RDC: dans le Nord-Kivu, l'arrivée de l'armée ougandaise inquiète les habitants

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgsZV91uH-AydZXSJaNsef_00NxceIJL2haViOoNCZ6LWPoHJuxZCWq09jw9fsGcGPYN7B--BsjqiN0GtuuTAbntzC6fBgnohwgFD-SNn33XwRKWdiZzzBn5oJlzUol7LqaH7UD-IvDYaeiA1bpALfbJX5C53QbaHMExMQWwh9OAkAMgDHMc6fROSM5zw=s988" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="547" data-original-width="988" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgsZV91uH-AydZXSJaNsef_00NxceIJL2haViOoNCZ6LWPoHJuxZCWq09jw9fsGcGPYN7B--BsjqiN0GtuuTAbntzC6fBgnohwgFD-SNn33XwRKWdiZzzBn5oJlzUol7LqaH7UD-IvDYaeiA1bpALfbJX5C53QbaHMExMQWwh9OAkAMgDHMc6fROSM5zw=s320" width="320" /></a></div> Le major-général ougandais Kayanja Muhanga supervise les opération dans l'est de la RDC, ici le 8 décembre 2021. AFP - SEBASTIEN KITSA MUSAYI<br /><br />Dans l'est du pays, l’armée ougandaise déploie progressivement ses troupes depuis fin novembre. Le 9 décembre, un accord de défense commun a été signé entre le ministre congolais de la Défense et son homologue ougandais. Objectif : traquer les ADF, groupe armé d’origine ougandaise, qui sévissent dans la région de Béni, au nord-est de la RDC. À Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, les ressortissants revivent de mauvais souvenirs après les années d'occupation de l'armée ougandaise de 1997 à 2003. <br /><br /><br />Avec notre envoyée spéciale à Goma, Coralie Pierret <br /><br />Dans l’ombre d’un bar de Goma, un client scrute les entrées et les sorties. Il a grandi à Beni, la seconde ville de la province du Nord-Kivu, et reste jusqu’à aujourd’hui marqué par l’occupation ougandaise à la fin des années 90 : « Ce n'est pas la première fois que l'armée ougandaise arrive à Beni. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Je suis arrivé à Beni quand j'avais 10 ans. Ils tuaient, ils volaient... Ça ne s'oublie jamais. »<br /><br />À quelques rues, Stewart Muhindo, militant du mouvement citoyen La Lucha, est lui aussi ressortissant du grand Nord. Il était de ceux qui réclamaient depuis 2020 qu’un appui militaire extérieur soit apporté aux forces congolaises.<br /><br />« C'est quand même assez difficile à comprendre que les mêmes populations qui ont été victimes des affres de l'armée ougandaise soient obligées de la recevoir comme sauveuse, s'indigne le militant. Il y a le désarroi d'être tué chaque fois, mais il y a aussi cette crainte que les faits que nous avons vécus reviennent. » <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br />Informations au compte-goutte<br /><br />Aujourd’hui, <b>plus de 1 500 soldats ougandais ont traversé la frontière.</b> Mais les informations arrivent au compte-goutte jusqu’à Goma, déplore Louise Nyota, la vice-présidente de la société civile du Nord-Kivu : « Il n'y a pas beaucoup d'informations. Quand nous faisons la réunion de sécurité, souvent nous, la société civile, ne sommes pas impliqués. Ici, maintenant, nous attendons les résultats... »<br /><br />Depuis 2013, selon l’épiscopat congolais, plus de 6 000 personnes ont été tuées dans la région de Beni.<p></p><p><br /></p><p>RFI</p>

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Le major-général ougandais Kayanja Muhanga supervise les opération dans l'est de la RDC, ici le 8 décembre 2021. AFP - SEBASTIEN KITSA ...

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Discours du chef de l’Etat à la Nation : les Indignés se refusent de fêter

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgGldzo8B6mncGcjPmfE-aqNQo57Z03SvJfFBrwBl4D3EkXBSkCYpsT51Dl7W3ZA32iXYFnRGoS2r-ADOMgD9LSX6aTSSGYZkoMjQoy_PDl7vdt4CFhUaXHgC5Tpov3suYAvn990ec20JUXVtaLb7MMsMMrdsodmNCuvR1VZrsNmOdGavlJ1NhevXcIAw=s984" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="984" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgGldzo8B6mncGcjPmfE-aqNQo57Z03SvJfFBrwBl4D3EkXBSkCYpsT51Dl7W3ZA32iXYFnRGoS2r-ADOMgD9LSX6aTSSGYZkoMjQoy_PDl7vdt4CFhUaXHgC5Tpov3suYAvn990ec20JUXVtaLb7MMsMMrdsodmNCuvR1VZrsNmOdGavlJ1NhevXcIAw=s320" width="320" /></a></div> Les membres du Mouvement des indignés de la situation sécuritaire en République démocratique du Congo (MISS-RDC) continuent de regretter le sang qui continue à couler à Beni, en Ituri et leurs environs.<br /><br />En réaction au message du chef de l’Etat congolais devant les députés et sénateurs réunis en congrès, le MISS-RDC a parlé d' « Une première » en constatant que le chef de l'Etat, Félix Tshisekedi, a fait observer une minute de silence en mémoire des victimes des tueries dans l’est du pays.<br />Ce mouvement regrette, par ailleurs, la suite de ce discours, composé selon lui des mêmes intentions pour restaurer la paix. « Entretemps, Beni-Ituri toujours sanglante, en dépit des forces mutualisées », fait-il remarquer dans un tweet. Et de noter qu’il n’y a « pas encore des fêtes chez les Indignés! ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br /><br />Opposé à la coalition des forces de sécurité nationale avec l’Ouganda en vue de traquer les ADF dans cette partie du pays, le MISS-RDC continue de réclamer la purge au sein de l’armée et des services de sécurité, condition sine qua non du retour de la paix dans l’est du pays. Ce mouvement note que l’armée congolaise, qui serait infiltrée et noyautée, ne saurait mettre fin à l’insécurité qui prévaut dans la partie est du pays.<br />Lucien Dianzenza<p></p>

Politique Discours du chef de l’Etat à la Nation : les Indignés se refusent de fêter

Les membres du Mouvement des indignés de la situation sécuritaire en République démocratique du Congo (MISS-RDC) continuent de regretter le...

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France: Koffi Olomidé condamné pour séquestration, relaxé en appel pour agressions sexuelles

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgSNccS_IbvMkHKGBwck9FZILEgEvLXsmi98HF7uP6cmxKKWLvlK5xYTnhflN_KqCOQsEUK_NvcZEqyJFN1FpVsqcXWsPyiwW6RLptTturN1JIRl-dR1AcvMIsApFvoUja0FdmCplFxp2V_noaeiRiGRzyBURKhU99FKngbggkLbwDT_AqIxX7wFgAq5Q=s987" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="505" data-original-width="987" height="164" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgSNccS_IbvMkHKGBwck9FZILEgEvLXsmi98HF7uP6cmxKKWLvlK5xYTnhflN_KqCOQsEUK_NvcZEqyJFN1FpVsqcXWsPyiwW6RLptTturN1JIRl-dR1AcvMIsApFvoUja0FdmCplFxp2V_noaeiRiGRzyBURKhU99FKngbggkLbwDT_AqIxX7wFgAq5Q=s320" width="320" /></a></div> La star de la rumba congolaise Koffi Olomidé a été relaxée lundi en appel des chefs d’accusation d’agressions sexuelles de quatre de ses ex-danseuses mais condamné à 18 mois d’emprisonnement avec sursis probatoire de trois ans pour les avoir séquestrées lors de ses tournées en France.<br /><br />La relaxe sur les agressions sexuelles est « prononcée au bénéfice du doute », a expliqué la présidente de la 7e chambre correctionnelle de la cour d’appel de Versailles, près de Paris, évoquant notamment des « déclarations évolutives, parfois contradictoires » des plaignantes. <br /><br /><br />En revanche, la séquestration « ne fait aucun doute », avec des plaignantes « privées de toute liberté et surveillées de manière constante » par deux complices de Koffi Olomidé entre 2002 et 2006 dans un pavillon de banlieue parisienne, où avaient été installés des serrures sur les volets. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Ces deux gardes congolais, Mbila Kakese et Ogima Tsasa Nduka, ont été tous deux condamnés à six mois d’emprisonnement avec un sursis probatoire de trois ans. <br /><br />Les plaignantes « seront nécessairement déçues sur l’infraction d’atteintes sexuelles puisque c’était pour elles la chose la plus importante », a déclaré à l’issue du délibéré Me David Desgranges, qui représente trois des danseuses. « En revanche, la séquestration a été retenue » au contraire du jugement en première instance, avec des intérêts et dommages conséquents, estime l’avocat: Koffi Olomidé et ses deux complices doivent verser de 10.000 à 32.000 euros par danseuse. <br /><br />Les quatre femmes congolaises, qui ont déposé plainte entre 2007 et 2013, accusaient Koffi Olomidé de les avoir enfermées dans un pavillon en banlieue parisienne et de les avoir forcées à avoir des relations sexuelles avec lui, de façon régulière pour certaines. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />L’arrêt rendu lundi par la cour est loin des attentes du parquet général. Pendant le procès qui s’est tenu fin octobre, le parquet avait requis huit ans de prison contre le Franco-Congolais de 65 ans, demandant de revenir sur « le naufrage » du premier jugement et de reconnaître coupable cet « homme puissant », star internationale qui vit désormais en France.<br /><br />En première instance, en 2019, le tribunal de Nanterre l’avait condamné à deux ans de prison avec sursis pour « atteinte sexuelle » sur l’une des jeunes femmes, déclarée mineure au moment des faits, et l’avait relaxé des poursuites concernant les trois autres.<br /><br />radiookapi.net<p></p>

Justice Musique France: Koffi Olomidé condamné pour séquestration, relaxé en appel pour agressions sexuelles

La star de la rumba congolaise Koffi Olomidé a été relaxée lundi en appel des chefs d’accusation d’agressions sexuelles de quatre de ses ex...

