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Conseil d’État : Une cour de la honte ?

September 21, 2021

Le Conseil d’État dirigé par le professeur Félix Vunduawe te Pemako vient par son communiqué du 16 septembre dernier, rétablir madame Marie Clémentine Sole Ekungola au poste de gouverneur a.i à la Mongala, attaquant ainsi la décision administrative du vice-premier ministre et ministre de l’intérieur, Daniel Aselo, qui rétablissait Serge Mongulu, du fait que madame la demanderesse a été nommée irrégulièrement par Gilbert Kankonde comme gouverneur ad intérim de cette province. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghv5ZwNYQ3vOg-Kpn6yjDn3QOxLsXg15Sq6QUJ9tjOAUsQoS790RvOaZX3Y2Lx6tvpXR2DleNbTvIVqz2t4dmXPZtfe2Vnijdtnhnd9Gjnbzd1dl2XuxzChuEkoB6S4jBQxGRQAnZTMQ/s400/2WZY5b3d_400x400.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="400" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghv5ZwNYQ3vOg-Kpn6yjDn3QOxLsXg15Sq6QUJ9tjOAUsQoS790RvOaZX3Y2Lx6tvpXR2DleNbTvIVqz2t4dmXPZtfe2Vnijdtnhnd9Gjnbzd1dl2XuxzChuEkoB6S4jBQxGRQAnZTMQ/w640-h640/2WZY5b3d_400x400.jpg" width="640" /></a></div> En effet, cette imposture selon certaines sources proches du dossier, est soutenue par un membre influent du cabinet de Vunduawe qui paraît petit à petit perdre le contrôle de cet appareil judiciaire, manipulé par semble-t-il son directeur de cabinet qui est du même territoire et même village que la bénéficiaire de cette énième décision, à en croire ces sources. Non sans raison, car d’après elles, et ce n’est pas à force de ne pas le dénoncer, que cette dame demanderesse de l’action au Conseil d’État, a été nommée irrégulièrement gouverneur a.i par Gilbert Kankonde de triste mémoire, alors VPM de l’intérieur. Comment est-il possible que le Conseil d’État, chapeauté par Félix Vunduawe peut-il s’accrocher à une décision irrégulière pour dire semble-t-il le droit, s’étonne-t-on du côté du ministère de l’intérieur ! A qui profiterait cette forfaiture? Autre fait suspect, la célérité avec laquelle le dossier de madame Sole Ekungola est traité au Conseil d’État laisse transparaître un intérêt particulier de cette Cour. Sinon pourquoi est-il possible qu’une dame qui, au moment de sa désignation par le VPM Kankonde comme gouverneur a.i ne soit ni ministre provinciale, ni députée provinciale ? Qu’est-ce qui aurait motivé son choix à la tête de cette province alors qu’il y avait à l’époque un gouvernement dont madame Marie-Clémentine Sole n’en faisait plus partie, et n’était pas non plus députée ou un membre quelconque de cette administration province ? Voici qu’avec cette irrégularité dans sa désignation, elle parvient à déstabiliser cette province qui faut-il le dire, n’a jamais commencé à travailler depuis l’avènement de Félix Tshisekedi. Oubliée par le Maréchal Mobutu et pourtant il y est né, détruite par M’zee Kabila, ignorée par Joseph Kabila pendant 18 ans, voilà que Félix Tshisekedi entre semble-t-il dans la même danse que ses prédécesseurs. Pour preuve, hormis les édifices hérités de la colonisation qui sont d’ailleurs vétustes, en 61 ans d’indépendance, l’État congolais n’a rien construit dans cette partie du pays. La Ville de Lisala se trouve en train de disparaitre à cause des érosions, celle de Bumba de même avec l’érosion côtière et le territoire de Bongandanga enclavé dans la brousse. C’est cet espace misérable que se disputent les politiques mongalais, promettant à Félix Tshisekedi 110% de voix aux élections prochaines. La question que les ressortissants de cette province poseront à Fatshi est simple : qu’avez-vous fait chez nous en 5 ans de mandat ? Au professeur Vunduawe d’apprêter la réponse, car son Conseil d’État est devenu une Cour de la honte.

Justice Conseil d’État : Une cour de la honte ?

Le Conseil d’État dirigé par le professeur Félix Vunduawe te Pemako vient par son communiqué du 16 septembre dernier, rétablir madame Marie ...

Pétition contre Mboso : Jean-Marc Kabund s'en mêle !

September 20, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiu31D0JR26s5gYEdu1ouLMjSU45PbsyMiVLZ2MJSAjiQd2L6tokHjIO8XPIgZCUogXV4E-J5hDHVUhWOrP_-OqWe373_MN8jkd7G7AmCzxeboL_gC3Xiz8_7hsQb6mZ53iW844ZL5P-p8k/s596/wxcv.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="335" data-original-width="596" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiu31D0JR26s5gYEdu1ouLMjSU45PbsyMiVLZ2MJSAjiQd2L6tokHjIO8XPIgZCUogXV4E-J5hDHVUhWOrP_-OqWe373_MN8jkd7G7AmCzxeboL_gC3Xiz8_7hsQb6mZ53iW844ZL5P-p8k/s320/wxcv.png" width="320" /></a></div>Jean-Marc Kabund, premier vice-président de l'Assemblée nationale, s'est entretenu la semaine passée avec les députés nationaux membres de l'Union Sacrée de la Nation à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo. Ces échanges de 3 jours, se sont déroulés dans un hôtel situé dans la commune de la Gombe, à quelques mètres du boulevard du 30 juin. Les députés nationaux étaient reçus par rapport aux zones géographiques du pays. Le premier groupe à être reçu par Jean-Marc Kabund, était celui constitué des députés nationaux de l'espace Grand Kasaï. C'était le mardi dernier.

Lors de ces différentes rencontres, Jean-Marc Kabund, qui est aussi le président a.i de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), le parti présidentiel, a évoqué plusieurs sujets, notamment celui relatif à la pétition de déchéance initiée contre Christophe Mboso N'kodia, président de l'assemblée nationale, à en croire certains députés qui ont pris part à ces réunions et se sont confiés à 7SUR7.CD ce lundi 20 septembre 2021 sous anonymat. En effet, plusieurs députés se réclamant être membres de l'Union sacrée, veulent la tête de Mboso N'kodia, qu'ils accusent notamment d'étouffer le contrôle parlementaire. Selon Adrien Phoba, initiateur de la pétition, celle-ci avait déjà réuni 98 signatures des députés nationaux jusqu'au 9 septembre de l'année en cours. Une pétition sans avenir ? Face aux élus du peuple de l'Union Sacrée de la Nation, Jean-Marc Kabund a volé au secours de Christophe Mboso N'kodia.

