, Jean-Marc Kabund, a lancé ce mardi 2 mai 2017 l’opération « Mandalala », en français « rameaux », en rapp...

La robe de Rihanna enflamme le Met Gala 2017

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhduQbkDLGbpzOLApdq5iZxe7DgYQSjQZL4pmSuy-9d7kbqIBd6vsDz9bO4su1c2sUftw9lhcraNRZdD27BFuIy6U3citYKFsTXYtBEQ2w65JDVH48PqWR63sKDpuGwcTUMwWwrkYQS6lM/s1600/Snapshot_642.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhduQbkDLGbpzOLApdq5iZxe7DgYQSjQZL4pmSuy-9d7kbqIBd6vsDz9bO4su1c2sUftw9lhcraNRZdD27BFuIy6U3citYKFsTXYtBEQ2w65JDVH48PqWR63sKDpuGwcTUMwWwrkYQS6lM/s400/Snapshot_642.jpg" width="400" /></a></div>
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Cette année, c’est la chanteuse Barbadienne Rihanna qui a gagné le prix de la robe la plus originale présentée le lundi 1er  mai dernier sur le red carpet  du Met Gala 2017, avec une création difficilement qualifiable.<br />
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Cette tenue, signée de la griffe « Comme des garçons » (collection automne 2016), est haute en couleurs. Elle garde toutefois, malgré sa forme peu commune, une allure très féminine.<br />
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Côté chaussure, la paire de sandales à lacets montants que porte la star n’a pas été une mince affaire à enfiler. « J’ai mis une heure à rentrer dedans » a d’ailleurs confié la belle  à un magazine féminin. Ce n’est pas la première année que Rihanna remporte la palme de la tenue la plus excentrique.</div>
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 En 2015, la chanteuse s’était présentée dans une longue robe jaune à traîne que certains  internautes n’avaient pas hésité à comparer à une omelette…<br />
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Par YHR</div>
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culture La robe de Rihanna enflamme le Met Gala 2017

Cette année, c’est la chanteuse Barbadienne Rihanna qui a gagné le prix de la robe la plus originale présentée le lundi 1er mai dernier ...

Obsèques de Tshisekedi : l’UDPS saisit Kimbuta

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYfqv52bbC3v_UPb-Tz5wsaBa_8bsiL7KVB2CxFjG4YdiMsIiKWYwJG2HdCOrq74-JepEfTwhvzRKHqEK1eGTXcNQPYTMhgk65wubtmOCYAeZOJg1mY8CuK5NjS6nhXCcjBOVbbG1NlJU/s1600/Snapshot_641.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYfqv52bbC3v_UPb-Tz5wsaBa_8bsiL7KVB2CxFjG4YdiMsIiKWYwJG2HdCOrq74-JepEfTwhvzRKHqEK1eGTXcNQPYTMhgk65wubtmOCYAeZOJg1mY8CuK5NjS6nhXCcjBOVbbG1NlJU/s400/Snapshot_641.jpg" width="400" /></a></div>
<br /><br />Dans une correspondance adressée au numéro 1 de la ville, le parti de Limete confirme pour le 12 mai le rapatriement de la dépouille de son président national et exige des garanties sécuritaires pour honorer sa mémoire<br /><br />L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), par l’entremise de son Secrétaire Général Jean- Marc  Kabund à Kabund,  a saisi le gouverneur de la ville province de Kinshasa, André Kimbuta Yango, pour l’informer officiellement du rapatriement le 12 mai 2017 de la dépouille mortelle du président Etienne Tshisekedi wa Mulumba, décédé à Bruxelles le 1er Février 2017, en vue de son inhumation au pays.<br /><br />Au cours d’une conférence de presse tenue hier mardi 2 mai 2017 à Limete, le  Secrétaire Général de l’UDPS a levé le voile sur le contenu de la correspondance que le parti de Limette a adressée au chef de l’Administration urbaine de Kinshasa.<br /><br />Lettre à travers laquelle le parti du Lider maximo demande à André Kimbuta de  prendre toutes les dispositions, afin d’assurer la sécurité pendant et après les obsèques de son Président national. L’UDPS  qui confirme le rapatriement du corps d’Etienne Tshisekedi le 12 mai 2017 à Kinshasa tient que  l’inhumation de celui-ci puisse avoir lieu au siège du parti, tel que décidé par les deux familles, à savoir les familles politique et biologique de l’illustre disparu.<br /><br />Cas de jurisprudence<br /><br />Le parti de Limete  a aussi recadré le gouverneur André Kimbuta qui, à l’époque s’opposait à l’enterrement d’Etienne Tshisekedi  en dehors de cimetières officiels. Jean Marc Kabund évoque notamment le cas  du professeur Biangani Tampon qui a été  enterré dans l’enceinte de l’Université chrétienne Cardinal Malula située sur l’avenue Saïo dans la commune de Kasa-Vubu.<br /><br />«Tenant compte de l’envergure nationale de l’illustre disparu et nous référant à la loi et à la pratique en matière d’inhumations dans la ville de Kinshasa et à travers le pays, notamment le cas du professeur Bianganyi Tampon enterré dans l’enceinte de l’Université chrétienne Cardinal Malula située sur l’avenue Saïo dans la commune de Kasa-Vubu, nous avons choisi d’enterrer le président Etienne Tshisekedi Wa Mulumba à la permanence du parti située sur le petit boulevard Lumumba dans la commune de Limete»,  fait savoir l’UDPS dans  sa correspondance  signée par son Secrétaire général Jean-Marc Kabund. L’UDPS signale par ailleurs que les travaux de construction du caveau destiné à accueillir la dépouille de l’illustre disparu ont déjà commencé.<br /><br />Pour Kabund, le choix d’inhumer le regretté président du Conseil des sages du Rassemblement dans l’enceinte du siège de son parti résulte de la volonté de la veuve avec la famille mais aussi de l’opinion nationale. Il reste à connaître la réponse que l’Administration Urbaine de Kinshasa va réserver à cette demande de l’UDPS.<br /><br />En attendant, le parti de Limete vient de lancer officiellement l’opération « Mandalala » (rameaux ) en rapport avec les derniers hommages que les Congolais entendent réserver au rapatriement de la dépouille d’Etienne Tshisekedi et à son inhumation en RDC.<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px;">
Par Godé Kalonji</div>

