BA SANGO YA CONGO KINSHASA

L’opposant Delly Sesanga prêt à affronter le régime Kabila

January 26, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEtUIMcYsng1Fa_eyLkno-yvaswwbhKSVWyuQqIHP3AI9VZ8kBBRdy9_uDmWt1B4MXf873iBnSG8OCJq9Jus0CY3tr9C5rFVJMOe8upgfsBhahyRUMUGHFh5Np8_Lie3Lx3J8TsDYA-cbv/s1600/Snapshot_611.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEtUIMcYsng1Fa_eyLkno-yvaswwbhKSVWyuQqIHP3AI9VZ8kBBRdy9_uDmWt1B4MXf873iBnSG8OCJq9Jus0CY3tr9C5rFVJMOe8upgfsBhahyRUMUGHFh5Np8_Lie3Lx3J8TsDYA-cbv/s400/Snapshot_611.jpeg" width="400" /></a>Le président de l’Envol est très remonté contre le régime Kabila qu’il accuse de saboter son congrès. Matériels et autres biens de son parti ont été confisqués ou détruits à Nioki, cité choisie pour abriter les travaux. L’opposant ne désarme pas. ‘‘L’Envol condamne le caractère arbitraire et, dénonce la nature discriminatoire de cette décision, prise uniquement dans le but de faire échec à la tenue de son Congrès. Je rappelle que le Congrès est une instance prévue par nos statuts, ayant donc un caractère légal et licite et, ne porte nullement atteinte à l’ordre public ni aux bonnes mœurs pour justifier pareille interdiction’’, a condamné Sesanga. L’Envol désapprouve le régime confiscatoire des libertés publiques, qui transforme, selon sa direction politique, de plus en plus la République démocratique du Congo en une prison à ciel ouvert. Devant cadres et militants, Delly Sesanga a confirmé que le <br />
congrès se tiendra à la fin du mois toujours à Nioki dans la nouvelle province de Mai Ndombe. Il boude la décision prise par un commissaire spécial dépourvue de toute légitimité démocratique. Ainsi, Sesanga a promis de saisir la cour constitutionnelle pour confondre ses détracteurs. ‘‘L’Envol décide de saisir, toutes affaires cessantes sur pied de l’art. 162 Const., la Cour Constitutionnelle en inconstitutionnalité de l’interdiction décrétée, sans base constitutionnelle et légale, par le Commissaire spécial de Maï-Ndombe du 20 janvier 2016’’, peut-on lire dans la déclaration du parti. Au cas où la cour constitutionnelle ne réservait pas une réponse satisfaisante à sa requête, l’élu de Luiza assure qu’il continuera son combat en utilisant tous les moyens de droit. ‘‘ La cour doit gagner en légitimité en étant impartiale. Tant qu’elle sera à la solde du pouvoir, elle sera illégitime’’, a affirmé l’ancien président de la commission PAJ de l’assemblée nationale. Pour lui, il faut arracher l’alternance politique pour changer cet état de chose. Malgré le déploiement des forces de l’ordre à Nioki pour empêcher son congrès, Sesanga pense être en droit de le tenir. Nous continuerons à dénoncer la violation de la constitution, la violation de la liberté de réunion et de manifestation, vocifère-t-il. A Kinshasa, les gens se réunissent et pourquoi à l’intérieur du pays, on doit les empêcher, s’est-il interrogé. La direction politique de l’Envol considère que le régime Kabila s’est lancé dans la logique de restreindre les libertés publiques. Ce sont eux qui font le coup de force, dénonce-t-il. Delly Sesanga reste constant dans sa position de départ. Pas question de participer au dialogue qui conduira au glissement. Le temps a sonné pour contrer les tripatouilleurs de la constitution. Dans la salle, les bouillants militants de l’Envol entonnaient un seul refrain : le 19 décembre 2016, on tourne la page Kabila. Leur leader les appelés à la vigilance totale pour ne pas laisser le temps aux ennemis du peuple de liquider la constitution.<br />
