RDC-Loi CENI : Voici les 8 recommandations de la CENCO et de l'ECC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxTaLut5CwABxEhUQtezyz0M2sgHjb3TLw4Tws5Vk-InCappZda7WrM-JzGVkrjQ3eJhs5EMGGY9FCwP11UFYhFI3GaCI18iGyzRe63KftUQv9YgsQq4abpGvxtUUqM1x75lxVXWPDX87Z/s1596/Snapshot_2n.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="895" data-original-width="1596" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxTaLut5CwABxEhUQtezyz0M2sgHjb3TLw4Tws5Vk-InCappZda7WrM-JzGVkrjQ3eJhs5EMGGY9FCwP11UFYhFI3GaCI18iGyzRe63KftUQv9YgsQq4abpGvxtUUqM1x75lxVXWPDX87Z/w320-h179/Snapshot_2n.png" width="320" /></a></div>Les réactions continuent de tomber sur la proposition de loi portant organisation et fonctionnement de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) adoptée à l'assemblée nationale et au Sénat.<br /><br />La dernière en date est celle de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) et de l'Église du Christ au Congo (ECC). Dans un communiqué daté du 9 juin 2021, elles félicitent d'abord le bureau de l'assemblée nationale pour avoir adopté cette proposition de loi avant la fin de la session de mars.<br /><br />Cependant, la CENCO et l'ECC notent quelques problèmes liés à cette proposition de loi. À titre d'exemple, elles disent constater avec regret la faible représentation de la société civile au sein du bureau dont les membres sont prévus à 7. 1 pour la société civile alors que la majorité en a 4 et l'opposition 2.<br /><br />C'est ainsi que la CENCO et l'ECC formulent les 8 recommandations suivantes :<br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> 1. La CENCO et I'ECC saluent avec grande satisfaction la sagesse des Honorables<br />sénateurs qui, dans le debat général, ont rencontre les préoccupations majeures de la population sur la dépolitisation de la CENI et le renforcement des mécanismes de son contrôle ;<br /><br />2. Elles insistent auprès des Honorables Sénateurs de pouvoir préserver l'engagement sacré de doter la Republique d'un processus électoral crédible, transparent, inclusif et apaisé ;<br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> 3. Elles recommandent que le nombre des délégués à la Plénière respecte le principe de la proportionnalité entre la composante politique et celle de la societe civile ;<br /><br />4. De ce fait, elles recommandent également que la Société civile soit majoritaire dans le Bureau afin de rester dans l'esprit du consensus dégagé lors des consultations initiées par le chef de l'État ;<br /><br />5. Elles recommandent que la notion de la « personnalité indépendante », reprise en l'article 12 de ladite Proposition de Loi soit clairement définie comme étant des personnes non engagées dans un parti ou regroupement politique, que ces derniers seront recrutés pour leur expertise, intégrité morale, probité et honnêteté intellectuelle ;<br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> 6. Elles recommandent la reprise dans le texte des mécanismes de renforcement dans l'indépendance de la CENI ainsi que ceux qui instituent son contrôle technique et administratif ;<br /><br />7. Elles récusent l'instution d'une Commission paritaire Majorité-Opposition chargée d'examiner les dossiers individuels des candidatures. Ce processus est susceptible de favoriser la politisation dans le processus de<br />désignation des membres de la CENI. Voilà pourquoi elles demandent que cette<br />disposition soit retirée de cette proposition de Loi ;<br /><br />8. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Elles attirent l'attention des députés et sénateurs sur la nécessité de mettre en place un cadre juridique qui promeut la tenue des élections libres, inclusives, transparentes, démocratiques et honnétes en 2023, afin de consolider la cohesion nationale et la stabilité des Institutions.<br /><br />En outre la Conférence Épiscopale Nationale du Congo, une structure de l'église catholique et l'Église du Christ au Congo appellent le peuple congolais au patriotisme, à l'unité et à la défense de sa souveraineté.<br /><br />Jephté Kitsita<p></p>

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Les réactions continuent de tomber sur la proposition de loi portant organisation et fonctionnement de la Commission Électorale Nationale In...

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Denis Lessie: "Même si l'UDPS gère mal les 5 ans ici, elle gagnera toujours en 2023, car ce sont eux qui détiennent le pouvoir"

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqbJvAricZQFxi52fSsekaqPWvMfx-bNnK0-CLuc1Lx6g65OkmcpBBJAEQ_8ekBcfsNnkbzg61HCZN8W2dzJMz35-fJNhOHCFpR5RYslmwNVGP9wx4nK93Ae8NV7KtufvI4RyTUCO1P3iv/s918/oko.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="513" data-original-width="918" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqbJvAricZQFxi52fSsekaqPWvMfx-bNnK0-CLuc1Lx6g65OkmcpBBJAEQ_8ekBcfsNnkbzg61HCZN8W2dzJMz35-fJNhOHCFpR5RYslmwNVGP9wx4nK93Ae8NV7KtufvI4RyTUCO1P3iv/s320/oko.png" width="320" /></a></div> Au cours d’une émission Youtube “Congo promo TV” postée ce vendredi 11 juin, le prophète Denis Lessie s’est exprimé concernant le règne de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS).<br /><br />L’homme de Nzondo affirme que le parti présidentiel va encore conquérir le pouvoir en 2023, car le chef de l’État Félix Tshisekedi sait comment se défendre devant son peuple.<br />“Même si l’UDPS gère mal les 5 ans ici, elle gagnera toujours en 2023, car ce sont eux qui détiennent le pouvoir. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Et le président Félix Tshisekedi a un bon discours. Ne vous inquiétez pas, en 2023, il aura encore un autre car c’est un politicien, j’ai eu a parler avec lui personnellement”, a déclaré l’homme de l’écran prophétique. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Et d’ajouter: “Il vous dira aussi que tout ce mandat que vous m’avez confié je n’ai pas pu travailler compte tenu de la coalition FCC-CACH, toutes les institutions étaient occupées par le FCC, et il y a eu aussi la pandémie du coronavirus, alors donnez-moi vos voix dans toutes les institutions afin de voir comment je pourrai vous faire quelque chose de meilleur”. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour rappel, le débat autour de la tenue des élections en 2023 en République démocratique du Congo suscite de plus en plus des vives réactions. Denis Lessie étant un analyste de tous bords en a profité pour prédire l’avenir de la situation politique au pays.<br /><br /><br />Hervé Kabwatila<br />

Politique Denis Lessie: "Même si l'UDPS gère mal les 5 ans ici, elle gagnera toujours en 2023, car ce sont eux qui détiennent le pouvoir"

Au cours d’une émission Youtube “Congo promo TV” postée ce vendredi 11 juin, le prophète Denis Lessie s’est exprimé concernant le règne de ...

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YOKA SON DU 11/06/2021 : PRESIDENT YA KENYA ATINDELI FATSHI MINDUKI EBELE NA SIMA YA AIDE YA VOLCAN ( VIDEO )

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CONGOLITÉ AU PARLEMENT _ GECKO BEYA🧨: NOUS ALLONS FRAPPER KATUMBI FACILEMENT , DANIEL SAFU KEBA 🧨 🧨 ( VIDEO )

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30 JOURS APRES L ' ETAT D ' URGENCE 🧨🧨 , LE BILAN LARGEMENT POSITIF , ENFIN KABILA LACHE ALEXIS TAMBWE MWAMBA 🧨. PATIENT MWANA AKOLI DU 10 JUIN 2021 ( VIDEO )

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KIN - BOPETO DU 10 JUIN 2021 : 🔥🔥 FONTAINE DE LA GARE CENTRALE ABANDONNÉE . LES KINOIS INTERPELLENT NGOBILA 🔥🔥🔥 ( VIDEO )

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Présomption de détournement, la justice demande la levée des immunités d’Alexis Thambwe Mwamba

