BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Interdiction de la Radio Télé ‘’Lubumbashi JUA’’ : Assemblée nationale, Diongo adresse une question orale à Mende !

December 04, 2014

<h3>Pas convaincu de la mesure d’interdiction de diffusion qui frappe la Radio Télévision Lubumbashi JUA appartenant au Bâtonnier Muyambo, l’Honorable Diongo Franck a mené des investigations, pour en savoir un peu plus. Dans ses conclusions, l’élu de Lukunga invite tout simplement le Ministre des Médias à revoir sa décision. Déjà, il a porté l’affaire à la chambre basse du Parlement, à travers une question orale avec débat, pour que toute la lumière soit faite, conformément aux lois de la République.</h3><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN-oJ-x1LBKG5m-cKthHlY10oM_oh1CEnuJYEL853QFnFY3jhY_tl2fs2yN-NXHn2C-2saIbF_9_h1OxYAuGv_TjYC64HbtYo1UjTR1ayARrQPn5yxm4Nn0frrEBQtJy9Gkpf7dxuZ8mk/s1600/Snapshot_43.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="305" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN-oJ-x1LBKG5m-cKthHlY10oM_oh1CEnuJYEL853QFnFY3jhY_tl2fs2yN-NXHn2C-2saIbF_9_h1OxYAuGv_TjYC64HbtYo1UjTR1ayARrQPn5yxm4Nn0frrEBQtJy9Gkpf7dxuZ8mk/s1600/Snapshot_43.jpeg" width="400" /></a></div><div>Franck Diongo a initié une question orale avec débat adressée au Ministre des médias, chargé des relations avec le Parlement et l’Initiation à la nouvelle citoyenneté. Pour ce Député National, le Ministre doit s’expliquer et fournir des éclaircissements sur la régularité de sa mesure, et présenter les deux rapports évoqués dans l’arrêté portant interdiction de diffusion de cette chaine de radio télévision.</div><br />
‘’Après avoir examiné l’arrêté du Ministre, nous l’avons confronté aux lois de la République, nous sommes arrivé à une conclusion, ce que le Ministre Mende, au regard du droit congolais n’a pas qualité d’interdire ou de fermer un journal, une télévision, ou une radio. Il est vrai que le Ministre s’est servi de la loi de 1996 dont les dispositions avaient déjà été abrogées’’, a-t-il martelé.<br />
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Le fond de la question orale<br />
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Cette question s’articule sur plusieurs lois de la République notamment, la loi organique portant fonctionnement du CSAC.  ‘’Je me réfère à votre arrêté n°026/CAB/MRPINC/LMO/MIN/2014 du 20 novembre 2014 portant interdiction de diffusion d’une entreprise privée du secteur audiovisuel dénommée Radio Télévision Lubumbashi JUA. Une interdiction que vous avez voulue à durée indéterminée parce qu’elle n’est assortie d’aucun délai, contrairement aux exigences de la loi. A l’article 3 de l’arrêté, qui n’en compte pourtant que deux, vous chargé le Secrétaire Général aux Médias de l’exécution de votre mesure. Mais, c’est plutôt Monsieur MUKANYA ILUNGA, Chef de division provinciale du Ministère dit de la communication et Médias qui notifie l’arrêté’’, a-t-il fait savoir.<br />
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Par ailleurs, il soulève quelques observations. A savoir que le pouvoir de régulation des médias, rappelle-t-il,  revient au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication, CSAC en sigle, conformément à la loi organique n°11/001 du 10 janvier 2011 portant composition, attribution et fonctionnement de ce conseil.<br />
<br />
‘’En vertu de cette loi, notamment en ses articles 8, 9, 11 et 58 à 64, seul le CSAC est habilité à constater et à soutenir, suivant une procédure légalement établie et que vous n’avez pas suivie, les manquements des organes de presse à leurs devoirs déontologiques ou légales’’, a-t-il dit. Et de poursuivre que ‘’Vous semblez vous appuyer sur certaines dispositions de la loi n°96-002 du 22 juin 1996 alors que ces dispositions, notamment en ce qui concerne le pouvoir d’interdire la diffusion, sont abrogées par la loi organique précitée (article 76). Ceci en cohérence avec l’esprit même de la loi  de 1996 qui est traduit dans son exposé des motifs, à savoir que « … en attendant la mise sur pied de la structure légale chargée du  contrôle et de la neutralité des médias publics, (…) la compétence dévolue à celle-ci demeure assumée par le Ministère en charge de l’Information et de la Presse’’.  <br />
<br />
Après ces différentes interprétations, Franck Diongo, élu national, pense que la décision du Ministre des Médias, empiète manifestation sur les compétences du CSAC, organe de régulation des médias institué par la constitution de la République (article 212) et par la loi organique précitée.<br />
<br />
‘’Qui pis est, votre intervention en cette matière, ne laisse aucune voie de recours à l’organe incriminé autant que l’interdiction qui le frappe est à durée indéterminée ; ce qui est contraire à l’esprit de liberté consacré par tous les textes fondamentaux de la IIIème République’’, a-t-il conclu dans sa question orale avec débat qui pourra être débattue incessamment.<br />
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Le social mis en cause<br />
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Devant la presse, l’Honorable Franck Diongo soutient que cet arrêté a des ramifications sur l’aspect social des populations katangaises.<br />
<br />
‘’Le fait d’interdire la diffusion de la télévision pour une durée indéterminée c’est aussi envoyé des gens au chômage’’, a-t-il  souligné.  Après avoir mené des enquêtes, Franck Diongo renseigne que la Radio Télévision Lubumbashi JUA comptait au total une soixantaine d’agents. ‘’En prenant cette décision, le Ministre Mende a renvoyé soixante famille dans la rue, ce qui entrave fortement le social tant recherché’’, a-t-il insisté. Il soutient par ailleurs que cet arrêté ne peut pas produire des effets juridiques dans la mesure où les dispositions avancées ne sont plus praticables. Il a, sans tergiverser, exigé la réouverture de cette chaîne de télévision qui va, sans nul doute, démontré la maturité de la République Démocratique du Congo en ce qui concerne la démocratie. La balle est dans le camp du bureau de l’assemblée nationale qui devra  programmer cette question orale avec débat.<br />
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Kevin Inana <span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Le direct<br />
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Pas convaincu de la mesure d’interdiction de diffusion qui frappe la Radio Télévision Lubumbashi JUA appartenant au Bâtonnier Muyambo, l’Hon...

