BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Menacée de « frappes chirurgicales sur Kinshasa » : la RD Congo doit-elle craindre le Rwanda ?

October 28, 2013

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIIikFplNA-KMptH7SRgBJODEHj14gvXoAQnTVeXU0NL54BRigl8ETp2SfQp1pBRvUlfQkPtsQ3HFiUEPToSZYlFKoX5OIBuTx6lZZygJrhJkIynSXN4T6JkvYO_qm7QN0K84e_Vbp92c/s1600/Snapshot_6.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="285" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiIIikFplNA-KMptH7SRgBJODEHj14gvXoAQnTVeXU0NL54BRigl8ETp2SfQp1pBRvUlfQkPtsQ3HFiUEPToSZYlFKoX5OIBuTx6lZZygJrhJkIynSXN4T6JkvYO_qm7QN0K84e_Vbp92c/s400/Snapshot_6.jpg" width="400" /></a></div>
Depuis le dernier week-end, les bonnes nouvelles ne font que s’accumuler sur le front de l’Est. Conformément à leurs attentes, des millions de Congolais sont tout heureux d’apprendre que leur armée a réussi à déloger les rebelles du M23 de Kibumba (environ 20 kilomètres de Goma) et Kiwanja (à plus ou moins 70 kilomètres du chef-lieu du Nord-Kivu). Ces victoires militaires sont lourdes de symbolique, car elles sonnent le glas d’une rébellion qui campait dans ces deux localités depuis les mois de novembre et mai 2012. Elles confirment par ailleurs la bonne tenue des FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) face à l’ennemi et son principal parrain, à savoir le Rwanda. La perte de Kibumba et Kiwanja par le colonel ou général Sultani Makenga et ses combattants se veut aussi la preuve de la modification sensible du rapport des forces sur le champ de bataille, où l’armée régulière, qui se confinait jusque-là dans la défensive, est passée à l’offensive. En principe, la peur doit avoir changé de camp.<br /><br /> Attitude bizarre du Rwanda<br /><br /> Alors que l’armée régulière congolaise est en train de pousser, dans ses derniers retranchements, une force négative que la communauté internationale invite à se saborder voici des mois, on enregistre une attitude bizarre de la part du Rwanda. En effet, par la voix de son ambassadeur aux Nations Unies, le régime de Kigali a clamé haut et fort que la RDC ferait l’objet de « frappes chirurgicales » si une seule bombe tombait en territoire rwandais. Pareille menace rappelle, à beaucoup, celle brandie et exécutée en son temps par les USA de George Bush (père) contre l’Irak de Saddam Hussein, peu avant la guerre du Golfe.<br /><br />Un ton aussi hautain ne peut pas étonner pour un pays qui se prend, depuis plusieurs années, pour le « gendarme » de l’Afrique Centrale et des Grands Lacs, région où son armée croit tout écraser sur son passage. Pour un Etat qui bénéficie d’un siège de membre non permanent au Conseil de Sécurité des Nations de janvier 2013 à janvier 2015, au nom de l’Afrique, le bon sens aurait dû lui commander de militer pour la coexistence pacifique entre Etats, l’amitié et la fraternité entre les peuples.<br /><br />         Il est bien dommage que le Rwanda ait adopté, dans une situation où les soldats congolais défendent l’intégrité territoriale de leur patrie, un ton belliqueux qui rappelle à tous les Congolais, de mauvais souvenirs. La question à se poser, à cet effet, est de savoir si la RDC doit encore avoir peur du Rwanda. Après avoir perdu plus de 8 millions de ses citoyens dans des guerres directes instrumentalisées par le pays de Paul Kagame et leurs effets collatéraux, le Congo n’aurait objectivement, une raison de le craindre.<br /><br />         Qu’est-ce qui peut encore faire plus mal aux Congolais orphelins des millions de leurs parents et condamnés à affecter l’essentiel de leurs ressources nationales dans des « efforts de guerre » à répétition depuis 1996 ? Les « frappes chirurgicales » annoncées par le Rwanda seraient-elles plus meurtrières que tous les héros de l’ombre emportés dans l’au-delà, des ressources naturelles pillées depuis 16 ans par des mouvements rebelles, de l’AFDL (Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo), au Mouvement du 23 Mars 2009, en passant par le RCD (Rassemblement Congolais pour la Démocratie) et le CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple) ?<br /><br />Etre prêts à relever le défi ?<br /><br /> Les velléités belliqueuses du Rwanda étant archiconnues, ceux qui gouvernent la République Démocratique du Congo et gèrent son armée devraient désormais être prêts à relever le défi d’une nouvelle agression. Car l’annonce de « frappes chirurgicales » contre la RDC doit être considérée comme une insulte et un mépris que rien n’autorise.<br /><br />Les observateurs pensent que ce pays cherche un prétexte pour entrer officiellement en guerre, de manière à tirer du pétrin le M23, qui broie du noir sur le front de l’Est. On sait que d’habitude, Kigali se contente d’aider ce mouvement rebelle à distance, avec des troupes et des armes lourdes. Mais, compte tenu du dispositif de surveillance de l’espace aérien congolais mis en place par la Monusco (Mission des Nations Unies pour la Stabilisation au Congo) et la Brigade d’intervention, il est fort gêné de se livrer à sa tricherie habituelle.<br /><br />C’est aux Congolais de se montrer vigilants et de parer à tout coup fourré, d’autant que la « déclaration de guerre » du Rwanda a été faite devant témoins, au siège même des Nations Unies.<br /><br /> Etant donné la guerre est activement préparée de l’autre côté de la frontière, la RDC n’a d’autre alternative que de faire autant. Le vent de la guerre étant en train de souffler en faveur du camp congolais, c’est le moment ou jamais de se faire respecter des maîtres de Kigali.<div align="right" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b>Kimp</b></div>

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Depuis le dernier week-end, les bonnes nouvelles ne font que s’accumuler sur le front de l’Est. Conformément à leurs attentes, des million...

Déjà un premier litige que la LINAFOOT doit le plus vite possible traiter avant la deuxième journée.

October 27, 2013

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilFTqHkL81047qAOfqPMd0tcTsHxalf0EyTI_B18HhU2MT6qYQnQ88jYm0BhbrRDU4JvB8NrdyhopZnJRyH6ivHVcEkw6N-jhUkBqnhxZrJkm0SJOdutWOKz_e-cnnLTglHti4dimSBk0/s1600/football-gif-007.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilFTqHkL81047qAOfqPMd0tcTsHxalf0EyTI_B18HhU2MT6qYQnQ88jYm0BhbrRDU4JvB8NrdyhopZnJRyH6ivHVcEkw6N-jhUkBqnhxZrJkm0SJOdutWOKz_e-cnnLTglHti4dimSBk0/s400/football-gif-007.gif" width="400" /></a></div>
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<span style="font-size: large;"><b><span style="color: lime;">Mukoko Mayayi</span></b> et <span style="background-color: #274e13; color: yellow;">Issama Mpeko</span> avaient écopé des cartons rouges lors de la dernière journée de la saison 2013 ( V-Club 0-0 DCMP) ! Reste a savoir si le règlement permet à Mukoko de jouer le premier match de la linafoot?</span>

Sport Déjà un premier litige que la LINAFOOT doit le plus vite possible traiter avant la deuxième journée.

Mukoko Mayayi et Issama Mpeko avaient écopé des cartons rouges lors de la dernière journée de la saison 2013 ( V-Club 0-0 DCMP) ! Rest...

90 ans d’activités en RDC : La Bralima a fêté avec agents et partenaires !

