BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Assemblée Nationale : Mboso N’kodia et son équipe ont pris officiellement les commandes

February 10, 2021

Le 3 février dernier, après deux jours de campagnes électorales organisées à l’hémicycle du Parlement et en dépit des autres candidatures rejetées par la Commission d’examen et des plaintes sans retour positif par le Conseil d’Etat, Christophe Mboso N’kodia Pwanga a été élu Président du bureau définitif de l’Assemblée Nationale avec un vote majoritaire de 382 voix. Dans la foulée, Jean-Marc Kabund-a-Kabund rebondit à son poste de 1er Vice-président, Vital Banyiwesize comme 2ème Vice-président, Lembi Libula au poste de Rapporteur, Colette Tshomba élue Rapporteur adjoint, Angel Tabu comme Questeur et Kanefu Jean-Pierre élu Questeur adjoint. Affichant complet dans sa composition, et en application des coutumes existantes, le bureau d’âge représenté par les Honorables Députés Gaël Bussa et Aminata Namasia ont passé le bâton de commandement entre les mains de l’Honorable Président Christophe Mboso, ce mardi 9 février 2021 au Parlement.<br /><br />A l’occasion de cette cérémonie solennelle et émouvante pour certains, Christophe Mboso a salué la qualité de travail abattu par le bureau d’âge, dirigé par lui-même, dans un contexte particulier de crise et fortes tensions politiques dans cette institution.

Ces tensions étaient causées par la non légitimité du bureau d’âge de traiter des matières non reprises dans le Règlement intérieur de l’Assemblée Nationale notamment, le contrôle parlementaire, la ratification de la loi des finances et, pire encore, l’examen de la motion de censure ayant conduit à la déchéance du gouvernement Ilunga Ilunkamba, le 27 janvier 2021, sur un vote majoritaire de 367 voix sur les 377 Députés présents lors de ladite séance plénière.<br /><br />Cette remise-reprise balise la voie au tout nouveau bureau définitif de pouvoir agir conformément aux attentes du peuple congolais et dans le respect strict des lois et règlements du pays. Dans son discours prononcé à l’issue de son élection à la présidence de ce bureau, Christophe Mboso était revenu sur l’urgence de travailler sur des lois susceptibles de secréter les réformes électorales, les réformes dans le secteur de sécurité, de la justice et des droits humains et les réformes économiques. D’où, l’appel à une préparation conséquente qu’il eut lancé aux Députés Nationaux lors de son speech en qualité de Président élu.<br /><br />Etape de grande envergure<br /><br />Outre le renforcement du contrôle parlementaire pour la garantie de la transparence dans la gestion de la Res Publica, Christophe Mboso avait également notifié qu’à la session de mars prochain, les élus du peuple devraient se préparer à auditionner le discours-programme du prochain Premier Ministre et s’apprêter à investir son gouvernement. Revenu depuis ce lundi 8 février à Kinshasa en provenance d’Addis-Abeba, où il a pris officiellement les rênes de l’Union Africaine, Félix Tshisekedi et ses proches collaborateurs concoctent jusque-là le profil du remplaçant de Sylvestre Ilunga Ilunkamba à la Primature et ne tarderont pas, d’après certaines sources, à dévoiler le nom du formateur du prochain gouvernement ou carrément du Premier Ministre.

<br /><br />Modeste Bahati l’Informateur, Marie-Josée Ifoku, Noël Tshiani Mudiamvita, Samy Badibanga, Willy Kitobo sont des noms cités pour commander le prochain exécutif. Ceci en vertu de leur probité morale, le sens de patriotisme, la connaissance et la maîtrise de la gestion de la Res Publica.<br /><br />John Ngoyi  <p></p>

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Le 3 février dernier, après deux jours de campagnes électorales organisées à l’hémicycle du Parlement et en dépit des autres candi...

Tshisekedi remettra 330 nouveaux bus de marque Volvo aux responsables de Transco ce samedi 13 février 2021!

February 10, 2021

Le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, remettra officiellement un lot de 330 nouveaux bus de marque Volvo le samedi 13 février 2021 aux responsables de Transco.<br /><br />C’est du moins ce qu’a annoncé le service de communication du Ministère des transports et Voies de communication.<br /><br />D’après la même source, cette cérémonie va se dérouler sur le boulevard triomphal, sauf changement de dernière minute.<br /><br />Pour lier l’utile à l’agréable, le ministère de Transport et Voies de communication renseigne qu’une formation de mise à niveau des conducteurs de Transco a été lancée vendredi 5 février par le Ministre Didier Mazenga.<br /><br />

C’était au dépôt de Transco situé dans la commune de Masina, quartier Siforco.<br /><br /> Cette séance de renforcement des capacités a pour objectif d’éviter les accidents récurrents.<br /><br />D’après certains agents de la société Transco, le coût de la course par passager pourrait être revu à la hausse, soit de  500 CDF à 1000 CDF.<br /><br />Mitterrand MASAMUNA

Tshisekedi remettra 330 nouveaux bus de marque Volvo aux responsables de Transco ce samedi 13 février 2021!

Au tour de Kinshasa Economie Société Tshisekedi remettra 330 nouveaux bus de marque Volvo aux responsables de Transco ce samedi 13 février 2021!

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Le Prof. Emmanuel Janvier Luzolo Bambi Lessa réclamé à l’UDPS

February 10, 2021

Il est des personnalités congolaises dont ont ne se réserve pas de parler ni présenter tant leur renommée a franchi les frontières nationales et internationales. Le Prof. Emmanuel Janvier Luzolo Bambi Lessa a été cité dans les «mémoires» de l’ancien Premier ministre, ancien Président du Conseil judiciaire, Léon Kengo wa Dondo, dans «Passion de l’Etat », comme étant un des intellectuels Congolais, digne de ce nom, qui a marqué l’histoire de la RDC ces dernières années.<br /><br />En ce moment où le Président de la République, Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, est à la recherche des «oiseaux rares», pour faire face à la corruption qui a gangrené et gangrène encore ce pays, d’aucuns pensent que le Prof. Janvier Luzolo, Ministre de la justice dans le gouvernement Adolphe Muzito (2008-2012) semble être cet oiseau rare dont la République a besoin en cette période difficile qu’elle traverse.<br /><br />Au moment où l’Inspection Général des Finances (IGF) remue ciel et terre pour rechercher les ‘‘champions des détournements des deniers publics’’, le fils de Joseph Bambi est prêt à soutenir l’action du Chef de l’Etat.

<br /><br />Voilà pourquoi, les membres de l’UDPS, mieux les militants, souhaitent que le Prof. Emmanuel Janvier Luzolo puisse faire son intégration dans l’Union sacrée de la Nation suite à son expertise.<br /><br />Diplômé de l’Université de Kinshasa, berceau de toutes les révolutions qui ont secoué la RDC, Emmanuel Janvier Luzolo Bambi Lessa est né à Lisala, le 31 janvier 1958, dans la «Grande province de l’Equateur, bien qu’originaire du Bas-Congo», Kongo Central aujourd’hui. Cet enfant d’un militaire de la force publique a eu sa licence en 1985 après ses études littéraires à Matadi, à l’UNIKIN où il avait été retenu comme assistant avant de s’envoler à la Faculté de droit de l’Université de Lubumbashi au Katanga, pour les mêmes fonctions. Il s’envolera en France, pour poursuivre ses études, cette fois là à l’Institut des Sciences Pénales et de Criminologie de Aix-Provence et à l’Université Aix-Marseille 2e où il obtient un DEA en Droit pénal et sciences criminelles.<br /><br />L’ancien Président de la République, Joseph-Kabila Kabange qui était à la recherche des collaborateurs honnêtes l’a repéré pour en faire, en juillet 2014, avec certaines personnalités comme le Prof. Félix Vunduawe te Pemako, membre de la Cour Constitutionnelle, avec Evariste-Prince Tunga Molima, Benoît Lwamba Bindu, avant d’être nommé le 31 mars 2015, Conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de Bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme par ‘‘JKK’’.

