BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Interdit de quitter la Gombe ni d’approcher les frontières: Kamerhe negocie une sortie pour la France ou l’Afrique du Sud

December 08, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjnsUCAI20L8gq2PxQxP4ECHMCFzI_I10HHgIZGAHTnfjn2-b2axq1OND7_DJ6yLXGiKb0GMMse1J6fvp1f1YPVyxRdc40Zc3JtLkwNubNOXix04inwPrTnsl5x-71OYl1U9Mvr3szAIOOdSv0NP42ZH15NNoYnaIUpFZHPSVItfDC-oKFHJ39v1BBL_Q=s640" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjnsUCAI20L8gq2PxQxP4ECHMCFzI_I10HHgIZGAHTnfjn2-b2axq1OND7_DJ6yLXGiKb0GMMse1J6fvp1f1YPVyxRdc40Zc3JtLkwNubNOXix04inwPrTnsl5x-71OYl1U9Mvr3szAIOOdSv0NP42ZH15NNoYnaIUpFZHPSVItfDC-oKFHJ39v1BBL_Q=s320" width="320" /></a></div> Après avoir bénéficié d’une liberté provisoire, Vital Kamerhe pourrait, dans les prochains jours, se rendre en France ou en Afrique du Sud pour des soins, apprend-on d’une source dans le cercle restreint de l’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi.<br /><br />« Il n’est pas encore en possession de son passeport diplomatique mais ce n’est qu’une question de jours, pourquoi pas d’heures« , nous a-t-elle confié, avant d’avouer qu’il y avait encore certains « détails à régler ».

<br /><br />« Il ya deux possibilités : la France et l’Afrique du Sud. Mais, vu la recrudescence du Covid19 au pays de Mandela, la France parit plus indiqué. Mais il ya encore certains détails à régler« , a-t-elle renchérit.<br /><br />Condamné en appel à 13 ans de prison pour détournement, affaire pour laquelle il s’est pourvu en cassation, Vital Kamerhe souffre d’une « hypertrophie du rectum intraventriculaire et d’une insuffisance diastolique », selon son rapport médical.

<br /><br />Sa Libération, lundi, a été assortie de conditions : rester discret, ne pas se présenter aux ports, aéroports, gares et autres postes-frontières.<br /><br />Contraint à résider dans sa résidence de la Gombe, il n’est en effet autorisé à quitter Kinshasa qu’avec l’autorisation expresse et écrite du Procureur général près la Cour de cassation et pour une durée n’excédant pas trente jours. Il lui est aussi interdit de faire obstruction à la poursuite de l’instruction.<br /><br />PM<br /><br /><br /><br /><p></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /><br /></div><br /><p></p>

Politique Interdit de quitter la Gombe ni d’approcher les frontières: Kamerhe negocie une sortie pour la France ou l’Afrique du Sud

Après avoir bénéficié d’une liberté provisoire, Vital Kamerhe pourrait, dans les prochains jours, se rendre en France ou en Afrique du Sud ...

MUSEVENI VIENT D ' ENVOYER UN MESSAGE A KAGAME : C ' EST FINI AVEC TES AFFAIRES EN RDC ! "BENJAMIN DU 07/12/2021 " ( VIDEO )

December 07, 2021

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MBOSO VA EN JUSTICE CONTRE SESSANGA, MUTUALISATION CONTRE ADF, ARMÉE OUGANDAISE TRAHI ET LIVRE TOUS LES SECRETS (VIDEO )

December 07, 2021

MBOSO VA EN JUSTICE CONTRE SESSANGA, MUTUALISATION CONTRE ADF, ARMÉE OUGANDAISE TRAHI ET LIVRE TOUS LES SECRETS (VIDEO )

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LIBÉRATION DE KAMERHE : LES CONGOLAIS PENSENT AU JUGE YANYI DÉCÉDÉ, BIENTÔT DÉLUGE DES DÉTOURNEMENTS ? MICRO BALADEUR AVEC ARMAND MUMBILAY . ( VIDEO )

December 07, 2021

LIBÉRATION DE KAMERHE : LES CONGOLAIS PENSENT AU JUGE YANYI DÉCÉDÉ, BIENTÔT DÉLUGE DES DÉTOURNEMENTS ? MICRO BALADEUR AVEC ARMAND MUMBILAY . ( VIDEO )

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ENDIRECT PRÉSIDENT RENÉ : SPÉCIALE LIBÉRATION DE VITAL KAMERHE. L 'UDPS EN COLERE CONTRE LA JUSTICE ( VIDEO )

December 07, 2021

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Urgent : Vital kamerhe a obtenu la liberté provisoire

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgYKWRNZdxWknu2RYO7D8xmH-OaEjst1RX0JcsS9s7TOR8Cv6CFJQryhEOfE7don_-n_x1ZEqtmjgCmmVF6ZKQNtN259gl-SHoiD77-h5OeIkGKuhNArpbyaPoVDx988QK-rQ2t24zwr4xbKDBVnWRrxoOQVkns6jRkYvKbRsTi47ffK9-jV7G_C_unmQ=s579" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="402" data-original-width="579" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgYKWRNZdxWknu2RYO7D8xmH-OaEjst1RX0JcsS9s7TOR8Cv6CFJQryhEOfE7don_-n_x1ZEqtmjgCmmVF6ZKQNtN259gl-SHoiD77-h5OeIkGKuhNArpbyaPoVDx988QK-rQ2t24zwr4xbKDBVnWRrxoOQVkns6jRkYvKbRsTi47ffK9-jV7G_C_unmQ=s320" width="320" /></a></div>La Cour de cassation a accordé, lundi 6 décembre, une mise en liberté provisoire à l’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi. Il avait été condamné en appel à treize ans de prison pour des faits de corruption. <br /><br />Condamné en appel à treize ans de prison pour corruption et détournement de fonds, Vital Kamerhe a bénéficié ce lundi 6 décembre d’une remise en liberté provisoire sur décision de la Cour de cassation. L’information a été confirmée à Jeune Afrique par des sources judiciaires et par plusieurs proches de Félix Tshisekedi.<br /><br />Arrêté le 8 avril 2020, il avait été condamné à vingt ans de prison en première instance, le 20 juin 2020. La justice congolaise l’avait reconnu coupable du détournement de plus de 48 millions de dollars destinés à la construction de logements sociaux dans le cadre du programme présidentiel dit des « cent jours ». À l’époque puissant directeur de cabinet de Félix Tshisekedi, Kamerhe avait été condamné avec l’entrepreneur libanais Samih Jammal, son principal co-accusé, et Jeannot Muhima Ndoole.<br />« Affaire politique »

<br /><br /><br /><br />Incarcéré à la prison de Makala, il avait quitté le pénitencier le 23 août 2020 pour des raisons sanitaires. Depuis, le patron de l’Union pour la nation congolaise (UNC), l’un des partis alliés de Félix Tshisekedi, purgeait sa peine à la clinique Nganda, où une poignée de proches collaborateurs et de membres de sa famille avaient accès à lui. En coulisses, Kamerhe, qui a maintenu un canal de discussion avec le président Tshisekedi, est d’ailleurs resté actif pour tenter d’obtenir une évacuation sanitaire.<br /><br />Dénoncé comme une « affaire politique » par les soutiens de Kamerhe, le procès « des 100 jours », retransmis en direct à la télévision congolaise, avait engendré de nombreuses tensions au sein de la majorité. L’UNC a exigé à plusieurs reprises la libération de son président, menaçant même de conséquences politiques en cas de maintien de ce dernier en détention.<p></p><b>Par Romain Gras et</b> <b>Stanis Bujakera Tshiamala</b><iframe allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/Hthv4rXd1ag" title="YouTube video player" width="643"></iframe>

Politique Urgent : Vital kamerhe a obtenu la liberté provisoire

La Cour de cassation a accordé, lundi 6 décembre, une mise en liberté provisoire à l’ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi. Il ava...

Chasse aux ADF dans l’Est de la RDC : la Monusco dit respecter la décision des autorités congolaises

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjU9YPFJ8rAqm2DCaBU1JLWX8j1vVm2MGG2Jww--RTvcOfWdAUqfVNU0ZWYVX8BM2AK7pVW8liV2GRbMa1uuCBIc7lm5KP_LcODVY96rHmSMQcubLXQmXs0SukrSCOq52Rv3FXMBKSbY2MEmrW42FdReDwrNHQtIX2zKLOgOgUvVCefKY3TocGxq53Hcg=s866" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="499" data-original-width="866" height="184" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjU9YPFJ8rAqm2DCaBU1JLWX8j1vVm2MGG2Jww--RTvcOfWdAUqfVNU0ZWYVX8BM2AK7pVW8liV2GRbMa1uuCBIc7lm5KP_LcODVY96rHmSMQcubLXQmXs0SukrSCOq52Rv3FXMBKSbY2MEmrW42FdReDwrNHQtIX2zKLOgOgUvVCefKY3TocGxq53Hcg=s320" width="320" /></a></div><b> Décryptage</b><br /><br />*L’unité correctionnelle de la Monusco était en retraite cette semaine au Quartier général de la Mission à Kinshasa. Dans un entretien avec Honoré Misenga Kalala, la Cheffe de cette unité, Mme Patience Sai, complétée par son adjoint, a fait une évaluation du travail abattu cette année.<br /><br /><b>Brèves</b><br /><br />***Nos nouvelles en plus bref, le Royaume de Norvège et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ont signé le 24 novembre dernier un accord de partenariat pour lancer un projet de lutte contre l’esclavage moderne dans les sites miniers des provinces du Nord et du Sud-Kivu. La durée de ce projet est de trente mois et pour but d’améliorer la stabilité et l’accès aux droits humains des personnes qui se retrouvent dans les sites miniers, y compris des femmes et des enfants vulnérables dans les zones minières de l’Est de la RDC.<br /><br />**Restons dans encore dans cette partie du pays, 45 jeunes dont 17 filles de Sake, à 20 km de Goma, ont pris part cette semaine à une conférence-débat sur le processus de paix, la sécurité et le développement de leurs communautés respectives. Ce forum a été organisé par trois sections de la Monusco : les Affaires civiles, la Protection de l’enfant et l’Information publique.

<br /><br />***Enfin, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), s’est dit consterné par une série d’attaques meurtrières menées par des groupes armés contre des personnes déplacées dans l’Est de la RDC. Dans un communiqué publié à ce propos, l’Agence de l’ONU pour les réfugiés a indiqué aussi avoir besoin d’un soutien financier supplémentaire pour ses opérations sous-financées afin de pouvoir renforcer son soutien aux déplacés internes<br /><br /><b>Invité</b><br /><br />Le coordonnateur humanitaire de l’ONU en RDC, David Mc-Lacklan-Karr, était en mission à Lubumbashi jusqu’au mardi 30 novembre dernier. Il était accompagné de tous les chefs d’agence du système onusien en RD Congo. C’était pour élaborer un plan de travail pour 2 022. Le MAG UN revient sur l’entretien qu’il a accordé à Radio Okapi en répondant aux questions de Jean Ngandu.<br /><br /><b>Nouvelle de province

</b><br /><br />Allons à Lubumbashi, dans le Haut-Katanga où ont été inaugurés les bureaux du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef). L’événement s’est passé mercredi 1er décembre en présence tout naturellement du Représentant résident de cette agence, Edouard Beigbeder. Celui-ci en a profité pour parler du lancement prochain de la nouvelle Radio Okapi Bana Okapi, une radio spécialement conçue pour les enfants. Ecoutez le Représentant de l’Unicef en RDC, au micro de Jean Ngandu.<br /><br /><b>Question aux Nations unies</b><br /><br />La question a été posée à M. Adamou Dambagi, conseiller en information stratégique de l’ONUSIDA/RDC à l’occasion de la Journée mondiale de la lutte contre le Sida. C’était à la conférence de presse des Nations unies, mercredi dernier, à Kinshasa. Suivez la réponse du fonctionnaire onusien<br /><b><br />Promo UN</b><br /><br />Dans votre agenda, notez ceci pour la semaine qui commence : 06 décembre, c’est ce lundi, présentation par la Représentante spéciale et Cheffe de la Monusco, Bintou Keita, au Conseil de sécurité à New York, du rapport sur la situation en RDC.<p></p><div><br /></div><div><span style="font-size: medium;"><b>radiookapi.net</b></span></div>

Insécurité Province sécurité Chasse aux ADF dans l’Est de la RDC : la Monusco dit respecter la décision des autorités congolaises

Décryptage *L’unité correctionnelle de la Monusco était en retraite cette semaine au Quartier général de la Mission à Kinshasa. Dans un ent...