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-6DjVJRAyCKeoadq2saaFyeZ_AtGCoyfFHt4wljyenWscx6R_QqBlty1WLUM6ebhkCp8PUaXRpOysZuilJktUXMwEnak6izu2tDf2OdLXPXVRtS5_Wzeh-UnHhpIgYCbcpYgld7RXgFjU/s805/nkkkk.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="432" data-original-width="805" height="172" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-6DjVJRAyCKeoadq2saaFyeZ_AtGCoyfFHt4wljyenWscx6R_QqBlty1WLUM6ebhkCp8PUaXRpOysZuilJktUXMwEnak6izu2tDf2OdLXPXVRtS5_Wzeh-UnHhpIgYCbcpYgld7RXgFjU/w320-h172/nkkkk.png" width="320" /></a></div>Le procureur général près la Cour de cassation demande "au bureau du Sénat d'autoriser l'instruction à charge de 4 sénateurs (Alexis Thambwe Mwamba, Rubuye Akizimwami, Florent Ilunga et Adambu Lomalisa) pour détournement de deniers publics et leur permettre aussi de présenter leurs moyens de défense".<br /><br />Dans un réquisitoire lu à la plénière ce mercredi 9 juin, Victor Mumba parle de plusieurs milliards de Francs congolais et des millions de dollars américains détournés.<br /><br /><br />"La gravité des faits et les indices de culpabilité relevés par les 6 inspecteurs des finances dans leur rapport de contrôle de gestion justifie l'exercice de l'action publique à charge de ces sénateurs". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Seuls 2 sénateurs concernés<br /><br />"Ce réquisitoire concerne nos collègues Alexis Thambwe et Rubuye Akizimwami ainsi que les sénateurs de la législature passée", précise le président du Sénat Modeste Bahati Lukwebo.<br /><br />"Nous allons transmettre ce réquisitoire à la commission spéciale que nous allons constituer. Pour ceux qui ne sont plus sénateurs, nous allons adresser un courrier au procureur général près la Cour de cassation pour qu'il puisse se saisir de leur cas directement puisqu'ils ne jouissent plus des immunités". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le réquisitoire adressé, mardi 8 juin, au bureau du Sénat fait suite à "une mission de contrôle de gestion effectuée par 6 inspecteurs des finances auprès du Sénat du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2020".<br /><br />À l'issue de cette mission, "il a été constaté que certaines dépenses de fonds mis à la disposition de l'ancien bureau du Sénat dirigé par Alexis Thambwe Mwamba, ne sont pas justifiés".<br /><br />Top Congo Fm<p> </p>

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Le procureur général près la Cour de cassation demande "au bureau du Sénat d'autoriser l'instruction à charge de 4 sénateurs (A...

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Après avoir raté le poste de membre non permanent au Conseil de sécurité : La RDC s’active pour se rattraper à la SADC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBOJokzqG-LqSp4R2OfjrpiqZPVcuz_zATgJaB9hGKRfXgIp66XCNFyZBNXGCHUzBwD-HlC66fBd_7LGEsOmVUDLbXqpHoesPn1B2fnn_AzF-lujs_1h2HehnDuz-sKUg_4zRmWX-cr8aN/s746/njbbb.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="414" data-original-width="746" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBOJokzqG-LqSp4R2OfjrpiqZPVcuz_zATgJaB9hGKRfXgIp66XCNFyZBNXGCHUzBwD-HlC66fBd_7LGEsOmVUDLbXqpHoesPn1B2fnn_AzF-lujs_1h2HehnDuz-sKUg_4zRmWX-cr8aN/w320-h178/njbbb.png" width="320" /></a></div>On ne gagne pas sur tous les coups. On ne doit pas non plus perdre partout. La République Démocratique du Congo semble avoir tiré toutes les leçons de son échec dans la course pour occuper le siège de membre non permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies. Après avoir retiré sa candidature au poste réservé à l’Afrique Centrale à partir de 2022 au bénéfice du Gabon, qui est soutenu par l’Union Africaine, la RDC s’active sur un autre front. Celui de la course au poste de Secrétaire exécutif de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC). Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde a rassuré, ce mercredi 9 juin 2021, le candidat désigné à ce poste, Faustin Luanga Makela, du soutien du gouvernement de la République. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Occupant actuellement les fonctions d’ambassadeur itinérant du Chef de l’État en charge du suivi des organisations internationales, Faustin Luanga Makela peut compter sur le soutien du gouvernement pour espérer occuper le poste de Secrétaire exécutif de la SADC. « Nos échanges portent sur deux aspects. Le premier aspect est que le premier ministre m’a rassuré du soutien du gouvernement de la République démocratique du Congo à la candidature au poste de secrétaire exécutif de la SADC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Ce sera pour la première fois que la RDC postule. Et c’est pour la première fois que la RDC a toutes les chances d’avoir cette responsabilité. Il m’a assuré du soutien du gouvernement, du chef de l’État et de son soutien personnel », a-t-il déclaré au sortir de l’audience. <br /><br />Fin connaisseur des arcanes des institutions internationales, l’ambassadeur itinérant du président de la République chargé du suivi auprès des organisations internationales a des idées claires sur sa feuille de route à la tête de la SADC. « La RDC c’est un poumon, pas seulement pour l’environnement. C’est un poumon en termes de ressources naturelles. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> C’est un arbre, un foyer, d’où peut partir la logistique des transports, l’industrialisation de toute l’Afrique, pas seulement Centrale et Australe. C’est un grand marché potentiel aussi sacré, quand on prend Inga. Il y a les infrastructures d’électricité, les infrastructures de transport, l’aviation, le tourisme, etc. Il y a beaucoup de potentialités quand la RDC participe à la SADC. Vous savez par exemple, les militaires de la SADC sont à l’Est de la République démocratique du Congo pour apporter la paix. Dans cet élan de solidarité communautaire, la RDC aussi, dans ce même élan de solidarité et de partage des responsabilités, veut impulser la SADC », a expliqué Faustin Luanga. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Sama Lukonde en déplacement au Botswana<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2021/06/Sama3.png" /><br /><br />Signe que le soutien du gouvernement à sa candidature n’est pas que verbal mais il est effectif, le Premier ministre congolais est attendu ce mercredi à Gaborone, capitale du Botswana pour justement défendre la candidature de la RDC au Secrétariat exécutif de la SADC. C’est le ministère des Affaires Internationale et de la Coopération Botswanais qui l’a annoncé dans un communiqué.<br /><br />Officiellement, la visite de Jean-Michel Sama Lukonde est présentée comme inscrite dans le cadre « des questions bilatérales et régionales d’intérêt de préoccupations mutuelles ». Il sera reçu par le Président du Botswana, Mokgweetsi Masisi Éric. Mais en réalité, la mission principale de la délégation congolaise est d’appuyer la candidature de Faustin Luanga Makela, au poste du secrétaire exécutif de la SADC, à la veille de l’audition des candidats prévue ce jeudi 10 juin 2021. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le candidat de la République Démocratique du Congo affrontera le botswanais Elias Magosi. Avec le déplacement du Premier ministre congolais accompagné notamment du Vice-premier ministre chargé des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, d’aucuns espèrent que la RDC réussira à obtenir le retrait de la candidature du Botswana pour éviter une autre défaite après celle concédée devant le Gabon.<br /><br />RD44<p> </p>

Politique Après avoir raté le poste de membre non permanent au Conseil de sécurité : La RDC s’active pour se rattraper à la SADC

On ne gagne pas sur tous les coups. On ne doit pas non plus perdre partout. La République Démocratique du Congo semble avoir tiré toutes les...

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Martin Fayulu et Delly Sesanga lancent un front civique contre le glissement