Politique Obsèques de Tshisekedi : l’UDPS saisit Kimbuta

Dans une correspondance adressée au numéro 1 de la ville, le parti de Limete confirme pour le 12 mai le rapatriement de la dépouille de so...

EN PREVISION DE L’ARRIVEE DE LA DEPOUILLE D’E.TSHISEKEDI LE 12 MAI A KINSHASA JEAN-MARC KABUND ÉCRIT À ANDRÉ KIMBUTA

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWFlGjXyHTCielIszFXoHBmiT601npHwmV0W4h5NUJFdi6b6_Y3BWpyjLMhX8iMLArYvcjaVl4lXzXNhp-9zXxu_QCfa01-P_L7sVtCejCBdw_zmPGNioYWkzPBswPLZU57ewFS2iKkss/s1600/Snapshot_103.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWFlGjXyHTCielIszFXoHBmiT601npHwmV0W4h5NUJFdi6b6_Y3BWpyjLMhX8iMLArYvcjaVl4lXzXNhp-9zXxu_QCfa01-P_L7sVtCejCBdw_zmPGNioYWkzPBswPLZU57ewFS2iKkss/s400/Snapshot_103.jpeg" width="400" /></a></div>
<br />
Dans une correspondance datée du 28 avril, adressée au gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, le secrétaire général de l’UDPS, Jean-Marc Kabund-A-Kabund, appelle le patron de la capitale à assurer la sécurité des obsèques d’Etienne Tshisekedi dont la dépouille arrive le 12 mai. Ce, dès l’arrivée du corps du défunt à l’aéroport international de Ndjili en passant par le lieu de l’exposition du corps jusqu’à l’enterrement de l’illustre disparu.<br />
<br />
A l’instar du Pr Emmanuel Biangani Tampon, enterré dans l’enceinte de l’Université Cardinal Malula (ex-ISPL) dont il fut le promoteur, l’UDPS dit avoir choisi d’enterrer son président à la permanence du parti, sur le petit boulevard Lumumba dans la commune de Limete. Le choix du site, précise la correspondance, résulterait de la volonté de la veuve du défunt, Maman Marthe Kasalu et sa famille, mais aussi de « l’opinion généralement répandue dans le pays ». <br />
Lire, ci-dessous, la correspondance du Sg de l’UDPS au Gouverneur de la ville de Kinshasa.

la Nation Politique EN PREVISION DE L’ARRIVEE DE LA DEPOUILLE D’E.TSHISEKEDI LE 12 MAI A KINSHASA JEAN-MARC KABUND ÉCRIT À ANDRÉ KIMBUTA

Dans une correspondance datée du 28 avril, adressée au gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, le secrétaire général de ...