October 27, 2013

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyezaD9oV14qx-_m8FCUk_vyFU2IcxtgobdyyY-fOrZXGhVq5jN1M-3C-S-onxjbyPwq6Qp4pLCzqViI_9LmpdcJwDk3mXX4CiEnF-SY_pNg0MlMMeXiiB3ZGNokKeZ0xQ0cRpUCKN210/s1600/bralima3.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="306" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyezaD9oV14qx-_m8FCUk_vyFU2IcxtgobdyyY-fOrZXGhVq5jN1M-3C-S-onxjbyPwq6Qp4pLCzqViI_9LmpdcJwDk3mXX4CiEnF-SY_pNg0MlMMeXiiB3ZGNokKeZ0xQ0cRpUCKN210/s400/bralima3.JPG" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><em>*Après la série d’innovations avec le lancement de nouveaux produits sur le marché, la Bralima a organisé deux grandes fêtes pour marquer la célébration solennelle de ses 90 ans d’activités fructueuses en République Démocratique du Congo. Le 24  octobre 2013, au Salon Congo du GHK, l’Administrateur délégué de la frime, Alexey Chernyaev, a communié, somptueusement, avec tous les acteurs importants qui contribuent au succès de la Brasserie. Partenaires gouvernementaux, médias, fournisseurs et clients ont tous été conviés à cette soirée VIP au cours de laquelle ils ont partagé à boire et à manger à gogo.</em></strong></div>
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Après la soirée réussie au GHK, la Brasserie a tenu une grande conférence de presse, le vendredi 25 octobre 2013, dans l’enceinte de son usine sur l’avenue du Drapeau. Deux points essentiels ont fait la quintessence de cette rencontre entre les professionnels des médias et les responsables de la Brasserie. La conférence a été animée par Jean François Van Boxmeer, Président mondial du Groupe Heineken ; Hiemstra Siep, Directeur Afrique et Moyen-orient et Alexey Chernyaev, AD de la Bralima. </div>
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D’abord, le Coordonnateur médical de la Bralima, Dr Charles Kitenge, a procédé à la présentation de la Fondation Bralima, une structure sociale créée en 2007, avec l’ambition d’investir pour le bien-être des Congolais. Dans son adresse, le responsable médical a étalé quelques repères historiques de la Fondation et a présenté les réalisations majeures de sa structure. Ici, Dr. Kitenge a démontré avec image projetée les différentes sortes d’interventions menées dans les domaines de l’éducation, de la santé et l’agro-alimentaire (Projet riz). En résumé, des actions à impact visible ont prouvé qu’avec sa Fondation, la Bralima joue aussi son rôle d’entreprise citoyenne et contribue à l’amélioration des conditions de vie des Congolais et à la promotion du développement durable.</div>
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Après cet exposé sur les réalisations de la Fondation, les responsables de la Brasserie ont répondu, minutieusement, à quelques questions posées par les journalistes en rapport avec le sujet.   </div>
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Ensuite, la deuxième partie a été consacrée à la remise d’un chèque de 25.000$ octroyé par le PDG du Groupe Heineken au Père de la Kietil. Ce dernier, signale-t-on, est responsable du Centre d’anémie SS de Yolo, à Kinshasa/Kalamu. </div>
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Après la conférence de presse, l’Administrateur délégué et ses invités de marque ont fêté dans la soirée du vendredi 25 octobre, la grande célébration de 90 ans avec l’ensemble du personnel de la Brasserie.</div>
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La fête a été caractérisée par les discours prononcés tout à tour par la Directrice des ressources humaines et par le Président de la délégation syndicale. Ces deux cadres de l’entreprise ont été relayés par Administrateur délégué de la Brasserie et par le Président du Groupe Heineken.</div>
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Prenant la parole, Mme Yvonne Tshilemb a circonscrit le cadre de l’événement, tout en remerciant les employés actifs et retraités pour leurs bons et loyaux services rendus à l’entreprise. Elle a, également, pensé aux agents et cadres qui ont quitté la terre des vivants pour leur sacrifice et dévouement à l’édification de la Bralima.</div>
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Pour la DRH, la Bralima est une poule aux œufs d’or. A cet effet, elle a manifesté sa gratitude à la Brasserie qui soutient leur famille et aussi l’Etat congolais pour son développement socio-économique.</div>
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Mme Tshilemb a indiqué que cette célébration est une occasion pour chaque agent de se remettre en question. Quelle est la contribution de chaque travailleur afin que la société aille toujours de l’avant ? A-t-elle questionné. </div>
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C’est aussi, renseigne-t-elle, une occasion de considérer cette belle entreprise qui est l’œuvre de tant d’hommes et femmes ayant consacré tout leur talent, leur amour et leur énergie.</div>
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La DRH a exhorté les agents à mettre en œuvre toutes les ressources physiques, intellectuelles et morales afin de porter encore plus haut la Bralima léguée par les pionniers.<em> ‘‘Soutenons-nous, travaillons ensemble, atteignons nos objectifs et réalisons encore les records de vente et de profits et retrouvons nous dans dix ans pour célébrer le centenaire de la Brasserie’’, </em>a déclaré Mme Tshilemb<em>.</em></div>
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Enfin, la DRH a appelé ses collègues à pratiquer les cinq valeurs  de la Brasserie, à savoir : la joie, le respect, la passion, la responsabilité et le professionnalisme. ‘‘<em>C’est avec ces valeurs que la Bralima restera toujours leader’’, a-t-elle conclu.</em></div>
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Pour sa part, le Président de la délégation syndicale a remercié le Président du groupe Heineken qui a rehaussé de sa présence avec son épouse et ses enfants afin d’honorer les travailleurs de la Bralima, à cette occasion de sa fête de 90 ans.<em> ‘‘Votre présence nous rappelle tous les bons moments passés ensemble pour lutter pour le leadership et pour la victoire obtenue sous votre gestion’’, </em>a renchéri Vincent Kikwakwa.</div>
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Fort et dynamique, le patron de la Bralima a, pour sa part,  souhaité la bienvenue à la délégation importante venue d’Amsterdam pour célébrer ensemble avec ses agents la fête. Il a appelé les agents à mettre en pratique chaque jour la mission et les valeurs qui font de la Bralima leader sur le marché. S’expliquant à ce sujet, Alexey Chernyaev a avancé quelques raisons majeures qui ont contribué à l’éclosion de son entreprise durant ses  neuf décennies en RDC. Notamment, la qualité supérieure dans sa gamme de produits, les innovations permanentes et le professionnalisme du personnel, qui assure la satisfaction et le plaisir des consommateurs tout en garantissant la rentabilité durable de l’entreprise.</div>
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<em>«Ces célébrations s’inscrivent sous le signe de la confiance. D’abord, celle des consommateurs qui continuent à faire confiance à Bralima du fait de la qualité de ses produits. Ensuite, celle de Heineken, la maison-mère de Bralilma qui a consenti d’importants investissements même dans les moments difficiles qu’a  traversés le pays. Confiance aussi des agents et cadres qui portent l’esprit Bralima et qui sont les auteurs des réussites enregistrées depuis 1923 », explique l’Administrateur Délégué de Bralima, Alexey Chernyaev.</em></div>
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Baptisé «Papa Bonheur» par ses agents, JF Van Boxmeer, de son côté, a estimé qu’en 90 ans d’âge, la Bralima demeure encore une jeune fille. Toutefois, il a été reconnaissant du succès récolté du jour au jour par la Brasserie qui se justifie par le travail au quotidien du personnel. Celui-ci, poursuit-il, contribue énormément au développement de la société. Le Président du Groupe Heineken a promis d’investir encore en RDC, car Heineken croit en l’avenir. Ainsi, ‘‘Papa Bonheur’’ a invité les agents à travailler encore dur pour maintenir le cap et le leadership sur toute la ligne.  ‘‘<em>C’est votre travail qui va accroître la part de marché.</em> <em>Je vous rassure qu’en travaillant encore dur vous allez conquérir davantage et rapidement la part du marché.  Déjà, avec l’arrivée de la nouvelle Primus ‘‘Petite ya Quartier’’, tout est possible. ‘‘Il faut agir et travailler ensemble pour rester de nouveau leader. J’ai placé toute ma confiance en vous. Que Dieu vous bénisse avec vos familles’’,</em> a-t-il conclu.  </div>
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Il n’y a pas de fête sans cadeau, dixit le numéro Un de la Brasserie. A cette occasion, l’Administrateur délégué a offert à chaque travailleur un bon gratuit de dizaines de casiers de boissons pour continuer la fête en famille.    </div>
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La manifestation de 90 ans a été sanctionnée par la remise de cadeaux aux deux grands invités de marque venue d’Heineken et leurs épouses. Chacun a eu des cadeaux de boubous en tenue Primus suivi des œuvres d’art venues de Kinshasa et de sièges provinciaux de la Bralima.</div>
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La soirée a été agrémentée par le groupe Zaiko Langa Langa et son leader Nyoka Longo qui ont fait plonger les agents et cadres dans une ambiance euphorique. Des pas de danses spectaculaires ont été exécutés à la grande satisfaction de tous.</div>
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Il faut noter que les festivités ont été on ne peu plus  aux consommateurs qui continuent à donner confiance à la  Bralima. Cela peut se témoigner à travers de nombreuses innovations lancées cette année sur le marché : Primus «spécial 90 ans» en format de 62 cl, Turbo King 62 cl, Primus Radler, Primus 33cl et, tout récemment, Primus 50 cl communément appelée «Petite Ya Quartier». Outre les innovations, plusieurs autres activités festives ont été organisées dans la capitale.  Notamment, la tournée du Trophée de la Ligue de Champions Européen sous la houlette de Heineken ainsi que le festival de la musique le 21 juin dernier qui a mis sur la même scène les plus grandes stars de la musique congolaise.</div>
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Dans tout les cas, rafraîchir la RD-Congo restera la passion majeure de la Bralima.</div>
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Félicitations leader !</div>
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<strong>Jordache Diala</strong></div>

Au tour de Kinshasa la Nation 90 ans d’activités en RDC : La Bralima a fêté avec agents et partenaires !

*Après la série d’innovations avec le lancement de nouveaux produits sur le marché, la Bralima a organisé deux grandes fêtes pour marquer...

Journal Télévisé En Lingala FAcile CNL du 26-10-2013

October 27, 2013

Au tour de Kinshasa la Nation Journal Télévisé En Lingala FAcile CNL du 26-10-2013

Rep werrason la zamba et Emission Manzaka Ma Nkoy du 26-10-2013

October 27, 2013

Musique Rep werrason la zamba et Emission Manzaka Ma Nkoy du 26-10-2013

Radek Supreme Traite Koffi Olomide de voyou en direct sur Digital Congo

October 27, 2013

Au tour de Kinshasa Musique Radek Supreme Traite Koffi Olomide de voyou en direct sur Digital Congo

Mesure collective de grâce : Kabila recale les prisonniers Politiques

October 27, 2013

<br />                          <img alt="Zemanta Related Posts Thumbnail" height="300" src="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/b59b1a81a699cd79e3b44c19b05775d8-300x2261111.jpg" width="400" /><br />Très discutée au niveau des Concertations nationales et finalement formalisée en résolution, la libération des prisonniers politiques vient de prendre du plomb dans l’aile. En effet, à la lecture des préalables fixés par l’ordonnance présidentielle du mercredi 23 mars 2013, les observateurs constatent que tous les candidats proposés par les « Concertateurs » à la grâce présidentielle, notamment Diomi Ndongala, Me Firmin Yangambi, Muhindo, Kutino Fernando, Eric Kikunda… à l’exception de Jacques Chalupa, sont recalés.<br /><br />Pour le cas Diomi par exemple, non seulement il n’est pas encore jugé mais en plus, l’infraction pour laquelle il est poursuivi, à savoir le viol, entre à la fois dans la rubrique des « violences sexuelles » et dans celle de « crime contre l’humanité ». Quant à Firmin Yangambi, Muhindo, Kutino, Eric Kikunda et tant d’autres, déjà condamnés pour atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat, leur sort est plus que jamais scellé.<br /><br />Tous ceux qui, surtout au sein de la classe politique, s’attendaient à ce que la cohésion nationale se manifeste aussi par leur sortie de prison, doivent déchanter. L’on s’interroge, dans plusieurs cercles politiques et sociaux, sur ce qui paraît comme une inadéquation entre l’ordonnance présidentielle portant mesure de grâce collective et la promesse du Chef de l’Etat de procéder à la libération des prisonniers politiques, lancée aussi bien lors de la clôture des Concertations nationales, le 05 octobre 2013, qu’au cours de son discours du mercredi 23 octobre devant les deux Chambres du Parlement réunies en « Congrès ».<br /><br />Doit-on comprendre par là que Joseph Kabila a rejeté la Résolution portant libération des prisonniers politiques ? Ou s’agit-il , de la part des « Concertateurs », d’une mauvaise lecture des griefs ayant conduit en prison Eugène Diomi, Firmin Yangambi, Muhindo, Kutino Fernando, Eric Kikunda et consorts ? En tous les cas, la porte est fermée aux citoyens que les participants aux Concertations nationales avaient placés sur la liste non exhaustive des prisonniers politiques, citant à titre indicatif l’échantillon le plus connu des Congolais.<br /><br />Ce signal controversé de l’autorité morale de la Majorité Présidentielle exige une clarification de la part des membres de l’Opposition qui ont accepté de prendre part aux Concertations nationales. Ils devraient notamment expliquer à l’opinion nationale comment ils n’ont pas pu faire traduire en actes le deal conclu avec leurs « alliés » d’un mois au sujet de la libération des prisonniers politiques, de la levée de la mesure portant interdiction de diffusion pour certains médias fichés comme anti-pouvoir, et peut-être, demain, d’un gouvernement qualifié tantôt de « large ouverture nationale », d’ « union nationale » et finalement de « cohésion nationale ».<br /><br />D’aucuns se demandent si l’Opposition ne risque-t-elle pas de se faire rouler dans la farine, après avoir apporté à la famille politique du Chef de l’Etat la caution morale dont elle avait grandement besoin pour atténuer les effets de la crise de légitimité au sein de la communauté nationale. La suite des événements ne va pas manquer de démontrer à tous si la politique de la « chaise pleine » a été payante.

Justice Politique Mesure collective de grâce : Kabila recale les prisonniers Politiques

Très discutée au niveau des Concertations nationales et finalement formalisée en résolution, la libération des pr...

