BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Congolais bloqués en Pologne : « le rapatriement sera volontaire. Pour ceux qui voudront rester, le gouvernement ne pourra rien faire », Kabongo Ngoyi

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhEY3Mw78WBnOjzTJry1SlpJFCU3noesIfX820lHBnKrnGv-WiMD46G98B8L-CaZKy2Lo_8PUOeyAEylVZppmJ5jmhkh1DTsHgAtHad1qSkB63swsABRMxnvvL6fAZPFgpMrD5TgbgpKB1MHD_9oVWyk3WKq29ZAx90myRtB90sqhB4h8fd0_5pkpUw-w=s905" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="503" data-original-width="905" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhEY3Mw78WBnOjzTJry1SlpJFCU3noesIfX820lHBnKrnGv-WiMD46G98B8L-CaZKy2Lo_8PUOeyAEylVZppmJ5jmhkh1DTsHgAtHad1qSkB63swsABRMxnvvL6fAZPFgpMrD5TgbgpKB1MHD_9oVWyk3WKq29ZAx90myRtB90sqhB4h8fd0_5pkpUw-w=s320" width="320" /></a></div> Depuis le début de la guerre en Ukraine, le gouvernement congolais multiplie les efforts pour aider ses ressortissants. Une délégation congolaise partira de Kinshasa sauf changement ce samedi 12 mars pour Varsovie. Toutes les possibilités seront étudiées, notamment le rapatriement des volontaires.<br /><br />Le secrétaire général au ministère des affaires étrangères Kabongo Ngoyi a annoncé que le gouvernement congolais veut résoudre la situation de ses ressortissants en Pologne. La délégation qui s’y rendra devra apporter des solutions. Elle demandera à chaque compatriote ce qu’il désire afin d’aider. Mais « le rapatriement sera volontaire. Ceux qui voudront retourner au pays seront aidés par le gouvernement, mais pour ceux qui voudront rester, le gouvernement ne pourra rien faire », dit-il.

<br /><br />A la 43e réunion du Conseil des ministres, il avait été dit que 516 Congolais se sont réfugiés en Pologne. Les ressortissants non européens ont trente jours pour quitter la Pologne ou ils seront expulsés vers leurs pays d’origine. Déjà deux semaines se sont écoulées. Sept autres Congolais étaient bloqués en Ukraine.<br /><br />congo-press.com (MCP)<p></p>

Congolais bloqués en Pologne : « le rapatriement sera volontaire. Pour ceux qui voudront rester, le gouvernement ne pourra rien faire », Kabongo Ngoyi

Société Congolais bloqués en Pologne : « le rapatriement sera volontaire. Pour ceux qui voudront rester, le gouvernement ne pourra rien faire », Kabongo Ngoyi

Depuis le début de la guerre en Ukraine, le gouvernement congolais multiplie les efforts pour aider ses ressortissants. Une délégation cong...

RDC : les passeports de nouveau disponibles après un mois de rupture de stock

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiwNZ_b4UdAbp6FtfSzJfOmiSYTEeTWrVXDBIVpSZ59WsRQQtlxKUE0IbbBGwh2uS2TbBow57WCTNLGCku83U5lboJAtNhFuFcdlcucszJVAzWRxGZXBq5V2vubMxYEZBHTfZS98gh2Y6J4IAV08LLnabbYOifmvVO8iw6QaDs3IPYC6Y-bBpj6o1n29g=s1305" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="936" data-original-width="1305" height="230" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiwNZ_b4UdAbp6FtfSzJfOmiSYTEeTWrVXDBIVpSZ59WsRQQtlxKUE0IbbBGwh2uS2TbBow57WCTNLGCku83U5lboJAtNhFuFcdlcucszJVAzWRxGZXBq5V2vubMxYEZBHTfZS98gh2Y6J4IAV08LLnabbYOifmvVO8iw6QaDs3IPYC6Y-bBpj6o1n29g=s320" width="320" /></a></div> Après plus d’un mois de rupture de stock, le ministère des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo reprend, vendredi 11 mars, la délivrance des passeports aux requérants. Le secrétaire général de ce ministère, Joska Kabongo Ngoy, a livré cette information dans une interview exclusive accordée à Radio Okapi.<br /><br />Selon lui, le ministère des Affaires étrangères venait de recevoir la veille un premier lot de six rouleaux de laminant provenant des Etats-Unis et les autres vont suivre dans moins d’une semaine.<br /><br />« Nous avons connu une carence de laminant, par le fait que le fabricant américain, à cause de la COVID-19 avait réduit la production. Ce n’est pas par le fait du gouvernement congolais ou du ministère des Affaires étrangères. Aujourd’hui, la solution est déjà trouvée. Nous pouvons désormais produire 9 000 passeports », a déclaré l’ambassadeur Joska Kabongo Ngoy.

<br /><br />A en croire le directeur chef de service de la chancellerie, l’ambassadeur Kalanda Romain, le lot de six rouleaux reçus jeudi 10 mars vont produire 9000 passeports, un autre lot de 64 rouleaux arrivent le 15 mars et un autre de 36 rouleaux arrivent le 23 mars prochain pour produire au total 100.000 passeport.<br /> radiookapi.net<p></p>

Société RDC : les passeports de nouveau disponibles après un mois de rupture de stock

Après plus d’un mois de rupture de stock, le ministère des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo reprend, vendredi 11 ...

Prime Léopards : Barthélémy Okito nous a tous menti ?

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbudEGNa9Hd8_nH-nMgcAk9J8aSEld90MXqFO3YuvrRUDe3bisNk9X20RBn-oGCt71nr7lPuXbjErnjJL675W079TMajQKvOkgE-cOlea90KDHchV-66GjZ-KqrM_aTToZ2c6ymgb21UdKv_3aqGIf242AqVZG_WEEV6507zo76gV3J5hZ5TkX2uVZDw=s965" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="503" data-original-width="965" height="167" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbudEGNa9Hd8_nH-nMgcAk9J8aSEld90MXqFO3YuvrRUDe3bisNk9X20RBn-oGCt71nr7lPuXbjErnjJL675W079TMajQKvOkgE-cOlea90KDHchV-66GjZ-KqrM_aTToZ2c6ymgb21UdKv_3aqGIf242AqVZG_WEEV6507zo76gV3J5hZ5TkX2uVZDw=s320" width="320" /></a></div><p></p><br />Quand on se joue de la République, on se plante ! Comme sur la plupart de ses prises de position, le secrétaire général aux Sports Barthélémy Okito se voit encore une fois lâché par son Ministre, qui n’est que Serge Nkonde. Il y a près d’une semaine, Barthélémy Okito rendait public sur les ondes de Top Congo FM la prime réservée aux Léopards pour les barrages du mondial (20. 000$/joueurs), les chiffres que nie Chembo Nkonde. Barthélémy Okito<br /><br /> » La prime de 20.000 $ par joueur n’est pas une vrai prime. La prime des joueurs est de la discrétion du chef de l’Etat. Les joueurs viennent jouer pour le drapeau et non pour l’argent, défendre la RDC. Au moment où ils auront la qualification, il y aura une prime qui est encore réservée à la discrétion du président de la République » a dit Serge Nkonde.

<br /><br />Quand il faille faire le lien entre son secrétaire général et lui quant à cette nouvelle qui a bougé route la RépubliqueDémocratique du Congo, le Ministre des Sports a été clair. » Celui qui l’a dit, n’engage que lui-même. À notre niveau, nous jouons et préparons l’équipe en mettant tous les moyens pour que l’équipe se defende correctement. <div><br /></div><div>Mais quant à la précision sur la prime, elle n’est pas encore connu. »
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  <br />Prêt à porter une sorte de discrédit sur l’administration de tout un Ministère, les contradictions récurrentes entre Serge Nkonde et Barthélémy Okito ne cessent de se multiplier. On croirait même à un mariage imposé par un père africain.<br /><br />PaTshia/Léopardsactu.com<br /><br /> </div>

Sport Prime Léopards : Barthélémy Okito nous a tous menti ?

Quand on se joue de la République, on se plante ! Comme sur la plupart de ses prises de position, le secrétaire général aux Sports Barthélém...

Processus électoral en RDC : Fini le désamour, Catholiques et protestants chez Denis Kadima !

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjtuVGKD2ZVYKaHJsguR-1z-XMSxCgGE452iCxHeifDulTAMik9oOZuazWtPDswKC50znn0MU5WknISE6CzABQRGbD0ozuaXkqavD8QaxCsfKfumDD8yD-9aoc51cHkg8GDwv5tJXCDlKSeJ7e-nSJ-S0Tm6CEdOh3rycP_0OFLvB72dA-Z_7xOZSdzcA=s993" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="993" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjtuVGKD2ZVYKaHJsguR-1z-XMSxCgGE452iCxHeifDulTAMik9oOZuazWtPDswKC50znn0MU5WknISE6CzABQRGbD0ozuaXkqavD8QaxCsfKfumDD8yD-9aoc51cHkg8GDwv5tJXCDlKSeJ7e-nSJ-S0Tm6CEdOh3rycP_0OFLvB72dA-Z_7xOZSdzcA=s320" width="320" /></a></div>Radicales au départ contre la désignation de Denis Kadima à la tête de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) et l’Eglise du Christ au Congo (ECC) ont décidé de fumer le calumet de paix avec l’actuelle équipe dirigeante.<br /><br />Surprenant, les délégués de ces deux confessions religieuses ont foulé les plantes de leurs pieds au siège de la Centrale Électorale ce vendredi.<br /><br /><br />Il s’agit des membres des commissions Justice et Paix de la Conférence épiscopale nationaIe du Congo (Cenco) et de l’Eglise du Christ au Congo (ECC) qui ont eu ce face-à-face avec Denis Kadima Kazadi.<br /><br />Au menu des échanges : les contraintes soulevées par la CENI dans sa feuille de route du processus electoral.<br /><br />“Nous sommes venus sur place pour comprendre à fond certaines situations. Et les jours à venir, peut-être la semaine prochaine, nous prendrons langue avec certains responsables au niveau du gouvernement. Notre mission est en fait un plaidoyer en temps réel qui va permettre à la Ceni d’améliorer son travail sur le terrain parce qu’elle n’est pas partout.

Elle met en œuvre des activités et nous on en fait un monitoring, après nous revenons pour évaluer pour, le cas échéant, contribuer à améliorer son travail”, a déclaré au sortir de l’audience, Cyrille Ebotoko, chargé du programme Éducation civique à la Commission Justice et Paix au sein de la CENCO. Ce dernier, challenger et candidat malheureux dans le processus de désignation du numéro 1 de la CENI.<br /><br />Ebotoko fait partie de ceux qui ont attribué à Kadima une certaine proximité avec l’actuel chef de l’État, en dehors du groupe de Dodo Kamba qui, a par contre, loué l’expertise avérée du successeur de Corneille Nangaa, dans les questions électorales.

<br /><br />Cette première rencontre que Denis Kadima et les deux confessions religieuses s’inscrit logiquement dans cette nouvelle ligne de tolérance mutuelle pour aboutir à des élections véritablement libres, démocratiques et transparentes, et surtout dans le délai constitutionnel.<br /><br />Ainsi donc, l’ECC et la CENCO vont former une mission d’observation électorale commune à travers leurs deux commissions Justice et Paix.<br /><br />Signalons que les deux délégations avaient rencontré il y a deux jours, le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso et le président du Sénat, Bahati Lukwebo, pour toujours parler feuille de route de la CENI.<br /><br />depeche.cd<p> </p>

Politique Processus électoral en RDC : Fini le désamour, Catholiques et protestants chez Denis Kadima !

Radicales au départ contre la désignation de Denis Kadima à la tête de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), la Conférence...

