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GESTION MALADROITE DES INCIDENTS DU 25 MARS A LODJA TIRS CROISÉS SUR NGOY KASANJI !

April 27, 2014

<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<strong>Ca vole bas au centre du pays ! A Lodja dans le Sankuru, la tension monte de plusieurs crans. Non en raison des violences du 25 mars 2014. Mais, à la suite de la gestion jugée maladroite de ces incidents. Au banc des accusés : Alphonse Ngoy Kasanji , gouverneur du Kasaï oriental. Réagissant à cette maldonne, un connaisseur des arcanes du Grand Kasaï place le curseur sur le hic du problème. A savoir le surdimensionnement des événements- à base somme toute corporatistes- de Lodja par l’autorité provinciale alors que l’espace kasaïen charrie quantité de conflits ethniques ou communautaires autrement plus dangereux. Conséquence de ce qui apparaît comme une " sur réaction", Lodja la cosmopolite voit ressurgir les conflits entre autochtones et allochtones. Un mauvais signal à l’heure de la cohésion nationale. Ce n’est pas tout. Connu pour être le nec plus ultra de la kabilie en pays tetela , Lodja risque de ne pas bien digérer politiquement les retombées de ce qui n’était au départ qu’un acte de banditisme comme toutes les villes du monde en connaissent .</strong></div>
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<strong>GESTION INCONSEQUENTE DES CONFLITS AU KASAI ORIENTAL</strong></div>
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br class="autobr" />
Le 25 mars 2014 un conflit au sein d’une association privée des Taxis- motos a dégénéré en des violences à la suite de l’intervention de la Police locale. Un acte de rébellion envers les forces de sécurité lors de cette intervention commis par un certain Oyombo, alias " Eketo " (Gorille) provoqua une fusillade au cours de laquelle il fut mortellement blessé par un policier après avoir brutalisé l’Administrateur du territoire et deux éléments des forces de l’ordre. La mort de Oyombo servira de prétexte à une bande de jeunes de la Communauté " Eswe " (gens de la savane, non originaire de Lodja) à laquelle il appartenait pour s’en prendre aux " Ekonda " (gens de la forêt originaires de Lodja) habitant le Quartier Okitandeke dont ils ont incendié volontairement 80 maisons et 2 écoles, ce qui provoquera des représailles d’une bande de jeunes "Ekonda" qui mirent le feu à 6 maisons et 1 école primaire propriétés des " Eswe ".<br />
Le Gouverneur du Kasaï Oriental, Alphonse Ngoy Kasanji, s’est rendu à Lodja le 31 mars. Dans une déclaration largement médiatisée faite dès son arrivée, il a attribué les incidents (mort de Oyombo et incendies) à " un conflit ethnique par des politiciens voulant diviser pour régner entre tetela de la forêt et tetela de la savane ".<br />
Cette affirmation est contestée par nombre d’originaires de Lodja qui ont rappellé dans des tracts que les incidents concernaient les jeunes motards et non " les communautés ethniques ", invitant le Gouverneur réputé proche des " Eswe " à plus d’objectivité. Furieux, l’irascible Ngoy Kasanji a, après une longue séance de travail, ordonné l’arrestation de Jacob Dimandja Elola, président de la mutuelle des notables de Lodja (Norelo). Motif : manque de respect envers l’autorité (pour avoir critiqué son intervention et ses positions jugées partisanes). Pour faire bonne figure, il fera aussi incarcérer le président de l’Union de Katako-kombe Lubefu à Lodja (Unikalu), Jean-Paul Omanyundu.<br />
Sans plus s’intéresser à l’auteur du coup de feu fatal et aux pyromanes qui avaient incendié des maisons de part et d’autre, Ngoy ramènera les deux notables ligotés comme des saucissons vers Mbuji-Mayi à bord de son avion. Il avait auparavant muté " par mesure disciplinaire " l’Administrateur de Territoire de Lodja, le Colonnel Commandant de la Police et le Chef des Renseignements Généraux. Quant au Chef de la Cité de Lodja et à celui du quartier Okitandeke, lieu des affrontements, tous deux originaires, ils ont été simplement limogés et remplacés par des non originaires. Pour étouffer le mécontentement prévisible de la population locale devant ces provocations, le Gouverneur a déployé des renforts militaires et policiers qui ont érigé des " road blocks " sur tous les axes d’entrée et de sortie à Lodja. Les passants sont quotidiennement rançonnés. Une panoplie de mesures musclées tout à fait inédite par rapport à des incidents similaires, voire plus graves, qui ont eu lieu à profusion au Kasaï-Oriental sans susciter un tel roulement de mécaniques institutionnelles et répressives du bouillant gouverneur.<br />
Fin janvier 2012, la section des affaires civiles de la Mission de la MONUSCO, a identifié plus d’une centaine de conflits communautaires dans la province du Kasai Oriental, dont certains remontaient à plus de 40 ans.<br />
Un atelier de deux jours organisé par la Monusco, avec la participation du gouvernement provincial du Kasai-Oriental et de la société civile avait conclu que ces déflagrations tiraient leurs origines des conflits fonciers, d’exploitation du commerce et des ressources naturelles ainsi que des querelles autour du pouvoir coutumier.<br />
Pour prendre les cas récents, à Katanda (District de Tshilenge) en 2007, une véritable guerre ethnique avait mis aux prises les Bena-Shimba d’une part et les Bena-Mwemba et Bena-Kupuya d’autre part. Bilan : 34 morts dont un bébé de 3 mois de coupé à la machette, plus de 400 maisons incendiées.<br />
En 2009, au Lac Mukamba (Kabeya-Kamwanga) les Bena-Kazadi et les Bena-Buka s’opposent aux populations " non originaires " de Dimbelenge. Bilan : 100 maisons brûlées, 6 morts, 45 blessés. Ces échauffourées seront suivies d’autres en 2010 (150 maisons brûlées, 60 blessés, 2 morts) puis en 2012 (86 maisons brûlées, 1 mort, 34 blessés).<br />
A Ngandajika, entre les Bena-Nzadi et les Bena-Kande, des affrontements interethniques ont éclaté en 2011 causant 3 morts à la suite d’un conflit pour la chefferie de Bakwa-Mulumba.<br />
A Kabinda, en 2010 un conflit entre Muyenge et Kelambo provoqua la mort de 5 personnes dont un policier et l’incendie de 400 maisons. Un an plus tard (2011) le conflit entre Minda et Ntungulu fera trois morts.<br />
Tout au long des années 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, jusqu’à ce jour, des affrontements récurrents entre Bena Kazadi, Bena Buka, ou encore entre autochtones de la région du Lac Mukamba et allochtones de Dimbelenge au Kasai Occidental voisin, ont occasionné mort d’hommes et incendies de centaines voire de milliers de maisons.<br />
Dans le territoire de Katako-Kombe, district du Sankuru, en 2011, un conflit entre Ahamba et Asambala a dégénéré, provoquant 2 morts et 200 maisons brûlées.<br />
Le 28 mars à Tshumbe (siège de l’évêché en territoire de Lubefu), deux jours après les événements de Lodja, la Révérende Soeur Charlotte Walo et un Monsieur Bruno Wandje ont été enlevés, battus et séquestrés de 14 heures à 20 heures par des personnes qui les prenaient faussement pour des " Ekonda ". Le lendemain, les logements de 2 étudiants de Kole ont été incendiés. Le 1er avril à Katako-Kombe, des malfrats ont enlevé et séquestré 4 commerçants, MM. Ndjovu Osombo, Konde Web, Osako Dimandja, Ngele Towoshi et leurs deux porteurs, tous originaires de Lodja en provenance de Kindu. Dépouillés de leurs marchandises, ligotés et lestés de pneus imbibés d’essence, les infortunés n’échapperont à la mort que grâce au Commandant de la PNC/Katako Kombe qui les a arrachés des mains de leurs bourreaux qui blessèrent grièvement le Commandant.<br />
Cette évocation des conflits "ethniques" ou "communautaires" dans la province administrée par Aiphonse Ngoy Kasanji est loin d’être exhaustive.<br />
De manière générale, la gestion de ces conflagrations par le Gouverneur a été caractérisée par une approche toute en nuance consistant à rapprocher les (vrais) protagonistes pour les encourager à vivre leur proximité dans la convivialité. Plusieurs rencontres intercommunautaires ainsi que des initiatives de reconstruction des infrastructures détruites et/ou d’indemnisation des victimes.<br />
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<strong>GRIEFS</strong><br />
Le manque total de sens de la mesure affiché par le Gouverneur face aux problèmes de même nature et de moindre intensité survenus à Lodja le 25 mars en a surpris plus d’un. Se comportant comme en pays ennemi et conquis,<br />
1. II a infligé une mutation-sanction à l’Administrateur de Territoire de Lodja qui avait eu le courage d’affronter les jeunes délinquants le 25 mars pour les calmer, se faisant même molester alors que son Collègue de Katako-Kombe resté indifférent au sort de six "Ekonda" menacés de mort le 1er avril au chef lieu de son territoire (il a même d’abord nié les faits sur Radio Okapi !) est resté à son poste<br />
2. Il a, après une séance de travail au cours de laquelle avait été critiqué ses propos partisans contre les " originaires " de Lodja, fait arrêter le président de la Mutualité des notables de Lodja (NORELO) le très respecté Jacob Dimandja, propriétaire de la Clinique Lokandoba qui était pourtant intervenu efficacement pour ramener le calme. Plus tard il l’accusera de lui avoir "manqué de respect " (!). Pour " faire équilibre " (sic !), il a fait aussi arrêter le chef de l’Association des notables de Katako-Kombe et Lubefu à Lodja " UNIKALU ", M. Jean-Paub Omanyondo. Les deux, ramenés " manu militari " à Mbuji-Mayi, ont été écroués sans aucune forme de procédure par un magistrat " aux ordres ". Curieusement, l’auteur présumé du coup de feu mortel, un policier (voir Réquisition n°125 du 26 mars 2014 du Procureur de la République de Lodja) et les auteurs présumés des incendies de part et d’autre dénoncés par la société civile locale n’ont pas été ramenés à Mbuji-Mayi par le Gouverneur.<br />
3. Il a limogé le Chef de Cité de Lodja pour " avoir envoyé un SMS au Ministre du gouvernement central Lambert MENDE ", sur les événements du 26 mars (comme si cela était un crime). Pour lui succéder, il imposera le secrétaire de la Cité, M. Polycarpe Oleko un originaire du territoire voisin de Katako-Kombe (une véritable provocation pour les originaires de Lodja) alors qu’il existe bien un Chef de Cité Adjoint Biaise Ekongola (originaire) qui devient ainsi l’adjoint de son ancien collaborateur pour être " né du mauvais coté " I<br />
4. Il a limogé le Chef de quartier Okitandeke, M. Mathieu Mpole, un originaire, que rien ne lie aux incidents ayant coûté la vie au sieur Oyombo (ii fut victime car sa mission a été incendiée) pour le remplacer par un M. Albert Longe (non originaire), confortant ainsi la campagne d’épuration de la bande à Oyombo qui avait annoncé sa détermination à "vider " ce quartier de Lodja de tous les originaires de Lodja qui y habitent ... Des attitudes qui sèment les germes des confrontations "communau-taires’<br />
5. Il a téléguidé la destitution illégale de l’Honorable Charles Pongo Dimandja (Elu PPRD de Lodj), Vice-Président de l’Assemblée Provinciale du Kasaï Oriental sans qu’il n’ait pu faire valoir ses droits de la défense (absent régulièrement excusé pour participation au congrès du PPRD de Mbandaka). Le véritable grief fait par le Gouverneur à l’élu de Lodja est d’avoir questionné publiquement la méthodologie subjective et erratique du N°1 du Kasaï Oriental sur les événements de Lodja.<br />
6. Il a multiplié les déclarations publiques largement médiatisées sur sa propre lecture des événements du 25 mars dernier à Lodja alors que l’affaire a été bel et bien prise en charge par les cours et tribunaux dans le but d’imposer une cause " politico-ethnique " à ces événements et obtenir ainsi l’affaiblissement politique de certains leaders qui gênent ses ambitions démesurées.<br />
<strong><br class="autobr" />MOTIVATIONS</strong><br />
Il n’y a plus beaucoup de doutes sur les motivations réelles qui poussent le Gouverneur Ngoy Kasanji à marcher sur le plus grand vivier électoral de la Majorité Présidentielle au Kasaï-Oriental qu’est Lodja avec le tact d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Deux hypothèses se juxtaposent : soit le diamantaire tente son va-tout pour imposer son petit parti, I’ACDD au-delà du bu-luba (district de Tshilenge) et qu’il considère pour cela le Sankuru comme un espace à conquérir en y affaiblissant la CCU de Mende et le PPRD représenté efficacement par le jeune député provincial Pongo Dimandja ; soit en politicien roué et retors, il exécute une sorte de " crime parfait " qui lui permettrait en même temps de jouir du pouvoir au sein de la Majorité jusqu’en 2016 tout en ménageant ses arrières auprès de son frère ethnique, l’opposant en Chef Etienne Tshisekedi, en démolissant avec zèle le premier vivier kabiliste du Kasaï Oriental qu’est le territoire de Lodja. Une troisième hypothèse reste plausible cependant : celle selon laquelle Alphonse Ngoy Kasanji ne réalise tout simplement pas les conséquences politiques de ses actes étourdis. Gustave KABEYA Analyste politique</div>
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Ca vole bas au centre du pays ! A Lodja dans le Sankuru, la tension monte de plusieurs crans. Non en raison des violences du 25 mars 2014. ...

