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Marche du 31 Décembre 2017 Vital KAMERHE échappe à la mort en plein culte St michel à Bandalungwa (vidéo)

January 01, 2018

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31 Déc 2017 : Sur TV5Monde , Justine Kasa-Vubu accuse les occidentaux de soutenir Kabila Kanambe pour Massacrer la population (vidéo)

January 01, 2018

31 Déc 2017 : Sur TV5Monde , Justine Kasa-Vubu accuse les occidentaux de soutenir Kabila Kanambe pour Massacrer la population (vidéo)

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Joseph Kabila à ceux qui seraient « tentés d’interrompre » le processus démocratique : « Notre peuple saura certainement protéger la patrie » (ARTICLE + VIDÉO)

January 01, 2018

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIyysczF7DSzAskfGwK0ukxdkVcSrd4EAfBpqkfPDRIy2TuUMSRz9SglMV6JwIRuZ9asy31_WkO77GWgdzi2LNcpv4nRwPAUtf5UZ5uWnlbcXkvGfbLelBf7HeK0kUse09msrFu8ex4eA/s1600/Snapshot_2553.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="339" data-original-width="842" height="160" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIyysczF7DSzAskfGwK0ukxdkVcSrd4EAfBpqkfPDRIy2TuUMSRz9SglMV6JwIRuZ9asy31_WkO77GWgdzi2LNcpv4nRwPAUtf5UZ5uWnlbcXkvGfbLelBf7HeK0kUse09msrFu8ex4eA/s400/Snapshot_2553.jpg" width="400" /></a></div>
Le président de la Republique démocratique du Congo a pris la parole dans la soirée pour présenter ses vœux de nouvel an aux Congolais. Même s’il les a relégués à la fin de son discours, diffusé à la télévision nationale, Joseph Kabila n’a pas échappé aux événements qui ont agité le pays ce dimanche 31 décembre. Et il s’est montré menaçant à l’égard de la contestation.<br />
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« L’année qui s’achève a été aussi celle du consensus politique obtenu au terme de l’accord du 31 décembre 2016, en vue de l’organisation des nouveaux cycles électoraux dans notre pays », a déclaré le chef de l’État, au moment d’aborder le chapitre consacré à la crise politique. Alors que l’église catholique avait appelé à des manifestations pour exiger l’application complète de l’accord de la Saint Sylvestre.<br />
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Sans nommer ses contestataires, Joseph Kabila a répondu à cette revendication en faisant valoir le travail accompli jusqu’ici dans la mise en œuvre du processus électoral. « Outre la formation convenue d’un gouvernement d’union nationale et par la suite, la mise en place du CSNA, je voudrai saluer le travail de titan abattu par la CENI dans la révision du fichier électoral. », s’est félicité le président avant d’ajouter que l’adoption et la promulgation de la loi électorale, ainsi que l’établissement des listes électorales, la répartition des sièges et la convocation des scrutins qui vont suivre, conformément au calendrier électoral publié par la CENI, conduisent le pays « de manière irréversible » vers l’organisation des élections.<br />
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« Ce processus relevant de la souveraineté nationale et son financement étant totalement pris en charge par le gouvernement de la république, je vous invite à vous en approprier et assumer ainsi, à travers cet acte, l’exercice de votre droit à l’auto-détermination », a recommandé le chef de l’État, qui maintient le suspense sur son avenir politique. Car n’ayant toujours rien dit au sujet sur ses intentions alors que l’opposition l’accuse de vouloir de s’accrocher, « par la force », au pouvoir.<br />
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En revanche, Joseph Kabila a lancé un appel à la « vigilance » et à l’« engagement » de chacun, afin, a-t-il exhorté, de « barrer la route à tous ceux qui, sans y croire, s’étant servi du prétexte des élections depuis quelques années, seraient tentés aujourd’hui de recourir à la violence pour interrompre le processus démocratique en cours, et plonger le pays dans l’inconnu ».<br />
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Et de conclure, « notre peuple, qui, à plusieurs reprises, a fait preuve de maturité, saura certainement protéger la patrie contre toute initiative et toute ingérence ayant pour finalité de porter atteinte à l’Independence politique de notre pays et à son intégrité territoriale ».<br />
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Par CAS-INFO

Joseph Kabila à ceux qui seraient « tentés d’interrompre » le processus démocratique : « Notre peuple saura certainement protéger la patrie » (ARTICLE + VIDÉO)

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Le président de la Republique démocratique du Congo a pris la parole dans la soirée pour présenter ses vœux de nouvel an aux Congolais. Mê...