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiBGxvICojG6wjGzKDs2o64pqZXXy-u-9CMi1ce9FxKJoFpLhZouOPKRQ-bgVA7S7Cdpkxp3lWd4tTHStWC8jsBt2-vSjL2o-HOGXaC07fvymu7oCQ1RPFeZO-nwFb7uQYsVQaayYd-1BC/s792/jnbhbh.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="429" data-original-width="792" height="173" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiBGxvICojG6wjGzKDs2o64pqZXXy-u-9CMi1ce9FxKJoFpLhZouOPKRQ-bgVA7S7Cdpkxp3lWd4tTHStWC8jsBt2-vSjL2o-HOGXaC07fvymu7oCQ1RPFeZO-nwFb7uQYsVQaayYd-1BC/w320-h173/jnbhbh.png" width="320" /></a></div><p></p>A pratiquement deux ans de la tenue des élections de 2023, les lignes bougent au sein de la classe politique congolaise. Des alliances se font et se défont en perspective des enjeux électoraux. Au moment où sénateurs et députés s’activent à offrir au pays une nouvelle loi électorale, doublée d’une autre loi qui consacre la réforme de la Centrale électorale, deux dynamiques annoncent les couleurs : "le Front civique contre le glissement" de Martin Fayulu Madidi et Delly Sesanga Hipungu, et "le Front citoyen pour les élections", promu par le Groupe de 13 (G13), le collectif d’une dizaine de notables et parlementaires.<br /><br />Leader de la coalition Lamuka, Martin Fayulu et le député national Delly Sesanga se sont concertés pour harmoniser leurs vues sur le nouveau combat qu’ils tiennent à mener en synergie. Convaincus que le consensus fait défaut en matière de réforme de la loi électorale et de la loi sur la Commission électorale nationale indépendante (CENI), les deux acteurs politiques ont décidé de lancer "le Front civique contre le glissement".<br /><br /><br />Le président national d’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) et l’élu de Luiza ont jugé le moment propice pour se serrer les coudes et militer en vue de contrer toutes tentatives de "hold up électoral" ou, dans le cas contraire, toutes les manigances qui risqueraient de conduire le pays à des dérives qui déboucheraient sur le "glissement". Dans ce contexte, il ne serait plus possible d’organiser les élections dans le délai constitutionnel, redoutent-ils. D’où, la sonnette d’alarme qu’ils tirent.<br /><br />Effet boule de neige<br /><br />Au regard des signaux qui pointent à l’horizon, nombre d’observateurs estiment que cette dynamique ne va pas tarder à faire boule de neige. En effet, au moment où Fayulu et Sesanga convolent en justes noces avec leur "Front citoyen contre le glissement", députés nationaux et notables réunis au sein de G13 – auquel fait encore partie Sesanga – appellent les forces politiques et sociales à les rejoindre au sein du "Front citoyen pour les élections". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Dans une déclaration qu’ils ont signée et diffusée hier mercredi 9 juin à Kinshasa, les dix membres de cette équipe ont manifesté leur inquiétude après avoir suivi avec attention, à l’Assemblée nationale, "le débat et l’adoption, en première lecture, de la proposition de loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI". Ils se sont montrés septiques quant à la manière dont est menée la réforme de cette loi organique, premier pilier du processus de la réforme électorale.<br /><br />Retard dans les préparatifs du scrutin de 2023<br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Députés nationaux pour la plupart, Jacques Ndjoli (Boende), Delly Sesanga (Luiza), Claudel André Lubaya (Kananga), Juvénal Munubo (Walikale), Jean-Marc Mambidi (Watsa), Jean-Jacques Mamba (Kinshasa/ Lukunga), Charles Makengo (Kinshasa/ Tshangu), de commun accord avec Daniel Mukoko Samba (ancien Vice-Premier ministre), Jean-Pierre Muongo (ancien Directeur Général de l’OCPT) et Mme Riche Manya (Société civile) déplorent "le retard accumulé dans la préparation des élections, à 876 jours du délai constitutionnel de la convocation des scrutins pour 2023".<br /><br />"Si l’on n’y prend garde, ce retard menace sérieusement la perspective de la tenue effective, dans les délais constitutionnels, des élections en 2023, compte tenu de l’ampleur des opérations préélectorales et électorales à réaliser", font remarquer les ténors de G13. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Consensus sacrifié au profit "d’une réformette"<br /><br />"A l’analyse du travail de l’Assemblée nationale, constatent-ils, aucune leçon n’a été tirée du passé : les grandes options de la réforme n’ont pas été retenues dans le texte adopté… La noblesse et la force des principes de l’exposé des motifs contrastent fondamentalement avec la vacuité des dispositions de la loi. Il s’agit principalement des questions touchant à l’indépendance de la CENI et de ses membres, au contrôle opérationnel et financier de la Centrale électorale, au statut des agents permanents de cette institution, comprenant le secrétariat national, les secrétaires provinciaux et les chefs d’antenne, d’une part et, des agents temporaires d’autre part". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />"Dès lors, notent les signataires de la déclaration, la grande ambition de la réforme, esquissée par consensus lors des consultations menées par le G13, a été sacrifiée sur l’autel du partage des postes au Bureau de la CENI, au profit d’une réformette sans envergure et sans prétention de changer la gouvernance électorale".<br /><br />Grogne dans la Société civile<br /><br />Outre Fayulu, Sesanga et ses camarades de G13, le malaise est aussi perceptible au sein de la Société civile où les violons ne s’accordent pas encore. Des composantes de la Société civile autres que les confessions religieuses s’estiment exclues de cette institution citoyenne.<br /><br />Par ailleurs, la tendance à la politisation de la Centrale électorale, au niveau notamment de la configuration du bureau, est loin de plaire aux représentants des églises qui ont toujours plaidé pour l’indépendance de cette institution d’appui à la démocratie. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Première à protester, l’Eglise du Christ au Congo (ECC), à travers son porte-parole Eric Senga. Chez les catholiques, on reste encore réservé, en attendant la fin des travaux des évêques de la Conférence épiscopale du Congo (CENCO).<br /><br /><br />L’on se demande, dès lors, si Moïse Katumbi et Jean-Pierre Bemba, qui sont encore membres actifs de Lamuka, vont également embarquer dans "le navire de la résistance", même si ils se déclarent partisans de l’Union sacrée de la nation.<br />YKM<br />Forum des As<p> </p>

Politique Martin Fayulu et Delly Sesanga lancent un front civique contre le glissement

A pratiquement deux ans de la tenue des élections de 2023, les lignes bougent au sein de la classe politique congolaise. Des alliances se fo...

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Détention des cartes VISA liées au trésor public : Aubin Minaku veut se laver de toute prétention sur sa personnalité

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4hrqLcAR2KmWN3YG-MydeLpjdpZ-mLXeV8BuTEdXv0vsun6Jofa4MU1UHnY0IjT4KD3XIyYrmJTJqbybRBXiYgl49oYVLD1M6XlKf1yVa8eZ9qw998wFLxv8PQ49ZngbJfDle9ebdfGG3/s683/Snapshot_2bhbhbh.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="683" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4hrqLcAR2KmWN3YG-MydeLpjdpZ-mLXeV8BuTEdXv0vsun6Jofa4MU1UHnY0IjT4KD3XIyYrmJTJqbybRBXiYgl49oYVLD1M6XlKf1yVa8eZ9qw998wFLxv8PQ49ZngbJfDle9ebdfGG3/w320-h211/Snapshot_2bhbhbh.png" width="320" /></a></div>L’ancien président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku veut être transparent dans l’affaire qui fait polémique sur les détenteurs des cartes VISA liées au trésor public dont son nom serait cité parmi plusieurs autres personnalités du régime Kabila. Dans une correspondance adressée au Directeur général de la Raw-Bank, l’un des distributeurs de la Banque Centrale du Congo (BCC), ce proche de Joseph Kabila a demandé « l’extrait de compte carte visa émise en sa faveur ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Monsieur le Directeur général, par la présente, je sollicite l’extrait de compte carte visa émise par la Banque Centrale du Congo pour le compte du président de l’Assemblée Nationale Aubin Minaku Ndjalandjoko auprès de votre institution « , lit-on dans ce document parvenu à ACTU7.CD. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pendant l’exercice de son mandat au perchoir de l’Assemblée Nationale de 2012 à 2019, « il n’a jamais bénéficié d’une carte visa manuelle et permanente lui permettant d’obtenir dans un distributeur la somme de 50.000 USD chaque mois. La seule carte visa émise en sa faveur en tant que chef du corps pour quelques missions a été désactivée avec solde conformément à la pratique en la matière », avait expliqué sa cellule de communication dans un démenti sur un élément audiovisuel publié sur le net en rapport avec le sujet du journaliste Israël Mutombo le mercredi 3 juin 2021. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Au sujet de la liste qui circule sur les réseaux sociaux dénonçant certaines personnalités du régime Kabila de posséder des cartes visa du trésor public, dont Minaku serait cité, l’inspection génération des finances (IGF) qui enquête sur le dossier n’a pas reconnu jusqu’à preuve du contraire cette dernière et a promis de publier dans le tout prochain jour la liste des détenteurs des fameuses cartes sur la place publique.<br /><br />José Muyaya<p> </p>

Politique Détention des cartes VISA liées au trésor public : Aubin Minaku veut se laver de toute prétention sur sa personnalité

L’ancien président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku veut être transparent dans l’affaire qui fait polémique sur les détenteurs des car...

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URGENT 🔥 : ALEXIS TAMBWE MWAMBA RISQUE 20 ANS DE PRISON POUR DETOURNEMENT DE DENIERS PUBLICS . ABBE SHOLE DU 10 JUIN 2021 ( VIDEO )

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DU NOUVEAU 🔥🔥🔥 DANS LE DOSSIER KALEV MUTOMBO UN PROCUREUR GÉNÉRAL AUX ARRÊTS POUR LA CORRUPTION DE 300.000 $. MAITRE JOEL KITENGE DU 10 JUIN 2021 . ( VIDEO )

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Fally Ipupa assure mettre une pause sur les collaborations après la sortie de la réédition de « Tokooos II »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgo5cnbtkRd1s-o6M98qS372tB-UWLmjAknB4r3RTwWH83aDfwkGh5zzESbJjSREo76Z3yn9SKkLOKO3rkkwcxLP12ZuUApUNI0HgcMXKlONcXus3t5z5M7tcm494Da-NvxOF68NmYTUQMH/s743/jbhbbhbh.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="493" data-original-width="743" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgo5cnbtkRd1s-o6M98qS372tB-UWLmjAknB4r3RTwWH83aDfwkGh5zzESbJjSREo76Z3yn9SKkLOKO3rkkwcxLP12ZuUApUNI0HgcMXKlONcXus3t5z5M7tcm494Da-NvxOF68NmYTUQMH/w320-h212/jbhbbhbh.png" width="320" /></a></div>Il est sans doute l’artiste rd-congolais le plus sollicité de l’histoire de la rumba. De « Droit chemin » à « Tokooos II » en passant par « Tokooos », le chanteur rd-congolais a enchaîné moult featurings (15 invitations depuis 2020) qui lui ont donné une aura incroyable. Cependant, Fally Ipupa veut mettre une pause sur les collaborations avec les artistes après la sortie de la réédition de « Tokooos II » prévue en septembre 2021. « Après la sortie de la réédition de Tokooos II, je vais me reposer un peu en mode collaboration parce qu’on a trop bossé. Mais c’est bien, ça fait plaisir de se faire inviter. Ça veut dire que vous faites du bon boulot, les gens vous respectent ainsi que votre manière de faire », a révélé Fally Ipupa dans une interview exclusive accordée à Events RDC Com. Une annonce qui va permettre à l’auteur de « Un coup » de sortir un prochain projet en solitaire avant de revenir à ses habitudes et se faire inviter par d’autres artistes. <div><br /></div><div><br /></div><div> Chadrack Mpereng Events RDC </div>

Musique Fally Ipupa assure mettre une pause sur les collaborations après la sortie de la réédition de « Tokooos II »

Il est sans doute l’artiste rd-congolais le plus sollicité de l’histoire de la rumba. De « Droit chemin » à « Tokooos II » en passant par « ...