<br />
<br />
<br />
DECLARATION POLITIQUE N°OO1/BP /012016 du 24 Janvier 2016<br />
<br />
Le Bureau’ politique de l’ENVOL, a été saisi du rapport de son Comité, sur la situation préparatoire, de la session ordinaire du Congrès, convoquée à NIOKI du 29 au 31 janvier 2016, sur lethème central: «RENOUVEAU DEMOCRATIQUE ET<br />
<br />
TRANSFORMATIONS SOCIALES».  Ce rapport fait état, en date du 19 janvier 2016, des actes de violence, à l’encontre de nos membres et sympathisants, de la destruction et de la confiscation des effets du parti. Il relève également la décision du Commissaire spécial du MAÏNDOMBE du 20 janvier 2016, interdisant, je cite: « sur instruction de la hiérarchie, entendez Ministère de l’intérieur, toute manifestation à caractère politique pouvant trainer la masse en lieu public avant ou pendant le dialogue national inclusif». Réuni pour en délibérer à son siège, ce samedi 23 janvier 2016, le Bureau politique de l’ENVOL rend public la Déclaration politique dont la teneur suit:<br />
<br />
1. L’ENVOL condamne le caractère arbitraire et, dénonce la nature discriminatoire de cette décision, prise uniquement  ans le but de faire échec à la tenue de son Congrès. Je rappelle que le Congrès est une instance prévue par nos statuts, ayant donc un caractère légal et licite et, ne porte nullement atteinte à l’ordre public ni aux bonnes mœurs pour justifier pareille interdiction;<br />
<br />
2. L’ENVOL désapprouve le régime confiscatoire des libertés publiques, qui transforme de plus en plus la République démocratique du Congo en une prison à ciel ouvert, où :<br />
<br />
a) . la liberté de culte (art 22 Const.) n’est plus respectée;<br />
<br />
c) la liberté d’opinion (art 23 Const.) n’est plus tolérée;<br />
<br />
d) la liberté de manifestation (art.26 Const.) n’est reconnue que pour la majorité. et réprimée pour l’opposition;<br />
<br />
e) et, maintenant, avec cette décision, une étape supplémentaire est franchie; il s’agit de l’abolition insidieuse de la liberté de réunion (art. 25), qui n’est plus reconnue pour l’opposition, sur des étendues de plus en plus larges du territoire national.<br />
<br />
La situation est grave! Notre démocratie est en péril ! Car, tous ces agissements des autorités, à différents niveaux, constituent des provocations et des voies de fait, entreprises en violation flagrante de la Constitution et des lois de la République. Ils sont, aux antipodes à la fois de la démocratie et de l’Etat de droit; principes sur lesquels se fonde et auxquels aspire la Constitution de notre pays; L’obstruction faite à la tenue du Congrès de l’ENVOL trahit, par delà le cas particulier de notre parti, une situation bien plus alarmante. Car, il s’agit, ni plus ou moins d’une de restriction, régressive, inadmissible et inacceptable de l’espace de libertés en supprimant de fait et, sans le dire, le pluralisme politique dans notre pays.<br />
<br />
Ce comportement est par ailleurs sanctionné par l’article 7 de la Constitution qui dispose que:<br />
<br />
« Nul ne peut instituer, sous quelque forme que ce soit, de parti unique sur tout ou partie du territoire national. L’institution d’un parti unique constitue une infraction imprescriptible de haute trahison punie par la loi. ».<br />
<br />
L’interdiction du Congrès de l’ENVOL, est décidée par une autorité qui, non content de ne pas être élue et, donc  épourvue de la légitimité démocratique se cache, sous couvert de sa hiérarchie et, viole en bonus comme par enchantement, les libertés fondamentales, pour lesquelles la Constitution impose le respect par toute personne ainsi que les pouvoirs publics (art. 60 Const.).<br />