Majorité Présidentielle : DPE/MP - COPEP/MP, Aubin Minaku frappe !

April 27, 2014

<br />
<h3>
<span style="font-size: large;">*Au terme d’une décision du Bureau Politique de la Majorité, plus d’une dizaine des  partis politiques membres de la DPE/MP   sont désormais suspendus,  pour une période de sept jours. Alors que la DPE/MP et COPEP/MP sont, elles-mêmes en tant que  plateformes, réseaux ou regroupements, invitées à disparaître. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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</span></h3>
<div>
Il semble que c’est  le début d’un nouveau feuilleton au sein de la famille Politique du Chef de l’Etat, M. Joseph Kabila. Ceci va certainement secouer l’arbre qui porte les abeilles dans la mesure où  la DPE/MP exigeait, par exemple, le départ de M. Aubin Minaku Ndjalandjoku de son piédestal.  Va-t-elle  se laisser   faire ? Telle est la grande question, dès lors que le Bureau politique interdit, par ailleurs,  l’existence de ces deux   groupes  au sein de la Majorité.   D’où, la cohésion interne, au bout de tout, risque d’aller de mal en pis.  Surtout si les frustrations  à l’origine de ces dissensions ne sont pas profondément conjurées, en engageant un vrai débat au sein de la Majorité.  Ci-après, découvrez la teneur de cette décision aux accents disciplinaires irrévocables.</div>
<div>
<br />
Le Bureau politique de la majorité présidentielle,<br />
Vu la charte de la Majorité Présidentielle, spécialement ses articles 11, 33 points 1à 3, 35 et 37, alinéa 3 ;<br />
<br />
Attendu que dans ses dernières orientations adressées aux cadres, chefs de partis politiques et Personnalités indépendantes de la Majorité Présidentielle réunis en date du 20 mars 2014, à Kingakati, l’autorité morale, veillant à l’unité d’action telle que déterminée à l’article. 10 de la charte, a insisté sur la proscription de toute initiative tendant à la formation de groupuscules au sein de sa famille politique ;<br />
<br />
Attendu qu’en date du 28 décembre 2013, une frange des partis politiques de la Majorité Présidentielle n’ayant pas d’élus au sein des assemblées délibérantes siégeant avec d’autres partis non signataires de la charte de la MP, s’est dotée d’une autre charte passée devant notaire et créant une plateforme dénommée « Dynamique des partis extraparlementaires de la Majorité Présidentielle », DPE/MP en sigle, en violation de la ligne de discipline tracée par notre charte ;<br />
<br />
Attendu, par ailleurs, qu’après la rencontre précitée de Kingakati, des partis politiques bien identifie de la DPE/MP a entrepris; par la voie des médias, une opération de sape contre la Majorité Présidentielle et quelques-uns de ses organes dirigeants ;<br />
<br />
Attendu aussi qu’a cause de l’annonce, au cours de la même audience de Kingakati, de la formation imminente d’un gouvernement de cohésion nationale, d’autres partis politiques non membres de la DPE/MP, mais déclarés membres de la COPEP/MP, ont également verse dans une grande agitation contraire à l’aspiration de cohésion nationale lancée devant la nation par l’autorité morale de la Majorité Présidentielle ;<br />
<br />
Attendu qu’au regard des actions sus décrites imputées aux chefs des partis signataires de la charte de la Majorité Présidentielle et n’ayant pas d’élus au sein des assemblées délibérantes, le secrétaire général, saisi par les dénonciations des uns contre les autres, a, en application de l’article 37 alinéa 2 de la charte, institué, par sa décision n° 001 du avril 2014, une commission de discipline chargée d’enquêter sur l’existence des réseaux extraparlementaires au sein de la Majorité Présidentielle et leurs activités ;<br />
<br />
Attendu qu’au cours des travaux de la commission, seuls les chefs des partis de la COPEP/MP ont accepte de comparaître devant die et d’y défendre conformément à la charte le point de vue de leur groupe, ceux de la DPE/MP ayant dénié au secrétaire général le pouvoir d’instituer une commission de discipline ;<br />
<br />
Attendu que dans ce même contexte, les chefs des partis de la DPE/MP ont choisi délibérément de porter leur contestation sur la place publique et y ont exprimé, contrairement à la charte, leur invitation adressée à l’Autorité Morale demandant à ce dernier de former avec eux une commission spéciale de réconciliation et composition amiable devant laquelle serait traitée la question de la destitution du Secrétaire Général actuellement en fonction ;<br />
<br />
Que dans ce même élan, ils ne se sont pas gardés d’adresser au PPRD une correspondance par laquelle us ont demandé à son Secrétaire Général de proposer à l’Autorité Morale de nommer un Secrétaire Général de la Majorité Présidentielle autre que l’actuel ;<br />
<br />
Attendu qu’il ressort du rapport de la commission que les membres de la DPE/MP et de la COPEP/MP se sont rendus, chaque groupe de son côté, coupables de plusieurs manquements disciplinaires prévus à l’article 35 de la charte, mais de gravité différente ;<br />
<br />
Qu’à charge du premier groupe, la Commission a, grosso modo, retenu des actes divers de déloyauté envers l’Autorité Morale, contraire à la vision de ce dernier ainsi qu’aux dispositions de la charte ;<br />
<br />
Qu’après analyse, les actions des membres de la DPE/MP découlaient d’une tendance à la vengeance liée aussi bien à la non participation de plusieurs d’entre eux à l’audience précitée de Kingakati, qu’à l’idée de n’être pas « soigné » alors qu’ils avaient, en 2011, battu campagne pour l’Autorité Morale;<br />
<br />
Qu’a charge du deuxième groupe, la commission a relevé une l’une de positionnement aussi contraire à l’idéal de cohésion :<br />
<br />
Vu l’urgence et la nécessité,<br />
<br />
<b>DECIDE :</b><br />
<br />
Article 1er : Est proscrite, au sein de la Majorité Présidentielle, à dater de ce jour, l’existence de tout réseau, regroupement ou plateforme des partis politiques, sauf autorisation expresse de l’Autorité Morale ou du Bureau Politique,<br />
<br />
Article 2: L’adhésion d’un membre signataire de la charte aux Statuts d’un regroupement de partis non membres de la Majorité Présidentielle est passible de sanction disciplinaire conformément à la charte.<br />
<br />
Article 3: Les partis signataires de la charte de la DPE/MP sont suspendus en tant que membres de la Majorité Présidentielle pour une période de 7 jours à dater de la publication ou de la notification de la présente décision.<br />
<br />
Pendant ce délai, il est attendu de chaque parti politique suspendu, un acte individuel adressé au secrétaire général portant réaffirmation de sa loyauté envers l’autorité morale et de son appartenance à la Majorité Présidentielle.<br />
<br />
Endéans le même délai, il est attendu de tous les partis politiques suspendus un acte collectif de dissolution de la DPE/MP, à défaut de quoi us sont exclus d’office de la Majorité Présidentielle.<br />
<br />
Article 4 : Le Secrétaire Général Adjoint est chargé de l’exécution de la présente décision qui entre en vigueur à la date de sa signature.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 25 avril 2014<br />
<br />
Pour le Bureau Politique<br />
Le Secrétaire Général</div>
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Le direct
        