D'après nos sources, le président a.i de l'UDPS a carrément rejeté cette pétition. "Il a estimé qu'on ne peut pas être d'une même famille politique et il y a des pétitions qui tombent sans concertation préalable. On ne peut pas chercher une chose et son contraire. Pour lui, la pétition contre Mboso n'a aucun sens, parce que si aujourd'hui Mboso tombe, c'est-à-dire que le président de la République n'a plus de majorité", a confié à 7SUR7.CD un député qui a pris part à la première rencontre. D'après d'autres députés qui étaient face à Jean-Marc Kabund, son message principal a tourné autour de l'unité qui doit régner au sein de l'Union sacrée de la Nation du président Tshisekedi. Dans ses différentes interventions, Jean-Marc Kabund s'est aussi exprimé sur la rentrée parlementaire en général, et les matières inscrites au calendrier de la session ordinaire de septembre, en particulier, au niveau de la chambre basse du Parlement. Dossier CENI : Une responsabilité des chefs religieux S'agissant particulièrement du dossier de la mise en place des animateurs de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) afin de baliser le chemin des élections de 2023, Jean-Marc Kabund a, toujours selon nos sources, précisé que la responsabilité première incombe aux confessions religieuses. "Pour lui, c'est pas la faute de l'assemblée nationale. Ça concerne l'ECC et la CENCO, et les autres confessions religieuses.

Il a insisté sur le fait que les élections auront lieu et nous nous préparons pour ça", renchérit notre source. À l'issue de ces échanges, Jean-Marc Kabund et les députés de l'Union Sacrée de la Nation ont convenu de tenir chaque mois des réunions afin de faire l'évaluation de leurs activités au sein de l'assemblée nationale. Ils sont aussi tombés d'accord sur la nécessité de créer une coordination de l'Union Sacrée de la Nation, qui aura pour rôle l'organisation permanente de la majorité parlementaire avec des groupes d'études et stratégies afin d'enrichir les propositions des lois, le contrôle parlementaire et préserver l'unité entre membres de l'Union sacrée. Jephté Kitsita

Politique Pétition contre Mboso : Jean-Marc Kabund s'en mêle !

Jean-Marc Kabund, premier vice-président de l'Assemblée nationale, s'est entretenu la semaine passée avec les députés nationaux memb...

LE FCC ANNONCE LA CANDIDATURE DE JOSEPH KABILA POUR LES ELECTIONS DE 2023 (VIDEO)

September 20, 2021

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URGENT: CLE BOA CONTRE KABILA, MAITRE JOEL KITENGE REVELE LA LOI PORTANT STATUT D'ANCIENS PRÉSIDENTS (VIDEO)

September 20, 2021

infos en vidéos Politique URGENT: CLE BOA CONTRE KABILA, MAITRE JOEL KITENGE REVELE LA LOI PORTANT STATUT D'ANCIENS PRÉSIDENTS (VIDEO)

LE VOYAGE DE FELIX TSHISEKEDI AUX ETATS-UNIS : LES DESSOUS DE CARTES MIYAKE DE L'UDPS (VIDEO)

September 20, 2021

infos en vidéos Politique LE VOYAGE DE FELIX TSHISEKEDI AUX ETATS-UNIS : LES DESSOUS DE CARTES MIYAKE DE L'UDPS (VIDEO)

La « Loi Tshiani » non retenue à la session de septembre : « un pas dans la bonne direction » (Olivier Kamitatu)

September 20, 2021

La proposition de réforme polémique de Noël Tshiani sur la nationalité congolaise, qui divise la classe politique, n’a pas été retenue pour être débattue à la session parlementaire de septembre et probablement être votée. Contre toute attente de son initiateur Noël Tshiani, candidat malheureux à la présidentielle de 2018, l’Assemblée nationale a adopté jeudi 16 septembre le projet de calendrier des travaux de la session ordinaire de septembre 2021 et de la répartition des matières sans faire allusion à cette proposition de loi portée par le député Nsingi Pululu.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4LsYzKSnxmIbjy3CbhpdM7eAUGH3HzFLYxla4evrmMkgolYOpjA3aZ-emdd5kesy0HcSb54FL0CoXDZNk4PfnliXfBVjDszy39Qeua1K783zYfLXUX_0wxJnocgfOG5XqTz2UQSOCDw/s1024/42716885_101.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1024" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4LsYzKSnxmIbjy3CbhpdM7eAUGH3HzFLYxla4evrmMkgolYOpjA3aZ-emdd5kesy0HcSb54FL0CoXDZNk4PfnliXfBVjDszy39Qeua1K783zYfLXUX_0wxJnocgfOG5XqTz2UQSOCDw/w640-h360/42716885_101.jpg" width="640" /></a></div> Le camp de Moïse Katumbi, qui y est particulièrement hostile, salue l’écartement de cette initiative parlementaire. Olivier Kamitatu, porte-parole du Président d’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi, parle « d’un pas dans la bonne direction ». Alors que Noël Tshiani confie être « serein » et espère que sa proposition qui « est encore au bureau d’études de la chambre basse soit débattue puis devenir une loi » en RDC, Olivier Kamitatu reste formel. La « Loi Tshiani doit être purement et simplement bannie ». « La mise au frigo de cette proposition de loi qui viole la constitution est un pas dans la bonne direction. Tout ce qui concourt à stigmatiser et établir une discrimination entre les Congolais, à remettre en question nos coutumes et nos traditions, à mettre en péril la cohésion nationale et à rendre plus fragile encore la stabilité du pays doit être purement et simplement banni », mentionne Olivier Kamitatu.
 
 
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 Ce proche de Moïse Katumbi prévient que « nul ne peut arracher au peuple le droit de choisir librement les dirigeants de son choix. Tant que nous n’aurons pas la certitude que les prochaines élections seront libres, transparentes, crédibles et inclusives, nous ne baisserons pas la garde. Il y va de l’avenir de notre pays.« Proposition non prioritaire »Le président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso N’kodia a affirmé que la proposition de loi de Noël Tshiani, sur le verrouillage de certaines fonctions de souveraineté, n’est pas une priorité. Il l’a déclaré ce samedi 18 septembre 2021 à la presse à son arrivée à Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga. « Ce n’est pas une priorité. Cette loi [Tshiani ndlr) je l’ai dit et je le répète, ce ne pas une priorité », a déclaré Christophe Mboso N’kodia pendant que Noël Tshiani affirme que sa proposition suit son parcours administratif normal : « faux, ma proposition n’est pas écartée. Elle suit le processus et finira par être débattue à l’Assemblée nationale », rélativise-t-il. Il sied de rappeler que les députés nationaux de la famille politique de Moïse Katumbi ont décidé de prendre part à toutes les plénières durant cette session, de peur que la Loi Tshiani, portée par le député Nsingi Pululu, soit inscrite à leur insu. Des verrous constitutionnelsChristoph Mboso avait mandaté plusieurs députés-juristes afin de mieux comprendre la faisabilité de la proposition de loi. Parmi eux figuraient, entre autres, Jacques Djoli, André Mbata et Gamanda Matadi Nenga. Ces derniers, à en croire Jeune Afrique, ont reçu Noël Tshiani le 11 mai. « On lui a dit que même si on peut avoir la liberté de penser sur tout, il existe dans la Constitution des verrous juridiques », avait déclaré l’un des participants. Ces mêmes juristes ont fait leur rapport à Christophe Mboso huit jours plus tard, dans une note que Jeune Afrique a pu consulter et qui résume les obstacles inhérents selon eux à ce projet de réforme. « Nous l’avons invité [Noël Tshiani] à nous faire parvenir un argumentaire écrit de sa proposition en vue d’un échange plus approfondi », précise la note.
 