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À partir de ce 11 juin, les Congolais ne pourront plus se rendre à Dubaï et aux Émirats Arabes Unis

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVyn7ymIZCuA0F7ccMyjK8dS6u4_fWtTjU7_t3D7a8ibY6hp4r0Tqh0NF-qh7jVo_exQziR1hY5BhNhapb2YCj9fuWQ4AUXO6_JFSdhbWqYdg97OB-XwziYxY8LitcSw8k93WHVLnOPHTj/s683/Snapshot_2kjjnjnjnjnjn.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="452" data-original-width="683" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVyn7ymIZCuA0F7ccMyjK8dS6u4_fWtTjU7_t3D7a8ibY6hp4r0Tqh0NF-qh7jVo_exQziR1hY5BhNhapb2YCj9fuWQ4AUXO6_JFSdhbWqYdg97OB-XwziYxY8LitcSw8k93WHVLnOPHTj/w320-h212/Snapshot_2kjjnjnjnjnjn.png" width="320" /></a></div>Les Emirats Arabes Unies ont décidé de suspendre l’entrée des voyageurs en provenance de la RDC à partir du 11 juin prochain, soit ce vendredi.<br /><br />Les Émirats arabes unis suspendront l’entrée des voyageurs en provenance de Zambie, de République démocratique du Congo et d’Ouganda à partir du 11 juin, dans le cadre des efforts visant à contenir la propagation du coronavirus.<br /><br /><br />C’est ce qu’a annoncé ce mercredi 09 juin l’agence de presse officielle WAM.<br /><br />Bishop Mfundu/CONGOPROFOND.NET

Politique À partir de ce 11 juin, les Congolais ne pourront plus se rendre à Dubaï et aux Émirats Arabes Unis

Les Emirats Arabes Unies ont décidé de suspendre l’entrée des voyageurs en provenance de la RDC à partir du 11 juin prochain, soit ce vendre...

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Contrats miniers : les bonnes intentions de Félix Tshisekedi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUi9IIWTBlL3TMJjb7a8txVPquCu9GaIuUaqQ37qBd06_66jNbnUlgjpfG9YgGYkdBzCBZu8sEIPTC83icDjGn0pKqfHsyna4CRtsOY6Dyl3zRRdAT1Wjo6TPsY9OyRb2yQBF1WDi2rWlb/s754/Snapshot_2jnjnbhh.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="414" data-original-width="754" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUi9IIWTBlL3TMJjb7a8txVPquCu9GaIuUaqQ37qBd06_66jNbnUlgjpfG9YgGYkdBzCBZu8sEIPTC83icDjGn0pKqfHsyna4CRtsOY6Dyl3zRRdAT1Wjo6TPsY9OyRb2yQBF1WDi2rWlb/s320/Snapshot_2jnjnbhh.png" width="320" /></a></div>Des accords léonins conclus entre les multinationales minières et les entreprises étatiques privent le Congo d’importantes ressources financières. Le chef de l’Etat a promis de réviser ces contrats pour améliorer la vie des Congolais.<br /><br />« Je suis fatigué de voir des étrangers venir ici avec des poches vides et repartir milliardaires, alors que nous, nous restons pauvres ». Ce constat de Félix Tshisekedi, prononcé à Kolwezi le 13 mai 2021, a été largement applaudi par la population de la riche province minière. Le discours sur « un Congo riche et des Congolais pauvres » résonnent particulièrement dans cette région qui abrite plus de 60% des réserves mondiales de cobalt. Une richesse qui ne bénéficie pas au Congo, 8e pays le plus pauvre de la planète. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br />Laciblechinoise<br /><br />Pour Félix Tshisekedi, « il est temps que le pays réajuste ses contrats avec les miniers pour sceller des partenariats gagnant-gagnant ». Le président souhaite donc revisiter les accords avec les grandes compagnies minières, toutes étrangères. Sans citer les noms des entreprises visées, on devine que le chef de l’Etat cible la Chine, très présente avec des sociétés comme Sicomines ou Tenke Fungurume Mining (TFM). Derrière la Chine, Félix Tshisekedi cible aussi Joseph Kabila. Son prédécesseur avait en effet conclu d’importants contrats privilégiés avec son allié chinois. « Certains de nos compatriotes avaient mal négocié les contrats miniers. Pire, le peu qui revient à l’État, ils l’ont mis dans leurs propres poches » a fustigé Félix Tshisekedi. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />En 2008, Joseph Kabila avait en effet décidé de promettre du cuivre et du cobalt aux Chinois en échange de la construction d’infrastructures pour un montant de 9 milliards de dollars. A l’époque, ce deal avec la Chine était présenté comme un contrat anti-corruption. « Difficile de se mettre dans la poche un hôpital ou des kilomètres de routes » ironisaient les proches du président Kabila. Mais ce contrat, censé être « gagnant-gagnant », s’est vite révélé déséquilibré. De 9 milliards, le contrat a été renégocié à 6, pour ne générer que 3 milliards d’investissements chinois au Congo. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Et encore, personne ne sait vraiment ce qui a été réellement investi dans les infrastructures à l’issue de ce contrat.<br />Unecorruptionendémique<br /><br />Mais qu’on ne s’y trompe pas, les entreprises chinoises ne sont pas les seules dans le viseur de Kinshasa. « On ne peut pas tout rejeter sur les entreprises étrangères, qu’elles soient chinoises ou occidentales » analyse Jean-Claude Mputu, membre de Resource Matters et porte-parole de la plateforme « Le Congo n’est pas à vendre ». « Les compagnies étrangères ne peuvent pas être les seuls boucs émissaires. Les responsabilités sont partagées. Un contrat est un acte qui engage deux parties. Et si l’une des deux parties est désavantagée, la faute en revient à l’Etat congolais ou aux entreprises congolaises qui ont accepté les termes de ce contrat. » <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Derrière ces contrats léonins, qui rapportent peu à l’Etat congolais, il y a un autre fléau, qui n’a jamais disparu : la corruption. « Le secteur minier est particulièrement touché par les malversations et les dessous-de-tables, nous explique Jean-Claude Mputu. Avec ces contrats, c’est tout une élite congolaise qui s’est enrichie, et autant d’argent qui ne rentre pas dans les caisses du Trésor public ». Le collectif « Le Congo n’est pas à vendre » a récemment estimé que l’intermédiaire israélien Dan Gertler aurait fait perdre en 20 ans, 1,7 milliard de dollars à l’Etat congolais. En cause, des ventes d’actifs miniers, achetés à bas prix, et revendus au prix fort. Des opérations réalisées grâce à la proximité de l’homme d’affaires avec l’ancien président Joseph Kabila. Des allégations toujours réfutées par Dan Gertler.<br />Davantagedetransparence<br /><br />Alors pour que les annonces de Félix Tshisekedi soient réellement efficaces et puissent bénéficier à la population, Jean-Claude Mputu exige davantage de transparence des autorités congolaises. « Ce n’est pas la première fois que l’Etat congolais renégocie des contrats miniers. Il l’a fait au début des années 2000, et après la publication du nouveau code minier. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Et ces deux précédentes revisitation n’ont pas produit les résultats escomptés. Le risque, c’est que l’on revisite des contrats pour les attribuer à de nouveaux amis politiques qui vont s’enrichir davantage, et non dans l’intérêt du Congo ». Si Jean-Claude Mputu estime que la volonté de Félix Tshisekedi de réviser les contrats miniers envoie « un bon signal », cette révision reste, pour l’instant, « un simple slogan politique ».<br /><br />Aujourd’hui, le calendrier du président Tshisekedi pour mettre en oeuvre la renégociation des contrats miniers n’a pas encore été dévoilé. La présidence affirme vouloir entamer les discussions dans les prochains mois. Mais déjà, la pression monte après les annonces présidentielles, notamment du côté de la Chine. Son ambassadeur à Kinshasa, Zhu Jing, s’est fendu d’un tweet explicite après le meeting de Kolwezi. « La RDC et l’Afrique ne doivent pas être le champ de bataille des puissances. Soyons vigilants à ceux qui crient aux combats et cherchent à créer de l’hostilité », a-t-il commenté. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Pour Jean-Claude Mputu, la feuille de route du chef de l’Etat doit être claire : « Le gouvernement doit déjà annuler certains contrats qui violent la loi. Il doit ensuite rendre publics ces contrats pour que l’on sache ce qu’ils contiennent vraiment. Et enfin, il doit renégocier avec les miniers, dans la transparence, la légalité et l’intérêt du peuple congolais ».<br /><br /> Christophe Rigaud – Afrikarabia