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Politique Majorité Présidentielle : DPE/MP - COPEP/MP, Aubin Minaku frappe !

*Au terme d’une décision du Bureau Politique de la Majorité, plus d’une dizaine des partis politiques membres de la DPE/MP sont désor...

CENI : Fayulu se relance contre Malumalu !

April 26, 2014

<h3 style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Initiée depuis le 17 février 2014, la pétition du Député national Martin Fayulu lancée contre l’Abbé Apollinaire Malumalu, Président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), a été déposée,  le jeudi 24 avril dernier auprès du Président du Bureau de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku. Mais, seulement, nombre d’observateurs se posent des questions sur  l’avenir de cette pétition ou encore son effet réel sur la marche de la CENI.</h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Après deux mois et quelques jours de collecte de signatures auprès des populations, la plateforme «Sauvons la RDC» qui compte en son sein, des membres de l’opposition politique (FAC, UNC et Consorts) et de la Société civile n’ont pu atteindre le seul constitutionnel. C’est-à-dire, la barre de cent mille signatures exigées par la loi fondamentale. Par contre, les pétitionnaires ont, la semaine dernière, déposé sur la table du Speaker de la Chambre basse du Parlement, un tas de fascicules comportant 51. 192 signatures. Le Coordonateur des FAC et  initiateur de cette action,  avait expliqué au Président de l’Assemblée nationale qu’ils avaient réunis officiellement 54.192 signatures mais 51.192 ont été remises physiquement à cette autorité. Estimant que les trois autres signatures ont été emportées par les policiers. De façon tout à fait constitutionnelle, la démarche de ce groupe  de congolais tient la route. Puisque cette loi mère garantit  à un groupe d’individus organisé le droit d’initier une pétition, il va de soi que Fayulu relance  cette démarche. Sur ce point, il n’y a aucun débat ! Mais là où le <strong>bat </strong>blesse c’est dans la sphère politique. Par de  simples postulats, l’on croit savoir que la démarche de Martin Fayulu Madidi semble être vaine,  au regard non seulement de la composition des tendances politiques de l’Assemblée nationale, mais aussi des prérogatives qui lui sont dévolues. Le Parlement ne peut s’ingérer dans le fonctionnement d’une institution indépendante comme la CENI. Celle-ci n’est responsable devant le Parlement que sur le plan budgétaire, puisque le Parlement étant constitutionnellement l’autorité budgétaire des autres institutions. Et, s’il faut y réfléchir par l’absurde, c’est-à-dire, même si la fameuse pétition parvenait à filtrer toutes les voies légales qui lui bloquent le chemin, elle finira par se heurter contre la voie des Députés de la Majorité présidentielle. Cela est un secret pour personne que ces Députés-là ont montré leur inconditionnel soutien à ce Président de la CENI qui, malgré l’opposition de son église, avait pu faire un passage en force, pour réussir son come-back à la tête de cette institution d’appui à la démocratie.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Pétition pour rire ?</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Est-ce Fayulu voulait-il simplement goûter aux délices de la démocratie en initiant son action ? Certaines langues sont celles qui croient  que cet élu de la circonscription électorale de la Lukunga voulait jouer au «m’as-tu vu». Il voulait faire du populisme pour augmenter son aura et, ainsi, séduire davantage son électorat. D’autres échos qui échappent des couloirs du Palais chinois de Lingwala laissent entendre que ce  Député national de l’opposition voulait s’inscrire positivement dans l’histoire démocratique du pays. Et que la suite qu’il accordait à sa pétition importerait peu. De ce fait, d’aucuns pensent qu’elle n’allait avoir aucune incidence sur  le train-train de Malumalu. Puisque pour le déboulonner, il faut que ceux qui l’ont soutenu à ce poste puisse  le défénestrer. Or, il n’en est pas encore le cas,  pour l’instant.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Dido Nsapu</strong></div>
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<br />
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Politique CENI : Fayulu se relance contre Malumalu !

Initiée depuis le 17 février 2014, la pétition du Député national Martin Fayulu lancée contre l’Abbé Apollinaire Malumalu, Président de la ...

Majorité Présidentielle : DPE/MP - COPEP/MP, Aubin Minaku frappe !

April 26, 2014

<h3>
*Au terme d’une décision du Bureau Politique de la Majorité, plus d’une dizaine des  partis politiques membres de la DPE/MP   sont désormais suspendus,  pour une période de sept jours. Alors que la DPE/MP et COPEP/MP sont, elles-mêmes en tant que  plateformes, réseaux ou regroupements, invitées à disparaître. Il semble que c’est  le début d’un nouveau feuilleton au sein de la famille Politique du Chef de l’Etat, M. Joseph Kabila.

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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</h3>
<div align="right">
<br /></div>
<div align="right">
Ceci va certainement secouer l’arbre qui porte les abeilles dans la mesure où  la DPE/MP exigeait, par exemple, le départ de M. Aubin Minaku Ndjalandjoku de son piédestal.  Va-t-elle  se laisser   faire ? Telle est la grande question, dès lors que le Bureau politique interdit, par ailleurs,  l’existence de ces deux   groupes  au sein de la Majorité.   D’où, la cohésion interne, au bout de tout, risque d’aller de mal en pis.  Surtout si les frustrations  à l’origine de ces dissensions ne sont pas profondément conjurées, en engageant un vrai débat au sein de la Majorité.  Ci-après, découvrez la teneur de cette décision aux accents disciplinaires irrévocables.  <br />
<br />
Le Bureau politique de la majorité présidentielle,<br />
Vu la charte de la Majorité Présidentielle, spécialement ses articles 11, 33 points 1à 3, 35 et 37, alinéa 3 ;<br />
<br />
Attendu que dans ses dernières orientations adressées aux cadres, chefs de partis politiques et Personnalités indépendantes de la Majorité Présidentielle réunis en date du 20 mars 2014, à Kingakati, l’autorité morale, veillant à l’unité d’action telle que déterminée à l’article. 10 de la charte, a insisté sur la proscription de toute initiative tendant à la formation de groupuscules au sein de sa famille politique ;<br />
<br />
Attendu qu’en date du 28 décembre 2013, une frange des partis politiques de la Majorité Présidentielle n’ayant pas d’élus au sein des assemblées délibérantes siégeant avec d’autres partis non signataires de la charte de la MP, s’est dotée d’une autre charte passée devant notaire et créant une plateforme dénommée « Dynamique des partis extraparlementaires de la Majorité Présidentielle », DPE/MP en sigle, en violation de la ligne de discipline tracée par notre charte ;<br />
<br />
Attendu, par ailleurs, qu’après la rencontre précitée de Kingakati, des partis politiques bien identifie de la DPE/MP a entrepris; par la voie des médias, une opération de sape contre la Majorité Présidentielle et quelques-uns de ses organes dirigeants ;<br />
<br />
Attendu aussi qu’a cause de l’annonce, au cours de la même audience de Kingakati, de la formation imminente d’un gouvernement de cohésion nationale, d’autres partis politiques non membres de la DPE/MP, mais déclarés membres de la COPEP/MP, ont également verse dans une grande agitation contraire à l’aspiration de cohésion nationale lancée devant la nation par l’autorité morale de la Majorité Présidentielle ;<br />
<br />
Attendu qu’au regard des actions sus décrites imputées aux chefs des partis signataires de la charte de la Majorité Présidentielle et n’ayant pas d’élus au sein des assemblées délibérantes, le secrétaire général, saisi par les dénonciations des uns contre les autres, a, en application de l’article 37 alinéa 2 de la charte, institué, par sa décision n° 001 du avril 2014, une commission de discipline chargée d’enquêter sur l’existence des réseaux extraparlementaires au sein de la Majorité Présidentielle et leurs activités ;<br />
<br />
Attendu qu’au cours des travaux de la commission, seuls les chefs des partis de la COPEP/MP ont accepte de comparaître devant die et d’y défendre conformément à la charte le point de vue de leur groupe, ceux de la DPE/MP ayant dénié au secrétaire général le pouvoir d’instituer une commission de discipline ;<br />
<br />
Attendu que dans ce même contexte, les chefs des partis de la DPE/MP ont choisi délibérément de porter leur contestation sur la place publique et y ont exprimé, contrairement à la charte, leur invitation adressée à l’Autorité Morale demandant à ce dernier de former avec eux une commission spéciale de réconciliation et composition amiable devant laquelle serait traitée la question de la destitution du Secrétaire Général actuellement en fonction ;<br />
<br />
Que dans ce même élan, ils ne se sont pas gardés d’adresser au PPRD une correspondance par laquelle us ont demandé à son Secrétaire Général de proposer à l’Autorité Morale de nommer un Secrétaire Général de la Majorité Présidentielle autre que l’actuel ;<br />
<br />
Attendu qu’il ressort du rapport de la commission que les membres de la DPE/MP et de la COPEP/MP se sont rendus, chaque groupe de son côté, coupables de plusieurs manquements disciplinaires prévus à l’article 35 de la charte, mais de gravité différente ;<br />
<br />
Qu’à charge du premier groupe, la Commission a, grosso modo, retenu des actes divers de déloyauté envers l’Autorité Morale, contraire à la vision de ce dernier ainsi qu’aux dispositions de la charte ;<br />
<br />
Qu’après analyse, les actions des membres de la DPE/MP découlaient d’une tendance à la vengeance liée aussi bien à la non participation de plusieurs d’entre eux à l’audience précitée de Kingakati, qu’à l’idée de n’être pas « soigné » alors qu’ils avaient, en 2011, battu campagne pour l’Autorité Morale;<br />
<br />
Qu’a charge du deuxième groupe, la commission a relevé une l’une de positionnement aussi contraire à l’idéal de cohésion :<br />
<br />
Vu l’urgence et la nécessité,<br />
<br />
DECIDE :<br />
<br />
Article 1er : Est proscrite, au sein de la Majorité Présidentielle, à dater de ce jour, l’existence de tout réseau, regroupement ou plateforme des partis politiques, sauf autorisation expresse de l’Autorité Morale ou du Bureau Politique,<br />
<br />
Article 2: L’adhésion d’un membre signataire de la charte aux Statuts d’un regroupement de partis non membres de la Majorité Présidentielle est passible de sanction disciplinaire conformément à la charte.<br />
<br />
Article 3: Les partis signataires de la charte de la DPE/MP sont suspendus en tant que membres de la Majorité Présidentielle pour une période de 7 jours à dater de la publication ou de la notification de la présente décision.<br />
<br />
Pendant ce délai, il est attendu de chaque parti politique suspendu, un acte individuel adressé au secrétaire général portant réaffirmation de sa loyauté envers l’autorité morale et de son appartenance à la Majorité Présidentielle.<br />
<br />
Endéans le même délai, il est attendu de tous les partis politiques suspendus un acte collectif de dissolution de la DPE/MP, à défaut de quoi us sont exclus d’office de la Majorité Présidentielle.<br />
<br />
Article 4 : Le Secrétaire Général Adjoint est chargé de l’exécution de la présente décision qui entre en vigueur à la date de sa signature.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 25 avril 2014<br />
<br />
Pour le Bureau Politique<br />
Le Secrétaire Généra<strong style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px;">l</strong></div>
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Politique Majorité Présidentielle : DPE/MP - COPEP/MP, Aubin Minaku frappe !