Elections 2023 en RDC : que des crises dans la crise, que d’incertitudes…

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhvw1H1WV8Zd3hSORfnWbc8M9dgMxEwAghKTCDK1PgS5chJpzJEOAOU8M2_g0o0FZMx6RnDsf85mYdY-5qFJXLHt1hcRgX4VxbQ3CIQxU3TJEnDdK4M4tjRayaVP2efS7H8cEuGsod6llwOVP-GNo2XnJFJWyg6mLF7Sr0nmYlvXARAdQopMBpBzYjD-w=s720" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="684" data-original-width="720" height="304" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhvw1H1WV8Zd3hSORfnWbc8M9dgMxEwAghKTCDK1PgS5chJpzJEOAOU8M2_g0o0FZMx6RnDsf85mYdY-5qFJXLHt1hcRgX4VxbQ3CIQxU3TJEnDdK4M4tjRayaVP2efS7H8cEuGsod6llwOVP-GNo2XnJFJWyg6mLF7Sr0nmYlvXARAdQopMBpBzYjD-w=w320-h304" width="320" /></a></div>Dans une crise d’urticaire encore sans issue sur le consensus électoral se mêlent brutalement attaques et hostilités des militants de bords politiques, déconfiture des confessions religieuses, retour à la loi controversée sur la Congolité, polémique autour de l’intervention des armées étrangères à l’Est…<br /><br /><br />Il faut craindre une déflagration dans le contexte actuel de l’évolution politique de la République démocratique du Congo. Plus personne ne fait confiance à personne dans la conduite des affaires politiques et de l’Etat. Les acteurs majeurs se regardent en chiens de faïence et l’objectif commun de l’organisation régulière des élections générales en 2023 n’est plus partagé par tous. Pour certains, il faut pousser vers l’organisation des scrutins devant départager les ambitions politiques en confrontation et pour d’autres, le décor est mal planté avec une Cour constitutionnelle acquise au régime, une CENI contestée à l’avance, des institutions quadrillées par le pouvoir et des finances aux seules mains des tenants de la majorité présidentielle symbolisée par l’Union sacrée de la nation (USN).

<div><br /></div><div><br /></div><div>Dans ce climat politique enflammé s’ajoutent des crises non négligeables telles le constat des bandes organisées de certains partis politiques contre d’autres leaders politiques (cas du dimanche 5 décembre 2021 au camp Luka de Kinshasa où un leader politique a été interdit de meeting sur instruction de l’autorité urbaine) ; la crise de nerfs à l’Assemblée nationale entre le député Delly Sesanga Hipungu Dja Kaseng et le speaker de la chambre basse du Parlement ; la scission insoutenable de la plateforme des confessions religieuses ; le retour voilé de la loi sur la Congolité pour tenter de gêner certains leaders politiques pressentis présidentiables en 2023 ; l’entrée mal coordonnée des troupes ougandaises sur le sol congolais dans la traque contre les rebelles et terroristes ADF… Tout ceci pendant que règnent au pays d’autres pathologies sociopolitiques telles que la problématique encore mal gérée de la taxe RAM, la grimpette du tribalisme offusquant qui laisse perplexes et confuses toutes les sensibilités sociolinguistiques du pays. Sans compter les nombreux dysfonctionnements du programme de la gratuité de l’enseignement, le déséquilibre au niveau des institutions nationales et provinciales, les effets renforcés de la pandémie à Covid-19 et les rapports contradictoires de Congo Hold-up par rapport aux révélations de l’Inspection générale des finances (IGF) etc.<br /><br />Crise de nerfs Sesanga-Mboso au Camp Luka<br /><br />Journée très surchauffée dimanche 05 décembre dans le quartier populeux de Campa Luka dans la commune de Kintambo. Après le film de la prise de bec entre le président de l’Assemblée nationale et le député national, élu de Luiza, Delly Sesanga, leur escalade verbale s’est déportée jusqu’à la base. Le premier se réclamant leader du coin et le second s’estimant meneur naturel et figure de proue de cette entité politico-administrative. 
  
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  Déjà samedi, le CRD, parti politique de Christophe Mboso Nkodia avait mobilisé des sportifs du camp Luka dans une randonnée à bord d’une dizaine de bus jusqu’à Mbankana, question de démontrer ses biceps face à un député considéré comme non originaire de Kinshasa (Bandundu et Kongo central). <div><br /></div><div>Le même jour, des affiches et banderoles annonçant le meeting populaire de Sesanga ont été vandalisées par des jeunes surexcités qui promettaient d’en finir avec le leader de l’Envol. Dimanche matin, des barricades ont été érigées tout au long de l’unique voie d’accès au camp Luka suivi de quelques échauffourées. Finalement, la police nationale congolaise est intervenue avec toute musculature pour interdire le meeting du député Sesanga, ce qu’a contesté ce dernier. « On nous prive la parole au Parlement et on veut nous interdire de communiquer avec le peuple », a-t-il dénoncé, entouré de quelques centaines de militants de son parti visiblement très implanté dans le secteur. A cette allure, déclarent bien d’observateurs, le climat électoral s’annonce tendu et dangereux pour le pays.<br /><br />Tout est parti des bouts de phrases de trop prononcés successivement par le député Envol Delly Sesanga Hipungu Dja Kaseng et Christophe Mboso Nkodia Pwanga, président de l’Assemblée nationale à la plénière du vendredi 3 décembre 2021. Des circonvolutions verbales qui ont suffi pour déclencher une véritable guerre politique et intellectuelle entre les pro-régime et les autres forces politiques du pays. L’élu de Luiza dénonçait une délinquance financière dans le chef des institutions de la République dont l’exécution des budgets n’obéit nullement aux normes et aux recommandations du Parlement. Le mot n’est pas vite passé pour Christophe Mboso qui y a vu un manquement, sinon, une dérive verbale. La plénière du vendredi 3 décembre 2021 aura souligné cet incident mineur hyper médiatisé parmi la principale recette du jour. Déjà la toile s’en était amplement servie. Les uns pour dénoncer et les autres pour défendre. Au finish, les mêmes réseaux sociaux vont trancher. Délinquance financière n’avait rien à avoir avec une quelconque interprétation insultante. Comme pour dire que le conflit datait de bien longtemps avant cet incident qui n’était que la goutte qui a fait déborder le vase entre les deux personnalités.<br /><br />La CENI divise définitivement les religieux<br /><br />Le célèbre pasteur Dodo Kamba, représentant légal des Églises de réveil vient d’être bombardé président de la plateforme des Confessions religieuses. L’imam Cheikh Abadallah Mangala quant à lui a été coopté vice-président de la même structure. Décidément, les religieux entrent officiellement en guerre avec comme grande victime de cette scission, Denis Kadima, président de la CENI. D’où ces quelques interrogations. S’agit-il d’un conflit de leadership ou comme c’est le cas dans le monde des politiciens, d’une simple guerre de positionnement ? Allons-nous vers la consécration de deux plateformes parallèles des confessions religieuses ennemies ? Comment cette église dépecée apportera-t-elle appui à la commission électorale nationale indépendante (CENI) en cette période d’un aussi grand besoin de rassemblement de la nation autour des élections voulues crédibles, inclusives et apaisées ? Le spectacle n’est pas beau à voir. <div><br /></div><div>Les pères spirituels viennent de briser la plus importante des valeurs morales de la nation en décidant délibérément de la fragmentation de leur organisation, la seule que comptait le pays et de laquelle les Congolais attendaient encore une voix de sagesse pour guider les acteurs politiques en totale dispersion idéologique. La crise dont les indices étaient perceptibles tout au long du processus de désignation du président de la CENI a atteint son paroxysme avec le choix jugé imposé de l’expert Denis Kadima Kazadi à la tête de la CENI. Les hostilités entre les deux courants des confessions religieuses ont été médiatiquement chirurgicales et idéologiquement d’un fort taux d’embrasement des rapports interreligieux en République démocratique du Congo.<br /><br />Les six confessions religieuses (Eglise du réveil, communauté islamique, Église kimbanguiste, Église orthodoxe, Église indépendante et Armée du salut) avaient fait bloc contre les deux autres (catholique et protestante) pour faire peser leur majorité numérique sur la balance du consensus attendu. Catholiques et protestants avaient, pour leur part, avancé des récriminations touchant au caractère de moralité, de crédibilité et d’indépendance du candidat proposé par les kimbanguistes. Tous les débats engagés dans les médias, dans la rue et sur les réseaux sociaux n’ont pas suffi. Les deux groupes éloignaient chaque jour les chances de leur réconciliation jusqu’à entrainer d’autres crises au niveau de l’Assemblée nationale. Une commission paritaire contestée a produit un rapport contesté endossé par la suite par une plénière houleuse. La tension était à son comble. Après tout, la liste incomplète des membres de la CENI avec Denis Kadima comme président, a été investie par voie d’ordonnance présidentielle. Fin d’épisode.<br /><br />Finalement, alors qu’il avait résolu de ne pas recevoir la délégation de la CENCO (Conférence épiscopale nationale du Congo), organisation réunissant tous les évêques de l’Église catholique, le chef de l’Etat a fini par saisir l’opportunité des assises du Comité permanent de la CENCO à Kinshasa pour recevoir, le 26 novembre 2021, la grande délégation des prélats catholiques. Ce qui a réellement fait baisser la tension. Fin d’épisode.
  
  
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  <div><br />Cette crise de leadership ou de poids sociologique entre les religions actives en RDC a provoqué des chambardements dans les Églises suite au conflit généré par le choix à la fois de Ronsard Malonda que du président Denis Kadima Kazadi à la tête de la CENI. Pour avoir signé le procès-verbal désignant Malonda en 2020, l’Eglise Kimbanguiste décida de rappeler son principal représentant à la plateforme des confessions religieuses en la personne du révérend Delphin Elebe Kapalay et de son remplacement par le révérend Covey Mududu Ndompaulu. <div><br /></div><div>L’Église orthodoxe confirmera son délégué initialement désigné en la personne du révérend-père Claude Mbayi pour remplacer le professeur Théodore Fumunzanza Gimuanga, délégué de cette communauté à la CIME (Commission d’intégrité et médiation électorale), lui aussi signataire du même PV. L’Armée du salut connaitra à son tour un remue-ménage avec le remplacement de son Représentant Légal en la personne du colonel Lamartinière (sujet camerounais) par le Colonel Daniel Moukoko, nouveau chef de territoire. Le leadership de l’Eglise du Réveil du Congo (E.R.C) va également subir une secousse avec le départ de son Evêque général en la personne du général Son y Kafuta Rockman au profit du Révérend-Prophète Dodo Kamba Balanganay, nouveau Représentant Légal. <div><br /></div><div>Les Églises indépendantes vont décider de déchoir leur représentant légal Mgr Simon Nzinga Maluka qui à son tour, tiendra une autre assemblée générale de sa reconduction. La Communauté Islamique au Congo (COMICO) n’a pas échappé à la tempête avec une scission qui conduira à des échauffourées entre deux tendances de jadis avant que l’autorité politique n’intervienne pour rétablir le calme et stabiliser le leadership du Représentant Légal, le Sheikh Abdallah Managala Luaba. Seules les Églises catholique et protestante n’ont pas été affectées par cette vague déstabilisatrice de 2020.
  