Processus électoral: Lamuka sollicite la Médiation de la MONUSCO pour qu'il y ait consensus avant ces élections

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgdBkMGexoAdr5QfhbBnTTg0YcVdGZzXROGzpNpwQEt2HaMFGaD6Llaoq_oMxJVj9yHctMDQZ_LJR08X6zYVAK6HtngKM9UmfpCfrf_pVjcFkQ-HLycd6Z96lOGDgidlBR-SIl1-qOa_CnlWgiDguHU2oL9COHEkM7mZ1c2Ttq0NAl4J9Q_44M8u01m8g=s985" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="545" data-original-width="985" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgdBkMGexoAdr5QfhbBnTTg0YcVdGZzXROGzpNpwQEt2HaMFGaD6Llaoq_oMxJVj9yHctMDQZ_LJR08X6zYVAK6HtngKM9UmfpCfrf_pVjcFkQ-HLycd6Z96lOGDgidlBR-SIl1-qOa_CnlWgiDguHU2oL9COHEkM7mZ1c2Ttq0NAl4J9Q_44M8u01m8g=s320" width="320" /></a></div>La coalition Lamuka sollicite la médiation de la MONUSCO pour qu’il y ait consensus avant les élections de 2023.
<p>“Nous n’avons pas formellement sollicité une médiation, mais dans le contexte actuel, nous demandons à la MONUSCO, qui a une branche bons offices en son sein, de jouer ce rôle là”, a affirmé sur TOP CONGO FM, Devos Kitoko, Secrétaire Général de l’ECIDE, parti cher à Martin Fayulu.</p>
<p>Pour Devos Kitoko de Lamuka du tandem Fayulu-Muzito, Martin Fayulu “fait tout pour qu’il y ait consensus avant ces élections”.</p>
<p>Il rappelle notamment le fait que ce dernier a déjà écrit à l’Union africaine afin de réunir les parties prenantes au processus électoral pour éviter tout conflit post électoral.</p>

<p>Le SG de l’Ecide assure que Lamuka continue d’exiger des discussions directes entre les parties prenantes au processus électoral de façon à trouver un consensus sur les réformes électorales nécessaires pouvant conduire aux élections crédibles, impartiales, transparentes et apaisées.</p>
<p>Devos Kitoko indique qu’ils vont continuer à faire pression avec le peuple et d’autres partenaires pour obtenir qu’il y ait des discussions.</p>
<p>Selon lui, sans ces réformes, aucune élection transparente crédible et apaisée n’est possible.

</p>

Politique Processus électoral: Lamuka sollicite la Médiation de la MONUSCO pour qu'il y ait consensus avant ces élections

La coalition Lamuka sollicite la médiation de la MONUSCO pour qu’il y ait consensus avant les élections de 2023. “Nous n’avons pas formellem...

Kinshasa : La PNC autorise à quiconque de filmer tout acte d’incivisme routier, « même des autorités »

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg3k9dEYhkDUaXPy41-xF25JEydd4c8L3wOLXa5QDekLXIRjtBI1LuTYWaUN2JKfgRO02DwYxUpUHjxdbXNrXogHdN0D35b7e5Ud98wC8932L0Cm27Lk0ST02EPorQKBJ5-5olDMODOHzc3rCUuQQLm8_Td0I26CZpFdebyb4nvcZwmw8zpJVO4gzM8xw=s745" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="387" data-original-width="745" height="166" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg3k9dEYhkDUaXPy41-xF25JEydd4c8L3wOLXa5QDekLXIRjtBI1LuTYWaUN2JKfgRO02DwYxUpUHjxdbXNrXogHdN0D35b7e5Ud98wC8932L0Cm27Lk0ST02EPorQKBJ5-5olDMODOHzc3rCUuQQLm8_Td0I26CZpFdebyb4nvcZwmw8zpJVO4gzM8xw=s320" width="320" /></a></div><p></p><br /><br />A Kinshasa et dans les autres grandes villes de la RDC, on assiste chaque jour à des actes d’incivisme routier commis par des chauffeurs, des conducteurs des motos et même par certains piétons. On voit les automobilistes et autres conducteurs de motos brûler le feu rouge, rouler sur les bordures de la chaussée, se frayer le passage sans aucun respect du code de la route.<br /><br />Face à la persistance de ces antivaleurs sur la route, le commissaire provincial de la Police Nationale Congolaise de la ville de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo prévient que toute personne qui va mal se comporter sur la voie publique sera filmée et son image va passer à la télévision.

<br /><br />Pour y arriver, indique-t-il, « nous avons conçu “ Keba na camera ”, C’est un programme télévisé qui sera diffusée dans différentes chaînes pour dissuader toutes les personnes qui ne vont pas respecter le code de la route, y compris les autorités ».

<blockquote class="twitter-tweet"><p lang="fr" dir="ltr"><a href="https://twitter.com/hashtag/Thread?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#Thread</a> La Police/Kinshasa conseille désormais à tout le monde de « filmer les usagers de la route qui commettent les contraventions, mais aussi les policiers s'ils se comportent mal ». Pour le Gén <a href="https://twitter.com/hashtag/SylvanoKasongo?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#SylvanoKasongo</a>, c'est question de décourager l'incivisme routier à Kinshasa. 1/7 <a href="https://t.co/HOofUbH8C0">pic.twitter.com/HOofUbH8C0</a></p>— Stéphie MUKINZI (@StephieMUKINZI) <a href="https://twitter.com/StephieMUKINZI/status/1502316701303676938?ref_src=twsrc%5Etfw">March 11, 2022</a></blockquote> <script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>

<br /><br /><br /><br /><a href="https://twitter.com/hashtag/Thread?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw"></a><a href="https://twitter.com/hashtag/SylvanoKasongo?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw"></a><a href="https://t.co/HOofUbH8C0"></a><a href="https://twitter.com/StephieMUKINZI/status/1502316701303676938?ref_src=twsrc%5Etfw"></a><br /><br />Le Général Sylvano Kasongo précise que le but n’est pas dans de nuire à qui que ce soit mais « c’est pour mettre de l’ordre sur la voie publique. Elle appartient à ceux qui connaissent le code de la route ».

<br /><br />Il annonce également qu’ils ont créé un forum WhatsApp pour recevoir les vidéos. Elles seront analysées avant de les diffuser.<br /><br />Aux avocats et défenseurs de droit de l’homme, il rappelle que l’atteinte à la vie privée, c’est quand vous êtes chez vous. Quand vous êtes sur la voie publique, c’est différent. Quand vous voulez qu’on vous respecte, il faut respecter la loi.<br />Dominique Malala<p> </p>

sécurité Société Kinshasa : La PNC autorise à quiconque de filmer tout acte d’incivisme routier, « même des autorités »

A Kinshasa et dans les autres grandes villes de la RDC, on assiste chaque jour à des actes d’incivisme routier commis par des chauffeurs, de...

Élections 2023 : Adolphe Muzito, candidat président des femmes du Nouvel Elan

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgvcYmtLDHan_SQrI-EiBfgphBChdtDa5p7oyDkj2ReHdwo3OwbVRGVxqiZik4LvVaiEalzwvpfWXUGIk6GmbgHDMIprA-FqY9icTzho2-5oBRHIE1JY52I9Eh903Yw49zNmLlSUAWGx8CEZZ0kElA4MdzCwqHCCHkXNinhKPv_uE8Em2f9Uwl77iB1Jw=s1004" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="676" data-original-width="1004" height="215" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgvcYmtLDHan_SQrI-EiBfgphBChdtDa5p7oyDkj2ReHdwo3OwbVRGVxqiZik4LvVaiEalzwvpfWXUGIk6GmbgHDMIprA-FqY9icTzho2-5oBRHIE1JY52I9Eh903Yw49zNmLlSUAWGx8CEZZ0kElA4MdzCwqHCCHkXNinhKPv_uE8Em2f9Uwl77iB1Jw=s320" width="320" /></a></div>À l’occasion de la Journée internationale de droits de femme, les femmes du Nouvel Élan, parti cher à Adolphe Muzito, en Uvira dans la province du Sud-Kivu ont appelé d'autres femmes « à contribuer à la construction du pays en apportant leurs connaissances et compétences nécessaires ».
<p>« En ce jour spécial dédié à la femme et partant du thème de l’année : ”L’égalité des sexes aujourd’hui pour un avenir durable“, nous les mamans de Nouvel Élan invitons les femmes d’Uvira en particulier et celles du reste du pays en général, à réfléchir à la construction de notre nation. Il est temps que les femmes d’Uvira et celles des autres territoires participent et contribuent à leur émancipation », peut-on lire dans cette déclaration.</p><script async="" crossorigin="anonymous" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js?client=ca-pub-9439336515919788"></script>
<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9439336515919788" data-ad-format="fluid" data-ad-layout-key="-6t+ed+2i-1n-4w" data-ad-slot="6865042665" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
<p>En outre, les femmes du Nouvel Élan qui ont dédié cette journée en mémoire des femmes victime d’atrocités et ont plébiscité leur leader Adolphe Muzito comme « candidat l’élection présidentielle en 2023 afin de mettre fin aux massacres dans la partie Est du pays ».</p>
<p>« À ce jour du 8 mars 2022, notre cher parti Nouvel Élan a une pensée aux millions de femmes humiliées et à celles qui ont été massacrées dans la partie Est du pays. Nous dédions surtout cette fête à toutes nos mamans victimes de la barbarie que nous dénonçons depuis plusieurs années. 
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  Ainsi, pour mettre fin aux massacres à l’Est du pays, nous, les femmes, mamans de Nouvel Élan à Uvira, plébiscitons le camarade Adolphe Muzito comme candidat de notre parti à l’élection présidentielle prévue en 2023 », disent-elles, car selon elles, « c’est le seul homme politique qui a l’expertise du pas et qui va conduire notre pays au développement durable et à la démocratie véritable ».</p>
<p>Rappelons que depuis plus de deux décennies, l’Est de la RDC est le temple des massacres à répétition suite au pillage minier par des groupes armés.</p>
<p>Theo Liko
</p>

Politique Élections 2023 : Adolphe Muzito, candidat président des femmes du Nouvel Elan

À l’occasion de la Journée internationale de droits de femme, les femmes du Nouvel Élan, parti cher à Adolphe Muzito, en Uvira dans la provi...

Pasteur Moïse Mbiye : « J’ai refusé d’être dans certaines choses parce que je savais ce qui se cachait derrière… Que personne ne vous dise le contraire ! »

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj6as6tEcRwBFAt2Iigy5ttmYysObECdW4DdRz6wWhtl7JWP4BKXUpitO7UXFSc5OKSItp3ZIXaa4ZIJkIwURKIDM-pScxVr0GZ2uQE1YbpmMcBUnQ5S1P6MrbGrK2C9wMcht3hgfsmV_0ceXr_YVuF-563TV_FKGduqr1jNWVmHa4b7tmcP_KgFMukaw=s740" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="412" data-original-width="740" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj6as6tEcRwBFAt2Iigy5ttmYysObECdW4DdRz6wWhtl7JWP4BKXUpitO7UXFSc5OKSItp3ZIXaa4ZIJkIwURKIDM-pScxVr0GZ2uQE1YbpmMcBUnQ5S1P6MrbGrK2C9wMcht3hgfsmV_0ceXr_YVuF-563TV_FKGduqr1jNWVmHa4b7tmcP_KgFMukaw=s320" width="320" /></a></div>Au cours d’une de ses prédications, le pasteur Moïse Mbiye, responsable de l’église Cité Bethel, a fait des révélations étonnantes sur certains projets pour lesquels son expertise a été souhaitée.<br /><br />La Reserve de l’Eternel a confirmé avoir décliné la proposition d’une femme dont il n’a pas dévoilé l’identité parce qu’il y avait une puissance qui opérait derrière le fameux projet qu’elle lui proposait.<br /><br /><br />« J’ai refusé d’être dans certaines choses. C’est moi qui ai refusé ça. Que personne ne vous dise le contraire ! Parce que je sais ce qui se cache derrière, je sais quelle puissance opère derrière ça. Et à l’époque lorsque cette dame me faisait la proposition, un jour je lui ai dit vous avez beaucoup d’argent, pourquoi vous ne protégez pas votre mariage et elle m’a répondu, mon mari ne ferait rien parce que c’est moi qui ai l’argent.

Je n’avais rien compris… »<br /><br /><br /><br />« Et après, j’ai découvert que toutes les choses sales que la dame faisait, son propre mari était au courant. Et chaque fois qu’il y a des scandales, ce son mari qui l’étouffait au point qu’un frère que vous connaissez a été attrapé dans une chose incroyable et c’est l’homme qui gaspillait de l’argent pour l’étouffer. C’est un frère que j’ai présenté à ces gens là. J’avais décidé de m’éloigner de ces personnes. Et aujourd’hui, je regrette même de leur avoir présenté certaines personnes « , a-t-il révélé devant ses fidèles.