*Au terme d’une décision du Bureau Politique de la Majorité, plus d’une dizaine des partis politiques membres de la DPE/MP sont désormai...

Elections et respect de la Constitution : Kinshasa, John Kerry arrive !

April 26, 2014

<h3>
*D’une pierre, trois coups, dit-on.  Le Secrétaire d’Etat américain effectue, à partir du 29 avril au 5 mai 2014, une tournée africaine. Il se rendra successivement à Addis-Abeba, Kinshasa et à Luanda. Dans un communiqué parvenu ce week-end à La Prospérité, il est mentionné qu’à l’étape de Kinshasa, John Kerry rencontrera notamment,  le Président Kabila,  pour voir dans quelle mesure la démocratisation et la stabilité de la RD. Congo peuvent être davantage encouragées, tout  en s’assurant que les élections à venir seront crédibles et organisées en temps opportun, dans le respect de la Constitution actuelle. Le Secrétaire d'Etat félicitera, par ailleurs,  le gouvernement de la RDC,  pour des  progrès accomplis à l'égard de la neutralisation d'une partie de la douzaine de groupes armés dangereux qui s'en prennent, spécialement, contre le  peuple congolais.</h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<span style="font-size: x-large;"><u>Communiqué de Presse</u></span><br />
<br />
Le Secrétaire d'Etat John Kerry visitera Addis-Abeba (Ethiopie), Kinshasa (République démocratique du Congo) et Luanda (Angola) du 29 avril au 5 mai pour encourager le développement démocratique, promouvoir le respect des droits humains, faire progresser la paix et la sécurité, et consulter la société civile et les jeunes leaders africains qui façonneront l'avenir du continent et s'attèleront à la promotion du commerce, des investissements et des partenariats de développement en Afrique.<br />
<br />
La tournée du Secrétaire d'Etat mettra aussi l'accent sur l'investissement multiforme des Etats-Unis dans le Plan présidentiel d'urgence de lutte contre le SIDA (PEPFAR).<br />
<br />
A Addis-Abeba, le Secrétaire d'Etat Kerry convoquera conjointement la Quatrième Session du Dialogue de haut niveau des Etats-Unis et de l'Union Africaine et examinera un ensemble de questions qui sont au cœur même de notre partenariat avec cette organisation. Le Secrétaire d'Etat Kerry s'entretiendra avec le Premier Ministre Hailemariam Desalegn et le Ministre des Affaires Etrangères Tedros Adhanom au sujet des efforts nécessaires pour faire avancer la paix et la démocratie dans la région, et renforcer les domaines importants de coopération bilatérale avec l'Ethiopie.<br />
<br />
A Kinshasa, le Secrétaire d'Etat rencontrera le Président Kabila pour voir dans quelle mesure la démocratisation et la stabilité de la République démocratique du Congo peuvent être davantage encouragées en assurant que les élections à venir seront crédibles et organisées en temps opportun, dans le respect de la Constitution actuelle. Le Secrétaire d'Etat félicitera le gouvernement de la RDC pour les progrès accomplis à l'égard de la neutralisation d'une partie des douzaines de groupes armés dangereux qui s'en prennent au peuple congolais.<br />
<br />
A Luanda, le Secrétaire d'Etat félicitera le Président José Eduardo dos Santos pour le leadership de l'Angola à la tête de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) et encouragera la participation personnelle soutenue du Président au processus de paix dans les Grands Lacs.<br />
Le Secrétaire d'Etat Kerry sera par ailleurs accompagné par la Secrétaire d'Etat adjointe aux affaires africaines, Linda Thomas-Greenfield, l'Envoyé spécial pour la région des Grands Lacs et la République démocratique du Congo, Russell Feingold, et l'Ambassadrice itinérante chargée de la condition féminine dans le monde, Catherine Russell.

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*D’une pierre, trois coups, dit-on. Le Secrétaire d’Etat américain effectue, à partir du 29 avril au 5 mai 2014, une tournée africaine. I...

45 ans d'existence de Zaiko Langa Langa : Nyoka Longo invite tous les anciens pour un grand concert

April 26, 2014

<h3>
Il sied de rappeler ici que Zaiko Langa-Langa est le seul groupe à totaliser 45 ans d'existence à travers ses œuvres et danses parmi tous les orchestres de la République démocratique du Congo.
</h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj-CdJeEP6w38_fNWBJeOZkRBm6aBFbhJIsatNLgoQDYT7aGkE7Ac4yV2UM1RUca8QE2siT-Ggv7Acb7sxP-BvJJaI4MMf28ofVaOBhm7D9ayc0Ph39ztENc3BupybUQOTmTT2OA4wbRDX/s1600/nyokalongo_rtm.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj-CdJeEP6w38_fNWBJeOZkRBm6aBFbhJIsatNLgoQDYT7aGkE7Ac4yV2UM1RUca8QE2siT-Ggv7Acb7sxP-BvJJaI4MMf28ofVaOBhm7D9ayc0Ph39ztENc3BupybUQOTmTT2OA4wbRDX/s1600/nyokalongo_rtm.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjj-CdJeEP6w38_fNWBJeOZkRBm6aBFbhJIsatNLgoQDYT7aGkE7Ac4yV2UM1RUca8QE2siT-Ggv7Acb7sxP-BvJJaI4MMf28ofVaOBhm7D9ayc0Ph39ztENc3BupybUQOTmTT2OA4wbRDX/s1600/nyokalongo_rtm.jpg" width="362" /></a></div>
<h3>
Parmi ces anciens encore vivants figurent entre autres papa Wemba et Pepe Féli Manuakuwaku avec qui Nyoka Longo a débuté avec les premiers jours du groupe en 1969 sous la direction de DV Muanda en sa qualité de co-fondateur du groupe Zaiko Langa-Langa.</h3>
<br />
A ceux là s'ajoutent, le grand  père Bozi Boziana, Gina Efonge, Evoloko Joker et bien d'autres artistes musiciens qui ont fait la pluie et le beau temps au sein de ce groupe.<br />
<br />
Notons par ailleurs que Zaiko Langa-Langa est un groupe qui a connu beaucoup de mouvements, des vents et marées qui n'ont pas empêché Nyoka Longo de rester comme le seul responsable attitré de ce groupe car ayant résisté à tous ces mouvements.<br />
<br />
Zaiko est un groupe qui a opéré une cassure entre le tempo animé par les groupes d'antan comme le Tout Puissant OK Jazz de Franco Luambo Makiadi et African Jazz de Grand Kallé, les seuls groupes  qui servaient de référence dans la  musique congolaise.<br />
<br />
Ces jeunes gens de Zaiko  sont arrivés par casser cet élan bien que se déclarant partisans du rythme  de l'African Jazz, Zaiko est venu avec un tempo révolutionnaire.<br />
<br />
Mis à part ce volet précis, Jossar Nyoka Longo qui a le vent en poupe ces derniers temps avec la danse " Moellon " s'est produit le 19 avril 2014 à l'Extrême dans le cadre du 44ième anniversaire du règne du groupe et à cette occasion, il a honoré tous les anciens du groupe qui ont quitté cette terre des hommes.<br />
<br />
Il s'agit notamment de DV Muanda, André Bimi Ombale, Ilo Pablo, Mbuta Mashakado,  Hénoch Zamuangana, Dindo Yogo, Matima, Teddy Sukami, Lengi Lenga dit ya Lengos, Likinga Redo, Benjamin Kumu et le journaliste Lusadisu de la RTNC alors OZRT. Celui-ci s'est beaucoup investi pour propulser le groupe.<br />
<br />
Rappelons aussi que c'est en 1970 que le groupe Zaiko Langalanga s'est produit pour la première fois, c'était chez Hawaï bar au quartier Yolo dans la commune de Kalamu.<br />
<br />
En ce qui concerne sa propre carrière, le président Nyoch a indiqué qu'il est en train de préparer son deuxième album qui devra succéder à l'album " avis de recherche " réalisé de puis 1994 et qui avait en son temps connu un franc succès.<br />
<br />
Pathou Kinzala Nkuka