LE MLC AU BORD DE L’IMPLOSION

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoC8XCFRiGkqn-I8exE08w7zBsCtNJNGT2SELn5oDwiJzI52AIpGwFK_03Ga8qq_s9hZ5cTitDglIBc3qcQUsKuum1iGnus0kYZiOqrqkkX741Oer5VmFxnU63RVAA6rS2CdgLnP7VqbU/s1600/Snapshot_104.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoC8XCFRiGkqn-I8exE08w7zBsCtNJNGT2SELn5oDwiJzI52AIpGwFK_03Ga8qq_s9hZ5cTitDglIBc3qcQUsKuum1iGnus0kYZiOqrqkkX741Oer5VmFxnU63RVAA6rS2CdgLnP7VqbU/s400/Snapshot_104.jpeg" width="400" /></a></div>
<br />
Depuis que le MLC de JP Bemba a apposé sa signature sur les Arrangements particuliers au Palais du peuple, plus rien ne va dans ce Parti. Querelles intestines, divergence sur les options politiques majeures, acharnement, clientélisme. Tous les ingrédients sont réunis pour une implosion certaine du Parti cher à JPBemba. En effet, alors que depuis les USA où elle séjourne, la Secrétaire Générale Eve Bazaïba avait déclaré que jamais le FRC ne signera les Arrangements particuliers censés définir les modalités de mise en œuvre de l’Accord de la Saint Sylvestre, et qu’elle avait qualifié cette cérémonie du Palais du peuple, de messe noire de la Majorité présidentielle et de ses alliés, le lendemain Fidèle Babala accompagné de Jacques Lungwana et Alexis Lenga vont se précipiter pour signer le document" sur " instruction personnelle " de JP Bemba, a laissé entendre Babala… Un véritable camouflet pour Bazaïba. <br />
<br />
Sur les réseaux sociaux, Gécoco Mulumba, Jean-Jacques Mamba et d’autres cadres n’hésitent pas de critiquer cette signature, même si c’est le Chairman en personne qui a décidé. Ils soupçonnent leur parti d’avoir marchandé et négocié à coup de dollars cette signature.<br />
Dans tout ça que devient le pouvoir de Bazaïba, la secrétaire générale du parti nommée selon la volonté de Bemba, s’interroge une certaine opinion. A cette question, la réponse est à trouver dans le désordre qui règne au sein du MLC. <br />
Le malaise est donc profond. Et si on y prend pas garde, le MLC va connaître une descente aux enfers.<br />
Même sur le plan de la communication, les cadres du MLC n’émettent plus sur une même longueur d’ondes. Alors que le groupe à Babala prétend que c’est pour des intérêts stratégiques que le MLC a signé, d’autres y voient des manœuvres dilatoires pour satisfaire les intérêts personnels et égoïstes de certains au détriment des autres. Pourquoi refuser de participer au gouvernement et vouloir présider le Conseil national de suivi ?<br />
La participation au Gouvernement aurait permis de résoudre les problèmes de travail de plusieurs cadres, et ainsi permettre au Parti de se doter de moyens financiers capables de faire face aux futures élections. Or, au CNSA il n’y a qu’un petit groupe qui sera positionné… <br />
Bonzi wa Bonzi sème davantage des confusions. Pour lui, le MLC a signé parce qu’il va obtenir le remplacement de ses délégués au sein des institutions d’appui à la démocratie : CENI, et CSAC principalement…<br />
L’opinion se demande par quels mécanismes le MLC pourra obtenir ces remplacements dans la mesure où, s’agissant de<br />
Maguy Kinkela, le CSAC a déjà réservé une fin de non recevoir, dans la mesure où l’intéressée est l’émanation de l’Assemblée nationale. S’agissant du Questeur Adjoint de la CENI, les informations en notre possession font état de la position officielle de la Commission PAJ de l’Assemblée nationale, appelée à statuer sur demande de remplacement de Mme Micheline Bie, introduite au bureau du Président Aubin Minaku par Fidèle Babala et Eve Bazaïba. Pour la PAJ, cette question trouve sa réponse dans les dispositions pertinentes de la Loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI, et principalement en son article 22 !<br />
Selon la lecture des Membres de la PAJ, il est recommandé au MLC d’obtenir au préalable la démission volontaire de sa déléguée avant d’envisager son remplacement !<br />
Et là ce n’est pas évident, compte tenu de l’acharnement exercé contre cette dame. Et puis on se pose la question de savoir quel est le gain politique qu’obtiendrait le MLC aujourd’hui par le remplacement de ses délégués au CSAC et à la CENI, à quelques mois de la tenue des élections ?<br />
Le MLC est donc au bord de l’éclatement et il importe à JP Bemba de faire un effort pour recoller les morceaux émiettés de son parti. <br />
L’ampleur du désordre pousse déjà certains hauts cadres du parti de démission pour les uns et les autres de prendre de la distance avec les personnes qui soit la base de cette cacophonie. <br />
Avec tout ce qui se passe au sein du MLC, on s’interroge qui dirige effectivement cette formation politique ? Qui décide ?<br />
Attendons voir..

Justice Politique LE MLC AU BORD DE L’IMPLOSION

Depuis que le MLC de JP Bemba a apposé sa signature sur les Arrangements particuliers au Palais du peuple, plus rien ne va dans ce Parti....

DE BRUXELLES LE " RASSEMBLEMENT " PRÉPARE UN CONCLAVE DE MISE EN ŒUVRE DE L’ACCORD

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlRlbcJtDxCM5ZRHoirZToTfOFc00fX_ASC7ecLGhOwnod93LI7sKMDtN5j6hLNmq3hGkljmSb5F2HvnOl5eGZkeGRY7nOW-lHBd67-PgXoARDEKOFNDOWnwESJG9nBmfu1c5dU1JX5EM/s1600/Snapshot_105.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlRlbcJtDxCM5ZRHoirZToTfOFc00fX_ASC7ecLGhOwnod93LI7sKMDtN5j6hLNmq3hGkljmSb5F2HvnOl5eGZkeGRY7nOW-lHBd67-PgXoARDEKOFNDOWnwESJG9nBmfu1c5dU1JX5EM/s400/Snapshot_105.jpeg" width="400" /></a></div>
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Les membres du Conseil des sages du "Rassemblement" (RASSOP) sont en tournée à l’extérieur du pays pour la sensibilisation de la Communauté internationale à la mise en œuvre de l’Accord du Centre-interdiocésain. A l’étape de Bruxelles, ils ont tenu une réunion lundi dernier présidée par Félix-Antoine Tshisekedi dit "Fatshi", le président de cette méga-plateforme.<br />
<br />
On retient du communiqué qu’il a signé à l’issue de cette rencontre que le RASSOP a pris un certain nombre de mesures. La première est celle de la tenue dans les tout prochains jours d’un conclave politique. Celui-ci aura pour objet de mettre au point des stratégies efficaces pour contraindre Joseph Kabila, le Président de la République à lever les blocages sur la mise en œuvre de l’Accord du Centre-interdiocésain en se conformant à la Résolution 2348 du Conseil de sécurité de l’ONU. <br />
A ce sujet, la population est appelée à se prendre en charge en usant des acquis de l’article 64 de la Constitution. Pour la matérialisation de cet objectif, le RASSOP projette une batterie d’actions de terrain sous forme de manifestations pacifiques qui seront programmées pour le besoin de la cause. <br />
Le RASSOP accuse Joseph Kabila de tout faire pour empêcher la mise en œuvre de l’Accord du Centre-interdiocésain et de programmer un chaos au pays. Cela, dans le but d’empêcher l’organisation des élections comme prévu en décembre 2016. Mais le RASSOP fera tout pour éviter ce chaos. Car les élections sont l’attente essentielle de toute la population ainsi que de la Communauté internationale. <br />
Le RASSOP indique qu’il mettra tous les moyens en œuvre pour atteindre cet objectif. Cette méga-plateforme rejette par ailleurs la signature de l’Arrangement particulier intervenu jeudi dernier au Palais du Peuple au cours d’une plénière du Congrès co-présidée par le Président de l’Assemblée nationale et celui du Sénat. Le RASSOP le qualifie de passage en force dans le chef de Joseph Kabila et indique que la seule signature de ce texte aura lieu sous la médiation catholique de la CENCO. <br />
La mission du RASSOP à l’extérieur du pays est d’obtenir des puissances occidentales des pressions sur Kinshasa pour obtenir la mise en œuvre intégrale de l’Accord de la Saint-Sylvestre qui doit donner lieu à l’alternance démocratique en RDC à la fin de cette année. Cette délégation dirigée par Félix Tshisekedi Tshilombo est composée de tous les ténors du RASSOP. Ils sont tous à la manœuvre. Selon le programme qui avait été retenu au départ, les cibles qui sont retenues sont Bruxelles (UE), Bruxelles (Belgique), Paris, Londres, Washington et New York (ONU). <br />
On peut rappeler que toutes ces capitales sont celles qui exigent, toutes affaires cessantes, la mise en œuvre de l’Accord de la Saint-Sylvestre avec la nomination d’un Premier ministre issu du " Rassemblement " de Félix Tshisekedi qui siège à Limeté à la résidence d’Etienne Tshisekedi, le leader charismatique de l’UDPS. Ces mêmes capitales ont publié des communiqués où elles ne reconnaissent pas la nomination de Bruno Tshibala et promettent des sanctions ciblées contre ceux qui sont à la base du blocage de la mis en œuvre de l’Accord du Centre-interdiocésain.