Libération des prisonniers politiques : seul Chalupa éligible

October 27, 2013

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<a href="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/Pierre-Jacques-Chalupa-2-300x199.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="Pierre-Jacques-Chalupa-2" border="0" height="264" src="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/Pierre-Jacques-Chalupa-2-300x199.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px;">
Au cours d’un point de presse animé en son siège situé sur le quartier Socimat hier jeudi 24 octobre, maitre Kampiamba, président de l’ACAJ (Association pour l’Accès à la Justice)   a déploré  le fait que  seul Chalupa soit éligible pour bénéficier de la grâce présidentielle<br /><br />Cet activiste de droit de l’Homme a  fait savoir  que tous les détenus politiques et d’opinions  recommandés par les concertations nationales pour bénéficier de cette grâce présidentielle, Diomi, Nzanghi, Kuthino, Palata, Firmin Yangambi continueront à purger leur peines dans les geôles de Makala.<br /><br /> Se référant  à l’article 6 de l’ordonnance présidentielle du 23 octobre qui précise les peines non concernées par la mesure de grâce, Kampiamba a relevé que les détenus précités condamnés pour atteinte de sureté, détention d’arme illégale, infraction des violences sexuelles sont d’office exclues.<br /><br />Kampiamba a demandé au chef de l’Etat qui a promis de libérer les prisonniers politiques de les faire pour décrisper le climat politique au nom de la cohésion nationale de revoir son ordonnance.<br /><br />Cet activiste de droit de l’homme a souligné la recommandation   des  concertations nationales sollicitant les libérations des prisonniers   précis clairement les noms de ces  détenus politiques et d’opinion.<br /><br />Il a estimé que cette ordonnance remet en cause la volonté exprimée par Joseph Kabila de consolider la cohésion nationale pour faire face à la guerre à l’est.<br /><br />Parlant de la cohésion nationale, Kampiamba a fait remarquer conformément au statut de l’opposition que tout acteur qui s’est dit de l’opposition ne peut pas assumer une responsabilité de gestion du pays.<br /><br />Il a  affirmé sans équivoque  que tout opposant qui entre dans le gouvernement national devient automatiquement membre de la majorité présidentielle.<br /><br />Il en est de même pour les activistes de la société civile censés contrôler la gouvernance du pays.<br /><br />Concernant l’affairisme des officiers de l’armée, Kampiamba pense qu’un signal fort devait être donné en traduisant les officiers cités dans le rapport de la Monusco  dans les réseaux maffieux  devant la justice.<br /><br />Tout en saluant certains points positifs  de ce discours du chef de l’Etat, notamment sa volonté de lutter contre la corruption, l’impunité, les violences sexuelles, il a plaidé pour le renforcement  de l’indépendance de la justice, seul remède pour éradiquer  tous ces fléaux qui rongent  la société congolaise</div>
<br />
<div style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;">
<b style="color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; text-align: justify;">ERIC WEMBA</b></div>

Justice la Nation Politique Libération des prisonniers politiques : seul Chalupa éligible

Au cours d’un point de presse animé en son siège situé sur le quartier Socimat hier jeudi 24 octobre, maitre Kampiamba, président de l’AC...

Budget 2014: Matata a réuni la Troïka pour arrêter des mesures d\'adéquation avec l\'amélioration des masses salariales

October 27, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.jeuneafrique.com/photos/112012/023112012143839000000JA2706p016.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="228" src="http://www.jeuneafrique.com/photos/112012/023112012143839000000JA2706p016.jpg" style="background-color: transparent;" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<u>COMPTE RENDU DE LA REUNION EXTRAORDINAIRE DE LA TROIKA STRATEGIQUE DE CE VENDREDI 25 OCTOBRE 2013</u></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
(COMMUNIQUE DE PRESSE)</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Son Excellence Monsieur le Premier Ministre a présidé ce vendredi 25 octobre 2013 une réunion extraordinaire de la Troïka Stratégique. Outre le Chef du Gouvernement, les personnalités,  ci-après,  ont pris part à la réunion en cause :</div>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>Le Vice-Premier Ministre, ministre du Budget ;</li>
<li>Le Ministre de l’Economie et Commerce ;</li>
<li>Le Ministre Délégué auprès du Premier Ministre, chargé des finances ;</li>
<li>Le Gouverneur de la Banque Centrale du Congo ;</li>
<li>Le Directeur de cabinet adjoint du Premier Ministre, chargé des Questions économique, financière, monétaire, technique et d’infrastructures en qualité de Rapporteur.</li>
</ul>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
L’objet de la réunion consistait à veiller à une meilleure cohérence entre les grandes masses des rubriques des dépenses et celles des recettes en vue de soutenir la croissance économique,  conformément au Programme Economique du Gouvernement.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Les membres de la Troïka Stratégique se sont mis d’accord sur la nécessité de préserver la viabilité du budget 2014 et son adéquation avec l’amélioration des masses salariales.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Commencée à 10 h 20, la réunion a pris fin à 11 h 30’.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
SERVICE DE LA PRESSE</div>

$Budget 2014: Matata a réuni la Troïka pour arrêter des mesures d\'adéquation avec l\'amélioration des masses salariales$

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Budget 2014: Matata a réuni la Troïka pour arrêter des mesures d\'adéquation avec l\'amélioration des masses salariales

COMPTE RENDU DE LA REUNION EXTRAORDINAIRE DE LA TROIKA STRATEGIQUE DE CE VENDREDI 25 OCTOBRE 2013 (COMMUNIQUE DE PRESSE) Son Excellen...

Nouveau Gouvernement : Que cache Kabila ?

October 26, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTql1g0Xf3Lrufs3A64UfTRzbpGosyAS05zBSyVP3vYJj-UCbnudkRu98lanOCIb9VrXPgljMdB9PcwtZlHSz9iZSTi6B0YSauxgBACDVyZBDahuyn43kiqEhaPDqD2Sr9ivAyXiRO_gM/s1600/dda076bd9239319e32b0ce69d4525a31_ID3005369_09_kabila-dr_161449_01PWJN_0.JPG.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="252" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTql1g0Xf3Lrufs3A64UfTRzbpGosyAS05zBSyVP3vYJj-UCbnudkRu98lanOCIb9VrXPgljMdB9PcwtZlHSz9iZSTi6B0YSauxgBACDVyZBDahuyn43kiqEhaPDqD2Sr9ivAyXiRO_gM/s400/dda076bd9239319e32b0ce69d4525a31_ID3005369_09_kabila-dr_161449_01PWJN_0.JPG.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>*Il n’a ni fixé la date, ni désigné jusqu’ici,  un Formateur du prochain gouvernement de cohésion nationale. Derrière un  si   grand   discours ponctué d’applaudissements, Kabila a laissé, une fois de plus,  tout  un florilège de questions sur le format, le  quota  et, même, le mode de désignation des membres de ce gouvernement. Il a, néanmoins, réaffirmé sa volonté de compacter la Majorité, l’Opposition et la Société civile  dans une même moule, pour aller vers des perspectives nouvelles, vers un Congo tout à fait nouveau. Il a, même, parlé d’un nouveau départ, tout court.  Et,  pour convaincre, le Chef de l’Etat a  relevé entre autres, comme missions prioritaires, le rétablissement de la paix et de l’autorité de l’Etat à travers le pays, la consolidation de la cohésion nationale, la poursuite de la reconstruction, l’appui au processus de décentralisation et à l’organisation des élections  et,  enfin,  l’amélioration des conditions sociales des populations. Voilà tout. Du reste, rien n’a été dit sur la durée de ce gouvernement mais, surtout, sur l’ouverture des consultations devant concourir à son avènement rapide.</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
‘’Demain sera différent d’aujourd’hui’’, a déclaré notamment, Joseph Kabila, lors de son intervention musclée, ce mercredi 23 octobre dernier, devant les Députés et Sénateurs réunis en Congrès, au Palais du Peuple,  en présence de Denis Sassou Nguesso, le Président de la République du Congo-Brazzaville et, de  Mme Dlamini  Nkosazana Zuma, la Présidente de la Commission de l’Union Africaine.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
L’un des volets les plus marquants à retenir de ce  discours  reste, sans conteste, celui de la formation du  gouvernement de cohésion nationale  dont dépendra étroitement l’exécution de la batterie de recommandations et résolutions telles que consignées dans le rapport final sanctionnant la tenue des concertations nationales, du 7 septembre au 5 octobre 2013, à Kinshasa.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
A ce sujet, le Président a laissé, derrière cet apologétique  discours, plusieurs zones d’ombre. Il s’est voulu, toutefois, rassurant quant à l’implication de la Majorité, de l’Opposition et de la Société Civile à la gestion de la chose publique.  Mais, à quand ce gouvernement de cohésion nationale ? Quels seront les critères de sélection de ses membres ? Comment ces trois composantes ainsi identifiées  pourront-elles lui présenter des noms, si, dès le départ, le format en termes de nombre, ni le nom du formateur ne sont pas connus ?  Sur un autre registre, quel est le sort réservé à  l’actuel gouvernement Matata, en attendant celui dit de cohésion nationale ? Là-dessus, revoici des spéculations !  Va-t-il  travailler, sans désemparer jusqu’à ce que l’Ordonnance présidentielle intervienne ? Ou bien, Matata dépose sa démission avec celle de son équipe, en bloc ? Apparemment, l’après-congrès ressuscite des vieux démons, à la veille de ces grands bouleversements et/ou tractations.  Qui partira ? Qui reste ? Il y a là, de quoi donner du travail aux marabouts, devins ainsi qu’aux autres prophètes, en ce moment de calcul calqué sur des intérêts politiques. Pourtant, le discours présidentiel, à lui tout seul, s’est montré au-delà des angles de l’assouvissement des appétits gloutons, loin même de la recherche effrénée du bourrage de l’Exécutif, avec des apprentis sorciers. L’affaire étant de poursuivre et d’enrichir le programme économique du gouvernement, sous la trame d’une orthodoxie financière, sans commune mesure, avec l’esprit du mal qui, autrefois, avait fait  de la République, la vache à lait où chacun des membres du gouvernement, se devait de suçoter à l’infini, pour  des fins purement personnelles.  A l’heure qu’il est, qui de tous les citoyens congolais, aurait la chance de conduire avec doigté ce nouvel exécutif  central ? Certes, Kabila en a le pouvoir discrétionnaire. Mais, la réussite d’un tel gouvernement  nécessite cependant qu’un consensus se dégage  autour de son commandant de bord, ou de  cet oiseau rare. D’où, la question de savoir comment  s’y prendre lorsqu’on est sorti de bornes tracées par la Constitution qui, elle, avait une autre formule ;  celle de la désignation  d’un Informateur appelé à identifier la Majorité. Puis, celle de la nomination d’un Premier Ministre de la Majorité qui, à son tour, devait former le gouvernement, en concertation avec le Chef de l’Etat.  A présent, les choses sont allées  vite. La roue de l’histoire a peut-être  tourné dans le sens contraire. Cette fois-ci, en effet, le schéma de l’ex-Majorité étant abandonné, il va falloir absolument  réinventer une nouvelle roue, pour faire avancer cette histoire, en passant au prisme, les recommandations des concertations nationales qui consacrent, plutôt,  la   suprématie    de la  démocratie consensuelle  sur la démocratie institutionnelle, sans fracture, ni fioriture  sur l’essentiel, à savoir, la souveraineté nationale et l’intégrité du territoire.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
En tout cas, Kabila encore et toujours, lui, est devant toutes  ses responsabilités. Des noms qui circulent actuellement n’auraient valeur de marché que si et seulement si,  ils coïncidaient avec le   choix définitif du Chef de l’Etat. Tant que  le fameux consensus retenu, comme mode de décision, n’aura été, paradoxalement, valable  que pour les concertations,  la composition du gouvernement évoluera,  quoi qu’il en soit,  au gré de  ses stratagèmes  face aux enjeux et défis qui s’imposent à la nation congolaise, toujours  menacée, dans sa partie Est.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>LPM </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>

Politique Nouveau Gouvernement : Que cache Kabila ?