 
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 Dans la synthèse de ce « groupe de contact » dont l’objet est « Réflexions du professeur Tshiani », les auteurs rappellent notamment que « la question de nationalité est réglée par l’article 10 de la Constitution et fait partie des droits et libertés fondamentaux qu’aucune révision constitutionnelle ne peut toucher (article 220) ». Ils soulignent aussi que « les conditions d’accès à la fonction présidentielle sont fixées par l’article 72 de la Constitution, qui prévoit premièrement l’obligation “d’être de nationalité congolaise d’origine” ». En conclusion, les juristes précisent que « le professeur Tshiani devra, s’il veut atteindre son objectif » se plier aux « mécanismes et à la procédure de révision de notre Constitution ».

A LA UNE Politique La « Loi Tshiani » non retenue à la session de septembre : « un pas dans la bonne direction » (Olivier Kamitatu)

La proposition de réforme polémique de Noël Tshiani sur la nationalité congolaise, qui divise la classe politique, n’a pas été retenue pour...

« Martin Fayulu a déçu, il ne pouvait pas descendre ci-bas » (Eliezer)

September 20, 2021

Indignation, désolation, humiliation, c’est en tout cas l’essentiel des réactions au sein de la classe politique quelques jours après la marche de Lamuka du 15 septembre, contre la politisation de centrale électorale. La marche interdite de Lamuka a été dispersée par la police.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9kaORg8JC1F8nHnbGN3u1gmijWepw06XHhYGx1iYGAAdUEeaDdEJtN0sro9cavJm-Xk2blYIRIDaqIJJ6b5C_rk-NAHhTZ4aDXS2ZYnDY4SqTfiaOsQGwMbnlNDBmtoXsWmR3rOhMbw/s1280/maxresdefault+%25289%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1280" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9kaORg8JC1F8nHnbGN3u1gmijWepw06XHhYGx1iYGAAdUEeaDdEJtN0sro9cavJm-Xk2blYIRIDaqIJJ6b5C_rk-NAHhTZ4aDXS2ZYnDY4SqTfiaOsQGwMbnlNDBmtoXsWmR3rOhMbw/w640-h360/maxresdefault+%25289%2529.jpg" width="640" /></a></div> Plusieurs réactions ont été enregistrées contre Martin Fayulu, l’un des leaders de Lamuka. Au cours de la marche, Martin Fayulu avait tenu des propos déplacés sinon désobligeants envers le Chef de l’État, Félix Tshisekedi mais aussi envers les forces de l’ordre.
 
 
 
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 Celui qui se réclame le président élu avait taxé le Chef de l’État, « Félix Tshisekedi d’incapable et un coureur des jupons ». À un policier, Martin Fayulu l’a qualifié de « Bolole », traduit en français à « imbécile ». Des propos indignes directement condamné par le député national, Eliezer Ntambwe. Ce membre de l’Union Sacrée de la Nation, famille politique du Président, Tshisekedi se dit déçu de ce comportement. « Je ne pouvait jamais imaginer le président Fayulu descendre aussi ci-bas. Il pouvait tout dire mais pas insulté le Chef de l’État. La fonction président de la République est sacrée », a-t-il indiqué. Le député Ensemble de Moïse Katumbi regrette également les propos déplacés envers le policier. « Si jamais Fayulu devenait président, je ne pense qu’il se fera directement sécurisé par les militants de son parti Ecidé ou Lamuka. Ça sera les même policiers qu’insulte aujourd’hui », a-t-il fustigé. Des poursuites judiciaires contre Fayulu ? À la question de savoir si l’Union sacrée peut entamer des actions en justice contre Martin Fayulu, le député national, Eliezer Ntambwe répond. « Non. Nous ne devons pas chercher à faire fabriquer les gens. C’est un peu comme Mobutu faisait avec Tshisekedi. Mobutu pensait qu’en faisant emprisonné Tshisekedi le père qu’il parviendrait par l’affaiblir. Mais par contre, il le rendait encore plus célèbre. Je ne pense pas que l’État peut s’engager en justice contre Martin Fayulu. Seul le peuple va le juger, surtout qu’il se dit le soldat du peuple », a-t-il conclu.De son côté, le secrétaire général de l’Ecidé, parti politique de Martin Fayulu dénonce une récupération politique. D’après Devos Kitoko, les propos de Martin Fayulu ont été sortis de leur contextes. « Il s’agit simplement d’une récupération politique par les détracteurs de Martin Fayulu. Faisons l’effort de replacer les propos de Martin Fayulu dans son contexte. Martin Fayulu arrive sur le lieu de la marche. Sur place, il est accueilli par une pluie de policiers très violents. Le commandant du peuple observe, il regarde comment des policiers s’adonnent à dépouiller les veilles mamans, les jeunes garçons. Face à un tel comportement, Martin Fayulu réagit et interdit ces policiers s’agir ainsi mais sans succès. À sa place, quelle serait votre réaction ? C’est le comportement de policiers que Martin Fayulu a fustigé », a réagi Devos Kitoko, le secrétaire Général de l’Ecidé aux critiques contre Martin Fayulu.
 
 
 
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 Mais la question ne s’arrête pas là. Dans la foulée, une organisation des femmes a dans un communiqué annonce le dépôt d’une plainte contre Martin Fayulu pour injure public. Question, Martin Fayulu est-il réellement le commandant du peuple ou l’homme aux insultes faciles ? Une autre plainte a été déposée le jeudi 16 septembre par la société civile des dépendants des policiers et militaires (SOCIDEPOM).Pauliane Budjamabe, coordonnatrice de ladite structure, demande que justice soit faite aux policiers victimes de ces insultes. « En effet, nous venons porter plainte contre Monsieur Martin Fayulu Madidi pour avoir injurié nos policiers ce mercredi 15 septembre pour des raisons qu’il aura à vous expliquer en les traitant de Bolole ou Bourriques, dans une vidéo que nous avons tous suivis dans les réseaux sociaux », indique la correspondance. Cette plainte tire également son soubassement sur la loi N°13/013 du 1er Juin 2013 portant statut du personnel de carrière de la police dans son titre 3 relatif aux droits, devoirs et incompatibilités dans son article 43. Le 15 septembre, Lamuka avait tenté de marcher pour dire « non à la politisation de la CENI, non au glissement, oui aux réformes institutionnelles » .