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Élections 2023 : Jean Claude Katende met déjà en doute les résultats

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvmBv94-zTjOQ3i_lzeA9g1MM-WroAoEwhd06K1DDthta6G9Hfl65NF2CVtlr7HO3fWiIQSbNKkfUsWhQYVDQ2X4MVIWlh6Iug7l0UHldFLcFI2QI6m1KZoO-KujekbtARenCeYdKBlxTl/s795/Snapshot_2njbgvgvgv.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="795" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvmBv94-zTjOQ3i_lzeA9g1MM-WroAoEwhd06K1DDthta6G9Hfl65NF2CVtlr7HO3fWiIQSbNKkfUsWhQYVDQ2X4MVIWlh6Iug7l0UHldFLcFI2QI6m1KZoO-KujekbtARenCeYdKBlxTl/s320/Snapshot_2njbgvgvgv.png" width="320" /></a></div>Jean Claude Katende n’a pas tenté d’apaiser quelque peu les esprits en modérant ses propos.<br /><br /><br />Le coordonnateur de l’Association Africaine des Droits de l’Homme (ASADHO) met en cause de manière anticipée, les résultats des élections de 2023 qui seront publiés par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), et dénonce légèrement d’ors et déjà un « putsch électoral » en gestation. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />« La réforme actuelle de la Ceni, focalisée sur la politisation de cette institution, ne conduira qu’à faire de la Ceni une machine à fabriquer les résultats électoraux », a écrit cet activiste des droits de l’homme sur son compte twitter.<br /><br /><br />Outre Katende, plusieurs voix mettent en garde la centrale électorale contre toute tentative de modifier les résultats du scrutin de 2023. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour elles, la politisation de deux des institutions ayant un rôle clef dans l’organisation des élections : la Commission électorale nationale indépendante (CENI), et la Cour constitutionnelle, toutes deux déjà contestées et dont les membres sont taxés de partialité, pourrait plonger le pays dans un cycle de violences.<br /><br />Gilbert Ngonga<br />24h<p> </p>

Politique Élections 2023 : Jean Claude Katende met déjà en doute les résultats

Jean Claude Katende n’a pas tenté d’apaiser quelque peu les esprits en modérant ses propos. Le coordonnateur de l’Association Africaine des ...

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« Un coup d’État contre la République » : Les mots forts de l’ECC au sujet de la loi sur la CENI

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUZEVbk9H0MFW4XYap4gVKPegmUGYQMRrg_jWW6bhoLCDIZqp__fFJxhry6Q_ZuuTMVITrBaBNv9ttwhDmmymfmYq-9IN7SpiVFXIB591cESPcX5R0MRXizNF0aMX2_kZSqzkboBm3RLye/s617/bhbhbhh.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="412" data-original-width="617" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUZEVbk9H0MFW4XYap4gVKPegmUGYQMRrg_jWW6bhoLCDIZqp__fFJxhry6Q_ZuuTMVITrBaBNv9ttwhDmmymfmYq-9IN7SpiVFXIB591cESPcX5R0MRXizNF0aMX2_kZSqzkboBm3RLye/s320/bhbhbhh.png" width="320" /></a></div> La proposition de loi sur la reforme de la loi portant organisation et fonctionnement de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) est une nouvelle source des tensions en République Démocratique du Congo. Initiée par Christophe Lutundula Apala, actuellement Vice-premier ministre des Affaires étrangères, elle a été profondément modifiée par la Commission politique et juridique de l’Assemblée nationale.<br /><br />Pour l’Eglise du Christ au Congo (ECC), dans sa forme actuelle, cette loi n’apportera aucun changement tant souhaité dans la dépolitisation de la CENI. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Selon le Porte-parole de l’ECC, le Révérend Éric Nsenga, seule la sagesse des Sénateurs, appelés à examiner en seconde lecture la loi portant organisation et fonctionnement de la CENI peut sauver le pays de ce qu’il présente comme « un coup d’État contre la République ».<br /><br />Il invite les élus des élus à faire preuve de sagesse « comme fut le cas avec Kengo Wa Dondo pour le recensement » et à « corriger les irrégularités »<br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Allusion faite à la sagesse dont avait fait preuve le Sénat en 2015, en adoptant en d’autres termes le projet de loi qui allait conditionner la tenue des élections par le recensement général de la population. Ce qui allait retarder de plusieurs années la tenue des élections.<br /><br />Pour l’Eglise du Christ au Congo, il est hors de question que le Sénat, qui est qualifiée de chambre des sages, laisse passer une loi que beaucoup d’observateurs considèrent comme étant taillée sur mesure en faveur du pouvoir de Félix Tshisekedi. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Notez par exemple qu’alors que l’auteur de cette loi a préconisé dans son texte initial la suppression de l’Assemblée plénière de la CENI, qui selon lui n’a aucun pouvoir effectif, en suggérant la création d’une commission permanente d’évaluation et de contrôle (COPEC), la Commission PAJ dirigée par l’UDPS André Mbata en a décidé autrement.<br /><br />ALT.<p></p>

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La proposition de loi sur la reforme de la loi portant organisation et fonctionnement de la Commission Électorale Nationale Indépendante (C...

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Afrique du Sud : une femme accouche de dix enfants

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFwpq3sVhJyfMaAHRbSlGvWpryA6p20vR_fjrYc7eS1EQshJ-lno-QdCYlEYwzBnXzeFg0msivW9gfgIq66vj4e0P-2u_jnKPoCjuM2NplDQ-J9llOiJOrMAftyY6ZIxUCuUIP-b4fluvd/s663/nnjnj.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="663" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFwpq3sVhJyfMaAHRbSlGvWpryA6p20vR_fjrYc7eS1EQshJ-lno-QdCYlEYwzBnXzeFg0msivW9gfgIq66vj4e0P-2u_jnKPoCjuM2NplDQ-J9llOiJOrMAftyY6ZIxUCuUIP-b4fluvd/s320/nnjnj.png" width="320" /></a></div>La naissance hors du commun vient battre le précédent record détenu par une femme Malienne et ses neufs enfants.<br /><br />Une sud-africaine a donné naissance ce lundi à dix enfants, battant le record précédemment établi par la Malienne Halima Cisse en mai dernier, qui avait mis au monde neufs enfants au Maroc.<br /><br />Selon la presse sud-africaine, Gosiame Thamara Sithole, aurait, à 37 ans, accouché par césarienne de sept garçons et trois filles, entrant ainsi dans le Livre des Records en ayant battu le record du monde de la plus grande naissance multiple. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Né au bout d'une grossesse de 29 semaines, les nouveaux-nés ont créé la surprise à la maternité : bien que l'imagerie médicale n'ait montré que huit fétus, ce sont finalement dix enfants qui ont été mis au monde par Gosiame Thamara Sithole. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />S'adressant au quotidien sud-africain Pretoria News, Teboho Tsotetsi, mari de Gosiame Thamara Sithole, a déclaré que la grossesse de sa femme était naturelle et qu'elle ne suivait aucun traitement de fertilité.<br /><br />Africanews<p> </p>

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Élection du 1er vice-président du Sénat : Début de la campagne électorale ce jeudi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFsUqfH0Q03AI5tHcvvA4r9ZBe0utLNviDslOqWuNHNj52LgwhSWm1p-yQ8j98egnGiuFyCu-_0Fl3AF_MPvz_bFvhxnX4mqnr4_J70OyAGv6ZtYqFbW7eurixoXgCHxaVufOmkg6U6J9X/s994/Snapshot_2njnjjn.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="491" data-original-width="994" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFsUqfH0Q03AI5tHcvvA4r9ZBe0utLNviDslOqWuNHNj52LgwhSWm1p-yQ8j98egnGiuFyCu-_0Fl3AF_MPvz_bFvhxnX4mqnr4_J70OyAGv6ZtYqFbW7eurixoXgCHxaVufOmkg6U6J9X/s320/Snapshot_2njnjjn.png" width="320" /></a></div><p></p>Conformément au calendrier électoral rendu public par le rapporteur du Sénat, la campagne électorale pour l'élection du premier vice-president de la chambre haute du Parlement démarre ce jeudi 10 juin 2021.<br /><br />Il ne sera question que d'une simple formalité étant donné qu'une seule candidature a été retenue. C'est celle du sénateur UDPS Mundela Kanku Eddy.<br /><br />Au-delà du vote de la proposition de Loi sur la CENI, les sénateurs vont devoir, au cours de la plénière de ce jeudi, auditionné le discour du candidat. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />C'est donc ce samedi que les sénateurs vont élire le remplaçant de Samy Badibanga.<br /><br />Rappelons que le poste de vice-président du Sénat est resté vacant depuis plusieurs mois à la suite de la démission de Samy Badibanga pour des raisons inavouées. <br /><br />Orly-Darel Ngiambukulu<br /><br />

Politique Élection du 1er vice-président du Sénat : Début de la campagne électorale ce jeudi

Conformément au calendrier électoral rendu public par le rapporteur du Sénat, la campagne électorale pour l'élection du premier vice-pre...