  
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  </div><div><br />Denis Kadima sacrifié<br /><br />La dernière scission entre les six et les deux confessions religieuses n’augure pas du tout un lendemain rassurant pour l’actuel président de la CENI. Alors que le chef de l’Etat venait de faire évoluer positivement le climat de tension entre les deux groupes, l’axe Dodo Kamba vient de mal rebondir en prenant acte de la suspension de participation des deux confessions religieuses aux travaux de la plateforme. Certes, les six sont en droit de s’organiser en l’absence des deux autres, mais d’après des analystes, elles ne devraient pas pousser la crise à la dernière extrémité en désignant titulairement les nouveaux présidents. <div><br /></div><div><br /></div><div>En lieu et place de se limiter à installer des dirigeants à titre intérimaire, question de permettre aux deux autres de revenir, conformément aux conseils prodigués par le président de la République qui aurait exhorté les catholiques à harmoniser avec leurs collègues, les six ont radicalement exclu les deux autres. Pourtant, c’est l’audience présidentielle du 26 novembre 2021 qui aurait justifié la demande de pardon de l’abbé Donatien Nshole le 27 novembre 2021 au cours d’une célébration Bahaï, pour le spectacle désolant offert par les confessions religieuses à la nation congolaise par la plateforme au sujet de l’affaire Kadima.<br /><br />Avec la dernière déclaration des six, les catholiques et les protestants se voient gravement froissés et populairement mortifiées. Ce qui pourrait comporter des conséquences incalculables sur l’appui et le soutien attendus de ces deux imposantes confessions religieuses dans le processus électoral.<br /><br />Ouragan<p> </p></div></div></div></div></div></div></div>

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Dans une crise d’urticaire encore sans issue sur le consensus électoral se mêlent brutalement attaques et hostilités des militants de bords ...

Assemblée nationale : des matières importantes prévues dans la session de septembre pas encore examinées

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhp_MQQpjg8YApuBk3HeoJC5Xv4LjMKgHKWOGJmy-HlHYyhO1RyQv56linFA-8XNED5w4DTw5lPSTzHr4FO1dJbp5dMkmaASGgXnlpXvlfbW482MYqM9vV128mMj5Lk-rUs9H-G5H1FKyDHsdGeY3-ff6McQ_4g6j2hhBmeQGHMo8LJQs-t_4ElVwgogw=s1591" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="890" data-original-width="1591" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhp_MQQpjg8YApuBk3HeoJC5Xv4LjMKgHKWOGJmy-HlHYyhO1RyQv56linFA-8XNED5w4DTw5lPSTzHr4FO1dJbp5dMkmaASGgXnlpXvlfbW482MYqM9vV128mMj5Lk-rUs9H-G5H1FKyDHsdGeY3-ff6McQ_4g6j2hhBmeQGHMo8LJQs-t_4ElVwgogw=s320" width="320" /></a></div> A moins de 9 jours de la clôture de la session de septembre à l'Assemblée nationale, plusieurs matières importantes prévues dans le calendrier ne sont pas encore examinées.<br /><br />C’est le cas notamment de la loi portant reddition des comptes de l’exercice 2020 et du budget 2022 qui sont encore bloqués à l’Assemblée nationale et devront aussi être examinés au Sénat avant la clôture de cette session.<br /><br />Une autre loi urgente et pertinente qui n’a pas été examinée est la loi électorale.<br /><br />Dans un communiqué parvenu dimanche 5 décembre à Radio Okapi, plusieurs organisations bénéficiaires du Projet de renforcement des initiatives de suivi des mécanismes électoraux (PRISME) s’inquiètent du retard enregistré dans l’examen de cette proposition de loi.

<br /><br />Programmée au projet de calendrier de cette session budgétaire, la proposition de modification de la loi électorale n’est toujours pas examinée, s’indignent les organisations fiancées par le projet PRISME.  <br /><br />Le 15 octobre dernier, lors du lancement solennel de son plaidoyer pour les réformes électorales et institutionnelles, le PRISME a engagé l’Assemblée nationale à inscrire sans délai l’examen de la loi électorale à l’agenda de la session en cours. <br /><br />A 9 jours de la clôture de cette session, ces organisations réitèrent leur appel pressant à la représentation nationale afin de donner toutes les chances à la tenue des élections dans les délais constitutionnels. Ces organisations insistent sur la marge de plus en plus restreinte pour l’objectif d’élections en 2023, d’autant que des options ayant une incidence critique sur cet objectif devront être levées, notamment l’enrôlement des électeurs couplé ou pas avec le recensement général de la population.

Politique Assemblée nationale : des matières importantes prévues dans la session de septembre pas encore examinées

A moins de 9 jours de la clôture de la session de septembre à l'Assemblée nationale, plusieurs matières importantes prévues dans le cal...

Affaire diamant de 822 carats : Kabila se met à dos la société civile du Kasaï-Oriental

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh2J1x_gYO7lSZD5GPW67VFRGjL-Gi_2QWJLS6ilmN2sEZ6hIBqrfJTumWcp99MkjJQpz8FKqVj-NtQVdDcLQ6LowCamt8_YlUGwDaujF6KLheJtOp2Bpp7m8d9_Sv9aZK2HrHDOlIMSabxYTLmNzBxqY9zaMvRXHv2xa2fqIy3el6m-13mrw1IDyqihg=s948" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="948" height="187" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh2J1x_gYO7lSZD5GPW67VFRGjL-Gi_2QWJLS6ilmN2sEZ6hIBqrfJTumWcp99MkjJQpz8FKqVj-NtQVdDcLQ6LowCamt8_YlUGwDaujF6KLheJtOp2Bpp7m8d9_Sv9aZK2HrHDOlIMSabxYTLmNzBxqY9zaMvRXHv2xa2fqIy3el6m-13mrw1IDyqihg=s320" width="320" /></a></div> C’est une mobilisation titanesque à Mbuji-Mayi pour exiger au président Joseph Kabila Kabange la restitution d’un diamant de 822 carats appartenant à Monsieur Théodore Mbiya Kalala. Selon les informations parvenues à <b>acturdc</b>, la société civile du Kasaï-Oriental avait organisé le samedi 04 décembre dernier une vaste campagne de sensibilisation pour forcer la main de l’ancien président de la République.<br /><br /><br />A la recherche d’une voie de sortie dans cette affaire, Théodore Mbiya Kalala avait déposé une plainte à la cour de cassation le 25 août 2020, plainte qui selon certaines sources serait resté sans suite favorable.

<br /><br />Dans cette plainte dont une copie était parvenue à <b>acturdc.com</b>, cet homme d’affaires accusait Joseph Kabila d’avoir usé de son autorité de président de la République à l’époque, pour s’approprier du diamant obtenu des travaux d’exploitation minière artisanale dont le financement était venu de lui.<br />Cette situation s’était déroulée dans les mines de Mfumbu Kabuebue, et à Bena Tshisuaka dans la province du Kasaï Oriental en 2005, pendant que Ngoyi Kasanji était encore à la tête de cette province.<br /><br />Théodore Mbiya disait détenir toutes les preuves dans ce dossier pour mettre à la place la mauvaise fois de Kabila.<br /><br />« Les preuves sont légions pour étayer la malice, la ruse de monsieur Joseph Kabila Kabange qui a usé de son autorité en tant que président de la République Démocratique du Congo pour s’approprier de mon diamant, un bien qui ne lui appartenait pas. De ces faits, j’ai subi d’énormes préjudices incalculables, au moyen desquels j’exige de Monsieur Joseph Kabila Kabange et de sa suite une réparation subséquente », écrivait-il.<br /><br />L’homme d’affaires demande à Joseph Kabila de restituer son gros diamant de 822 carats, soit lui donner une somme d’un milliard deux cents trente-trois millions de dollars américains (1.233.000.000 USD).

<br /><br />« Monsieur le Procureur Général, nul n’étant au-dessus de la loi, vous le condamnerez à la restitution de mon gros diamant de 822 carats ou au versement de la somme de 1.233.000.000 USD (un milliard deux cents trente-trois millions dollars américains) c’est-à-dire 822 carats fois 1.500.000 USD. Et à titre des dommages et intérêts pour réparation de tous préjudices subis, au paiement de la somme de 900.000.000 USD (neuf cent millions dollars américains) », indiquait-t-il dans sa plainte.<br /><br />Cette pierre précieuse a été saisie en 2005 par la douane du Royaume de Belgique pour exportation frauduleuse et origine douteuse pour non certification dans le pays d’origine selon les prescrits du processus de Kimberley. Après des tractations entre la Belgique et la RD-Congo, ce diamant fut remis au parquet général qui l’avait confié à la Banque centrale du Congo pour une garde sécurisée.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p></p>

Justice Société Affaire diamant de 822 carats : Kabila se met à dos la société civile du Kasaï-Oriental

C’est une mobilisation titanesque à Mbuji-Mayi pour exiger au président Joseph Kabila Kabange la restitution d’un diamant de 822 carats app...

Scandale au ministère de l’EPST : Tony Mwaba s’embourbe avec Educ TV

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgARhHCi5Rt9CADM7xNFBWQKQ8jNUHUh2B9A6Y86XJ-aswAXAEif3MBz33RhRgEbMrv259IeD1n3S8bUcqTktZsdZGGeD3qxVQqRffvdvyhXH11LDYPzG3ms6ROnuwos9FjVo_kIL5p9J_jziTUsuSyaZ2f8NfrAWwDm6E3UrcEE0F1VtYYrb5FTZIqVg=s1238" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="826" data-original-width="1238" height="214" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgARhHCi5Rt9CADM7xNFBWQKQ8jNUHUh2B9A6Y86XJ-aswAXAEif3MBz33RhRgEbMrv259IeD1n3S8bUcqTktZsdZGGeD3qxVQqRffvdvyhXH11LDYPzG3ms6ROnuwos9FjVo_kIL5p9J_jziTUsuSyaZ2f8NfrAWwDm6E3UrcEE0F1VtYYrb5FTZIqVg=s320" width="320" /></a></div><br /> Le roi du rétropédalage, voilà comment on peut caricaturer le ministre de l’EPST, le professeur Tony Mwaba kazadi. Le rétropédalage est devenu son sport roi à la tête de ce méga ministère qui constitue la prunelle des yeux du Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi. Tenez, la dernière pirouette de Tony Mwaba c’est la signature de deux arrêtés ministériels concernant Educ Tv en l’espace de deux mois seulement.<br /><br />Le premier arrêté ministériel concernant Educ Tv a été signé le 19 octobre 2021 et était relatif à la désignation des agents et cadres d’ Éduc TV. Comme Tony Mwaba n’est pas du tout différent de Gaston Lagaffe, cet arrêté contenait beaucoup d’incongruités et de monstruosités.<br /><br />D’ abord dans cet arrêté, tous les directeurs d’ Éduc TV ont été dégradés et faits des chefs de division. Pire encore, tout un directeur a été ramené au grade d’ATB 1. Des chefs de division ont été dégradés au rang d’ ATB 1 et cerise sur le gâteau, un ATB 1 a été élevé au grade de Chef de division. Et comme si tout cela ne suffisait pas, Tony Mwaba a rehabilté un directeur suspendu pour harcèlements sexuels et placé au dessus de la dame qui s’ était plainte du mauvais comportement dudit directeur. Décidément, celui qui s’ est fait passer pour le gardien de la gratuité de l’enseignement primaire prône pérennisation des antivaleurs et des harcèlements sexuels à Educ Tv.