<br /><br />Voilà l’homme qui est réclamé par les militants de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS, pour continuer sur terrain le combat contre la corruption.<br /><br />Le Prof. Luzolo Bambi approuve la vision de «FATSHI» de l’Union sacrée autour et pour la Nation, afin que le peuple Congolais puisse bénéficier de ses ressources naturelles.<br /><br />C’est le Prof. Janvier Luzolo qui, après un travail fouiné, découvert que des milliards de dollars sont chaque année volatilisés à travers le coulage des recettes nationales et ‘‘happés’’ par des rapaces et ennemis du peuple Congolais.<br /><br />Dans tous les ‘‘parlements debout’’ de l’Udps, on ne parle que du retour de ce digne fils dévoyé dans le Front Commun pour le Congo.<br /><br />Signalons que les militants de l’UDPS sont des bons Conseilleurs qui font des observations pertinentes.<br />Jeannot Tuluka<br />La Prospérité

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Jean-Marc face à son incroyable destin

February 10, 2021

Le Rocard de l’UDPS vient de prendre du galon. Pendant quatre ans, il va présider aux destinées de l’UDPS. C’est le président de la république qui en a décidé ainsi. C’est son compagnon de route désormais appelé à exercer les plus hautes charges de l’État, qui vient de le désigner comme président de l’ex fille aînée de l’opposition.<br /><br />Je dis “ex”, parce que l’UDPS a cessé d’être un parti d’opposition.<br /><br />Elle est désormais un parti de gouvernement.<br /><br />C’est à Jean-Marc que revient désormais la lourde tâche de transformer le parti d’Étienne Tshisekedi. C’est à lui et à son équipe que reviennent la lourde tâche de relayer, d’expliquer et d’amplifier le message du Palais de la Nation. C’est sur ses épaules et celles de son équipe que reposent désormais les espoirs des militants (peut-on encore les appeler “combattants”, eux qui ont conquis de haute lutte le Palais de la Nation) et ceux du peuple congolais.<br /><br />Oui, Jean-Marc et son équipe ont un devoir de mémoire: celui de rappeler en permanence le message et le projet politique de l’UDPS. Celui de dire, dans l’intimité du bureau présidentiel, à Félix Tshisekedi, ce qui est bon et juste pour le peuple congolais. Il doit lui rappeler avec fermeté, son histoire, celle de son parti, et le sens de sa mission: bâtir un État de droit, consolider la démocratie et œuvrer  pour un véritable progrès social.<br /><br />Le peuple d’abord.

<br /><br />Félix le sait.<br /><br />Jean-Marc le sait aussi.<br /><br />Contrairement à d’autres, Félix Tshisekedi n’est pas le soldat du peuple, mais son dévoué serviteur. Celui qui doit mouiller sa chemise, pour concrétiser les promesses des pères fondateurs de l’UDPS.<br /><br />Il avait un complice à l’UDPS. Un bosseur, un homme loyal, au parler vrai légendaire. “Le Rocard de l’UDPS” comme j’aime l’appeler.<br /><br />C’est le chouchou des militants. Celui qu’ils doivent désormais soutenir, pour la nécessaire mutation de l’UDPS en un parti de gouvernement.<br /><br />“Ye wana Kabund!<br /><br />“Ye wana, ye wanaaaaa….”<br /><br />Bonne chance Jean-Marc.<br /><br />Dr  Hubert Kabasele Muboyayi Kalonji

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Le Rocard de l’UDPS vient de prendre du galon. Pendant quatre ans, il va présider aux destinées de l’UDPS. C’est le président de...

Sénat : la tête de Samy Badibanga de nouveau mise à prix !

February 10, 2021

La plénière qui s’était déjà prononcée le vendredi 5 février va-t-elle se dédire cette fois-ci ?<br /><br /><br />Le feuilleton des motions de défiance contre les membres du Bureau du Sénat se poursuit. Après le rejet, vendredi 5 février de la première pétition contre lui, la tête du 1er vice-président de la Haute assemblée du Parlement congolais est de nouveau mise à prix. Samy Badibanga Ntita, parce que c’est de lui qu’il s’agit, est visé par une deuxième pétition, actionnée par la sénatrice Victorine Lwesse et signée jusqu’hier mardi 10 février, par une dizaine de sénateurs, sur les 108+1 membres qui composent cette Chambre parlementaire.<br /><br /> <br /><br />Cependant, le Règlement intérieur du Sénat prévoit que lorsqu’un membre du Bureau est mis en cause, la pétition est jugée recevable après qu’elle a été signée par le quart des membres de la Chambre. En l’espèce, il faudrait que la pétition contre Samy Badibanga requière pas moins de 25 signatures, avant son dépôt au Bureau du sénat et son examen en plénière.<br /><br /> <br /><br />UN ACHARNEMENT?<br /><br /> <br /><br />Si en politique, tous les coups sont “permis”, la pétition contre Samy Badibanga a bien l’air d’un acharnement. Sinon, dans les couloirs du Palais du peuple, on ne comprend pas qu’après la première requête rejetée le vendredi 5 février par la plénière, une deuxième pétition soit initiée contre la même personne et au cours d’une même session. En l’occurrence, la session extraordinaire en cours au Sénat.

<br /><br /> <br /><br />Interrogé justement à ce sujet par Radio Okapi, le sénateur MLC Gerengo Mvene Valentin est formel : “Le Règlement intérieur du Sénat ne permet pas le dépôt de plus d’une pétition contre une même personne au cours d’une même session. C’est clair et net ! Les pétitions sont liées aux motions”. Samy Badibanga, faut-il le rappeler, est le seul membre du Bureau du Sénat resté en fonction, après la démission en série de tous les six autres membres, quelques heures peu avant le début de la plénière consacrée à l’examen des pétitions individuelles initiées par le sénateur Gerengo Mvene Valentin.<br /><br /> <br /><br />Quant à Samy Badibanga, visé lui aussi par une demande de déchéance, la pétition avait été rejetée par la plénière du vendredi 5 février, à cause de l’absence dans la salle, de l’auteur de ladite pétition. Car, la pratique parlementaire veut qu’en pareille circonstance, l’initiateur de la demande doit d’abord commencer par expliquer les motivations de sa démarche, avant de la soumettre au vote. Le pétitionnaire ayant été absent, le dossier Samy avait dès lors été clos.<br /><br /> <br /><br />UN COUP D’EPEE DANS L’EAU?<br /><br /> <br /><br />Il faut d’emblée, rappeler que la pétition contre Alexis Thambwe Mwamba et les cinq autres anciens membres du Bureau du Sénat, avait été signée par 64 sénateurs, soit la majorité absolue des sénateurs.

Si Samy Badibanga a été “épargné” du déluge par la plénière, on ne voit pas les mêmes personnes trahir leur propre conscience, en faisant une volte-face. Au cas où la deuxième pétition contre le 1er vice-président du Sénat serait jugée recevable, les sénateurs qui ont participé à la plénière du vendredi 5 février vont-ils se dédire cette fois-ci ?<br /><br /> <br /><br />D’ores et déjà, l’ambiance est bien sereine dans les travées de l’hémicycle. Un sénateur indexe ses collègues du Front commun pour le Congo (FCC), avant de jurer que la démarche contre Samy Badibanga n’aboutira pas. “C’est un coup d’épée dans l’eau. Nos amis jouent le pourrissement, juste pour faire retarder l’élection et l’installation subséquente des membres du nouveau Bureau définitif de notre Chambre parlementaire. Leur entreprise n’a pas la moindre chance d’aboutir. C’est de la pure distraction”, conclut-il.<br /><br /> <br /><br />Dans la même veine, le “tombeur” d’Alexis Thambwe Mwamba et consorts, Valentin Gerengo, ne jure que par le rejet de la pétition. ” Soyez-en sûrs, cette démarche sera simplement rejetée. C’est une pétition de prestige pour tenter vainement de nous détourner de l’essentiel. Mais ils n’y arriveront pas. Les pétitionnaires font preuve d’acharnement, totalement indécent contre le Premier vice-président. A ce rythme, on va aller de pétition en pétition et la chambre haute du Parlement ne va travailler que pour réagir aux multiples pétitions. C’est inadmissible”, conclut-il sur un ton de révolte.<br /><br /> <br /><br />Une autre réaction est celle d’un sénateur qui déclare que la pétition contre Samy porte en elle-même les germes de son propre rejet. Selon lui, il y a non-respect de procédure légale. “La pétition brille par son caractère irrégulier, en ce que la démarche ayant amené à son dépôt n’a pas été conforme aux us et coutumes parlementaires”.<br /><br /> <br /><br />Pendant qu’on attend le calendrier de l’élection du nouveau Bureau du Sénat, voilà qu’une nouvelle pétition tombe pour réclamer la tête de Samy Badibanga. Mais pour quelle finalité ? Aussi curieux que cela puisse paraitre, le pétitionnaire est l’un des deux sénateurs les moins âgés, membre de l’actuel bureau d’âge présidé par Léon Mamboleo, le plus âgé de tous ses collègues.

<br /><br /> <br /><br />Tout bien considéré, nombre d’observateurs instruits par la nouvelle donne politique en RD Congo, ne voient pas par quel miracle les auteurs de la requête contre le 1er vice-président du Sénat pourraient obtenir gain de cause. Si par l’absurde, 64 sénateurs ont signé la pétition contre six membres de l’équipe Thamwe Mwamba, cet acte prouve que la majorité a effectivement basculé au Sénat congolais où le FCC n’aligne pas moins de 80 membres. Dès lors, on suppose que ce sont les mêmes qui ont participé à la plénière de vendredi, consacrée à l’examen des requêtes adressées aux six anciens membres du Bureau. Et qu’aussi, c’est cette même majorité absolue qui avait voté pour le rejet pur et simple de la demande de déchéance de Samy. Mutatis mutandis, la même plénière ne pourra que réitérer sa confiance en Samy Badibanga Ntita. Encore faudrait-il que ladite pétition remplisse les conditions de sa recevabilité.<br /><br />Forumdesas<p></p>

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La plénière qui s’était déjà prononcée le vendredi 5 février va-t-elle se dédire cette fois-ci ? Le feuilleton des motions de déf...