*Il n’a ni fixé la date, ni désigné jusqu’ici, un Formateur du prochain gouvernement de cohésion nationale. Derrière un si grand di...

Mesures conservatoires: Ministres et Vice-ministres interdits de voyager !

October 26, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMxuzLW-AuhzoaPOcemrhVG_XSZdzdt4QHat39szetOznJWSpF84JXlzJkq05RwcKNOhwqWWo148JAs5MPs4twuj1iuE9KzjI-tCGhNA1RHiiOHM9CKbM20ZwcydNrpqUJczsx6lgduH4/s1600/Primature.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="230" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMxuzLW-AuhzoaPOcemrhVG_XSZdzdt4QHat39szetOznJWSpF84JXlzJkq05RwcKNOhwqWWo148JAs5MPs4twuj1iuE9KzjI-tCGhNA1RHiiOHM9CKbM20ZwcydNrpqUJczsx6lgduH4/s400/Primature.JPG" width="400" /></a></div>
*Tous les membres du gouvernement ainsi que leurs  cabinets sont interdits d’effectuer des missions à l’extérieur du pays et, ils  doivent préparer des dossiers,  pour la remise-reprise. Voilà une des  mesures que vient de prendre le Premier Ministre, Augustin Matata Ponyo. Cela, en exécution des décisions prises par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila,  lors de son adresse aux deux Chambres du Parlement réunies en Congrès,  le 23 octobre dernier. En effet, dans une note circulaire n° CAB/PM/CCPG/DB/2013 signée,  le jeudi 24 octobre 2013, le Chef de l’Exécutif central a également interdit aux membres du gouvernement de conclure des nouveaux engagements financiers, marchés publics et de ne plus signer des contrats. Bien plus, Matata leur a demandé de ne plus céder, transférer et aliéner des actifs de l’Etat pendant cette période.<br />
<br />
Ces mesures qui scellent, sans doute, les premières retombées des mesures importantes prises par le Chef de l’Etat, ne se limitent pas qu’au gouvernement. Il est, en outre, demandé à la Ministre du Portefeuille, Louise Munga, de répercuter ces instructions dans les entreprises publiques transformées en sociétés commerciales et aux ministres sectoriels pour ce qui est des établissements publics ainsi que dans les services publics, notamment,  les régies financières.<br />
<br />
Visiblement, le changement attendu à l’aune des concertations annonce déjà ses couleurs au niveau du gouvernement central. Sans savoir qui quittera le navire et qui pourra continuer le périple, la note circulaire a néanmoins  atteint tous les ministères.  Matata n’a  pas voulu  effrayer  qui que ce soit. Dans l’introduction de sa missive, l’homme a pris le soin d’inviter tous les membres du gouvernement ainsi que les responsables des sociétés publiques visées  par cette  décision à faire montre de patriotisme,  en maintenant le même esprit de travail et finaliser les actions prévues dans leurs lettres des  missions respectives. Dans l’entre-temps, pas de  recrutement, nomination, promotion et mouvement du personnel à tous les niveaux.<br />
<br />
Prélude du gouvernement de cohésion…<br />
<br />
Il a fallu un jour seulement au Premier Ministre,  pour mettre en exécution les mesures de la plus haute hiérarchie du pays. Si rien de concret n’est encore fait, du moins, au lendemain du discours musclé de Joseph Kabila, les bases de la fin de l’actuel exécutif sont désormais jetées. Car, aucun ministre ne doit encore s’émouvoir dans l’idée de contracter des nouveaux engagements au nom du  pays.<br />
<br />
Devant cette décision de Matata, bon nombre de personnes pensent que le locataire de l’Hôtel du gouvernement a répondu à l’un des volets le plus en vue de tout ce que Kabila  avait déclaré  devant le congrès. C’est celui de la création d’un gouvernement de cohésion nationale. Car, le niveau d’attention que la classe politique accorde à cette question  est à mesurer  dans les acclamations frénétiques retenties,  lors de son annonce,  par l’Initiateur des concertateurs nationales.<br />
<br />
Cependant, l’opinion se demande si ces grandes décisions posent déjà les jalons,  pour la  formation imminente du fameux gouvernement de la cohésion nationale ?<br />
<br />
Certainement, la réponse à cette interrogation dépend du choix définitif que Kabila aura à faire au sujet de cette nouvelle architecture gouvernementale  en gestation.<br />
<br />
Dido Nsapu<br />
<br />
                 <br />
<br />
République Démocratique du Congo<br />
<br />
Primature<br />
<br />
Le Premier Ministre<br />
<br />
Concernes : Mesures conservatoires<br />
<br />
Mesdames et Messieurs,<br />
<br />
En exécution des décisions prises par la haute Hiérarchie,  lors de son adresse devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès en date du 23 octobre 2013, je vous invite tous à faire montre de patriotisme,  en maintenant le même esprit de travail et de  finaliser les actions prévues dans vos lettres des  missions respectives.<br />
<br />
A cet effet, les mesures conservatoires,  ci-après,  doivent être observées :<br />
<br />
Interdire des missions à l’extérieur du pays à tous les membres du Gouvernement et leurs membres des cabinets, sauf pour des dossiers spécifiques à examiner au cas par cas ;<br />
Interdiction de conclure de nouveaux engagements financiers, marchés publics et de signer des contrats ;<br />
Interdiction de recrutement, nomination, promotion et mouvement du personnel à tous les niveaux ;<br />
Interdiction de cession, transfert et aliénation des actifs de l’Etat ;<br />
Préparation des dossiers pour la remise et reprise dans les cabinets ministériels.<br />
Je demande à Madame la Ministre du Portefeuille de répercuter ces instructions dans les entreprises publiques transformées en sociétés commerciales et aux ministres sectoriels pour ce qui est des établissements publics ainsi que dans les services publics (les régies financières,  notamment).<br />
<br />
Veillez agréer, Mesdames et Messieurs, l’expression de ma parfaite considération.<br />
<br />
Matata Ponyo Mapon

la Nation Politique Mesures conservatoires: Ministres et Vice-ministres interdits de voyager !

*Tous les membres du gouvernement ainsi que leurs cabinets sont interdits d’effectuer des missions à l’extérieur du pays et, ils doivent...

Les autochtones pygmées expulsés du Parc national de…

October 25, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWZeTW3XYaFxuEl1oDcyOfHLT2xhVydTs9NlwPkW9N1ifTYvRs37gFGyHhpLUliO5JOqkqx5V_pOFAEJw1qYf8MgUPESAhssc_cGYIWHUo6HG1qwAsMRaElTtlHLNCZu8JyKIsVqopmqg/s1600/Gorilles-300x199.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWZeTW3XYaFxuEl1oDcyOfHLT2xhVydTs9NlwPkW9N1ifTYvRs37gFGyHhpLUliO5JOqkqx5V_pOFAEJw1qYf8MgUPESAhssc_cGYIWHUo6HG1qwAsMRaElTtlHLNCZu8JyKIsVqopmqg/s400/Gorilles-300x199.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Protection des minorités en RDC</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Les autochtones pygmées expulsés du Parc national de Kahuzi Biega réclament justice</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
C’est depuis les temps immémoriaux que les peuples autochtones pygmées occupaient les espaces qui sont aujourd’hui transformés en parc, notamment celui de Kahuzi Biega au Sud-Kivu. C’est sans consultation et enquête préalables que les autorités congolaises, par Ordonnance-Loi n°70-316 du 30 novembre 1970, ont pris la décision de transformer ladite réserve en Parc national de Kahuzi Biega (PNKB), devenu patrimoine mondial avec une superficie de 60.000 hectares, en restreignant les droits coutumiers des peuples autochtones (PA) tels que les droits d’habitation, de chasse, de cueillette, de ramassage, d’usage, qui du reste, sont des droits fondés sur leur mode de vie.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Comme si cela ne suffisait pas, par l’Ordonnance n°75/238 du 22 juillet 1975, portant modification des limites du PNKB, de 60.000 hectares à 600.000 hectares, le gouvernement congolais par le biais de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), a dépouillé complètement les peuples autochtones pygmées, de tout espace de vie et d’épanouissement, sans consultation ni consentement préalables. Cette situation a conduit aux expulsions cavalières des autochtones pygmées dont le dernier a quitté cette réserve en 1985, en passant outre les dispositions de la constitution et de la Loi n°77-001 du 22 février 1977, sur l’expropriation pour causes d’utilité publique. Conséquence, 66 requérants peuples autochtones pygmées parmi les milliers victimes de l’expulsion, ont décidé d’initier une action en justice contre la RDC et l’ICCN, en vue de voir les cours et tribunaux trancher ce litige qui n’a que trop duré.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
C’est donc pour dénoncer ce cas d’injustice dont ils sont victimes, qu’une représentation des peuples autochtones pygmées a animé un point de presse mardi 22 octobre 2013 dans la salle des réunions de la paroisse Notre Dame de Fatima de Gombe, en collaboration avec l’ONG Environnement, ressources naturelles et développement (ERND), sous le thème : « Justice équitable aux peuples autochtones : Les autochtones pygmées expulsés du PNKB au Sud-Kivu depuis 1970, réclament à la justice congolaise, un procès équitable pour l’accès à leurs terres traditionnelles dont ils ont été dépossédés ».</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
A la recherche de leurs droits, 66 requérant peuples autochtones pygmées parmi les milliers de victimes de l’expulsion dans le PNKB, ont en effet initié une action en justice contre la RDC et l’ICCN, en vue de voir les cours et tribunaux condamner ces derniers, à faire réintégrer les victimes de l’expulsion, dans leurs terres et espaces naturels, tout en réparant tous les préjudices subis par eux, du fait de cette expulsion.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
<strong>Genèse de l’affaire</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Selon maître Innocent Ntakobanjira, Conseiller technique au sein de l’ENRD, le premier juge saisit dans cette affaire au Tribunal de grande instance (TGI) d’Uvira, siège secondaire de Kavumu, a rendu jugement d’incompétence, pour la simple raison qu’il est superfétatoire d’aborder la question relative à l’expulsion, à la dépossession des PA dans le PNKB et de conséquences qu’elle a entraîné sans entamer l’Ordonnance portant extension des limites du PKNB, en l’occurrence l’Ordonnance n°75/238 du 22 juillet 1975.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Contestant cette décision qui n’aborde pas le fond du litige et où le juge s’abstient de dire le droit sur base de la demande de requérants PA pygmées, les 66 demandeurs parmi les victimes de l’expulsion, ont porté pour mal juger leur dossier, devant le juge de la Cour d’appel de Bukavu, en second degré, en vu de voir celui-ci corriger les erreurs commises par le premier juge (TGI Uvira, siège secondaire de Kavumu) et de faire droit aux différentes demandes postulées par les requérants, dont principalement la réintégration dans leurs terres traditionnelles.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Malheureusement, le juge d’appel du deuxième degré, a reconduit la décision du premier juge. Qu’en l’espèce, les deux actes à savoir : les ordonnances-loi n°70-316 du 30 novembre 1970, avec une superficie de 60.000 hectares et celle n°75/238 du 22 juillet 1975, portant modification des limites du PNKB à 600.000 hectares étant des actes législatifs, échapperaient au contrôle de la cour d’appel, leur irrégularité ou inconstitutionnalité n’est réservée qu’à la seule compétence de la Cour constitutionnelle.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
De ce qui précède, les différentes victimes de la dépossession des terres des PA dans le Kahuzi Biega, dont une délégation composée de Chefs Jean-Pierre Kaneto Mwendanabo (village de Bulolo) ; Ntavuna Cizungu (Représentant des pygmées au Sud-Kivu) ; Balume Cibulula (village chibuga) ; Kabudesiya M’Muverhuza et des mamans Bifuko Mawazo M’Mbale (village Kamakongo) et Salome Teso M’Miraso (groupement Miti, Kabare/Nord) séjourne à Kinshasa, veulent porter leur cause devant la Cour suprême de justice, qui par voie de cassation, pourra casser toutes les décisions rendues par les juridictions inférieures, notamment le TGI d’Uvira, siège de Kavumu et la Cour d’Appel de Bukavu.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Pour ce faire, ils demandent aux cours et tribunaux de la RDC, de reconnaître les droits qu’ils ont sur ces terres, les réintégrer dans leurs terres expropriées, et allouent des dommages et intérêts pour tous les préjudices subis, tout en facilitant l’accès aux services sociaux de base (éducation, santé, emploi, habitat…</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
Depuis qu’ils ont été dépossédés de leurs terres du PNKB, leurs conditions de vie se sont amenuisées, à telle enseigne que les hommes ne travaillent plus, les enfants ne vont plus à l’école, les femmes n’ont plus d’espace pour cultiver les champs, afin de subvenir aux besoins de ménage. Tout ce peuple regrette aujourd’hui d’être dépossédé de leur terre, alors que celle-ci constituait leur pharmacopée.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
La RDC ayant souscrit aux engagements internationaux, notamment dans la protection des minorités, en l’occurrence les peuples autochtones, les victimes de cette expropriation estiment que les autorités du pays entendront leur voix et les remettront dans leurs droits. Sinon, comment peuvent-ils vivre comme des étrangers dans leur propre pays, alors qu’ils disposent de leurs terres aujourd’hui spoliées ? Pourquoi d’autres congolais sont dédommagés dans ce genre de situation, sauf eux ? Pourquoi cette discrimination à leur égard ? Autant des questions qu’ils ne cessent de se poser et pour lesquelles ils attendent des réponses appropriées de la part des autorités congolaises, qui semblent commettre jusque là, l’infraction de non assistance en personne en danger.</div>
<div style="background-color: white; color: #444444; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 16.796875px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify;">
A noter que l’ONG ENRD est membre de la société civile environnementale qui œuvre dans la protection des droits PA ; les questions de changement climatique ; de réhabilitation des infrastructures communautaires. Elle a été créée en 2003 au Sud-Kivu après des études et enquêtes sur les PA, lesquelles ont sollicité l’expertise de l’ENRD qui collabore avec cette catégorie de la population, dans le cadre du projet PAJA, qui consiste à plaidoyer pour la protection des droits administratifs et judiciaires des PA.</div>