Cet arrêté signé le 19 octobre a été notifié, il faut le souligner, en catimini, aupres de certains agents et cadres. Et lorsque le député provincial, Mike Mukebay Nkoso a organisé une émission le vendredi 3 décembre dernier pour dénoncer cet arrêté qui bafoue, de fond en comble, le droit administratif, vite vite, le roi du rétropédalage, le professeur de droit, Tony Mwaba kazadi a signé un deuxième arrêté, le samedi 4 décembre portant désignation des agents et cadres d’ Éduc TV. Et dans ce deuxième arrêté, le professeur Gaston Lagaffe a encore frappé. Des directeurs dégradés ont été ramenés à leurs postes sauf un directeur, celui qui a été ATB 1.<br /><br />Par pitié ou par compassion, le grand professeur de droit a fait de ce directeur un chef de division. Mais comme Tony Mwaba kazadi est friand d’ élévation d’ antivaleurs, il a maintenu son directeur harceleur dans son nouvel arrêté. Donc, en l’espace de deux mois, Tony Mwaba kazadi, l’ avocat conseil de Rambo a signé deux arrêtés ministériels au profit d’ Éduc TV mais contenant des graves violations des dispositions du droit administratif. Visiblement, Tony Mwaba n’est pas à sa place à la tête du méga ministère de l’EPST car l’homme se comporte en Véritable amateur et débrouillard.

Ce n’est pas pour rien qu’on le qualifie du roi du rétropédalage car l’homme n’est pas à sa première pirouette. On peut aisément dire que les rétropédalages et Tony Mwaba kazadi font un. Tenez, dans l’affaire des élèves du collège Saint François, l’ homme avait crié, urbi et orbi que ces élèves, auteurs de ces actes pornographiques, étaient exclus du système éducatif congolais. Rattrapé par son collègue ministre des Droits Humains, Albert Fabrice Puela , le professeur Gaston Lagaffe réalisera son premier rétropédalage en indiquant que ces élèves n’étaient pas exclus du système éducatif congolais mais du système éducatif catholique, comme si cela relevait de ses compétences.<br /><br />Et lui, en sa qualité de ministre National de l’éducation, pourquoi s’ était il immiscer dans cette affaire du collège Saint Georges qui aurait pu être réglée par d’ autres cadres de l’EPST ?<br /><br />C’ est le m’as tu vu. L’homme confond le méga ministère de l’EPST aux concerts de Rambo où il peut tout se permettre. Comme le rétropédalage , c’est son plat préféré, il va encore en réaliser un deuxième encore plus spectaculaire. Le professeur justicier, Tony Mwaba kazadi avait instruit ses services de désactiver 4 enseignants dont 2 du collège Boboto et 2 autres du lycée Sacre coeur pour, selon lui, grève illicite et sauvage.

Mais le même Grand professeur de droit, toute honte bue, va procéder avec pompe à la réactivation de ces 4 enseignants en les recevant, tapis rouge déployé, à son cabinet de travail. Il va même sommer le SECOPE, le service du contrôle et de la paie des enseignants, de procéder à la paie de ces 4 enseignants manuellement et devant les caméras de télévision. Visiblement, le président de la République et Chef de l’État, son excellence Félix Antoine Tshisekedi a nommé à la tête du méga ministère de l’EPST un charlot, un vrai charlot alors. Regardez que ce charlot a engagé un bras de fer avec les enseignants congolais en perturbant la rentrée scolaire 2021- 2022 voulue plutôt sereine et apaisée. Mais au finish, les enseignants ont eu raison de lui parce que, à l’heure ou nous parlons, Tony Mwaba kazadi a ressusciter l’ancien système de prise en charge des enseignants par les parents d’élèves* . Sans oublier la prise de bec honteuse avec Jules ALINGETI « IGF » sur l’affaire VERIDOS. Somme toute, Tony Mwaba kazadi est entrain de desservir le chef de l’État à la tête du ministère de l’EPST. Le roi du rétropédalage a plus d’un tour dans ses manches et en sa qualité de professeur Gaston Lagaffe, il faut s’ attendre à tout moment que Tony Mwaba kazadi merde et emmerde Félix Antoine Tshisekedi. MAESTRO STROMAE.<p></p>

Education Scandale au ministère de l’EPST : Tony Mwaba s’embourbe avec Educ TV

Le roi du rétropédalage, voilà comment on peut caricaturer le ministre de l’EPST, le professeur Tony Mwaba kazadi. Le rétropédalage est dev...

Lieutenant-Général Luboya Nkashama aux Ituriens : » S’attaquer à la Monusco ou aux humanitaires, c’est se tromper de cible ! «

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEggh54ea8XpdM4Ymn8JwPtcyQyVwE3Jm4QrifBSBr_V71pa5sLcWoP_hTDppvSUdw7L8RxJ-ZxLRiy1ry9UWRM6aW66uCDt1ewztcGV0KnMVhlzX4P3bEXzcivfVMPHo3Zax-tZe4-dvheS5QckaTHWPF2Y9P_O4JFxIBHEd1g9X_znX6npvUFyIUdNog=s992" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="992" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEggh54ea8XpdM4Ymn8JwPtcyQyVwE3Jm4QrifBSBr_V71pa5sLcWoP_hTDppvSUdw7L8RxJ-ZxLRiy1ry9UWRM6aW66uCDt1ewztcGV0KnMVhlzX4P3bEXzcivfVMPHo3Zax-tZe4-dvheS5QckaTHWPF2Y9P_O4JFxIBHEd1g9X_znX6npvUFyIUdNog=s320" width="320" /></a></div>Depuis peu, des contingents de la MONUSCO, voire des humanitaires ne cessent de subir des attaques à travers la province de l’Ituri. Non seulement elles proviennent des groupes armés, mais aussi de la population civile.<br /><br />Le dernier cas en date remonte dans la soirée du mercredi 1er décembre 2021, quand certains jeunes de la ville de Bunia se sont attaqués aux contingents de la MONUSCO, conduisant ces derniers à faire usage des tirs d’armes pour disperser ces jeunes.<br />Face à ces attaques en répétition, le gouverneur de province prévient:  » La MONUSCO est en mission de pacification et de stabilisation de notre province à l’invitation du gouvernement de la République avec mandat de protection de la population civile tandis que les humanitaires viennent en aide à la population vulnérable ».

<br /><br />Dans un communiqué publié la soirée du vendredi 03 décembre, le chef de l’exécutif provincial condamne ces attaques en privilégiant la mutualisation des forces de tous les partenariats pour pacifier la province.<br /><br />Pour le Lieutenant-Général Luboya Nkashama : « vouloir s’attaquer à ces partenaires, c’est de se tromper de cible en jouant le jeu de notre ennemi commun notamment les groupes armés et leurs alliés ».

<br /><br /><br />Néanmoins, l’armée rassure sa collaboration et sa détermination à garantir la sécurité à ces partenaires.<br /><br />En somme, le gouverneur de province invite plutôt la population à collaborer avec les services de sécurité pour restaurer l’autorité de l’État en cette période de l’état de siège en se désolidarisation des manipulateurs et des groupes armés.<br /><br />Verite Johnson/CONGOPROFOND.NET<p> </p>

Province sécurité Lieutenant-Général Luboya Nkashama aux Ituriens : » S’attaquer à la Monusco ou aux humanitaires, c’est se tromper de cible ! «

Depuis peu, des contingents de la MONUSCO, voire des humanitaires ne cessent de subir des attaques à travers la province de l’Ituri. Non seu...

Christophe Mboso et la prévarication : ça vole très bas à l’Assemblée nationale !

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgOjfLDcjUqtxctegazDJPYMRALw2x48UgOsWiRZKo2lm1K9XJNpC6T64jXzbEsZ_2yuIO-xO6rXgyLdsqey--7PDe4Jt7hq51F40OQ-i0XSOL3EXfpJ7bKU0VlrLZ1QUKrdsy0HGxUZtw2Ji5KyFgGZJITKqDC_kUucUU5pF-xPC1h0v0SUW4raPBZrw=s1190" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="1190" height="215" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgOjfLDcjUqtxctegazDJPYMRALw2x48UgOsWiRZKo2lm1K9XJNpC6T64jXzbEsZ_2yuIO-xO6rXgyLdsqey--7PDe4Jt7hq51F40OQ-i0XSOL3EXfpJ7bKU0VlrLZ1QUKrdsy0HGxUZtw2Ji5KyFgGZJITKqDC_kUucUU5pF-xPC1h0v0SUW4raPBZrw=s320" width="320" /></a></div> Moratoire sur le contrôle parlementaire, gel des motions et questions orales, vassalisation de l’Assemblée, couper la parole aux intervenants, menaces, intimidations, injures, etc., l’Assemblée nationale n’a jamais connu de dérive d’antivaleurs autant que ces derniers mois.<br /><br />Autant les bonnes consciences sont encore sous le choc des insultes échangées vendredi dernier en plein hémicycle entre Mboso N’Kodia et Delly Sessanga, autant les mêmes consciences ne s’étonnent plus de ce genre de choses qui, depuis l’avènement de Mboso au perchoir, sont le lot quotidien, si pas le mode de gouvernance. La représentation nationale vit cette prévarication de la part de celui-là même qui, déjà par son âge, était censé être le dernier rempart pour décourager tous ces antivaleurs. Mais malheureusement, Christophe Mboso a délibérément choisi d’en être là plaque tournante.<br /><br />On ne compte plus le nombre de fois où le speaker de la chambre basse coupe le micro à ses collègues au simple motif que leurs propos ne lui plaisent pas.

On ne compte plus le nombre d’invectives à l’endroit de ces députés, surtout de l’opposition, qui choisissent d’user de leurs prérogatives parlementaires pour être carrément bannis de la vie de l’institution, interdits de fréquentation de ses couloirs administratifs, etc.<br /><br />On se souvient encore de ces propos de Christophe Mboso qui, sérieux comme une crise cardiaque, annonçait qu’il avait décidé d’un moratoire sur le contrôle parlementaire au profit du gouvernement qui venait de s’installer, alors qu’une décision aussi grave relève de la plénière souveraine. Pendant cinq mois, Mboso avait cautionné, au nom de son moratoire, que les Congolais se fassent arnaquer par le RAM alors que lui était assis sur la question orale ad hoc. Aujourd’hui encore, au nom de sa souveraineté autocratique, Mboso refuse de convoquer la plénière qui doit prendre une résolution pour la commission d’une enquête sur cette arnaque du siècle en RDC.<br /><br />On ne revient plus sur ces nombreux renvois des plénières dans le but de tirer les «warriors» de mauvaises passes. Mboso a, à ce point, vassalisé l’Assemblée nationale au profit de l’exécutif (gouvernement et Présidence de la République) qu’on ne sait plus à quoi sert encore un pouvoir législatif.

