
Au sujet des élections qui défrayent encore la chronique en République Démocratique du Congo, le MPR/Fait privé dit qu’il a été signifié que le fichier, le calendrier et le financement des élections procèdent de ce qu’«à l’impossible nul n’est tenu».
Qu’à cela ne tienne, citant Napoléon 1er, empereur des Français, qui rétorquait «impossible n’est pas Français», Simon N’SIMBA se pose la question de savoir si le dialogue, dans sa cohésion nationale, ne peut-il pas trouver des solutions appropriées à l’énigme équation électorale ?
De la genèse du MPR/Fait Privé
C’est autour d’un entretien avec la presse, que le président national a rappelé la date du 24 avril 1990, au cours de laquelle, il a été décidé par le Maréchal Mobutu, l’expérience du pluralisme politique en optant pour un système de trois partis en ce compris, le Mouvement Populaire de la Révolution, avec à la base, le principe de la liberté pour chaque citoyen d’adhérer à la formation politique de son choix. D’où, la création du MPR/Fait privé, le 9 janvier 1991.
Néanmoins, a-t-il renchéri, les différentes mues du MPR ont toute eu la même appellation. Un parti placé sous la tutelle politique du même président qui fut le Maréchal Mobutu.
Ces mues conservaient la même idéologie qui s’agente dans la cryptique se structurant autour de la paix, de l’unité du pays largement décentralisé à la base. Ce qui conseille au MPR de réclamer le rétablissement des directeurs provinciaux et commissaires des districts.
Fort de cette restructuration, le MPR a participé à la Conférence nationale souveraine, au dialogue inter- congolais de Sun City, aux concertations nationales. C’est cette vision qui justifie aujourd’hui, son option de participer au dialogue national, a soutenu le président du MPR/Fait privé.
Par ailleurs, tout en souhaitant une heureuse année 2016 et fructueux anniversaire aux militants de son parti, Simon N’simba a émis le vœu d’espérer le corps du Maréchal Mobutu être rapatrié cette année, conformément aux recommandations des concertations nationales qui s’étaient tenues en 2013.
Eugène Khonde