RDC, le 31 décembre : Un pays verrouillé, et… violemment réprimé

January 01, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHcwkg81Of4wbaSekB9ipk2ns8usYZy-36thgE12XPFHREMfuttkcK4gM93LQpFv1pZNx3A_pa6m-t1MhXmzOCGV29TWg258iHOeJOnaGrW8OdK6VE9yt9YGDmEpJfuQ9AASrADIouwoQ/s1600/Snapshot_2550.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="243" data-original-width="471" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHcwkg81Of4wbaSekB9ipk2ns8usYZy-36thgE12XPFHREMfuttkcK4gM93LQpFv1pZNx3A_pa6m-t1MhXmzOCGV29TWg258iHOeJOnaGrW8OdK6VE9yt9YGDmEpJfuQ9AASrADIouwoQ/s400/Snapshot_2550.jpg" width="400" /></a>Violente répression et églises profanées. Voilà l’image qui restera dans l’histoire de ce 31 de décembre 2017 en RDC. Une journée de grandes manifestations, hostiles au président Kabila, appelées par le Comité des Laïcs de l’église catholique. Mais, comme il fallait s’y attendre, le régime de Kinshasa a chargé. Et violemment. Sur des civils non armés, selon les témoignages recueillis à travers le pays.<br />
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<a href="https://twitter.com/hashtag/RDC?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#RDC</a> d'un côté, la croix, images de Jésus. de l'autre côté des mitrailleuses, fusils d'assaut, lance-roquettes et des chars de combat. <a href="https://t.co/VzVjpd5qkn">pic.twitter.com/VzVjpd5qkn</a></div>
— Michael Tshibangu (@MichaelTshi) <a href="https://twitter.com/MichaelTshi/status/947548842811109376?ref_src=twsrc%5Etfw">31 décembre 2017</a></blockquote>
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Dimanche soir, le dernier bilan des sources onusiennes faisait état de 8 morts. 5 victimes, dont un policier, selon le décompte du gouvernement congolais.<br />
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Au défi leur lancé par l’église catholique, les autorités congolaises ont ainsi, sans surprise, répondu par la manière forte. D’abord, par un blackout général. Depuis samedi, à 23 heures, le pays est totalement coupé du monde, après la suspension de l’internet et des sms. « Pour raison de sécurité d’État », s’est justifié le ministre des télécommunications, le transfuge de l’opposition, Emery Okundji. Voilà qui annonçait les couleurs du gouvernement.<br />
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« Si nous ne marchons pas, nous ne sortirons pas de l’esclavage »<br />
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Dès la fin de l’office, dans plusieurs paroisses de la capitale, policiers et militaires, postés la veille devant les temples de Dieu, n’ont pas tardé à passer à l’action. Tirs et gaz lacrymogène à la paroisse Saint Joseph de Kalamu. Ici, les fidèles ont eu juste le temps d’effectuer quelques mètres de marche avant d’être chargés. Une femme a pris une balle dans la tête.<br />
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Y a-t-il pire crime contre l’humanité que le massacre de manifestants ayant pour seule arme leur bible ? Y a-t-il pire sacrilège que lancer des lacrymogènes dans des lieux sacrés ? Au-delà des sanctions, tous les instruments du droit international doivent être mis en branle ! <a href="https://t.co/n8iiIRniuw">pic.twitter.com/n8iiIRniuw</a></div>
— Olivier Kamitatu (@OlivierKamitatu) <a href="https://twitter.com/OlivierKamitatu/status/947572792987410434?ref_src=twsrc%5Etfw">31 décembre 2017</a></blockquote>
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À quelques kilomètres de là, le courageux officiant de la paroisse de Kingabwa ne fait dans la demi-mesure. « Nous avons dit qu’aujourd’hui, nous allons marcher. Il s’agit de notre terre. Si nous ne marchons pas, nous ne sortirons pas de l’esclavage », a harangué, le prêtre. Mais, comme partout, à Kinshasa et globalement, à travers le pays, les forces de l’ordre n’ont laissé aucune chance aux manifestants. C’est le cas à l’église Saint Michel, dans la commune de Bandalungwa, où se trouvait l’opposant Vital Kamerhe. Des proches du leader de l’UNC ont évoqué « des commandos » lourdement armés et « parlant Anglais », qui n’ont pas hésité à tirer du gaz lacrymogène à l’intérieur de l’église.<br />
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Les rares images, de l’émission « Tokomi wapi ? », diffusée sur internet ont montré des véritables scènes de racket. Des policiers tirant en l’air et vidant les poches des civils qu’ils pourchassaient. Et bastonaient.<br />
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Policiers ou voleurs? portefeuilles, téléphones portables, <a href="https://twitter.com/hashtag/voyoucratie?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#voyoucratie</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/RDC?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#RDC</a> <a href="https://t.co/H0cCrpzgpj">pic.twitter.com/H0cCrpzgpj</a></div>
— Michael Tshibangu (@MichaelTshi) <a href="https://twitter.com/MichaelTshi/status/947555952114495488?ref_src=twsrc%5Etfw">31 décembre 2017</a></blockquote>
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Des scènes surréalistes, qui remettent un peu plus en lumière la gravité de la crise que traverse le pays et ses effets économiques, sur, aussi bien les forces de l’ordre que la population. En coupant internet, Joseph Kabila espérait réprimer et étouffer la contestation loin des regards. Raté. Des slogans « mandat esili », le « mandat est terminé » ont raisonné dans les rues de Kinshasa. Le monde a vu que le pays va mal. Et l’année 2018 s’annonce plus que jamais mouvementé sur le bord du fleuve Congo.