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Controverse autour de la loi sur la réforme de la CENI : Bahati...

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUj8Yi__ytCeCblvvR6XrRa77mHcomD0I0FcubxHrcxgRnGvgq8P9PnjHV8Pzobp-dLKTpxzIWSeIqUP-L1DHHjd6LxoeMBURQKhu24nncQgMbtW65BwS1TNJiqvKG5vpuFHs_5d-MF4bG/s789/Snapshot_1.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="429" data-original-width="789" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUj8Yi__ytCeCblvvR6XrRa77mHcomD0I0FcubxHrcxgRnGvgq8P9PnjHV8Pzobp-dLKTpxzIWSeIqUP-L1DHHjd6LxoeMBURQKhu24nncQgMbtW65BwS1TNJiqvKG5vpuFHs_5d-MF4bG/s320/Snapshot_1.png" width="320" /></a></div> Majorité, opposition et société civile sont divisés au sujet de la loi portant organisation et fonctionnement de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI). Après son adoption par l’Assemblée nationale, les sénateurs l’examinent en seconde lecture ce jeudi 10 juin 2021.<br /><br />Face au tollé général créé par les modifications apportées au texte initial de Christophe Lutundula, actuel Vice-premier ministre des Affaires étrangères, par la Commission PAJ de l’Assemblée nationale, les regards sont fixés sur le Président du Sénat, Professeur Modeste Bahati, qui est invité à s’inspirer d’un ancien Président du Sénat, Léon Kengo Wa Dondo, qui en son temps, avait sauvé le pays d’une crise de grande ampleur, en prenant le contrepied de l’Assemblée nationale lors des débats sur le projet de loi qui allait conditionner la tenue de la présidentielle à un recensement de la population. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Après une carrière politique riche, Léon Kengo Wa Dondo a marqué un peu plus l’histoire politique de la RDC en 2015. Alors Président du Sénat, il avait pris une décision courageuse, d’abord de suspendre les débats sur le projet de loi électorale controversé à l’origine des manifestations qui avaient secoué Kinshasa et quelques villes à travers le pays. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2021/06/IMG_20210610_083357.jpg" /><br /><br />Le projet de loi controversé avait déjà été adopté, en première lecture par les députés nationaux. Le bilan des manifestations était lourd: 13 morts selon le gouvernement, 21 personnes tuées selon Human Rights Watch et une quarantaine selon la Fédération Internationale des Droits de l’Homme.<br /><br />La suite de l’histoire est connue de tous. Mis sous pression par le Sénat, le Président de l’Assemblée nationale de l’époque, Aubin Minaku, avait finalement annoncé, le 24 janvier 2015, le retrait de l’alinéa controversé du projet de loi électorale.<br />La rue qui s’enflammait pour réclamer déjà le départ de Joseph Kabila à deux ans de la fin de son second mandat s’est calmée.<br /><br />Bahati Lukwevo devant l’histoire<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2021/06/IMG_20210610_083323-1024x683.jpg" /><br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Pourtant, sachant que la voix des députés nationaux prime, Léon Kengo avait pris le courage de s’opposer à l’Assemblée nationale, surtout dans un contexte où l’ancien Chef de l’État Joseph Kabila était considéré comme tout puissant.<br /><br />Certes, le contexte n’est pas le même. Mais l’actuel Président du Sénat, Professeur Modeste Bahati Lukwebo a une occasion en or de prouver à la face du monde la grandeur d’homme d’Etat qu’il est.<br /><br />En effet, comme en 2015, la proposition de loi sur la réforme de la loi portant organisation et fonctionnement de la CENI divise la classe politique.<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2021/06/ADO.jpg" /><br /><br />Alors qu’ils avaient applaudi le texte initial, les opposants Martin Fayulu et Adolphe Muzito désapprouve le texte final adopté à l’Assemblée nationale, qu’ils considèrent comme une illustration parfaite de la volonté de la chambre basse du parlement de baliser le chemin à l’UDPS pour frauder les scrutins prochains. Dans une conférence animée le vendredi dernier, ils ont dénoncé la politisation de la centrale électorale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour Adolphe Muzito, il s’agit là d’une manœuvre qui risque de « niveler la République Démocratique du Congo vers le bas» après l’alternance pacifique qui, pour eux, reste tout de même frauduleuse.<br />Du point de vue du Président du Nouvel Élan, la démarche de l’Assemblée nationale vise à instaurer une dictature au pays. Il a annoncé une série de manifestations.<br /><br />Le groupe de 13 personnalités politiques et de la société civile (G13) est tout autant inquiet. Dans un communiqué publié mercredi 09 Juin 2021, ce regroupement des personnalités fait remarquer que la loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI adoptée par l’Assemblée nationale ne concourt pas à la tenue des élections libres, transparentes, démocratiques et inclusives telles que souhaitées par tous.<br /><br />Le G13 souligne que bien au contraire, elle amplifie et enracine les maux décriés d’autant plus que l’indépendance des membres de la CENI n’a pas été définie.<br /><br />La société civile n’est pas en reste. L’Eglise du Christ au Congo(ECC) par exemple fustige ce qu’elle qualifie d’un «coup d’État contre la République ».<img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2021/06/IMG_20210610_083502.jpg" /><br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Par ailleurs, pour revenir à la situation de 2015, il est vivement conseillé au Président de l’Assemblée nationale, Christophe Mbodo Nkodia de s’inspirer lui aussi de l’attitude d’Aubin Minaku qui, bien qu’ayant adopté le texte en première lecture, s’est ravisé en retirant l’alinéa controversé.<br /><br />Des analystes estiment que du haut de ses 79 ans d’âge, le Président de la chambre basse du parlement pourra marquer de la meilleure des manières l’histoire politique de la RDC en écoutant la voix de la sagesse.<br /><br />RD44<p></p><div><span style="border: 0px none; box-sizing: border-box; font-weight: 700; list-style: none; margin: 0px; outline: none; padding: 0px; zoom: 1;"><br /></span></div><div class="ngfb-content-buttons" style="background-color: white; border: 0px none; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 13px; list-style: none; margin: 10px auto; outline: none; padding: 0px; text-align: center; zoom: 1;"></div>

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IGF : Trop de communication tue la communication

<p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>Où que l’on tourne le regard, on voit l’Inspection Générale des Finances (IGF). Où que l’on tende l’oreille, on entend Jules Alingete  Key. Ce n’est pas à ce  crack en finances publiques que l’on apprendra que trop d’impôt tue l’impôt. Paraphrasant ce dicton, on peut soutenir que trop de communications frelate, voire tue la communication. Celle-ci  étant  un couteau à double tranchant. Elle charrie le meilleur et le pire. Tout dépend de l’usage que l’on en fait  et du dosage.</b></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b><br /></b></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAXWnRO59bjgm5-N65EmE1iyYg8PfaChLtYwZM56QBngV0saz3dyp-OpQop0S0PDtWihCJhuRmghK11f9TzWbBbGDv2V58uE8On64BrgEMkc4BOm2bCHLb84TFwt_g_sxpGUK4_UR9vQ/s1024/9A956693-30DC-4DF9-AF63-85CC51DC0386.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="578" data-original-width="1024" height="362" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAXWnRO59bjgm5-N65EmE1iyYg8PfaChLtYwZM56QBngV0saz3dyp-OpQop0S0PDtWihCJhuRmghK11f9TzWbBbGDv2V58uE8On64BrgEMkc4BOm2bCHLb84TFwt_g_sxpGUK4_UR9vQ/w640-h362/9A956693-30DC-4DF9-AF63-85CC51DC0386.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><b><br /></b></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b><br /></b></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Certes, personne ne peut reprocher à l’IGF et à son désormais très médiatique et médiatisé Jules Alingete de communiquer. Pas plus qu’il ne serait venu à l’idée d’aucun  «spin doctor» de déconseiller à l’Inspecteur général-chef de service la règle d’or  de la communication. A  savoir : le bien faire et faire savoir. <script async src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!-- in f --> <ins class="adsbygoogle" style="display:block" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-slot="1050070980" data-ad-format="auto" data-full-width-responsive="true"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"> Le hic, c’est de ne pas trop en faire. En la matière, la sur médiatisation des activités de l’IGF et de son  patron  fait courir le risque à  ce service d’élite de s’installer dans la polémique ambiante. Pis, de faire partie de l’écosystème médiatico-politique bien de chez nous.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Avec le risque dans le risque de voir le nécessaire travail de traque de traçabilité de l’argent public être assimilé à une démarche politicienne, destinée à disqualifier ceux des acteurs qui se trouvent du mauvais côté de la barrière.  En ce temps aussi lourdement que fortement suspect, pas besoin de la moindre exégèse pour identifier dans cette logique les potentiels sacrés clients de l’IGF. <script async src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!-- in f --> <ins class="adsbygoogle" style="display:block" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-slot="1050070980" data-ad-format="auto" data-full-width-responsive="true"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pas étonnant que les traqués crient – à tort ou à raison – à la «chasse aux sorcières», aux «règlement des comptes», à la «mise à mort politique». Une chanson universellement connue. Le tout, ici comme ailleurs, est d’éviter que ce refrain ait l’air de sonner vrai. En l’occurrence, l’overdose sur le front de la communication pourrait faire le lit d’un autre mot :  «acharnement».  Une vraie ligne de crête.   </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">La controverse en cours sur les détenteurs présumés, putatifs et même réels des cartes de crédit Visa montre à quel point il est nécessaire pour le numéro 1 des inspecteurs des finances de ne pas sacrifier l’action sur l’autel de la communication-spectacle. Car,  investigation et médiatisation à outrance font rarement bon ménage.</span></p><h1 style="text-align: center;"></h1>