Musique 45 ans d'existence de Zaiko Langa Langa : Nyoka Longo invite tous les anciens pour un grand concert

Il sied de rappeler ici que Zaiko Langa-Langa est le seul groupe à totaliser 45 ans d'existence à travers ses œuvres et danses parmi to...

Expulsions des RD-Congolais de Brazzaville : La VSV très indignée et préoccupée !

April 26, 2014

<h3>
*Dans un communiqué de presse, la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) exprime son indignation et demeure vivement préoccupée par la poursuite des expulsions massives, opérées dans les conditions infrahumaines, des centaines des ressortissants de la RDC du Congo/Brazzaville dont la nouvelle vague en date est celle du mardi 22 avril 2014, et ce, malgré les négociations entamées par Kinshasa et Brazzaville, en vue de mettre un terme à ces actes de barbaries. Ci-après, l’intégralité du communiqué de la VSV y relatif.

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYrc6OK86JcH1x4jbLnZxXOCmKdUk3O4jH22jAZLtAIr7SkaAZnZk_1IuRKE_CYSvv-w-7HmPK6HP7nwIuQ7Ui1_dgCBSTfnMHzkAUTIDWihPXPSqYxHLI50sQl5wHTDOOyQ7l789t_apT/s1600/Fleuve-3.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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</h3>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>La VSV pour la cessation des expulsions massives et barbares des RD Congolais du Congo/Brazzaville</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) exprime son indignation et demeure vivement préoccupée par la poursuite des expulsions massives, opérées dans les conditions infrahumaines, des centaines des ressortissants de la République Démocratique du Congo (RDC) du Congo/Brazzaville dont la nouvelle vague en date est celle du mardi 22 avril 2014, et ce, malgré les négociations entamées par Kinshasa et Brazzaville, en vue de mettre un terme à ces actes de barbaries.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
En effet, la mise en exécution de l’opération «Mbata ya Mukolo» déclenchée par Congo/Brazzaville est à l’origine des vagues d’expulsion de plusieurs RD. Congolais du sol Brazzavillois. Des informations parvenues à la VSV font état des traitements cruels, inhumains ou dégradants qui auraient même occasionné la mort d’hommes et des blessés.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Il convient en outre de relever que les expulsions du mardi 22 avril 2014 ont été accompagnées de viols, extorsions des biens et brimades infligées aux victimes de l’opération sus évoquée ayant causé des traumatismes et préjudices graves à ces dernières et suscité l’indignation et la déception au sein de l’opinion publique RD. Congolaise.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Selon, les témoignages des victimes, certains ressortissants RD. Congolais bien qu’en possession des titres de séjour régulier à Brazzaville n’ont pas été épargnés de mauvais traitements au cours des expulsions barbares, alors que les Autorités brazzavilloises ont déclaré que cette action qui s’inscrivait dans le cadre de l’opération dénommée « Mbata Ya Mukolo » visait essentiellement des étrangers en séjour irrégulier qui semaient l’insécurité dans la ville de Brazzaville  et dans certains quartiers.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Tout en reconnaissant à la République du Congo le droit d’expulser de son territoire tout étranger en séjour irrégulier ou pour des raisons sécuritaires, la VSV craint cependant que ces multiples expulsions menées au mépris du respect des droits humains en général et de la dignité humaine en particulier, compromettent les relations de bon voisinage et de fraternité ainsi que les liens de consanguinité existant entre les peuples de deux pays dont les capitales sont les plus rapprochées du monde.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Eu égard à ce qui précède, la VSV fustige avec véhémence les atrocités dont les ressortissants RD. Congolais sont victimes de la part des autorités de la République du Congo et exige :</div>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong>Aux autorités de la RD. </strong><strong>Congo :</strong></li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>La mise en place des mécanismes efficients pour mettre fin aux atrocités et expulsions barbares dont les ressortissants sont victimes ;</li>
<li>La prise en charge effective et l’encadrement de toutes les victimes ;</li>
<li>La mise en œuvre des mesures sécuritaires et humanitaires d’encadrement aux frontières de deux Etats.</li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li><strong>Aux Autorités Congo/Brazzaville</strong></li>
</ul>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>La cessation immédiate et sans délai de toutes les atrocités et expulsions sauvages infligés aux ressortissants RD. Congolais ;</li>
<li>Le respect de la dignité inhérente à la personne humaine et des instruments juridiques régionaux et internationaux en matière des droits humains ;</li>
<li>Le respect de la Convention signée à Luanda, République d’Angola, en décembre 1999, relative à la libre circulation des personnes et des biens ;</li>
<li>Le respect des mesures sécuritaires prises, à l’issue des échanges entre la délégation RD. Congolaise et les Autorités brazzavilloises pour mettre fin aux expulsions barbares des RD. Congolais du Congo/Brazza.</li>
</ul>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Fait à Kinshasa, le 23 avril 2014</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12.727272033691406px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV)</strong></div>
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<br />
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Au tour de Kinshasa la Nation Expulsions des RD-Congolais de Brazzaville : La VSV très indignée et préoccupée !

*Dans un communiqué de presse, la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) exprime son indignation et demeure vivement préoccup...

CONTROVERSE AUTOUR DE L’AGRESSION D’UN DÉPUTÉ BOMA : UN RAPPORT COUPE-GORGE CONTRE PHOBA

April 25, 2014

<h3>
* Pourquoi l’honorable Adrien Phoba a conjugué tous les efforts pour échapper à la prise en charge sécuritaire locale lui offerte régulièrement ? s’interrogent avec beaucoup d’à propos les membres du Conseil urbain de sécurité.<br />L’agression du député Adrien Phoba. C’est cette affaire qui continue à alimenter la chronique dans les salons huppés de la ville de Boma, au Bas-Congo. Hommes, femmes, jeunes et vieux habitant cette ville portuaire ne cessent de s’interroger sur l’origine des maladresses affichées ce dernier temps par leur élu.