la Nation Les autochtones pygmées expulsés du Parc national de…

Protection des minorités en RDC Les autochtones pygmées expulsés du Parc national de Kahuzi Biega réclament justice C’est depuis les ...

L’unité lulua à rude épreuve

October 25, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh69yhCAQUjWvzeHeBsIZYr0zPQSeqpM-2c_g0k1aY3L1B_KYYIB3JGb_zubnZLTgjR_Is35Ljh9BN7ujG022GVBtqrj2kP-oFms6zazB6-lrhQONvSGBPLiAqctX7_kyabMyu8QS9e9LM/s1600/calb2501tshala_muana1___Copie_JPG.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="258" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh69yhCAQUjWvzeHeBsIZYr0zPQSeqpM-2c_g0k1aY3L1B_KYYIB3JGb_zubnZLTgjR_Is35Ljh9BN7ujG022GVBtqrj2kP-oFms6zazB6-lrhQONvSGBPLiAqctX7_kyabMyu8QS9e9LM/s400/calb2501tshala_muana1___Copie_JPG.JPG" width="400" /></a></div>
L’unité lulua  à rude épreuve<br /><br />L’artiste musicien Elisabeth Tshala Mwana a fêté samedi 31 août 2013 au Grand Hôtel Kinshasa ses 35 ans de carrière. La fête était bien à la dimension de cette immense artiste dont la musique a secoué le monde entier. Il est vrai, la République démocratique du Congo a, de tous les temps, connu de grands artistes musiciens féminins. Il est cependant tout aussi vrai qu’aucune d’elle n’a connu autant de succès planétaire que cette ancienne danseuse d’Abeti Masikini.  Nous n’en voulons pour  preuve que cette légende qui rapporte que, dans un pays de l’Afrique de l’Ouest, aucun spectateur ne voulait quitter la salle où Tshala Mwana donnait son concert. Elle a été contrainte à poursuivre sa prestation jusqu’aux petites heures du jour suivant qui a, du reste, été déclaré chômé et payé. Un succès qui ne s’est jamais démenti au point même d’avoir réussi à faire élire un président de la République, toujours dans cette partie de l’Afrique.<br /><br />Des mécènes anonymes se sont joints à la République pour honorer cette brave dame qui a porté haut l’étendard de la République démocratique du Congo à travers sa musique. Des parlementaires et  ministres de la Républiques ont honoré Tshala Mwana de leur présence, en tête desquels Rémy Musungayi Bampale, son « frère du village », Modeste Bahati Lukwebo, Geneviève Inagosi  Kasongo. Cette dernière était particulièrement heureuse qu’il s’agissait bien d’honorer une dame qui  fait l’honneur des dames.<br /><br />Le Kasaï- Occidental absent<br /><br />Des Mésopotamiens sont venus, notamment du lointain Liban, pour communier avec la Mamu Nationale.  Des Congolais d’en face n’ont rien voulu rater de tel. Simaro Lutumba a sacrifié le concert  de Bana OK pour communier avec sa jeune sœur. Félix Wazekwa a donné le meilleur de lui-même afin que la fête soit colorée et agréable. Verckys  Kiamuangana  est venu saluer la star, créatrice des œuvres  d’anthologie du genre « Malu ». Kalonji Bill Clinton a sauvé l’honneur d’une coterie dont la timidité était perceptible, hormis les  Bakuba qui ont administré une leçon de solidarité aux Lulua.<br /><br />Elisabeth Tshala Mwana est une princesse ouest-kasaïenne. Son intronisation avait, en son temps, fait beaucoup de bruits au regard du grand succès que drainait cette grande dame mais surtout de la valeur ajoutée qu’elle a apportée à la culture lulua en particulier et luba en général. Notre peine était cependant grande de constater qu’aucun chef traditionnel lulua n’est venu soutenir la princesse. Dans sa prestation au cours de la soirée de samedi, l’artiste Tshala Mwana n’a pas manqué d’encenser Alex Kande Mupompa, gouverneur du Kasaï- Occidental qu’elle qualifiait de « pilier de Kananga ». Ironie du sort, le gouvernorat du Kasaï- Occidental n’a même pas daigné se faire représenter. Pas la moindre présence des Bayouda du Congo au Grand Hôtel Kinshasa.<br /><br />Les quelques indiscrétions drainées par- ci, par-là rapportent que de nombreux cas d’absence répertoriés l’ont été tout simplement parce qu’aucune invitation ne leur a été adressée. Prétexte. Pour une aussi grande fête de famille honorant une princesse mondialement reconnue, les Lulua n’avaient pas besoin d’invitation. Ils se seraient faits violence en s’imposant dans l’organisation. Parce que c’était leur fête avant d’être la fête de tout le monde. Les uns et les autres se ressaisissent déjà, et c’est une bonne chose, même si cela sent de la récupération. La nation aurait bien voulu voir tout le monde autour de la piscine  du Grand Hôtel Kinshasa plutôt qu’à Kananga. Tshala Mwana est la Mamu Naionale et non une mamu locale.

la Nation Musique L’unité lulua à rude épreuve

L’unité lulua à rude épreuve L’artiste musicien Elisabeth Tshala Mwana a fêté samedi 31 août 2013 au Grand Hôtel Kinshasa ses 35 ans de c...