Politique DE BRUXELLES LE " RASSEMBLEMENT " PRÉPARE UN CONCLAVE DE MISE EN ŒUVRE DE L’ACCORD

Les membres du Conseil des sages du "Rassemblement" (RASSOP) sont en tournée à l’extérieur du pays pour la sensibilisation de l...

RENFORCEMENT DES CAPACITES DE LA PNC LE BANGLADESH DISPOSÉ À PARTAGER SON EXPÉRIENCE AVEC LA RDC

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOn4Ht9IF1CY0GFvbaor3RL5hDbg54_u0Aqdw_-Obl8lqBzcYTSnVWMQGvWv9LGMOS0CFo718G5QEMyGPHXY5TdOYWpE1V-gjMTb7PSMx5eJrrKOtHg7vbbQdbeZqiZ7__5uNnLPtlErA/s1600/Snapshot_107.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOn4Ht9IF1CY0GFvbaor3RL5hDbg54_u0Aqdw_-Obl8lqBzcYTSnVWMQGvWv9LGMOS0CFo718G5QEMyGPHXY5TdOYWpE1V-gjMTb7PSMx5eJrrKOtHg7vbbQdbeZqiZ7__5uNnLPtlErA/s400/Snapshot_107.jpeg" width="400" /></a></div>
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En séjour de travail en RDC depuis le 30 avril, le ministre de l’intérieur de la République populaire du Bangladesh a échangé avec son homologue congolais sur l’évaluation de l’appui des troupes de son pays à la MONUSCO, conformément au mandat y relatif.<br />
<br />
Asaduzzaman Khan a salué le comportement de ses troupes en RDC qui, selon lui, est exemplaire. L’hôte de marque de Ramazani Shadary a aussi salué la collaboration entre la mission onusienne et les forces de sécurité congolaise. <br />
Le ministre bangladais a émis le vœu de voir se développer une coopération étroite entre son pays et la RDC, dans le cadre du renforcement des capacités de la police nationale congolaise. Occasion également de consolider le savoir-faire en matière de sécurité. Le Bangladesh est disposé à partager ses compétences et son expérience avec la RDC sur ce sujet. Un vœu partagé par le VPM congolais de l’Intérieur, Emmanuel Shadary.

Politique RENFORCEMENT DES CAPACITES DE LA PNC LE BANGLADESH DISPOSÉ À PARTAGER SON EXPÉRIENCE AVEC LA RDC

En séjour de travail en RDC depuis le 30 avril, le ministre de l’intérieur de la République populaire du Bangladesh a échangé avec son ho...

INTRUSION D’UN CURE DANS LA SPHERE PARTISANE DONATIEN NSHOLE : PRÊTRE OU ACTEUR POLITIQUE ?