<br />
Cette même Constitution, n’autorise de restriction des libertés publiques, que dans les cas de la déclaration de l’Etat d’urgence ou de l’Etat de siège (art. 85 et suivants de la Constitution), compétence exercée par le Président de la République, sous le contrôle étroit du législateur. D’où, donc, le Commissaire spécial de MaïNdombe tiretille pouvoir de prendre cette décision ?<br />
<br />
Se fonder sur le dialogue, qui n’est ni une institution ni un substitut à la déclaration de l’Etat d’urgence ou de l’Etat de siège, pour restreindre une liberté fondamentale, de manière aussi absolue par l’interdiction de la tenue du Congrès d’un parti politique régulièrement enregistrée, constitue sans conteste, un abus de pouvoir et d’autorité contraire à la démocratie et à l’Etat de droit.<br />
<br />
Par conséquent, l’ENVOL RD CONGO:<br />
<br />
1. Exprime une réprobation totale contre l’arbitraire, érigé désormais en système de gouvernement et invite tous les congolais, d’où qu’ils soient, à œuvrer pour extirper cette pratique de notre démocratie, qui le gangrène;<br />
<br />
2. Décide de saisir, toutes affaires cessantes sur pied de l’art. 162 Const., la Cour Constitutionnelle en inconstitutionnalité de l’interdiction décretée, sans base constitutionnelle et légale, par le Commissaire spécial de MaïNdombe du 20 janvier 2016 ;<br />
<br />
3. Interpelle le Président de la République, garant de la Constitution (art. 69 Const.), sur la nécessité plus qu’impérieuse de garantir le respect de la Constitution et d’assurer les garanties effectives aux libertés publiques, en s’impliquant personnellement et activement dans la cessation des voies de fait de son gouvernement;<br />
<br />
4. Appelle à la mobilisation de tous les congolais, pour la sauvegarde des acquis de la construction démocratique, ainsi qu’à la vigilance active de l’opinion nationale et internationale au sujet du respect des droits humains et fondamentaux garantis par la Constitution, qui sont les seuls gages de la paix véritable, de la stabilité et de la concorde intérieures, objectifs chèrement conquis par le peuple congolais;<br />
<br />
5. Remercie la population du MAINDOMBE, plus particulièrement ceux du territoire de KUTU et de la Cité de NIOKI pour le soutien à la préparation de ce Congrès, ainsi que la solidarité manifestée à l’endroit de membres de nos structures locales, fédérales et centrales, présentes sur le terrain dans le cadre du Comité préparatoire du Congrès. Notre formation politique affirme par ma voix, qu’il est un parti libre, libéral et réformateur, et l’ENVOL n’entend pas se faire dicter la marche à suivre pour la gestion de ses affaires internes, ni marchander son autonomie garantie par l’article 6 de la Constitution et la loi sur les partis politiques; et, c’est pourquoi le Bureau politique rassure la population de MAI NDOMBE et ses membres que, cette session du Congrès ne leur sera pas volée et, elle sera organisée dans le respect des lois de la République à NIOKI ainsi qu’en ont décidé les instances du parti.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 23 janvier 2016<br />
<br />
Pour le Bureau politique<br />
<br />
Hon. Delly SESANGA<br />
<br />
Président national<br />
7sur7.Cd<br />
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Politique L’opposant Delly Sesanga prêt à affronter le régime Kabila