MUSIQUE CONGOLAISE Papa Wemba, le génie qui insuffle le bonheur

October 25, 2013

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<a href="http://www.forumdesas.com/admin/gallery/photo/Papa%20Wemba.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="" border="0" src="http://www.forumdesas.com/admin/gallery/photo/Papa%20Wemba.JPG" style="height: 215px; width: 300px;" /></a></div>
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Depuis le 26 février 1977, date de la sortie officielle de l’orchestre Viva-la-Musica au bar Type K. jusqu’à ce jour, le chanteur Jules Presley Shungu Wembadio Pene Kikumba alias « Petit Rossignole », a évolué avec plusieurs sobriquets que ses admirateurs lui ont attribués. Parmi ces surnoms, on peut citer «le chef coutumier du village Molokaï», le Kuru Yaka», «Bokulaka ou vieux Bokul», «Jules 1er «Ekumani le Grand», «Fula Ngenge», «M’Zee Papa Wemba», «Bakala Dia Kuba», «Linioko ya tembe», «100 % Star», «Notre Père»…Mais, parmi tous ces sobriquets, celui de « Fula Ngenge » est resté très historique dans la carrière de Papa Wemba considéré comme, le génie qui insuffle le bonheur à ses contemporains. C’est-à-dire, un véritable « Fula Ngenge ». Ce concept englobe la chance, la réussite en affaires bref, le « Lupemba ». Une façon de dire « Chance eloko pamba ».<span style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 11px; line-height: 24px;"><strong></strong></span><br />
Dans son parcours musical, Papa Wemba a propulsé plus de 150 musiciens membres effectifs de cinq différents groupes qu’il a dirigés à savoir : Viva-la-Musica, Viva-la-Musica International, Viva-la-Musica Tendance et groupe Molokaï, tous étaient basés à Paris pour ses prestations d’outre-mer. Tandis que, le groupe «Nouvelle Ecriture»était installé à Kinshasa pour les concerts de Papa Wemba en RDC et en Afrique.<br />
<br />
Tous les musiciens qui ont fourbi leurs armes dans ces différents groupes, ont bénéficié chacun du « Lupemba ». Certains sont devenus des Stars et dirigent chacun leur propre orchestre à l’instar de Koffi Olomide, King Kester Emeneya, Awilo Longomba, Reddy Amisi… pour ne citer que celles-là.<br />
<br />
Papa Wemba a également propulsé les membres de son bureau, ses amis et connaissances à travers ses chansons à succès. La plupart sont devenus célèbres et leurs célébrités influencent même la réussite dans leurs affaires. Nous pouvons citer quelques unes car, la liste est très longue : Pecho Wa Ngongo, Colonel Jagger « Ami d’enfance », Sisi Selenge, Mère Malou 1ère, Elou Sharufa, Edox Diyeka, Néron Mbungu, Jules Mondele, Samy Mikobi, Alici Baba, Veron Bompele, Zuluwe, BJ Besala, Djes Nebanza, Senado « Papa Malongi »…<br />
<br />
Le 26 février 2014, Viva-la-Musica totalisera 37 ans d’existence. Pendant toute cette période, « Linioko ya tembe » a fait de la musique sa vie.<br />
<br />
Il s’est toujours surpassé pour plaire à son public. Formateur des idoles, « Fula Ngenge » est la « Porte ouverte » sur le monde musical congolais. Les amoureux de la musique congolaise doivent reconnaître qu’entre les musiciens décédés et vivants, Papa Wemba a fait la preuve qu’il est un « Grand Monsieur » de la chanson congolaise et un « Véritable Fula ngenge ».<br />
<br />
ARTISTE COMPLET<br />
<br />
Il est à la fois sapeur, acteur de cinéma, publiciste et artiste-musicien. Il a créé son propre style de musique appelé « Rumba Rock Frenchen » en introduisant un instrument traditionnel « Lokole » dans l’orchestration de son groupe. Il a fait le tour du monde avec sa musique en imposant même son mode de vie au public congolais et étranger : « Bien sapé, bien rasé, bien coiffé, bien parfumé »… avec le port d’un béret.<br />
<br />
Dans un quartier du Japon, les jeunes parlent le « Lingala » et jouent la « Rumba Rock Frenchen » en imitant leur idole « Fula Ngenge ». Les japonais Sankaï, Pili-Pili, Arata… encadrés par notre confrère Boumbe Gel, sont venus en tourisme à Kinshasa uniquement pour rencontrer, le Chef coutumier du village Mokokaï. Village situé dans la parcelle familiale de Papa Wemba sur la rue Kanda Kanda au quartier Matonge dans la commune de Kalamu. Ces jeunes japonais ont bénéficié aussi de « Lupemba » de Vieux Bokul et continuent à régner dans leur pays. <br />
<br />
En allant lentement mais sûrement vers 37 ans d’existence de son entreprise musicale, Papa Wemba n’est resté aujourd’hui qu’avec un seul groupe parmi les cinq précités comme à ses début. Il s’agit de Viva-la-Musica composé des quelques anciens musiciens et de Jeunes pétris de talents appelés « Bana Malongi » qui sont tous connus dans le milieu musical. Pour le reste de sa carrière, « Notre Père » ne dort pas sur ses lauriers. Il est toujours le même. D’ailleurs, il est en train de préparer la sortie de son prochain album intitulé « Maître de l’école » réalisé avec sa nouvelle ossature.<br />
<br />
Cette fois-ci, « Vieux Bokul » a fait featuring avec la chanteuse Barbara Kanam, les chanteurs Nyoka Longo et JB Mpiana. Il est toujours demeuré au premier rang de la musique d’ambiance avec sa voix haut perchée et le soutien des instrumentistes de son groupe Viva-la-Musica. Bravo l’artiste. « Et, que Viva-la-Musica ». José MPAKA IKOMBE</div>
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Musique MUSIQUE CONGOLAISE Papa Wemba, le génie qui insuffle le bonheur

Depuis le 26 février 1977, date de la sortie officielle de l’orchestre Viva-la-Musica au bar Type K. jusqu’à ce jour, le chanteur Jules P...

FORMATION DU GOUVERNEMENT DE COHESION NATIONALE EN RD CONGO Kabila - Sassou : l'ultime tête-à-tête

October 25, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQohno0dnL-fCkdaL4PxfPa-cpof8vOp1_JhRgDQK364tZvcm4zQhVysKl4OFZ3LYIQMCjILrPkXJ-QCKqwQh_S6Vtd6bztBqKjI_BtBf4vmQBy1_l9KhuGwZGbdihc6eeKWMFF8OJZEI/s1600/Joseph-Kabila-et-Sassou-Nguesso.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQohno0dnL-fCkdaL4PxfPa-cpof8vOp1_JhRgDQK364tZvcm4zQhVysKl4OFZ3LYIQMCjILrPkXJ-QCKqwQh_S6Vtd6bztBqKjI_BtBf4vmQBy1_l9KhuGwZGbdihc6eeKWMFF8OJZEI/s400/Joseph-Kabila-et-Sassou-Nguesso.gif" width="400" /></a></div>
Le président de la république du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso a regagné son pays hier jeudi 24 octobre en début d'après-midi, après un séjour de 48 heures à Kinshasa. Mais avant de traverser le pool, le Chef de l'Etat du Congo-Brazzaville s'était entretenu pendant quelques heures avec son homologue Rd congolais Joseph Kabila. Le tête-à-tête a eu lieu dans la matinée au Fleuve Congo Hôtel.<span style="background-color: white; color: #666666; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 11px; line-height: 24px;">   </span><br /><br />  Rien de substantiel n'a filtré de la rencontre Joseph Kabila- Denis Sassou Nguesso. Cependant, plus d'un analyste de la situation politique en RD Congo y a vu quelque chose.<br /><br />     En temps normal, on pourrait penser à une simple visite de courtoisie du Premier citoyen de Congo Brazzaville à son homologue de Congo Kinshasa. Ce qui n'est pas le cas. Pour une rencontre du genre, dans un contexte politique dont l'avènement d'un Gouvernement de cohésion nationale cristallise l'opinion publique congolaise, il y a donc fort à parier que l'entretien Joseph Kabila-Denis Sassou Nguesso a tourné autour de ce sujet qui est d'actualité brûlante et permanente en RD Congo.<br /><br />     Sans doute qu'il n'appartient pas à Denis Sassou Nguesso de proposer à Joseph Kabila, les noms des ministrables. Néanmoins, le Chef de l'Etat du Congo Brazzaville peut utilement mettre son expérience au profit de son hôte. Sans doute en termes de conseils sur un choix ne devant plus s'écarter de l'idéal de la cohésion nationale.<br /><br />     De ce point de vue, Denis Sassou Nguesso n'aura pas été un intrus, lui qui a été l'un des deux hôtes de marque du Président Joseph Kabila au Congrès organisé mercredi 23 octobre au Palais du peuple.<br /><br />DES INCERTITUDES AVANT LA FIN DE L'ANNEE<br /><br />     Le chrono est déjà mis en marche. Les Congolais ont désormais l'œil rivé sur le Palais de la nation d'où sortira le Gouvernement de cohésion nationale. Même si la date butoir n'est pas connue, l'impatience se généralise dans l'opinion.<br /><br />     Toute la question est de savoir si la mise en place de ce Gouvernement peut intervenir avant la fin de l'année en cours. Question légitime, dans la mesure où le Premier ministre devra défendre le projet de loi des finances pour l'exercice 2014, devant l'autorité budgétaire qu'est le Parlement. En principe, c'est pendant cette session parlementaire en cours, dont la clôture devra intervenir le 15 décembre prochain, que le Premier ministre devra se livrer à cet exercice.<br /><br />     Pour sûr, il existe déjà un projet de loi des finances 2014, élaboré par l'actuel Exécutif national, réputé démissionnaire depuis mercredi dernier. Dans l'hypothèse où ce serait un Premier ministre autre que Augustin Matata à la tête du Gouvernement de cohésion nationale, le nouveau serait-il dans l'obligation de défendre un budget dont il n'aura pas été l'architecte ? Dans la même logique, le Premier ministre " sortant " qui, on le suppose, "ignore " encore son sort, aura-t-il le moral pour défendre un budget dont il ne serait pas l'exécutant par la suite ? Un vrai débat somme toute. Toutefois, tous les scénarii sont plausibles.<br /><br />     Cependant, compte tenu de différentes considérations de cette problématique, nombreux sont des analystes politiques qui ne cachent plus leur incertitude, quant à la mise en place du Gouvernement de cohésion nationale d'ici à décembre prochain.<br /><br />     Mais toujours à l'hypothèse que ce soit un nouveau Premier ministre, il ne lui appartiendra pas d'élaborer un nouveau Projet de loi budgétaire à soumettre au vote du Parlement. En vertu du principe sacro-saint de continuité des affaires de l’Etat, un nouveau Premier ministre devra assumer l'actif et le passif de son prédécesseur.<br /><br />     En attendant, l'heure est à toutes les incantations. Non seulement pour les ministres sortants, mais aussi et surtout pour ceux des politiciens qui ne jurent que pour un poste ministériel.    Laurel KANKOLE

la Nation Politique FORMATION DU GOUVERNEMENT DE COHESION NATIONALE EN RD CONGO Kabila - Sassou : l'ultime tête-à-tête

Le président de la république du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso a regagné son pays hier jeudi 24 octobre en début d'après-mid...

A peine décidée par Joseph Kabila : La grâce présidentielle tarde à être appliquée !