<br /><br />Cette révélation s’apparente à celle du prophète Dénis Lessie qui avait laissé entendre peu avant que : « Le fondateur de Maajabu avait premièrement proposé ce projet à Moïse Mbiye, mais que ce dernier avait refusé pour ses propres raisons…Après ce refus, la dame en question est allée faire la même proposition à Mike Kalambay et les autres artistes pour diriger le projet « Maajabu Gospel et Talents » et ils avaient tous accepté « , avait-il révélé<br /><br /><br /><br /><br />À travers des messages en lignes, certains internautes avertis pensent que le pasteur Moïse Mbiye faisait allusion au projet Maajabu Gospel et Talents, un projet qui a connu des scandales sexuels durant son déroulement.<br /><br />Grâce Bolakongo<p> </p>

Pasteur Moïse Mbiye : « J’ai refusé d’être dans certaines choses parce que je savais ce qui se cachait derrière… Que personne ne vous dise le contraire ! »

Musique Réligieuse Pasteur Moïse Mbiye : « J’ai refusé d’être dans certaines choses parce que je savais ce qui se cachait derrière… Que personne ne vous dise le contraire ! »

Au cours d’une de ses prédications, le pasteur Moïse Mbiye, responsable de l’église Cité Bethel, a fait des révélations étonnantes sur certa...

RDC : “Richard Muyej est important dans le travail à côté du Chef de l’État”(JC Muyambo)

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjwnTc44zGGgiB7nI4ALfDB-cS8RvooE08dlFtyUaszUBp-HVZSN6yIcvKseUtQzOcmEsEqv_uaFZXD9zX0S6qzl3do2LnRlyquhODH1H0AXNRKDU5yBzYz3UKYuRE7VnVBFG7SL2vQcuVi8p7vUwaGBCRxC2aHxnjfIEw54T0KCe7g-SlDvCfcxdHBSg=s676" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="434" data-original-width="676" height="205" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjwnTc44zGGgiB7nI4ALfDB-cS8RvooE08dlFtyUaszUBp-HVZSN6yIcvKseUtQzOcmEsEqv_uaFZXD9zX0S6qzl3do2LnRlyquhODH1H0AXNRKDU5yBzYz3UKYuRE7VnVBFG7SL2vQcuVi8p7vUwaGBCRxC2aHxnjfIEw54T0KCe7g-SlDvCfcxdHBSg=s320" width="320" /></a></div>La situation de Richard Muyej, gouverneur de la province du Lualaba ne cesse de préoccuper tous les hauts cadres du Congo. Longtemps loin de son fief, Muyej peut compter sur le soutien de Jean-Claude Muyambo. Le membre de l’Union Sacrée a, lors d’une intervention, fait savoir que “le chef de l’exécutif provincial du Lualaba est important dans le travail aux côtés du chef de l’État”.<br /><br />« Ma position par rapport à Muyej? Pour développer le Lualaba, on a aussi besoin de lui( Richard Muyej)», a fait savoir Muyambo.<br />A en croire Jean-Claude Muyambo, “l’union sacrée doit aussi compter sur Muyej si le président veut réussir son mandat”.<br /><br />Acturdc.com<p> </p>

Politique RDC : “Richard Muyej est important dans le travail à côté du Chef de l’État”(JC Muyambo)

La situation de Richard Muyej, gouverneur de la province du Lualaba ne cesse de préoccuper tous les hauts cadres du Congo. Longtemps loin de...

« La garde à vue arbitraire de François Beya constitue l’antithèse de l’État de droit prôné par Félix Tshisekedi » (ACAJ)

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXLGsETc4caqeCqnfeUF12yurfOaav2dAlJ4vCLP3HWDCGdm8GqLU54fkSGg4Mvy7Nw0TwcoqVZEMh-hg4a9XleuKdx2U1pfHIdCUQ4gaRGUa-CNOt8d2OH8VVaYP0mdKBHCbKhf7dpWmabq-0L1QY3ujThn5hX-V9gN5pbS9NaDOnakhI8SC7lxNyUg=s638" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="365" data-original-width="638" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXLGsETc4caqeCqnfeUF12yurfOaav2dAlJ4vCLP3HWDCGdm8GqLU54fkSGg4Mvy7Nw0TwcoqVZEMh-hg4a9XleuKdx2U1pfHIdCUQ4gaRGUa-CNOt8d2OH8VVaYP0mdKBHCbKhf7dpWmabq-0L1QY3ujThn5hX-V9gN5pbS9NaDOnakhI8SC7lxNyUg=s320" width="320" /></a></div> Dans une correspondance du 10 mars 2022, adressée à l’administrateur général de l’Agence nationale des renseignements (ANR),l’association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), via son président, Maître Georges Kapiamba, se dit indignée de la “garde à vue arbitraire” dont est victime, depuis près de 40 jours à l’ANR, François Beya Kasonga, ancien conseiller spécial de Félix Tshisekedi en matière de sécurité, « pour des faits présumés d’atteinte à la sécurité nationale ».<br /><br />Dans cette correspondance, l’ACAJ rappelle à l’AG de l’ANR les engagements pris par le président de la République dans le cadre de l’instauration d’un État de droit, particulièrement celui lié à la personne humaine.<br /><br />“Cependant, il nous revient de relever que vos services, sous divers prétextes, ont du mal à quitter une tendance compulsive, jadis dénoncée et combattue sous le régime politique passé, consistant à considérer que les services de sécurité se situent au-dessus des lois de la République dont ils peuvent impunément s’affranchir”, lit-on.

<br /><br />Me Georges Kapiamba rappelle que la Constitution de la République démocratique du Congo, en son article 17, prescrit que “la liberté individuelle est garantie”. Elle est la règle… En conséquence, nul ne peut être poursuivi, arrêté, détenu ou condamné qu’en vertu de Ia loi et dans les formes qu’elle prescrit”.<br /><br />L’article 18 de cette même Constitution dispose que “toute personne arrêtée doit être immédiatement informée des motifs de son arrestation et de toute accusation portée contre elle”. La personne gardée à vue “a le droit d’entrer immédiatement en contact avec sa famille ou avec son conseil. La garde à vue ne peut excéder quarante-huit heures. A l’expiration de ce délai, la personne gardée à vue doit être relâchée ou mise à la disposition de l’autorité judiciaire compétente. Tout détenu doit bénéficier d’un traitement qui préserve sa vie, sa santé physique et mentale ainsi que sa dignité…”<br /><br />Ces dispositions consacrent l’adhésion de la RDC à la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains et dégradants.

<br /><br />Toujours selon l’ACAJ, l’article premier de cet instrument international est explicite : « Aux fins de la présente Convention, le terme “torture“ désigne tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne aux fins notamment d’obtenir d’elle ou d’une tierce personne des renseignements ou des aveux, de la punir d’un acte qu’elle ou une tierce personne a commis ou est soupçonnée d’avoir commis, de l’intimider ou de faire pression sur elle, ou d’intimider ou de faire pression sur une tierce personne, ou pour tout autre motif fondé sur une forme de discrimination quelle qu’elle soit, lorsqu’une telle douleur ou de telles souffrances sont infligées…”.<br /><br />L’ACAJ dit constater, malheureusement, que les droits de Beya Kasonga François, ex conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité, sont totalement bafoués. En effet, indique l’ACAJ, contrairement aux prescrits des dispositions pertinentes rappelées, “sa garde à vue indéfinie énerve toute légalité. Ce qui constitue l’antithèse de l’État de droit, pivot essentiel du projet de société prôné par le président de la République”.

<br /><br />Subsidiairement à ses multiples démarches antérieures sur ce dossier, l’ACAJ demande « humblement » à l’AG de l’ANR, d’une part, de veiller à ce que le droit prévale dans toutes les procédures engagées par ses services, et, d’autre part, de déférer Beya Kasonga François devant l’autorité judiciaire compétente dans l’hypothèse où les griefs retenus contre lui s’avèreraient réels et intangibles. Dans le cas contraire, le remettre purement et simplement en liberté.<br /><br />LM<br />Media Congo Press<p></p>

Justice Politique « La garde à vue arbitraire de François Beya constitue l’antithèse de l’État de droit prôné par Félix Tshisekedi » (ACAJ)

Dans une correspondance du 10 mars 2022, adressée à l’administrateur général de l’Agence nationale des renseignements (ANR),l’association c...

Polémique autour de l’intervention Chirurgicale : enfin, Tshisekedi s’exprime personnellement, voici sa version !

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhUz6YB-ALFKtjhShXy4F9nM821N9iRlN4y73aJtKWU0U7-c-StnmhMXYaTt0hbD_jFgZZ06df8kHdizoqYad5j1Bvk3_3DxQ4eNgkyB1r4uWetWbW_-qh5Qok2IeXWFb9iAFgu6XirgF05taHUMXmyTHM1OLSWmcISO-q-BgF3nF_kkLMBxPBFmxn4kQ=s1034" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="680" data-original-width="1034" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhUz6YB-ALFKtjhShXy4F9nM821N9iRlN4y73aJtKWU0U7-c-StnmhMXYaTt0hbD_jFgZZ06df8kHdizoqYad5j1Bvk3_3DxQ4eNgkyB1r4uWetWbW_-qh5Qok2IeXWFb9iAFgu6XirgF05taHUMXmyTHM1OLSWmcISO-q-BgF3nF_kkLMBxPBFmxn4kQ=s320" width="320" /></a></div> Samedi, 12 mars 2022-Le président de la République s’est exprimé personnellement sur la polémique autour de son intervention chirurgicale à Bruxelles en Belgique.<br />Selon un membre du gouvernement, Félix Tshisekedi “est intervenu par surprise depuis Bruxelles au conseil des ministres pour faire le point sur son séjour en Belgique.”<br /><br />Aux membres du gouvernement, Félix Tshisekedi a dit qu’après s’être fait examiner dans un centre spécialisé, une hernie discale au niveau des vertèbres cervicales a été diagnostiquée, et qu’il bénéficie d’une prise en charge médicamenteuse, et non chirurgicale.

<br /><br />Felix Tshisekedi a également dit dit aux membres du gouvernement vendredi en conseil des ministres, qu’il n’a donc subi aucune intervention chirurgicale, et a annoncé son retour pour la semaine prochaine.<br /><br />Occasion faisant le larron, le Chef de l’état a annoncé qu’il présidera en présentiel le prochain Conseil des Ministres.

<br /><br />Il a profité de cette occasion pour inviter la population congolaise à ne pas suivre les “incongruités et autres manipulations de certains médias mal intentionnés.”<br /><br />Bien avant cela, deux proches du président avaient confirmé cette intervention chirurgicale. Il s’agit de Christian Ndongala, ambassadeur de la RDC en Belgique et Faustin Luanga, Ambassadeur itinérant du Président de la République.<br /><br />Kevin INANA<br />Okapi News<p></p>

Politique Polémique autour de l’intervention Chirurgicale : enfin, Tshisekedi s’exprime personnellement, voici sa version !

Samedi, 12 mars 2022-Le président de la République s’est exprimé personnellement sur la polémique autour de son intervention chirurgicale à...

Félix Tshisekedi au conseil des ministres : « Je bénéficie d’une prise en charge médicamenteuse, et non chirurgicale »

March 12, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiLwrW2i6dbKR4nZlnG40xKqel2ierXq8a4zku-rfG9CbjnJuOERSn-FE4yVesMplymKcZqULAqT7M5h9eEnEzmJiwvo_e13EWWLZSoZhQegc070wuQfcrzwhFDHgI_mnDg3Z3WGyhoqX3xXVvNm6cqUBrW5ujxlaEoclXZ0Zhiwk43nTOkDG8CSBWhDA=s985" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="561" data-original-width="985" height="182" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiLwrW2i6dbKR4nZlnG40xKqel2ierXq8a4zku-rfG9CbjnJuOERSn-FE4yVesMplymKcZqULAqT7M5h9eEnEzmJiwvo_e13EWWLZSoZhQegc070wuQfcrzwhFDHgI_mnDg3Z3WGyhoqX3xXVvNm6cqUBrW5ujxlaEoclXZ0Zhiwk43nTOkDG8CSBWhDA=s320" width="320" /></a></div>Le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi a intervenu par surprise, ce vendredi 11 mars, depuis Bruxelles, au conseil hebdomadaire des ministres dans le but de faire un point sur son séjour en Belgique.<br /><br /><br />À en croire le Chef de l’État, après s’être fait examiner dans un centre spécialisé, une hernie discale au niveau des vertèbres cervicales a été diagnostiquée, et qu’il bénéficie d’une prise en charge médicamenteuse, et non chirurgicale.<br /><br />Félix Tshisekedi, a-t-il ajouté qu’il n’a donc subi aucune intervention chirurgicale, et a annoncé son retour au pays pour la semaine prochaine.<br /><br />Par la même occasion, le Chef du l’État a annoncé aux membres du gouvernement qu’il présidera en présentiel le prochain conseil des ministres.