Politique « Martin Fayulu a déçu, il ne pouvait pas descendre ci-bas » (Eliezer)

Indignation, désolation, humiliation, c’est en tout cas l’essentiel des réactions au sein de la classe politique quelques jours après la mar...

Les députés nationaux de l’union sacrée décident de tenir chaque mois des réunions d’évaluation de leurs activités au sein de l’Assemblée nationale

September 20, 2021

Durant trois jours, les députés nationaux de l’Union sacrée de la nation (USN) répartis par regroupement des caucus ont évalué autour de l’honorable Jean Marc Kabund-A-Kabund, Coordinateur de l’union sacrée de nation parlementaire, leurs activités depuis la naissance de cette plateforme au sein de l’Assemblée nationale. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEio0x0Btxre4RFp1AX-LG-ncyc8fSHkOv6M1JMGFOBfPEvM0H5gUUU84K08iP2OrTDY0AlUcSF6sbt5hNJ5-a1DSUamIzk1hTYbCl8Pjng3RFfWSnlOLjl-KXJs0m1LBNlj8D87GPBgJw/s720/77FE2E86-A9E1-483B-8BD1-E9D4B858314C.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="540" data-original-width="720" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEio0x0Btxre4RFp1AX-LG-ncyc8fSHkOv6M1JMGFOBfPEvM0H5gUUU84K08iP2OrTDY0AlUcSF6sbt5hNJ5-a1DSUamIzk1hTYbCl8Pjng3RFfWSnlOLjl-KXJs0m1LBNlj8D87GPBgJw/w640-h480/77FE2E86-A9E1-483B-8BD1-E9D4B858314C.jpeg" width="640" /></a></div> Ces échanges démocratiques se sont tenus par modules en tenant compte des espaces géographiques réunissant les élus membres des caucus représentant les 26 provinces de la République Démocratique du Congo.
 
 
 
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  Ces rencontres ont eu comme objectifs : l’évaluation de l’Union sacrée de la nation parlementaire ; les critiques objectives en vue d’améliorer les conditions de vie des populations et de travail des députés tant à l’Assemblée nationale que dans leurs circonscriptions électorales respectives, afin de permettre au Président de la République de réussir sa mission et répondre aux aspirations du peuple. A cet effet, ces députés nationaux ont convenu de tenir chaque mois des réunions des élus de l’union sacrée afin de faire l’évaluation de leurs activités au sein de l’Assemblée nationale ; de faire adopter au sein de l’Assemblée nationale l’obligation de la tenue des contrôles parlementaires chaque semaine afin de mettre les membres des gouvernements et les gestionnaires des entreprises et établissements publiques dans l’obligation de rendre compte de leurs gestions aux représentants du peuple ; de gérer à l’avenir toutes les questions concernant les membres de l’union sacrée à l’interne afin d’éviter des frustrations entre partenaires ;de créer une coordination de la majorité parlementaire de l’USN qui aura pour rôle, l’organisation permanente de la majorité parlementaire avec des groupes d’études et stratégies pour enrichir les propositions des lois, les contrôles parlementaires, la préservation de l’unité entre les différents membres de l’Union Sacrée de la Nation représentés à l’Assemblée nationale et  anticiper sur toutes formes des plans tendant à détruire l’union sacrée de la nation.

Les députés nationaux de l’union sacrée décident de tenir chaque mois des réunions d’évaluation de leurs activités au sein de l’Assemblée nationale

Politique Les députés nationaux de l’union sacrée décident de tenir chaque mois des réunions d’évaluation de leurs activités au sein de l’Assemblée nationale

Durant trois jours, les députés nationaux de l’Union sacrée de la nation (USN) répartis par regroupement des caucus ont évalué autour de l’...

Christophe Mboso présente le rapport du fonctionnement de l’assemblée nationale à Félix Tshisekedi

September 20, 2021

En prélude de la présentation du rapport de fonctionnement de l’assemblée nationale, le Président de la chambre des élus du peuple Christophe Mboso, a échangé le samedi 18 septembre avec le Chef de l’État Félix Tshisekedi à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, en présence du premier ministre Sama Lukonde. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjt_fNAg7Cak6zMoonhCnoQCtZui_sycmG2eqL_uNPgAE4jnUTRt3RxGwR6cBIA2XpbVkM_OFEjuo3GpS1xpBj3QHxdktXpXIN15yS55J_v8Yt8sDXngm5ORaJn2DReb6bZOvLLzkzo1A/s1044/Mboso-et-Tshisekedi.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="696" data-original-width="1044" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjt_fNAg7Cak6zMoonhCnoQCtZui_sycmG2eqL_uNPgAE4jnUTRt3RxGwR6cBIA2XpbVkM_OFEjuo3GpS1xpBj3QHxdktXpXIN15yS55J_v8Yt8sDXngm5ORaJn2DReb6bZOvLLzkzo1A/w640-h426/Mboso-et-Tshisekedi.jpg" width="640" /></a></div> « Je suis venu faire rapport au Président de la République sur le fonctionnement de l’institution Assemblée nationale. Nous avons ouvert la session ordinaire et j’ai soumis au Chef de l’État un certain nombre de préoccupations qui concernent l’Assemblée nationale », renseigne le président de la chambre basse devant les chevaliers de la plume.
 
 
 
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 Christophe Mboso émet par ailleurs le vœu de l’assemblée nationale d’accompagner le Président de la république, en sa qualité de président en exercice de l’Union Africaine, dans l’exécution de son programme. Cette rencontre entre les trois personnalités du pays est intervenue 3 jours après l’ouverture de la session parlementaire de septembre. Les députés nationaux ont adopté, au cours de la plénière du jeudi 16 septembre dernier, le calendrier de la session parlementaire de septembre. Le calendrier contient au total 64 matières, dont 22 nouvelles, 28 arriérées, 9 non législatives et 5 textes des lois sous examen au Sénat en seconde lecture. Le calendrier reste ouvert. L’ordre de présentation des matières est indicatif de la programmation en plénière pour débat, indique le bureau de la chambre basse.

Politique Christophe Mboso présente le rapport du fonctionnement de l’assemblée nationale à Félix Tshisekedi

En prélude de la présentation du rapport de fonctionnement de l’assemblée nationale, le Président de la chambre des élus du peuple Christoph...