Justice IGF : Trop de communication tue la communication

Où que l’on tourne le regard, on voit l’Inspection Générale des Finances (IGF). Où que l’on tende l’oreille, on entend Jules Alingete  Key. ...

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Politisation de la CENI : P. Nkanga pour un nouveau consensus sur la manière d’organiser les élections et sur l’organe habilité (Interview)

<div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item" property="schema:text" style="-webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); -webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(51, 51, 51); line-height: 2; margin-bottom: 20px; text-align: justify;"><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>Après l'adoption de la loi sur la réforme de la CENI (Commission électorale nationale indépendante) à la chambre basse du Parlement, le débat sur l'instrumentalisation par des politiques de cette institution d'appui à la démocratie refait surface dans l'arène politique congolaise. </b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6WYC9FfYAsIDq4r4Z_iYNEsymyQKsuue2S6aQKZVrtwqheEfIglOHT_cPCT4gZKsMMuSZXnP1WsKirUfG-Rv-pwTjqPdt0WXw1dMpyr0kPB8rtgSYCVznCyztUbnQP0BwLMJjDzBlLw/s960/8CC5F49D-DCEB-495D-9B06-C4528A1F8CFC.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="960" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6WYC9FfYAsIDq4r4Z_iYNEsymyQKsuue2S6aQKZVrtwqheEfIglOHT_cPCT4gZKsMMuSZXnP1WsKirUfG-Rv-pwTjqPdt0WXw1dMpyr0kPB8rtgSYCVznCyztUbnQP0BwLMJjDzBlLw/w640-h426/8CC5F49D-DCEB-495D-9B06-C4528A1F8CFC.jpeg" width="640" /></a></div></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b><br /></b></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br />Dans un entretien à 7SUR7.CD ce mercredi, Patrick Nkanga Bekonda, rapporteur du bureau politique du PPRD, estime que la dépolitisation de l’organe chargé des élections est un idéal à atteindre. <script async src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!-- in f --> <ins class="adsbygoogle" style="display:block" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-slot="1050070980" data-ad-format="auto" data-full-width-responsive="true"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script>  </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br />Pour éviter des crises récurrentes post-électorales, ce cadre de la famille politique de Joseph Kabila préconise un nouveau consensus entre forces politiques sur la manière d’organiser des élections en RDC et sur l’organe chargé d'exécuter cette tâche. </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br />S'exprimant sur la crise humanitaire au Nord-Kivu suite à l'éruption volcanique du Nyiragongo, P. Nkanga appelle le gouvernement à renforcer sa capacité à réagir promptement aux catastrophes naturelles, qui sont monnaie courante sur toute l’étendue nationale. Il s’est aussi exprimé sur la crise que traverse le FCC.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br />(Ci-dessous son interview)<br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">7SUR7</span>: Depuis le 22 mai dernier, le Nord-Kivu fait face à une crise due à l'éruption du volcan de Nyiragongo, pensez-vous que cette catastrophe pouvait être évitée ? Quelles mesures le gouvernement doit prendre pour éviter que pareille situation ne se reproduise ?</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">P. Nkanga</span> : C’est difficile d’éviter une catastrophe naturelle. Ce qui importe, c’est comment l’on gère l’après. Nous savons tous que cet espace de notre territoire est en proie aux velléités sismiques, qui sont parfois tributaires de l’activité des volcans. Il sied de s’adapter à cela, dans la manière d’organiser la vie dans cette partie du pays. Mais, cette problématique ressort également la problématique de la décentralisation. La Constitution du 18 février de 2006 a voulu que nous ayons ce régionalisme politique. Les provinces doivent se montrer de plus en plus aptes à résorber les problèmes qui leur sont endogènes. Nous ne devons pas avoir continuellement l’impression de l’inexistence du pouvoir provincial. Les Gouvernements provinciaux ne sont pas des observateurs de la société, mais des acteurs du développement. Il faut aiguiser le sens managériale des instances provinciales. Cela ne veut pas dire, que le pouvoir central n’a aucun rôle à jouer. Il sied au Gouvernement de la République de renforcer sa capacité à réagir promptement aux catastrophes naturelles, qui sont récurrentes sur toute l’étendue nationale. </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">7SUR7</span> : La loi modifiant et complétant la loi organique portant fonctionnement et organisation de la CENI a été adoptée vendredi dernier à l'Assemblée nationale, comment appréciez-vous ce texte ? Est-ce que cette loi consacre davantage la politisation de la CENI comme le disent certains politiques ? <script async src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!-- in f --> <ins class="adsbygoogle" style="display:block" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-slot="1050070980" data-ad-format="auto" data-full-width-responsive="true"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">P. Nkanga</span> : Dès l’instant où les acteurs politiques avaient décidé consensuellement, que les structures politiques y envoient des délégués, nous avions déjà politisé la CEI, actuellement la CENI. <br />À l’approche de chaque cycle électoral, la question sur la crédibilité de la CENI et du processus électoral se posent. Il va sans dire, qu’il y’a en présence une crise de confiance entre les acteurs politiques et même une frange de la société civile. Faille t-il repenser le mode opératoire de nos élections ? </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br />Ce qui semble, à notre humble avis, être une certitude, c’est la nécessité de dégager un nouveau consensus sur la manière d’organiser nos élections et sur l’organe habilité. La dépolitisation de l’organe qui a en charge le processus électoral est l’idéal à atteindre. Quoi qu’il en soit, les élections se gagnent auprès du Peuple.</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">7SUR7</span> : Pensez-vous que cette équipe gouvernementale dite des "warriors" sera en même de relever le défi de développement de la RDC ?</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">P. Nkanga</span> : L’usage républicain veut que l’on s’exprime sur l’action gouvernementale, après ses premiers 100 jours. Le Premier Ministre avait fait part des priorités de son Gouvernement devant les élus du Peuple. Attendons les 100 jours. </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">7SUR7</span> : Où sommes-nous avec le travail du Comité de crise, avec à sa tête Raymond Tshibanda, installée pour redymaniser le FCC ? </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">P. Nkanga</span> : Le comité de crise n’avait pas vocation à redynamiser le FCC, mais plutôt à comprendre la crise qui y avait sévi, en estompant tant soit peu l’hémorragie. Le Chef de notre famille politique consulte depuis peu et très bientôt, vous en verrez les résultats. </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">7SUR7</span> : Est-ce que le parti de Joseph Kabila, ancien président de la RDC, est prêt à aller aux élections de 2023 ?</span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">P. Nkanga</span> : Le PPRD n’a pas dans son ADN la culture de boycotter les élections. Depuis 2006, nous participons à chaque cycle électoral. Les élections générales de 2023 ne dérogent pas à cette normalité découlant de notre cheminement démocratique. </span></div><div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br />Mais, avant de parler élections, parlons d’aujourd’hui, nos concitoyens sont plus préoccupés par leur quotidien plutôt que par les élections.</span></div></div><p><br class="Apple-interchange-newline" style="-webkit-text-size-adjust: auto;" /></p>

Politique Politisation de la CENI : P. Nkanga pour un nouveau consensus sur la manière d’organiser les élections et sur l’organe habilité (Interview)

Après l'adoption de la loi sur la réforme de la CENI (Commission électorale nationale indépendante) à la chambre basse du Parlement, le ...