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Que veut l’Ouganda au Congo ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgIVUAKB2yotcAYjN9x9hCeUA-23ps8fyUrT0UlxH7vxSi1qp253F4g75xZRz-qQNj9XkrZZBy8jFfPWof7nMGw-wCYE6gxenV6D34IJejYYEHvpek_zScsXq340aXZjNIMWeSy2spMFT0xTThjW9Sd8Yxf3PbbKAWUCCGgsjMHO7Z-BD1TyEUTeWHy0g=s844" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="557" data-original-width="844" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgIVUAKB2yotcAYjN9x9hCeUA-23ps8fyUrT0UlxH7vxSi1qp253F4g75xZRz-qQNj9XkrZZBy8jFfPWof7nMGw-wCYE6gxenV6D34IJejYYEHvpek_zScsXq340aXZjNIMWeSy2spMFT0xTThjW9Sd8Yxf3PbbKAWUCCGgsjMHO7Z-BD1TyEUTeWHy0g=s320" width="320" /></a></div>Dans son discours à la nation, lundi, Félix Tshisekedi s’est engagé à veiller à ce que l’armée ougandaise, qui a débuté le 30 novembre une intervention en territoire congolais, ne reste dans le pays que le temps nécessaire à la lutte contre les rebelles ADF. L’armée ougandaise, elle, se refuse à fixer une limite à sa présence. De quoi réveiller toutes les suspicions congolaises à l’encontre de l’encombrant voisin – qui doit payer des millions de dollars de dédommagements à Kinshasa.<br /><br /><br />Implantées depuis la fin du siècle dernier à l’est du Congo (Nord-Kivu et Ituri), les ADF (Allied Democratic Forces) y avaient trouvé refuge pour mener des attaques contre des cibles en Ouganda. Le groupe armé avait ensuite été sévèrement affaibli par l’armée ougandaise qui occupa cette région du Congo, frontalière avec l’Ouganda, jusqu’en 2003. Les Ougandais repartis, les ADF étaient restées une force dormante dans cette zone de forêt congolaise, s’y mariant et y commettant relativement peu de méfaits jusqu’en 2013.<br /><br />Massacres et Etat islamique<br /><br />Cette année-là, on avait assisté à une recrudescence des massacres et attaques qui leur étaient attribués, avec une affirmation plus forte du caractère musulman du groupe armé, suivi par son ralliement à l’Etat islamique, qui a décrété que le groupe armé des forêts congolaise était sa « province centre-africaine ». Des études indiquent qu’une partie des violences attribuées aux ADF ont été organisées par des militaires congolais; d’autres que des Somaliens, Congolais, Burundais, Pakistanais, etc… se sont joints aux Ougandais initiaux au sein du groupe terroriste. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le 6 mai dernier, le président Tshisekedi avait décrété l’Etat d’urgence en Ituri et au Nord-Kivu. Sans y améliorer la situation sécuritaire, malgré son affirmation de lundi que « les lignes ont bougé ». Le chef d’Etat a décidé d’accepter la demande ougandaise d’intervention militaire dans la zone servant de refuge aux ADF pour « mutualiser les efforts » des deux pays, a-t-il dit. Début novembre, plusieurs attentats en Ouganda avaient été attribués aux ADF par Kampala – une bonne raison de frapper un grand coup au Congo, selon le régime Museveni.<br /><br />Opération ou pas opération?<br /><br />Le 29 novembre, le ministre congolais de l’Information, Patrick Muyaya, niait encore toute opération militaire ougandaise au Congo, contrairement à ce qu’affirmaient les réseaux sociaux. Le 30 novembre, cependant, il fallut bien admettre que l’artillerie et l’aviation ougandaises bombardaient une portion de territoire congolais. Et le 1er décembre, de nombreuses vidéos circulaient sur les réseaux sociaux montrant l’entrée de chars et de fantassins ougandais en territoire congolais.<br /><br />Les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat à Kinshasa assurèrent que cela se faisait à la demande du parlement congolais, mais le député du Nord-Kivu Juvénal Munubo a indiqué qu’il n’en était rien. Il n’y a pas eu de débat comme le veut la Constitution. « Notre Parlement dûment informé, je veillerai à limiter au temps strictement nécessaire à ces opérations, la présence de l’armée ougandaise sur notre sol », a assuré lundi Félix Tshisekedi. L’armée ougandaise, elle, ne peut fixer de date pour son départ.<br /><br />L’Ouganda se méfie de la Monusco<br /><br />Ce qui ne manque pas d’alarmer la population locale. Si celle-ci voit avec soulagement l’armée congolaise recevoir l’appoint du pays voisin pour combattre les ADF – à qui des milliers de morts en 8 ans sont attribués – elle se souvient, comme de nombreux Congolais, des méfaits de l’occupation ougandaise (1998-2003). <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le 7 décembre, l’armée congolaise et la Monusco (Mission de l’Onu pour la stabilisation du Congo – 16 000 hommes) signaient une directive pour préciser dans quels domaines les casques bleus poursuivraient leur aide aux militaires congolais, la force onusienne ne pouvant aider une armée étrangère simplement parce qu’elle collabore avec l’armée congolaise.<br /><br />C’est piquant car, comme le relève un observateur en poste depuis longtemps au Congo, « la Monuc, devenue Monusco, a été initialement déployée au Congo pour observer le retrait des armées étrangères présentes dans ce pays, dont l’armée ougandaise. C’est donc dans l’ADN de la mission onusienne et cela gêne Kampala, qui a un lourd passif au Congo ». Autant dire que les rapports de l’armée ougandaise avec la Monusco sont aigres et que celle-ci est déjà accusée de faire obstruction aux preux Ougandais volant au secours de leurs voisins!<br /><br />Combien de milliards doit Kampala à Kinshasa?<br /><br />Cette opération armée ougandaise survient cependant alors qu’on attend toujours que la Cour internationale de Justice de La Haye (CIJ) fixe le montant des indemnités que doit payer l’Ouganda au Congo en dédommagement de l’occupation, du pillage – dans lequel était notoirement impliqué le jeune frère du président Museveni, Salim Saleh – et des exactions commis jusqu’en 2003. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />La CIJ avait condamné Kampala à indemniser Kinshasa en 2005; les deux pays devaient fixer le montant d’un commun accord mais n’y sont pas parvenus. Le 16 janvier 2020, le procureur général ougandais, William Byaruhanga, avait déclaré devant une commission parlementaire de son pays que le Congo réclamait « 23 milliards de dollars » et que Kampala avait proposé « 150 millions de dollars », ajoutant que l’Ouganda « risquait gros » si l’affaire revenait devant la CIJ, faute d’entente.<br /><br />C’est pourtant ce est arrivé, en avril 2021. William Byaruhanga, devenu entretemps ministre de la Justice, y a plaidé que les exigences congolaises – elles seraient de 13,5 milliards de dollars, selon lui – étaient « infondées et extrêmement excessives ». La CIJ doit trancher à une date non déterminée.<br /><br />Que veut réellement l’Ouganda?<br /><br />Difficile de croire que Kampala n’y pense pas en accourant « au secours » de son voisin. D’autant que si les autorités ougandaises justifient l’opération en cours par les attentats sur leur territoire début novembre, on se rappelle qu’en mai dernier, déjà, une délégation ougandaise avait débarqué à Beni (Nord-Kivu) pour y mettre en place un centre de coordination des opérations congolaises et ougandaises contre les ADF, délégation conduite par rien moins que le commandant en chef de l’armée, le général David Muhoozi Rubakuba, signe de l’importance du Congo aux yeux de Kampala. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Et que voit-on, depuis l’entrée fracassante de l’armée de Kampala au Congo au début de ce mois? On ne voit plus d’offensive: les militaires ougandais s’installent et ont commencé… à refaire des routes, pour faciliter leurs opérations, indiquent-ils. On se rappelle qu’en 2020, à l’issue d’une visite de Félix Tshisekedi à son homologue Museveni, les deux hommes avaient annoncé trois projets de route reliant les deux pays, « pour faciliter le commerce ».<br /><br />Marie-France Cros<br />La libre Afrique

Politique Que veut l’Ouganda au Congo ?

Dans son discours à la nation, lundi, Félix Tshisekedi s’est engagé à veiller à ce que l’armée ougandaise, qui a débuté le 30 novembre une i...

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Félix Tshisekedi invite le Gouvernement à « mobiliser et disponibiliser les moyens conséquents » pour la tenue des élections en 2023

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYUJAHka0tKMVfATa7diYzg65kgFMhusG4_9Ka-WPhpiDYAFsUgnGl00ga5EHKu8WSuoEwfBEaAgSWQEssn0XT-xMbrApJO6nxE3yN4bMaFpwiE4UwwuK8dAypXngPORPQegX3kd1kpUHYmfs4-CUXReP_bkng65iPxDNMiEV43WXPn7_53nvVawFmhg=s994" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="555" data-original-width="994" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYUJAHka0tKMVfATa7diYzg65kgFMhusG4_9Ka-WPhpiDYAFsUgnGl00ga5EHKu8WSuoEwfBEaAgSWQEssn0XT-xMbrApJO6nxE3yN4bMaFpwiE4UwwuK8dAypXngPORPQegX3kd1kpUHYmfs4-CUXReP_bkng65iPxDNMiEV43WXPn7_53nvVawFmhg=s320" width="320" /></a></div>La question de l’organisation des élections dans les jours prochains ne cesse de préoccuper la nation congolaise entière. Dans son discours sur l’état de la Nation tenu ce lundi 13 décembre, le Président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi a invité le Gouvernement congolais de « mobiliser et disponibiliser des moyens conséquents » pour permettre à la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) de « respecter le délai d’organisation des élections ». En garant du bon fonctionnement de toutes les institutions, le Chef de l’État dit lancer un appel solennel à tout le peuple congolais pour accompagner et s’impliquer « activement » dans le processus électoral.<br /><br /><br />« Je lance donc un appel solennel à tout notre peuple pour accompagner démocratiquement la commission électorale nationale indépendante et pour s’impliquer activement dans le processus électoral. Je rappelle que celui-ci a déjà commencé avec la désignation de ses nouveaux animateurs après consultation des confessions religieuses et validation par l’Assemblée nationale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> J’invite même en temps le gouvement à mobiliser à dispobiliser les moyens financiers conséquents pour permettre à la CENI de respecter le délai d’organisation de ces élections afin qu’elles se tiennent effec6en 2023 », dit Félix Tshisekedi.<br /><br />Le Président de la République estime que pour parachever la composition du bureau Kadima, les acteurs politiques « qui traînent encore pieds » doivent désigner « rapidement » leurs représentants. Il en appelle également au parlement pour le vote de lois en souffrance devant aboutir à un processus électoral « heureux ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Afin de parachever la composition du bureau de la CENI, j’invite instamment ceux des acteurs politiques qui traînent encore les pieds à designer rapidement leurs représentants respectifs au sein de ce bureau. Pour ce faire, il est important que le parlement procède au vote des lois en souffrance pour un aboutissement heureux du prochain cycle électoral », a-t-il déclaré.<br /><br />Acturdc.com <p></p>

Politique Félix Tshisekedi invite le Gouvernement à « mobiliser et disponibiliser les moyens conséquents » pour la tenue des élections en 2023

La question de l’organisation des élections dans les jours prochains ne cesse de préoccuper la nation congolaise entière. Dans son discours ...

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Discours sur l’état de la nation: Quand Félix Tshisekedi se passe du dossier RAM et des produits surgelés

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjfTx68bz-9CxMQtSj9QOiAee7270EguBaBlN1ncM2_sKPMvCh01obS38ew6fNi60JSaBiGNIzutUQLMHmZKCNhFkuLBeKrMAKf9k6HRrXF2XQHVgeRVNFpGh5GFhUrrivN9pwl5wzqRktXT226EdF3-I85UTRDuhlqy_izS3COw3WAD96u9jhvwqlu0Q=s1000" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="697" data-original-width="1000" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjfTx68bz-9CxMQtSj9QOiAee7270EguBaBlN1ncM2_sKPMvCh01obS38ew6fNi60JSaBiGNIzutUQLMHmZKCNhFkuLBeKrMAKf9k6HRrXF2XQHVgeRVNFpGh5GFhUrrivN9pwl5wzqRktXT226EdF3-I85UTRDuhlqy_izS3COw3WAD96u9jhvwqlu0Q=s320" width="320" /></a></div> Les préoccupations majeures de la population semblent avoir été balayées d’un revers de la main par le président de la République Démocratique du Congo lors de son discours sur l’état de la nation ce lundi 13 décembre 2021.<br /><br />Alors que l’actualité reste maintenue par le rapatriement des tonnes des poissons commandés à Windhoek, capitale de la Namibie, par le gouvernement congolais, ainsi que le dossier RAM, le président congolais a préféré haranguer ses interlocuteurs par d’autres questions notamment la sécurité, la justice et la politique en général.<br /><br />Pour certains congolais, »ce discours à la nation a été un espace pour répondre plutôt à ses détracteurs que de présenter généralement la santé actuelle du pays ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />D’autres par contre s’attendaient à la réduction du taux de change afin que les biens de première nécessité rabaissent aussi pendant ce moment des fêtes de fin d’année.<br /><br />Entre temps, un sit-in de Lamuka qui était projeté au bureau de la CENI n’a pas eu lieu.<br /><br />Jules Ninda

Politique Discours sur l’état de la nation: Quand Félix Tshisekedi se passe du dossier RAM et des produits surgelés

Les préoccupations majeures de la population semblent avoir été balayées d’un revers de la main par le président de la République Démocrati...