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4uiMaoL25VuRsNzMjzp6Sqcmgg_Sc6Mp6tZuXV0NsBAfWh2lqJhMexg9LfnC0u7-yySPjki1XzoJcPgFtFkASehHfiyZaKUWnAB9yZNMyRLqmTd8mWvMUgcIkEQISMR2Kr4QVc69aUHE/s1600/Snapshot_108.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4uiMaoL25VuRsNzMjzp6Sqcmgg_Sc6Mp6tZuXV0NsBAfWh2lqJhMexg9LfnC0u7-yySPjki1XzoJcPgFtFkASehHfiyZaKUWnAB9yZNMyRLqmTd8mWvMUgcIkEQISMR2Kr4QVc69aUHE/s400/Snapshot_108.jpeg" width="400" /></a></div>
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A défaut d’être sans équivoque, l’affirmation et surtout la revendication de l’engagement de l’Eglise catholique romaine pour une société plus humaine, plus juste, plus digne et plus pacifique est millénaire. De tous temps et à travers les époques, même si l’Eglise catholique n’a pas toujours été en phase avec certaines valeurs de la démocratie moderne, celle qui se veut universelle n’a jamais évolué en marge de la marche du monde. En plus des actions diplomatiques, sociales et caritatives, plusieurs textes qui traduisent cet engagement de l’Eglise et signent ainsi son combat contre les injustices de tous ordres constituent même des références dans certaines disciplines en sciences sociales. L’Encyclique "RerumNovarum" du Pape Léon XIII pour ne citer que celle-là est considérée comme l’un des textes fondateurs de la sociologie moderne.<br />
<br />
En République démocratique du Congo, l’Eglise catholique locale n’est pas en reste. Après l’union cynique entre l’épée et le goupillon sous la colonisation, l’on a pu apprécier, à leur juste valeur, certaines prises de position tout comme l’investissement de l’Eglise catholique dans la formation intellectuelle des élites congolaises. Les plus anciens évoquent souvent avec nostalgie les périodes où, par exemple, ils attendaient avec impatience les écrits et les homélies de feu le Cardinal Joseph Malula, alors Archevêque de Kinshasa engagé dans un bras de fer épique avec le régime politique sous la deuxième République. <br />
Cette tradition de fronde calotine s’est maintenue au fil des années avec des prises de position réputées courageuses de quelques princes de l’Eglise en faveur des causes citoyennes. On ne peut toutefois pas ignorer leur rôle et leur implication dans le processus de démocratisation de notre pays, soit d’initiative, soit dans l’accompagnement des masses ou à la rescousse de certains acteurs politiques. Après tout, dans un État démocratique, aussi laïc soit-il, il ne peut être interdit à un prélat d’être habité par la passion politique.<br />
C’est dans cette optique qu’il convient sans doute de situer, entre autres, la récente mission des bons offices confiée aux Évêques catholiques par le Président de la République sur pied des pouvoirs lui reconnus par l’article 69 de la constitution en vue d’obtenir un accord plus inclusif entre les signataires et les non signataires de l’accord du 18 octobre 2016. <br />
Au terme de cette mission qui a duré plus de trois mois, les Evêques regroupés au sein de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) ont rendu leur copie au Chef de l’Etat avec le sentiment du devoir accompli malgré quelques questions non résolues concernant notamment la procédure de présentation du Premier Ministre et celle de la désignation du successeur du défunt Etienne Tshisekedi à la tête du Conseil National de Suivi de l’Accord signé le 31 décembre 2016 et pour lesquelles ils ont expressément suggéré au Président d’user de ses prérogatives constitutionnelles pour y trouver une solution idoine.<br />
Usant de ces prérogatives, et en sa qualité de garant du fonctionnement des institutions, après consultations de toutes les parties prenantes, le Chef de l’Etat a nommé un Premier Ministre conformément à l’Accord signé sous l’égide de la CENCO. Mais contre toute attente, cette nomination a été suivie par un début de fronde dans le chef d’une certaine frange de l’opposition et chez les néolibéraux belges qui semblent plaider sans complexe pour une recolonisation de la RDC. Curieusement, les Evêques catholiques qui s’étaient pourtant retirés de leur médiation bredouilles sur cette question, leur ont emboité les pas en revenant avec fracas dans ce débat pour fustiger la décision présidentielle et déclarer sans ambages que cette nomination constituait " une entorse à l’esprit et à la lettre de l’accord du 31 décembre 2016 " !<br />
<br />
POSTURE PARTISANE<br />
Devant le trouble et l’incompréhension suscités par cette interprétation d’une décision politique qui n’est rien moins qu’un jugement de valeur, plusieurs Congolais ont estimé, à tort ou à raison, qu’aussi légitime soit-il, l’interventionnisme de l’Eglise catholique dans la sphère politique et particulièrement cette dernière prise de position a gravement nui à son image et à la crédibilité de son message, surtout que la substance de ce message épouse une posture partisane.<br />
Pour se justifier, le porte-parole de la CENCO, Monsieur l’Abbé Donatien Nshole dont les prestations médiatiques et les prises de parole de plus en plus fortes se disputent les feux de la rampe avec celles des communicateurs des partis politiques, a cru bien faire d’accorder le week-end dernier une longue interview au journaliste Simplice Divine Kalunga dans l’émission "Nouvelle donne" avec pour objectif d’apporter plus de lumières sur la position des évêques. <br />
Mais en lieu et place de lumières, on s’est retrouvé en fin de compte dans une totale opacité. Les téléspectateurs stupéfaits ont entendu un discours "cache-sexe" et "pousse-au-crime" qui en dit long sur le personnage de ce prêtre, sur les objectifs parfois inavoués de ceux qui contrôlent aujourd’hui son institution et sur leur mode opératoire dans leurs relations avec le pouvoir établi et la société congolaise.On s’est vite rendu à l’évidence qu’à défaut d’imposer la loi des intérêts qu’il sert aux autorités temporelles - l’époque où les dirigeants des nations se faisaient une joie d’accéder aux désirs du pouvoir spirituel étant révolue -, l’Abbé Nshole, se vautre comme une luciole étourdie qui risque de se brûler les ailes au contact du feu politique, dans la connivence avec la frange la plus extrémiste de l’opposition congolaise dont on lui fait le reproche d’être devenue une caisse de résonance. <br />