Il a donc invité la population congolaise à ne pas suivre les incongruités et autres manipulations de certains médias mal intentionnés.<br /><br />Rappelons que, c’est depuis le début de cette semaine, le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a quitté Kinshasa pour un séjour privé en Belgique d’une durée indéterminée mais lié à un « checkup médical ».<br /><br />Bien-aimée Bosasele<br />Objectif-infos

Politique Félix Tshisekedi au conseil des ministres : « Je bénéficie d’une prise en charge médicamenteuse, et non chirurgicale »

Le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi a intervenu par surprise, ce vendredi 11 mars, depuis Bruxelles, au conseil hebdomada...

Covid-19 : début de la 5e vague ?

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjio3HfE4OZaNdKHFUKOhVtqvd1SI46pv-Fc-NGvYSWmQOqAUR3w9Rxh6fLGxSX9e6CS-PT4k-vtuprm0fBuAVZdU_w2ml80tuNKPhccKMPICa0Fh4g9Cm4yrx71QCvbH_RaztOLcHzpchwZgqQNFAWC1m4wbU2bGcjxwGf3_PKdLlx1cJWd4GloNh_Aw=s794" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="431" data-original-width="794" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjio3HfE4OZaNdKHFUKOhVtqvd1SI46pv-Fc-NGvYSWmQOqAUR3w9Rxh6fLGxSX9e6CS-PT4k-vtuprm0fBuAVZdU_w2ml80tuNKPhccKMPICa0Fh4g9Cm4yrx71QCvbH_RaztOLcHzpchwZgqQNFAWC1m4wbU2bGcjxwGf3_PKdLlx1cJWd4GloNh_Aw=s320" width="320" /></a></div>Le corps médical signale de nouveaux cas de grippe en RDC, précisément à Kinshasa. De nombreux patients qui viennent se faire soigner présentent des symptômes de grippe. Des signes précurseurs de la 5e vague de Covid-19 ?<br /><br />Jean-Jacques Mbungani, ministre de la Santé Publique avait annoncé la 5e vague de coronavirus entre mars et avril lors d'un conseil des ministres début janvier 2022. Dans certains centres de santé de la capitale Kinshasa, le corps médical constate un nombre important des patients qui présentent les signes de grippe : « chaque semaine, nous passons en revue toutes les activités au sein du centre hospitalier. On parle des cas que nous traitons le plus, les plus rares et des interventions, comme toujours, c’est le paludisme. Mais cette semaine plusieurs patients présentaient les signes de grippe », signale une infirmière d’un centre hospitalier de Kintambo bien connu.<br /><br />C’est ce qu’a constaté Joseph, infirmier dans un hôpital catholique à Lingwala.

Il pense que « le manque de pluies peut être à la base de cette grippe.  Des gens roulent de plus sur les motos, la poussière et le coup de froid peuvent provoquer la grippe. Des personnes restent très tard dehors avec la levée du couvre-feu », fait-il remarquer.<br /><br />Le docteur Arsène à la Clinique Kinoise révèle que cela peut être aussi dû aux bouffées de chaleur enregistrées récemment. « Ce n’est peut-être pas le coronavirus », dit-il alors qu’il a lui aussi remarqué quelques cas de grippe.<br /><br />La RDC enregistre quotidiennement entre 5 et 15 cas de Covid-19.<br />MCP<br />congo-press.com (MCP)<p> </p>

Santé Covid-19 : début de la 5e vague ?

Le corps médical signale de nouveaux cas de grippe en RDC, précisément à Kinshasa. De nombreux patients qui viennent se faire soigner présen...

Kinshasa : Un élève de l’école secondaire a perdu la vie lors d’un affrontement entre l’ITI Gombe et l’IPG

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjyXV4Il67-ruO_LMicJd1NuP9Bn4VTBI8VOr5ntx-QBU02hUOopMoJij8WQ7oUMUF6LNxSScbVH1okY3L9OY2K3n56sX16zrUp03F4sM5dRwgVgcQKUnr4HiogPcDyPLAIkKuIRhe28op2gbBve9jzNjkzJva_TBZXCTcZxmqJNxEmuNdj4-5NZkq2Gw=s993" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="993" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjyXV4Il67-ruO_LMicJd1NuP9Bn4VTBI8VOr5ntx-QBU02hUOopMoJij8WQ7oUMUF6LNxSScbVH1okY3L9OY2K3n56sX16zrUp03F4sM5dRwgVgcQKUnr4HiogPcDyPLAIkKuIRhe28op2gbBve9jzNjkzJva_TBZXCTcZxmqJNxEmuNdj4-5NZkq2Gw=s320" width="320" /></a></div><p></p><span style="font-size: medium;">Un Conflit Interscolaire a causé la mort d’un élève ce Jeudi 10 Mars 2022.<br />Un élève de l’école secondaire a p*erdu la vie lors d’un a*ffrontement entre l’ITI Gombe et l’IPG ce jeudi vers midi. Cette confrontation de taille a séché la circulation des voitures sur le tronçon des avenues des forces armées, Ex 24 novembre précisément sous le saut-de-mouton 24.<br /><br />Selon nos sources, une enquête est diligentée dans le but de sanctionner les fauteurs des troubles.<br />magzote / MCP, via mediacongo.net</span><p> </p>

Education Société Kinshasa : Un élève de l’école secondaire a perdu la vie lors d’un affrontement entre l’ITI Gombe et l’IPG

Un Conflit Interscolaire a causé la mort d’un élève ce Jeudi 10 Mars 2022. Un élève de l’école secondaire a p*erdu la vie lors d’un a*ffront...

Les alliés de la Russie en Afrique

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEipFw-4EOFo4fiU_SNPNEdu4LpuC7CdVIk5aZFU1Gc9C4oVrVSugIAenV3YNlgv4sD10dFRT-PKKKqFQVagWB1ja63ADM7_AXa2GkqODm2pOagudbZts-9GJSTdOQK-HGjMke9apyc6NlHkwr9XwfSWQjQyNtHrsx9Ru1TAKr7Ohlo1CsdCQtkDOgWO5A=s995" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="555" data-original-width="995" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEipFw-4EOFo4fiU_SNPNEdu4LpuC7CdVIk5aZFU1Gc9C4oVrVSugIAenV3YNlgv4sD10dFRT-PKKKqFQVagWB1ja63ADM7_AXa2GkqODm2pOagudbZts-9GJSTdOQK-HGjMke9apyc6NlHkwr9XwfSWQjQyNtHrsx9Ru1TAKr7Ohlo1CsdCQtkDOgWO5A=s320" width="320" /></a></div> Depuis des années, la Russie renforce son influence en Afrique. Cela semble porter ses fruits sur le plan diplomatique, après l'attaque contre l'Ukraine.<br />Larésolution onusienne sur l’invasion russe de l’Ukraine a laissé apparaître une Afrique divisée. En effet, 25 pays africains n'ont pas pu se décider à voter en faveur de la résolution. Seize pays s'étant abstenus, tandis que neuf n’ont pas pris part au vote. Un seul, l'Érythrée, a même voté explicitement contre.<br /><br />L'Ethiopie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Burkina Faso, le Togo, le Cameroun, l'Eswatini et le Maroc ont décidé de ne pas prendre part au vote. L'Algérie, l'Ouganda, le Burundi, la République centrafricaine, le Mali, le Sénégal, la Guinée équatoriale, le Congo Brazzaville, le Soudan, le Soudan du Sud, Madagascar, le Mozambique, l'Angola, la Namibie, le Zimbabwe et l'Afrique du Sud se sont abstenus.<br /><br />En Afrique du Sud, intellectuels, diplomates et opposants ont vivement critiqué l’abstention du gouvernement. "Le refus de condamner cette guerre place l'Afrique du Sud du mauvais côté de l'histoire", a par exemple déclaré le leader de l'opposition Herman Mashaba.

L’ANC au pouvoir refuserait, selon l’opposant, de renoncer à son amitié avec la Russie, son vieil allié.<br /><br />Un homme pose en tenue militaire en tenant le drapeau russe à côté d'un drapeau éthiopien<br /><br />La « neutralité » de Pretoria<br /><br />De son côté, le président Cyril Ramaphosa a défendu la "position neutre" de son gouvernement. L’ancien président de l’UA reprochant à l'Occident de ne pas faire assez pour parvenir à un règlement pacifique du conflit russo-ukrainien.<br /><br />Pour le politologue angolais Olívio N'kilumbu, de nombreux représentants de l'ANC, au pouvoir en Afrique du Sud sans interruption depuis la fin de l'apartheid, sont loyaux envers la Russie.

<br /><br />"Certains estiment que l'ancien mouvement de libération [ANC] a une dette envers les Russes depuis l'époque de la Guerre froide. La propagande russe dans de nombreux pays d'Afrique, y compris et surtout en Afrique du Sud, vise à raviver les anciens liens de l'URSS avec les mouvements de libération", explique le politologue sur la DW.<br /><br />Samedi dernier, l’ambassade russe à Pretoria a remercié l’Afrique du Sud pour son soutien à la guerre en Ukraine.<br /><br />Soutien aux mouvements de libération<br /><br />La propagande russe vise également d'autres pays, notamment en Afrique australe, dont les mouvements de libération ont été soutenus politiquement et militairement par l'ex-Union soviétique, explique le politologue N'Kilumbu. Des pays comme l'Angola, le Mozambique, le Zimbabwe ou la Namibie auraient également voté la résolution sur l'Ukraine à l'Assemblée générale de l'Onu "avec l'amitié historique à l'esprit".<br /><br />Pendant la lutte contre le colonialisme, l'Union soviétique avait également soutenu les mouvements de libération dans plusieurs Etats d’Afrique australe en leur fournissant des armes et des formations.<br /><br />Ces dernières années, Moscou s'est de plus en plus souvenu des anciens liens de l'époque soviétique et a développé ses relations politiques, économiques et surtout militaires avec de nombreux pays africains.

<br /><br /><br />Principal fournisseur d’armes à l'Afrique<br /><br />En 2019, Vladimir Poutine a organisé un sommet russo-africain auquel ont participé 43 dirigeants africains. Un an plus tard, la Russie était déjà devenue le principal fournisseur d’armes du continent.<br /><br />De l’équipement militaire russe a ainsi été livré à la Centrafrique. Plusieurs entreprises russes ont obtenu des licences pour l'extraction d'or et de diamants dans le pays. Et la société privée de sécurité russe Wagner y est présente. Tout comme au Mali, même si Bangui et Bamako démentent.<br /><br /><br />De nombreux Etats africains n'ont jamais rompu avec  Moscou. D'autres sont même tombés ces dernières années dans une nouvelle dépendance, surtout militaire, vis-à-vis de Moscou, explique l’écrivain guinéen Tierno Monénembo sur la DW :<br /><br />Les présidents Vladimir Poutine et Macky Sall en 2013 lors d'un sommet du G20 en Russie<br /><br />"Il est difficile de prendre position [sur l’invasion de l’Ukraine] quand on est petit, quand on est faible, quand on est mal armé et sous-développé.

On ne se mêle pas comme ça des affaires des grands."<br /><br />Au début de l’invasion russe, l’Union africaine a appelé au respect de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de l’Ukraine. Ce mercredi, le président Macky Sall, président de l’UA, dit s’être entretenu avec son homologue Vladimir Poutine pour "solliciter un cessez-le-feu durable".<p></p><p><span style="background-color: white; color: rgba(0, 0, 0, 0.87); font-family: Roboto-Regular; font-size: 16px;"><b>Par Antonio Cascais, Reliou Koubakin</b></span></p>

Politique Les alliés de la Russie en Afrique

Depuis des années, la Russie renforce son influence en Afrique. Cela semble porter ses fruits sur le plan diplomatique, après l'attaque...