<br /><br />Faut-il revenir sur le scandaleux processus ayant conduit à la mise en place du bureau et de la plénière de la CENI (Commission électorale nationale indépendante)? Faut-il, pour cela, rappeler comment Mboso avait violé le règlement intérieur de l’organe déliberant dans la constitution de la commission spéciale en lançant un appel à candidatures alors que ce sont les groupes parlementaires qui désignent des membres de ce genre de commissions ? Faut-il rappeler que Mboso avait laissé présider cette commission par un Président d’une commission permanente, ce qu’interdit le règlement intérieur ?<br /><br />Bien d’actes peuvent continuer à s’égrener pour démontrer à quel point la chambre basse est descendue bas sous le règne de Christophe Mboso N’Kodia. Comme cette odieuse affaire de corruption au véhicule immortalisé par de mémorables audios. La corruption est, d’ailleurs, devenue le ferment qui rythme la vie à l’Assemblée nationale où, même pour aller accueillir le chef de l’État à l’aéroport, les députés doivent être «coupés».
<div><br /></div><b>exclusifrdc.com</b><div><span data-v-73b27a05="" style="background-color: white; color: #555555; font-family: Roboto-Regular; font-size: 14px; margin-bottom: 0.06rem;"><br /></span></div>

Politique Christophe Mboso et la prévarication : ça vole très bas à l’Assemblée nationale !

Moratoire sur le contrôle parlementaire, gel des motions et questions orales, vassalisation de l’Assemblée, couper la parole aux intervenan...

Congo Hold-up, cette campagne qui nuit à la RD-Congo

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhV56IwMoOOW2SLp1S9MwnfwkMKnaFbCf-6YthEUCXFIlTGHNvYPASydHZU1tXoZi2eqEGgKelC54rtS1H9LcOgDxnPq0c0f1zjCToEY_n87ptVeTZ6DUj7xSnD2yEcCgLw2LMbkRBdrUqVEAWSjTOhx8fcKAUKOfCx6Ft_kb9hsHdAf4m50vrLCQqNwg=s990" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="555" data-original-width="990" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhV56IwMoOOW2SLp1S9MwnfwkMKnaFbCf-6YthEUCXFIlTGHNvYPASydHZU1tXoZi2eqEGgKelC54rtS1H9LcOgDxnPq0c0f1zjCToEY_n87ptVeTZ6DUj7xSnD2yEcCgLw2LMbkRBdrUqVEAWSjTOhx8fcKAUKOfCx6Ft_kb9hsHdAf4m50vrLCQqNwg=s320" width="320" /></a></div>USD 130 millions détournés en RD-Congo par le clan Kabila! Le chiffre choque. Et le patronyme Kabila jette de l’huile au feu. La polémique enflamme les médias surtout locaux, et sur les réseaux sociaux, les RD-Congolais relaient machinalement cette vaste campagne sans que personne ne s’interroge sur l’intérêt caché de ce Congo Hold-up annoncé pour deux mois.<br /><br />Congo Hold-up est le meilleur exemple du pouvoir de manipulation qu’ont les grands médias. Qui les contrôlent, contrôlent l’opinion et en font ce qu’ils veulent. Les ONG et médias internationaux auteurs de cette enquête basée sur des données illicites, car volées, le savent et jonglent avec la psychologie de la masse. Mais trêve d’émotion. Permettons-nous une réflexion critique sur la démarche de Congo Hold-up. Qui finance? Pour quel enjeu? Qui perd? Et qui gagne quoi?<br /><br />Des objectifs inavoués…<br /><br />A ce jour, personne ne semble savoir qui a financé l’enquête et la campagne qui s’en suit. Mais il est facile de savoir d’où agissent ces magnats des médias, généralement en collusion avec les multinationales et de certaines puissances occidentales néocolonialistes qui pillent la RD-Congo en entretenant la guerre à l’Est sous une indifférence généralisée de ces fameuses ONG et médias pour qui le massacre de 6 millions de RD-Congolais à l’Est de la RD-Congo ne sont qu’un sujet périphérique.

<br /><br />Dans une interview accordée à Alain Foka, journaliste à «RFI», Jules Alingete Key, Inspecteur général des Finances chef de service de l’Inspection générale des Finances -IGF-, est formel: «Il y a une différence entre les enquêtes menées par l’IGF et celles menées par ces médias. Nous n’avons pas les mêmes objectifs». En deux ans, l’IGF a réalisé un travail remarquable dans la lutte contre le détournement. Les recettes engrangées par les entreprises publiques l’attestent. Et donc, elle fait son travail. «L’affaire de détournement décriée n’est pas un fait nouveau pour l’IGF», a fait remarquer Alingete avant de souligner: «Nous, nous voulons préserver l’intérêt du Congo, mais ce n’est pas le cas avec ces médias internationaux». <br /><br />Ternir à souhait l’image de la RD-Congo<br /><br />Question. Ces ONG et médias internationaux poursuivent quel l’objectif? De toute évidence ils vendent à souhait une image qui remet en cause les signaux positifs lancés par le régime Tshisekedi dans cette lutte contre le détournement et la corruption, et par conséquent, découragent tout investissement important en RD-Congo. L’intérêt? Avec la transition énergétique, la RD-Congo veut se placer comme pays solution, fer de lance dans l’exploitation et la transformation locale de son cobalt, lithium, nickel, manganèse, etc…<br /><br />Elle veut développer aux côtés des autres pays du continent et institutions financières particulièrement africaines telles qu’Afrexim Bank, la Banque africaine de développement -BAD-, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique et Africa Finance Corporation -AFC-, l’industrie de la batterie à lithium-ion. Ce qui justifie le DRC-Africa Business forum tenu du 24 au 25 novembre dernier à Kinshasa dont l’bjectif a été de stimuler le développement d’une chaîne de valeur et d’un marché dynamique pour les batteries, véhicules électriques et énergies renouvelables en Afrique. La vision de Tshisekedi a une allure panafricaine.

<br /><br />Cobalt, un enjeu de taille…<br /><br />Le coblat est un enjeu est de taille. La RD-Congo en possède plus de 50% des réserves mondiales estimées à 7 millions de tonnes en 2019. La même année, 70 % de la production minière provenait de la RD-Congo. En effet, le cobalt est indispensable pour les énergies renouvelables. Il est présent dans les aimants des turbines des éoliennes, dans les cathodes des batteries lithium-ion et des batteries à hydrure métallique de nickel employées dans les véhicules électriques ou hybrides. Ce qui représente le présent et le futur du marché de l’automobile.<br /><br />Comme l’a dit le ministre des Finances, Nicolas Kazadi: «La RD-Congo est réellement sur la trajectoire de la transformation structurelle et de la transition énergétique en vue de créer un État fort». Qui cela dérangerait si ce n’est ceux qui ont quelque-chose à perdre si jamais la RD-Congo et toute l’Afrique derrière elle atteignent cette ambition. Imaginez le manque à gagner pour les multinationales, pour les économies occidentales,… Pas besoin d’un dessin pour réaliser combien Congo Hold-up protègent leurs intérêts et nuit à ceux du pays de Lumumba. <br /><br />Une enquête qui se fonde sur des insinuations…<br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />Avec du recul, on peut également s’interroger sur le sérieux de cette enquête. Tenez. A propos du dossier détournement d’USD 43 millions de la Banque centrale par la banque BGFI Bank, l’IGF a conclu que «la BGFI Bank a reconnu ses responsabilités». Proches de Tshisekedi, Alingete rejette les insinuations de Congo Hold-up laissant entendre que l’argent aurait fini entre les mains de Kabila et ses proches. «Avec les éléments à la disposition de l’IGF c’est faux.

Aucune trace de la manipulation de ce compte par la société Egal». Tenez encore.<br /><br />L’article paru il y a quelques jours sur le site de «RFI» «Congo Hold-up: Congo Construction Compagny, le scandale du siècle». Entre deux lignes, le grand média incrimine et disculpe l’avocat Guy Loando Mboyo, actuel ministre d’Etat en charge de l’Aménagement du territoire. On y lit: «Un document … montre que Guy Loando possède 20% des parts de Congo Construction Compagny jusqu’au 25 juillet 2017. Mais il n’est pas, à première vue, parmi les principaux bénéficiaires: sur cette période, il n’a reçu de cette entreprise qu’environ 22 000 dollars en paiement direct sur les 65 millions qui ont transité sur les comptes de cette société».<br /><br />Mais le mal est fait. Sans aucune preuve, le média a réussi subtilement à le salir. Mesquin. Tout est donc clair! Les motivations de ces ONG et médias internationaux sont de nuire. Sinon, ils produiraient une enquête de cette ampleur pour dénoncer les affres soutenues par les multinationales pour exploiter impunément les richesses du congo à l’Est.<br /><br /><b><br />Africa News Rdc</b><p> </p>

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Félix Tshisekedi attendu ce lundi à Brazzaville pour une visite de travail

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgGrBJq3RqABzdNLqznvXeF84ifRv4JV_dCPuYjqwcIW3zR8YjpdvtZBI444WROkwDEn-gggS31zHqvF9Mm4HrcKtnAVumklf_9MW6NNueN-pmQfBZjksW1oY26ForFCukLowKgGp4ttyz8if5Y9WrvO-mQxywpFwqdBVFy41CcFU0HE1j94vFgBM1AXA=s893" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="591" data-original-width="893" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgGrBJq3RqABzdNLqznvXeF84ifRv4JV_dCPuYjqwcIW3zR8YjpdvtZBI444WROkwDEn-gggS31zHqvF9Mm4HrcKtnAVumklf_9MW6NNueN-pmQfBZjksW1oY26ForFCukLowKgGp4ttyz8if5Y9WrvO-mQxywpFwqdBVFy41CcFU0HE1j94vFgBM1AXA=s320" width="320" /></a></div> Le Chef de l’État Félix Tshisekedi Tshilombo est attendu ce lundi 6 décembre à Brazzaville, capitale de la République du Congo pour une visite de travail.<br /><br /><br />À en croire le cabinet présidentiel, cette visite qui ne durera que quelques heures est dans le cadre de la tripartite entre la République Démocratique du Congo, la République du Congo et la République d’Angola.<br /><br />Ainsi, les trois Chefs d’État à savoir Félix Tshisekedi, Denis Sassou Nguesso et Joâo Lourenço vont prendre part à la cérémonie de signature du protocole de collaboration entre les trois pays.<br /><br />Kevin Muteba<br />Objectif-infos<p></p>

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Des ONG dénoncent la nomination d’un oncle du premier Ministre à la tête de la Gécamines

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6izxnANFQQ17M2rxsQO1PctmRGC6o9AGXW-ik8CZ27-c4D8wJqR8xv-m9Bkq5v7-fkP5lj0racVLtFNhEX1pNkkwKXPf7vpZoF6tDQqBLV0LB-OQQvHpxpio77F5ToQUmdoH3X5il1aTT/s907/szqzser.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="499" data-original-width="907" height="176" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6izxnANFQQ17M2rxsQO1PctmRGC6o9AGXW-ik8CZ27-c4D8wJqR8xv-m9Bkq5v7-fkP5lj0racVLtFNhEX1pNkkwKXPf7vpZoF6tDQqBLV0LB-OQQvHpxpio77F5ToQUmdoH3X5il1aTT/s320/szqzser.png" width="320" /></a></div> S’achemine-t-on vers la politisation éternelle des entreprises publiques ? La question est sur toutes les lèvres en République Démocratique du Congo. Les dernières ordonnances présidentielles du vendredi 3 décembre 2021 continuent de susciter des réactions. Comme sous joseph Kabila, les nominations ont été effectué sur base des critères politiques, jetant ainsi le discrédit sur la volonté du pouvoir à changer le mode de gouvernance des entreprises étatiques.<br /><br />“Les nominations faites par le Président de la République ne vont rien changer étant donné que la plupart n’est pas faite par la voie d’un concours public et transparent”, a réagi Ernest Mpararo de la Ligue congolaise contre la corruption (Licoco) dans un entretien accordé à Tsieleka.com. Et de poursuivre, “par exemple, le PCA (président du conseil d’administration) serait l’oncle du Premier Ministre même s’il a travaillé à la Gécamines. Je pense que le changement à la GCM ne sera pas pour demain alors qu’elle est la seule entreprise publique ayant un bilan financier positif pour l’année 2020, si vous lisez le rapport financier pour l’exercice 2020”.