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-Yt-kFdzA3dwlFbZtyg0vHRdmgrsbffrP_IZaxBCustHi3JZ6uIRcYwLIIrvCKXnm_Uens_wJSU0mk5QabE_YjDlv3MdICJArCKn6CeGGk96J9ZVHft0t2j4LOQBp3h8a2mYiIJyKxjzD/s1600/ppp.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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</h3>
<br />
Le rapport circonstancié sur l’agression du député national Adrien Phoba à Boma qui a sanctionné la réunion du Conseil urbain de sécurité du 25 février 2014, présidée par Mme le Maire Josée Ntongo, détaille pratiquement les circonstances de ces incidents. Dans ce même document, " l’agression du député Phoba a été commanditée par son état-major, mécontent de la détention d’un des leurs, M Séraphin Luzolo abandonné à son triste sort par l’honorable Adrien ".<br />
Le rapport circonstancié est plus précis : "la stratégie de cet élu consistait à contourner et se méfier de la sécurité mise à sa disposition par l’autorité locale jusqu’à s’exposer auprès des inconnus parmi la population ". Sur toute la ligne, ce rapport d’au moins six feuillets met à nu le mauvais projet de société mieux encore la stratégie pour ce député de sortir des oubliettes politiques en recrutant des marginaux pour s’attaquer à lui et de faire endosser les responsabilités au pouvoir en place via l’autorité locale.<br />
Le même rapport circonstancié sur l’agression du député Adrien Phoba met l’accent sur la présence des deux tracts qui ont circulé dans la ville de Boma, la veille de l’arrivée de cet élu dans son fief. " Du mercredi 12 au jeudi 13 février 2014, des tracts ont été disséminés à travers la ville en deux textes différents dont le premier interdisait à l’honorable Adrien Phoba de prendre la parole à Boma tant qu’il ne fera pas au préalable libérer M Séraphin Luzolo détenu par les services à Kinshasa depuis le 03 septembre 2013. Le 2ème tract portant la signature de Bana Boma rappelait à l’honorable Adrien Phoba leur colère contre lui du fait d’avoir abandonné M Séraphin Luzolo à son triste sort et son refus d’écouter la famille de l’infortuné qui cherchait en vain de l’approcher. Ce message lui aussi fait remarquer son esprit démagogique de nature à défavoriser le développement de la ville et troubler la paix sociale en prenant soin de mettre sa famille à l’abri en Europe ", explique le rapport circonstancier sur l’agression du député Adrien Phoba.<br />
Selon ce rapport qui accable l’élu de Boma, la diffusion de ces deux tracts a été perçue par certains analystes avertis comme une stratégie pour ce député national de sortir des oubliettes politiques en recrutant des marginaux pour s’attaquer à lui et se faire du succès politique et de faire endosser les responsabilités au pouvoir en place via l’autorité locale. " Au regard de tout ce qui précède, souligne le même rapport, le Maire a instruit la Police nationale congolaise et les services pour des dispositions pratiques habituelles à prendre. Cependant pour des raisons non élucidées, son arrivée initialement prévue le 15/02/2014 a été reportée à une date ultérieure. Le jeudi 20/02/2014, l’état-major de l’honorable Adrien Phoba est allé déposer auprès du bourgmestre de la commune de Kalamu une lettre annonçant la tenue le samedi 22 février 2014 du meeting par son leader à l’esplanade de la commune de Kalamu. Malheureusement cet emplacement était déjà sollicité par la Bralima pour la période du 21 février au 31 mars 2014. Malheureusement, la copie réservée au Maire n’a pas été déposée ", explique le même document de la réunion du Conseil urbain de sécurité. FDA<br />
<br />
RAPPORT CIRCONSTANCIÉ SUR L’AGRESSION DU DÉPUTÉ NATIONAL ADRIEN PHOBA <br />
Il s’est tenu ce samedi 22/ 2/2014 à partir de 18 heures au bureau de travail de Madame le Maire de Boma la réunion du Conseil Urbain Restreint de Sécurité dont liste des membres en annexe. Ordre du jour : Examen de la situation sur l’agression du Député national Adrien Phoba par la population au Rond Point Boma II. Pour mieux cerner la situation, le Conseil Urbain a commencé par retracer la genèse de cet événement de la manière suivante :<br />
I. Du mercredi 12 au jeudi 13/2/2014 : des tracts ont été disséminés à travers la ville en 2 textes différents dont le premier interdisait à l’Honorable Adrien Phoba de prendre la parole à Boma tant qu’il ne fera pas au préalable libérer Monsieur Séraphin Luzolo détenu par les services à Kinshasa depuis le 03/09/20 13.<br />
Pour rappel, Monsieur Séraphin Luzolo a été appréhendé par les services pour avoir tenté de corrompre le Chef de Poste de l’ANR de la commune de Nzadi pour obtenir une convocation au nom de l’épouse du député Adrien Phoba en séjour en Belgique afin de lui faciliter l’obtention d’un asile politique. Monsieur Séraphin Luzolo été envoyé dans cette démarche par l’Honorable Adrien PHOBA. Le 2ème tract portant la signature de Bana Boma rappelait à Honorable Adrien PHOBA leur colère contre lui du fait d’avoir abandonné Monsieur Séraphin Luzolo à son triste sort et son refus d’écouter la famille de l’infortuné qui cherchait en vain de l’approcher...<br />
Ce message lui a aussi fait remarquer son esprit démagogique de nature à défavoriser le développement de la ville et troubler la paix sociale en prenant soin de mettre sa famille à l’abri en Europe.<br />
La diffusion de ces 2 tracts a été perçue par certains analystes avertis comme une stratégie pour ce Député de sortir des oubliettes politiques en recrutant des marginaux pour s’attaquer à lui et se faire du succès politique et de faire endosser les responsabilités au pouvoir en place Via l’Autorité locale.<br />
2. Au regard de ce qui précède, le Maire a instruit la PNC et les services pour des dispositions pratiques habituelles à prendre.<br />
Cependant pour des raisons non élucidées, son arrivée -NDLR : arrivée de Phoba- initialement prévue le 15/02/2014 a été reportée à une date ultérieure.<br />
3. Le jeudi 20/02/2014, l’état-major de l’honorable Adrien Phoba est allé déposer auprès du Bourgmestre de la commune de Kalamu une lettre annonçant la tenue le samedi 22/02/2014 du meeting par son leader à l’esplanade de la Commune de Kalamu. Malheureusement cet emplacement était déjà sollicité par BRALIMA pour la période du 21 février au 31 mars 2014. Malheureusement, la copie réservée au Maire n’a pas été déposée.<br />
4. En date du 21/02/2014, les Autorités politico-administratives et la Notabilité de la ville de Boma ont tous reçu les invitations de l’honorable Adrien Phoba pour assister à une séance de restitution de la session parlementaire dans la salle Jean Paul II à l5heures 30’.<br />
A la même date à 11h 00’, 1’Etat-major de l’honorable Adrien Phoba s’est présenté au District de la Police pour demander la sécurisation du Député qui devait arriver dans la ville de Boma par route avec pour point de chute : la Paroisse Bon Pasteur au Km8.<br />
5. Pour ce faire, les services et la PNC ont orienté le dispositif sécuritaire vers l’axe indiqué par l’état-major à l’instant même.<br />
Quelque instants après vers 12h 15’, les services commis à l’aéroport de Lukandu nous ont signalé l’arrivée de L’honorable Adrien Phoba par avion TROPIC accompagné des personnes. Nous avons délocalisé le dispositif sécuritaire préalablement déployé sur la route en direction du Km8 pour l’orienter vers 1’Aéroport en vue de sa meilleure prise en charge sécuritaire.<br />
Arrivés à la bifurcation vers l’aéroport, les services ont appris des agents commis à la barrière qu’ils n’ont pas vu l’honorable Adrien Phoba passer par là vers Boma. Cette version a été confirmée par des informations prises auprès des passants qui ont déclaré avoir vu son cortège emprunter la route de. Muanda.<br />
Pour ce faire, la PNC et les services ont été mis en stand by attendant son retour pour l’escorter dans la ville.<br />
6. Vers 15 heures, nous avons été informés par un appel téléphonique par les invites qui l’attendaient dans la salle Jean Paul II que l’honorable tenait déjà un meeting à la place Nkondo et avançait à pied vers la ville, vêtu d’une soutane noire assorti d’une grande croix avec son état-major et une fanfare. Nous avons une fois de plus instruit les services et la PNC d’aller rapidement à sa rencontre pour le sécuriser.<br />
7. Avant d’arriver à sa rencontre pour sa prise en charge sécuritaire par les services et la PNC sur une distance de plus ou moins 5 à 6 Kms, nous avons appris par téléphone que l’honorable Adrien a été lapidé et atteint à l’oeil gauche au Rond Point Boma II. Saignant abondamment, il a été évacué vers le centre Médical plus proche -Sacre Coeur- d’où il est sorti à 20heures et ramené sous escorte policière au domicile de son beau-frère, feu Baby Ewing. La PNC a pris en charge ce Centre de Santé pour en sécuriser les périmètres. En conclusion, le Conseil a regretté et condamné cet acte barbare survenu suite à la stratégie de l’honorable qui consistait à contourner et se méfier de la sécurité mise à sa disposition par l’Autorité locale jusqu’à s’exposer auprès des inconnus parmi la population.<br />
Selon l’opinion, l’agression du député Phoba a été commanditée par son état major mécontent de la détention d’un des leurs. Monsieur Séraphin Luzolo abandonné à son triste sort par Honorable Adrien.<br />
Enfin le Maire a lancé un message télévisé dans les médias locaux pour condamner et regretter cette violence. Elle a interdit cette pratique dans la ville et a enjoint les services de rechercher les commanditaires de cette besogne pour de sanctions exemplaires.<br />
Le dimanche 23/02/2014, le commandant District de la Police Nationale et son P2 sont allés au nom du Conseil Urbain de sécurité rendre visite à l’honorable Adrien Phoba avec qu’ils ont échange autour de sa santé qui s’est améliorée par rapport à la veille. A la question du commandant District de la PNC de savoir pourquoi il a contourné le dispositif mis pour sa sécurité le Député a reconnu avoir commis une erreur. Il a confirmé être bel et bien arrivé par avion et s’est dissimulé sous les sièges arrières d’une voiture ordinaire pour traverser incognito la ville jusqu’au 15 Km avant de refaire demi-tour et descendre à la place NKONDO pour faire son meeting. Il a promis de ne plus s’y hasarder à l’avenir. Toutefois, il a déclaré s’investir pour obtenir la suspension à la révocation de l’Autorité Provinciale et du Maire de la ville de Boma. Après s’être quittés aux environs de l2 heures, ce Député s’est rendu au bureau du District de la PNC pour annoncer au Commandant du District qu’il est décidé de le faire arrêter pour n’avoir pas pu arrêter ses agresseurs.<br />
Ce dernier lui a fait remarquer que ni la PNC, ni les services, personne n’a été informée à temps de son itinérance, raison qui a fait qu’ils soient arrivés tard sur le lieu de son agression.<br />
Quant à son message lors de son meeting de plus ou moins 5 minutes à la place Nkondo, le député a annoncé qu’il était le seul et unique élu de la ville de Boma, l’autre Député n’était qu’épouse d’un élu. Il a invité la population à ne plus commettre I’erreur de voter pareille personne non utile à la ville et son avenir, sinon lui. Il a aussi annoncé que son excellence Monsieur le Gouverneur de Province aurait reçu plus d’un milliard de franc congolais pour réaliser des projets de développement au Bas-Congo, d’où la population est invitée à contrôler de près les travaux prévus pour la ville de Boma.<br />
Le même dimanche à l1 heures, j’ai reçu dans mon bureau le président Fédéral du parti MPCR, Monsieur Pungu Mayiza dépêché par son président National, Monsieur Jean Claude Mvuemba en séjour en Europe pour venir s’enquérir à la source de cette situation.<br />
Ayant suivi mon récit tel qu’exposé ci-haut, le Président Fédéral m’a promis d’en faire rapport fidèle au président national. Toutefois, le parti MPCR n’a pas été associé ni informé ni de loin ni de près au programme d’arrivée et des activités de l’honorable Adrien Phoba, préférant se fier à son état major : « Fondation Adrien Phoba ».<br />
A son tour, il a regretté cet incident et a encouragé l’Autorité Urbaine et ses services à continuer les recherches afin de dénicher les commanditaires de cet incident.<br />
Ce lundi 24 février 2014, la notabilité de la ville de Boma n’est pas restée indifférente. Elle a sollicité me rencontrer pour avoir mon son de cloche quant à cette agression car le Député a déclaré à la Radio Okapi que l’Autorité locale ne l’aurait pas sécurisé. J’ai fixé cette rencontre le lundi 24/02/20 14 dans la salle des réunions de la Maire en présence de la société civile, des représentants des partis politiques, des Chefs de services étatiques, des cadres de base, des Bourgmestres et des membres du Conseil Urbain de Sécurité.<br />
Après avoir communiqué à la Notabilité les explications sur cette agression telles que relatées ci-haut, tout le monde a regretté l’acte malheureux survenu a i’honorable Adrien et encourage le Maire à continuer les investigations.<br />
La notabilité a promis de rencontrer le Député Adrien Phoba pour le réconforter, s’enquérir de son état de santé et lui prodiguer de sages conseils afin de l’inviter à se comporter en homme d’Etat Le Président fédéral du MPCR, qui a pris la parole dans la salle, a encouragé la démarche des notables et promis, lui aussi, de prendre langue avec le Député national Adrien Phoba.<br />
Après ma réunion avec les couches vives de la population, les interrogations qui se sont dégagées sont :<br />
I. Pourquoi l’Honorable Député Adrien Phoba s’est désolidarisé de l’ensemble des acteurs socio-politico et économique de la Province réuni autour de Monsieur l’ Evêque du Diocèse de Boma en présence de la Première Dame pour se précipiter à Boma ?<br />
2. Pourquoi l’Honorable Adrien Phoba a conjugué tous les efforts pour échapper à la prise en charge sécuritaire locale lui offerte régulièrement ?<br />
3. Pourquoi l’honorable député Adrien Phôba et son état-major ont-ils négligé les menaces contre lui contenus dans les tracts largués à travers la ville ?<br />
4. Quelles explications données au port de la soutane noire avec une grande Croix par le Député qui n’est pas un prélat ?<br />
En dernière minute, nous venons d’apprendre que I’Honorable Adrien Phoba a quitté la ville par route vers Kinshasa depuis dimanche soir.<br />
<br />
Fait à Boma, le 25/02/2014.<br />
Le Maire de la Ville<br />
Marie Josée NIONGO NSUAM