Selon Amani Sangara, la délégation du Rwanda porteur d’un message spécial à Tshisekedi est un danger pour la politique congolaise

February 10, 2021

<div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwbRVgbtfgbH67c4pbAh581Ux4yMULIeP4jHI_5TW5HDaiIDTuBUXSV3P6dRMdqUAuTNmVC6NM5xSuTvGEdCFghKjCCg2KlaXZIzFSLDq9rWdzo4ekSBTbCBTAXMj8OhcLmRUsvExwBjS5/s640/tshisekedi_felix_et_delegation_rwandaise_21_0_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwbRVgbtfgbH67c4pbAh581Ux4yMULIeP4jHI_5TW5HDaiIDTuBUXSV3P6dRMdqUAuTNmVC6NM5xSuTvGEdCFghKjCCg2KlaXZIzFSLDq9rWdzo4ekSBTbCBTAXMj8OhcLmRUsvExwBjS5/w640-h350/tshisekedi_felix_et_delegation_rwandaise_21_0_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a><br /><br /><br /></div><br /><br /> Le citoyen congolais et analyste politique indépendant, Didier Amani Sangara fait une analyse sur la présence, il y a quelques jours d’une délégation du Rwanda à Kinshasa, avec un message spécial à Félix Tshisekedi.<br /><br />Pour lui, cette délégation constitue un danger pour la politique congolaise et contre lequel tout congolais devrait s’insurger.<br /><br /><br />Cet analyste qui reconnait qu’aucun contenu du message apporté n’a été officiellement communiqué, ni par les autorités congolaises moins encore par la délégation rwandaise; estime que la coopération bilatérale entre Kinshasa et Kigali, comme annoncé par un membre de la délégation n’est pas une bonne idée.<br /><br />ICI L'INTEGRALITE DE L'ANALYSE DE DIDIER AMANI SANGARA<br /><br />La délégation du Rwanda porteur d’un message spécial à Tshisekedi, un danger pour la politique congolaise<br /><br />La composition de cette délégation interroge : l’ambassadeur du Rwanda à Kinshasa, le tonitruant Vincent Karega, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération Vincent Biruta et le secrétaire général des services de renseignement, le général Joseph Nzabamwita. Et après, la ministre du Commerce et de l’Industrie du Rwanda, Soraya Hakuziyaremye, qui a rejoint le staff.<br /><br />Juste à voir la composition de cette délégation rwandaise, les Congolais auraient dû se poser des questions. Surtout quand on sait qu’un récent rapport de l’ONU a révélé la présence des troupes rwandaises sur le territoire congolais. Jusqu’à présent, personne n’a interpellé le gouvernement sur la présence des Rwandais sur le sol congolais. La RD Congo n’a que les politicards.<br /><br />Selon la presse présidentielle à Kinshasa, les Rwandais ont porté un « message spécial » du président Paul Kagame à Félix Tshisekedi. Le contenu de ce fameux message n’a pas été dévoilé, et la délégation rwandaise a été avare de commentaires à ce sujet. Mais quand on analyse la composition de cette délégation et les propos de Madame Soraya Hakuziyaremye, on comprend qu’il est question de coopération bilatérale entre Kinshasa et Kigali dans plusieurs domaines.<br /><br />Du côté de la RD Congo, c’est l’impasse et le passif total qui s’installe aux yeux inactifs de Tshisekedi et pourtant il devrait intégrer le staff équivalent, compétent et crédible du gouvernement congolais pour participer à ces assises afin de traiter de manière égale et transparente l’agenda du jour.<br /><br />Sur le plan sécuritaire, il n’y a pas de doute que Félix Tshisekedi va continuer à soumettre le Congo aux desiderata du Rwanda. Pour la petite histoire, il ne s’est jamais prononcé sur la présence des Forces de défense rwandaises sur le sol congolais. Plus intrigant, c’est la coopération économique et commerciale. Madame Soraya Hakuziyaremye a fait allusion à la zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC). Or la ZLEC ne peut profiter à la RDC dans les conditions actuelles.<br /><br />Ce qu’il va permettre, c’est la légalisation du commerce illicite des ressources naturelles congolaises. Signalons également que cette zone de libre-échange axé essentiellement sur la transitivité égoïste des minerais qui va occasionner le relèvement économique du Rwanda et profiter aux orientaux au détriment des occidentaux. En soutenant ce projet, Félix Tshisekedi s’engage à légaliser et à légitimer l’exploitation illégale et le commerce des minerais à l’est de la RDC. Le Rwanda n’aura donc plus besoin de cacher ou de falsifier les chiffres de ses exportations d’or et de coltan congolais (pour ne citer que ces deux minerais), comme l’ont montré les experts de l’ONU, il y a deux ans.<br /><br />La RDC n’aurait pas dû adhérer à la ZLEC<br /><br />La RDC se fragilise politiquement, économiquement et sur le plan sécuritaire. Elle n’aurait déjà pas dû adhérer à la ZLEC, qui est un projet certes ambitieux mais problématique à certains égards. Avec le renforcement des relations avec le Rwanda, c’est l’avenir du pays qui est compromis à moyen et à long terme. Parce qu’en l’état actuel de la situation, le Rwanda gagnera à tous les niveaux et à tous les coups. Un cadeau signé par Félix Tshisekedi Tshilombo qui se verra agir pour servir honnêtement le message spécial que le Rwanda lui a amené au détriment de la nation congolaise.<br /><br />Signalons que c’était le mardi le 19/01/2021 que Félix Tshisekedi avait reçu une délégation rwandaise au Palais de nation pour des entretiens sur la coopération bilatérale entre la RD Congo et le Rwanda.<div><br /></div><div><br /><b>Didier Amani Sangara, Analyste indépendant</b><p></p></div>

Politique Selon Amani Sangara, la délégation du Rwanda porteur d’un message spécial à Tshisekedi est un danger pour la politique congolaise

Le citoyen congolais et analyste politique indépendant, Didier Amani Sangara fait une analyse sur la présence, il y a quelques jours d’une ...

Paul Kagame à Félix Tshisekedi : « Félicitations mon frère, nous sommes prêts à travailler avec vous »

February 10, 2021

Le président du Rwanda Paul Kagame a félicité le président de la République Démocratique du Congo Félix Antoine Tshisekedi, pour son accession à la tête de l’union africaine.<br /><br /><br />Kagame souligne qu’il est prêt à travailler avec le nouveau président de l’U.A pour l’intérêt du continent africain.<br /><br />« Félicitations à mon frère le président Tshisekedi pour votre nouveau rôle en tant que président de l’Union africaine. Nous sommes prêts à travailler avec vous pour atteindre les objectifs communs de notre continent » a-t-il indiqué sur son compte twitter.<br /><br />

Il sied de rappeler que le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi, a pris les commandes, samedi, de l’Union Africaine (UA) en marge de l’ouverture de la 34ème session de la Conférence des Chefs d’État et des gouvernements de l’Organisation continentale.<br /><br /><br />Il succède, à ce poste, au président sud-Africain Cyril Ramaphosa.<br /><br />« c’est un privilège unique pour la RDC qui accède à la présidence de l’UA à un moment symbolique et hautement significatif où nous célébrons les 60 ans de la disparition d’un digne fils du Congo et de l’Afrique, Patrice-Emery Lumumba » a déclaré le président dans un discours de circonstance.<br /><br />

Congosynthese.com<p></p>

Politique Paul Kagame à Félix Tshisekedi : « Félicitations mon frère, nous sommes prêts à travailler avec vous »

Le président du Rwanda Paul Kagame a félicité le président de la République Démocratique du Congo Félix Antoine Tshisekedi, pour son...

La réaction d’Olive Lembe : “Joseph Kabila est un soldat malgré qu’il n’occupe pas un poste quelconque militaire dans le pays”

February 10, 2021

Depuis son séjour dans la province de Maniema, l’ancienne Première dame, Olive Lembe Kabila s’est exprimée dans une vidéo publiée mardi 9 février sur les réseaux sociaux en expliquant les différentes fonctions de son conjoint.<br /><br /><br />L’épouse de l’ex-chef de l’État Joseph Kabila estime que son mari est prêt à tout quand bien même qu’il n’a plus le pouvoir mais une attitude de militaire reste dans son esprit.<br /><br />“Joseph Kabila est un soldat malgré qu’il n’occupe pas un poste quelconque militaire dans le pays mais j’ai toujours dit que l’esprit d’un soldat reste pour toujours en lui”, a déclaré Olive Lembe Kabila.<br /><br />La sortie médiatique de cette dernière refait surface à un contexte de crise où l’actuel président Félix Tshisekedi a mis fin à l’alliance politique avec son prédécesseur Joseph Kabila. Celui-ci l’ayant constaté, il s’est retiré de la ville de Kinshasa pour assurer sa sécurité. Joseph Kabila avait décidé de quitter son petit royaume appelé communément “Kingakati” pour se rendre dans le Haut-Katanga où il séjourne depuis plus de deux mois.

