Le 15 septembre de chaque année, l’humanité célèbre la journée internationale de la démocratie. En RDC, les leaders des organisations juvéniles, réunis au sein de l’Espace Inter-Plateforme des Jeunes (EIPJ-RDC), ont organisé une marche publique non violente.

Cette activité a eu comme point de départ le Boulevard Sendwe au siège du Conseil National de la Jeunesse (CNJ) pour chuter au Palais du peuple.
Au niveau du temple de la démocratie, un mémorandum a été déposé aux deux chambres du Parlement. Ces jeunes réclament dans leur memo l’application intégrale de l’Accord de la Saint Sylvestre qui prévoit, entre autres, la décrispation du climat politique. Se sentant marginalisés par la non-prise en compte de la jeunesse dans les débats de la vie nationale, ces derniers ont exigé l’application de la résolution 2250 des Nations Unies relative à la participation des jeunes dans la prévention des conflits et de la paix.
Le présent mémorandum a été déposé par une délégation des membres de l’EIPJ-RDC conduite par son secrétaire exécutif national, Okoma Onyumbe Don. Au sortir du Palais du peuple, le numéro 1 de l’EIPJ-RDC a fait une déclaration fustigeant la substitution du gouvernement à la CENI. Il a saisi cette opportunité pour demander à la CENI de retirer du fichier électoral, les noms des électeurs sans empreintes digitales et de cesser d’imposer la machine à voter aux parties prenantes au processus électoral.
Okoma Onyumbe Don a, par la même occasion, invité les jeunes à cultiver les valeurs démocratiques et républicaines par le respect des biens publics et des lois du pays. Il a également exhorté les acteurs politiques d’assouplir leurs exigences pour que les élections soient réellement inclusives afin que le pays vive une alternance démocratique digne de nom. Simon TSOUMBOU/CP
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