Accompagnement du processus électoral : RDC, l’Union Européenne attend le calendrier global !

December 03, 2014

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*Le fait pour l’Union Européenne d’injecter plus de 6 milliards de dollars dans l’économie congolaise l’obligerait  à exercer ne  serait-ce qu’un petit  droit de regard sur l’évolution des choses.  Jean-Michel Dumond, Chef de la Délégation de l’Union Européenne (UE) à Kinshasa, a tenu une conférence de presse hier, mercredi 3 décembre. Pour l’UE, la présidentielle et les législatives devraient être organisées conformément aux lois établies.</h3>
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Les 28 pays membres attendent, quelles que soient les raisons,  la venue du calendrier électoral global. Parallèlement, Jean-Michel Dumond ne trouve rien à redire sur la mise en place de l’Office National de l’Identification de la Population (ONIP) et en prend d’ailleurs acte.</div>
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Ce n’est pas fortuit si la Délégation de l’Union Européenne en RDC a choisi la journée d’hier pour faire une évaluation générale de la situation du pays. Le Président de la République va bientôt prononcer son traditionnel discours sur l’état de la Nation. Quoi de plus intéressant pour l’Union Européenne que de mettre en avant quelques priorités sur lesquelles les 28 pays membres  n’entendent pas transiger. Quitte à Joseph Kabila, dans son pouvoir discrétionnaire, de les prendre ou non en compte,  lors de son intervention au Congrès. Le Premier Ministre Matata Ponyo en avait, lui, été mis au parfum lors de son dernier séjour bruxellois. Les objectifs de l’Union Européenne sont la stabilité et la sécurité, le développement économique, l’enracinement de la démocratie et les droits de l’homme ainsi que l’organisation des élections dans le délai constitutionnel.   <br />
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L’Union Européenne a fait une évaluation de sa coopération avec la RDC depuis 2006. Sur le plan financier, tout compte fait, l’Union Européenne a accordé une assistance de plus d’1,2 milliards de dollars à la RDC. Tous les pays européens réunis ont investi environ 6 milliards de dollars en RDC. En pourcentage, la bagatelle représente 44% de l’aide publique internationale européenne. Ce n’est pas rien. Récemment, Matata Ponyo est rentré de Bruxelles avec un engagement de 620 millions d’euros dans le cadre du 11ème FED. Pour que cette aide soit effective, il faudrait que tous les pays membres de l’UE apposent leurs signatures. Dans l’entre-temps, les autorités de la RDC ont l’obligation de définir les programmes à exécuter jusqu’en 2020. L’UE a déjà une idée sur la destination que devraient prendre ses millions. Il s’agit, entre autres, de la réforme de la justice, de la police et de l’armée ; de la protection du patrimoine naturel et de la promotion d’une agriculture durable ; la réhabilitation de la route nationale n°1 jusqu’à Mbuji-Mayi, ainsi que la santé.<br />
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Les conditions de l’UE<br />
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La Délégation de l’UE à Kinshasa exige une meilleure transparence des recettes des industries extractives. Ces recettes permettront de financer le développement, les infrastructures et les budgets sociaux. Avant la fin de la session parlementaire en cours, l’UE invite les Députés et Sénateurs à voter un nouveau code des hydrocarbures pour améliorer la transparence des appels d’offre et garantir la protection de l’environnement. Pour l’UE, si la RDC exploite de façon transparente et équitable toutes ses potentialités dans les secteurs minier, agricole, écologique et naturel, la question de la pauvreté sera totalement résolue.<br />
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La Pros.     <br />
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*Le fait pour l’Union Européenne d’injecter plus de 6 milliards de dollars dans l’économie congolaise l’obligerait à exercer ne serait-ce...