<br /><br /><br />Ce n’est pas pour la première fois qu’Olive Lembe Kabila fasse des éloges sur son amant. Récemment, lors de sa visite au Sud-Kivu, elle avait encore déclaré dans une vidéo que: “son mari Joseph Kabila et elles ne peuvent pas vivre ailleurs, à part être au Congo car c’est ici leur pays”.<br /><br />Le mari d’Olive Lembe Kabila a perdu depuis un certain temps le contrôle du pouvoir. Malgré son départ à la tête de la RDC, Joseph Kabila avait une large marge de manœuvre, car ses fidèles étaient placés dans des institutions importantes du pays, avant de faire une chute libre à l’Assemblée nationale Jeanine Mabunda, au Sénat Alexis Thambwe Mwamba sans oublier le Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba.<br /><br /><b>

Mbote.cd</b><p></p>

Politique La réaction d’Olive Lembe : “Joseph Kabila est un soldat malgré qu’il n’occupe pas un poste quelconque militaire dans le pays”

Depuis son séjour dans la province de Maniema, l’ancienne Première dame, Olive Lembe Kabila s’est exprimée dans une vidéo publiée ma...

Nomination du Premier Ministre : les potentiels candidats

February 10, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjF-rI7pvsPpWQJb8K83VjevLsAeL70hiKQXWbQRoRSMIV8WZjN4bvysLHhNLFAxapZojkOfB5b5UDiD40VBK9eBa1uCl1JjtemElegubwKmAiZdXvreQz6-5GFSsPusWVOWS_ZGhEvJtNP/s640/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%25283%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjF-rI7pvsPpWQJb8K83VjevLsAeL70hiKQXWbQRoRSMIV8WZjN4bvysLHhNLFAxapZojkOfB5b5UDiD40VBK9eBa1uCl1JjtemElegubwKmAiZdXvreQz6-5GFSsPusWVOWS_ZGhEvJtNP/w640-h480/t%25C3%25A9l%25C3%25A9chargement+%25283%2529.jpg" width="640" /></a></div> <p></p><br /><p></p>Le Président de République devra dans peu de jours signer une ordonnance portant nomination d’un nouveau Premier Ministre, après la chute du gouvernement ILUNKAMBA. Selon nos informations, le nom du Premier Ministre de l’Union Sacrée de la Nation pourra être connu cette semaine, sauf changement majeur.<br /><br />Qui pour succéder à Sylvestre Ilunga Ilunkamba ? Des noms circulent, et plusieurs nouveautés. Ce lundi, les échos reçus par notre rédaction, renseignent que le futur Premier Ministre sera originaire de l’espace Katanga.

La piste Bahati ainsi frigorifiée puisque l’informateur de Félix Tshisekedi est pressenti à la présidence du Sénat.<br /><br />Parmi les noms qui circulent : Edmond Mbanz a Mbang (ancien ministre provincial du Katanga sous Moise Katumbi), Fabien Mutomb (DG de la SNCC, député national l’UDPS), Christian Mwando Simba (député national Ensemble), et Willy Kitobo (Ministre des Mines du gouvernement ILUNKAMBA et membre du FCC qui vient de traverser vers l’union sacrée).<br /><br />Les discussions se poursuivent dans les quartiers secrets de l’union sacrée. Mais les parties prenantes ne sommes pas loin d’un compromis.<br /><br />Congoactu.net

Politique Nomination du Premier Ministre : les potentiels candidats

Le Président de République devra dans peu de jours signer une ordonnance portant nomination d’un nouveau Premier Ministre, après la chute ...

Goma : des policiers impayés depuis des années demandent qu’ils soient remis dans leurs droits

February 10, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbDw4t7DEmfQUhFjzBSp5ZVI6_T2GE_uozUoaZfSO6XCXhsThTHbo_BQHNnliROikmG5l6hcmJCpmI5lFaclhelanOD3vuni15U0PjVCr47NbvSiOj2VrK09JYPhxC12Z9MellIZa43fo-/s640/Police-Nationale-Congolaise.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="640" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbDw4t7DEmfQUhFjzBSp5ZVI6_T2GE_uozUoaZfSO6XCXhsThTHbo_BQHNnliROikmG5l6hcmJCpmI5lFaclhelanOD3vuni15U0PjVCr47NbvSiOj2VrK09JYPhxC12Z9MellIZa43fo-/w640-h480/Police-Nationale-Congolaise.jpeg" width="640" /></a></div> <p></p><p></p><br />Des centaines de policiers impayés, certains depuis plus de 8 ans, demandent au gouvernement central de régler au plus vite leur problème. Affectés à la sécurité des agglomérations, ils se voient obligés de vivre sur le dos de la population.  <br /><br />Les policiers rencontrés ont été formés au centre de Kapalata en 2010. Après leur formation, ils se rappellent avoir été régulièrement payés. Trois mois après le départ du M23, ils n’ont plus touché leur rémunération. <br /><br />« Nos enfants sont devenus enfants de la rue. Et lorsque nous sommes envoyés en patrouille, ils nous disent clairement : débrouillez-vous ! Vous avez votre tenue et votre arme, comment pouvez-vous rentrer sans argent ? …  Et c’est pourquoi beaucoup de nos policiers sont tués. Quand tu vas voler on t’attrape, on te brule vif. Si par chance tu ne te fais pas prendre, tu sais que ça pourrait arriver à la prochaine occasion. Et c’est ainsi que nous vivons en tracassant nos frères. Nous demandons au président de la République de nous aider à régler ce problème du Nord–Kivu », s’est lamenté l’un d’eux sur Radio Okapi.  <br /><br />Ils ajoutent qu’ils sont plus de 1 000 à travailler sans solde depuis plusieurs années.<br />L’inspection provinciale de la police qui affirme reconnaitre cette situation, assure que le dossier en cours à l’administration de la police à Kinshasa. <div>  <br />radiookapi.net</div>

Province sécurité Goma : des policiers impayés depuis des années demandent qu’ils soient remis dans leurs droits

Des centaines de policiers impayés, certains depuis plus de 8 ans, demandent au gouvernement central de régler au plus vite leur problème....

Primature: l’oiseau rare sortira d’Ensemble ou de l’UDPS!

February 10, 2021

<p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-weight: 600; list-style: none; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-weight: 600; list-style: none; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIo6QWJWkcXkusRZrZ4V7fyQsuxRGtrbPPiO_0NmzbCN0bGUbWzrOK15Fl__bY3LDlrW9z87GThNLB1S2SaCc89FedPW2OEeD0DMrUSWervwuuxdkibLkcny4QwyarU5FF8m9A7fecDA/s1024/CA1DEBC5-9F1B-4DEE-A33A-633EC125F9FC.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="578" data-original-width="1024" height="362" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIo6QWJWkcXkusRZrZ4V7fyQsuxRGtrbPPiO_0NmzbCN0bGUbWzrOK15Fl__bY3LDlrW9z87GThNLB1S2SaCc89FedPW2OEeD0DMrUSWervwuuxdkibLkcny4QwyarU5FF8m9A7fecDA/w640-h362/CA1DEBC5-9F1B-4DEE-A33A-633EC125F9FC.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-weight: 600; list-style: none; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;"><br /><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-weight: 600; list-style: none; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">L’informateur Modeste Bahati a le droit de tout espérer pour succéder à Ilunga Ilunkamba, sauf s’il opte pour la présidence du Sénat…  </span></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Après l’installation du nouveau bureau définitif de l’Assemblée nationale, cap vers la Primature. Alors qui peut succéder à Sylvestre Ilunga Ilunkamba? Voilà la question qui se chuchote dans les salons de la ville de ville basse. Certains vertébrés du microcosme politique RD-congolais habitués à monter sur Mont Ngaliema tentent d’apporter la lumière à ce sujet. Depuis bien des temps, soulignent-ils, il se raconte que le Président de la République aurait trouvé un compromis avec Moïse Katumbi Chapwe. </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">«Le Chef de l’Etat l’avait proposé pour remplacer Ilunkamba. Mais lui, à son tour, a suggéré le nom de Jean Pierre Bemba. Ce qui n’est pas passé au Palais de la nation. A la place, le président d’Ensemble aurait proposé trois noms primaturables pour le compte de sa formation politique», révèlent les mêmes habitués de la cour présidentielle. Les trois jokers sont tous de l’espace Katanga comme pour dire qu’un Katangais ne peut être remplacé par la personne de la zone cuprifère.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Au nombre des personnes listées par l’ancien gouverneur de l’ex-Katanga, figurent Christian Mwando, Fridolin Kasweshi et Edmond Mbaz. Dans l’hypothèse où le Premier ministre doit provenir du coin katangais, l’UDPS a aussi aligné sa cartouche, Fabien Mutomb.  Les mêmes sources ont évolué pour dire qu’au niveau d’Ensemble, trois provinces sont citées pour dénicher l’oiseau rare. Il s’agit d’abord et principalement du grand Katanga. Ensuite, vient la Grande Orientale où le nom du député national Dieudonné Bolengetenge est nommément évoqué.
  