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Covid-19 : Sama Lukonde reçoit sa 2ème dose et appelle la population à se faire vacciner

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhhYEdcNtSGgFEnn4hdmGRUYwS6saP1E5ILOyQHm1K_ZkImU2IWaCZLRli-fegBTMS77mQLrC4IvQ5JElTFO0_0sFoxwG__vJbn25lQ6qPjWDU9G8oIEKlfTcFzCJIdYl5YUmfWzge7L9n1FDrdjTf6KriWxOvGunkSSKZpH_RuYtfDwFGvoim_OxgGww=s989" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="989" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhhYEdcNtSGgFEnn4hdmGRUYwS6saP1E5ILOyQHm1K_ZkImU2IWaCZLRli-fegBTMS77mQLrC4IvQ5JElTFO0_0sFoxwG__vJbn25lQ6qPjWDU9G8oIEKlfTcFzCJIdYl5YUmfWzge7L9n1FDrdjTf6KriWxOvGunkSSKZpH_RuYtfDwFGvoim_OxgGww=s320" width="320" /></a></div> Le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a reçu sa deuxième dose de vaccin contre la pandémie de Covid-19, ce samedi 11 décembre 2021, à la clinique Ngaliema située à Kinshasa, en République démocratique du Congo.<br /><br />Après sa vaccination, le chef du gouvernement a réitéré l’appel lancé par le président de la République, Félix Tshisekedi, à tous les congolais pour se faire vacciner contre la maladie à Coronavirus.<br />"C'est le même message que j'ai lancé lors de ma première vaccination. Parce que nous venions à peine de lancer une campagne justement de sensibilisation sur la vaccination, à la demande de son excellence monsieur le président de la République. Même dans les dernières mesures que nous avons prises face à la remontée des cas que nous avons, nous avons suggéré et recommandé fortement la vaccination. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script>  <p></p><p><br /></p><p><br /></p><p>Aujourd'hui, c'est une autre occasion pour moi de demander à toutes les personnes, surtout le groupe cible de se faire vacciner parce que ça fait partie des éléments qui peuvent permettre de lutter contre cette pandémie qui n'a fait que trop endeuiller le monde. C'est ça le message que moi je peux vous donner : Faites vous vacciner face à la Covid-19", a-t-il déclaré.<br /><br />Pour rappel, le chef du gouvernement a reçu sa première dose de vaccination contre la Covid-19, le 20 novembre 2021, après avoir lancé la table ronde de sensibilisation sur la vaccination contre la pandémie de Coronavirus.<br /><br />Prince Mayiro</p>

Santé Covid-19 : Sama Lukonde reçoit sa 2ème dose et appelle la population à se faire vacciner

Le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a reçu sa deuxième dose de vaccin contre la pandémie de Covid-19, ce samedi 11 décembre 2021...

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RDC : La Fédération de Karaté du Congo accusée de "tentative d'escroquerie" de plus de 42.000$ dûs à deux hôtels de Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEieEBJ_JMR-lGbfX6GAuf0HHFCgkOlq9kNrIBWohwFnnjHY8xuyTThoRctpm2dBBemJEeDm3X7-YPOgFX32ALnuK8x6H_bYZTyTnLRlXhZJ1-OsfTcgx6H32p2Msf0TTImz63Fxbr9CwPyt4vtyPcLRjLljBgJ43Dy-Q5P138Pr2IK0tagbvWEbK53ZaA=s596" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="395" data-original-width="596" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEieEBJ_JMR-lGbfX6GAuf0HHFCgkOlq9kNrIBWohwFnnjHY8xuyTThoRctpm2dBBemJEeDm3X7-YPOgFX32ALnuK8x6H_bYZTyTnLRlXhZJ1-OsfTcgx6H32p2Msf0TTImz63Fxbr9CwPyt4vtyPcLRjLljBgJ43Dy-Q5P138Pr2IK0tagbvWEbK53ZaA=s320" width="320" /></a></div>Le ministère Congolais des Sports et Loisirs a été saisi ce dimanche 12 décembre 2021, pour solliciter le paiement d'une somme de 42.875 dollars américains que la Fédération de Karaté-Do du Congo doit aux Hôtels Ihusi et Serena de la ville de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu.<br /><br />Il s'agit des frais de séjour des délégations de la FEKACO dans ces deux hôtels du 17 octobre au 09 novembre 2021, lorsque la République démocratique du Congo organisait à Goma, un tournoi régional de Karaté tenu du 23 au 24 octobre.<br /><br />Dans une correspondance adressée à Serge Nkonde, Ministre Congolais des Sports ce dimanche, Maitre Aimé Kaba N'shombo, avocat-conseil de l'homme d'affaires Vanny Bishweka, qui est le Président Directeur Général de ces deux hôtels, renseigne qu'au retour des délégations à Kinshasa, le président et le secrétaire général de la FEKACO avaient signé des ordres de paiement qui ne sont jamais exécutés voici maintenant près de 4 semaines. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Plus loin, Me Aimé Kaba N'shobo souligne que la non-exécution de ces ordres de paiement serait justifiée par l'insuffisance du solde sur le compte bancaire de la FEKACO. Celle-ci exige en même temps, « un secret professionnel » au propriétaire des hôtels à chaque recouvrement.<br /><br /><br />« Ceci semble vraisemblablement un détournement des deniers publics, un abus de confiance, un faux en écriture public, une tentative d'escroquerie et de grivèlerie consommée. Sous réserve d'une action pénale à l'égard de l'auteur moral et les autres, nous vous saurons gré, ainsi que toutes les autorités qui nous lisent en copie, de régler dans un délai raisonnable, la créance susvisée avant toute addition des dommages et intérêts moratoires, compensatoires et satisfactoires », écrit Me Aimé Kaba, dans ce document parvenu à 7SUR7.CD.<br /><br />Ce dernier affirme détenir des informations selon lesquelles le gouvernement Sama Lukonde avait déboursé cet argent, que la FEKACO aurait détourné. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il sollicite l'implication des autorités compétentes pour que l'argent soit payé aux hôtels « dans un délai raisonnable ».<br /><br />Pour rappel, le tournoi de Karaté organisé par la RDC qui devrait se tenir pendant une semaine, s'était finalement tenu pendant 2 jours avec la participation de 5 Nations (RDC, Burundi, Ouganda, Tanzanie et Congo-Brazzaville) sur les 9 qui étaient conviées.<br /><br /><br />Après avoir couvert l'intégralité du tournoi, 7SUR7.CD avait constaté que le séjour de plusieurs membres de la délégation Congolaise avait été prolongé dans de nombreux hôtels de Goma, faute de moyens financiers. Une mission de moins d'une semaine pour la plupart des officiels et journalistes venus de Kinshasa, était devenue de deux semaines et même plus. Jusque-là, nos efforts ont été vains pour obtenir une réaction de l'incriminé.<br /><br />Glody Murhabazi, à Goma<p> </p>

Sport RDC : La Fédération de Karaté du Congo accusée de "tentative d'escroquerie" de plus de 42.000$ dûs à deux hôtels de Goma

Le ministère Congolais des Sports et Loisirs a été saisi ce dimanche 12 décembre 2021, pour solliciter le paiement d'une somme de 42.875...

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Reddition de comptes 2020 : Bahati veut voir clair sur la somme de 351 millions $ non justifiée par le gouvernement Ilunkamba

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgBiImXmu3hk0ipnLxXtupeNRUIQQxRGe-PyuGzfabtSiDHco3jP-5Q8iQHmNrsrerwmjF77QmGx7aIKFkFU2isHEoRpQ143RHfvivnXrDwMs3WXP4CPhMDDHjKjIiHwgPqH04rIhiMnCckVmnU_wSJlBYBy-A_kD7fd-CHuff4vJrdq3XeqN8qXTgXlQ=s991" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="991" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgBiImXmu3hk0ipnLxXtupeNRUIQQxRGe-PyuGzfabtSiDHco3jP-5Q8iQHmNrsrerwmjF77QmGx7aIKFkFU2isHEoRpQ143RHfvivnXrDwMs3WXP4CPhMDDHjKjIiHwgPqH04rIhiMnCckVmnU_wSJlBYBy-A_kD7fd-CHuff4vJrdq3XeqN8qXTgXlQ=s320" width="320" /></a></div> Le Sénat a adopté lors de la séance plénière du jeudi 09 décembre 2021 deux lois financières du gouvernement. Il s'agit de la loi de reddition de compte exercice 2020 et le collectif budgétaire 2021. Ces textes ont été renvoyés à la commission ECOFIN et bonne gouvernance pour une étude approfondie.<br /><br />Cette adoption est intervenue à la suite des réponses du ministre des finances Nicolas Kazadi apportées aux préoccupations des sénateurs.<br /><br /><br />La majeure partie des préoccupations des élus des élus tournaient autour de la question du dépassement budgétaire des institutions en RDC.<br /><br />Dans son exposé, Nicolas Kazadi a justifié ces dépassements budgétaires par la mauvaise qualité des prévisions budgétaires, les imprévus, la masse salariale, la Covid-19 ainsi que les impératifs sécuritaires.<br /><br />Des justifications qui n'ont pas convaincu les sénateurs d'autant plus qu'un montant de 700 milliards de francs congolais (351 millions USD ndlr) a été retracé dans la reddition de comptes 2020.<br /><br />Le ministre des finances a promis à la chambre des sages la régularisation de toutes les dépenses publiques pour un meilleur encadrement des fonds publics à l'avenir. Cependant, le président du Sénat a insisté sur la nécessité de faire la lumière sur la somme de 351 millions USD. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />"Dans vos réponses, vous avez dit exactement ceci. Pour ce qui est de la régularisation en bloc des dépenses, il y a lieu de noter que votre gouvernement a pris toutes les dispositions idoines pour que cette pratique soit bien encadrée à l'avenir. Mon problème c'est à l'avenir. Donc vous voulez dire que si on a commis des fautes de gestion, on va croiser les bras, il n'y aura pas de sanction et puis ça porte sur à peu près 700 milliards de francs congolais. Donc, lorsque le gouvernement précédent devrait rendre le tablier, tout ce qu'on a sorti sans justification, par une simple lettre du ministre de finances, on demande à la banque centrale de régulariser. 700 milliards de francs congolais. Nous ne pouvons pas l'accepter nous, en tant qu'autorité budgétaire. Nous mettrons sur pied une commission après que le rapport de l'ECOFIN élargie sera déposé. Pour que dans les moindres détails ou même dans les grandes lignes, cette pratique qu'il faut condamner ne puisse plus se reproduire et qu'on sache où sont allés tous ces milliards", a dit le président du Sénat.<br /><br /><br />Rappelons que le rapport de la commission ECOFIN de l'assemblée nationale sur la loi de reddition de comptes 2020 et le collectif budgétaire 2021 devait être présenté à la plénière de ce samedi. <br /><br />Moise Dianyishayi<p></p>

Politique Reddition de comptes 2020 : Bahati veut voir clair sur la somme de 351 millions $ non justifiée par le gouvernement Ilunkamba

Le Sénat a adopté lors de la séance plénière du jeudi 09 décembre 2021 deux lois financières du gouvernement. Il s'agit de la loi de re...