Le président de l’Envol est très remonté contre le régime Kabila qu’il accuse de saboter son congrès. Matériels et autres biens de son parti...

Alexis Thambwe Mwamba: la RDC est «un pays souverain»

January 26, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHedhjrzFiAm3nhl00JOnByMBtPs0EVVq1zxW8hnm0ve-LVKTFAucu77dZ33Xu9j6VI3AJzJRzt9_5qfJ_pY50jYBd3RPiDObOKD4HwqNOVK8AMQDVvI1w2hI8Zn7rQXn0RyNwASxRXrTg/s1600/Snapshot_609.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHedhjrzFiAm3nhl00JOnByMBtPs0EVVq1zxW8hnm0ve-LVKTFAucu77dZ33Xu9j6VI3AJzJRzt9_5qfJ_pY50jYBd3RPiDObOKD4HwqNOVK8AMQDVvI1w2hI8Zn7rQXn0RyNwASxRXrTg/s400/Snapshot_609.jpeg" width="400" /></a>Voilà quinze ans que 42 Congolais, dont une femme, restent enfermés dans la prison de Kinshasa suite à l’assassinat de Laurent Désiré Kabila. Depuis quinze ans, ils sont systématiquement exclus de toutes les mesures d’amnistie ou de grâce qui sont prises par le régime de Joseph Kabila. Combien de temps vont-ils encore rester en prison ? Alexis Thambwe Mwamba est le ministre congolais de la Justice et des Droits humains. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.<br />
<br />
Voilà 15 ans que 42 personnes sont en prison à Makaka, à la suite de l’assassinat du président Laurent-Désiré Kabila. Elles sont toutes condamnées à mort ou à perpétuité. Est-ce qu’un jour, elles peuvent espérer retrouver la liberté ?<br />
<br />
Alexis Thambwe Mwamba : En tout cas, ce n’est pas d’actualité pour le moment. Ces personnes ont été condamnées. Elles purgent leur peine pour le moment à Makala. Le président de la République a pris certaines mesures de grâce, soit individuelles soit collectives. Mais il était exclu ces personnes rentrent dans la catégorie de ce que vous citez, notamment, disons, tous ceux qui ont porté atteinte à la sécurité de l’Etat. Donc pour le moment, ce n’est pas à l’ordre du jour qu’elles puissent espérer sortir de Makala un de ces quatre matins.<br />
<br />
<br />
En janvier 2003, lors du jugement de ces personnes, le président de la cour a lui-même reconnu que l’enquête n’était pas terminée. Et depuis, plusieurs investigations ont révélé l’existence de deux suspects qui sont réfugiés à l’étranger. Il s’agit du garde du corps congolais, Georges Mirindi, et du diamantaire libanais, Bilal Héritier. Pourquoi n’avez-vous jamais lancé un mandat d’arrêt international contre ces deux suspects ?<br />
<br />
Les procédures sont ouvertes aussi bien au niveau de l’auditorat militaire que du parquet général de la République contre des personnes qui sont actuellement en fuite. Donc elles n’échappent pas comme tel à notre justice. A un moment donné, nous ferons le nécessaire lorsque les dossiers seront bouclés au niveau de la République.<br />
<br />
Et, est-ce qu’à ce moment-là, on pourrait envisager une révision du procès ?<br />
<br />
Je vous dis que ce n’est pas à l’ordre du jour, en tout cas pour le moment.<br />
<br />
Mais si deux des principaux suspects sont en fuite, et si demain vous lancez un mandat d’arrêt international contre eux, est-ce qu’il ne faudra pas faire un nouveau procès ?<br />
<br />
Les éléments pour les personnes qui sont actuellement à Makala sont très clairs. En ce qui les concerne, les procédures ont été achevées. S’il faut faire de nouveaux procès, ça sera contre les personnes qui seraient aujourd’hui en fuite.<br />
<br />
Alors vous dites, pour le moment rien ne changera. Est-ce qu’on peut envisager à terme une loi d’amnistie pour ces 42 personnes, parmi lesquelles il y a une femme ?<br />
<br />
Non, il ne s’agit certainement pas d’un cas qui rentre dans une loi d’amnistie. Ça serait tout au plus une grâce présidentielle. Mais jusqu’à présent, dans les dossiers que nous avons présentés pour la grâce présidentielle, nous avons exclu des cas qui ressemblent aux personnes que vous citez.<br />