  
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   </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">La troisième province est le Sud-Kivu qui peut présenter l’ancien ministre de la Fonction publique, Jean-Claude Kibala. Dans même zone, se trouve aussi l’AFDC-A Modeste Bahati Lukwebo qui se présente comme l’homme pouvant servir loyalement le Chef de l’Etat surtout quand on sait qu’il a joué un rôle important comme Informateur pour présenter au Présenter de la République une majorité confortable. </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">A la place de Vital Kamerhe, c’est lui qui reste comme le véritable courroie entre Fasthi et la population sud-kivutienne. Le dé sera-t-il jeté du côté d’Ensemble sur qui le garant de la nation a déjà fixé son regard ou sur l’AFDC-A qui a aussi permis d’avoir une nouvelle majorité parlementaire? La primature reviendra-t-elle à une province de l’Est du pays ou au Katanga en vue de soulager les populations du sud du pays qui ont perdu un Premier ministre ? Voilà des questions dont la réponse ne peut venir que de la cité de l’Union africaine.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Cependant, des sources bien introduites au Palais de la nation laissent entendre puisque «Moïse Katumbi Chapwe refuse d’être nommé Premier ministre pour se préparer à briguer la présidence en 2023 et propose ses proches qui ne convainquent pas, Tshisekedi aurait préféré Bahati qui n’aurait pas d’ambitions présidentielles et se contenterait de la Primature».  </span></p>

Politique Primature: l’oiseau rare sortira d’Ensemble ou de l’UDPS!

L’informateur Modeste Bahati a le droit de tout espérer pour succéder à Ilunga Ilunkamba, sauf s’il opte pour la présidence du Sénat...

Pétition contre Samy Badibanga: la majorité de l’Union sacrée à l’épreuve

February 09, 2021

<p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBdzXXnSL9eLRJKPyxAEIM81JaOadXXnTKlbCmerG5AcvnRVFTzuDGuloRBAl76ItXyx_0YfbmnnmDM18LlHFq9_9OucSqA8wmQk6zP84SnmoJngxQpoCIDxcXH87MDoJPR-bwMVh-7A/s500/B6F2A34A-5D56-4893-9238-154C1CC6FD53.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="376" data-original-width="500" height="482" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBdzXXnSL9eLRJKPyxAEIM81JaOadXXnTKlbCmerG5AcvnRVFTzuDGuloRBAl76ItXyx_0YfbmnnmDM18LlHFq9_9OucSqA8wmQk6zP84SnmoJngxQpoCIDxcXH87MDoJPR-bwMVh-7A/w640-h482/B6F2A34A-5D56-4893-9238-154C1CC6FD53.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">On aurait pensé à une blague de mauvais goût, à un canular digne d’un poisson d’avril. Pourtant, une pétition contre Samy Badibanga circule bel et bien sur les réseaux sociaux. Le premier vice-président du bureau du Sénat, seul rescapé de la vague qui a emporté les six autres membres du bureau contraints à la démission à la queue-leu-leu la semaine dernière, «fait l’objet de ce qui a tout lieu d’être un acharnement injustifié», se lamentent ses proches. </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Tout bien considéré, l’objectif ici pour les sociétaires de la Kabilie est de tenter reconquérir une majorité qu’ils viennent à peine de perdre. Y parviendront-ils? Rien n’est moins sûr! La pétition contre Samy Badibanga est signée par quinze sénateurs, alors que celles qui ont contraint les autres six membres du bureau à la démission l’étaient par 64 sénateurs, soit la majorité absolue des membres de la chambre haute. «Elle sera rejetée, soyez-en sûrs», tranche le sénateur MLC Valentin Gerengo Nvene.
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">C’est par le canal des réseaux sociaux que l’opinion publique a eu vent d’une «notification d’une pétition des honorables sénateurs par voie d’huissier de justice», déposée ce mardi 9 février 2021 et visant la déchéance du numéro deux du bureau du Sénat. Le groupe des signataires, conduit par Mme Victorine Luese Bakuamoyo, apparaît l’ultime réduit des kabilistes purs et durs, semblable à l’ultime village gaulois qui, cerné de toutes parts par les puissantes armées romaines, décide quand même de faire de la résistance. Mais pour quel résultat?</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Surtout lorsqu’on sait que depuis quelques mois, le landerneau politique a été chambardé de fond en comble, reconfiguré durablement par la vague Union sacrée lancée par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi Tshilombo. Tour à tour, toutes les institutions ont viré de bord: d’abord, l’Assemblée nationale où le bureau Mabunda a été renversé et un nouveau mis en place; ensuite -et c’est la conséquence du précédent- le Premier ministre a présenté la démission de son gouvernement, et le pays attend la nomination de son successeur. Enfin, le bureau du Sénat a vu ses membres FCC démissionner les uns après les autres afin l’humiliation du vote des motions contre eux.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Alors qu’on attendait le programme de l’élection d’un nouveau bureau, voilà qu’une nouvelle pétition est déposée par un groupe de sénateurs FCC contre Samy Badibanga. Pourtant, lors de la séance du vendredi 5 février au cours de laquelle six membres du bureau Thambwe Mwamba avaient rendu le tablier, une nette majorité acquise à l’Union sacrée s’était dessinée dans l’hémicycle, avec un total de 64 sénateurs. Cette majorité avait vigoureusement rejeté la motion des sénateurs FCC contre le même Samy Badibanga. Qu’est-ce qui a changé pour que, quatre jours seulement après, les sociétaires du FCC reviennent à la charge avec espoir de l’emporter cette fois-ci?</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-weight: 600; list-style: none; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Ultime manœuvre dilatoire</span></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">«C’est un coup d’épée dans l’eau», assène un sénateur. Qui poursuit: «nos amis jouent le pourrissement juste pour retarder l’élection du nouveau bureau. Leur démarche n’a aucune chance d’aboutir. C’est une pure distraction». Dans le hall du Palais du peuple, l’ambiance est sereine. «Cette pétition contient en elle-même les germes de son propre rejet», indique un observateur. «D’abord, il y a son caractère irrégulier car son dépôt n’a pas respecté la procédure. Pourquoi, en effet, ne pas la déposer au bureau de l’honorable Samy Badibanga qui est archi connu?», interroge-t-il.
    
    
    
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    </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">De son côté, interrogé par radio «Okapi», le sénateur MLC Valentin Gerengo Nvene déclare «les pétitionnaires font assaut d’acharnement totalement indécent contre le premier vice-président. A ce rythme, on va aller de pétition en pétition et la chambre haute du Parlement ne va travailler que pour réagir aux multiples pétitions». Et de conclure: «le règlement du Sénat ne permet pas le dépôt de plus d’une pétition contre une même personne au cours d’une même session. C’est clair et net! Les pétitions sont reliées aux motions».</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; border: 0px; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(44, 47, 52); font-size: 15px; line-height: 26px; list-style: none; margin: 0px 0px 25px; outline: none; padding: 0px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Au regard de ce qui précède, des sources proches du cabinet de Samy Badibanga indiquent que le numéro deux du bureau du Sénat est serein, guère inquiet par ce qu’il considère comme une ultime manœuvre dilatoire dans une chambre où la majorité a définitivement changé de bord.     </span></p><p style="text-align: justify;"><br class="Apple-interchange-newline" style="-webkit-text-size-adjust: auto; text-align: start;" /></p>

Politique Pétition contre Samy Badibanga: la majorité de l’Union sacrée à l’épreuve

On aurait pensé à une blague de mauvais goût, à un canular digne d’un poisson d’avril. Pourtant, une pétition contre Samy Badibanga ...

