
« Nous avons toujours cherché à approvisionner les prisons après trois mois. Nous avions fait pression au premier ministre et au ministre des Finances, mais rien n’est encore fait. Ça fait trois mois que nous sommes derrière ce dossier, et nous ne comprenons pas. C’est dans toutes les prisons qu’on nous appelle. Nous disons que nous nous battons pour que cet argent soit libéré », s’est indigné le vice-ministre.
Et de préciser enfin que le ministère des Finances aurait débloqué 40% du fonds demandé, « mais ce fonds n’est toujours pas arrivé dans les comptes des banques commerciales qui doivent le décaisser ».
Tony-Antoine Dibendila