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Budget 2022 : la Loi des finances adoptée à l'assemblée nationale chiffrée à 11 milliards USD

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsg4_vbIPj-mX7IoiKpvucI03uPV3D-OYYTvoiHPQTMkt43BcbxpyeZhal1YKutg-q9i7aIrb41KChsLAoZhA8CRjPedcFwNSG6FvFDb17Z55iqTIiUfQhUZZ_C-QyHdF-iVoZ-3zQphTTKn4Msw3S5RdQKC48JiA-MK5K0aIQC2NeRzMTQtU9sT4gEA=s1272" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="712" data-original-width="1272" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsg4_vbIPj-mX7IoiKpvucI03uPV3D-OYYTvoiHPQTMkt43BcbxpyeZhal1YKutg-q9i7aIrb41KChsLAoZhA8CRjPedcFwNSG6FvFDb17Z55iqTIiUfQhUZZ_C-QyHdF-iVoZ-3zQphTTKn4Msw3S5RdQKC48JiA-MK5K0aIQC2NeRzMTQtU9sT4gEA=s320" width="320" /></a></div> La chambre basse du parlement a fermé les rideaux des travaux sur la loi des Finances 2022. Au cours de sa plénière de samedi 11 décembre 2021, l’Assemblée nationale a décidé de l’adoption de ce projet de loi juste, après le rapport de la commission Économique, financière et contrôle budgétaire (ECOFIN) qui était chargée d’étudier en profondeur cette loi pour enrichissement.<br /><br /><br /><br />Jadis chiffré à 20 730 105 348 688 FC, le projet de loi des finances 2022 a connu une majoration. Il est estimé, selon le rapport de la commission ECOFIN à 21 950 824 549 689 FC. C’est notamment ce qui avait motivé les trois cents soixante-sept (367) sur les trois cents soixante-huit (368) députés présents à cette plénière, de voter pour l’adoption de ce Budget.<br /><br />Selon Boris Mbuku, Président de la commission ECOFIN de la chambre basse du parlement, le travail était costaud en Commission qui a organisé plusieurs auditions dans le cadre de la mission lui confiée. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br /><br />« Comme de coutume, votre commission a organisé plusieurs séances consistant à auditionner non seulement les membres du Gouvernement et leurs services consommateurs des crédits budgétaires, mais aussi les responsables des régies financières ainsi que les services d’assiettes en ce qui concerne le volet recettes et dépenses. Il ressort de la présentation ici devant l’auguste Assemblée de l’économie générale du projet de loi de finances pour l’exercice 2022 que le Gouvernement a proposé un budget en équilibre, recettes et en dépenses de l’ordre de 20.730 milliards 1FC. L’examen par votre commission du volet recettes article par article, couplé des auditions de différents responsables des régies financières et des services d’assiettes, a débouché sur des améliorations des prévisions sur quelques lignes budgétaires », a expliqué à la plénière Boris Mbuku, Président de la commission ECOFIN.<br /><br />Cette étape étant bouclée, il faut maintenant tourner le regard un peu plus haut, soit à la chambre haute du parlement qui doit examiner ce projet de loi en seconde lecture, comme le veut la règle d’art.<br /><br />Patrick Nguwo<p></p>

Economie Budget 2022 : la Loi des finances adoptée à l'assemblée nationale chiffrée à 11 milliards USD

La chambre basse du parlement a fermé les rideaux des travaux sur la loi des Finances 2022. Au cours de sa plénière de samedi 11 décembre 2...

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Lancement des travaux de réhabilitation des tronçons N’djili- Kikwit-Batshamba sur la RN1 (620 km)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgG7AQvMR0JPTOZ51l_wk93ksGqNsQ1zSKCaEwG6X0ST9OPAROFwryxwZLq7H8bZ5zeaMsJWo0AbNhPzyeQTRBzEXxsZYzs3mq5Gm8CEIj9MyPX8fQ97HWiI5bx0y44MkdtjfJ1jx6hevXrxUROsKty8Nv4v1t21Ry6eKe3jvghVXCAcdypPdZtLKwvzw=s990" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="990" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgG7AQvMR0JPTOZ51l_wk93ksGqNsQ1zSKCaEwG6X0ST9OPAROFwryxwZLq7H8bZ5zeaMsJWo0AbNhPzyeQTRBzEXxsZYzs3mq5Gm8CEIj9MyPX8fQ97HWiI5bx0y44MkdtjfJ1jx6hevXrxUROsKty8Nv4v1t21Ry6eKe3jvghVXCAcdypPdZtLKwvzw=s320" width="320" /></a></div>Le ministre d’Etat aux Infrastructures et travaux Publics, Alexis Gisaro Muvunyi, a procédé samedi, dans la périphérie de la ville de Kinshasa, au lancement des travaux de réhabilitation des tronçons routiers N’djili-Kikwit-Batshamba, en vue de supprimer les bourbiers et les nids de poule pour une bonne fluidité du trafic sur ce corridor national.<br /><br />Le projet a pour but d’améliorer les échanges non seulement humains mais aussi économiques sur cette route d’intérêt national connectant près de 10 provinces de la RDC. Il s’inscrit dans la vision du Président de la République consistant à assurer la connexion de l’ensemble du territoire national.<br /><br />La route nationale no1 part de l’Ouest (Kongo central) à l’Est et se termine au Sud (Haut-Katanga) du pays en passant par les provinces de Kinshasa, Kwilu, Kwango, Kasaï, Kasaï central, Kasaï-Oriental, Lomami, Haut Lomami et Lualaba. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Elle constitue le cordon ombilical de l’économie de la République démocratique, en assurant une liaison entre les deux corridors africains à savoir, le corridor Est qui débouche au port de Lobito en Angola et le corridor Ouest touchant qui mène sur l’Océan Atlantique par le port de Banana dans la province du Kongo central.<br /><br />La réhabilitation de ces tronçons consiste à uniformiser le confort avec les nouveaux tronçons nouvellement construit en bitume sur l’axe Pont Loange à Kamwesha et faciliter le trafic et réduire le temps de parcours entre Kinshasa et Kananga ville voisine à celle de Mbuji-Mayi.<br /><br />Selon le Directeur général de l’Office des routes (OR), la réhabilitation de cette route permettra également la réalisation des travaux sur la route nationale no17 Mongata-Bandundu ville afin de faciliter l’évacuation des produits agricoles de cette ville à Kinshasa.<br /><br />Financée par la Banque africaine de développement, l’Office des routes a déjà donné des avances de 20% pour la mobilisation du matériel aux entreprises qui ont reçu la charge de la réhabilitation dans le cadre de ce projet. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Outre les travaux routiers, le projet qui s’étale jusqu’en 2023, consistera également à construire des infrastructures sociales et économiques dans son aire d’intervention. Il s’agira de la construction des écoles, des forages d’eau, des centres de santé et des marchés sous oublier des entrepôts des produits agricoles. ACP /CL/KJI<p> </p>

Société Lancement des travaux de réhabilitation des tronçons N’djili- Kikwit-Batshamba sur la RN1 (620 km)

Le ministre d’Etat aux Infrastructures et travaux Publics, Alexis Gisaro Muvunyi, a procédé samedi, dans la périphérie de la ville de Kinsha...

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La plate-forme « Base de la République » exige à la justice française d’examiner le dossier de Roger Lumbala

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjJx6vermWDlM3906uTCKzDwv4lknkDanosYV_0i9--WABbLaWwFTKfboeR7d6rPN4I4vpSBRCWrv7ANVfBvmAgl7Kl3LOHA_SgDd6nystIuuXL9mBu37-vfXCQ4pIV7Ldu0kPH0JO37v81d6H-z4b5AzPr-MVjyTQfAChDmzOwKHgGkI4T6B6duvC2Xw=s846" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="637" data-original-width="846" height="241" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjJx6vermWDlM3906uTCKzDwv4lknkDanosYV_0i9--WABbLaWwFTKfboeR7d6rPN4I4vpSBRCWrv7ANVfBvmAgl7Kl3LOHA_SgDd6nystIuuXL9mBu37-vfXCQ4pIV7Ldu0kPH0JO37v81d6H-z4b5AzPr-MVjyTQfAChDmzOwKHgGkI4T6B6duvC2Xw=s320" width="320" /></a></div>La plate-forme politique « Base de la République » demande au président de la chambre d’instruction du Tribunal judiciaire de Paris de désigner trois juges qui devront examiner le dossier et la requête de Roger Lumbala. Lors d’un point de presse organisé vendredi 10 décembre, cette structure pense que le dossier de ce politicien congolais est vide.<br /><br />« L’arrestation de Monsieur Roger Lumbala presqu’une année après, exige à la justice française dont le principe sacro-saint est la présomption d’innocence, d’apporter la preuve de l’existence des militaires du RCD/N comme l’exige le standard de la procédure pénale française », a affirmé le coordonnateur national intérimaire de la « Base de la République », Serge Kambasu. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />En effet, Roger Lumbala est incarcéré depuis une année à la maison d’arrêt de la santé de Paris.<br /><br />« Base de la République » pense que cette arrestation est arbitraire.<br /><br />« L’absence des éléments de preuve dans le dossier, la justice française a sollicité la coopération judiciaire avec la Cour pénale internationale. Après deux voyages au siège de la CPI, le bureau du procureur de la CPI a transmis 137 documents pertinents au juge d’instruction français », a expliqué Serge Kambasu.<br /><br />Selon lui, le bureau du procureur a transmis tous les documents issus de l’enquête sur les événements du 1er juillet 2002 au 31 décembre 2003 à Mambasa.<br /><br />« Il s’est avéré qu’aucun élément de l’enquête du bureau du procureur de la CPI n’a permis d’établir des preuves matérielles irréfutables de l’existence des militaires du RCD/N et de Roger Lumbala par la CPI », a ajouté M. Kambasu.<br /> radiookapi.net<p> </p>

Politique La plate-forme « Base de la République » exige à la justice française d’examiner le dossier de Roger Lumbala

