
pays au glissement. Il n’est pas possible d’accorder à M. Kabila une nouvelle transition en violation de la constitution, a indiqué Ingele Ifoto, le modérateur du groupe. Même propos de Vital Kamerhe qui a enchainé en demandant à leurs hôtes de dire au président Kabila de quitter le pouvoir au lieu de chercher des manœuvres inutiles qui précipiteront le pays au chaos. La Dynamique a rappelé son attachement au délai constitutionnel. Et tout schéma qui ne tiendra pas compte des prescrits de la constitution sera voué à l’échec, a prévenu Martin Fayulu. Du coté du G7, il a été rappelé à Said Djinnit l’obligation qu’à M. Kabila d’organiser les élections dans le délai constitutionnel. Sans cela, le peuple va se prendre en charge. Le G7 aussi a rejeté le dialogue. Quant à l’église catholique et la société civile, il a été indiqué clairement à Djinnit que le dialogue ne doit pas être considéré comme un moment pour toucher à la constitution ou
changer de mode de scrutin. Après avoir écouté majorité, opposition, société civile et institution de la république, l’émissaire du secrétaire général de l’Onu est rentré à New York pour faire rapport. Le diplomate a entendu plusieurs fois résonné dans ses oreilles, respect de la constitution. A la Monusco, certaines sources ont indiqué que même si le M. Moon accordera la facilitation, le respect du délai constitutionnel sera le fondement de toute discussion.
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