En effet, usant d’une logorrhée parfois maladroite et malgré une tentative de jongler avec les concepts grâce à un sophisme assez approximatif, le secrétaire général de l’épiscopat catholique congolais a été sérieusement mis en difficulté par un Simplice Kalunga aussi espiègle que moqueur. Poussé dans ses derniers retranchements, on a vu le prêtre - apprenti politicien ?- en venir à dévoiler malgré lui le véritable ’modus operandi’ de ses mentors qui n’est pas sans rappeler certaines pratiques usités pendant la tristement célèbre inquisition. Tel un époux éconduit et qui ne souhaite qu’une chose : que les malheurs s’abattent sur celle qui a osé le repousser. Est-ce parce que l’Eglise catholique congolaise n’a toujours pas admis et intégré la fin de la fameuse "trinité coloniale" (collusion fonctionnelle entre l’institution cléricale belge, l’administration coloniale et les sociétés à charte avant l’indépendance) qu’elle se livre à des assauts aussi furieux que musclés et teintés de mauvaise foi contre le pouvoir politique ? La question de transposition subliminale ou de transfert à la Freud peut se poser.<br />
On peut rappeler que ce mode opératoire assez simple mais très efficace se déclinait de la façon suivante : l’Eglise dénonce et condamne un hérétique ou un "dangereux communiste", elle le remet entre les mains des juges attitrés ou du" peuple ", construit et prépare le bûcher, mais elle ne participe pas publiquement à la sentence dont il laisse plutôt au peuple la tâche de châtier l’impie.<br />
Ainsi, selon Monsieur l’Abbé Nshole, dans cette affaire, les pères évêques ont fait leur travail de docteurs, de juristes, de "prophètes" (sic !), la suite des événements ne relevant plus d’eux… A la Ponce Pilate, les prélats, blancs comme neige, s’en laveraient les mains. En prophètes, ils se limitent à monter habilement le spectacle du bûcher, à tendre les pièges mais ils se donnent l’élégance de ne pas y assister ou y pousser directement la proie. <br />
" Pourquoi la nomination de Tshibala comme Premier Ministre vous pose-t-elle problème ? ", lui a demandé Kalunga. Réponse de l’Abbé : " Tshibala ou Félix (Tshilombo Tshisekedi, l’homme des néolibéraux belges, ndla ), peu importe. Les pères évêques n’ont fait que leur devoir. Ils ne pensent qu’à la souffrance du peuple mais le Président n’a pas pris la bonne décision en nommant Tshibala". Un véritable chef d’œuvre de la litote. Hommes de foi, hommes de Dieu au service de la société et " des autres ", ce qu’il advient de certains ne relève pas d’eux...<br />
Pire, les téléspectateurs ont eu droit à une confession médiatique et publique par laquelle l’Abbé,secrétaire général et porte-parole confirmé de la CENCO en pleins travaux des récentes négociations politiques du Centre interdiocésain,admet que le pouvoir spirituel qu’il représente obtient de temps en temps des faveurs sonnantes et trébuchantes du pouvoir temporel et que de fortes sommes d’argent circulent entre l’Eglise congolaise et des hommes politiques, notamment de la part des mécènes dissidents politiques comme Moïse Katumbi Chapwe, le fugitif ex. gouverneur de l’ancien Katanga, en concurrence avec d’autres comme le Président Kabila. Ce qui, du point de vue de la justice immanente marque, à l’analyse, une sorte d’essoufflement moral et de dévoiement de l’idéal évangélique sinon le début de la pourriture du poisson catholique par la tête car ce comportement démontre qu’en plus de ne plus suffire, le corps et le sang du Christ ne sont plus en fait destinés qu’à l’estomac, à la consommation. <br />
Cette interview accordée par l’Abbé Nshole dont on est en peine de dire si par moments il ne parlait pas pour son propre compte au lieu d’exprimer les positions de l’Eglise catholique romaine ressemblait plus à un théâtre misérable où se sont dévoilés des passions de bas étage qu’à une explication de nobles motivations pouvant justifier la contestation par la CENCO de la décision du Président de la République. Nombreux sont les Congolais qui considèrent cette tonitruante intrusion d’un prêtre dans la sphère de l’action politique partisane comme contraire à la vocation d’une institution qui est censée demeurer neutre et "au milieu du village" selon l’expression consacrée. Car même Sa Sainteté le Pape François qui manie à merveille un certain humour caustique a déclaré il y a peu que " si l’Eglise doit évoquer le démon, elle ne doit diaboliser personne ! ".<br />
<br />
« CONCILIER LES CONTRAIRES ET NON EXACERBER LES ANTAGONISMES »<br />
Lorsque l’on décrypte le comportement et les prises de position politiques de certains acteurs au sein de la hiérarchie catholique du Congo Kinshasa comme l’Abbé Nshole, l’on se demande par moments s’ils ne regrettent pas leur condition et s’ils ne seraient pas tentés de troquer leur soutane contre un autre statut. Les anathèmes contre le pouvoir politique constituent depuis bien longtemps leur tasse de thé. Leur engagement politique à peine voilé laisse perplexe ceux qui attendent d’eux une autre posture. En tout état de cause, une chose est certaine : autant l’Eglise a raison de s’intéresser au débat citoyen, autant elle doit le faire à la lumière du message du Christ et des recommandations du successeur de Pierre qui leur demande de" concilier les contraires et non exacerber les antagonismes ". Sinon elle n’est plus dans son rôle. Ses acteurs doivent se faire un point d’honneur à prêcher par l’exemple et ne pas être aveuglés par les rancœurs et les rancunes chaque fois qu’ils doivent engager un débat de société. Les ambitions et les convictions personnelles ainsi que les haines ne doivent pas être érigées en dogmes, ni servir de boussole dans les itinéraires socio-politiques des uns et des autres. Epouser les thèses d’une frange de l’opposition politique et vouloir les imposer à l’ensemble de la communauté nationale en instrumentalisant la crédibilité de l’Eglise est à cet égard, une initiative mal venue.