<br /><br />Avant ces nominations, plusieurs députés,  à l’instar d’André Lubaya avaient appelé le gouvernement à éviter une gestion clanique des entreprises publiques.Ce qui n’a pas été le cas. 
A la Gecamines  Alphonse Kaputo Kalubi a été nommé Président du conseil d’administration en remplacement d’Albert Yuma.“Le Premier Ministre trouve normal d’avoir proposé son oncle maternel comme PCA d’une grande entreprise minière publique dont lui-même était DG? Aucun autre congolais valable n’existe pas pour lui en remplacement de monsieur Yuma Albert?”, s’est interrogé Franck Fwamba du mouvement ne Touche pas à mon Cobalt.

<br /><br />Une chose est sûre, eu égard à ces nouvelles nominations, la République démocratique peine à mettre en œuvre les réformes du portefeuille de l’Etat amorcées en 2008. Pourtant, les audits de l’inspection générale des finances effectués entre janvier et juillet dernier ont démontré que toutes les entreprises publiques ont été transformées en une caisse de financement des acteurs politiques, au détriment des dépenses d’investissement et de rémunérations des agents.<br /><br />tsieleka.com<p></p><br /><p></p>

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Thierry Michel, accusé de plagiat par un cinéaste congolais, veut porter plainte

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjhLVsBfp-ZJPaSVyWyUYYwLNEohB3mbJrzxK6G2zsjGmuaW1-w_0RTpMX7tGIg-G2tcfz-63Il6WWFUNS6S9LdB4hGYhPG9xqbxiD7HA_FGJxKVCO7qc3fNgL6tDH_rZLEiKh5KKUxzgLbInShL3UPEelPpTIZF5t0I5TfQ3nW8qtO3c-y6cXUAmUXgw=s995" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="496" data-original-width="995" height="160" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjhLVsBfp-ZJPaSVyWyUYYwLNEohB3mbJrzxK6G2zsjGmuaW1-w_0RTpMX7tGIg-G2tcfz-63Il6WWFUNS6S9LdB4hGYhPG9xqbxiD7HA_FGJxKVCO7qc3fNgL6tDH_rZLEiKh5KKUxzgLbInShL3UPEelPpTIZF5t0I5TfQ3nW8qtO3c-y6cXUAmUXgw=w320-h160" width="320" /></a></div>Le cinéaste belge Thierry Michel a annoncé dimanche son intention de déposer plainte devant la justice pour "diffamation" et "calomnie" contre un réalisateur congolais, Gilbert Balufu, qui l'accuse de plagiat lors de la réalisation de son dernier documentaire, "L'Empire du silence", un plaidoyer en faveur de la lutte contre l'impunité qui règne depuis des décennies en République démocratique du Congo (RDC).<br /><br />Chaque semaine, recevez l’essentiel de l'actualité sur le thème de l'Afrique. Toutes les infos du continent africain bientôt dans votre boîte de réception. OK<br /><br />"Thierry Michel dénonce, preuves à l'appui, les accusations mensongères et calomnieuses de M. G. Balufu, l'accusant de plagiat, et le menaçant ainsi que son preneur de son congolais Cedric Mbongo, de comparaître en justice", a indiqué sa maison de production, Les Films de la Passerelle, par le biais d'un communiqué de sa gérante et administratrice, Christine Pireaux.

<br /><br />"L'Empire du silence" est le dernier film de Thierry Michel - une dizaine d'autres l'ont précédé au cours des trente dernières années - consacré à la RDC. Il a été présenté en avant-première mondiale fin octobre à Bruxelles et à trois reprises fin novembre à Kinshasa, dans la grande salle du Palais du Peuple, le siège des deux chambres du parlement (Assemblée nationale et Sénat).

<br /><br />"Trois jours après la présentation de son nouveau film (...), Thierry Michel est accusé, de manière mensongère et malveillante, de plagiat par Gilbert Balufu, réalisateur en 2015 du documentaire 'Congo, le silence des crimes oubliés'", ajoute le communiqué publié dimanche. <br /><br />Les Films de la Passerelle citent quelques exemples prouvant, selon la maison de production, qu'il ne s'agit pas de plagiat, dont le nombre de personnes qui témoignent dans "L'Empire du silence". Un seul protagoniste est commun aux deux films: il s'agit du docteur Denis Mukwege.<p></p><p><b>Belga</b></p>

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Le cinéaste belge Thierry Michel a annoncé dimanche son intention de déposer plainte devant la justice pour "diffamation" et ...

UNIKIN : la chanson » Nini tosali te » et MPR au centre d’un examen à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhtHzMXD7E5RS-TyUO3t0O7HQHGfHhR8j65MsX-tDhUv4hxfUwExU7AZF0qFdOOg4s9A054gX-XpI7Jbw5Paf2DdK_wQ8t9OgCtznqdBD24FHQoogyuLzq3OtHzZOJZgiizO-xsfJuMJM7I0LSPG3kLNKBz-bVKuIV-50nqrGQGrFLlpCsOvypdJ5x82g=s659" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="492" data-original-width="659" height="239" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhtHzMXD7E5RS-TyUO3t0O7HQHGfHhR8j65MsX-tDhUv4hxfUwExU7AZF0qFdOOg4s9A054gX-XpI7Jbw5Paf2DdK_wQ8t9OgCtznqdBD24FHQoogyuLzq3OtHzZOJZgiizO-xsfJuMJM7I0LSPG3kLNKBz-bVKuIV-50nqrGQGrFLlpCsOvypdJ5x82g=s320" width="320" /></a></div> » Soit la chanson Nini tosali te (MPR) : Quel est le signe construit par l’auteur ? Quels sont les signes à partir desquels l’auteur a construit le signe ? Quels rapports établissez-vous entre ce signe et les signes qui l’ont construit ? « .<br /><br />Ce questionnaire vient d’être soumis aux étudiants de première Licence du département des Sciences de l’information et de la Communication, de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université de Kinshasa.<br /><br /><br />C’est dans le cadre du cours de Sémiologie de la communication, dispensé par le professeur Julien Mbwangi Mbwangi, que des étudiants ont eu à faire face, lors de la première session d’examens, pour l’année académique 2020-2021, à ce questionnaire portant essentiellement sur cette chanson qui défraye la chronique.<br /><br /><br />L’examen en question vient de s’ajouter aux multiples commentaires suscités dans les réseaux sociaux, par ladite chanson, vu son caractère interpellateur à l’endroit des dirigeants et responsables socio-économico-politiques.

<br /><br />La rédaction de CONGOPROFOND.NET s’est penchée davantage sur cette démarche purement scientifique et non politique afin d’éclairer l’opinion sur les contours de cette œuvre qui a bougé toutes les sphères du pays.<br /><br /><br /><br />En effet, la chanson en tant que mode de communication, constitue bien évidemment un champ d’études et d’analyses de spécialistes des Sciences de l’information et de la communication.<br /><br />Le choix de  » Nini tosali te « , par le professeur Julien Mbwangi, dans le cadre son cours, pourrait simplement se justifier par son caractère d’actualité.

<br /><br /><br />Rappelons que  » Nini tosali te ( Qu’avons-nous pas fait ?) « , est une œuvre du groupe musical MPR, qui vient d’accrocher plus d’un Congolais, parce qu’ interpellant les décideurs sur la misère de la population.<br /><br />Aussitôt lancée sur le marché de disques, elle a créé du boom dans le milieu aussi bien social que politique.<br /><br />Les réactions ont fusé de partout. Les hommes politiques, du pouvoir comme de l’opposition, ont donné de la voix quant à ce.<br /><br /><br />A l’instar de  » Nakomitunaka  » de Verckys Kiamuangana Mateta de 1973, qui s’interroge sur l’origine de l’homme noir,  » Nini tosali te  » s’appesantit, quant à lui, sur la situation sociale du peuple congolais qui ne s’améliore pas, en dépit de plusieurs changements des régimes politiques.<br /><br /> » Vous nous aviez promis le bonheur, après le départ de Mobutu.

Mobutu est parti, mais on a rien vu. Vous nous avez dit que tout va s’arranger si Kabila quittait le pouvoir. Kabila est parti, mais c’est toujours compliqué, malgré le changement de régime dans le pays « , soulignent ces jeunes artistes kinois du groupe MPR.<br /><br /><br />Notons qu’aussitôt interdite de diffusion par la commission nationale de censure le 08 novembre 2021, cette chanson a obtenu la levée de cette mesure par le même organe, un jour après, soit le mercredi 10 novembre 2021 grâce à un tollé général sans pareil !<br /><br />C’est ici l’occasion de féliciter le pouvoir de Félix-Antoinne Tshisekedi Tshilombo, pour son respect de la liberté d’expression et d’opinion.<br /><br />C’est une véritable interpellation des autorités, un éveil de conscience collective, pour l’amélioration des conditions de vie des congolais.<br /><br />Jules KISEMA/Congoprofond.net<p></p>

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Signature, ce lundi à Brazza, d’un accord énergétique par la Tripartite Tshisekedi – Lourenço – Sassou

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXX7nYi0ZMo-5AdGGXpiVZpYZzyjVblL4O1gEZ_hsviBIaXSgeUMoRKwDXOZseCiB-4P9qZODiP22tAhTABasLHoYWADXTXMOn3Yy2-K_TyKVo4-c_iSYDKpfLQZwo-LfpOKDFZbdBo5c7D0Z_z_a-DwTKP1kcNKLJSK-7nB-jxg53wqA1343TPrH2Qg=s1490" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="836" data-original-width="1490" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXX7nYi0ZMo-5AdGGXpiVZpYZzyjVblL4O1gEZ_hsviBIaXSgeUMoRKwDXOZseCiB-4P9qZODiP22tAhTABasLHoYWADXTXMOn3Yy2-K_TyKVo4-c_iSYDKpfLQZwo-LfpOKDFZbdBo5c7D0Z_z_a-DwTKP1kcNKLJSK-7nB-jxg53wqA1343TPrH2Qg=s320" width="320" /></a></div> Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est attendu ce lundi 6 décembre 2021 à Brazzaville, pour participer à la tripartite entre la République Démocratique du Congo, la République du Congo et la République d’Angola.<br /><br />Les trois Présidents se retrouveront d’ici quelques heures pour parler de la coopération triangulaire entre voisins, principalement dans le secteur énergétique.<br /><br /><br />On apprend qu’à l’issue de cette rencontre tripartite de Brazzaville, un accord énergétique sera signé par les trois Chefs d’État. Aucun détail n’a été fourni en rapport avec cet accord qui pourra intervenir aujourd’hui.