Justice Politique CONTROVERSE AUTOUR DE L’AGRESSION D’UN DÉPUTÉ BOMA : UN RAPPORT COUPE-GORGE CONTRE PHOBA

* Pourquoi l’honorable Adrien Phoba a conjugué tous les efforts pour échapper à la prise en charge sécuritaire locale lui offerte régulière...

LA FECOFA MET EN PLACE DE NOUVEAUX STAFFS TECHNIQUES DES LÉOPARDS

April 25, 2014

<h3>
Le suspense vient d’être levé quant à la mise en place des membres des staffs techniques des léopards. Cependant en attendant le feu-vert du Gouvernement, la place du sélectionneur principal de l’équipe nationale A demeure vacante. Toutefois, la charge de conduire cette équipe revient à Florent IBENGE.

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHoAY_n9caFw6MYpxxNtz3MlpTeSl_qXNNCiF2sZ3rwmywMPWAHDC4mGk_T8wl9MAX42WO7NQ15Pf18eN4k5m7xvERDOu0v4HOW2gg1IcHs5aR_Pi9V3AKcJTTW_JgNzmwKJTd3iw_T3mZ/s1600/ib.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="328" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHoAY_n9caFw6MYpxxNtz3MlpTeSl_qXNNCiF2sZ3rwmywMPWAHDC4mGk_T8wl9MAX42WO7NQ15Pf18eN4k5m7xvERDOu0v4HOW2gg1IcHs5aR_Pi9V3AKcJTTW_JgNzmwKJTd3iw_T3mZ/s1600/ib.jpg" width="400" /></a></div>
</h3>
<br />
<br />
<br />
<br />
DECISION N° FBA/SEGAL/003/2014 DU 23 AVRIL 2014 PORTANT NOMMINATION DES MEMBRES DES STAFFS TECHNIQUES DES EQUIPES NATIONALES DE FOOTBALL<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
A. Equipe nationale seniors A<br />
<br />
- Sélectionneur Principal : à pouvoir<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant : Florent IBENGE<br />
<br />
- Préparateur physique : Paulin KABANGA KABUYA<br />
<br />
- Préparateur des Gardiens : Eugène BULAYIMA<br />
<br />
- Secrétaire Intendant : BAGETA DIKILU<br />
<br />
- Médecin : Dr BUNGU KALALA<br />
<br />
- Kinésithérapeute : MATA MASANSI<br />
<br />
- Soigneur-masseur : MIVAKA Paulin<br />
<br />
- Officier média : NZILA FANAN<br />
<br />
- 2 Kit-man : Serge NIANGI et MWEPU<br />
<br />
- Ostéopathe : Dr KABASU<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
B. Equipe nationale U-23<br />
<br />
- Sélectionneur Principal : SENGI BIEMBE<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 1 : MWINYI ZAHERA<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 2 : KABONGOLO MBAYA BAYLON<br />
<br />
- Préparateur physique : TSHIBANGU RENE<br />
<br />
- Préparateur des gardiens : TUBILANDU<br />
<br />
- Secrétaire Intendant : Patrice MANGENDA<br />
<br />
- Médecin : Dr LISSA TEMBO<br />
<br />
- Kinésithérapeute : BOTO KAKOKO Franklin<br />
<br />
- Soigneur-masseur : DIALEKWA<br />
<br />
- Officier média : Marcel KIADI<br />
<br />
- Kit-man : EPOMI EYENGA<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
C. Equipe nationale U-20<br />
<br />
- Sélectionneur Principal : OTIS NGOMA<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 1 : MUKANYA Jean-Claude<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 2 : MAKENGA MULAMBA<br />
<br />
- Préparateur physique : DABUSU NZALE Antoine<br />
<br />
- Préparateur des gardiens : MAYALA<br />
<br />
- Secrétaire intendant : MUSUNGAYI<br />
<br />
- Médecin : Dr TSHOWELA NTAMBWE<br />
<br />
- Kinésithérapeute : FUSU HUSSEIN<br />
<br />
- Soigneur-masseur : MUKUA PAMBA<br />
<br />
- Officier média : Gaby MASUMBUKO<br />
<br />
- Kit-man : NZUZI LUVUEZO<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
D. Equipe nationale U-17<br />
<br />
- Sélectionneur Principal : TSHIBASU IKE Eric<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 1 : KIMOTO<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 2 : ZANGILO TSHINABU<br />
<br />
- Préparateur physique : BANIAKINA Victor<br />
<br />
- Préparateur des gardiens : MONSI<br />
<br />
- Secrétaire Intendant : KAMBALA GENTO<br />
<br />
- Médecin : MATUSIMUA Mattieu<br />
<br />
- Kinésithérapeute : LOKULI IKINA<br />
<br />
- Soigneur-masseur : TSHIAMALA MUKENDI Ghislain<br />
<br />
- Officier-média : Gerry ANGENGWA<br />
<br />
- Kit-man : OMBA EDINGA Patrick<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
E. Equipe nationale féminine senior<br />
<br />
- Sélectionneur principal : KALALA ILUNGA Michel<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 1 : MAKOMBELE MILEZI Sandra<br />
<br />
- Sélectionneur Assistant 2 : LAY MAFOBE<br />
<br />
- Préparateur physique : EKULA Marie<br />
<br />
- Préparateur des gardiens : KADIAMBA MARCELLO<br />
<br />
- Secrétaire Intendant : Julien NDAYE KONDO<br />
<br />
- Médecin : Dr BAPUMBUDIA DIEMA Gisèle<br />
<br />
- Kinésithérapeute : NZOLA Gaby Lily<br />
<br />
- Soigneur-masseur : NKUSU Virginie<br />
<br />
- Officier-média : Marceline MWAKUMANYA<br />
<br />
- Kit-man : SABU TSHIBO Serge

Sport LA FECOFA MET EN PLACE DE NOUVEAUX STAFFS TECHNIQUES DES LÉOPARDS

Le suspense vient d’être levé quant à la mise en place des membres des staffs techniques des léopards. Cependant en attendant le feu-vert d...

Opposition : l’Udps de l’imperium rejette les élections locales !

April 24, 2014

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*Après un long moment de mutisme, l’Udps a, enfin, décidé de donner de la voix au sujet de questions brûlantes de l’heure. Et ce, à travers une conférence de presse  animée hier, jeudi 24 avril 2014, en  sa permanence de Limete, par son Secrétaire Général, Bruno Mavungu Puati, en présence de Félix Tshisekedi.  Au sujet de la révision constitutionnelle, la fille aînée de l’Opposition parle de distraction et de provocation de la part des géniteurs d’un tel projet.