Politique INTRUSION D’UN CURE DANS LA SPHERE PARTISANE DONATIEN NSHOLE : PRÊTRE OU ACTEUR POLITIQUE ?

A défaut d’être sans équivoque, l’affirmation et surtout la revendication de l’engagement de l’Eglise catholique romaine pour une société...

EXAMEN D’ETAT 2017 PRÈS DE 630.000 FINALISTES ONT PASSÉ L’ÉPREUVE DE DISSERTATION

May 03, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVkUZqzbaC9ubxsTzMHlEFAc7Veq3UC4-cbRcpV_kp0SglC8XErubqtMqlqBRfrWCaBj3Io1drcwd45gu9UmuTpUKv1nUyiGtlccyLLOIS0_zzDaAlnf1QDnk9dYMQhVE2_63W6Iy04ZM/s1600/Snapshot_109.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVkUZqzbaC9ubxsTzMHlEFAc7Veq3UC4-cbRcpV_kp0SglC8XErubqtMqlqBRfrWCaBj3Io1drcwd45gu9UmuTpUKv1nUyiGtlccyLLOIS0_zzDaAlnf1QDnk9dYMQhVE2_63W6Iy04ZM/s400/Snapshot_109.jpeg" width="400" /></a></div>
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* Trois inspecteurs ont été décapités au Kasaï Central, annonce l’APA<br />
<br />
Les élèves finalistes du secondaire ont passé hier mardi 2 mai l’épreuve de dissertation. Cette épreuve marque le début d’une série d’épreuves hors-session de l’examen d’Etat. Organisée sur l’ensemble du territoire national, l’épreuve de la dissertation a connu la participation d’environ 630.000 élèves. <br />
<br />
Répartis dans 1844 centres, les élèves finalistes auront à affronter prochainement l’oral de français et les épreuves pratiques. <br />
A Kinshasa, les centres de l’examen ont ouvert à partir de 8h30, heure locale. Mais, déjà vers 6h00 du matin, les élèves finalistes prenaient d’assaut les avenues de Kinshasa. La plupart des préfets des Etudes avaient donné une consigne aux élèves de passer d’abord par l’école. <br />
Ensemble, ils rejoignaient leur centre d’examen. Ceux des élèves qui n’avaient pas payé les frais de scolarité pouvaient ainsi s’acquitter de leurs dettes et obtenir leur macaron.<br />
Dans certains centres d’examen comme à Saint Adrien de Ngaba, les premiers élèves sont sortis des salles vers 10 heures déjà. Ils étaient tous satisfaits de l’organisation de l’épreuve.<br />
Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel, Gaston Musemena, a visité le centre installé dans l’école Marie Olive Lembe à Bibwa, dans la commune de la N’sele, dans l’Est de la ville de Kinshasa et d’autres centres, dans la commune de Maluku. Question d’évaluer la manière dont les élèves ont passé cette épreuve. <br />
<br />
INSECURITE DANS LE CENTRE DE LA RDC<br />
Selon Radio Okapi, les responsables de l’EPSP qui accompagnaient les malles de l’épreuve de dissertation, ont été victimes d’attaques des miliciens dans divers coins de la province du Kasaï central dimanche 30 avril.<br />
Dans les localités de Kamutanga et de Bitanda, en territoire de Dibaya, les miliciens Kamwina Nsapu ont menacé les différents agents de l’Etat qui transportaient les malles des examens de dissertation.<br />
Dans le territoire de Kazumba, les mêmes miliciens ont séquestré les responsables de l’EPSP. " Un inspecteur a été grièvement blessé à la machette, a indiqué la Radio onusienne. Ses collègues et lui ont été obligés de rebrousser chemin avec les questionnaires après avoir servi deux de quatre centres d’examen. "<br />
En territoire de Demba, des terroristes labellisés Kamwina Nsapu ont fait incursion, samedi matin, à la mission catholique Dibinga à 60 km de Benaleka. Ils auraient mis le feu sur tout ce qui appartient à l’Eglise catholique : le centre de santé, les motos des médecins, la cure, le couvent des sœurs…<br />
Quant à l’Agence Presse Associée (APA), elle a fait état de la mort des trois inspecteurs de l’Enseignement primaire et secondaire qui convoyaient des malles des sujets de dissertation vers les centres d’examen d’Etat. Ils ont été décapités, a souligné l’APA, dimanche 30 avril, par des miliciens Kamwina Nsapu. Les élèves ont été pris de panique.<br />
Dans l’Est de la République, l’insécurité dans le territoire de Mahagi a empêché l’organisation de l’épreuve de la dissertation hier.<br />
<br />
DES SESSIONS SPECIALES DE RECUPERATION<br />
Le ministre de l’EPSP, Gaston Musemena, qui a confirmé l’existence de l’insécurité, tout en la minimisant , a promis une solution rapide pour remédier à la situation. Dans les différentes zones où règne l’insécurité, il sera organisé une session spéciale. <br />
Au Kasaï central, la dissertation sera organisée en deux temps. Question d’identifier les élèves finalistes qui ont raté l’épreuve. Sont concernés les territoires de Kazumba, de Dibaya et de Lwiza. De même, dans le territoire de Mahagi dans la province d’Ituri, la dissertation sera organisée la semaine prochaine.