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État de siège : “devant cette guerre asymétrique, la solution n’est pas que militaire” (Patrick Muyaya)

<h1 style="text-align: center;"></h1><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>Le Porte-parole du Gouvernement Sama Lukonde, Patrick Muyaya, estime que les jeunes congolais qui font partie des groupes armés ont besoin d’emploi pour réintégrer la société. Cette déclaration ressort de la conférence de presse tenue ce mercredi 9 juin à Kinshasa dans le cadre du suivi de l’évolution de l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri.</b></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYA-dJSzJ4CEeBPs33CeS-giECI-apQGobjCCfwhO333IsaNt1-Y9mAoKAiYYrCt8UIAh2_dKDOIjdGpG0jC2lA44YSf2pTiRHJ8lNWZdjfAI8YQFmVdEj6h8XIH2n8IBDNo7F3SYm8A/s696/C75FDD7E-06E0-4DF1-B446-5E5EA8EEAC40.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="313" data-original-width="696" height="288" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYA-dJSzJ4CEeBPs33CeS-giECI-apQGobjCCfwhO333IsaNt1-Y9mAoKAiYYrCt8UIAh2_dKDOIjdGpG0jC2lA44YSf2pTiRHJ8lNWZdjfAI8YQFmVdEj6h8XIH2n8IBDNo7F3SYm8A/w640-h288/C75FDD7E-06E0-4DF1-B446-5E5EA8EEAC40.jpeg" width="640" /></a></div><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">“Nous encourageons tous ceux qui nous écoutent, de nos compatriotes qui sont dans les zones opérationnelles de collaborer. Aucune armée ne peut remporter une guerre si elle n’a pas, le total soutien de sa population. Et donc, ici nous voulons insisté sur ces faits parce que devant cette guerre asymétrique, la solution n’est pas que militaire. il y a une composante sociale, qui accompagne les opérations militaires, c’est la composante DDRCS et ensuite il y aura une composante technique qui devra suivre, parce que finalement, tous ces jeunes congolais qui sont dans les groupes armés ont besoin d’emploi et il y a tout un programme qui est conçu pour leur permettre de revenir”, estime Patrick Muyaya.</span></span></div><div><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Il a, par ailleurs, encouragé l’initiative des localités de la province de l’Ituri.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">“C’est sont les forces négatives qui sont noyées dans la population, c’est pour ça que nous avons particulièrement salué l’acte posé par les localités de la grande province de l’Ituri, qui se sont tous engagées à soutenir l’état de siège qui est conduit dans cette région par le Lieutenant-Général Luboya”, a fait savoir le Porte-parole du Gouvernement.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Et de poursuivre : “Vous avez remarqué que malgré l’éruption du Nyiragongo dans la province du Nord-Kivu, les opérations continuent. C’est pour vous dire la bravoure de nos forces armées et la détermination du gouvernement à faire en sorte que cette situation d’insécurité, qui perdure depuis 20 ans, puisse se terminer”.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Il sied de signaler que l’état de siège a été prorogé pour une durée de 15 jours dans la province de l’Ituri ainsi que le Nord-Kivu depuis le 6 juin 2021. Cette mesure a été prise par le Chef de l’État congolais Félix Tshisekedi Tshilombo afin de pacifier la partie Est de la RDC.</span></p></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; font-family: "PT serif"; font-size: 20px;"><br /></span></div>

la Nation État de siège : “devant cette guerre asymétrique, la solution n’est pas que militaire” (Patrick Muyaya)

Le Porte-parole du Gouvernement Sama Lukonde, Patrick Muyaya, estime que les jeunes congolais qui font partie des groupes armés ont besoin d...

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Sénat : Thambwe Mwamba et Éric Rubuye dans le viseur de la justice pour détournement

<h1 style="text-align: center;"></h1><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>Le procureur général près la Cour de cassation, Victor Mumba, a saisi à nouveau le Sénat pour solliciter la levée des immunités des sénateurs Alexis Thambwe Mwamba et Éric Rubuye. Le réquisitoire a été lu, lors de la plénière de ce mercredi 09 juin 2021 par Michel Kanyimbu, rapporteur de la chambre haute du Parlement.</b></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMaPg5athei_k8c92rBSdC98C7c215p44a7ozjHpk04FmURjOdi0qTs24aIOIueKgsWQDVp4gSUavYJIcF9MXI71djIAf_oWmpSWo1HaIgdPSQHEYcrz3ymrWfJQHUMZ2OjB81GVsvcQ/s800/A8FF8D99-7661-4BE3-B25E-3BCD36706E0F.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="800" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMaPg5athei_k8c92rBSdC98C7c215p44a7ozjHpk04FmURjOdi0qTs24aIOIueKgsWQDVp4gSUavYJIcF9MXI71djIAf_oWmpSWo1HaIgdPSQHEYcrz3ymrWfJQHUMZ2OjB81GVsvcQ/w640-h320/A8FF8D99-7661-4BE3-B25E-3BCD36706E0F.jpeg" width="640" /></a></div><br /><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Dans ce réquisitoire, il est mentionné que les anciens président et questeur du Sénat mais aussi deux ex-sénateurs, sont cités dans le détournement des fonds liés principalement au fonctionnement de cette institution. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Cette demande est la deuxième après celle introduite au mois de février. Dans un courrier daté du 1er février, le procureur général près la Cour de cassation avait demandé “au bureau du Sénat d’autoriser l’instruction à charge d’Alexis Thambwe Mwamba pour détournement de deniers publics” et souhaitait que ce dernier puisse “présenter ses moyens de défense”.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">On reproche au président du Sénat l’ouverture d’un dossier par le fait que le 6 janvier 2021, Alexis Thambwe Mwamba a émis pour le compte du Sénat trois chèques d’un import respectif de 2 millions d’euros, 1 million USD et 1 millions de FC.</span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; caret-color: rgb(34, 34, 34); line-height: 1.4; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">« Le trésorier du Sénat est allé retirer ces sommes à la BCDC et les a remis au Conseiller du questeur du sénat. Celui-ci est parti les remettre à son tour à Alexis Thambwe Mwamba à sa résidence », expliquait le procureur dans ce courrier. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p></div><div style="text-align: justify;"><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34);"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span></span></div><div><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%; background-color: white; caret-color: rgb(34, 34, 34); color: #222222; font-family: "PT serif"; font-size: 22px;"><br /></span></div>

Justice Sénat : Thambwe Mwamba et Éric Rubuye dans le viseur de la justice pour détournement

Le procureur général près la Cour de cassation, Victor Mumba, a saisi à nouveau le Sénat pour solliciter la levée des immunités des sénateur...

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Élections 2023 : le G13 craint le « glissement »

<p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; line-height: 1.6 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><b>A 876 jours du délai constitutionnel de la convocation des scrutins pour 2023, le G13 a relevé dans un communiqué rendu public ce mercredi dont <span style="box-sizing: border-box;">24H.CD</span> a obtenu une copie, que le retard accumulé dans la préparation des élections menace la tenue effective dans les délais, des élections crédibles en 2023.</b></span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; line-height: 1.6 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiq70t7rHwAHveIQY3RLXmJ22G3GKyd0O-7BJbf1oNiiuHV2IOMHOEO1BOu62ftK1Wqe_sWBKW3N-3XqcpRQwcFXs1Or-0LDvdNDtlO6zFZKL-U3xlZ6QdetIjbyHN46bftxJwiiFpltw/s730/9A643CFC-AD23-4080-9890-9B9EA605E613.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="485" data-original-width="730" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiq70t7rHwAHveIQY3RLXmJ22G3GKyd0O-7BJbf1oNiiuHV2IOMHOEO1BOu62ftK1Wqe_sWBKW3N-3XqcpRQwcFXs1Or-0LDvdNDtlO6zFZKL-U3xlZ6QdetIjbyHN46bftxJwiiFpltw/w640-h426/9A643CFC-AD23-4080-9890-9B9EA605E613.jpeg" width="640" /></a></span></div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><br /></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; line-height: 1.6 !important; margin: 0px auto 26px; word-wrap: break-word;"></p><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: large;">Le G13 note que la grande ambition de la réforme, esquissée par consensus lors des consultations menées par le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, a été sacrifiée sur l’autel du partage <script async src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!-- in f --> <ins class="adsbygoogle" style="display:block" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-slot="1050070980" data-ad-format="auto" data-full-width-responsive="true"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></div><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">des postes au Bureau de la CENI, au profit d’une réformette sans prétention de changer la gouvernance électorale.</div></span><p></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; line-height: 1.6 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Trêve des commentaires, les réformes électorales en gestation au niveau du Parlement censées mener à l’organisation d’élections de 2023, risquent au contraire de déboucher sur la confrontation. <script async src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!-- in f --> <ins class="adsbygoogle" style="display:block" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-slot="1050070980" data-ad-format="auto" data-full-width-responsive="true"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </span></p><p style="-webkit-text-size-adjust: 100%; box-sizing: border-box; line-height: 1.6 !important; margin: 0px auto 26px; text-align: justify; word-wrap: break-word;"><span style="color: #444444; font-family: arial; font-size: medium;">Pandant ce temps, l’opposition politique craint que le régime en place ne retarde volontairement ces élections, pour prolonger le mandat de Félix Tshisekedi, qui en l’état actuel de la Constitution (article 71) peut se représenter à sa propre succession.</span></p><h1 style="text-align: center;"></h1>

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