Une administration sous pression

Le gouvernement Tshisekedi, qui avait promis une riposte ferme, tente de rassurer la population, tout en appelant les habitants de Bukavu à la prudence et au respect des consignes de sécurité.

Kinshasa dénonce l’entêtement du Rwanda à poursuivre son occupation et ses violations des droits humains, malgré les appels au cessez-le-feu et l’intervention diplomatique de la communauté internationale, y compris du président français Emmanuel Macron.

Une pression internationale croissante

La prise de Bukavu suscite de vives réactions à l’échelle internationale. Le Royaume-Uni a fermement condamné cette violation de la souveraineté congolaise, alertant sur le risque d’un conflit régional plus large. Londres insiste sur le retrait immédiat des forces rwandaises et le retour au dialogue diplomatique.

Pendant ce temps, la population vit dans la peur, tandis que l’avenir de la sécurité nationale et de la stabilité régionale reste incertain.

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