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Libération de Kamerhe: une manoeuvre politique comme pour Bemba ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgbFm0OYvblQMrMJk0XGL8CrONDQkYKi7YcxYCJY8TZ2DB2Z8-yywTabwPKlpVqDGqMjg6lJKkgH5JL3DejDdh0ppAPE43nGrEJloWjeex4NCRIyu6_pYZiDO9jzSvkJP1afAMVMHEaJ20aNnmHdD6NJ_3X-9THOIiaP2tYa48pZWrw4vTXS3Kbu_gSMg=s640" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgbFm0OYvblQMrMJk0XGL8CrONDQkYKi7YcxYCJY8TZ2DB2Z8-yywTabwPKlpVqDGqMjg6lJKkgH5JL3DejDdh0ppAPE43nGrEJloWjeex4NCRIyu6_pYZiDO9jzSvkJP1afAMVMHEaJ20aNnmHdD6NJ_3X-9THOIiaP2tYa48pZWrw4vTXS3Kbu_gSMg=s320" width="320" /></a></div>Interpellé par le parquet général de Kinshasa-Matete puis embastillé à la surprise générale à Makala en avril 2020 alors qu’il exerçait les fonctions de directeur de cabinet du président de la République, Vital Kamehre aura été détenu près de 2 ans.<br /><br />Le président de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), alter ego de Félix Tshisekedi au sein du Cap pour le Changement (CACH), une plateforme créée quelques mois avant la présidentielle de 2018, était poursuivi pour détournement de 48 millions USD décaissés par le Trésor public dans le cadre du programme des 100 jours du président de la République, dont il était du reste le concepteur. Celui qui était devenu directeur du cabinet présidentiel quelques mois après la victoire du candidat CACH à la dernière élection avait été condamné au 1er degré par le TGI de Kinshasa-Gombe à 20 ans de prison, puis au second degré par la cour d’appel à 13 ans de prison assortis de travaux forcés.<br /><br />Néanmoins, ses avocats et partisans n’ont eu de cesse de clamer l’innocence de l’ex-dircab de Fatshi, allant jusqu’à présenter le procès ultra-médiatisé autour du programme de 100 jours comme un procès politique. En conséquence, ils ont usé de toutes les voies, de droit et politiques pour obtenir son acquittement. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Libération surprise<br /><br />La liberté provisoire obtenue lundi dernier auprès de la Cour de cassation avait été sollicitée par sa défense au 1er et au second degré de juridiction sans succès. Tout en recourant à cette haute juridiction, Kamerhe et ses partisans s’étaient lancés dans une campagne politique sans précédent, organisant des manifestations publiques parfois hostiles au pouvoir allié en place. Dans le même temps, à partir de son lieu de détention, VK réorganisait son parti en rajeunissant et en redynamisant sensiblement ses principales structures en vue de ce qui ressemblait à s’y méprendre à une campagne électorale anticipée à travers tout le territoire national autour du thème de sa libération, à n’importe quelle condition, par le chef de l’Etat.<br /><br />Lundi dernier, la Cour de cassation a justifié la liberté provisoire assortie d’une caution de 500.000 USD accordée à l’ancien dircab de Félix Tshisekedi par son état sanitaire.<br /><br />Il faut dire qu’en fait de détention à la prison de Makala, VK séjournait plutôt, depuis août 2020 au centre hospitalier Nganda. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Les images de l’ancien bras droit du président de la République diffusées au soir du même jour le présentaient effectivement dans un état piteux, confirmant ainsi les craintes sur l’aggravation de sa santé ressassées avec insistance par ses avocats.<br /><br />Conjectures politiques<br /><br />Il reste que pour maints observateurs, la relaxe de l’ancien alter ego de Fatshi au sein du CACH alors que la machine Union Sacrée de la Nation (USN) mise sur pied pour soutenir la politique du président de la République n’en est à ses premiers pas fait croire à un arrangement politicien.<br /><br />D’autant plus que le 1er juillet 2021, au cours d’un séjour à Goma, ville dont VK est incontestablement le chouchou, le président Tshisekedi avait déclaré que «Vital Kamerhe est quelqu’un de sérieux et de correct (…) Je suis convaincu qu’il jouera de nouveau un rôle dans ce pays». Pour certains observateurs, le chef de l’Etat avait ainsi, en réalité, subtilement indiqué la voie à suivre aux instances judiciaires chargées de l’instruction du dossier de son ancien directeur de cabinet. La libération provisoire accordée par la Cour de cassation à VK lundi 6 décembre a beau revêtir toutes les formes requises par le droit, pour une certaine opinion, le retour à l’air libre du président de l’UNC est un fait politique similaire à la libération soudaine dont Jean-Pierre Bemba avait bénéficié de la CPI en juin 2018, à quelques mois de la présidentielle. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Lundi 6 juin, les principaux fiefs du mentor de l’UNC à travers la RDC ont vibré à la nouvelle de sa libération provisoire : à Bukavu son fief électoral, mais aussi à Goma au Nord-Kivu, malgré l’état de siège, on a célébré l’événement aux sons des klaxons des motards et des chants des partisans kamerhistes descendus dans les rues.<br /><br />Malgré l’état de santé réputé délicat de l’ancien dircab de Fatshi, les conjectures vont bon train, les plus optimistes le voyant même à la tête de l’USN, entre autres.<br /><br />Mais d’autres observateurs, moins enthousiastes, estiment que l’équation Tshisekedi-Kamerhe, plombée par les engagements réciproques des deux acteurs politiques, est des plus complexes. La liberté provisoire accordée à Vital Kamerhe peut être traduite, à cet égard, comme une entente provisoire entre deux loups dans la bergerie.<br /><br />Le Maximum<p> </p>

Politique Libération de Kamerhe: une manoeuvre politique comme pour Bemba ?

Interpellé par le parquet général de Kinshasa-Matete puis embastillé à la surprise générale à Makala en avril 2020 alors qu’il exerçait les ...

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🔴 DECISION POLITIQUE : FILS MUKOKO DEVOILE LA VERITE SUR LA LIBERTE PROVISOIRE DE VITAL KAMERHE. 🔵🟡🔴(VIDEO)

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Boshab recadre Bahati, il prend position pour Matata

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgVGG7htO_9QONrMc2KYFvU8eW8eb6zVfi2LovPvnrzOZKHNlANNiRuuBqe4-OwlF2tk7VLyDD39PGqng-38fOaKRk6gUTAOw2fnQeF1_cwfCSb2e29fJxd6p5zSj1QzpM_kkzJpg9DZKgyRL6-VNWENrrRSErOv8wkEvRttKlcoZ9IJbK0KKg3DPJZYg=s1299" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="865" data-original-width="1299" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgVGG7htO_9QONrMc2KYFvU8eW8eb6zVfi2LovPvnrzOZKHNlANNiRuuBqe4-OwlF2tk7VLyDD39PGqng-38fOaKRk6gUTAOw2fnQeF1_cwfCSb2e29fJxd6p5zSj1QzpM_kkzJpg9DZKgyRL6-VNWENrrRSErOv8wkEvRttKlcoZ9IJbK0KKg3DPJZYg=s320" width="320" /></a></div> Ça brûle au Sénat. Mais, jusqu'à quand? Personne ne le sait vraiment. Après l'affrontement direct entre Augustin Matata Ponyo et Modeste Bahati Lukwebo, en pleine plénière, le sénateur Evariste Boshab a choisi son camp. Il a pris position pour l'ancien Premier ministre, expliquant qu'il "défend un point de vue de droit et non le militantisme abject".<br /><br />Défendre ce point de vue, a amené Boshab à administrer quelques leçons de Droit à Bahati qui, du haut du perchoir, a laissé comprendre que Matata Ponyo est bien justifiable devant la Cour constitutionnelle, brandissant son statut de co-auteur de la Constitution du 18 février 2006 en sa qualité de parlementaire.<br /><br />"Il est étonnant que le président du Sénat écoute les juristes de dimanche pour donner, face à la nation, une interprétation totalement erronée de l’article 164 de la Constitution, en prétendant corriger la Cour Constitutionnelle", a posé Boshab dans son entrée en la matière, avant de développer sur la "signification exacte" de l’expression "les infractions commises dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice des fonctions".<br /><br />"C’est une expression technique pour dire *directement ou indirectement par personne interposée*, rien de commun avec tout ce qui a été débité" par le speaker du Sénat à la plénière du jeudi dernier. Pour s'en rendre compte, ce prof de Droit public a invité à "consulter le Code pénal de l’article 145 à 150 pour comprendre la constance du législateur s’agissant de l’expression dont question". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Voici comment Evariste Boshab, professeur de Droit public à l'Université de Kinshasa, a recadré l'Economiste Modeste Bahati. Et ce, dans le seul souci de ne "pas être jugé par le tribunal de l’histoire", car, a-t-il avancé, "il est de notoriété publique que ceux qui savent et qui se taisent, sont coupables par leur silence".<br /><br />Ci-après, l'intégralité du point de vue du sénateur Evariste Boshab.<br /><br />Mes chers collègues,<br /><br />J’enseigne le droit public à l’université de kinshasa et ailleurs, je suis avocat près la Cour d’Appel de kinshasa /Gombe depuis 1987, accordez-moi la présomption de connaître quelques notions de droit, puisque celui-ci est vaste.<br /><br />Grand est mon étonnement, de me voir traité d’hypocrite parce que je défends un point de vue de droit et non le militantisme abject. Ceux qui brillent par les insultes savent eux-mêmes ce qu’ils représentent. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Revenons au droit : dans une assemblée législative, le droit à la parole est sacré, puisque c’est l’unique instrument de travail dont dispose chaque élu. Ce n’est ni l’aumône, ni une libéralité.<br /><br />Il est étonnant que le président du Sénat écoute les juristes de dimanche pour donner, face à la nation, une interprétation totalement erronée de l’article 164 de la Constitution, en prétendant corriger la Cour Constitutionnelle. En effet, tous ceux qui ont fait les bonnes études de droit, connaissent la signification exacte de l’expression ” les infractions commises dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice des fonctions “.<br /><br />C’est une expression technique pour dire ” directement ou indirectement par personne interposée”, rien de commun avec tout ce qui a été débité hier. Il suffirait de consulter le Code pénal de l’article 145 à 150 pour comprendre la constance du législateur, s’agissant de l’expression dont question.<br /><br />Je suis intervenu dans l’affaire opposant le sénateur Matata au Ministère Public puisqu’il est de notoriété publique que ceux qui savent et qui se taisent, sont coupables par leur silence. Humblement, je ne voudrais pas être jugé par le tribunal de l’histoire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Je suis intervenu dans l’affaire opposant le sénateur Matata au Ministère Public puisque l’affaire Dreyfus qui mit plus tard la République Française en péril, commença de la même manière : mépris du droit, indifférence des acteurs politiques, silence des sachants…<br /><br />Je suis intervenu, puisque la démocratie est assise sur certaines valeurs et certains principes qu’il faut défendre et préserver quel qu’en soit le prix.<br /><br />Honni qui mal y pense.<br /><br /> <br /><br />Professeur Evariste Boshab<br />Gabin K.<br />Opinion Info<p></p>

Politique Boshab recadre Bahati, il prend position pour Matata

Ça brûle au Sénat. Mais, jusqu'à quand? Personne ne le sait vraiment. Après l'affrontement direct entre Augustin Matata Ponyo et Mo...

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"Le PPRD dit ne pas être concerné par le processus de désignation et de l’envoi de ses membres à la CENI’’

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEivcUzcnl5NyIYKeJ_YrBPEAvNrhM-R9eZTJfTYxEfqSHM1a7JEyoH_Jm7MCIeJuKQ3GLQOQQAoxPSXuV3iw8nBNMmGpmgVccInHyoRReiElSxIWernpryuGu4UwxvooXXCfzy_ZH2SyRoC3c0EYxiJd89ct8hVH1KFJpZ1t_toBY6QbiU6aQsgCX7rJA=s1496" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="837" data-original-width="1496" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEivcUzcnl5NyIYKeJ_YrBPEAvNrhM-R9eZTJfTYxEfqSHM1a7JEyoH_Jm7MCIeJuKQ3GLQOQQAoxPSXuV3iw8nBNMmGpmgVccInHyoRReiElSxIWernpryuGu4UwxvooXXCfzy_ZH2SyRoC3c0EYxiJd89ct8hVH1KFJpZ1t_toBY6QbiU6aQsgCX7rJA=s320" width="320" /></a></div>Dans un communiqué rendu public ce samedi 11 décembre, le Parti du Peuple pour la Démocratie et la Reconstruction (PPRD) s’aligne à la décision prise par le Front Commun pour le Congo, " de ne pas désigner et de ne pas envoyer ses représentants à la CENI"<br /><br />Le PPRD souligne que tout cadre qui sera retenu par le bureau de l’Assemblée Nationale le sera à titre personnel.<br /><br /><b><br />Ci dessous le communiqué <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </b><br /><br /><img src="https://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2021_actu/12-decembre/06-12/pprd_declaration_ceni.jpeg" /><br /><b><br />congo-press.com (MCP)</b><p> </p>

Politique "Le PPRD dit ne pas être concerné par le processus de désignation et de l’envoi de ses membres à la CENI’’

Dans un communiqué rendu public ce samedi 11 décembre, le Parti du Peuple pour la Démocratie et la Reconstruction (PPRD) s’aligne à la décis...