<br />
<br />
Ça ne vous gêne pas que cette femme soit en prison depuis quinze ans ?<br />
<br />
Si c’est une criminelle, c’est normal. La place des criminels, c’est la prison.<br />
<br />
Pour beaucoup d’observateurs, les faux coupables sont en prison et les vrais coupables sont en liberté. Est-ce qu’il ne serait pas temps d’envisager une mesure de clémence ?<br />
<br />
Non, je pense que s’il y a des personnes qui ne sont pas encore condamnées, certainement qu’un jour elles le seront. Mais on ne peut pas dire que celles qui sont condamnées pour le moment qui sont à Makala, sont des personnes innocentes. Ça, c’est faux.<br />
<br />
La République démocratique du Congo est membre de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples. En 2014, celle-ci vous a demandé de libérer toutes les personnes qui restent en prison à la suite de cet assassinat. Et pour l’instant, vous n’avez pas répondu. Pourquoi ?<br />
<br />
Nous sommes un pays souverain, et en tant que pays souverain, nous ne sommes pas obligés d’obéir aux injonctions qui proviennent de l’extérieur.<br />
<br />
C’est-à-dire que vous ne reconnaissez plus cette Cour ?<br />
<br />
Non, nous la reconnaissons. Mais ça dépend, si elle demande des choses qui sont impossibles par rapport à notre conscience nationale, par rapport à notre droit national, évidemment que nous ne pouvons pas appliquer.<br />
<br />
Depuis un an, la communauté internationale déplore de nombreuses arrestations arbitraires. Parmi les personnes arrêtées figurent l’avocat Jean-Claude Muyambo, les leaders de la société civile Christopher Ngoyi Mutamba, Fred Bauma et Yves Makwambala. Est-ce qu’ils vont rester encore longtemps en prison ?<br />
<br />
Les dossiers sont en instruction. S’agissant de l’avocat, ce n’est pas un problème qui est lié à la politique. L’avocat est poursuivi pour escroquerie. Et les autres personnes que vous citez, les dossiers sont en instruction. Si à la fin de l’instruction, il apparaît qu’il n’y a aucune preuve, elles seront libérés.<br />
<br />
Dans son discours du 28 novembre dernier, le président Joseph Kabila a annoncé des mesures de grâce pour certains prisonniers. Christopher Ngoyi Mutamba, Fred Bauma et Yves Makwambala pourraient-ils bénéficier de telles mesures ?<br />
<br />
Ce n’est pas exclu. S’agissant de personnes qui sont dans les procédures d’instruction, le parquet général de la République pourra considérer qu’il y a main levée des poursuites si on estime que les dossiers ne sont pas suffisamment solides. D’autres dossiers sont en instruction au niveau du ministère. Il y a les libérations conditionnelles pour lesquelles je viens de signer trois arrêtés. Ils vont permettre à plusieurs centaines de prisonniers, à peu près un millier, de sortir au courant de cette semaine.<br />
<br />
<br />
Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie chrétienne, a été condamné il y a trois ans à une peine de dix ans de prison. Est-ce qu’il va faire partie de ces mille prisonniers libérés ?<br />
<br />
Pour le moment, il n’est pas sur cette liste. Nous avons exclu de mesures de libération conditionnelle des gens qui ont été notamment condamnés pour viols.<br />
<br />
Le maintien en prison d’un grand leader de l’opposition comme Eugène Diomi Ndongala, est-ce que ça ne ternit pas l’image de votre pays ?<br />
<br />
Mais le fait d’être un grand leader n’autorise pas à commettre des viols. Donc je n’exclus rien, mais on ne peut pas isoler son cas par rapport à d’autres qui sont dans la même situation. Mais bien sûr, le dossier se trouve effectivement sur mon bureau.<br />
<br />
Le dossier de Diomi est sur votre bureau ?<br />
<br />
Parmi d’autres.<br />
<br />
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Politique Alexis Thambwe Mwamba: la RDC est «un pays souverain»

