
L’Union européenne devra dans les prochaines semaines statuer sur ces sanctions. Pour un diplomate européen évoqué par le média français, « rien n’aurait pu être envisagé sans la demande effective de Félix Tshisekedi qui, ces derniers mois, ne s’est pas lui-même prononcé, créant une certaine ambiguïté (…) Pour maintenir ces personnalités sous sanction, il nous faut des nouveaux éléments publics, articles ou rapports d’ONG, qui prouvent qu’ils continuent de nuire, et on n’en trouve pas ».
Le même argument est avancé par certains pays membres de l’Union européenne favorables à la levée de sanctions.
Tony-Antoine Dibendila