La RDC veut sensibiliser sa population à la vaccination contre le coronavirus

February 09, 2021

<div style="text-align: left;"><h3 class="excerpt" style="box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 28px; margin: 0px 0px 11px; padding: 0px 0px 16px;"><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 30px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjttlKv1ppU-U4xHwR6A3uisnIdjOfgj0nsSpv4x-j_bnkqqtNFRTksJ8gIzdJDBBYU61f31tFEUwtLNdA5PjT2WXjrS_TLiZkfNEgd3Jt6W7yM6S0oyKdFi1IkSWCY1cv8mqIR_TG1IA/s690/98CBA20F-EA33-4204-AB9A-C3C0C747A4CB.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="690" height="418" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjttlKv1ppU-U4xHwR6A3uisnIdjOfgj0nsSpv4x-j_bnkqqtNFRTksJ8gIzdJDBBYU61f31tFEUwtLNdA5PjT2WXjrS_TLiZkfNEgd3Jt6W7yM6S0oyKdFi1IkSWCY1cv8mqIR_TG1IA/w640-h418/98CBA20F-EA33-4204-AB9A-C3C0C747A4CB.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 30px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">La République démocratique du Congo (RDC) lancera la semaine prochaine une campagne de sensibilisation et d’explication à la population pour promouvoir le vaccin contre le coronavirus, dans un pays où cette question est sensible, a annoncé lundi le ministre de la Santé, le Dr Eteni Longondo. « Nous allons bientôt présenter à la population le vaccin, et nous allons commencer la campagne (de sensibilisation à la) vaccination à partir de la semaine prochaine », a déclaré le ministre à la télévision publique.
  
  
  
  
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  </span></p></h3><div class="text" style="border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; vertical-align: baseline;"><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px 0px 1em; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">« Et nous pensons que nous allons bientôt introduire le vaccin ici, évidemment après avoir fait des analyses approfondies », a-t-il ajouté, sans révéler le nom du vaccin choisi ni la date du début de la vaccination effective.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">La vaccination contre le coronavirus est un sujet très délicat en RDC, où la méfiance envers le vaccin est répandue. Dans ce contexte, des nombreux messages évoquant des théories du complot sont régulièrement partagés dans les réseaux sociaux.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Le vaccin contre le Covid-19 « c’est une voie inévitable maintenant. Même si ce n’est pas obligatoire pour la population (…), c’est une voie nécessaire qui peut sauver des vies », a dit le Dr Longondo.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Les premiers cas de coronavirus ont été diagnostiqués en RDC le 10 mars 2020. Depuis, 23.671 cas ont été enregistrés, pour 681 décès, selon le dernier bilan officiel publié lundi. Sur les 26 provinces du pays, 23 sont touchées par la pandémie, la capitale Kinshasa étant en tête des contaminations (18.575 cas).</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Le 11 janvier, le président Félix Tshisekedi avait salué deux « produits congolais » censés traiter le coronavirus.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">« Le vaccin est un passage obligé. Mais nous privilégions aussi le traitement curatif. Je crois que nous avons deux produits qui promettent en tout cas par les premiers résultats qu’ils montrent. Ce sont des produits congolais », avait-il déclaré.
  
  
  
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  </span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">A Kinshasa, l’un de ces produits, le « Manacovid » se vend en pharmacie sans ordonnance.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) avait accueilli ces annonces présidentielles avec prudence. « Les essais cliniques sont essentiels pour fournir des preuves scientifiques sur la sécurité, l’efficacité et la qualité de tous les médicaments, que l’approche soit traditionnelle ou moderne », avait souligné l’OMS.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Dimanche, le ministre de la Santé a annoncé la « résurgence » d’Ebola dans une région de l’Est du pays, où l’OMS a dépêché une équipe d’épidémiologistes après la mort d’une femme de 42 ans de cette maladie, trois mois après la déclaration de la fin d’une précédente épidémie, la onzième à frapper l’ex-Zaïre.</span></p></div></div>

Politique La RDC veut sensibiliser sa population à la vaccination contre le coronavirus

La République démocratique du Congo (RDC) lancera la semaine prochaine une campagne de sensibilisation et d’explication à la population pour...

Un UDPS favori pour la primature, Bahati sacrifié

February 09, 2021

<h3 class="excerpt" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 28px; margin: 0px 0px 11px; padding: 0px 0px 16px;"><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 30px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjyzU_inTx67FiwIcMWPCPzjhL6ZPLM_tpxwHZHEuio56olVeRpHTwSaid8Lqsjkzj7JXYAZKsq1S0-HneHPnnzUMdzdwbHnnabIVoFgUp6S_XH7vd6C9Ptgo5vwqnC2muEEeQyGpRYAQ/s400/7A815AD6-C9C6-4745-BF60-68B068AC53E7.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="400" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjyzU_inTx67FiwIcMWPCPzjhL6ZPLM_tpxwHZHEuio56olVeRpHTwSaid8Lqsjkzj7JXYAZKsq1S0-HneHPnnzUMdzdwbHnnabIVoFgUp6S_XH7vd6C9Ptgo5vwqnC2muEEeQyGpRYAQ/w640-h640/7A815AD6-C9C6-4745-BF60-68B068AC53E7.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #666666; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-style: inherit; line-height: 30px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #666666; font-family: arial;">L’informateur Modeste Bahati a été reçu <span style="font-style: inherit;">ce mardi 9 février par le Président Tshisekedi. Selon différentes sources, le président de l’AFDC ne se fait plus guère d’illusions sur la possibilité de décrocher le poste de Premier ministre.</span></span></p></h3><h1 style="text-align: justify;"><div class="text" style="-webkit-text-size-adjust: auto; border: 0px; box-sizing: border-box; font-size: 16px; font-style: inherit; font-weight: inherit; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: start; vertical-align: baseline;"><p style="-webkit-text-size-adjust: none; border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px 0px 1em; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><em style="box-sizing: border-box;">« Tshisekedi lui avait promis le poste de formateur après le boulot abattu comme informateur sous la dictée de Kabund. Mais aujourd’hui, alors qu’il lui reste légalement trois semaines pour mener à bien sa première tâche, l’informateur Bahati a de sérieux doutes sur l’avenir de sa mission »,</em>explique un homme politique congolais bien introduit dans les salons de Kinshasa.
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: none; border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><em style="box-sizing: border-box;">« Avec la majorité dont il dispose désormais au travers de son Union sacrée pour le Congo, Tshisekedi et surtout son éminence grise Jean-Marc Kabund se sentent pousser des ailes. Bahati l’a compris et ne semble plus se faire beaucoup d’illusions »</em>, explique un autre habitué des cercles du pouvoir kinois.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: none; border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">L’équation est simple, Modeste Bahati a mené à bien (trop bien) sa mission. La majorité qu’il a attirée dans l’Union Sacrée permet au président Tshisekedi de voir venir les prochaines échéances politique avec sérénité. Il contrôle l’Assemblée nationale, où le vice-président Kabund apparaît comme le vrai patron, tout en ayant attribué la présidence (de façade) à un élu de l’Ouest.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">La primature doit donc revenir à un élu de l’Est. Bahati l’avait bien compris quand il espérait être cet homme avec ses origines et sa base kivutiennes. Mais le poids à lourd à l’Est, est et reste l’ancien grand Katanga qui disposait jusqu’ici soit du président de la République (Joseph Kabila), soit de la primature (Sylvestre Ilunga). Impossible pour ces riches provinces issues du découpage du grand Katanga de se retrouver sans poste de taille, d’autant que la présidence est entre les mains d’un Kasaïen et que la cohabitation  entre Katangais et Kasaïens est parfois redevenue très problématique ces derniers temps.
  
  
  