<br /><br />Toutefois, il importe de rappeler l’impressionnant potentiel énergétique dont regorge  la République Démocratique du Congo dont le porte-étendard se trouve être le barrage d’Inga, capable de subvenir aux besoins en énergie de tous ses voisins et d’une grande partie du continent africain.<br /><br />Pour les analystes, le dossier «Grand Inga» ou encore Inga III ne manquerait pas de faire l’objet des discussions entre les trois Chefs d’État.<br /><br />Le Phare<p></p>

Politique Signature, ce lundi à Brazza, d’un accord énergétique par la Tripartite Tshisekedi – Lourenço – Sassou

Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est attendu ce lundi 6 décembre 2021 à Brazzaville, pour participer à la...

Nouvelles mesures contre la 4eme vague Covid-19 : l’exemple doit venir d’en haut !

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg5ariuH4cWaFd1_HtO6HHrDjQijsipTmW2PVEhs8wqsVW_-B8rmDA1_Aac5hJi7Yh6kAflIChVpmjHdpQsp9VmUZTHiSQHihXlZ8u5CWXKVSsZGXf5Rw8gf69AWOyeAxNhbL3zZSh4fmvrFDcaI-DGyLWqKOv5oVBcmvC0mHEmT7yq7zYNIO75bHjF_A=s993" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="993" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg5ariuH4cWaFd1_HtO6HHrDjQijsipTmW2PVEhs8wqsVW_-B8rmDA1_Aac5hJi7Yh6kAflIChVpmjHdpQsp9VmUZTHiSQHihXlZ8u5CWXKVSsZGXf5Rw8gf69AWOyeAxNhbL3zZSh4fmvrFDcaI-DGyLWqKOv5oVBcmvC0mHEmT7yq7zYNIO75bHjF_A=s320" width="320" /></a></div> De nouvelles mesures pour faire face à la 4eme vague de la Covid-19 sont imminentes. Alors que les autorités doivent prêcher par l’exemple, il s’est toujours remarqué, fort malheureusement, qu’elles-mêmes qui prennent des mesures, sont les premières à les violer.<br /><br />Au plus fort de la 3eme vague par l’exemple, le Chef de l’État avait annoncé, en juin dernier, des mesures dont certaines sont encore en vigueur aujourd’hui. Il s’agissait, notamment, de l’interdiction de l’organisation des funérailles, de la fermeture des boîtes de nuit et discothèques et de l’avancement du couvre-feu à 22h.<br /><br />Que n’ avait-on pas constaté ? A quelques jours seulement après l’annonce de ces mesures, Félix Tshisekedi lui-même assistait à des obsèques de son conseiller, Me Théthé Kabwe, aux côtés de plus de 500 personnes dont la plupart ne portaient même pas des masques et à l’absence totale de la distanciation sociale.

<br /><br />Le chef de l’État et toutes les autorités civilo-militaires ont aussi violé le couvre-feu à Lubumbashi lors de sa visite : « Vous êtes exemptés par ce que vous êtes avec le Chef de l’État », avait lâché Félix Tshisekedi dans une vidéo qui avait suscité tant d’indignations sur la toile.<br /><br />Partout sur le territoire, des informations faisant état du non-respect des mesures par les autorités étaient quotidiennent rapportées.

<br /><br />A l’approche des festivités de fin d’année, il s’avère donc nécessaire, pour le respect strict de nouvelles mesures, que les autorités elles-mêmes prêchent par l’exemple.<br /><br />Pour rappel, le ministre de la santé publique avait, au cours d’un conseil des ministres en fin novembre, proposé notamment un possible confinement en vue de limiter la propagation de la 4eme vague de la maladie. Ce, au regard de la montée du taux de contamination en Europe et de la découverte d’un nouveau variant en Afrique Australe.<br /><br />Parmi les mesures proposées, il s’agit notamment de : la restriction des mouvements des personnes, renforcement du couvre-feu, limitation des rassemblements, réaménagement du travail dans l’Administration, la surveillance renforcée au niveau des frontières avec notamment des Tests Rapides.<br /><br />24sur24.cd<p></p>

Politique Santé Nouvelles mesures contre la 4eme vague Covid-19 : l’exemple doit venir d’en haut !

De nouvelles mesures pour faire face à la 4eme vague de la Covid-19 sont imminentes. Alors que les autorités doivent prêcher par l’exemple,...

Interdiction de couper le bois rouge dans le Haut-Katanga

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbFxP5RPgDr9reZGKIEC4iAWGT3EyzmDZvi4PnyX-qcQnflBtRA3yaWfuRM_sSqeyFxhoQH2XaW-1bTyyOX855A9OSlgDTmGl7q2iuMYsuNWy9YykGYBAhH2jGIT8Q6Y7ReEybXY5Xa3TCN7NRy7h9bCHcCYXwMMZC9Vm2H3u2koiG2f-nylhvSeW7bw=s989" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="989" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbFxP5RPgDr9reZGKIEC4iAWGT3EyzmDZvi4PnyX-qcQnflBtRA3yaWfuRM_sSqeyFxhoQH2XaW-1bTyyOX855A9OSlgDTmGl7q2iuMYsuNWy9YykGYBAhH2jGIT8Q6Y7ReEybXY5Xa3TCN7NRy7h9bCHcCYXwMMZC9Vm2H3u2koiG2f-nylhvSeW7bw=s320" width="320" /></a></div> Le vice-gouverneur du Haut-Katanga,  Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a interdit aux exploitants forestiers artisanaux de sa juridiction de couper le bois rouge afin de conserver la nature sur toute l’étendue de la province.<p></p><br /><br />Cette mesure du Gouvernement Kyabula vise à renforcer encore plus les dispositifs en vue de protéger l’environnement à l’heure où le monde fait face au réchauffement climatique.<br /><br />C’était au cours de la réunion qu’il a présidée jeudi au gouvernorat à leurs intentions.

<br /><br />Le Président des Exploitants Forestiers Artisanaux et Exportateurs du bois rouge Haut-Katanga, Jean Lwamba, a mis en garde tous ses membres quant au respect strict de cette décision.<br /><br />Jean-Pierre Ilunga Ngwej, Coordonnateur Provincial à l’Environnement est revenu sur cette mesure à l’issue de la réunion.<br /><br />ACP

Province Société Interdiction de couper le bois rouge dans le Haut-Katanga

Le vice-gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a interdit aux exploitants forestiers artisanaux de sa juridiction de coup...

Coopération Sino-congolaise : la Sicomines tourne le dos à la campagne menée contre la Chine et appelle le gouvernement congolais à faire confiance à l'élan de développement déjà entrepris

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEip6650Msrvw4SVV4thSlwAycwnrhZJJnXN6b6FVgWy-rLHHyaKDQr40Lt094Gyd1seyplPjSFatfVq8msQ3-f14hOiDFqGC4obEKwDEdwltQoVkwr3SQb66Ykurnb4f4l3V3ikv5Vl6LLAZZ2ZZTF3-UpLpbAKGSU7t8eSpJc_GjBo9xSpovXeeDWhOw=s1097" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="1097" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEip6650Msrvw4SVV4thSlwAycwnrhZJJnXN6b6FVgWy-rLHHyaKDQr40Lt094Gyd1seyplPjSFatfVq8msQ3-f14hOiDFqGC4obEKwDEdwltQoVkwr3SQb66Ykurnb4f4l3V3ikv5Vl6LLAZZ2ZZTF3-UpLpbAKGSU7t8eSpJc_GjBo9xSpovXeeDWhOw=s320" width="320" /></a></div> La Sino-congolaise des mines (Sicomines S.A), par le biais de ses services de communication, a fait une nouvelle mise au point par rapport aux enjeux de l’heure ce samedi 4 décembre. Elle annonce sa décision de se passer définitivement de la campagne menée depuis quelque temps par, dit-elle,  “des occidentaux” contre la République de Chine. Dans la foulée, la Sicomines S.A appelle le gouvernement de la République Démocratique du Congo, à faire confiance à l'élan de développement déjà entrepris dans le cadre de ce partenariat dont le contrat est fait de manière “équitable”.<br /><br />« Le contrat Sino-congolais est une joint-venture qui respecte la répartition des parts et non une entreprise destinée à un groupe d'individus comme le prétendent les spéculations de ceux qui veulent entraver la bonne continuité ainsi que l'exécution intégrale de ce partenariat. Se référant au fameux rapport "Congo hold-up", la Sicomines révèle qu'il y a de ces signes qui ne trompent pas soulignant par exemple le fait de présenter  la SICOMINES  comme une entreprise entièrement chinoise et que ses actionnaires étant “ deux groupes industriels détenus par l'Etat chinois.

Or, l'Etat congolais y est présent à travers la Gécamines », écrit la Sicomines. <br /><br />La joint-venture Sino-congolaise considère que les opinions des occidentaux visent, pour seul l’objectif, à disqualifier ce partenariat existant entre les deux pays pour leur permettre de reconquérir le terrain.<br /><br /><br />« Dans la documentation réunie par le consortium European Investigative Collaborations (EIC) à l'initiative de laquelle l'enquête Congo Hold-Up est réalisée et est en diffusion depuis le 19 novembre, les opinions des journalistes, des activistes et des politiques occidentaux vont dans le sens de diaboliser la coopération sino-congolaise pour sa disqualification certes, mais surtout reprendre pied sur le continent africain, particulièrement la République Démocratique du Congo », explique la Sicomines.<br /><br />Et de poursuivre :<br /><br /><br />« Il s'observe dans le chef des gouvernements, des multinationales, des médias et des ONGs, les tirs groupés et croisés sur le contrat Sino-Congolais, tout en portant un message révélateur pour le peuple congolais en particulier, et africain en général.

Les puissances occidentales ayant exploité en solo les ressources naturelles de la RDC plus d'une centaine d'années avant la Chine se réveillent soudain pour rentrer sur le continent. Où étaient-ils au cours des 30 dernières années ».<br /><br />Bien plus, la Sicomines dit regretter le fait qu’il y ait certaines personnes, au sein de la presse notamment, qui parlent en mal de ce programme de partenariat et ce, sans se soucier de penser à approcher l’entreprise pour des éventuelles clarifications à propos de l’exécution ou non de tel ou tel autre projet.<br /><br />Des actions menées pour saboter la coopération Sino-congolaise<br /><br />La Sicomines dénonce, en outre, de multiples actions menées pour saboter les relations tant diplomatiques qu'économiques qu'entretiennent la Chine et la RDC, en l'occurrence le contrat qui lie les deux parties dans le cadre du partenariat sino-congolais.<br /><br /><br />« Alors que la Sicomines multiplie les stratégies et moyens pouvant répondre au bien-être socio-économique de la population de la RDC, les médias internationaux tirent à leur tour les ficelles par des spéculations sans fondement ni preuve concrètes, sans connaissance des contenus et contextes de ce contrat », renchérit la Sicomines.