Olive Lembe Kabila appelle les femmes de Kalemie à faire confiance à son mari, « il a encore de l’énergie à revendre »

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjkdz8-Q_qphU8QlK-7qrJ2nYHA8bG4fkMjNlRs60gGWEo7GmrEM8SJg9qy6oE0FYp0tXflUFD5mi845Ob9KzJnZLwcmKLerYjwHfhWhJs3IXiGf8m00e-bmpsg5KKVpIaHYBlxkA5Am_AJ2wBWIF0fLExWrUACHxP_3x_EQoBu11o51EFGsKEdLKvpQw=s918" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="618" data-original-width="918" height="215" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjkdz8-Q_qphU8QlK-7qrJ2nYHA8bG4fkMjNlRs60gGWEo7GmrEM8SJg9qy6oE0FYp0tXflUFD5mi845Ob9KzJnZLwcmKLerYjwHfhWhJs3IXiGf8m00e-bmpsg5KKVpIaHYBlxkA5Am_AJ2wBWIF0fLExWrUACHxP_3x_EQoBu11o51EFGsKEdLKvpQw=s320" width="320" /></a></div>Marie Olive Lembe Kabila poursuit sans désemparer son séjour dans la ville lacustre de Kalemie (Tanganyika). Un séjour qui n’est pas de tout repos, la présidente de l´Asbl Initiative Plus était encore ce jeudi 11 mars, à l’hôtel Yvonne, face à plus de 1.000 femmes, réunies dans le cadre d’une formation financière adaptée aux micro- entrepreneurs.<br /><br />L’épouse de Joseph Kabila est convaincue que la micro – finance est une réponse idéale aux problèmes de développement économique de la femme rurale. C’est dans ce souci qu’une coopérative va être mise en place. La structure a déjà reçu le quitus de la banque centrale et dispose de tous les documents légaux. Les choses<br /><br />s´activent après la formation en cours qui prendra deux jours avec plusieurs modules au menu.<br /><br /> Ainsi, les femmes démunies et membres de cette coopérative à dimension essentiellement sociale pourront avoir accès à des services financiers ( micro-credits, épargne et formation gratuite).<br /><br />Pour joindre l´utile à l’agréable, la première dame rurale, du reste consciente du rôle que joue la femme dans des milieux ruraux, a mis la main dans la poche et sorti une bagatelle somme de 100.000.000 fc ( cent millions de francs congolais) en guise de sa participation à ce projet qui vise l’autonomisation de la femme.

<br /><br />Il faut relever que ce projet date de 5 ans, dont la matérialisation sera opérationnelle après la formation des femmes qui sont dans les activités informelles.<br /><br />Recommandations, exhortation et sensibilisation<br /><br />La charité bien ordonnée commence par soi-même. En référence au passage de l’hymne national qui fait appel à la solidarité par la contribution à aider les autres qui ont moins d’activités.<br /><br />Pour Marie Olive Lembe Kabila, le partage enrichit car, dans la solidarité celles qui ont plus peuvent venir en aide à celles qui n’en n’ont pas.<br /><br />Les hommes, par ailleurs, sont invités à accompagner leurs épouses, fait-elle savoir étant donné que les épouses constituent le centre d’équilibre ; les partenaires de leurs époux.<br /><br />Profitant de la formation des femmes sur l’organisation en coopérative et financement de micro crédit, Marie Olive Lembe Kabila a invité les femmes à s’aligner sur la vision implémentée par M’zée Laurent Désiré Kabila, laquelle est axée sur l’organisation du peuple et l’auto prise en charge.

<br /><br />Dans un message de sensibilisation, l’épouse de Joseph Kabila Kabange a exhorté les femmes qui sont dans les activités informelles; les femmes maraîchères, les vendeuses, celles qui sont dans les activités génératrices des recettes afin qu’elles honorent leurs foyers; celles qui sont dans plusieurs activités à travailler dur pour pouvoir obtenir des résultats susceptibles de leur permettre d’accéder au micro crédit.<br /><br /> Elle a invité celles qui ont plus à faire preuve de solidarité, comme le recommande les saintes écritures. Il faut s’auto aider, insiste-elle.<br /><br />Contrairement au Kenya, renchérit l’honorable Jaynet Kabila où les crédits s’octroient par hypothèque, le projet mis en place par la Fondation M’zée Laurent Désiré Kabila et l’Initiative Plus se fonde sur la confiance qui crée la crédibilité d’obtenir le financement auprès de différents partenaires et/ou bailleurs de fonds.<br /><br />De sa part, la Matriarche Marie Olive Lembe Kabila a exhorté les hommes à accompagner leurs épouses qui sont leurs premières partenaires, pourvu qu’elles soient entreprenantes, tendres, aimantes, car la bénédiction enrichit, insiste-elle.<br /><br />Dans un autre volet, l’épouse de Joseph Kabila conseille aux femmes qui veulent réussir dans leurs foyers à ne pas s’attarder sur la parité conjugale. L’homme est le chef de la famille dit-elle. La parité n’est pas au foyer, plutôt dans la vie professionnelle, a-t-elle indiqué.<br /><br />A ce propos, elle encourage les femmes qui cherchent la paix, la stabilité conjugale, qui respectent leurs maris à l’instar de son foyer, elle a confiance en son cher époux.

<br /><br />En outre, elle a illustré par un exemple d’offrir le cadeau à la femme qui fête le jubilé de mariage par le fait que c’est la femme qui stabilise le foyer, c’est elle qui se sacrifie. En outre, elle rappelle la vision de M’Zée Laurent Désiré Kabila, laquelle consiste à s’organiser et se prendre en charge, en plus de s’auto aider; d’organiser dans la solidarité.<br /><br /> C’est alors qu’elle conseille les femmes à la planification familiale, à éviter l’accumulation de maternité au risque de passer à côté de se prendre en charge en raison de multiples charges.<br /><br />Mon mari est un homme de parole !<br /><br />Il y a 11 ans, dans un de ses discours, Joseph Kabila saluait la maturité du peuple congolais qui a tout vu, tout entendu et tout connu depuis 1960.<br /><br />« Notre peuple sait qui est qui dans notre pays, il sait aussi qui a fait quoi et pour quel résultat ! Notre peuple sait qui a une parole, qui n’a pas de parole, et qui n’a que la parole« , disait le désormais sénateur à vie.<br /><br />Et devant les Kalemiardes toutes enthousiasmées, Olive Lembe a enfoncé le clou. L´ex – first lady peint son époux comme étant un homme providentiel et appelle les femmes à lui faire confiance.<br /><br />« Faites confiance à Joseph Kabila, c’est quelqu’un qui promet et qui réalise. C’est un nationaliste, un grand patriote à l’esprit révolutionnaire sous la vision de l’auto prise en charge qui mérite confiance« , a-dit Olive Lembe Kabila, plusieurs fois interrompue par d’interminables ovations de l’assistance.

<br /><br />De quoi requinquer la fermière de Kingakati qui met en avant plan, la longue expertise de son chéri d’ancien président et son amour débordant pour le Congo.<br /><br />« Il a encore de l’énergie à revendre par sa jeunesse. De part son expertise, il a la clef de la paix de ce pays. Faites – lui confiance, vous ne serez pas déçues. Dieu aime le Congo, il a un plan merveilleux pour ce pays« , martèle Olive Lembe dans une salle en feu, en ce qu’elle a rappelé le haut fait de son mari qui a réunifié un pays en lambeau. A l’occasion, elle a invité l’opinion nationale a avoir plus confiance en leurs dirigeants plutôt prêté aux impérialistes qui ont le sang de nos pères de l’indépendance.<br /><br />C’est alors qu’elle exhorte les congolais à aimer leur pays car, dit-elle « Dieu aime le Congo, Dieu a un plan merveilleux pour ce pays, un Congo debout et vivant« , a-t-elle conclu.<br /><br />Race des bâtisseurs<br /><br />Le cortège s’est dirigé vers le quartier Katanika, un quartier rural. L’événement du jour est la pose de la première pierre de la construction du complexe scolaire Umoja wetu Katanika. Projet initié par la Fondation M’zée Laurent Désiré Kabila et l’Initiative Plus Olive Lembe qui sont en outre, le Maître d’ouvrage.

<br /><br />Cependant, le nouveau complexe sera construit sur une superficie de 5 hectares, pour 12 salles de classe fois deux; trois bureaux administratifs fois deux pour l’école primaire et secondaire, en ce y compris les salles de réunion, la salle de Professeur et des enseignants ; les Salles de lecture ; d’informatique, bibliothèque et trois blocs sanitaires fois deux. Ce complexe a été créé conçu par Dada Jaynet Kabila, sous l’architecture de Lina Kaniki et de l’ingénieur Bertin Kilolo et approuvé approuvé par Marie Olive Lembe Kabila et l’honorable Jaynet Kabila.<br /><br />Peu avant la pose de la première pierre, les heureuses hôtes ont été accueillies par deux filles qui l’ont offert un bouquet des fleurs et deux pigeons, l’élève Micheline Ngobila (4ème primaire) qui a récité  » *Femme noire, femme africaine*, tandis que l’élève Lucie Kasama (5ème primaire) a lu le mémo des élèves dans lequel, elle a soumis quelques demandes liées aux difficultés scolaires.<br /><br />Quant au chef de quartier Kafimbo Tulendo Raphaël et Maman Ilunga Marie Chantal ne sont pas restés en marge. Leur quartier est dépourvu d’eau; d’électricité, le chômage de jeunes gens qui s’adonnent à l’insécurité inquiète de plus en plus.

<br /><br />Cependant, à l’unanimité, ils ont salué ce projet porteur de développement qui renaît l’espoir de tout un peuple.<br /><br />Traditionnellement, avant de poser la première pierre de la construction du Complexe Scolaire Umoja wetu Katanika, Marie Olive Lembe Kabila a circonscrit l’événement par établir les responsabilités des uns des autres. L’état a sa part de chose, et nous acteurs de développement avons notre part, dans la formation.<br /><br />« L’éducation est indispensable dans la vie de l’être humain« . *Sans elle, on ne peut jamais aspirer à être médecin, infirmier, avocat, ni chauffeur*. *Tout repose sur l’éducation* a fait savoir Marie Olive Lembe Kabila hâte a rentrer pour son inauguration dans un bref délai étant donné, chez le Kabila, *la parole est sacrée*<br /><br />Marie Olive Lembe Kabila et les foules, le mariage passe très bien. Depuis son arrivée samedi passé à Kalemie dans le Tanganyika, Mama wa roho (Ndlr femme de cœur, ) s’offre un bain de foule à chacune de ses apparitions.<br /><br />Le 8 mars au stade Joseph Kabila de Kalemie, OLK a défié les pronostics en réunissant plus de 20.000 personnes dans un stade qui a pratiquement refoulé du monde. Une première pour cette infrastructure sportive construite par Zoé Kabila et qui n’a jamais dépassé sa capacité d’accueil, même quand elle reçoit le derby local.

Et comme si cela ne suffisait, la présidente de l´Asbl Initiative Plus a partagé le mercredi, un dîner avec près de 2.000 femmes issues de toutes les catégories sociales. Des photos ayant fait le tour du Web montrent la dame de fer en cuisine en train de préparer certains mets pour ses convives. Un signe d’humilité et de simplicité, deux valeurs qui ont toujours caractérisées celle qui est perçue pour une redoutable probable candidate aux prochaines joutes électorales, n’en déplaise à la concernée qui dit toujours à qui veut l’entendre qu’elle se sent plutôt à l’aise dans ses champs. D’où, affectueusement appelée  » Première dame paysanne de la République Démocratique du Congo. <div><br /></div><div>Depuis Kalemie, dans le Tanganyika Pius Romain Rolland/CP<br /><br /> </div>

Politique Province Olive Lembe Kabila appelle les femmes de Kalemie à faire confiance à son mari, « il a encore de l’énergie à revendre »

Marie Olive Lembe Kabila poursuit sans désemparer son séjour dans la ville lacustre de Kalemie (Tanganyika). Un séjour qui n’est pas de tout...