Au tour de Kinshasa Politique RDC, le 31 décembre : Un pays verrouillé, et… violemment réprimé

Violente répression et églises profanées. Voilà l’image qui restera dans l’histoire de ce 31 de décembre 2017 en RDC. Une journée de grandes...

Justine M’poyo Kasavubu, sur Tv5 : « La légitimité et la légalité dont pouvait se prévaloir Kabila ne sont plus de mise » (ARTICLE + VIDÉO)

January 01, 2018

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWAt_pgbyttLFh_WayGAa9hPCI0C5WN3LtOucdMTSqOCiShrJeMLhlpqnhZTUo8efOUvkCD53bTMzpBOZSYWWtPMvgnGZol0Q9Mat7NgWKdTGUbGVyJwrxmJuwikxAuTHtXxLvRTO1RbI/s1600/Snapshot_2549.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="283" data-original-width="557" height="202" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWAt_pgbyttLFh_WayGAa9hPCI0C5WN3LtOucdMTSqOCiShrJeMLhlpqnhZTUo8efOUvkCD53bTMzpBOZSYWWtPMvgnGZol0Q9Mat7NgWKdTGUbGVyJwrxmJuwikxAuTHtXxLvRTO1RbI/s400/Snapshot_2549.jpg" width="400" /></a>L’opposante congolaise Justine M’poyo Kasavubu est intervenue dimanche soir sur Tv5, quelques heures après la violente répression des manifestations de l’église catholique organisées en marge du 31 décembre.<br />
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L’ancienne candidate à la présidentielle de 2006 s’est montrée particulièrement en colère contre le président de la république, responsable, selon elle, de la violence perpétrée sur la population.<br />
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« Vous avez là le vrai visage de Kabila, c’est-à-dire, un sanguinaire, un tyran, un homme qui n’a pas de cœur, mais une pierre à la place du cœur », s’est indignée la fille du tout premier président de la RDC.<br />
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Pour Justine Mpoyo, qui vit en exil, ces nouvelles victimes sont à inscrire dans un contexte général de la tragédie que vit le pays depuis des années. De ce fait, selon elle, le 31 décembre 2017 qui vient de passer, signifie la fin du glissement. « Dans quelques heures les institutions vont tomber, nous serons en affaires courantes. La légitimité et la légalité dont pouvait se prévaloir Kabila ne [sont] plus de mise », a décrété l’opposante.<br />
<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><div dir="ltr" lang="fr">Justine M’Poyo Kasa-Vubu : "Kabila n’a jamais été élu par le peuple, il a chaque fois fraudé les élections mais c’est la communauté internationale qui l’a soutenu. Et donc nous avons ici la réplique de l’hypocrisie qui a régné pendant toutes ces années" <a href="https://t.co/tSwftWifS3">pic.twitter.com/tSwftWifS3</a></div>— TV5MONDE Info (@TV5MONDEINFO) <a href="https://twitter.com/TV5MONDEINFO/status/947517799676641280?ref_src=twsrc%5Etfw">31 décembre 2017</a></blockquote><script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script><br />
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Pour sa part, le chef de l’État a réagi aux manifestations, à travers ses vœux de nouvel an. Il a mis en garde « ceux qui seraient tentés » de recourir à la violence pour « interrompre » le processus démocratique en cours, et « plonger » le pays dans l’inconnu.<br />
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« Notre peuple, qui, à plusieurs reprises, a fait preuve de maturité, saura certainement protéger la patrie contre toute initiative et toute ingérence ayant pour finalité de porter atteinte à l’Independence politique de notre pays et à son intégrité territoriale », a prévenu le président contesté.<br />
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Par CAS-INFO