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 Le parti cher à Etienne Tshisekedi voit, dans ce qu’il appelle ‘’faux débat’’, une manœuvre  tendant à distraire la nation et à se pérenniser au pouvoir  contre la volonté du peuple. Bruno Mavungu a rappelé que la Constitution du 18 février 2006 est le résultat d’un consensus laborieusement obtenu par la classe politique congolaise au Dialogue Inter-Congolais, après un cycle de guerres. Il est hasardeux, pense-t-il, de la remettre en question, surtout dans ses dispositions intangibles. Ainsi, l’Udps s’oppose-t-il contre toute tentative de révision de la Constitution, pour substituer le principe de suffrage universel par le suffrage indirect aux élections municipales, locales, urbaines et provinciales. Le principe de suffrage universel, a rappelé Mavungu Bruno, fait partie des dispositions verrouillées. De ce qui précède, l’Udps rejette les élections locales projetées par l’Abbé Malumalu, Président de la CENI, estimant qu’elles ne visent rien d’autre qu’à permettre au PPRD de s’accaparer de la territoriale «par la fraude».<br />
<br />
Lors d’une conférence de presse très animée, marquée par la présence des inconditionnels combattants, le parti cher à Etienne Tshisekedi a livré son point de vue,  en rapport notamment, avec le débat sur la révision constitutionnelle. En présence de Félix Tshisekedi,  Secrétaire National en charge de politique extérieure, le SG Bruno Mavungu a expliqué aux professionnels des médias pourquoi l’Udps considère ce «faux débat» comme une distraction et une provocation de plus contre l’esprit de la loi fondamentale et du peuple congolais. «Personne n’ignore que la Constitution du 18 février 2006 est le résultat d’un consensus laborieusement obtenu par la classe politique Congolaise au Dialogue Inter-Congolais », a-t-il rappelé d’entrée de jeu. Ce, pour démontrer combien l’Udps tient au respect de cette loi fondamentale qui régule le fonctionnement de la Nation. Les exemples de 2011, avec le changement du mode de scrutin à l’élection présidentielle qui était passé d’un à deux tours, ne donnent aucune seconde à l’Udps de soutenir une nouvelle révision constitutionnelle. Surtout pas celle qui viserait à organiser les élections locales, municipales et urbaines au suffrage indirect. Des élections auxquelles cette formation politique appelle le peuple congolais à ne pas s’inscrire, dans son format actuel, qui serait dicté par le pouvoir en place, pour faciliter « la fraude». Et, ainsi, lui permettre de contrôler la territoriale avec des Commissaires de district, Bourgmestres ou Administrateurs du territoire, Chefs de Collectivités ou Chefferies,  pour en faire le « monopole et l’apanage» de  son parti phare (le PPRD).<br />
<br />
Elections locales : l’Udps hors course<br />
<br />
Par cette position, l’Udps s’affiche d’ores  et déjà comme un grand absent des élections locales que la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) envisage d’organiser en priorité, dans son projet de feuille de route pour le processus électoral 2013-2016. Le Président de cette institution, l’Abbé Apollinaire Malumalu  a, pourtant,  promis de publier,   dans quelques jours, le calendrier de ces élections, la première du genre  au niveau de la base en RD. Congo.<br />
<br />
« Le peuple congolais affamé, meurtri, n’est pas concerné par cette opération trompe l’œil (…). Il n’entend pas se laisser remorquer dans cette autre forfaiture », a souligné Bruno Mavungu, déçu, selon lui, de constater que les valeurs, les principes et la culture démocratiques sont loin d’être respectés au pays.</div>
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la Nation Politique Opposition : l’Udps de l’imperium rejette les élections locales !

*Après un long moment de mutisme, l’Udps a, enfin, décidé de donner de la voix au sujet de questions brûlantes de l’heure. Et ce, à travers...

24 avril 2011-24 avril 2014 : Debaba, 3 ans déjà dans l’au-delà !

April 24, 2014

<h3 style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
</h3>
<h3>
<strong><em>Le Congo musical et l’église corps du Christ se souviennent et gardent une pensée pieuse en mémoire de  l’Apôtre Dieka Mbaki dit Débaba El Shabab. Ce grand chanteur et serviteur de Dieu vient de totaliser trois ans, jour pour jour, dans l’au-delà. On se rappellera qu’il avait quitté la terre des vivants, le 24 avril 2011, à la suite d’</em></strong><strong><em>une crise due à un Accident Vasculaire Cérébrale (AVC),</em></strong><strong><em>  à la Clinique Ngaliema, à Kinshasa.</em></strong></h3>
<strong><em>

</em></strong><br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZxq7dzYkOE9pW8GUDTtwXRBw5YKaXH5bSHtkIwuR19L4LpcPvjNjzawN9gLTdRedBPzux0MM1GnOykDVSqTsoz14OjKJt1DJ95YbJtKIVvOfJfPRDPjXiV4q_7IjN8mU3YTPbnR7zrMQg/s1600/debaba.jpg" rel="image_src" width="400"></link><strong><em>

</em></strong></div>
<strong><em>
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZxq7dzYkOE9pW8GUDTtwXRBw5YKaXH5bSHtkIwuR19L4LpcPvjNjzawN9gLTdRedBPzux0MM1GnOykDVSqTsoz14OjKJt1DJ95YbJtKIVvOfJfPRDPjXiV4q_7IjN8mU3YTPbnR7zrMQg/s1600/debaba.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="340" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZxq7dzYkOE9pW8GUDTtwXRBw5YKaXH5bSHtkIwuR19L4LpcPvjNjzawN9gLTdRedBPzux0MM1GnOykDVSqTsoz14OjKJt1DJ95YbJtKIVvOfJfPRDPjXiV4q_7IjN8mU3YTPbnR7zrMQg/s1600/debaba.jpg" width="400" /></a>Il nous revient que le défunt a laissé une veuve et six enfants dont quatre résident en Europe. De son vrai nom Dieka Mbaki Claude, Debs pour les intimes, il fut un auteur- compositeur et chanteur de talent. Sa voix l’a classé parmi les meilleurs vocalistes de la 4<sup>ème</sup>  génération de la musique zaïroise de l'époque.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Tout au début de sa carrière, il crée le groupe "Historia Musica" en 1980 avec Koffi Olomide et Lele Nsundi. C'est dans cet orchestre qu'il lance son premier morceau musical intitulé "Sauvetage" avant de rejoindre plus tard Papa Wemba dans Viva-la-Musica.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
En 1985, il intègre le groupe Choc Stars où il sera auteur des tubes à succès tels que «Mokolo mosusu» ou «Terminus». Debaba a fait danser les deux rives du Congo et le monde entier. Il a, également, brillé par sa manière de danser et chanter les chansons comme «Jardin de mon cœur» avec Ben Nyamabo et Djuna Djanana ainsi que Djo Mali à la guitare.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Il avait surtout excellé dans «Mbuma Elengi», une merveilleuse composition signée Dindo Yogo. El Shabab a marqué l’histoire musicale rd-congolaise d’une  empreinte indélébile, grâce à sa belle voix dans la chanson « Zicondo ». Au sommet de sa carrière, l'artiste musicien brazzavillois Rapha Bonzeki a fait  appel à l'expérience de Debaba lorsqu'il a chanté « Mère Abiba» au début des années 1990.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Grand musicien aux côtés de Papa Wemba, Defao Matumuna et Carlito, Debaba a fini par abandonner la musique «profane», pour embrasser la musique religieuse. Après sa conversion, il est devenu chantre et évangéliste de Jésus-Christ. Il se lance, ainsi, dans la musique chrétienne où il a laissé des beaux cantiques qui continuent à consoler et édifier le public.</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Devenu serviteur de Dieu, il était une autre personne. Evangéliste, puis Apôtre, Debaba sort son premier album en solo "Dieu reconnaît tout" à la fin des années 1990. <strong>Le succès de ce playing a permis aux mélomanes de découvrir une étoile dans le gospel congolais nommée Marie Misamu.</strong> Cette dernière va poursuivre une carrière solo, après cette rencontre réussie avec l’ex-vedette de Choc stars.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
L’apôtre Debaba était un grand homme de Dieu, qui dirigeait son propre ministère à Kinshasa où il avait implanté son église, dans la commune de Barumbu.  Hélas ! Après sa mort, ce ministère ne fait plus parler de lui. Il a donc disparu avec son visionnaire, suite au conflit entre les responsables de l’église et la famille biologique du défunt. Bancs, chaises, chaire, baffles, sonorisation, tapis, groupe électrogène, auraient été confisqués par les frères de l’illustre disparu. Aucun bien de l’église n’aurait été épargné. Aux dernières nouvelles, la veuve Debaba, déçue par le comportement de sa belle famille, aurait jugé bon de se refugier à Brazzaville. Trois ans après, il est curieux de constater que d’aucun n’a pensé de construire une pierre tombale, pour honorer et protéger le cimetière de Debaba, alors que l’artiste a laissé des œuvres fantastiques qui continuent à peindre la société congolaise.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Qui dit mieux ?</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Jordache Diala </strong></div>
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Musique Musique Réligieuse Réligion 24 avril 2011-24 avril 2014 : Debaba, 3 ans déjà dans l’au-delà !

Le Congo musical et l’église corps du Christ se souviennent et gardent une pensée pieuse en mémoire de l’Apôtre Dieka Mbaki dit Débaba E...

BA SANGO YA CONGO KINSHASA

GESTION MALADROITE DES INCIDENTS DU 25 MARS A LODJA TIRS CROISÉS SUR NGOY KASANJI !

Majorité Présidentielle : DPE/MP - COPEP/MP, Aubin Minaku frappe !

CENI : Fayulu se relance contre Malumalu !

Majorité Présidentielle : DPE/MP - COPEP/MP, Aubin Minaku frappe !

Elections et respect de la Constitution : Kinshasa, John Kerry arrive !

45 ans d'existence de Zaiko Langa Langa : Nyoka Longo invite tous les anciens pour un grand concert

Expulsions des RD-Congolais de Brazzaville : La VSV très indignée et préoccupée !

CONTROVERSE AUTOUR DE L’AGRESSION D’UN DÉPUTÉ BOMA : UN RAPPORT COUPE-GORGE CONTRE PHOBA

LA FECOFA MET EN PLACE DE NOUVEAUX STAFFS TECHNIQUES DES LÉOPARDS

Opposition : l’Udps de l’imperium rejette les élections locales !

24 avril 2011-24 avril 2014 : Debaba, 3 ans déjà dans l’au-delà !

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