La presse belge confirme, la Présidence dément

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi-OX_hHkznTT4OP_TkpJBXBkQCTUyp5apkeDKyAKPl8HF8xoadiF_atKucA2Wa9XH5bkv_ZrLpmHkx1gtJragXYYk9y7Td1wXscaO4NQroo-igTNPStIaGOFzo8uBTM7Z9xlLqajKfsaTq7zrFaLgLx-9XzjByKUQg31Zjw_DQfGComXdCr8aoPw-rgQ=s1049" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="747" data-original-width="1049" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi-OX_hHkznTT4OP_TkpJBXBkQCTUyp5apkeDKyAKPl8HF8xoadiF_atKucA2Wa9XH5bkv_ZrLpmHkx1gtJragXYYk9y7Td1wXscaO4NQroo-igTNPStIaGOFzo8uBTM7Z9xlLqajKfsaTq7zrFaLgLx-9XzjByKUQg31Zjw_DQfGComXdCr8aoPw-rgQ=s320" width="320" /></a></div><p></p><p>*Selon des médias belges, le Chef de l’Etat aurait subi une intervention à cœur ouvert, alors que pour son porte-parole Kasongo Mwema et la famille biologique, il s’agit d’une visite privée n’appelant aucun commentaire.<br /><br />Fatshi est-il réellement malade? La controverse autour de la santé du Président de la République peine à s’éteindre depuis que l’édition africaine d’un journal belge a annoncé qu’il a subi une intervention chirurgicale mardi 8 mars courant à l’Hôpital Saint Luc de Bruxelles, «qui s’est bien passée», après être parti de Kinshasa dimanche dans un état critique. Ce qui a été démenti par son porte-parole, Kasongo Mwema Yamba Yamba et la famille biologique.<br /><br />Le Président «n’a jamais été opéré du cœur comme l’annoncent certaines rumeurs», ont indiqué des sources familiales, rapportées par Top Congo FM.<br /><br />«Il est certes parti pour la Belgique où il séjourne encore et a sûrement été aperçu à l’hôpital où il est parti effectuer son check-up habituel», ont confié les mêmes sources. 
  
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  «Il n’est pas actuellement à l’hôpital », certifie sa famille, «il a profité du report du voyage du couple royal belge pour enfin rencontrer son médecin en Belgique, qu’il n’avait pas pu consulter comme prévu du fait de son emploi du temps très chargé».<br /><br />Ce n’est pas tout. Outre ses proches, le porte-parole du Chef de l’Etat, Kasongo Mwema Yamba Yamba, a embouché la même trompette. «Non. Le PR n’a subi aucune opération chirurgicale. Il séjourne en visite strictement privée à Bruxelles. Et on ne commente pas les visites privées du Chef de l’Etat», a-t-il écrit sur son compte Twitter comme pour tordre le cou à toutes ces rumeurs charriées par la Toile.<br /><br />Il faut souligner que la polémique s’enfle sur les réseaux sociaux et a du mal à mobiliser les acteurs politiques même ceux opposés à Fatshi. 
  
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  <br /><br />Le tabou autour de la santé des présidents<br /><br />La santé des présidents de la République a toujours constitué un sujet hautement sensible. Au point à se demander si la santé d’un chef de l’État en exercice fait partie de sa vie privée ou doit être publique ? <br /><br />Au-delà de la santé du président Félix Tshisekedi, la polémique remet au goût du jour la question de rendre public ou non, le bulletin de santé d’un Chef de l’Etat en pleine fonction. Certaines personnes estiment que «la maladie des présidents ne se dit pas. Cela affaiblirait leur autorité… » En plus, soutiennent-ils, dans un contexte de société africaine, les déballages sur la santé d’un individu sur la scène publique sont généralement mal vus.<br /><br />D’autres, par contre, sont favorables à ce que l’on donne «publiquement et régulièrement les informations liées à l’état de santé du chef de l’État», tout en appelant au «respect de l’intimité de ce dernier». Les partisans de cette thèse mettent notamment en avant, le besoin de «transparence» des Rd Congolais dans le cadre du… nouveau narratif. Difficile de «rester indifférent à l’état de santé du chef de l’Etat dont les compatriotes attendent beaucoup.
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  <br /><br />Et dans le cadre de ce nouveau narratif justement, les Congolais apprécieraient de voir la Présidence publier, même tous les six mois, le bulletin de santé du Chef de l’Etat.<br /><br />Toutefois, d’après l’édition africaine de la Libre Belgique, les problèmes cardiaques de Fatshi auraient été diagnostiqués bien avant la campagne électorale de 2018. «Une intervention avait été conseillée mais les médecins ne pouvaient pas garantir sa réussite. Ce qui avait poussé celui qui était alors un opposant à repousser cette opération sans doute devenue inévitable cette fois», écrit la Libre. <br /><br /><br /><br />Didier KEBONGO<br /><br /><br /><br /><br /> <br /></p>

Politique La presse belge confirme, la Présidence dément

*Selon des médias belges, le Chef de l’Etat aurait subi une intervention à cœur ouvert, alors que pour son porte-parole Kasongo Mwema et la ...

Jason Stearns: « Le conflit congolais est une danse dans laquelle beaucoup d’acteurs participent et tirent les bénéfices de cette situation de guerre .. »

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjHJvO0bUV40wdXm5jneRyKvqKGO5J-iJkrCozxLhO-JzJ8wxDxdf9C1gUqbA8rIQMF0D5qdbkLPbMw2ZIHPIMEPyiKr6flazUOXB1sfhIxdanU1cPJE6UgzDl6aN8Cx4p6rB2HbiBZDCkVKVoz22GTbBfsfbyYWvhP1eJ1yMWTeVbQG1wJ_BI8HvErlg=s729" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="364" data-original-width="729" height="160" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjHJvO0bUV40wdXm5jneRyKvqKGO5J-iJkrCozxLhO-JzJ8wxDxdf9C1gUqbA8rIQMF0D5qdbkLPbMw2ZIHPIMEPyiKr6flazUOXB1sfhIxdanU1cPJE6UgzDl6aN8Cx4p6rB2HbiBZDCkVKVoz22GTbBfsfbyYWvhP1eJ1yMWTeVbQG1wJ_BI8HvErlg=s320" width="320" /></a></div>Depuis plus de 20 ans, la République démocratique du Congo (RDC) est plongée dans un conflit sans fin malgré la plus grande mission de l’ONU du monde et les milliards injectés par les bailleurs internationaux. Dans son dernier livre, « The War That Doesn’t Say Its Name : The Unending Conflict in the Congo »*, Jason Stearns analyse pourquoi la violence au Congo a continue malgré des décennies d’intervention internationale, et esquisse des solutions.<br /><br /><br />Afrikarabia : Jason Stearns, vous êtes actuellement le directeur du Groupe d’étude sur le Congo (GEC), après avoir travaillé pour les Nations-Unies en RDC, au sein de la Monuc. En quoi le conflit au Congo est une « guerre qui ne dit pas son nom » ?<br /><br />Jason Stearns : Je ne suis pas le premier à soulever ce paradoxe. Les Congolais aussi parlent de « ni guerre, ni paix ». Le Congo a connu deux grandes guerres. Celle de l’AFDL (de Laurent Désiré Kabila) de 1996 à 1997, et celle du RCD, appelée aussi « deuxième guerre du Congo », qui a duré de 1998 à 2003. Il y a eu des accords de paix, et après 2003, le Congo a basculé officiellement en « pays post-conflit » selon la dénomination des Nations-Unies.<br /><br />Officiellement, on s’est accordé sur le fait que le Congo était en paix, mais sur le terrain, c’était tout autre chose. Le conflit s’est transformé, mais n’a pas disparu. Il est devenu plus amorphe et fragmenté. Il y avait, par exemple, une douzaine de groupes armés en 2006, alors qu’aujourd’hui, il y en a environ 120. La guerre est devenue périphérique et ne menace plus les grands centres urbains, mais elle est encore lourde de conséquences pour les populations civiles, puisque l’on compte 5,5 millions de déplacés en 2021.

C’est un chiffre qui n’a jamais été aussi élevé dans l’histoire congolaise, même au plus fort de la guerre. La violence a changé de visage, mais n’a pas diminué, c’est pour cela que l’on se trouve dans une situation de « guerre qui ne dit pas son nom ».<br /><br /><b>Afrikarabia :</b> C’est en effet conflit qui a changé plusieurs fois de physionomie et de belligérants. Pourtant, tout avait relativement bien commencé avec la signature de l’Accord global inclusif de 2002, qui a officiellement mis fin à la guerre. Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné ? Est-ce qu’il y a eu des rendez-vous manqués ?<br /><br /><b>Jason Stearns :</b> Au début de la transition, après 2003, on avait l’impression que le Congo allait dans la bonne direction. On l’oublie quelques fois, mais le début de la transition a vu la démobilisation de 130.000 soldats, on a vu la création de nouvelles institutions démocratiques, la Troisième République venait de naître. La tendance était très positive. A cette époque-là, je travaillais pour la Monuc (la Mission de l’Organisation des Nations unies en République démocratique du Congo), et on voyait comment la situation s’améliorait pour les Congolais. Mais tout a basculé en 2007 avec l’arrivée de la nouvelle rébellion de Laurent Nkunda. <div><br /></div><div><br /></div><div>Pour comprendre ce basculement, il faut revenir à l’Accord global inclusif de 2002 qui contenait déjà les germes d’un nouveau conflit. Trois grands belligérants avaient signé cet accord : le RCD, le MLC et le gouvernement. Mais le RCD, qui contrôlait à l’époque 1/3 du territoire national, estimait que l’accord ne lui était pas favorable, et qu’il allait perdre aux élections. Or, pour réussir une transition, il faut que tous les signataires aient l’impression que l’accord leur est favorable. <div><br /></div><div>Le RCD, avec son soutien, le Rwanda, a donc décidé de créer une rébellion : le CNDP. Tout part de là.
  
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  Jason Stearns : Cela a changé la façon dont Joseph Kabila percevait l’Etat congolais. En 2003, Joseph Kabila était devant une nouvelle armée qui venait de naître et qui comprenait ses anciens ennemis, notamment déployée à Kinshasa. On se souvient que Jean-Pierre Bemba (MLC) avait un bataillon basé à Kinshasa. <div><br /></div><div>Joseph Kabila se sentait menacé, et sa priorité était de savoir comment gérer cette nouvelle armée. Avec la rébellion du CNDP, il a fait le choix de ne pas gérer son armée par la force, la discipline et l’efficacité, mais de transformer l’armée par des réseaux de « patronage » clientéliste. L’armée n’était pas là pour protéger la population, mais pour distribuer des « faveurs » et des « services » et s’assurer ainsi de sa loyauté. Pour faire face au CNDP, Joseph Kabila a également décidé de créer d’autres milices pour les combattre, et c’est alors que l’on a vu naître de nouveaux groupes armés qui sont encore actifs aujourd’hui.<br /><br /><b>Afrikarabia</b> : C’est l’échec de la transition qui explique la persistance du conflit ?<br /><br />Jason Stearns : Oui, la transition a échoué parce qu’un des belligérants n’a pas accepté une partie des accords de paix et qu’il a repris des armes, avec le soutien du Rwanda. Et d’un autre côté, l’Etat congolais avait intérêt à ce que le conflit persiste.<br /><br /><b>Afrikarabia</b> : Pour quelles raisons ?<br /><br /><b>Jason Stearns</b> : Parce que nous avons un Etat et des services de sécurité qui ne sont plus là pour assurer la protection de Congolais, mais plutôt des élites politiques « affairistes » qui profitent du conflit et des ressources naturelles du pays.<br /><b><br />Afrikarabia :</b> Des élites politiques qui se trouvent le plus souvent à Kinshasa, et donc très loin de la zone de conflit ?
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  <br /><br /><b>Jason Stearns :</b> Bien sûr, c’est important de le comprendre. Pour moi, il n’y a pas un « grand complot » derrière ce conflit. Je ne pense pas que Joseph Kabila voulait que la guerre persiste. Il y avait une forte contradiction entre la volonté de créer un Etat fort et la corruption et le racket qui font vivre cette élite politique et militaire. J’ai interviewé de nombreux politiciens à Kinshasa, qui me disaient : « Lorsque je fais campagne auprès de ma base, personne ne me demande ce que je fais pour l’insécurité à l’Est ». Le conflit est très éloigné de la capitale, et depuis très longtemps. Pourquoi le conflit persiste ? On peut répondre en disant : parce que personne n’a intérêt à ce qu’il cesse.<br /><b><br />Afrikarabia : </b>Les pays voisins, comme l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi, ont-ils une responsabilité dans la persistance du conflit ?<br /><b><br />Jason Stearns :</b> L’Ouganda et le Burundi d’une façon plus périphérique, mais surtout le Rwanda, de 2003 jusqu’à la défaite de la rébellion du M23 en 2013. Le Rwanda a joué un rôle capitale dans la persistance du conflit, mais pour des raisons souvent mal comprises. Les Congolais disent que le Rwanda profitent du conflit de manière économique. C’est vrai, mais ce n’est pas la raison principale. Actuellement, le Rwanda n’a plus de troupes au Congo, mais il profite plus que jamais du conflit puisque, chaque année, il y a 3,3 milliards de dollars d’Or qui quittent l’Est du Congo pour le Rwanda. Et cela sans troupes rwandaises basées en RDC.
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  <br /><br /><b>Afrikarabia : </b>Pourquoi le Rwanda s’est-il alors impliqué dans l’Est du Congo ?<br /><br /><b>Jason Stearns :</b> Ce que j’ai compris en menant de nombreux entretiens, c’est que les deux arguments principaux dénoncés par les Congolais sur l’implication du Rwanda au Congo, à savoir : les richesses du pays et l’ethnie, ne sont pas les plus importants. Le Rwanda n’est pas à l’Est du Congo à cause de l’argent ou d’une solidarité ethnique avec les Tutsis congolais. Le Rwanda est présent davantage pour des raisons de politique intérieure. La légitimité du FPR du président Paul Kagame provient de son rôle de protecteur des Tutsis rwandais. C’est lui qui a mis fin au génocide des Tutsis. Et ce spectre du génocide plane sur tout ce que fait le Rwanda à l’extérieur, mais aussi en interne. Et donc, il était important pour conserver cette légitimité d’être présent dans le pays où les génocidaires ont fui : c’est-à-dire l’Est du Congo. Même si cela n’est plus une menace sécuritaire pour le Rwanda. Enfin, la menace la plus importante pour Paul Kagame, ne provient pas des FDLR du Congo, mais de sa propre armée. Le président rwandais a continué les opérations à l’Est du Congo pour focaliser l’énergie du FPR et ses soldats sur une menace à l’extérieur du pays, plutôt qu’à l’intérieur. Lorsque la menace peut venir de votre propre armée, il est très dangereux de la laisser « au chômage ». C’est une question de survie politique pour Paul Kagame.
  