Voilà quinze ans que 42 Congolais, dont une femme, restent enfermés dans la prison de Kinshasa suite à l’assassinat de Laurent Désiré Kabila...

Nathalie Makoma et Olivier tshimanga rendent hommage à MARIE MISAMU ( VIDÉO)

January 26, 2016

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<h3>
Nathalie Makoma et Olivier tshimanga rendent hommage à MARIE MISAMU (VIDÉO)</h3>
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Nathalie Makoma et Olivier tshimanga rendent hommage à MARIE MISAMU (VIDÉO)

Bureau de l’Assemblée nationale : des audiences croisées chez Minaku !

January 26, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Le président de la Chambre basse du Parlement congolais, Aubin Minaku, a échangé, le mardi 19 janvier 2016, dans son cabinet de travail, avec le Ministre d’Etat et Membre honoraire de la Chambre des Représentants du Royaume de Belgique, François-Xavier De Donnea, sur les procédures à mettre en place en vue de la construction de la Centrale hydroélectrique autour du Parc de Virunga dans la province du Nord-Kivu et du processus du dialogue convoqué par le Président de la République, Joseph Kabila.<br />
<br />
Le parlementaire belge a estimé que cette Centrale hydroélectrique constituerait un outil de pacification et de développement du Nord-Kivu au service de la République démocratique du Congo (RDC). Le deuxième problème au cœur de ces échanges est le dialogue politique convoqué par le Président de la République. Sur ce point, De Donnea a indiqué que le président de l’Assemblée nationale lui a fait part de l’évolution du processus d’organisation de ce forum national.<br />
<br />
S’agissant de l’apport du Royaume de Belgique à ce processus, le membre honoraire de la Chambre des représentants belge a affirmé que « la Belgique a toujours été aux côtés du Congo et est prête à apporter son soutien au Congo Kinshasa s’il en manifeste l’intérêt et sollicite une quelconque aide ou assistance pour la réussite de ce dialogue ».<br />
<br />
L’homme politique belge a, par ailleurs, invité tous les acteurs politiques congolais à prendre part active à ce dialogue en vue de trouver des solutions adéquates aux nombreuses divergences des vues au sein de la classe politique congolaise et qui, du reste, justifient l’essor de la démocratie et la divergence d’opinions en République démocratique du Congo.<br />
<br />
En ce qui concerne le choix d’Edem Kodjo comme envoyé de l’Union africaine en vue de faciliter la tenue de ce dialogue, François-Xavier a estimé que c’est une étape logique dans le processus de mise en place et mise en forme du dialogue politique national en République démocratique du Congo.<br />
<br />
Des Américains réclament quatre cents enfants congolais adoptés par des familles américaines<br />
<br />
L’Honorable Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale, accompagnés de certains députés nationaux, ont discuté avec une forte délégation des Américains aussi bien Républicains que Démocrates représentant plusieurs Etats des Etats-Unis de la problématique de quatre cents enfants congolais adoptés par les familles américaines, dans une audience de travail de ce mardi 19 janvier 2016, au Palais du peuple de Kinshasa. Le Congressman Edward Royce qui conduit cette délégation, a indiqué que ces familles américaines ont déjà rempli toutes les formalités d’ordre juridique pour que leurs enfants arrivent en terre américaine.<br />
<br />
Edward Royce a affirmé qu’au niveau de la RDC, une Commission interministérielle a été diligentée pour élaborer un avant-projet de loi ad hoc à soumettre à l’Assemblée nationale en vue de décanter la situation de ces quatre cents enfants congolais adoptés.<br />
<br />
« Nous apprécions les démarches entreprises par le Gouvernement congolais, en particulier, en ce qui concerne la mise en place de cette Commission interministérielle. Et nous avons voulu rassurer le président de l’Assemblée nationale que ces familles adoptives existent bel et bien et elles aiment bien leurs enfants qu’elles attendent de tous leurs cœurs. Et qu’il n’a pas à se faire d’inquiétude de quelle que nature que ce soit quant à l’avenir de ces enfants », a déclaré le Chef de la délégation américaine.<br />
<br />
La délégation américaine était composée de plusieurs Etats notamment Le Floride, Miami, New York, etc.<br />
<br />
Juste après les américains, le speaker de la chambre basse s’est entretenu   avec Eden KODJO Mais rien n’a filtré de leur rencontre.<br />
<br />
Philomène Mwaluke<br />
<br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_YpU8MexUUI-jNuHjEcwMhNdp_Pk3WH_kJ9cseWvRKx3q9vTCf86bBZVneqmXv-6xDf7ofjqRs-P8dxmPzbAPD5t7XqlbyQPuKJcoFVV9NsfY1Dn5VsOUhPjwV4XGIVbiUZO4Obl9AY3c/s400/Snapshot_588.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Bureau de l’Assemblée nationale : des audiences croisées chez Minaku !

Le président de la Chambre basse du Parlement congolais, Aubin Minaku, a échangé, le mardi 19 janvier 2016, dans son cabinet de travail, a...

Dialogue : la Sociecor et Alliés invitent Kabila à mettre en place le Comité préparatoire