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« Les relations entre la RDC et le Rwanda sont au beau fixe »(Karega)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjT9IqKfAMPS9_SdlG3l91O_GKHMQ9koYP8iDQzH9QDXvhKot_H9rdG1t_9OcqZnpinS0I2lcraQEfIY8HGBJv7rCJ57zH0kqlDOTasPZQww4jxfVpKxRVPElrzpChumRVuYUjcZavS_143Afg4a-OWIiC1p0iLpfvdBDlH4Fl9xHv4NGcNycSGXE5h8Q=s1047" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="650" data-original-width="1047" height="199" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjT9IqKfAMPS9_SdlG3l91O_GKHMQ9koYP8iDQzH9QDXvhKot_H9rdG1t_9OcqZnpinS0I2lcraQEfIY8HGBJv7rCJ57zH0kqlDOTasPZQww4jxfVpKxRVPElrzpChumRVuYUjcZavS_143Afg4a-OWIiC1p0iLpfvdBDlH4Fl9xHv4NGcNycSGXE5h8Q=s320" width="320" /></a></div>"Il y a de très bonnes relations bilatérales, nos institutions politiques au plus haut niveau, des présidents, ministres et parlements sont en bonne collaboration, nos peuples aussi au niveau frontalier", affirme l'ambassadeur du Rwanda en RDC, Vincent karega, invité de l'Éédition special sur top congo fm.<br /><br />"Les transactions transfrontalières augmentent de volume et aussi les visites mutuelles qu'on peut appeler visites touristiques des gens qui viennent de la RDC en transit ou en visite au Rwanda sont plus nombreux que les années passées et les Rwandais qui visitent ou investissent en RDC sont de plus en plus nombreux aussi". <br /><br />Donc, tente-t-il de résumer, " les mouvements des peuple, les transactions, les investissements et aussi le dialogue politique sont au beau fixe".<br /><br />Néanmoins, au-delà de cette embellie réelle ou fantasmée, l'ambassadeur Rwandais, reste conscient des souffrances, nombreuses et diverses infligées aux Congolais. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />"L'histoire ne s'oublie pas. On n'oublie pas ce qui s'est passé", commence-t-il, "mais ça dépend de qui définit quoi qu'il s'est passé chez qui, pourquoi 2 peuples qui avaient des relations séculaires même bien avant la colonisation, ont eu à un moment de leur histoire des turbulences", indique le diplomate Rwandais. <br /><br />"Il y a eu des raisons et la plus grande raison, ce sont les troubles qui ont commencé au Rwanda même et qui ont abouti au génocide, et les génocidaires ont trouvé refuge au Zaïre à l'époque", se rappelle-il.<br /><br />"Ça été l'élément déclencheur d'un conflit, d'une tension, d'un instinct de survie, de protection du Rwanda qui ne voulait pas continuer à souffrir des effets de l'idéologie et des actions de ces criminels qui ont traversé le Zaïre armés", explique Vincent Karega.<br /><br />"Mais je ne pense pas que cette période de troubles a pris 25 ans", estime-t-il avant de pointer : "souvenons-nous quand-même que le Rwanda était aussi partie prenante du dialogue inter-congolais pour que le pays soit réuni, produise sa Constitution qui a été la base de la transition démocratique. Vous vous souviendrez de l'époque 1+4". <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour lui, "le Rwanda comme voisin seculaire est un allié politique permanent. Nous sommes pour l'unité, l'intégrité et la paix en RDC. Et surtout pour des relations de voisinage très productives et gagnant-gagnant", proclame l'ambassadeur Rwandais.<br /><br />"C'est difficile. Il y a des éléments qui demandent la justice, des éléments qui demandent un dialogue, il y a des aspects qui demandent une commission pour une préservation de la mémoire", consent Vincent Karega, avant de lancer : "on ne peut changer l'histoire mais on peut forger un avenir commun".<br /><b>Eric Lukoki<br />Top Congo Fm</b><p> </p>

Politique « Les relations entre la RDC et le Rwanda sont au beau fixe »(Karega)

"Il y a de très bonnes relations bilatérales, nos institutions politiques au plus haut niveau, des présidents, ministres et parlements ...

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FCC: coups de gueule entre Constant Mutamba et Félix Kabange Numbi sur la question des représentants de l’opposition au sein de la CENI

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsrDYahOQ3S3gK64IQHD1L834py-W3Kfd9VTU_JpOrm9sJ7xPak2jICJezXtZfwoeJbEDHNEBsBXvawXW9xyG14qe-otKGwcjGfMr3TNpjtqTx7sG39EPapFIpuojeoUewJo3fSGfFtnAPgOzdTIIEXE2SsIvLMTmqzt5Oj99TvzreBXCwRRNytu55XQ=s594" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="395" data-original-width="594" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsrDYahOQ3S3gK64IQHD1L834py-W3Kfd9VTU_JpOrm9sJ7xPak2jICJezXtZfwoeJbEDHNEBsBXvawXW9xyG14qe-otKGwcjGfMr3TNpjtqTx7sG39EPapFIpuojeoUewJo3fSGfFtnAPgOzdTIIEXE2SsIvLMTmqzt5Oj99TvzreBXCwRRNytu55XQ=s320" width="320" /></a></div>Alors que la coalition du Front Commun pour le Congo (FCC) boycotte officiellement de se représenter au sein de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), dont il rejette la présidence de Denis Kadima, une autre aile, dite révolutionnaire, coordonné par Constant Mutamba, a proposé au bureau de l’Assemblée Nationale, vendredi 10 décembre, la liste de ses trois candidats aux postes réservés à l’opposition.<br /><br />Selon Constant Mutamba Président du parti politique NOGEC et meneur de cette franche du FCC, pas question d’une quelconque politique de la chaise vide à la centrale électorale « (…)Que personne ne veut entendre, la politique de la chaise vide n’a jamais payé, elle a démontré ces limites dans ce pays. Il est possible d’avoir des hommes et des femmes dignes de l’opposition au sein de la CENI pour faire le contre poids », a-t-il affirmé.<br /><br />Répondant à la question sur la position de l’aile dit principal du FCC, «(…) Quelques individus ne doivent pas bloquer la marche du Pays. Nous rendons bien compte que le blocage actuel risque de nous conduire droit vers un glissement.. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il était plus que temps et surtout après le recule de l’église catholique de pouvoir avancer, le discours doit changer. »,a-t-il conclu, tout en réaffirmant son attachement et sa loyauté à l’ancien Président Joseph Kabila, leur autorité morale.<br /><br />Une réaction musclée de Félix Kabange ! <br /><br /><img src="https://www.7sur7.cd/sites/default/files/styles/1024x768/public/2019-05/felixNumbi_2.jpg?itok=9ycEZRP-" /><br /><br />La réaction n’a pas tardé du côté radical du FCC, Félix Kabange Numbi, membre du comité de crise de cette plateforme, y voit la manipulation pure et simple du régime, dans sa stratégie de débauchage des maillots faibles au sein de la coalition du tout puissant Sénateur à vie, Joseph Kabila Kabange.<br /><br />« nous savons que c’est une manipulation pure et simple de l’Union Sacrée au sein du FCC, en ayant pris certaines personnalités qui n’ont aucun poids politique. Pour nous, c’est un non événement parce que nous le savions, il s’agit d’une énième forcing », a-t-il répliqué. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Malgré l’acte patriotique posé par Constant Mutamba selon certains langues, l’aile de Félix Kabange reste catégorique dans sa position, « Nous aurons une CENI sans l’opposition, nous ne donnerons pas des noms tant qu’il n’y a pas un consensus le plus large possible sur toutes les questions électorales », précisé avec la dernière énergie.<br /><br />Question est de savoir, a qui profite t-elle cette guerre de positionnement au sein la plateforme du « phénoménal Raïs », et quid du silence de ce dernier ? l’avenir nous en dira plus !<div><br /><b>Dario Kiaka<br />Infos 24</b><p><b> </b></p></div>

Politique FCC: coups de gueule entre Constant Mutamba et Félix Kabange Numbi sur la question des représentants de l’opposition au sein de la CENI

Alors que la coalition du Front Commun pour le Congo (FCC) boycotte officiellement de se représenter au sein de la Commission Electorale Nat...

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Présidence de la République : Tshisekedi « trahi par la diaspora »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgkrPxQMWk4rCN68ThMLZJcWDiMYDi1JxAHTeV_ITm3toQrRBUEG6DPx7gr5B31J5tby53_JWf7k8ka49-qJ8kdwCxi7V4SiDRwAcmfAURYwnqm2YzO4ySpx5elLQ_uDHQ1kSahTYYlbhcR33TJPp_xZFFTOdao9WHcDHP_Mf0s4IX1DmlmMdVvZGrP1Q=s982" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="546" data-original-width="982" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgkrPxQMWk4rCN68ThMLZJcWDiMYDi1JxAHTeV_ITm3toQrRBUEG6DPx7gr5B31J5tby53_JWf7k8ka49-qJ8kdwCxi7V4SiDRwAcmfAURYwnqm2YzO4ySpx5elLQ_uDHQ1kSahTYYlbhcR33TJPp_xZFFTOdao9WHcDHP_Mf0s4IX1DmlmMdVvZGrP1Q=s320" width="320" /></a></div> À l’avènement du nouveau pouvoir, le Chef de l’État nouvellement élu issu de la diaspora congolaise d’outre- Antlantique où il a mené l’essentiel de son combat contre la dictature au pays, n’a pas eu tort de renvoyer l’ascenseur à ses compagnons de lutte pour la plupart bombardés de différentes fonctions juteuses à la Présidence de la République avec optimisme de les voir à l’oeuvre pour le redressement du pays. <br /><br />Mais hélas ! Félix Tshisekedi est aujourd’hui désillusionné par le comportement des «Bana poto». Jouisseurs de renom, plusieurs collaborateurs du Chef de l’État issus de la diaspora ont déçu. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Rendement zéro, les conseillers et autres personnels d’appoint nourris à la table du roi, ne sont là que pour puiser à tours de bras. Un comportement des « bons à rien ».<br /><br />Sans doute, Félix Tshisekedi est victime de sa bonne foi. Pour des analystes, la diaspora congolaise appelée à son appui ne mérite plus confiance. Dès dépassements budgétaires à la gabegie financière en passant par leur « immoralité », «les Mikilistes» sont à remercier, insiste-t-on . <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Face à l’obligation des résultats, Félix Tshisekedi doit viser l’efficacité, la compétence, la qualité et d’autres valeurs sûres. C’est dans cette optique que les spécialistes suggèrent au Chef de réduire l’effectif des membres de son cabinet en visant le palpable pour un 2023 assuré.<br /><br />Actu 7<p></p>

Politique Présidence de la République : Tshisekedi « trahi par la diaspora »

À l’avènement du nouveau pouvoir, le Chef de l’État nouvellement élu issu de la diaspora congolaise d’outre- Antlantique où il a mené l’ess...