TROIS MORTS À DUNGU APRÈS L’ACCIDENT D’UN VÉHICULE DE LA MONUSCO

December 03, 2014

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Deux habitants, dont un élève de l’Institut de technique médical (ITM), sont morts après avoir reçu des balles perdues. Tel est le bilan d’une manifestation populaire organisée mardi 2 décembre 2014 dans la cité de Dungu en Province Orientale. Selon radio Okapi, les habitants de cette entité protestaient contre la mort d’un taximan percuté par un véhicule de la Monusco.</h3>
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La même source indique que ces deux habitants ont été tués au moment où les éléments de sécurité faisaient des tirs de sommations pour disperser les manifestants.</div>
Le président de la société civile de Dungu rapporte que ces personnes ont été blessées par balles et sont mortes quelques heures plus tard des suites de leurs blessures. Les victimes, explique-t-on, se trouvaient dans une concession non loin du lieu de drame.<br />
Cette situation a suscité la tension dans le milieu. Des taximen ont envahi les rues et ont continué à circuler jusqu’hier mercredi dans l’avant-midi dans la cité de Dungu pour protester contre la mort de ces personnes.<br />
Selon la société civile contactée par la radio de la Monusco, des groupes de jeunes érigent des barrières sur certaines artères pour manifester leur ras-le-bol contre l’insécurité. Jusqu’hier, les activités restaient paralysées à Dungu, sauf dans les écoles. Même les bureaux de la Monusco et des agences sont restés fermés. <br />
Et pendant ce temps, aucun mouvement du personnel des Nations unies n’est perceptible dans la zone, note la source.. Les éléments de la police, appuyés par les FARDC, essaient de maintenir l’ordre public dans tous les coins de la cité.<br />
De leur côté, les membres de la société civile et les autorités politico administratives locales invitent la population à observer le calme, en attendant le dénouement des enquêtes sur l’accident à la base de cette tension. <br />
Un camion citerne de la Monusco a percuté, mardi, non loin des bureaux des Nations unies et de la Monusco à Dungu, un motard qui est mort sur place, alors que son client se trouve dans un état critique à l’hôpital général de la cité. Dorian KISIMBA<br />
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la Nation TROIS MORTS À DUNGU APRÈS L’ACCIDENT D’UN VÉHICULE DE LA MONUSCO

Deux habitants, dont un élève de l’Institut de technique médical (ITM), sont morts après avoir reçu des balles perdues. Tel est le bilan d’...