January 26, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkWDVhW4qdtb7wBoijGnxEhwrs3OuXpD6BW6y3EECbX3gN-8K_WqpGAJb09J3Ku4cIZRdrkjtj_ABrkpYq_RLvrAmTT3ERi6ZfbnS0W4vdUgjrU2dexVwPwXLI7QuU4Ehwdp3kSEvlAtT_/s1600/Snapshot_583.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkWDVhW4qdtb7wBoijGnxEhwrs3OuXpD6BW6y3EECbX3gN-8K_WqpGAJb09J3Ku4cIZRdrkjtj_ABrkpYq_RLvrAmTT3ERi6ZfbnS0W4vdUgjrU2dexVwPwXLI7QuU4Ehwdp3kSEvlAtT_/s400/Snapshot_583.jpeg" width="400" /></a>Le Dialogue politique tel que voulu par le Président de la République est devenu irréversible. La Société civile des Eglises Confessions Religieuses et Alliés, que préside le pasteur Dr. Ngalasi vient de bénir cette initiative. La désignation du Togolais Edem Kodjo en qualité de Facilitateur est soutenue par la Sociecor et Alliés.  Dans la déclaration rendue publique, samedi 23 janvier 2015, dans la Salle de conférences de la paroisse Notre de Dame de Fatima, le Pasteur Ngalasi soutient que le dialogue est la voie royale pour décrisper le climat politique agité suite aux divergences liées au processus électoral en RDC. A ce sujet, il invite le Président Joseph Kabila a accéléré le processus de mise en place du Comité préparatoire en vue de tenir le Dialogue dans le meilleur délai.<br />
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Selon son représentant, l’Archevêque Nelson Kamanji, qui a lu cette déclaration de la Société Civile des Eglises et Confessions Religieuses (SOCIERCOR), les églises devront demeurer partenaires privilégiés de l’Etat dans tous les domaines de la vie nationale en prêchant la vérité, l’amour, le pardon et la réconciliation.<br />
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Cette structure bien connue du ministère de la Justice Garde des Sceaux, regroupe en son sein 876 églises et confessions religieuses de la République. Parmi celles-ci, figure l’Église catholique libérale, l’Eglise de Réveil au Congo de l’évêque général Albert Kankienza, l’Assemblée chrétienne de Kinshasa,  l’Eglise catholique libérale d’Afrique, le Haut conseil des églises de rêve charismatique et autre Armée du Salut, EgIise catholique anglicane, Solidarité épiscopale universelle, Eglise catholique mariavite et le Renouveau charismatique au Congo.<br />
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Peter Tshibangu<br />
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La Déclaration de la Société civile des Eglises, Confessions Religieuses et Alliés<br />
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La déclaration de la Société civile des Eglises, Confessions Religieuses et Alliés, Sociecor et Alliés en sigle, après sa participation active à l’appel des forces vives de la société civile de la RDC pour la paix durable et la cohésion nationale rendu public le vendredi 15/01/ 2016, dans cette même salle, de la Paroisse Notre Dame de Fatima, sur les enjeux de l’heure ainsi que sur la situation générale qui prévaut en RDC, avant la tenue du Dialogue National est la suivante :<br />
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Comme nous le savons tous, notre pays, la République Démocratique du Congo traverse un moment particulièrement agité qui a conduit Son Excellence Monsieur Joseph Kabila Kabange en sa qualité de garant de la nation, à signer une Ordonnance annonçant la Dialogue National.<br />
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Nous nous réjouissons et encourageons la désignation par l’Union Africaine, UA en sigle, de son Excellence Monsieur Edem Kodjo, un homme d’Etat africain de très grande valeur et dont la longue expérience pourra contribuer à la réussite de ces assises tant attendues, en qualité de facilitateur.  <br />
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Nous exhortons tous nos compatriotes acteurs politiques, toutes les tendances confondues, ainsi que les délégués des  forces vives de la société civile à privilégier l’intérêt supérieur de la nation et à participer au Dialogue National voulu inclusif afin de favoriser les uns et les autres à concilier leur point de vue, au profil de la nation congolaise.<br />
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A présent, le facilitateur étant déjà à pied d’œuvre, nous invitons Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, à bien vouloir accélérer le processus de mise en place du Comité préparatoire, en vue de la tenue dans le meilleur délai du Dialogue National.<br />
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Par ailleurs, nous tenons à souligner que nous encourageons l’accompagnement par la Communauté internationale et ce dans le strict respect de la souveraineté de la RDC.<br />
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Au peuple Congolais, l’Eglise, la case au milieu du village, présente le Dialogue comme étant la seule voie susceptible de conduire le Congo Démocratique à une issue pacifique en rapport avec les divergences liées au processus électoral.<br />
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A cet effet, nous vous invitons à la vigilance, afin de ne pas prêter le flanc à toute manipulation de nature à compromettre la quiétude et la paix sociale.<br />
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Quant à nous, Eglises et Confessions Religieuses en RDC, nous tenons à proclamer ce qui suit :<br />
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Les Eglises et Confessions Religieuses devront être et demeurer les partenaires privilégiés de l’Etat dans tous les domaines de la vie nationale.<br />
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Elles ont l’obligation de prêcher la parole de Dieu et d’enseigner la vérité, l’amour, le pardon et la réconciliation.<br />
<br />
Que les Confessions Religieuses exercent un leadership responsable, objectif et crédible ; un leadership qui sera la vraie interface entre Dieu et la société, entre le Peuple et l’Etat, sans état d’âme.<br />
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Que désormais la violence cesse d’être un mode de revendication ;<br />
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Que le sang des Congolais ne serve plus de fonds de commerce à qui que ce soit ;<br />
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Que vive le Dialogue National inclusif ;<br />
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Que vive la Société Civile des Eglises, Confessions Religieuses et Alliés ;<br />
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Que vive la République Démocratique du Congo.<br />
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Les signataires<br />
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Politique Dialogue : la Sociecor et Alliés invitent Kabila à mettre en place le Comité préparatoire

Le Dialogue politique tel que voulu par le Président de la République est devenu irréversible. La Société civile des Eglises Confessions Rel...