Lisanga « découvre » sur les réseaux sociaux une invitation lui adressée par le Parquet général près la Cour d’Appel de Kinshasa/Matete

September 20, 2021

Lisanga Bonganga se dit surpris de découvrir, le dimanche 19 septembre, sur les réseaux sociaux, d’une invitation du Parquet général près la Cour d’Appel de Kinshasa/Matete lui adressée. Ce document portant la signature de l’Officier du Ministère public Etienne Ndesa, avocat général est fait à Kinshasa depuis le 23 août 2021. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCylTm4Ag0DXVEoEEcboIMNMioGN1Ab_0MEvbRYyGugfIwrGqX5gNX3j3xCt7YrGMH-4NPXB9bHtrI375aQa1emn-jlP-1NA8aaETpGamxl-IhPKvMmv2Z9ZXlDinexvuHl11aVl9I3g/s640/lisanga_bonganga_jean_pierre_20_02_jpg_640_350_1+%25288%2529.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCylTm4Ag0DXVEoEEcboIMNMioGN1Ab_0MEvbRYyGugfIwrGqX5gNX3j3xCt7YrGMH-4NPXB9bHtrI375aQa1emn-jlP-1NA8aaETpGamxl-IhPKvMmv2Z9ZXlDinexvuHl11aVl9I3g/w640-h350/lisanga_bonganga_jean_pierre_20_02_jpg_640_350_1+%25288%2529.jpeg" width="640" /></a></div> « J’ai l’honneur de vous inviter à vous présenter dans mon cabinet local 1, sise 4e Rue, quarter résidentiel, dans la commune de Limete, au Parquet général près la Cour d’Appel de Kinshasa Matete, le lundi 20 septembre 2021 à 11 heures pour une communication », peut-on lire dans cette invitation « découverte » sur les réseaux sociaux.
 
 
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 Contacté par actu7.cd, l’intéressé ne reconnaît avoir été formellement saisi de ladite invitation délivrée à son endroit par le Parquet général près la Cour d’Appel de Kinshasa/Matete. Néanmoins, Jean-Pierre Lisanga Bonganga reconnaît que c’est une vieille pratique de la justice congolaise « qui n’a pas l’habitude de saisir formellement les intéressés quand il s’agit d’une invitation ou d’une convocation ». Que reproche-t-on à ce cadre de Lamuka ? Lisanga Bonganga dit ne pas reconnaître un acte posé susceptible d’énerver la justice de son pays. Mais toujours est-il qu’il pourrait s’agir peut-être de ses dernières déclarations liées au sujet d’actualité politique ou de la dernière marche étouffée de l’opposition.

Politique Lisanga « découvre » sur les réseaux sociaux une invitation lui adressée par le Parquet général près la Cour d’Appel de Kinshasa/Matete

Lisanga Bonganga se dit surpris de découvrir, le dimanche 19 septembre, sur les réseaux sociaux, d’une invitation du Parquet général près la...

FCC-Lamuka: les ennemis d'hier se rapprochent-ils ?

September 20, 2021

En République démocratique du Congo (RDC), après la répression de la première mobilisation de l’opposition pour réclamer la « dépolitisation » de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) et dénoncer la préparation de la fraude électorale, l’heure est au bilan. Vendredi 17 septembre, à Kinshasa, première prise de parole du tandem, Martin Fayulu et Adolphe Muzito, à la tête de la coalition Lamuka. Ils ont affirmé qu’il y a encore des militants en détention même si la police assure que tous les manifestants interpellés ont été relâchés le même jour. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZKnnvaaqTf5WdE7EN_c4sWwepyBSqGgYmDnYHPJUQRYywNVNgiu0bJAl6U_PBRx8p5-CwW4430ua8Wb0OyHL3fz11LtaS7x7WBflfcranMdQD1QYib7KXDRJlj4nWyqblfMLIZPq_Hw/s640/fcc-lamuka-manifestation_png_640_350_1.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZKnnvaaqTf5WdE7EN_c4sWwepyBSqGgYmDnYHPJUQRYywNVNgiu0bJAl6U_PBRx8p5-CwW4430ua8Wb0OyHL3fz11LtaS7x7WBflfcranMdQD1QYib7KXDRJlj4nWyqblfMLIZPq_Hw/w640-h350/fcc-lamuka-manifestation_png_640_350_1.png" width="640" /></a></div> Au total, selon Lamuka, les manifestations ont eu lieu dans 42 provinces du pays, mais seules 16 d’entre elles n’enregistrent aucun incident majeur. À Kinshasa, deux membres sont introuvables et quatre sont détenus dans le camp de la police, d’après le communiqué. À Mbuji Mayi au Kasaï-Oriental, toujours selon Lamuka, quatre autres manifestants sont encore en prison. D’autres cas de répression ont été rapportés dans la ville de Mbandaka.  Brimades, extorsions, coups et blessures
 
 
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 Un animateur du parti politique Nouvel élan d’Adolphe Muzito aurait été poignardé et le siège du parti vandalisé. Brimades, extorsions, coups et blessures ou encore tirs de gaz lacrymogènes. Le tandem Martin Fayulu et Adolphe Muzito exige des sanctions. Pour le porte-parole Jean–Claude Mwalimu,  « ce régime de fait se distingue par un despotisme dégradant et honteux qui remet le pays au point de départ à travers les violations massives des droits humains, des libertés publiques et le muselage de la presse, ces violences délibérées ne doivent en aucun cas rester impunies et le Présidium exige qu'une enquête neutre soit diligentée pour déterminer les responsabilités à tous les niveaux de sorte que les auteurs, co-auteurs et les commanditaires de cette barbarie répondent de leurs actes devant les tribunaux ». Les ennemis d'hier se rapprochent ?
 
 
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 Une nouvelle marche est annoncée pour le 29 septembre. La première marche semblait déjà rapprocher les ennemis d’hier. La Nouvelle génération pour l'émergence du Congo (Nogec), un regroupement de la coalition pro-Kabila, le FCC, a lui aussi appelé à manifester de nouveau. Pour Constant Mutamba, son président, il est plus qu’urgent de lancer un front commun : « Nous avons de notre côté, appelé à manifester le 6 octobre prochain,  nous allons mener des démarches pour parvenir à l'harmonisation de la date. Il y a nécessité d'harmoniser les vues autour des actions que l'opposition en général devrait mener contre le pouvoir en place, Nogec lance un vibrant appel pour la mise en place urgente du front de l’opposition congolaise pour des élections crédibles et transparentes en 2023. Cette coalition devrait en principe réunir, nous FCC fidèle au president honoraire Joseph Kabila, Lamuka de Fayulu et Muzito ainsi que toutes les autres forces sociales acquises au changement ».  Une option que Lamuka n'exclut pas pour des enjeux autour de la Céni.

Politique FCC-Lamuka: les ennemis d'hier se rapprochent-ils ?

En République démocratique du Congo (RDC), après la répression de la première mobilisation de l’opposition pour réclamer la « dépolitisation...