ESU : DES CHIFFRES QUI DONNENT DES SUEURS FROIDES

December 03, 2014

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* 52 % d’établissements ayant la filière de médecine sont non viables, selon le ministre maker Mwangu qui répondait hier au Sénat.<br />
C’est hier que le ministre ai de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU) Maker Mwangu Famba a retrouvé comme prévu le couloir de la salle des Conférences internationales, siège du Sénat, au Palais du peuple. Objet : donner des réponses aux nombreuses préoccupations formulées lundi dernier par les élus des élus consécutivement à la question orale avec débat posée par leur collègue, le Prof Kisimba Kimba Emmanuel sur le dépérissement du secteur de l’enseignement.</h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbcpbF3iAD9uWZ-_M7oWc2fzbDIM3n0YUS_fu_vn3AZbZT2CcITTt7YQMqZJl8NS6QKu-x-x6V9oi-VueIdJLcYYpULS2PPWXh07Ys2xg1IrM1Z5cQ265ohUfCFFlBJKHGYGfMdynePsM/s1600/Snapshot_27.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="302" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbcpbF3iAD9uWZ-_M7oWc2fzbDIM3n0YUS_fu_vn3AZbZT2CcITTt7YQMqZJl8NS6QKu-x-x6V9oi-VueIdJLcYYpULS2PPWXh07Ys2xg1IrM1Z5cQ265ohUfCFFlBJKHGYGfMdynePsM/s1600/Snapshot_27.jpeg" width="400" /></a></div>
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Prenant la parole, Mwangu Famba a regroupé toutes les questions des sénateurs en trois thématiques notamment celles d’ordre général, de la gestion administrative et financière et des infrastructures. Pour une meilleure compréhension, il a adopté l’approche historique non pour se décharger sur le passé mais pour montrer que les difficultés dans ce secteur ont commencé depuis longtemps.</div>
Dans les années 80, poursuit-il, l’étudiant congolais était les plus envié de l’Afrique avec 780Usd par an et par étudiant, plus qu’en France. Les Université du pays éteint parmi les meilleures d’Afrique et exerçaient un attrait irrésistible aux étudiants étrangers qui étaient nombreux à les fréquenter. Il y avait encore la coopération interuniversitaire avec les grandes Universités du monde. C’est à la conclusion du programme avec les Institutions de Bretton Woods qui ont imposé un ajustement structurel.<br />
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REDUCTION DRASTIQUE DES FONDS ALLOUES A L’EDUCATION<br />
Il y eut alors réduction drastique des fonds alloués au budget de l’ESU. Par conséquent l’Etat s’est désengagé laissant cette lourde charge aux seuls parents. Cette ère a sonné le début des antivaleurs à l’ESU. Les revenus annuels de l’étudiant sont tombés à 29Usd par an et par étudiant. Entre 2002 et 2012, le nombre d’étudiants est passé à 522.000. <br />
Quant à l’essaimage des établissements, après une enquête de viabilité effectuée en 2011, il est apparu que 25% des Etablissements sont viables, 34% ne le sont pas et 41 sont dans un stade intermédiaire. Pour ce qui est des Etablissements ayant la filière de Médecine, 52% sont non viables, 16 seulement sont viables et autre sont moyens. <br />
Le ratio autorisé est d’un Professeur pour 20 étudiants alors qu’ici il y a un Professeur pour des dizaines d’étudiants. Il faut au moins 20.000 pour se conformer aux standards en la matière, ce qui n’est pas le cas à ce jour. Toutes les statistiques présentent un ratio entre Professeur et étudiants en diminution. <br />
Pour Maker Mwangu Famba, cet historique permet de comprendre si besoin en est le sous-financement actuel du secteur de l’ESU. Attaquant la première thématique liée aux questions d’ordre général, il fait savoir que le gouvernement a un schéma directeur sur la formation de l’élite congolaise qui dispose d’un plan stratégique 2012-2013. Il s’agit de former des hommes compétents et innovateurs pour un budget d’1,9 milliards Usd. <br />
En ce qui concerne la prolifération des Etablissements qui s’installent sans respect de la procédure en la matière et sans respect de l’autorité de tutelle, la démarche doit impliquer l’autorité locale car c’est elle qui laisse faire. C’est depuis 2012 que le programme d’assainissement par contrôle de visibilité a commencé.<br />
<br />
RECONCEPTUALISER LES REFORMES<br />
Le plan stratégique 2012-2013 a prévu de reconceptualiser les reformes avec l’entrée du système LMD. Quant à la mise en œuvre de la nouvelle loi avec l’entrée en vigueur du système LMD (Licence-Maîtrise-Doctorat) d’ici février 2015, le ministre ai de l’ESU assure que toutes les mesures d’applications prévues ont déjà été exécutées et transmises au gouvernement pour disposition. <br />
Deuxième thématique, la gestion académique et la recherche scientifique. Une évaluation a été initiée en conformité avec le vade-mecum du secteur. La perte des cotes des étudiants qui a été décriée par les sénateurs est inadmissible. De même que les syllabus imposés par les Professeurs doivent être considérés dans le monde moderne comme une illustration de la pensée unique. <br />
Concernant la recherche, elle n’est financée qu’à raison de 0,4% du PIB. Mais le gouvernement met toutes les batteries en marche pour atteindre le chiffre de 1% du PIB comme l’exigent les standards internationaux. Troisième et dernière thématique développée par Mwangu Famba, c’est la gestion administrative et les infrastructures.<br />
<br />
L’INTERET DES SENATEURS AU SECTEUR EDUCATIF<br />
Ici il relève l’existence des Etablissements fictifs avec de agents fictifs mais qui n’apparaissent heureusement pas au Budget de l’Etat. Enfin tout en louant l’intérêt que portent les élus des élus au secteur de la formation de l’élite qu’est l’ESU, le ministre ai note que le gouvernement a fait un diagnostic pour relever les forces et les faiblesses de ce secteur. <br />
Il invite donc les sénateurs à ne pas tourner le dos à l’éducation à cause de ses difficultés. Réplique du Prof Kisimba Kimba pour conclure. Il persiste et signe que l’éducation est le parent pauvre de l’Etat congolais. Mais le ministre a utilisé des arguments à tout égard convainquant. « Je suis satisfait », lâche-t-il à brûle-pourpoint. <br />
Toutefois, sur le terrain on observe une dissymétrie sur le type d’enseignement qui est dispensé, élitiste ou de masses. Quel type d’élite forme-t-on ? Il faut opérer une sélection sévère pour former l’élite. Il faut aussi penser à tous ces octogénaires qui continuent à prester comme Professeurs d’Universités alors qu’ils doivent le moment venu joué le rôle de bibliothèques vivantes de monuments. <br />
Quant à l’inscription, il faut renter aux critères de l’UNAZA (Université nationale du Zaïre). Les mandataires véreux doivent être remplacés par ceux qui ont la conscience professionnelle tandis que les Professeurs convaincus d’immoralité doivent être retirés. <br />
Pour toute réforme, il faut impliquer les concernés qui sont les étudiants et le corps académique se scientifique pour ne pas être vouée à l’échec, édicte encore Pr Emmanuel Kisimba Kisita qui a reçu sur le banc l’autorisation du maître des céans Léon Kengo Wa Dondo d’adresser au ministre de l’ESU par courrier du Sénat les nombreuses recommandations qu’il a rédigées pour l’amélioration du secteur. KANDOLO M.<br />
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Education Politique ESU : DES CHIFFRES QUI DONNENT DES SUEURS FROIDES