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  </div><div><b><br /></b></div><div><b>Afrikarabia : </b>Le sous-titre de votre livre est « Un conflit sans fin au Congo ». Pourquoi l’armée congolaise n’a pas réussi à mettre fin à cette guerre depuis toutes ces années ?Jason Stearns : Dans mon livre, je décris les nombreuses défaillances de l’armée et de l’Etat pour expliquer cet échec. Mais je vais vous donner un contre-exemple pour expliquer ce qui pourrait être fait, justement, pour que cela change. En 2013, la rébellion du M23 prend la ville de Goma pendant une semaine. Il y a une grande panique à Kinshasa. Et Joseph Kabila se rend compte qu’il faut faire quelque chose avec cette armée qu’il gère grâce à la corruption et au racket. Alors, il rappelle une centaine d’officiers qui étaient à Goma pour, soi-disant, un séminaire de formation à Kinshasa. Kabila laisse traîner ces généraux et colonels dans la capitale pendant des mois. Pendant ce temps, il déploie à l’Est le général Olenga pour conduire les opérations militaires. En enlevant simplement cette élite militaire « affairiste » qui compliquait l’intervention de l’armée à Goma, au lieu de la facilité, il a rendu les effectifs sur le terrain beaucoup plus efficaces. 
  
<script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>

Donc, en rationalisant la hiérarchie au sein des FARDC et en donnant des moyens supplémentaires, l’armée congolaise est devenue soudainement efficace ! Et grâce à l’aide de la brigade d’intervention rapide de l’ONU (FIB), l’armée a pu mettre fin au M23 en quelques mois.<br /><br /><b>Afrikarabia : </b>Ce qui rend l’armée congolaise impuissante, ce sont les dysfonctionnements de sa chaîne de commandement ?<br /><br /><b>Jason Stearns : </b>Oui. Ce qui bloque, c’est que l’armée n’est pas là pour sécuriser la population, mais servir les intérêts de certaines élites. Il faut savoir que les militaires perçoivent des soldes très faibles. Un général reçoit plus ou moins de 200 $ par mois. Mais lorsque vous voyez que ces militaires construisent de luxueuses villas à Kinshasa ou Goma, vous vous rendez compte qu’ils sont bien plus riches que cela. En fait, leur argent provient des primes qu’ils reçoivent grâce à leur loyauté et au bon vouloir de leurs chefs à Kinshasa. L’argent vient aussi du business et du racket que peuvent faire les militaires dans le contrôle des frontières ou des sites miniers. Pour les soldats, la seule façon de survivre est de se trouver sur le front, où la solde et les primes sont supérieures. Tout ce système se nourrit de la guerre, ce qui explique là encore sa persistance.

<br /><b><br />Afrikarabia :</b> Il y a un autre acteur important, qui n’a pas réussi à pacifier l’Est de la RDC, ce sont les casques bleus de la Monusco. Pour quelles raisons ?<br /><b><br />Jason Stearns : </b>On l’oublie souvent, mais la Monuc a joué un très grand rôle dans le processus de paix. Sa philosophie du maintien de la paix reposait sur la primauté du politique. Cela voulait dire que les forces militaires ne pouvaient être déployées qu’à des fins politiques. L’ONU a eu du succès lorsqu’elle a eu à façonner le processus de paix, et elle était la garante de cet accord. C’était un acteur politique qui intervenait quelques fois militairement. Depuis la fin de la transition, son rôle a été inversé. La mission des Nations-Unies a été contrainte de faire ce qu’elle fait le moins bien, c’est-à-dire « la protection des civils en danger imminent ». Comment peut-on protéger quelqu’un qui est déjà « en danger imminent » ? C’est presque impossible. Les casques bleus venus d’Inde, du Pakistan, ou d’Uruguay, ne sont pas venus pour faire la guerre, ni pour mourir pour le Congo. Mais le souci, c’est que le problème politique n’est toujours pas résolu. La Monusco se trouve donc marginalisée et cantonnée à un rôle qu’elle joue très mal.

<br /><b><br />Afrikarabia : </b>Cela veut dire que pour résoudre la guerre à l’Est, on a trop misé sur le militaire ?<br /><br />Jason Stearns : Absolument. Les trois grandes défaillances qui font perdurer le conflit ont été : l’échec politique pour réformer l’Etat congolais. Les bailleurs de fonds pensaient qu’ils avaient un partenaire sincère qui désirait la stabilité et la croissance économique. Mais ce n’était malheureusement pas le cas. Ils avaient en face d’eux un Etat congolais au service des élites qui voulaient seulement profiter de l’instabilité pour s’enrichir. La deuxième défaillance était de rester aveugle envers l’implication du Rwanda. Kigali a sapé la stabilité à l’Est du Congo. Les bailleurs de fonds étaient dans une situation perverse, où ils devaient financer le budget rwandais en même temps qu’ils finançaient les opérations de maintien de la paix et d’aide humanitaire dans un Congo… déstabilisé par le Rwanda. La troisième défaillance est économique. Le processus de paix reposait sur une économie libérale. Après l’accord de paix, cette libéralisation de l’économie a créé un conflit entre la démocratie et le marché. Ouvrir au marché une économie qui était nationalisée a été comme du poison pour cette nouvelle démocratie. Les élites se sont considérablement enrichies. On l’a vu avec les contrats léonins contractés par l’élite en place à cette époque. Ouvrir sans garde-fous l’économie congolaise, surtout le secteur des mines, n’était clairement pas la bonne approche.<br /><b><br />Afrikarabia :</b> Dans votre livre, le conflit congolais apparaît comme un phénomène social. Et pour trouver une solution à ce conflit, c’est la société et la politique dans son ensemble qu’il faut changer ?<br /><br /><b>Jason Stearns : </b>Le conflit congolais est une danse dans laquelle beaucoup d’acteurs participent. Tous dansent sur la même musique, y compris les bailleurs de fonds, ou les gens comme moi… il y a tout une élite qui va de Paris à New-York en passant par Goma, Kigali, Kampala… qui tirent les bénéfices de cette situation de guerre. C’est tout un système qui a été mis en place. Et ce n’est pas en changeant Kabila par Tshisekedi que l’on va mettre fin à ce conflit. C’est en effet un combat social, culturel et générationnel qu’il faut mener.<br /><br /><b>Afrikarabia : </b>Qui peut mener ce combat ?

<br /><br /><b>Jason Stearns : </b>Des personnes comme le mouvement citoyen Lucha par exemple. Ils essaient de faire du mot « politique », qui est perçu comme un mot sale, une fierté. Lorsqu’ils organisent le « salongo », le travail communautaire, ou qu’ils manifestent contre les massacres à Beni… ces actions sont positives. Ce combat sera long. Mais il faut rappeler que le problème n’est pas une personne, ni même une élite, mais l’ensemble des acteurs. Et l’occident doit jouer un grand rôle dans tout cela. Ce sont eux qui ont financé ce système, ils en sont donc redevables, et si cela ne marche pas, c’est qu’ils sont complices.<br /><br /><b>Afrikarabia : </b>La dernière grande action lancée par les autorités congolaises pour tenter de ramener la paix à l’Est a consisté à instaurer l’état de siège dans les deux provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri. Mais depuis sa mise en place en mai 2021, cette mesure ne semble pas produire les effets escomptés ?

<br /><br /><b>Jason Stearns : </b>On voit avec l’arrivée de Félix Tshisekedi quelqu’un qui veut changer les choses. C’est l’impression que nous avons. Mais, sur le terrain, cette action est plutôt d’ordre symbolique. Comme avec Kabila, Tshisekedi s’est posé la question « comment gérer l’armée ? », plutôt que « comment sécuriser la population ? ». Les FARDC étaient une menace pour Félix Tshisekedi à son arrivée au pouvoir. En janvier 2019, ce nouveau président ne connaissait pas l’armée, n’avait pas fait son service militaire et n’avait aucun réseau au sein des forces de sécurité. L’armée était alors dominée par son partenaire de l’époque, Joseph Kabila. Félix Tshisekedi se sentait donc en insécurité. C’est d’ailleurs toujours le cas. Et l’état de siège a été un moyen pour le président congolais de gérer l’armée. L’état de siège est un transfert du pouvoir civil aux militaires, et cela marche très bien. Les militaires dans l’Est sont donc en train de s’encrer profondément dans l’économie locale. Mais par rapport à l’insécurité sur le terrain, il ne se passe pas grand-chose. Ce que l’on voit sur le terrain, c’est plutôt l’affairisme de certains généraux, et non des opérations militaires d’envergure contre les milices.<br /><br /><b>Afrikarabia : </b>Dans cette guerre qui n’en finit pas, voyez-vous des raisons d’espérer et d’être optimiste ?

<br /><br /><b>Jason Stearns : </b>Oui, il y a quand même des progrès. On a assisté en 2018 à des élections très « imparfaites », si on peut dire. Mais il y a quand même eu des élections. Joseph Kabila a été contraint de ne pas changer la Constitution et de ne pas imposer son dauphin. Il a aussi dû faire un compromis considérable en nouant cette alliance avec Félix Tshisekedi. Et là, on a vu la force de la population congolaise, des organisations de la société civile et de l’Eglise catholique qui ont mené cette lutte. Alors, évidemment, il y a encore beaucoup de chemin à parcourir. Mais c’est cette nouvelle génération, cette nouvelle jeunesse, qui me donne le plus d’espoir. Ce n’est plus le bling-bling de JB Mpiana et Koffi Olomidé qui donne le ton. Cette nouvelle génération a maintenant conscience qu’elle peut changer le pays. Ce n’est pas de l’occident, ni de l’extérieur que le changement viendra. Ce qui serait une tragédie, c’est de croire qu’une seule personne va changer le Congo. Cela va prendre du temps, mais je reste optimiste.</div><div><b><br /></b></div><div><b>mediascongo.net</b><p> </p></div></div></div>

Jason Stearns: « Le conflit congolais est une danse dans laquelle beaucoup d’acteurs participent et tirent les bénéfices de cette situation de guerre .. »

Politique Jason Stearns: « Le conflit congolais est une danse dans laquelle beaucoup d’acteurs participent et tirent les bénéfices de cette situation de guerre .. »

Depuis plus de 20 ans, la République démocratique du Congo (RDC) est plongée dans un conflit sans fin malgré la plus grande mission de l’ONU...