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🔴 PROCÈS SHEBEYA J.KABILA JUSTICIABLES, LIBERTE PROVISOIRE DE VITAL KAMERHE , BAHATI A RAISON DEVANT MATATA PONYO SUR L'AFFAIRE IMMUNITÉ ! MAITRE RICHARD MPINDA NOUS EXPLIQUE .🔵🟡🔴 ( VIDEO )

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Assemblée nationale : Christophe Mboso échange avec la délégation de la commission Défense nationale de France

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjckcCFCo7rX61uk56ovn3NFwCaXDX-VagT5yLIo2mE2Td-h8PMe2KiR2A236-048KquNL7_U7sUyzf8pduW1znAjhZHuYOU7sO4QIx4SJtup2xNPR-4ollZJVoB2_duKh9h7XNbZR7x2fXvpoEJQfziYDe39DPSSpIDXrPjb2PuiDwzyU-7GK2YFxDJA=s998" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="998" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjckcCFCo7rX61uk56ovn3NFwCaXDX-VagT5yLIo2mE2Td-h8PMe2KiR2A236-048KquNL7_U7sUyzf8pduW1znAjhZHuYOU7sO4QIx4SJtup2xNPR-4ollZJVoB2_duKh9h7XNbZR7x2fXvpoEJQfziYDe39DPSSpIDXrPjb2PuiDwzyU-7GK2YFxDJA=s320" width="320" /></a></div> Conduite auprès des présidents de deux chambres par les présidents des commissions Défense et Sécurité du Sénat et de l’Assemblée nationale, la délégation de la Commission défense nationale du parlement français a eu des échanges fructueux avec la partie congolaise.<br /><br />La cheffe de la délégation, Mme Françoise Dumas , n’a pas manqué de saluer la qualité des échanges.<br /><br /><br />« L’ensemble de la délégation est très touché d’avoir été reçue par le président de l’Assemblée nationale, surtout que ce n’était pas prévu. Il a pris de son temps pour nous recevoir et avons pu avoir cet échange, somme toute, sur ce qui nous parait essentiel, à savoir montrer aussi à quel point nos deux pays sont liés depuis très longtemps. Nous sommes liés par la langue française et les liens d’amitié étroits et par une coopération et une collaboration très étroites et très spontanée et très solides depuis des années 60. Et donc nous devons renforcer, plus que jamais, ces liens eu égard à l’évolution géopolitique de notre monde face à un certain nombre de menaces et risques qui pèsent sur nos démocraties. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Et nous devons travailler ensemble et renforcer cette collaboration, tout d’abord une coopération militaire, opérationnelle, stratégique et une coopération sur tous les autres plans en termes de développement », a-t-il déclaré.<br /><br />L’élue française s’est félicitée d’avoir été reçue par les présidents de deux commissions Défenses de deux chambres du parlement congolais dans le cadre de la diplomatie parlementaire.<br /><img src="https://politiquerdc.net/wp-content/uploads/2021/12/IMG-20211210-WA0409-1024x683.jpg" /><br /><br />« Nous devons poursuivre cette diplomatie parlementaire. Je suis très heureuse d’avoir été reçue par les deux collègues présidents des commissions défense du sénat et de l’Assemblée nationale. On voit bien que c’est par les échanges, par la relation et une réflexion commune que nous pourrons anticiper, prévoir et renforcer ces liens pour faire en sorte de garder une souveraineté d’amitié entre nos deux pays », a-t-elle conclu.<br /><br /><br />De son côté, Bertin Mubonzi, président de la commission Défense et Sécurité de l’Assemblée nationale, s’est dit satisfait d’avoir conduit, auprès des bureaux du Parlement congolais, la délégation française. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Lorsque nous avons appris l’arrivée de Mme Dumas, présidente de la commission défense de l’Assemblée nationale française, il n’était pas prévu que le speaker de l’Assemblée nationale puisse la recevoir, mais la spontanéité avec laquelle le président Mboso a accepté de recevoir la délégation française, conduite conjointement par le président de la Commission Défense du Sénat et moi-même, prouve à suffisance la volonté du président de l’Assemblée nationale non seulement d’accompagner toutes les actions menées par la commission Défense et Sécurité, mais aussi la vision du président de la République qui est celle de rapprocher la RDC de tous les Etats qui peuvent nous apporter un soutien », a déclaré l’élu congolais.<br /><br /><br /><br />Et du point de vue de Bertin Mubonzi, la rencontre avec la délégation française prouve à suffisance que la RDC et la France ont beaucoup à échanger et c’est une diplomatie parlementaire qui vient de voir le jour.<br /><br />«Ça ne fait que commencer et nous pensons qu’avec ce genre de rencontres, nous allons mutualiser nos forces, échanger nos expériences et permettre à la RDC, à travers ces échanges d’expériences de trouver des solutions dans la mesure du possible à tous les problèmes de sécurité et défense auxquels nous butons actuellement », s‘est-il félicité. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />La commission dit avoir reçu des orientations claires et exiger que la commissions Défense de la RDC puisse avoir un regard vers la France qui est un partenaire depuis plusieurs années. De la même manière que la délégation française est reçue en RDC, dans un proche avenir, avec le soutien du speaker de la chambre basse, la délégation congolaise se rendre à Paris pour continuer ce genre d’échanges.<br /><br /><br />On rappelle que la journée de travail a commencé au Sénat où, outre des échanges en aparté, les différentes délégations ont procédé à d’échanges des présents.<p></p><p style="background-color: #f7f7f7; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 26px; margin-top: 0px; overflow-wrap: break-word;">Politique.rdc</p>

Politique Assemblée nationale : Christophe Mboso échange avec la délégation de la commission Défense nationale de France

 Conduite auprès des présidents de deux chambres par les présidents des commissions Défense et Sécurité du Sénat et de l’Assemblée nationale...

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RDC: pagaille autour de la composition de la Céni

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiYz4DO4Im5gURTcS06M7StfX-vrtiHp9qfbhUtW_TjIsYmDp1xFsX1iCZYcpM6BmSnDulzZZoA_bh7E1XGC_9G4gLUEaVPoxlA8dkHTZSwMdQqmeat0PmwSdvWsnqDzVFtOySlQ8TaZOoYEbckYG2whIcjxj4GRE5VOea6q-BYBs2lzmhBHXXkxWfAWA=s826" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="467" data-original-width="826" height="181" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiYz4DO4Im5gURTcS06M7StfX-vrtiHp9qfbhUtW_TjIsYmDp1xFsX1iCZYcpM6BmSnDulzZZoA_bh7E1XGC_9G4gLUEaVPoxlA8dkHTZSwMdQqmeat0PmwSdvWsnqDzVFtOySlQ8TaZOoYEbckYG2whIcjxj4GRE5VOea6q-BYBs2lzmhBHXXkxWfAWA=s320" width="320" /></a></div>En République democratique du Congo (RDC), c'est la pagaille autour de la composition de la Commission électorale nationale indépendante (Céni). La situation devient de plus en plus confuse au sein de la coalition pro-Kabila qui refuse toujours de déléguer ses trois représentants dont le deuxième vice-président. Face au « statu quo », l’aile dite « révolutionnaire » au sein du FCC a déposé, hier, les trois noms de ses représentants pour combler le vide de l’opposition au sein de la Céni dont seuls douze des quinze membres attendus ont été investis en octobre dernier avec en tête-tête Denis Kadima, un expert électoral contesté. Pour le FCC, en crise depuis les élections de fin 2018, la crise ne fait que se cristalliser.<br /><br /><br />Avec notre correspondant à Kinshasa, Pascal Mulegwa<br /><br />Pour Constant Mutamba, meneur de cette frange qui affirme rester fidèle à Joseph Kabila, l’acte posé relève de l’urgence de débloquer la machine pour des bonnes élections dans les délais : « Quelques individus ne doivent pas bloquer la marche du pays pour des intérêts égoïstes. Nous nous rendons bien compte que le blocage actuel risque de nous conduire droit vers le glissement [report des elections censées se tenir en 2023, ndlr], chose que personne ne veut entendre. La politique de la chaise vide n’a jamais payé. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Elle a démontré ses limites dans ce pays. »<br />« Le discours doit évoluer »<br /><br />« Il est possible, dit-il encore, d’avoir des hommes et des femmes dignes de l’opposition au sein de la Céni pour faire le contrepoids. Il était plus que temps, surtout après le recul de l’Église catholique, de l’Église protestante, de pouvoir avancer. Le discours doit évoluer. Nous sommes autant représentatifs que les caciques. Ils sont en train d'envoyer des noms [ pour la Céni] discrètement et hypocritement. Nous nous rendons compte que les gens ne savent pas s'assumer. C'est cette tricherie qui a fait reculer le pays. Nous nous sommes assumés en tant que Opposant de maniere republicaine pour mettre fin à l'impasse. »<br />« Main noire » du camp présidentiel<br /><br />L’aile principale du FCC y voit une « main noire » du camp présidentiel, l’Union sacrée. Félix Kabange du comité de crise du FCC : « Nous savons que c’est une manipulation pure et simple de l’Union sacrée au sein du FCC en ayant pris des personnalités qui n’ont aucun poids politique. Je tiens à le dire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Pour nous, c’est un non-événement parce que nous le savions. Les noms qui seront donnés, sont des noms qu'ils ont préparé depuis longtemps. Nous ne donnerons pas de noms tant qu’il n’y a pas un consensus le plus large possible sur toutes les questions électorales. Toute personnalité, qui par magie, se retrouvera à la Céni n'engagerait que sa propre personne, pas le FCC. Il s’agit d’un énième forcing. Nous aurons une Céni sans opposition. Ils ne veulent pas des elections transparentes. »<br /><br />L’Assemblée nationale, qui doit statuer sur ce contentieux, est mise à l'épreuve. La prochaine pleinière prévue le 21 décembre pourrait permettre d'entériner les candidats proposés. <br /><p></p><div><br /></div><div>RFI</div>

Politique RDC: pagaille autour de la composition de la Céni

En République democratique du Congo (RDC), c'est la pagaille autour de la composition de la Commission électorale nationale indépendante...

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TP Mazembe : « Trésor Mputu a de l’expérience pour ce genre de match et on a besoin de lui » Franck Dumas

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgfwBl0fenffqc1_5E0HJnqy-4G03AE3ZFsIhTpaX0Ni1yTltRsNhW5Fsjeez8RnH9YAjlZlNj_0O3rz624BWGhalvZ2caUC86cCF02YBQf64_ce6F7KW77PX8U16BDG7B1pe9k8EzlM4k0A3__fTxZHU0MCaUkWpGU0YUZIJGBUJvxcHQ5a3NKP2-k3Q=s989" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="989" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgfwBl0fenffqc1_5E0HJnqy-4G03AE3ZFsIhTpaX0Ni1yTltRsNhW5Fsjeez8RnH9YAjlZlNj_0O3rz624BWGhalvZ2caUC86cCF02YBQf64_ce6F7KW77PX8U16BDG7B1pe9k8EzlM4k0A3__fTxZHU0MCaUkWpGU0YUZIJGBUJvxcHQ5a3NKP2-k3Q=s320" width="320" /></a></div>Franck Dumas était en conférence de presse ce vendredi 10 décembre, pour aborder le derby Lupopo-Mazembe, prévu ce samedi exceptionnellement, au Stade des Martyrs de Kinshasa. Le patron du staff technique des Corbeaux justifié ses choix et fait une mise au point : “Tous les joueurs que j’ai emmenés vont jouer, Trésor a de l’expérience pour ce match et on a besoin de lui dans ce match là, et ce n’est pas obligé qu’il joue. À moi de savoir s’il peut jouer, être remplaçant ou encore rester sur le banc”.<br /><br />Dumas insiste sur l’expérience, comme clé d’un derby qu’il n’a jamais disputé. “Moi, je n’ai jamais vécu un derby congolais, j’ai des joueurs qui sont habitués (hommes de derby) et si je les ai appelés c’est parce qu’ils peuvent peut-être nous aider” <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Relégués au deuxième rang par l’AS VClub, les Corbeaux ont le devoir de s’imposer contre les Cheminots de Lupopo, à l’idée de reprendre le fauteuil, sur lequel, ils ont beau régner au cours de ces dernières semaines.<br /><br />Germain Ngoy<p> </p>

Sport TP Mazembe : « Trésor Mputu a de l’expérience pour ce genre de match et on a besoin de lui » Franck Dumas

Franck Dumas était en conférence de presse ce vendredi 10 décembre, pour aborder le derby Lupopo-Mazembe, prévu ce samedi exceptionnellement...