ONU : Tshisekedi attendu pour la troisième fois à la 76ème session ordinaire

September 20, 2021

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est attendu ce lundi à New York (USA), où il prendra part à la 76-ème session ordinaire de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations-Unies.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXjGLXRMJXATVxyOFyQiC7uksS2fsYNjqpLzRdExS_6AMWb_Gco45TIVLvQTH8X1ecz4hjEVCSAxuqCrRqbd0OdxwzVbf6Rfx4X3-aq4cUgOU-SLejt2c1ETJAQWDQHoK_CQ2uNgwkyw/s618/63%25C3%25A8me-Conseil-d%25E2%2580%2599administration-de-l%25E2%2580%2599UCC.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="407" data-original-width="618" height="422" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXjGLXRMJXATVxyOFyQiC7uksS2fsYNjqpLzRdExS_6AMWb_Gco45TIVLvQTH8X1ecz4hjEVCSAxuqCrRqbd0OdxwzVbf6Rfx4X3-aq4cUgOU-SLejt2c1ETJAQWDQHoK_CQ2uNgwkyw/w640-h422/63%25C3%25A8me-Conseil-d%25E2%2580%2599administration-de-l%25E2%2580%2599UCC.jpg" width="640" /></a></div> A l’ONU, le débat général de cette session se basera sur le thème : « Miser sur l’espoir pour renforcer la résilience afin de se relever de la Covid-19, reconstruire durablement, répondre aux besoins de la planète, respecter les droits des personnes et revitaliser l’organisation des Nations Unies. » Ce sera la troisième fois que Félix Tshisekedi prendra part à ces travaux.
 
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 Plusieurs réunions de haut niveau se dérouleront pendant la semaine du débat général. Le successeur de Joseph Kabila mettra sans nul doute un accent particulier sur l’insécurité à l’Est de la République Démocratique du Congo, plus précisément au Nord-Kivu et en Ituri, deux provinces sous état de siège depuis le moi de mais dernier.

A LA UNE ONU : Tshisekedi attendu pour la troisième fois à la 76ème session ordinaire

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est attendu ce lundi à New York (USA), où il prendra part à la 76-ème ses...

Urgent : un proche de Fayulu dans les tourments de la justice

September 20, 2021

Une invitation datée du 23 Août dernier de l’avocat général du parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/Matete à l’endroit de Jean Pierre Lisanga Bonganga circule depuis dimanche soir sur les réseaux sociaux pour se présenter à cet office ce lundi 20 septembre 2021. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj6ZDglLDI8uWvr0EtPGSgSutV1dC5JQaDtFmUBJr2fH4nL6GkLGpsQcILfJZ7xhxjx4koy4HF16RHlbM8vGa7zlfIZpgMyD4vaH3mlExHEUxKiBw819Q6Z_jEZiYBRtrIlBz2qDehPA/s592/20200402-ass-seriepdt-fayulu-592x296-1588243943+%25283%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="296" data-original-width="592" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj6ZDglLDI8uWvr0EtPGSgSutV1dC5JQaDtFmUBJr2fH4nL6GkLGpsQcILfJZ7xhxjx4koy4HF16RHlbM8vGa7zlfIZpgMyD4vaH3mlExHEUxKiBw819Q6Z_jEZiYBRtrIlBz2qDehPA/w640-h320/20200402-ass-seriepdt-fayulu-592x296-1588243943+%25283%2529.jpg" width="640" /></a></div> Dans cette note, le motif de cette invitation du Coordonnateur National de la Dynamique pour une Sortie de Crise (Dysoc) et membre de la coalition Lamuka aile Martin Fayulu n’a pas été réveillé par l’officier du Ministère public.
 
 
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 « J’ai l’honneur de vous inviter à vous présenter à mon Cabinet, local 1, sis 4me Rue, Quartier Résidentiel dans la Commune de Limete, au Parquet Général près la Cour d’Appel de Kinshasa/Matete, le lundi 20 Septembre 2021 à 11hoo’ pour une communication », écrit Étienne Ndesanzim Asom. Depuis un temps, ce Ministre honoraire, s’en prend au pouvoir de Félix Tshisekedi dans toutes ses déclarations et sorties médiatiques, dont la dernière est relative à la répression par la police le 15 septembre dernier de la marche de l’opposition Lamuka. Il faut signaler aussi qu’une plainte a été déposée contre Martin Fayulu par une organisation de la société civile pour avoir proféré des injures contre les policiers lors de la manifestation de la coalition Lamuka.

Justice Politique Urgent : un proche de Fayulu dans les tourments de la justice

Une invitation datée du 23 Août dernier de l’avocat général du parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/Matete à l’endroit de Jean P...

Invité au Parquet, Lisanga Bonganga se dit être malade et refuse de se présenter personnellement

September 20, 2021

L’avocat général du parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/Matete invite Jean Pierre Lisanga Bonganga à se présenter devant la justice ce lundi.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKSQIZNOvWe3ehnLFQyRSppkG8-CVTmbONKeeK3WejtDgJ1J9bU1SJql_iJ9XcqJ_uCZtQx_99z4UBD6BwVImNL_89h9Y3SVKrM6ag1NljC4wBpxHVZcScAee9Z5LrVU9QynsajwAUGA/s640/IMG-20200905-WA0264.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKSQIZNOvWe3ehnLFQyRSppkG8-CVTmbONKeeK3WejtDgJ1J9bU1SJql_iJ9XcqJ_uCZtQx_99z4UBD6BwVImNL_89h9Y3SVKrM6ag1NljC4wBpxHVZcScAee9Z5LrVU9QynsajwAUGA/w640-h360/IMG-20200905-WA0264.jpg" width="640" /></a></div> Le Coordonnateur National de la Dynamique pour une Sortie de Crise (Dysoc) qui affirme n’avoir pas reçu l’invitation de la justice se dit être malade, et de ce fait il refuse catégoriquement de se présenter personnellement. Ce proche de l’opposant Martin Fayulu promet tout de même de se faire représenter par ses avocats.
 
 
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 « Avec tout ce qu’il y’a lieu à la marche, je suis tombé malade. Mes avocats vont me présenter. D’ailleurs je n’ai même pas reçu cette invitation qui circule sur les réseaux, mais en tant que républicain, je vais me faire représenter par mes avocats », a t-il déclaré. Notez que Lisanga Bonganga s’oppose frontalement au régime du Chef de l’État, Félix Tshisekedi. Ce proche de Martin Fayulu qui estime que Félix Tshisekedi n’avait pas remporté l’élection présidentielle de 2018 se montre de plus en plus critique vis-à-vis de son régime.

Justice Invité au Parquet, Lisanga Bonganga se dit être malade et refuse de se présenter personnellement

L’avocat général du parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/Matete invite Jean Pierre Lisanga Bonganga à se présenter devant la jus...

RDC : La Cour de compte étouffée au profit de l’IGF?