« Le président Tshisekedi n’a jamais été opéré du cœur » (famille)

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgC9_sX5aPFsq2v0hNvY77_uVkQ1gZK8EYxjOkTtfqSSiLScxOxxkRaSJ_ovVwU7Zq3q4G4_PxRUL5BRgNOSRi1fqV924W5c386NL14vs7-i9DsrEsZB_A51mg1pz6hM3j1rgEQHOLl0_4jHJl54XH1mDjDErJakwdpXOA_Z7xJyy34cus3CF7ImThtCQ=s993" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="993" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgC9_sX5aPFsq2v0hNvY77_uVkQ1gZK8EYxjOkTtfqSSiLScxOxxkRaSJ_ovVwU7Zq3q4G4_PxRUL5BRgNOSRi1fqV924W5c386NL14vs7-i9DsrEsZB_A51mg1pz6hM3j1rgEQHOLl0_4jHJl54XH1mDjDErJakwdpXOA_Z7xJyy34cus3CF7ImThtCQ=s320" width="320" /></a></div>Le président « n’a jamais été opéré du cœur comme l’annoncent certaines rumeurs », indiquent à Top Congo FM, des sources familiales.<br /><br /><br />« Il est certes parti en Belgique où il est toujours ce jeudi 10 mars et a sûrement été aperçu à l’hôpital où il est parti effectuer son check-up habituel ».<br /><br />La rumeur, partie de l’édition africaine d’un journal belge annonce qu’il a subi une intervention chirurgicale, « qui s’est bien passée », après être parti de Kinshasa dimanche dans un état critique.<br /><br />Mais « il n’est pas actuellement à l’hôpital », nous certifie sa famille, « il a profité du report du voyage des souverains pour enfin rencontrer son médecin en Belgique, qu’il n’avait pas pu consulter comme prévu du fait de son emploi du temps très chargé ».<div><br /></div><div><br /></div><div><b>mediascongo.net</b><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /> <p></p></div>

Politique « Le président Tshisekedi n’a jamais été opéré du cœur » (famille)

Le président « n’a jamais été opéré du cœur comme l’annoncent certaines rumeurs », indiquent à Top Congo FM, des sources familiales. « Il es...

2023 : le retour de Joseph Kabila change tout

March 11, 2022

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjT7mwvVilljdRAEES4T0s18FZSQsho_xflJFG38vDnCMuV9xhOpsqNYza9vW6tHj_sm4p56r4FYuhEaFK2-sdptpTVAjM8N75KqvLxR3scsuXqtZMb7iEeJZmqxqtE5MqSXFqDkZsB0Y0zqhRWxYfFMtWC-YjnfzUkUP-V2-H5LzQGUAUrm_p1mvZ9kQ=s1405" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="926" data-original-width="1405" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjT7mwvVilljdRAEES4T0s18FZSQsho_xflJFG38vDnCMuV9xhOpsqNYza9vW6tHj_sm4p56r4FYuhEaFK2-sdptpTVAjM8N75KqvLxR3scsuXqtZMb7iEeJZmqxqtE5MqSXFqDkZsB0Y0zqhRWxYfFMtWC-YjnfzUkUP-V2-H5LzQGUAUrm_p1mvZ9kQ=s320" width="320" /></a></div> C’est au moment où FATSHI est annoncé malade. Au moment où Katumbi soulève des foules partout au pays. Et que Fayulu est à la conquête de l’ouest. Que patatras, Olive Lembe lâche la bombe à Kalemie : “Joseph Kabila sera candidat en 2023”.<br /><br />Un dîner pas comme les autres offert à 2.000 mamans à l’hôtel Yvonne de Kalemie, capitale du Tanganyika par la belle sœur, Marie-Olive Lembe Kabila a permis de dévoiler les dernières intentions politiques du Raïs Joseph Kabila Kabange. Se trouvant dans la province d’origine de son époux, l’ex-première dame de la République démocratique du Congo avait bien réglé son annonce.<br /><br />Un coup de géant. Devant un parterre de notables, tous nostalgiques des actions inachevées de Zoé Kabila, le gouverneur déchu par la puissante Union sacrée, elle a harangué. Dans cette province, les œuvres de développement imprimées par le jeune-frère de JKK sont nombreuses et interpellatrices.

Depuis le départ de Zoé en effet, tout ou presque est à l’arrêt. Même les superbes plages de sable blanc avec une touche d’exotisme indéniable hurlent d’attente pour le retour aux affaires de leur gouverneur indélicatement évincé par les politiciens. C’est donc dans cette province d’espoir et d’avenir que la matriarche OLK a sonné le retour aux affaires de son mari.Chefs coutumiers, notables, leaders politiques, acteurs de la société civile, ménagères, agricultrices et autres personnalités d’encrage provincial étaient bel et bien là. Tout yeux, tout oreilles. Lorsque Marie-Olive clôture son speech. Une occasion qui valait bien la chandelle au vu de la conjoncture politique du moment, parsemée de plusieurs crises politiques et des dissensions en perspective entre groupes politiques de même obédience.

La grande Union sacrée est toujours malade du départ de JM Kabund; Fayulu et Muzito semblent être sur une grosse bifurcation qui risquerait de séparer les deux leaders ; Katumbi ne fait qu’enregistrer des départs dans ses rangs et plusieurs kabilistes en transhumance politique ne pouvant plus retourner à Kingakati au regard des incertitudes de la gouvernance UDPS, taillent bavette tout autour de deux présidents des Chambres du Parlement. Marie-Olive Lembe Kabila savait pertinemment que les Kalemiards en ont ras-le-bol de l’Union sacrée pour enfin ouvrir le grand débat autour du retour au pouvoir de son mari. Sa campagne avait commencé la veille dans un stade Joseph Kabila plein comme un œuf. “Chez nous au Maniema, on chante : venez voir pour constater. On a dit que Joseph Kabila n’était pas populaire. Avez-vous vu toute cette foule dans ce stade ?”.

<br /><br />Lors du dîner, elle va battre le rappel des troupes en exhortant le peuple du Tanganyika à faire confiance à leur fils, Joseph Kabila Kabange : “j’insiste, j’insiste et j’insiste encore. Faites confiance en vos enfants, aux enfants de Mzee Laurent-Désiré Kabila et à leur mère, Maman Sifa. Ils parlent peu mais réalisent beaucoup. Ils sont toujours respectueux de leurs paroles données. Malgré qu’ils subissent toutes formes d’attaques, ils restent engagés à servir la communauté”, fin de citation. La femme de Kabila a d’abord épinglé les plus grands mérites de son époux : “un homme qui a encore toute sa force dans sa grande jeunesse. Il est capable de redresser cette nation et de redonner du sourire aux Congolais”, a-t-elle insisté. Des mots bien choisis qui n’incriminent et n’indèxent du tout l’actuel régime.<br /> Kabila, avec quels soutiens politiques ?<br /><br />Même si les deux personnalités entretiennent un flou artistique autour de leur “accord politique d’alternance”, des indiscrétions indiquent que Félix Tshisekedi conserverait de l’estime envers son prédécesseur. Difficile d’en déduire une relation parfaite mais ils ne sont pas encore sur le terrain de l’intimité. Kabila a marqué plusieurs proches de Tshisekedi par son calme, son respect de l’autorité établie et son retrait de la grande réclame politique. <p></p><p>En dépit de plusieurs scènes d’humiliation lui infligées par certains caciques du régime de l’UDPS, JKK n’a jamais sonné l’alerte du dégoût vis-à-vis de son ex-partenaire.
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  Certes, l’accord FCC-CACH a été mis en terre, mais des parcelles politiques existent bel et bien entre les deux dignitaires. Si l’affaire François Beya n’a pas encore révélé tous ses secrets, il n’est pas déraisonnable de croire que Kabila a sû supporter les bons caprices d’un jeune régime dont les actes de gestion sont généralement portés vers le sensationnel.<br /> <br />Kabila conserve également des atouts non négligeables à l’interne. Si l’opposant Moïse Katumbi l’a sérieusement combattu par le passé, leurs relations se seraient nettement améliorées. Sauf qu’avec cette dernière annonce de candidature, il se pourrait que Ensemble pour la République trouve en Kabila une nouvelle cible. Jean-Pierre Bemba quant à lui a préféré s’éloigner de toute aventure de candidature à la prochaine présidentielle de 2023. Bemba et Kabila ont une histoire. </p><p>Celle de la réunification du pays. Vice-président de la République sous le 1+4, Jean-Pierre Bemba pourrait trouver en JKK un interlocuteur sûr.
  
  <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins>
<script>
     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
</script>
  
  Le cas le plus complexe sera sans doute Modeste Bahati Lukwebo, un insoumis du FCC qui actuellement joue le rôle de la deuxième personnalité du pays. Mais en fouinant dans les archives, le patron de l’AFDC n’a jamais indexé son ancien chef. </p><p>Il s’en prenait régulièrement aux caïmans de l’entourage de l’ancien locataire du Palais de la Nation. Que dire de Vital Kamerhe, ex-directeur de cabinet de Félix Tshisekedi et surtout ancien collaborateur direct de Joseph Kabila ? Ses distances avec l’ancien chef de l’État ont été lourdes de cicatrices. Il semblerait que le patron de l’UNC est un homme de grand cœur qui sait pardonner. Lui et son ex-patron Kabila auraient en commun leur capacité de traduire les conflits en opportunité politique.</p><p> <br /> Reste que la communauté internationale qui a systématiquement matraqué Kabila change d’attitude vis-à-vis de son nationalisme et acceptent de coopérer avec cet ancien chef de l’État encore jeune./mediascongo.net</p>

Politique 2023 : le retour de Joseph Kabila change tout

C’est au moment où FATSHI est annoncé malade. Au moment où Katumbi soulève des foules partout au pays. Et que Fayulu est à la conquête de l...

BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Congolais bloqués en Pologne : « le rapatriement sera volontaire. Pour ceux qui voudront rester, le gouvernement ne pourra rien faire », Kabongo Ngoyi

RDC : les passeports de nouveau disponibles après un mois de rupture de stock

Prime Léopards : Barthélémy Okito nous a tous menti ?

Processus électoral en RDC : Fini le désamour, Catholiques et protestants chez Denis Kadima !

Processus électoral: Lamuka sollicite la Médiation de la MONUSCO pour qu'il y ait consensus avant ces élections

Kinshasa : La PNC autorise à quiconque de filmer tout acte d’incivisme routier, « même des autorités »

Élections 2023 : Adolphe Muzito, candidat président des femmes du Nouvel Elan

Pasteur Moïse Mbiye : « J’ai refusé d’être dans certaines choses parce que je savais ce qui se cachait derrière… Que personne ne vous dise le contraire ! »

RDC : “Richard Muyej est important dans le travail à côté du Chef de l’État”(JC Muyambo)

« La garde à vue arbitraire de François Beya constitue l’antithèse de l’État de droit prôné par Félix Tshisekedi » (ACAJ)

Polémique autour de l’intervention Chirurgicale : enfin, Tshisekedi s’exprime personnellement, voici sa version !

Félix Tshisekedi au conseil des ministres : « Je bénéficie d’une prise en charge médicamenteuse, et non chirurgicale »

Covid-19 : début de la 5e vague ?

Kinshasa : Un élève de l’école secondaire a perdu la vie lors d’un affrontement entre l’ITI Gombe et l’IPG

Les alliés de la Russie en Afrique

Olive Lembe Kabila appelle les femmes de Kalemie à faire confiance à son mari, « il a encore de l’énergie à revendre »

La presse belge confirme, la Présidence dément

Jason Stearns: « Le conflit congolais est une danse dans laquelle beaucoup d’acteurs participent et tirent les bénéfices de cette situation de guerre .. »

« Le président Tshisekedi n’a jamais été opéré du cœur » (famille)

2023 : le retour de Joseph Kabila change tout

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

Blog Archive