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Des écoles gratuites à la paix à l’Est, Félix Tshisekedi n’a pas tenu ses promesses

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEibY0b-9HlBTHjsbnObnqMfedaLL407flE4lQnpylVdl1ogFum1JWNETfI1cgX73o056OG8ecsZwHEroVHy4euYO7LrMv5_61hJxYW4up7vSq2_7xi_ZIVVhwP0yhm_oXl_r4SAesfDaaqJ57xb0uiYkWmVP4uB_0DTkShe9l0GTR98DajLSsq5Yq46Ow=s991" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="991" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEibY0b-9HlBTHjsbnObnqMfedaLL407flE4lQnpylVdl1ogFum1JWNETfI1cgX73o056OG8ecsZwHEroVHy4euYO7LrMv5_61hJxYW4up7vSq2_7xi_ZIVVhwP0yhm_oXl_r4SAesfDaaqJ57xb0uiYkWmVP4uB_0DTkShe9l0GTR98DajLSsq5Yq46Ow=s320" width="320" /></a></div> Louis bahati, enseignant dans une école primaire de Goma, une ville de l’est de la République démocratique du Congo, n’a pas été payé depuis plus de deux ans. Luttant pour nourrir sa famille et en grève pour la deuxième fois, il a commencé à peindre la maison d’un voisin. Lorsqu’un élève de passage l’a repéré, il a été humilié.<br /><br />« Ma classe s’est moquée de moi », dit-il. “L’élève leur a dit qu’il avait vu leur professeur, couvert de terre, faire ce travail de peinture.”<br /><br />Bien que M. Bahati ait été enseignant dans une école publique pendant six ans, il n’a pas encore été ajouté à la masse salariale du gouvernement. Cela signifiait que lorsque le président Félix Tshisekedi (photo) a annoncé que l’enseignement primaire serait gratuit à partir de septembre 2019 – ce qui était l’une de ses principales promesses électorales – M. Bahati a cessé de recevoir tout salaire. Comme des milliers d’autres enseignants qui ne figuraient pas dans les livres, il comptait sur les honoraires des parents. Après l’annonce du président, ils ont cessé de payer.<br /><br /><br />Le hic avec l’engagement du président était que son gouvernement n’avait pas assez d’argent pour payer les salaires des enseignants. Même certains de ceux qui étaient sur la masse salariale ont vu leur salaire réduit de moitié, à 140 $ par mois dans la plupart des villes et 90 $ dans les villages. Lorsque les enseignants se sont mis en grève pendant deux semaines en octobre, les écoliers ont pris d’assaut le Parlement en scandant : « Nous voulons étudier » et « Si nous n’étudions pas, nous finirons dans la rue à consommer de la drogue ».<br /><br />Pour aggraver les choses, des dizaines de faux enseignants travaillant dans des écoles inexistantes ont en quelque sorte fait leur chemin sur la liste de paie, selon un rapport de l’Inspection générale des finances. Il a révélé qu’environ 31 millions de dollars destinés à l’éducation avaient été détournés. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Cela a incité la Banque mondiale à suspendre son premier versement des 800 millions de dollars qu’elle s’était engagé à soutenir le programme de scolarisation gratuite de M. Tshisekedi. Le gouvernement a depuis annoncé aux enseignants qu’ils seraient payés en janvier, ce qui a encouragé certains à retourner dans leurs classes. Mais beaucoup, dont M. Bahati, ne croient pas le gouvernement et sont toujours en grève.<br /><br />Le fiasco met en lumière un problème plus vaste : la tendance de M. Tshisekedi à promettre la lune. En plus de sa promesse d’une scolarité primaire gratuite, il a également fait campagne sur le vœu d’apporter la paix à l’est du pays et d’éradiquer la corruption. L’électorat semble avoir fait peu confiance à ces entreprises. Lors des élections présidentielles de 2018, il est arrivé loin derrière, avec environ 19% des voix, selon un décompte indépendant de l’église catholique. Il a déclaré que le scrutin avait été remporté par Martin Fayulu, un militant anti-corruption charismatique. M. Tshisekedi a néanmoins revendiqué la victoire et est arrivé au pouvoir, apparemment après un accord en coulisses avec le président sortant, Joseph Kabila, par lequel il aurait promis de laisser à l’impopulaire M. Kabila le contrôle d’une grande partie de l’État.<br /><br />Depuis, cependant, M. Tshisekedi a habilement réussi à prendre ses distances avec son prédécesseur, à former une nouvelle coalition et à consolider son emprise sur le pouvoir. Il a même réussi à licencier certains des plus proches alliés de M. Kabila, dont le président de la Gécamines, la société minière nationale et tirelire des amis de M. Kabila. Son ancien président, Albert Yuma Mulimbi, a été accusé d’avoir détourné plus de 8 milliards de dollars de revenus de l’exploitation du cuivre et du cobalt. Même ainsi, le président peut difficilement prétendre avoir éradiqué la corruption. Depuis son arrivée au pouvoir, le Congo a perdu neuf places pour se classer 170e sur 180 dans un classement établi par Transparency International, un organisme de surveillance anti-corruption.<br /><br />Le président a également fait peu de progrès dans le respect de sa promesse de rétablir la sécurité et de vaincre les groupes armés qui terrorisent l’est du Congo depuis 25 ans. Plus de 5,5 millions de personnes qui ont été forcées de quitter leur domicile ne peuvent toujours pas rentrer. Beaucoup vivent dans des camps misérables qui sont parfois attaqués par des rebelles. En novembre, une milice a pris d’assaut une milice dans la province de l’Ituri, tuant 44 personnes. Peu de temps après, un groupe armé a kidnappé deux travailleurs humanitaires près de Goma. Dans le but de rétablir l’ordre, M. Tshisekedi a imposé la loi martiale dans deux des provinces orientales les plus sanglantes en mai, mais avec peu d’effet. En novembre, il a autorisé les troupes de l’Ouganda voisin à traverser la frontière pour attaquer l’un des groupes les plus dangereux, les Forces démocratiques alliées (adf), une milice liée à l’État islamique, après avoir fait exploser des bombes à Kampala, la capitale ougandaise. Mais cela n’a pas permis aux habitants de se sentir plus en sécurité. Beaucoup craignent que les troupes ougandaises dépassent leur accueil et pillent les minerais de la région, comme elles l’ont fait pendant la deuxième guerre civile du Congo, qui a fait rage de 1998 à 2003.<br /><br />Pour être juste, le Congo n’est pas un endroit facile à gérer. « Tshisekedi a le travail le plus dur d’Afrique », déclare Piers Zvegintzov, un conseiller en sécurité basé dans la capitale, Kinshasa. Cela implique « gérer une impossible coalition d’adversaires tout en essayant désespérément de construire une véritable base de pouvoir, de mener des réformes et de ne pas se faire assassiner ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Tenter de remporter un concours équitable lors de la prochaine élection présidentielle en 2023 doit désormais être ajouté à cette liste. Certains craignent que, parce que M. Tshise kedi n’a honoré aucun de ses engagements de campagne, il puisse simplement essayer de truquer le vote. “Il y a deux façons de rester au pouvoir”, a déclaré un député de la coalition au pouvoir qui a demandé à ne pas être nommé. « L’un est de devenir populaire en faisant le travail que vous avez promis, l’autre est d’être stratégique. » Par « stratégique », il entend tricherie, ajoutant que « Tshisekedi a opté pour ce dernier. »<br /><br />Le législateur a nommé un de ses alliés, Denis Kadima, à la tête de la commission électorale. La cour constitutionnelle, qui aurait le dernier mot en cas de contestation du vote, est empilée avec les fidèles de M. Tshisekedi. Les églises catholique et protestante, qui comptent parmi les rares institutions respectées au Congo, ont critiqué la nomination de M. Kadima. Il en va de même pour les partis d’opposition, qui disent que cela érodera la confiance dans les élections. “Nous intensifierons nos protestations jusqu’à ce qu’elles dépolitisent la commission électorale”, a déclaré M. Fayulu.<p></p><b> Congoactu</b>

Education Politique Des écoles gratuites à la paix à l’Est, Félix Tshisekedi n’a pas tenu ses promesses

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L’Assemblée nationale dévoile le calendrier de finalisation du processus des membres de l’opposition à la CENI

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjLAkPKkoJ8uQgceLYIzRnxCAM3-Os6fVbrb7IEgTv5B9wCv9nfq20snBN1eQDa-QzF0vpDLO8Pp6UP-ozUXbPqNxolqIbUrstgiHkYDOH9OejaT8TMIbrHyO1w1wLfmz_x8abcI5jgb1pNM1YinpQRKVVV7WZbcSAEi2lIme972R8JboeCjItbJ_n-PQ=s1189" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="643" data-original-width="1189" height="173" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjLAkPKkoJ8uQgceLYIzRnxCAM3-Os6fVbrb7IEgTv5B9wCv9nfq20snBN1eQDa-QzF0vpDLO8Pp6UP-ozUXbPqNxolqIbUrstgiHkYDOH9OejaT8TMIbrHyO1w1wLfmz_x8abcI5jgb1pNM1YinpQRKVVV7WZbcSAEi2lIme972R8JboeCjItbJ_n-PQ=s320" width="320" /></a></div>Le bureau de l’Assemblée nationale dirigé par Christophe Mboso a dévoilé, ce vendredi 10 décembre, le tout nouveau calendrier de la désignation des membres de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).<br /><br />Divisé depuis un temps, ce calendrier pourrait permettre à l’opposition de désigner ses représentants qui vont occuper les trois (3) postes vides jusqu’à présent.<br /><br />Celui-ci précise que le 16 novembre prochain, va commencer le dépôt des PV (Procès Verbaux) de désignation des candidats par composantes auprès du bureau de l’Assemblée nationale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Par ailleurs, du 15 au 19 décembre, la Commission paritaire va procéder à l’examen des tous les dossiers. C’est le lundi 20 décembre qu’aura lieu le dépôt du rapport de la commission paritaire à la chambre basse du parlement. <br /><br />Cependant, un jour après, soit le mardi 21 décembre 2021, la plénière va examiner et adopter des conclusions de la Commission paritaire portant résolution de l’entérinement de ces trois (3) membres de la CENI issus de l’opposition.<br /><br />24h après cet enterinement, cette résolution sera transmise au président de la République pour procéder à l’investiture de ces nouveaux membres de la CENI. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le camp du FCC (Front Commun pour le Congo) dirigé par Raymond Tshibanda avait dernièrement rejeté l’appel du pied lancé par Christophe M’boso, justifiant sa position par le manque de consensus entre différentes composantes.<br /><br />De son côté, l’aile du FCC « révolutionnaire » dirigée par le duo Âgée Matembo et Constant Mutamba, a déjà déposé les noms de ses représentants au bureau de la chambre basse du parlement.<br /><br /><p>Actu 7</p><p> </p>

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