October 25, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://latempete.cd/images/stories/kabila%20seul.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="http://latempete.cd/images/stories/kabila%20seul.jpg" style="border: 1px solid rgb(216, 216, 216); margin-top: 3px; padding: 5px;" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<em><strong>Cette situation suscite l’indignation des ONG des Droits de l’homme</strong></em><br />A peine prise par le chef de l’Etat, Joseph Kabila, «l’ordonnance n° 13/108 DU 23 OCTOBRE 2013 portant mesure collective de grâce» est commentée de diverses manières, notamment par certains membres des organisations de la société civile du pays.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Déjà hier jeudi 24 octobre 2013, les environs du CPRK (Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa) ont été envahis par de nombreux curieux et membres des familles des pensionnaires de cette prison pour assister à leur mise en liberté conformément au discours prononcé par Joseph Kabila devant les deux chambres du parlement réunies en congrès.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Aucun des détenus n’était libéré hier. Et pourtant l’ordonnance présidentielle de grâce a été prise et rendue publique le même jour que le discours du Président de la République.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Dans son discours, Kabila  n’a pas précisé que les détenus, très attendus, politiques et d’opinion vont être libérés. Face à cette confusion, plusieurs défenseurs des droits de l’homme considèrent la fameuse ordonnance comme sans objectif  et non claire.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
C’est notamment l’avis de Maître Richard Bondo, de l’ONG «Avocats sans frontière», qui pense que les bénéficiaires de la grâce présidentielle devraient être connus individuellement et cités chacun par son nom.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
C’est le travail qui serait entrain d’être fait probablement, afin de fixer chacun des détenus sur son sort. Surtout que la population attend avec impatience la mise en liberté de certaines personnalités injustement détenues pendant longtemps au CPRK comme l’archi-bishop Kutino Fernando (actuellement malade), le député national Eugène Diomo Ndongala (également très malade). Sans oublier d’autres comme Chalupa dont les raisons de l’arrestation n’ont jamais convaincu les Congolais.   <br /><br />Ci-dessous l’Ordonnance présidentielle de grâce</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
<strong>ORDONNANCE N° 13/108  DU  23  OCTOBRE  2013  PORTANT MESURE COLLECTIVE DE GRACE.<br />Le Président de la République,</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Vu la Constitution, telle que modifiée par la loi n°11/002 du 20 janvier 2011 portant révision de certains articles de la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006, spécialement en ses articles 79, 87 et 221 ;</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Voulant marquer et renforcer, par un acte de clémence, la réconciliation et la cohésion nationale à l’issue des Concertations Nationales ;<br />Sur proposition du Ministre de la Justice et Droits Humains ;<br /><br /><strong>O R D O N N E :</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Article 1er :</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue irrévocable au 23 octobre 2013, la commutation de la peine de mort en celle de servitude pénale à perpétuité.<br /><br /><strong>Article 2 :</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue irrévocable au 23 octobre 2013, la commutation de la peine de servitude pénale à perpétuité en celle de 20 ans de servitude pénale principale.<br /><br /><strong>Article 3 :</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue irrévocable au 23 octobre 2013, la réduction de 5 ans de la peine de servitude pénale inférieure ou égale à 20 ans mais supérieure à 5 ans.<br /><br />Article 4 :</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue irrévocable au 23 octobre 2013, la réduction de 3 ans, de la peine de servitude pénale inférieure ou égale à 5 ans mais supérieure à 3 ans.<br /><strong><br />Article 5 : </strong><br />Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue irrévocable au 23 octobre 2013, la  remise de la peine restant à subir égale ou inférieure à 3 ans.<br /><br /><strong>Article 6 :</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
La commutation, la réduction et la remise des peines prévues aux articles  1er, 2, 3, 4 et 5 ci-dessus ne sont pas accordées,<br />Aux personnes condamnées fugitives ou latitantes ;<br />-    Aux personnes condamnées pour :</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
§    Tentative et/ou infractions de violences sexuelles, corruption, concussion, détournement des deniers publics, assassinat, vol à mains armées, trahison, association des malfaiteurs ;</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
§    Atteinte à la sûreté intérieure ou extérieure de l’Etat,  détention illégale d’armes de guerre, et toute autre infraction contre l’autorité de l’Etat et l’intégrité du territoire, prescrite par les articles 195 à 199 ter du Code pénal congolais ;</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
§    Tentative et/ou crime de guerre, , crime contre l’humanité et crime de génocide.<br /><br /><strong>Article 7 :</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Le Ministre de la Justice et Droits Humains est chargé de l’exécution de la présente Ordonnance qui entre en vigueur à la date de sa signature.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Fait à Kinshasa, le 23 octobre 2013<br /><strong>Joseph KABILA KABANGE</strong></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Pour copie certifiée conforme à l’original<br />Le 23 octobre 2013</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Le Cabinet du Président de la République<br />Gustave BEYA SIKU<br />Directeur de Cabinet</div>

la Nation A peine décidée par Joseph Kabila : La grâce présidentielle tarde à être appliquée !

Cette situation suscite l’indignation des ONG des Droits de l’homme A peine prise par le chef de l’Etat, Joseph Kabila, «l’ordonnance n° ...

Crise dans l'Est/Russell D. Feingold : " la RDC doit être à mesure de restaurer son intégrité territoriale "

October 24, 2013

<div style="text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.3em;"><span style="line-height: 1.3em;">Le
 retour de la paix dans la partie Est de la RDC en proie à des conflits 
armés depuis plus d'une décennie, préoccupe au plus haut point la 
communauté internationale. Pour mettre fin à ce cycle de violences, il 
est impératif que la RDC jouisse de son droit pour protéger sa 
souveraineté nationale.</span></strong></div>
<div style="text-align: justify;">
 <span style="line-height: 1.3em;">C'est
 du moins ce qu'on peut retenir de la conférence de presse animée hier 
mercredi 23 octobre 2013 au centre culturel américain par l'envoyé 
spécial des Etats-Unis  pour la région des Grands Lacs en République 
démocratique du Congo.  </span></div>
<div style="text-align: justify;">
 Le diplomate américain, Russell 
D.Feingold dont la mission est de faire progresser la cause de la paix 
en RDC, indique que son pays, les Etats-Unis d'Amérique s'engage 
entièrement pour le retour de la paix dans la région des Grands Lacs. 
Toutefois, souligne-t-il, il revient au Congo d'être à mesure de 
restaurer son intégrité territoriale.</div>
<div style="text-align: justify;">
S'agissant des pourparlers de Kampala, 
Russel D. Feingold, qui croit à son issue heureuse, précise que son 
gouvernement avec l'Union Africaine et les autres pays impliqués à la 
crise, travaillent davantage afin de mener à bon port ces discussions en
 respectant bien sur l'esprit et la lettre de l'accord cadre signé par 
les 11 pays membres de la région des Grands Lacs.</div>
<div style="text-align: justify;">
D'après les informations à sa 
possession, les pourparlers de Kampala n'ont pas échoué. Les discussions
 continuent jusqu'à ce que les parties en conflits puissent conclure un 
accord. Et ce a-t-il précisé, dans un avenir proche. Il remercie le 
Gouvernement congolais pour avoir fait montre de la bonne foi de 
négocier avec le M23 afin de trouver une solution durable à cette crise.
 Partageant le point de vue que le Gouvernement congolais, le diplomate 
américain refuse toute idée de faire bénéficier l'amnistie et de 
réintégrer dans l'armée tous ceux qui sont impliqués dans les crimes 
contre l'humanité.</div>
<div style="text-align: justify;">
A la question de savoir comment les USA 
comptent aider la RDC au cas où le M23 refuse de déposer les armes, 
l'envoyé spécial des Etats-Unis pour la région des Grands Lacs en RDC, 
réaffirme que l'engagement de son pays est continuel et variable car les
 Etats-Unis d'Amérique assument de faire en sorte que la population ne 
continue pas à souffrir des conflits. Il note en outre que les 
Etats-Unis d'Amérique se disent satisfaits de la collaboration des FARDC
 et de la brigade d'intervention pour bouter hors d'état de nuire le M23
 et les forces négatives qui écument l'insécurité dans la région des 
Grands Lacs.</div>
<div style="text-align: justify;">
Nommé comme envoyé spécial pour la 
région des Grands Lacs en RDC, depuis juillet 2013, Russell D. Feingold,
 a siégé et présidé la sous-commission Afrique au Sénat américain depuis
 18 ans et a effectué de nombreux voyages sur le continent. Monsieur 
Feingold travaille en étroite collaboration avec le Secrétaire d'Etat 
John Kerry, le Sous- Secrétaire d'Etat aux Affaires africaines et 
d'autres dirigeants internationaux à la recherche d'une paix durable et 
de la prospérité économique dans la région des Grands Lacs.</div>
<div style="text-align: justify;">
 <strong>   Camus Kinkumi Kamitatu</strong></div>

la Nation Crise dans l'Est/Russell D. Feingold : " la RDC doit être à mesure de restaurer son intégrité territoriale "

Le retour de la paix dans la partie Est de la RDC en proie à des conflits armés depuis plus d'une décennie, préoccupe au plus haut po...

Gare au pouvoir parallèle !

October 24, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/b59b1a81a699cd79e3b44c19b05775d8-300x226111.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="Zemanta Related Posts Thumbnail" border="0" class="alignright size-full wp-image-10819" height="301" src="http://www.lephareonline.net/wp-content/uploads/2013/10/b59b1a81a699cd79e3b44c19b05775d8-300x226111.jpg" width="400" /></a></div>
<b>Joseph Kabila a annoncé hier la 
création, au sein de son cabinet, de deux nouveaux postes à pourvoir. Le
 premier est celui de « Représentant personnel du Chef de l’Etat chargé 
de promouvoir la lutte contre les violences sexuelles et le recrutement 
des enfants, et de servir d’interface avec la Communauté internationale 
en ce domaine ».</b>
<br />
<div style="text-align: justify;">
Le second est celui de « Conseiller 
spécial du Chef de l’Etat chargé du monitoring permanent de l’évolution 
des patrimoines, ainsi que des cas de malversation, de corruption et 
d’enrichissement illicite dans le chef des responsables politiques 
nationaux et provinciaux, de hauts fonctionnaires et cadres de 
l’Administration publique, des mandataires publics et autres agents 
publics ».</div>
<div style="text-align: justify;">
A priori, le souci du Président de la 
République d’assainir les mœurs sociales, politiques, administratives et
 financières est louable. Il est l’expression non seulement de son 
ras-le-bol mais aussi celui de nombreux compatriotes face à l’impunité 
qui encourage les crimes sociaux et économiques. Ce qu’il faut craindre 
cependant, c’est l’émergence d’un « pouvoir parallèle » appelé à agir en
 lieu et place des trois pouvoirs traditionnels. Cette crainte est 
d’autant fondée que le Chef de l’Etat, confie à deux de ses proches 
collaborateurs la gestion des dossiers aussi sensibles que ceux liés aux
 violences sexuelles, au recrutement d’enfants, aux détournements des 
deniers publics, à l’abus des biens sociaux, à l’abus du pouvoir, aux 
fautes des gestion financière ou administrative, à la corruption, à 
l’enrichissement sans cause… sans pour autant neutraliser les structures
 chargées de leur gestion au quotidien.</div>
<div style="text-align: justify;">
Si les prérogatives de ces deux 
responsables ne sont pas clairement définies par rapport à celles des 
membres du gouvernement et des commissions du Parlement (Sénat et 
Assemblée Nationales) ayant en charge des mêmes matières, l’on risque 
d’assister à des télescopages sur le terrain, de nature à diluer 
l’efficacité recherchée dans la lutte contre l’impunité.</div>
<div style="text-align: justify;">
Les nostalgiques de l’époque de Mobutu 
se souviennent que l’administration publique congolaise a été détruite à
 partir de l’usurpation de ses missions par les cabinets ministériels. 
Depuis lors, elle ne n’est jamais relevée de ce coup de massue, au point
 que tous les dossiers des ministères sont devenus la chasse gardée des 
cabinets de leurs animateurs.</div>
<div style="text-align: justify;">
Dans l’environnement actuel, les hauts 
fonctionnaires que sont les Secrétaires généraux, les directeurs chefs 
des services et autres chefs des divisions prestent comme de simples 
figurants. Ils ne sont consultés que si les membres des cabinets 
ministériels sont bloqués par un dossier hautement technique qui 
requièrt leur expertise. En conséquence, l’équité est difficile à 
rencontrer dans des dossiers traités souvent à la tête du client, avec 
des décisions ministérielles qui font plus de mal que de bien à la 
communauté nationale.</div>
<div style="text-align: justify;">
Si des «cabinets ministériels » et « des
 parquets généraux » qui ne disent pas leur nom s’installent à la 
Présidence de la République, chacun peut deviner la suite des événements
 avec des arbitrages qui risquent de favoriser l’impunité ou les 
règlements des comptes, alors que le résultat espéré par le Chef de 
l’Etat n’est pas de combattre les antivaleurs par de nouvelles 
antivaleurs.</div>
<div align="right" style="text-align: justify;">
<b>                              Kimp</b></div>

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Gare au pouvoir parallèle !