September 20, 2021

<h1 style="text-align: left;">Les enfants d’une même famille se battent pour la cause défendue pourtant par leur père.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1x7BfvH8ZIMwuH5SwlSYUi1plCxjyISO4VT2h0BxdanHe2v0UZIyfkz8qprhsOxob8LArbgwdrfc3ZBDh5kDFEip79QqW7PUeqHAyADG63rPD8CDEq-UYWV8o2NMd5iw6XAlnyP_hoQ/s835/Screenshot_20210619-061411.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="835" data-original-width="720" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1x7BfvH8ZIMwuH5SwlSYUi1plCxjyISO4VT2h0BxdanHe2v0UZIyfkz8qprhsOxob8LArbgwdrfc3ZBDh5kDFEip79QqW7PUeqHAyADG63rPD8CDEq-UYWV8o2NMd5iw6XAlnyP_hoQ/w552-h640/Screenshot_20210619-061411.jpg" width="552" /></a></div> Entre l’Inspection Générale des Finances et la Cour de compte, quelle est l’institution Constitutionnelle habilitée à effectuer le contrôle des finances ? C’est en tout cas la question que Maître Villy Wenga se pose et répond. Pour cet avocat de formation, la seule institution Constitutionnelle habillée à effectuer le contrôle des finances publiques c’est la Cour de compte.
 
 
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 « N’ettouffons pas la Cour de compte, elle est la seule institution constitutionnelle habilitée à effectuer le contrôle des finances publiques, des biens publics et des entreprises publiques. », affirme t-il. Ce débat intervient au moment où le président Tshisekedi fait de l’inspection Générale des Finances un des services importants dans sa vision de lutte contre l’impunité en RDC. Il ne cesse de venter le travail qu’abat cette institution attachée à la Présidence de la République.</h1>

Société RDC : La Cour de compte étouffée au profit de l’IGF?

Les enfants d’une même famille se battent pour la cause défendue pourtant par leur père. Entre l’Inspection Générale des Finances et la Cour...

Péril Chinois en RDC : Révision du contrat minier de 6 milliards de dollars.FELIX TSHISEKEDI FRAPPE ( VIDEO )

September 19, 2021

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YOKA SON, MWANA SUKA DANS L'AGRICULTURE POUR MATÉRIALISER LA VISION DU CHEF DE L'ÉTAT FELIX TSHISEKEDI . ( VIDEO )

September 19, 2021

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PROFONATION DE LA TOMBE KYUNGU : 12 PERSONNES AUX ARRETS . TETE A TETE , MBOSO ET FATSHI POUR VALIDER DENIS KADIMA . PATIENT MWANA AKOLI DU 19 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

September 19, 2021

PROFONATION DE LA TOMBE KYUNGU : 12 PERSONNES AUX ARRETS . TETE A TETE , MBOSO ET FATSHI POUR VALIDER DENIS KADIMA . PATIENT MWANA AKOLI DU 19 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

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AFFAIRE 2 MILLIONS $ : MARTIN FAYULU EST RECLAME PAR KINGAKATI , ECHEC DE LA MISSION CONTRE FATSHI . REPONSE A FRANCK DIONGO . LOI NOEL TSHIAMI MISE EN ECARTE PAR MBOSO ? RECORD HISTORIQUE : 3,3 MILLIARDS DE DOLLARS AMÉRICAINS DE RÉSERVES DE CHANGE ! ABBE SHOLE DE L ' UDPS DU 19 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

September 19, 2021

AFFAIRE 2 MILLIONS $ : MARTIN FAYULU EST RECLAME PAR KINGAKATI , ECHEC DE LA MISSION CONTRE FATSHI . REPONSE A FRANCK DIONGO . LOI NOEL TSHIAMI MISE EN ECARTE PAR MBOSO ? RECORD HISTORIQUE : 3,3 MILLIARDS DE DOLLARS AMÉRICAINS DE RÉSERVES DE CHANGE ! ABBE SHOLE DE L ' UDPS DU 19 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

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Franck Diongo critique le régime FELIX TSHISEKEDI DEVANT SES MILITANTS : "NOUS ALLONS BARRER LA ROUTE A TOUT PROJET QUI VA REMETTRE EN CAUSE LA DEMOCRATIE , PIETINER LES ELECTIONS . ( VIDEO )

September 19, 2021

Franck Diongo critique le régime FELIX TSHISEKEDI DEVANT SES MILITANTS : "NOUS ALLONS BARRER LA ROUTE A TOUT PROJET QUI VA REMETTRE EN CAUSE LA DEMOCRATIE , PIETINER LES ELECTIONS . ( VIDEO )

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UNE PLAINTE DEPOSEE CONTRE L'OPPOSANT MARTIN FAYULU POUR INJURES PUBLIQUES ET 161 BUS TRANSCO SABOTES ! BENJAMIN MWANA SUKA DU 18 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

September 18, 2021

UNE PLAINTE DEPOSEE CONTRE L'OPPOSANT MARTIN FAYULU POUR INJURES PUBLIQUES ET 161 BUS TRANSCO SABOTES ! BENJAMIN MWANA SUKA DU 18 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

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DERAPAGE DE MARTIN FAYULU : L ' ASBL DES FEMMES POLICIERES PORTE PLAINTE CONTRE MARTIN FAYULU . MARTIN FAYULU A VOULU CREE UNE CRISE LE 15 SEPTEMBRE SENAT - ASSEMBLEE NATIONALE . ABBE SHOLE TRESOR LUMBU DE L ' UDPS DU 18 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

September 18, 2021

DERAPAGE DE MARTIN FAYULU : L ' ASBL DES FEMMES POLICIERES PORTE PLAINTE CONTRE MARTIN FAYULU . MARTIN FAYULU A VOULU CREE UNE CRISE LE 15 SEPTEMBRE SENAT - ASSEMBLEE NATIONALE . ABBE SHOLE TRESOR LUMBU DE L ' UDPS DU 18 SEPTEMBRE 2021 . ( VIDEO )

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Pour destruction de ses avions sous Joseph Kabila, la RVA et la RDC devront payer près de 22 millions USD à JP Bemba

September 18, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhu8jt8sAdU2QKam6rV-x6qfQ1yH1IH6oodTmzUeZ09OT3UR8ZAN8C6MpFFjQF7IP1j_AzwyaCvRRhYyuViyAqHJ7Qoq_jVMb_m2zKjhkqRHIUVfqbuCQsR9t5cwMd_IP_1TueuLkS6rUa3/s677/esqszaea.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="451" data-original-width="677" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhu8jt8sAdU2QKam6rV-x6qfQ1yH1IH6oodTmzUeZ09OT3UR8ZAN8C6MpFFjQF7IP1j_AzwyaCvRRhYyuViyAqHJ7Qoq_jVMb_m2zKjhkqRHIUVfqbuCQsR9t5cwMd_IP_1TueuLkS6rUa3/s320/esqszaea.png" width="320" /></a></div>Selon le jugement rendu le 6 août dernier par le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe, la RDC solidairement avec la RVA (Régie des voies aériennes), ont été condamnées au premier degré à verser près de 22 millions USD à Jean-Pierre Bemba Gombo, pour destruction de ses aéronefs séquestrés par ladite société sur ordre de la République sous la présidence de Joseph Kabila.