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  </span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Du coup, le poste de Premier ministre semble promis à un Katangais. Dans les salons kinois, quatre noms circulent avec insistance :</span></p><ul style="box-sizing: border-box; font-weight: normal; list-style: none; margin: 0px; padding: 0px;"><li style="box-sizing: border-box; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Christian Mwando, brillant ex-ministre des Finances du gouverneur Katumbi. L’homme dispose d’une vraie assise politique avec son UNADEF, me parti qu’il préside et qui fut créé par son père Charles Mwando Nsimba, grand nom de l’histoire politique congolaise.</span></li></ul><ul style="box-sizing: border-box; font-weight: normal; list-style: none; margin: 0px; padding: 0px;"><li style="box-sizing: border-box; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Edmond Mbaz, issu du Lualaba, l’homme dispose d’une forte image de marque. Il fut ministre près du gouverneur sous Katumbi au Katanga. L’homme dispose de solides réseaux et est resté un proche conseiller de l’ancien gouverneur.</span></li><li style="box-sizing: border-box; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Fridolin Kashweshi, autre ministre provincial de Katumbi (il gérait les infrastructures dans une des rares provinces qui peut se targuer d’en disposer réellement) avant de prendre ce portefeuille au niveau national sous deux gouvernements Muzito et de poursuivre son parcours ministériel national aux Travaux publics sous Matata.</span></li></ul><ul style="box-sizing: border-box; font-weight: normal; list-style: none; margin: 0px; padding: 0px;"><li style="box-sizing: border-box; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Fabien Mutomb, candidat malheureux au gouvernorat du Lualaba. Ancien de la SNCC, vice-président fédéral de l’UDPS au Katanga avant de se voir accorder le poste de Directeur général de la SNCC par les décrets présidentiels de « son » président.</span></li></ul><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Mutomb est présenté depuis quelques jours comme le candidat de Kabund. <em style="box-sizing: border-box;">« Si l’UDPS veut vraiment rassembler, jouer l’ouverture, elle doit choisir entre Mwando, Mbaz ou Kashweshi. Mais l’UDPS n’est pas partageuse et Kabund encore moins, c’est pour cela que le nom de Mutomb se détache », </em>explique cet homme d’affaires kinois aussi à l’aise avec la nouvelle majorité qu’avec l’ancienne.</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;"><em style="box-sizing: border-box;">« Mbaz, Kashweshi et Mwando sont tous les trois associés à Katumbi et pas certain que Tshisekedi et Kabund ont envie de faire plaisir à celui qui sera inévitablement sur leur route lors de la prochaine présidentielle et qui a refusé le poste de Premier ministre que Tshisekedi souhaitait lui accorder. L’homme d’affaires a flairé le piège, malgré les pressions de certains diplomates occidentaux, il a poliment refusé ce poste qui l’associait définitivement à la gestion de Tshisekedi »</em>,  explique un élu du Kongo-central, qui poursuit.  <em style="box-sizing: border-box;">« Aujourd’hui, avec la majorité dont dispose Tshisekedi, un homme politique qui a de l’ambition sait qu’il sera coincé à la tête du gouvernement entre le président de la République et le vice-président de l’Assemblée nationale, ce qui offre une marge de manoeuvre plus que limitée. »</em></span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Fabien Mutomb n’aurait donc que des avantages selon Kabund. Il est Katangais, de l’UDPS et avait expliqué, en février 2020, à l’occasion du troisième anniversaire de la mort d’Etienne Tshisekedi : <em style="box-sizing: border-box;">« Nous n’allons pas gérer pendant 5 ans seulement. L’action du président Tshisekedi va ramener le pays jusqu’en 2023 et 2028. Comme l’ANC en Afrique du Sud, nous allons faire 50 ans au pouvoir »</em>, un discours qui ne peut qu’achever de convaincre l’homme à la casquette blanche sur la qualité de son poulain
  
  
  
  
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  .</span></p><p style="border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-weight: normal; line-height: 24px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 1em 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;"><span style="background-color: white;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Si Mutomb devait décrocher ce poste, nul doute que la Société nationale des chemins de fer congolais (SNCC) deviendrait une destination incontournable pour tous les mandataires politiques aux grandes ambitions nationales puisque Mutomb succéderait au poste de Premier ministre à Sylvestre Ilunga, ancien président du conseil d’administration de cette société. « Ce doit être la ponctualité et la qualité des chemins de fer qui permettent aux dirigeants de cette société d’atteindre le sommet de l’Etat », conclut dans un éclat de rire moqueur notre homme d’affaires.</span></span></p></div></h1>

Politique Un UDPS favori pour la primature, Bahati sacrifié

L’informateur Modeste Bahati a été reçu ce mardi 9 février par le Président Tshisekedi. Selon différentes sources, le président de l’AFDC n...

RDC : La femme de Chebeya demande à la justice de reprendre le procès à zéro et souhaite que Numbi et Kabila soient arrêtés

February 09, 2021

<p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqFvVU87q-9ySK3mORE4V5BTnjS4TAaNuGMAUhBS8NZ3PZ2LaKszU5PW6NcQjjY7xK81VUNMg0Xlcv869sefjX3Apl-C3-rpNTPNktZwNsJ7mI1-MI0pQz1l-Jz0idQodos7sk5iPr4w/s480/56611CDA-6144-4F84-8EDD-F515362A0B71.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="290" data-original-width="480" height="386" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqFvVU87q-9ySK3mORE4V5BTnjS4TAaNuGMAUhBS8NZ3PZ2LaKszU5PW6NcQjjY7xK81VUNMg0Xlcv869sefjX3Apl-C3-rpNTPNktZwNsJ7mI1-MI0pQz1l-Jz0idQodos7sk5iPr4w/w640-h386/56611CDA-6144-4F84-8EDD-F515362A0B71.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">En République démocratique du Congo, les réactions fusent de partout après les dernières révélations faites par deux agents de police nationale congolaise sur l'assassinat de Floribert Chebeya, activiste des droits de l'homme.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Dans une interview accordée à la Radio France Internationale (RFI), ce mardi 09 février 2021, Annie Chebeya veuve de l'illustre disparu, a accueilli avec joie lesdites révélations 10 ans après l'assassinat de son mari.
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">« <em style="box-sizing: border-box;">C'est un grand jour aujourd'hui, la vérité que moi et les enfants on attendaient toujours, la vérité qu'on cherchaient pour qu'on puisse connaître qu'est-ce qui s'est passé réellement, aujourd'hui nous venons d'écouter celà. C'est pour la première fois que je puisse écouter tous ces noms, que tous ces assassins soient arrêtés, John Numbi l'avait fait exprès de quitter l'Inspection Générale parce qu'il savait qu'il avait déjà donné l'ordre d'assassiner mon mari </em>», a déclaré Annie Chebeya.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">À cet effet, elle demande à la justice congolaise de reprendre le procès à zéro et souhaite en même temps que l'ancien inspecteur général de la police John Numbi et l'ex-chef de l'État Joseph Kabila soient tous arrêtés.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">« <em style="box-sizing: border-box;">Je demande à la justice congolaise parce que j'ai déjà écrit à travers mes avocats, qu'on puisse reprendre le procès à zéro parce que John Numbi doit être arrêté et puis Joseph Kabila parce qu'ils sont cités. La vérité vient de sortir, qu'est-ce qu'ils vont nous dire encore ?</em>», a-t-elle indiqué. </span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Par ailleurs, Annie Chebeya demande au président de la République Félix Tshisekedi d'ordonner à la justice de reprendre le procès.
    
    
    
    
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    </span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">« <em style="box-sizing: border-box;">Je demande au président de la République, je sais qu'il ne peut pas interférer dans les affaires de la justice, mais s'il vous plaît président de la République ordonner s'il vous plaît ça fait 10 ans qu'on attendait cette vérité...</em>», conclut Annie Chebeya.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Il sied de rappeler que le 02 juin 2010, le responsable de l’ONG la Voix des Sans Voix, Floribert Chebeya, a été assassiné et son corps a été retrouvé à Mitendi dans la périphérie de Kinshasa, tandis que son chauffeur, Fidèle Bazana, est porté disparu jusqu'à ce jour.</span></p><p style="text-align: justify;"><br class="Apple-interchange-newline" style="-webkit-text-size-adjust: auto; text-align: start;" /></p>

Poli RDC : La femme de Chebeya demande à la justice de reprendre le procès à zéro et souhaite que Numbi et Kabila soient arrêtés

En République démocratique du Congo, les réactions fusent de partout après les dernières révélations faites par deux agents de police nation...

T. Mwamba répond à l'IGF : "Le total des sommes reçues du Trésor public au profit du Sénat s'élève à 105.310.423.482 FC, du 1er août 2019 au 31 décembre 2020"

February 09, 2021

<p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiihs1vmyDVFN3a2X1JmWdDf7hhmfwAoRzgnGehS2H5uZKgFVT_ghZeRYJjSviJ6QEoHxtjyZoPBmWO7ZLvUfhCc4aA6gccYVTPKATlLo7OJME6mvGs3PZQQXhPJO3noiW1uXrkYlFpaA/s1023/997B80C9-C8C6-49BE-82B6-F3E7149A621D.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="578" data-original-width="1023" height="362" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiihs1vmyDVFN3a2X1JmWdDf7hhmfwAoRzgnGehS2H5uZKgFVT_ghZeRYJjSviJ6QEoHxtjyZoPBmWO7ZLvUfhCc4aA6gccYVTPKATlLo7OJME6mvGs3PZQQXhPJO3noiW1uXrkYlFpaA/w640-h362/997B80C9-C8C6-49BE-82B6-F3E7149A621D.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">L'ex-président du Sénat de la République démocratique du Congo, Alexis Thambwe Mwamba a, dans une correspondance datée du 9 février 2021, répondu à l'inspecteur général des finances, chef de service, Jules Alingete Key.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">En effet, l'Inspecteur Générale des Finances (IGF) avait, dans une feuille d'observations provisoires transmise à Alexis Thambwe Mwamba le 3 février dernier, donné un délai de 5 jours à l'ancien président du Sénat pour justifier la somme de CDF <a href="tel:107.393.869.128,82" style="box-sizing: border-box; text-decoration: none;">107.393.869.128,82</a>, environ 54 millions USD.
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">D'après Jules Alingete Key, inspecteur général des finances chef de service, cette somme a été mise à la disposition de la chambre haute du Parlement pour la période de janvier 2019 à fin 2020 sans être justifiée.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"<em style="box-sizing: border-box;">Votre autorité, l'honorable questeur, l'honorable questeur adjoint, le trésorier du Sénat ainsi que le comptable public principal code 0693 sont appelés à fournir les justifications sur l'utilisation de ces fonds. Conformément aux dispositions légales et réglementaires, vous disposez d'un délai de 5 jours à dater de la réception de la présente pour nous faire parvenir, par écrit, vos éléments des réponses. Passé ce délai, ces observations seront considérées comme définitives</em>", avait prévenu Jules Alingete Key.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Cependant, Alexis Thambwe a, dans sa réaction de ce jour, précisé que son bureau (du Sénat ndlr) avait pris ses fonctions le 1er août 2019 et ce, à la suite des élections du 27 juillet de la même année.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"<em style="box-sizing: border-box;">À ce titre, je ne saurais vous fournir les éléments qui précèdent cette date. Ainsi, le montant total indiqué dans votre courrier correspond à 3 périodes de gestion, notamment le Bureau de la législature 2007-2019, le Bureau provisoire et enfin le bureau définitif sortant dont j'ai eu l'honneur de présider</em>", a fait savoir Thambwe Mwamba.
    