<br /><br />A propos du rapport Congo Hold-up, la Sicomines réaffirme sa position : « la Sicomines n’est impliquée ni de près ni de loin à des actes de corruption ou à la promotion des antivaleurs ».<br /><br />La joint-venture note que depuis la première exploitation industrielle des minerais du Congo au Katanga autour des années 1902 et 1906, jamais l'industrie n'a atteint le niveau de la SICOMINES S.A. en matière de technologie en équipements de production, en encadrement social et en protection de l'environnement, notant que c'est tout simplement parce que la Chine en a fait son fleuron avec intention d'une duplication en Afrique. Pour la Sicomines, « c’est sans doute cette perspective qui effraie et énerve les exploitants occidentaux qui, eux, ne veulent pas investir dans les nouvelles technologies ni dans l'encadrement social adéquat, encore moins dans la protection effective de l'environnement », tranche la Sicomines. <br /><br />La Sino-congolaise des mines dit rester attachée à son partenaire, la RDC, et s'emploie à trouver davantage des solutions adéquates capables de susciter le développement dans tous les territoires nationaux.<br /><br />Japhet Toko

Coopération Sino-congolaise : la Sicomines tourne le dos à la campagne menée contre la Chine et appelle le gouvernement congolais à faire confiance à l'élan de développement déjà entrepris

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Activités au Nord-Kivu et Ituri : Julien Paluku s'est exprimé à Goma

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjFs1MNvvkDJ9q4zwzRgHr9_78VQhmR2kBi9jQhnFnpGleYq20BIEDQwcbF_ayaUbDQcw_P_-7MFCMdIQT5nfzeqg3MWhbWEFDCjyl1suyQ0T56NRD3TtO7SM1xweCyOiejOr0-K2C8kSAHlfeARLKYq3Ra0K1-7trdTYAi-2dGZa6-KcX3Qptn4s_8Fw=s1271" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="713" data-original-width="1271" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjFs1MNvvkDJ9q4zwzRgHr9_78VQhmR2kBi9jQhnFnpGleYq20BIEDQwcbF_ayaUbDQcw_P_-7MFCMdIQT5nfzeqg3MWhbWEFDCjyl1suyQ0T56NRD3TtO7SM1xweCyOiejOr0-K2C8kSAHlfeARLKYq3Ra0K1-7trdTYAi-2dGZa6-KcX3Qptn4s_8Fw=s320" width="320" /></a></div> L’évolution de la situation sécuritaire dans les provinces de Nord-Kivu et Ituri ne cesse de troubler les dignes fils du Congo soucieux du climat sécuritaire dans la partie Est de la République Démocratique du Congo.<br /><br />L’ancien gouverneur du Nord-Kivu et actuellement ministre de l’industrie, Julien Paluku Kahongya, est arrivé à Goma ce Dimanche 5 décembre 2021 où il a tenu à s’exprimer devant la population venue lui rendre un accueil chaleureux.<br /><br />L’ancien gouverneur de la province du Nord-Kivu a, devant les hommes et femmes venus l’accueil, lancé un message de réconfort. Dans son allocution, le membre du gouvernement Sama Lukonde a exhorté la population de deux provinces sous état de siège de vivre dans la paix et la solidarité. Le ministre de l’industrie a dont fait savoir qu’il n’y a aucun changement sans la mise en place dans le chef de la population de deux provinces de valeurs constructrices afin de faire avancer l’État.

<br /><br /><br />« Je suis à Goma d’abord comme un fils de cette province et membre du gouvernement congolais, mon premier message est seul de solidarité et de paix envers toute la population du Nord-Kivu et de L’ituri » a-t-il déclaré<br /><br />Dans la foulée, l’ancien patron de l’exécutif provincial du Nord-Kivu a exhorté la population des provinces sous état de siège à soutenir les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Selon lui, la coopération entre population et FARDC permettra de stopper les actions infructueuses de l’ennemi et permettra à la population de recouvrer sa totale liberté.

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Élections 2023 : La CENI se dote d'une feuille de route

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgb_Rm1pv9l24wGDjV1mGx79lZFeWqITj30d6MCXsu4UFPKarblFYAVCg-uNpdS2GE1FkdSq-m4LSsJwjn4GozOAvvLRSzqqZ9KtVLUJHSJENAnT6w5DigBxS9nIsqJ_DOh2HWU5d_jYoY2tmcCofuAVzkqFG-da0FmzRjC-pVGVnJf3nYi7bnmNA2Cww=s989" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="989" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgb_Rm1pv9l24wGDjV1mGx79lZFeWqITj30d6MCXsu4UFPKarblFYAVCg-uNpdS2GE1FkdSq-m4LSsJwjn4GozOAvvLRSzqqZ9KtVLUJHSJENAnT6w5DigBxS9nIsqJ_DOh2HWU5d_jYoY2tmcCofuAVzkqFG-da0FmzRjC-pVGVnJf3nYi7bnmNA2Cww=s320" width="320" /></a></div>La Commission électorale nationale indépendante (CENI) s'est dotée d'une feuille de route des opérations électorales de 2023. C'était au terme du séminaire d'imprégnation organisé, à Kinshasa, en République démocratique du Congo, du 26 novembre au 05 décembre 2021, à l'intention des membres du bureau et de l'assemblée plénière de la Centrale. <br /><br />D'après le président de cette institution d'appui à la démocratie, Denis Kadima, ces assises ont permis également à la CENI de disposer d'un budget des opérations électorales futures.<br /><br /><br />"Que dire des résultats palpables de ce séminaire ? En fait, ce séminaire a permis à la CENI de disposer désormais d'une feuille de route, des orientations en rapport au plan stratégique que nous allons développer dans l'avenir, un budget des opérations futures, d'un plan logistique des opérations, d'un canevas des réformes du cadre légal, d'une stratégie de sensibilisation et d'une stratégie de communication publique. Nous pouvons affirmer aujourd'hui, que la CENI a balisé le chemin qui va conduire le pays aux élections futures que tous, nous voulons vivre démocratiques et transparentes, avec la participation de toutes les parties prenantes au processus électoral", a-t-il dit dans son discours.

<br /><br />Pour lui, ce séminaire a aussi apporté un plus dans la connaissance des membres de la CENI sur les fondamentaux à maîtriser pour diriger cette institution.<br /><br /><br />"La CENI vient de consacrer 10 jours de réflexion et d'analyse critique sur les matières électorales, du 26 novembre au 05 décembre, durant ce séminaire d'imprégnation structurelle et thématique des membres du bureau et de l'assemblée plénière de la CENI. Cet exercice intellectuel, loin d'avoir fatigué les esprits, a plutôt apporté un plus dans la connaissance des uns et des autres sur les fondamentaux qu'il faut maîtriser pour prétendre administrer avec efficacité une institution de l'ampleur de la CENI. À cette occasion, les membres de la CENI ont eu l'opportunité d'apprécier les compétences techniques et professionnelles dont regorge l'institution à travers les différents exposés sur les thématiques opérationnelles transversales et spécifiques et au cours des travaux en commissions", a renchéri le président de la Centrale électorale.<br /><br />Par la même occasion, Denis Kadima a exhorté les uns et les autres à adopter un comportement responsable pour mener à bon port la mission leur confiée, celle d'organiser les élections de 2023.

<br /><br /><br />"En substance, ça signifie que nous avons l'appui du gouvernement. Mais en même temps, nous sommes observés. Tous nos actes sont analysés et je pense que si nous nous comportons bien, les choses iront pour le mieux. Le message est clair, c'est une question de bonne gouvernance. Nous devons toujours nous rappeler que nous sommes un pays qui n'est pas pauvre mais disons un pays qui n'a pas des moyens de sa politique. Donc, les quelques ressources qu'on nous donne, ça signifie que d'autres segments de la société ont été sacrifiés. Donc, nous devons en être très conscients", a-t-il déclaré.<br /><br />Il a, par ailleurs, remercié les conférenciers extérieurs qui ont apporté de l'éclairage sur la manière de mener les opérations électorales, mais aussi les agents et cadres de la CENI ppour avoir contribué à la réussite de ce séminaire, tout en les encourageant à l'aller de l'avant.<br /><br />Pour rappel, trois grands temps ont marqué le séminaire d'imprégnation des membres de la CENI, à savoir : l'imprégnation structurelle, l'imprégnation thématique, mais aussi des travaux en commissions dont la validation des conclusions a constitué la feuille de route des prochaines opérations électorales.<br /><br />Prince Mayiro<p> </p>

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RDC : Grâce à l'impulsion du chef de l'État, la DGDA dotée d’infrastructures modernes au poste de Kasumbalesa

December 06, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsTveFDpP7CT1ceV0o_tM3zWYeD_Dr0OkC0IQpLkz9gf0LY_L1qfDgv1Oss3ubDOgOS9z1BWtQiF0aV_w9JN4LpWW-7pHAg2Cr3N_c98vILYHx99UggKieT2_YoSMgd9sK5Elxq4ID58ZDoo7eeEtMCZtL7cTPdP7rcOVUSyqPx3N2W7B-U-jrWxD-bw=s965" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="965" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsTveFDpP7CT1ceV0o_tM3zWYeD_Dr0OkC0IQpLkz9gf0LY_L1qfDgv1Oss3ubDOgOS9z1BWtQiF0aV_w9JN4LpWW-7pHAg2Cr3N_c98vILYHx99UggKieT2_YoSMgd9sK5Elxq4ID58ZDoo7eeEtMCZtL7cTPdP7rcOVUSyqPx3N2W7B-U-jrWxD-bw=s320" width="320" /></a></div><p></p><br />La Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA), une des régies financières de la République démocratique du Congo, vient d’être dotée d’un nouveau bâtiment moderne, construit selon les standards internationaux, au poste de Kasumbalesa dans la province du Haut-Katanga. <br /><br />L'information a été confirmée à 7SUR7.CD ce lundi 6 décembre 2021 par des sources proches de la DGDA. À les en croire, ce bâtiment est aussi doté d'un système informatique de haute technologie et d'une voie d’évacuation exclusivement douanière. <br /><br /><br />"En effet, la volonté exprimée par le chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo de voir Kasumbalesa jouer pleinement son rôle de l’un des plus grands postes douaniers aux frontières d'Afrique Australe, s’est concrétisée", a affirmé une de nos sources.

<br /><br />En outre, ce bâtiment moderne de 2.400 m² est équipé des matériels nécessaires à l’ordre opérationnel. Cet ouvrage est doté d’un parking de 250.000 m² et d’un matériel numérique de "haute technologie". <br /><br /><img src="https://www.7sur7.cd/sites/default/files/inline-images/IMG-20211206-WA0034.jpg" /><br /><br />Toujours selon nos sources, ces infrastructures seront inaugurées dans les tout prochains jours. Le but est de permettre à la DGDA d'améliorer la qualité des services dans le souci de consolider l’augmentation des recettes publiques. <br /><br /><br />"Ces nouvelles infrastructures ont été construites avec des fonds propres générés à Kasumbalesa grâce à l’implémentation d’un dispositif anti-coulage des recettes douanières 100% congolais opérationnel depuis près de 2 ans", renchérissent-elles.
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<br /><br />Elles précisent par ailleurs que la traçabilité des recettes a été restaurée à la DGDA. Cela a eu comme effet, la hausse des revenus de ce poste frontalier qui dépassent les 1.000% et l'amélioration de la gestion du trafic import-export.<br /><br />Signalons par ailleurs que la mise en œuvre de ce projet a été suivi par le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui, selon nos sources, tient à l’amélioration de la gestion de ce poste frontalier du pays et sa numérisation avec l’accompagnement des compétences locales. <br /><br />Jephté Kitsita<p> </p>

Société RDC : Grâce à l'impulsion du chef de l'État, la DGDA dotée d’infrastructures modernes au poste de Kasumbalesa

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