Ce paiement se justifie d’une part, par le manque à gagner dû à l’immobilisation injustifiée de ces engins et d'autre part en guise de dommages et intérêts dus au manque d’exploitation subi à cause de la loi des plus forts en juin 2007. En effet, signifié à la République ainsi qu’à la RVA le 2 septembre dernier, alors que le jugement a été rendu depuis le 6 août 2021, la partie demanderesse a sollicité du Tribunal, 17.239.000 USD, 125.400.000 USD et 15.000.000 USD représentant respectivement la valeur vénale de la flotte détruite par son immobilité, le manque à gagner dû à son immobilisation et des dommages et intérêts.

C’est sous RC 119.928 que le huissier a signifié aux intéressés le 2 septembre dernier, le contenu de cet exploit. Eu égard à ce qui précède, l'Etat congolais qui est pourtant en quête des moyens pour la réalisation de son programme d'action, devra débourser une bagatelle de 22 millions USD, alors que Joseph Kabila s'était fait entouré des grands juristes qui savent très bien qu’une société dispose d'une personnalité juridique distincte de son propriétaire. D'où, on ne pouvait pas mélanger la brouille entre Joseph Kabila et Jean-Pierre Bemba avec les affaires d'une société, bien qu'appartenant à un ennemi politique, soit-il. José Wakadila congo-press.com (MCP)

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Selon le jugement rendu le 6 août dernier par le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe, la RDC solidairement avec la RVA (Régie des ...

État de siège en Ituri/Gouverneur militaire : "Ne croyez pas aux charlatans, l’armée c’est la planification"

September 18, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEia2PNNRZTD3X8XroDX1iyESlwhO003WvQjBSwMdTcKkNFTw5lDWAGmoHMhEzqQwnUOqwZs2LYnsSa5LU6FjWitRpXs2KeqeVQCMpNzSZ1z2HL5-yuOlKbyGU8GQLgoz_okKgVrwSY0XsFj/s988/wwqq.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="988" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEia2PNNRZTD3X8XroDX1iyESlwhO003WvQjBSwMdTcKkNFTw5lDWAGmoHMhEzqQwnUOqwZs2LYnsSa5LU6FjWitRpXs2KeqeVQCMpNzSZ1z2HL5-yuOlKbyGU8GQLgoz_okKgVrwSY0XsFj/s320/wwqq.png" width="320" /></a></div>C’est le vendredi 17 septembre 2021 que le Gouverneur militaire a regagné la ville de Bunia, chef-lieu de la province de l’ituri, en provenance de Kinshasa où il était en mission d’évaluation de l’état de siège pendant plus d’une semaine. Dès son arrivée,le lieutenant-général Luboya N’kashama Johnny a annoncé une nouvelle phase décisive d’opérations militaires pour mettre définitivement hors d’état de nuire les groupes armés actifs dans cette province et lance un nouvel appel à la population de croire à l’armée pour la pacification de l’ituri.

"Nous montons en puissance petit à petit, nous allons passer maintenant à la deuxième phase, je pense que vous avez vu ce qui se passe ici dans la ville de Bunia. S’il vous plaît, ne croyez pas aux charlatans, l’armée c’est la planification, on ne fait pas des choses au hasard, on y va petit à petit et on va y arriver, soyez-en sûrs", a-t-il lancé dans les propos recueillis par La Voix de l'Ituri Net.

Pour y arriver, il sollicite l’accompagnement de toutes les couches ituriennes, principalement des acteurs socio-politiques. Signalons que l’Assemblée nationale a adopté le jeudi 16 septembre dernier, le projet de loi portant la huitième autorisation de l’état de siège sur une partie du territoire national. 280 sur 281 députés présents dans la salle des plénières ont voté pour une nouvelle prorogation de l’état de siège dans le Nord Kivu et l’ituri. Elle prend effet dès ce samedi 18 septembre 2021 pour une durée de 15 jours. La Voix de l'Ituri

Province sécurité État de siège en Ituri/Gouverneur militaire : "Ne croyez pas aux charlatans, l’armée c’est la planification"

C’est le vendredi 17 septembre 2021 que le Gouverneur militaire a regagné la ville de Bunia, chef-lieu de la province de l’ituri, en provena...

Barrage de la Renaissance : F. Tshisekedi souhaite obtenir un consensus entre les 3 pays avant la fin de son mandat à l'U.A (Lutundula)

September 18, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlfEGsUncoQ40rnGCp2TB32pTGKiC-Jin3QMEMFaMVm8_52cx4OhhTsmPS93GuXp1iC19aUPMmU0Y3p3nmNaOOOrV7MSsV7hbn_EQUfh_dfUXasdKlLPuocDI2KxewLo0LkCI6Z3Oz2yEt/s988/Snapshot_11gvcf.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="547" data-original-width="988" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjlfEGsUncoQ40rnGCp2TB32pTGKiC-Jin3QMEMFaMVm8_52cx4OhhTsmPS93GuXp1iC19aUPMmU0Y3p3nmNaOOOrV7MSsV7hbn_EQUfh_dfUXasdKlLPuocDI2KxewLo0LkCI6Z3Oz2yEt/s320/Snapshot_11gvcf.png" width="320" /></a></div>Le ministre Congolais des Affaires Étrangères Christophe Lutundula Apala en mission dans 3 pays africains sur le dossier du barrage de la Renaissance mettant en conflit l'Égypte, le Soudan et l'Ethiopie, a échangé le jeudi 16 septembre 2021 avec son homologue Égyptien Saleh Choukri.

Au cours de cette séance de travail, le chef de la diplomatie congolaise a fait part à son hôte de la volonté du president de la RDC Félix Tshisekedi d'entreprendre les dernières négociations dans le délai réduit pour l'aboutissement à une fin heureuse dudit dossier datant d'une décennie. Christophe Lutundula entend à travers cette démarche trouver une solution propre aux problèmes africains. Il a, de ce fait, remis à Saleh Choukri le rapport des 3 pays concernés par ce barrage. "L'Afrique a besoin d'unité et d'intégration. Aux problèmes africains des solutions africaines", a-t-il déclaré.

Le ministre des affaires étrangères d'Égypte s'est engagé de son côté à analyser minutieusement ce rapport précisant que son pays est prêt pour les négociations allant dans le sens d'obtenir un document contraignant et crédible aux yeux des égyptiens. Christophe Lutundula a aussi échangé le mercredi 15 septembre en cours avec les autorités soudanaises sur la même question. Il leur a transmis le souhait du chef de l'Etat Congolais d'obtenir un consensus des 3 pays en conflit avant la fin de son mandat. Les experts des 3 pays pourront dans les jours qui suivent se réunir à Kinshasa pour harmoniser les zones d'ombre pour permettre une garantie mutuelle.

Rappelons que le ministre congolais des affaires étrangères Christophe Lutundula a échangé pour la première étape de sa visite avec son homologue Éthiopien Abiy Ahmed Ali le mercredi 15 septembre dernier. Il conduit une délégation composée des membres du pannel d'experts qui accompagne le chef de l'Etat à l'Union Africaine dont son coordonnateur le professeur Alphonse Ntumba Luaba. Christel Insiwe

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