    
    
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    </span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">À en croire ce cadre du Front Commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila Kabange, le montant mis à la disposition de son bureau n'est pas celui indiqué par l'inspecteur général des finances.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">"<em style="box-sizing: border-box;">Pour la seule période placée sous la gestion de mon bureau, il sied de souligner que le total des sommes reçues du Trésor public au profit du Sénat s'élève, sauf erreur ou omission de mes services comptables à <a href="tel:105.310.423.482" style="box-sizing: border-box; text-decoration: none;">105.310.423.482</a> FC pour la période allant du 1er août 2019 au 31 décembre 2020</em>", a précisé Alexis Thambwe Mwamba.</span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">S'agissant des affectations de ces fonds, Alexis Thambwe Mwamba a souligné que les services techniques du Sénat mettront les pièces justificatives y relatives à la disposition de l'inspecteur général des finances chef de service.
      
      
      
      
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      </span></p><p style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); font-size: 16px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Pour rappel, c'est ce mardi qu'Alexis Thambwe Mwamba a officiellement cédé son fauteuil au président du bureau d'âge au terme de la cérémonie de remise et reprise organisé à la chambre haute du Parlement. Visé par une motion de déchéance, Alexis Thambwe Mwamba avait préféré démissionné avant l'examen de ladite motion.</span></p>

T. Mwamba répond à l'IGF : "Le total des sommes reçues du Trésor public au profit du Sénat s'élève à 105.310.423.482 FC, du 1er août 2019 au 31 décembre 2020"

Justice Politique T. Mwamba répond à l'IGF : "Le total des sommes reçues du Trésor public au profit du Sénat s'élève à 105.310.423.482 FC, du 1er août 2019 au 31 décembre 2020"

L'ex-président du Sénat de la République démocratique du Congo, Alexis Thambwe Mwamba a, dans une correspondance datée du 9 février 2021...

RDC: Albert Yuma remporte la bataille judiciaire et se maintient PCA de la FEC

February 09, 2021

<p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrgaOpF9HQydd9TR92XXsm4LMEQZNyACfMv5pAWtlyhoQGhLIqqASnf77NuWe66bdiid6dbaPG2CbbUokggXjcKhHgmnWIMK2ferp2By8EifjnNZpSB9n4ZBQmAo0PnL5sdQSE2P1OAg/s957/7B7308B9-BB65-4AE0-9C9C-7D29A5CCE264.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="638" data-original-width="957" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrgaOpF9HQydd9TR92XXsm4LMEQZNyACfMv5pAWtlyhoQGhLIqqASnf77NuWe66bdiid6dbaPG2CbbUokggXjcKhHgmnWIMK2ferp2By8EifjnNZpSB9n4ZBQmAo0PnL5sdQSE2P1OAg/w640-h426/7B7308B9-BB65-4AE0-9C9C-7D29A5CCE264.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Statuant publiquement et contradictoirement à l’égard du demandeur Monsieur Yuma Mulimbi Albert et du défenseur Kasembo Nyembo Dieudonné, le Tribunal de Grande Instance Kinshasa/ Gombe a rendu son jugement ce mardi 9 février 2021.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Albert Yuma Mulimbi reste Président du conseil d’administration de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC). Ainsi en a décidé le tribunal statuant sur son élection contestée à la tête du patronat congolais.</span></p><div class="td-a-ad id_inline_ad0 id_ad_content-horiz-center" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; float: none; margin: 0px auto 26px; text-align: center;"><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Le tribunal a déclaré nulle et de nul effet l’élection de Dieudonné Kasembo aux fonctions de Président du conseil d’administration de la FEC tenue en date du 23 décembre 2020.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Par contre le tribunal a confirmé l’élection de Yuma Mulimbi aux fonctions de Président du conseil d’administration de la FEC tenue en date du 26 novembre 2020.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Par ailleurs, le défenseur Dieudonné Kasembo est condamné à payer la somme de 20 milles dollars américains en guise des dommages-intérêts pour tous les préjudices subis par le demandeur Albert Yuma.
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Le verdict du TGI Kinshasa/Gombe vient ainsi mettre fin à la saga judiciaire entre Albert Yuma et Dieudonné Kasembo. Les deux protagonistes ont porté la cause au conseil d’état à la cour constitutionnelle, avant d’en arriver au tribunal de grande instance. Le PCA de la Gécamines remporte la bataille et se maintient Président du conseil d’administration de la FEC, et ce, depuis fin 2004.</span></p></div><div class="td-a-ad id_inline_ad0 id_ad_content-horiz-center" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; float: none; margin: 0px auto 26px; text-align: center;"><br /></div>

Société RDC: Albert Yuma remporte la bataille judiciaire et se maintient PCA de la FEC

Statuant publiquement et contradictoirement à l’égard du demandeur Monsieur Yuma Mulimbi Albert et du défenseur Kasembo Nyembo Dieudo...

RDC/Procès 100 jours: David Blattner DG de Safricas écope de 20 ans des travaux forcés

February 09, 2021

<p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbIfhxwO_SEgxYVCQAg7ylVAlJBy3inMVo_1hfnoC1BE5eCNA4i46VWtQ5Ve8sajiIztVpSgfiBPoyCEIuMBozcnJVCuMfOw2InLPgJWIKhCdt70Pu0uELbN15nNTtsHRRQruyykfM-w/s742/B91DCF2A-9EE9-4213-AC9F-2D485461C623.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="525" data-original-width="742" height="452" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbIfhxwO_SEgxYVCQAg7ylVAlJBy3inMVo_1hfnoC1BE5eCNA4i46VWtQ5Ve8sajiIztVpSgfiBPoyCEIuMBozcnJVCuMfOw2InLPgJWIKhCdt70Pu0uELbN15nNTtsHRRQruyykfM-w/w640-h452/B91DCF2A-9EE9-4213-AC9F-2D485461C623.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Poursuivi dans le cadre du procès dit des 100 jours du Chef de l’état Félix Tshisekedi, David Blattner Directeur Général de la société Safricas vient d’écoper de 20 ans de travaux forcés. La sentence est tombée le lundi 8 février 2021, a appris Politico.cd des sources judiciaires.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Aux bancs des accusés dans l’affaire du détournement des fonds destinés à l’exécution du programme des 100 jours du président de la République, la cour d’appel de Kinshasa/ Gombe a condamné David Blattner à 20 ans des travaux forcés. En outre, il est contraint d’après le jugement, à restituer la somme de 832.499.61 dollars américains alloués pour la construction du saut-de-mouton de l’UPN.</span></p><div class="td-a-ad id_inline_ad0 id_ad_content-horiz-center" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; float: none; margin: 0px auto 26px; text-align: center;"><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Par ailleurs, en guise des dommages-intérêts, la Cour d’appel a condamné le patron de Safricas à payer à l’état congolais le montant de 1 million de dollars américains.
  
  
  
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  </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); font-size: 20px; line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial;">Le DG de Safricas David Blattner, a été acquitté au premier degré le 20 juillet 2020 par le tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe. Cette juridiction s’était déclarée incompétente à le juger, après avoir requalifié l’infraction du détournement des deniers publics en abus de confiance. Ce verdict intervient après interjection d’appel par l’organe poursuivant (ministère public).</span></p></div><div class="td-a-ad id_inline_ad0 id_ad_content-horiz-center" style="-webkit-text-size-adjust: auto; box-sizing: border-box; float: none; margin: 0px auto 26px; text-align: center;"><br /></div>

Justice Société RDC/Procès 100 jours: David Blattner DG de Safricas écope de 20 ans des travaux forcés

Poursuivi dans le cadre du procès dit des 100 jours du Chef de l’état Félix Tshisekedi, David Blattner Directeur Général de la socié...

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February 09, 2021

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