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May 02, 2017

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Actualité Expliquée 02.05.17 - Corps de Tshisekedi : Vers un bras de fer Udps - Kabilie? (vidéo)

May 02, 2017

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Baby Balukuna demande à tous les Congolais de la Diaspora de soutenir le 1 er Ministre Bruno Tshibala (vidéo)

May 02, 2017

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Tokomiwapi? Petite Soeur ya E.Tshisekedi , Eugenie Tshika, abeti Lisolo ndenge Akutanaka na Pasteur Mugalu avant akutana na Etienne Tshisekedi . Suivez (vidéo)

May 02, 2017

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JT RTVS1 du 2 Mai 2017 : Épreuve de la dissertation , Kabund à Kabund fait un grand retour sur l ' article 64 (vidéo)

May 02, 2017

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Actu une : La signature de l ' arrangement particulier sous la médiation de Kengo-Minaku pose un sérieux problème (vidéo)

May 02, 2017

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Perspectives : Signature de l ' arrangement particulier , un rater ou une réussite ? (vidéo)

May 02, 2017

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Débat semaine en 45 minutes sur la signature de l ' arrangement particulier : Mike Mukebayi fait des nouvelles révélations terribles (vidéo)

May 02, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitjRVcP-y0MQ0zJ_qlOhaB11Uexi6UF7MvCOI7Wur5eaHSNZd2G2X4qFixLSLcGaAxTnswTrcaFom4NxJ-khTScS7OaRPo61ERh0WeQFF4REshOTsxKztAiI_SaG2trS3jKcXskMa3AZE/s1600/Snapshot_615.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="272" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitjRVcP-y0MQ0zJ_qlOhaB11Uexi6UF7MvCOI7Wur5eaHSNZd2G2X4qFixLSLcGaAxTnswTrcaFom4NxJ-khTScS7OaRPo61ERh0WeQFF4REshOTsxKztAiI_SaG2trS3jKcXskMa3AZE/s400/Snapshot_615.jpg" width="400" /></a></div>
Débat semaine en 45 minutes sur la signature de l ' arrangement particulier : Mike Mukebayi fait des nouvelles révélations terribles (vidéo)<br />
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Actualité Expliquée 02.05.17 : N'ayant pas été nommé, MUBAKE renonce au gouvernement Tshibala (VIDEO)

May 02, 2017

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Main mise d’Emmanuel Shadary dans la moition contre Célestin Mbuyu

May 02, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjalK20HEfP0LSW1CRoXAco3XgoUPGdpvpPJd0kcqsZFN9ZLS53IMi8BwDo4P9cs6T_1nEBnAO9KjhmAfnwhahJ5tnbUhTaCZWWNiUw56DhapSWEIGUgXQXjkq6WVZck78w_tVNWJSTzcc/s1600/Snapshot_639.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="306" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjalK20HEfP0LSW1CRoXAco3XgoUPGdpvpPJd0kcqsZFN9ZLS53IMi8BwDo4P9cs6T_1nEBnAO9KjhmAfnwhahJ5tnbUhTaCZWWNiUw56DhapSWEIGUgXQXjkq6WVZck78w_tVNWJSTzcc/s400/Snapshot_639.jpeg" width="400" /></a>Le ministre de l’intérieur Emmanuel Sharady a convoqué en urgence à Kinshasa, le président de l’assemblée provinciale du Haut-Lomami, à l’annonce d’une motion contre le gouverneur de cette province, membre de la Majorité Présidentielle. Dans un « message officiel » adressé au président de l’Assemblée provinciale du Haut-Lomami  Masangu Pondo, le vice-Premier ministre et ministre de l’intérieur l’invite en urgence dans la capitale « pour une concertation sur le fonctionnement » de son institution. Une « invitation » datée de 28 avril,  le jour même où une motion de censure a été déposée contre le gouverneur du Haut-Lomami, Célestin Mbuyu.<br />
<br />
<br />
A l’Assemblée provinciale du Haut-Lomami, les députés accusent ce gouverneur de mauvaise gestion et de laxisme dans la conduite des affaires publiques.<br />
<br />
Cette motion de censure a été annoncé après que le ministre provincial de l’Intérieur, Venance Mutombo, ait été invité devant l’Assemblée provinciale vendredi dernier, pour fournir des explications sur le dernier accident ferroviaire qui a coûté la vie à quatorze passagers.<br />
<br />
<br />
<br />
En effet, le dimanche 16 avril, un accident de la circulation s’est produit sur l’axe Kamina-Kabongo, à 80 km de Kamina, dans la province du Haut-Lomami. Ladite motion a déjà été transmise à l’exécutif provincial du Haut-Lomami qui n’a que 48 heures pour apporter ses éléments de réponse.<br />
<br />
On ignore si le président de l’Assemblée Masangu Pondo a pu se rendre à Kinshasa. Une plénière pour examiner et voter la motion de censure est prévue pour ce mardi 2 mai.<br />
<br />
Le ministre Sharady, le gouverneur Mbuyu et le président de l’Assemblée Masangu sont restés injoignables aux appels de POLITICO.CD<br />
<br />
L’invitation<img src="https://i2.wp.com/www.politico.cd/wp-content/uploads/2017/05/WhatsApp-Image-2017-05-01-at-11.52.53.jpeg?resize=576%2C1024" />

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