Interview choc sur VOA. RDC : Noël Tshiani dit non à la transition et oui aux élections dans les délais !

January 26, 2016

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Pourquoi  Noël Tshiani veut-il quitter le confort de son poste à la banque mondiale pour chercher à revêtir la casquette de politique au Congo-Kinshasa, la terre de ses ancêtres ? Que cherche-t-il ? Va-t-il être candidat à la présidentielle  de 2016 ?  C’est là, une brochette de questions qui se posent çà et là. Invité d’honneur de l’émission ‘face to face ‘’ du journaliste Roger Muntu, il a répondu à nombre de ces préoccupations.<br />
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Naissance de la vocation<br />
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Au cours de ses voyages en République démocratique du Congo, il dit avoir été frappé par la misère qui sévissait. Ce que la République, malgré toutes ses potentialités, est toujours un pays pauvre où la faim, la galère sévit chaque jour. Cela aurait causé un déclic en lui. Par ailleurs, ayant bénéficié d’une bourse d’études de la part du gouvernement congolais sous Mobutu, il se devait, lui comme tout autre, de revenir avec les connaissances acquises en vue d’œuvrer efficacement pour le développement du Congo. Aujourd’hui, en plus de la connaissance, il affirme détenir une grande expérience en matière de développement etc.<br />
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Consultations tous azimuts<br />
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Les indicateurs sont au rouge en ce qui concerne, entre autres, le social des congolais. La donne se devait d’être changée. C’est dans ce souci qu’il a rencontré des figures importantes dans l’agora politique de son pays, le Congo-Kinshasa. De Tshisekedi à Kabila, en passant par Bemba, Kamerhe et consorts, il aurait apporté une seule préoccupation. Qu’est-ce que nous pouvons faire, nous congolais, pour développer notre pays, notre patrimoine commun ? À la même question, plusieurs réponses ont été données avec pourtant, plus ou moins une volonté pareille et sincère pour développer le pays. <br />
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Plan Marshall, le sésame ?<br />
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Adepte de l’adage qui dit ‘’ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi mais plutôt ce que tu peux faire pour ton pays ‘’, Tshiani Noël a fini par mettre sur pied un plan économique qui, à l’en croire, pourrait développer le Congo-Kinshasa s’il est appliqué. Il s’agit là, de son ‘’Plan Marshall pour la RDC ‘’. <br />
De colloque en colloque, d’une conférence à une autre, Noël Tshiani n’a de cesse de prendre son bâton de pèlerin et de prêcher les vertus de ce plan, à travers le monde. Considérant ce projet comme un précieux sésame apte si volonté politique il y a à développer le pays d’ici 15 ans avec un investissement de plusieurs milliards provenant du secteur public, privé et des partenaires traditionnels.<br />
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La quête<br />
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L’homme est, depuis, aperçu comme un des candidats potentiels à l’élection présidentielle de 2016. Et pourtant, jusque-là, il ne s’est point déclaré comme partant pour la course à la magistrature suprême du pays de Lumumba. Nonobstant, il soutient avec la plus ferme conviction d’être en train de fédérer autour non de sa personne, mais plutôt de sa vision car son but principal c’est de porter haut l’étendard du Congo. Leader du mouvement pour le changement, plateforme actif en RDC qui regrouperait nombre de partis politiques et associations, il miroite le rêve d’avoir l’opportunité de mettre en œuvre son ‘’Plan Marshall‘’ pour le plus grand bien des congolais.<br />
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Danny Ngubaa <br />
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*Le congolais Noël Tshiani, haut fonctionnaire à la Banque mondiale, a été aux prises avec Roger Muntu dans l’émission ‘’face to face‘’ sur ...

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