Politique Justine M’poyo Kasavubu, sur Tv5 : « La légitimité et la légalité dont pouvait se prévaloir Kabila ne sont plus de mise » (ARTICLE + VIDÉO)

L’opposante congolaise Justine M’poyo Kasavubu est intervenue dimanche soir sur Tv5, quelques heures après la violente répression des manife...

Felix Tshisekedi :”Nous sommes entrain de subir une dictature. Le temps est venu de réfléchir à d’autres stratégies” ( Article + vidéo )

January 01, 2018

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_KT5mTlSB_3HNBwrypyRml5Hwu8wTZZUWGk1FAd-5tGwnkatUzwTM7RHBBzVl993vQ_drP8h6eBQjEOK_lhJHlmzyaL4PSn8qM4bOp6lry4Yuo9EU1jeIx84MjF5VS4P7tgJoCjW34ds/s1600/Snapshot_971.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="297" data-original-width="519" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_KT5mTlSB_3HNBwrypyRml5Hwu8wTZZUWGk1FAd-5tGwnkatUzwTM7RHBBzVl993vQ_drP8h6eBQjEOK_lhJHlmzyaL4PSn8qM4bOp6lry4Yuo9EU1jeIx84MjF5VS4P7tgJoCjW34ds/s400/Snapshot_971.jpg" width="400" /></a></div>
Le président du Rassemblement, Felix Tshisekedi, a réagi ce dimanche 31 décembre après l’annulation de la marche prévue par le comité laïc de coordination.<br />
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Pour Felix Tshisekedi, il n’est nullement question de parler d’échec parce que le choix a été fait de ne pas affronter la barbarie du régime de Kinshasa. Le président du Rassemblement a déclaré que le temps était venu de réfléchir à d’autres stratégies<br />
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“Les gens ont fait un choix de ne pas affronter la barbarie. Ce n’est pas un raté. le peuple a montré par sa mobilisation de quel côté il est. Mais c’est un peuple qui est pris en otage et il faut réfléchir autrement”, a-t-il déclaré.<br />
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<iframe allow="encrypted-media" allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="420" src="https://www.youtube.com/embed/JsvAcze1i1g" width="654"></iframe><br />
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Expliquant qu’à son arrivée à la cathédrale Notre Dame du Congo, il a trouvé les policiers plutôt calmes, bien présents, Felix dit ne pas comprendre pourquoi ils se sont mis à tirer. il a en outre regretté, selon lui, l’évidence de la dictature en RDC et a appelé à la résistance populaire<br />
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“Quand je suis arrivé, qu’ils étaient calmes. Je ne sais pas pourquoi ils ont tiré. Nous sommes entrain de subir une dictature. je demande simplement à notre peuple de résister et comme je vous le dis, nous allons réfléchir autrement”, a déclaré le président du Rassemblement.<br />
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À l’arrivée du président du Rassemblement en la cathédrale Notre Dame du Congo,  la police a lancé des gaz lacrymogènes pour disperser les militants qui se sont amassés autour de lui. A la fin de l’office,  le curé  a demandé aux fidèles de rentrer chez eux pour “éviter un bain de sang”

Felix Tshisekedi :”Nous sommes entrain de subir une dictature. Le temps est venu de réfléchir à d’autres stratégies” ( Article + vidéo )

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Le président du Rassemblement, Felix Tshisekedi, a réagi ce dimanche 31 décembre après l’annulation de la marche prévue par le comité la...

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