Au nombre de récipiendaires de l’édition 2012-2013, figurent notamment, Mademoiselle Ledidja Vubu Soto qui a satisfait en Economie et Gestion pétrolière. Celle-ci a énoncé un sujet important de recherche intitulé: ‘’Incidence de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) sur la commercialisation des produits pétroliers en République Démocratique du Congo. Cas de la COHYDRO. Dans son postulat, elle a affirmé que compte tenu de la rapidité avec laquelle elle a été mise sur pied par l’administration fiscale (la DGI), la TVA n’aurait pas été examinée dans toutes ses facettes.
Et, par conséquent, l’applicabilité de la TVA, dans la commercialisation des produits pétroliers par la COHYDRO S.a.r.l. ne peut, sans nul doute, être à l’abri des multiples contre-chocs, a-t-elle conclu.
M. Lukanu-Tekasala André Samuel, finaliste en section Raffinage et Pétrochimie a, quant à lui, eu comme sujet de travail de fin cycle: ‘’Etude sur la Gestion Energétique d’une colonne de Distillation Atmosphérique’’. Cas du brut Congolais. Un sujet qu’il a, du reste, défendu avec succès.
D’après les organisateurs, l’IPG est à sa 13ème promotion, depuis sa création. De ce fait, affirment-ils, environ 9 promotions d’ingénieurs et gestionnaires du domaine pétrolier, occupent des hautes fonctions dans quelques pays africains tels que : le Congo-Brazzaville, le Cameroun et l’Angola, précisent-ils.
C’est pour ainsi dire que les efforts fournis par chacun des étudiants ne sont pas vains. ‘’Car, lorsqu’un travail est fait avec peine et renonciation, il porte toujours des fruits’’, dit une sagesse populaire.
Dans ses objectifs, l’IPG ne dispense pas que la formation classique dans le domaine du pétrole et des hydrocarbures. Il donne également des modules de formation et recyclage aux professionnels du secteur, issus de plusieurs entreprises pétrolières.
Et, c’est un institut d’enseignement supérieur et universitaire qui est géniteur du programme national en matière des hydrocarbures, a-t-on appris du comité organisateur.
Eugène Khonde