Joseph Kabila a annoncé hier la création, au sein de son cabinet, de deux nouveaux postes à pourvoir. Le premier est celui de « Représen...

Voici l\'Ordonnance portant mesure collective de grâce présidentielle !

October 24, 2013

<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.africafederation.net/Kanombe.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="" border="0" height="288" src="http://www.africafederation.net/Kanombe.jpg" style="height: 216px; width: 300px;" width="400" /></a></div>
<strong style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;">Par une Ordonnance n°13/108 du 23 octobre
 2013 portant mesure collective de grâce, le Chef de l’Etat, Joseph 
Kabila, voulant marquer et renforcer, par un acte de clémence, la 
réconciliation et la cohésion nationale à l’issue des concertations 
nationales, a réduit  sensiblement la peine des compatriotes détenus 
dans les prisons congolaises,  pour plusieurs raisons. Ainsi, a-t-il 
procédé à la commutation, entre autres, de la peine de mort en celle de 
servitude pénale à perpétuité ; de la servitude pénale à perpétuité en 
celle de 20 ans de SPP…</strong><br />

<strong>Ci-après, l’Ordonnance signée,  le mardi dernier par Kabila, accordant la grâce présidentielle aux prisonniers.         </strong><br />

<br />

<div align="center">
<strong>ORDONNANCE N° 13/108  DU  23  OCTOBRE  2013  PORTANT MESURE COLLECTIVE DE GRACE</strong></div>
<br />

<strong>Le Président de la République,</strong><br />

Vu la Constitution, telle que modifiée par la loi n°11/002 du 20 
janvier 2011 portant révision de certains articles de la Constitution de
 la République Démocratique du Congo du 18 février 2006, spécialement en
 ses articles 79, 87 et 221 ;<br />

Voulant marquer et renforcer, par un acte de clémence, la 
réconciliation et la cohésion nationale à l’issue des Concertations 
Nationales ;<br />

Sur proposition du Ministre de la Justice et Droits Humains ;<br />

<div style="margin-left: 28.4pt;">
<strong><u>O R D O N N E</u></strong><strong> :</strong></div>
<div style="margin-left: 70.5pt;">
<strong><u>Article 1<sup>er</sup></u></strong> :    </div>
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue
 irrévocable au 23 octobre 2013, la commutation de la peine de mort en 
celle de servitude pénale à perpétuité.<br />

<div style="margin-left: 70.5pt;">
<strong><u>Article 2</u></strong> :      </div>
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue
 irrévocable au 23 octobre 2013, la commutation de la peine de servitude
 pénale à perpétuité en celle de 20 ans de servitude pénale principale.<br />

<strong><u>Article 3 </u></strong><strong>:</strong><br />

Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue
 irrévocable au 23 octobre 2013, la réduction de 5 ans de la peine de 
servitude pénale inférieure ou égale à 20 ans mais supérieure à 5 ans.<br />

<div style="margin-left: 70.5pt;">
<strong><u>Article 4</u></strong> :      </div>
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue
 irrévocable au 23 octobre 2013, la réduction de 3 ans, de la peine de 
servitude pénale inférieure ou égale à 5 ans mais supérieure à 3 ans.<br />

<div style="margin-left: 70.5pt;">
<strong><u>Article 5</u></strong> :      </div>
Est accordée aux personnes condamnées par décision de justice devenue
 irrévocable au 23 octobre 2013, la  remise de la peine restant à subir 
égale ou inférieure à 3 ans.<br />

<div style="margin-left: 70.5pt;">
<strong><u>Article 6</u></strong> :      </div>
La commutation, la réduction et la remise des peines prévues aux articles 1<sup>er</sup>, 2, 3, 4 et 5 ci-dessus ne sont pas accordées :<br />

<ul>
<li>Aux personnes condamnées fugitives ou latitantes ;</li>
<li>Aux personnes condamnées pour :</li>
</ul>
<ul>
<li>Tentative et/ou infractions de violences sexuelles, corruption, 
concussion, détournement des deniers publics, assassinat, vol à mains 
armées, trahison, association des malfaiteurs ;</li>
<li>Atteinte à la sûreté intérieure ou extérieure de l’Etat,  détention
 illégale d’armes de guerre, et toute autre infraction contre l’autorité
 de l’Etat et l’intégrité du territoire, prescrite par les articles 195 à
 199 ter du Code pénal congolais ;</li>
<li>Tentative et/ou crime de guerre, , crime contre l’humanité et crime de génocide.</li>
</ul>
<div style="margin-left: 70.5pt;">
<strong><u>Article 7</u></strong> :      </div>
Le Ministre de la Justice et Droits Humains est chargé de l’exécution
 de la présente Ordonnance qui entre en vigueur à la date de sa 
signature.<br />

Fait à Kinshasa, le 23 octobre 2013<br />

<strong>Joseph KABILA KABANGE</strong><br />

<div align="center">
<strong>Pour copie certifiée conforme à l’original</strong></div>
<div align="center">
<strong>Le 23 octobre 2013</strong></div>
<div align="center">
<strong>Le Cabinet du Président de la République</strong></div>
<div align="center">
<strong>Gustave BEYA SIKU</strong></div>
<div align="center">
<strong>Directeur de Cabinet</strong></div>

$Voici l\'Ordonnance portant mesure collective de grâce présidentielle !$

la Nation Politique Voici l\'Ordonnance portant mesure collective de grâce présidentielle !

Par une Ordonnance n°13/108 du 23 octobre 2013 portant mesure collective de grâce, le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, voulant marquer et...

Viol, pillage, corruption, détournements: Joseph Kabila serre les boulons !

October 24, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.derniereminute.sn/wp-content/uploads/2013/04/Joseph-Kabila.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="" border="0" height="426" src="http://www.derniereminute.sn/wp-content/uploads/2013/04/Joseph-Kabila.jpg" style="height: 200px; width: 300px;" width="640" /></a></div>
Sans surprise, le Président de la République a 
annoncé la formation prochaine d’un Gouvernement de cohésion nationale, 
en réponse aux recommandations des Concertations Nationales. Joseph 
Kabila a fait cette annonce mercredi 23 octobre 2013,  dans son discours
 sur l’état de la Nation. Ce Gouvernement aura pour missions:  la 
restauration de la paix et de l’autorité nationale, la consolidation de 
la cohésion, la poursuite de la reconstruction nationale, l’appui à la 
décentralisation, l’organisation des élections et l’amélioration de 
conditions de vie de la population.<br />

Cette décision, prise conformément à la politique d’ouverture du 
Président de la République a pour but de cimenter la cohésion nationale.
 Dans ce même but, Joseph Kabila a pris un train de mesures portant sur 
la grâce présidentielle, la libération conditionnelle des prisonniers 
militaires après les civils, le rapatriement des dépouilles de Feu 
Président Mobutu et l’ancien premier Ministre Moïse Tshombe. D’autres 
mesures portent sur l’érection prochaine des monuments en mémoire des 
victimes de la guerre, mais aussi des instructions au Gouvernement pour 
accorder des facilités consulaires aux Congolais ayant acquis d’autres 
nationalités.<br />

Pour autant, le Président de la République a prévenu que la quête de 
la cohésion nationale ne rime pas avec l’impunité. De même a-t-il dit 
que sans la justice, la reconstruction escomptée serait factice. C’est 
ainsi que Joseph Kabila a annoncé des mesures contraignantes pour mettre
 fin à l’impunité, à la corruption, aux détournements des deniers 
publics et autres actes hypothéquant sa détermination et celle du 
 Gouvernement à améliorer les conditions de vie de la population.<br />

Pour l’armée et la police, le Chef de l’Etat a dit avoir instruit 
l’Auditeur Général de renforcer les enquêtes en vue de sanctionner les 
officiers auteurs d’exploitation illicite des ressources naturelles, de 
détournements de la solde des militaires et policiers ainsi que des 
armes et munitions. « Quand un officier a pour maître le drapeau et 
l’argent, le premier pâtit au profit du second», a dit Kabila en 
substance.<br />

Dans le même ordre d‘idée, le commandant suprême des FARDC et de la 
Police Nationale Congolaise a demandé aux différents groupes armés de 
déposer les armes et de se rendre avant d’y être contraints par la 
force. Tout en réitérant la détermination des FARDC d’en finir avec 
l’insécurité à l’Est, il a annoncé la nomination prochaine de son 
représentant qui sera chargé de la promotion de la lutte contre les 
violences sexuelles et le recrutement des enfants dans les groupes 
armés.<br />

Sur le même volet, le Président de la République a annoncé la fin de 
l’impunité contre les professionnels des rébellions. Il ne sera 
désormais plus question de réintégrer ni amnistier des récidivistes, 
a-t-il dit, faisant clairement allusion aux rebelles du M23.<br />

La même rigueur sera désormais dans la gestion de la chose publique. 
Ici aussi le Président de la République a annoncé la nomination d’un 
Conseiller spécial chargé d’assurer le monitoring de l’évolution du 
patrimoine, des cas de corruption et d’enrichissement illicite des 
responsables politiques, des hauts fonctionnaires, des cadres, des 
mandataires publics et agents de l’Etat. Il a aussi appelé à la prise de
 mesures juridiques élargissant l’obligation de déclaration des biens à 
tous les mandataires publics.<br />

Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, prévenu la répression, désormais, 
de tous ces actes et veiller personnellement à un choix judicieux des 
animateurs et dans l’application rigoureuse et systématique de la 
sanction pour mettre hors d’état de nuire tous les éléments susceptible 
d’hypothéquer notre détermination à améliorer la situation sociale des 
citoyens», a, en effet, prévenu le Président de la République.<br />

Les congolais, a poursuivi le Président de la République, ont le 
devoir de redonner au Congo ses lettres de noblesse. C’est ainsi qu’il 
les a convié à un nouveau départ, de cheminer dans une gouvernance 
démocratique. Pour changer le Congo, a-t-il dit, les congolais doivent 
d’abord changer eux-mêmes : changer la manière de vivre, de faire la 
politique de gérer l’Etat et de suivre la démocratie. Il a promis de 
suivre personnellement la mise en œuvre des 679 recommandations issues 
des recommandations nationales. Pour ce faire, il a annoncé la mise sur 
pieds, pour un mandat d’un an renouvelable autant de fois que de besoin,
 d’un comité national de suivi de la mise en œuvre des dites 
recommandations sous la même présidence. Ce comité organisera chaque 
année des  forums pour examiner des situations de conflits et formuler 
des recommandations pour leur résolution.<br />

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