
“Ce qui nous unis est plus important que tout ce qui nous divise. Aujourd’hui je ne peux pas être pour cette marche à 100 % parce que nous n’étions pas contactés, je ne peux pas non plus être contre la marche parce qu’elle est constitutionnelle. On ne peut en aucun cas accepter de piétiner la constitution si elle est pacifique. Que la police sécurise les manifestants”, a-t-il ajouté.
Dans ce cadre, le représentant légal de la communauté islamique en République Démocratique du Congo regrette que des marches pacifiques entraînent des pertes en vies humaines et souhaite que cela ne se reproduise pas.
En rapport avec le processus électoral, Cheikh Ali Mwinyi N’kuu dit croire encore en la bonne volonté de la Commission électorale nationale et indépendante (CENI) d’organiser les élections le 23 décembre prochain.
Rachel Kitsita