* 52 % d’établissements ayant la filière de médecine sont non viables, selon le ministre maker Mwangu qui répondait hier au Sénat. C’est h...

TIRAGE AU SORT DE LA CAN ORANGE, GUINÉ . : DECOUVREZ LE TABLEAU FINAL ET LES ADVERSAIRES DE LA RDC

December 03, 2014

Malabo, 3 décembre 2014<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-we3ktehpbXOClTxzF2XT2CN08ibbh4RTSi8NblzwrJMD6q_HZ7V3BsW9JoHCx7fws6buUBqnu5vBCWdDp65jx1n9VEIGpSG5zjlUjWySskfdhkejgf3HWLpQ9gnLi0kGl7sXhfTMYmA/s1600/Snapshot_617.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="195" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-we3ktehpbXOClTxzF2XT2CN08ibbh4RTSi8NblzwrJMD6q_HZ7V3BsW9JoHCx7fws6buUBqnu5vBCWdDp65jx1n9VEIGpSG5zjlUjWySskfdhkejgf3HWLpQ9gnLi0kGl7sXhfTMYmA/s1600/Snapshot_617.jpeg" width="320" /></a><br />
-        Excellence Monsieur le président de la République de Guinée Equatoriale<br />
-        Excellences messieurs et dames les membres du Gouvernement de la République de Guinée Equatoriale<br />
-        Messieurs les membres du Comité Exécutif de la CAF<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-we3ktehpbXOClTxzF2XT2CN08ibbh4RTSi8NblzwrJMD6q_HZ7V3BsW9JoHCx7fws6buUBqnu5vBCWdDp65jx1n9VEIGpSG5zjlUjWySskfdhkejgf3HWLpQ9gnLi0kGl7sXhfTMYmA/s1600/Snapshot_617.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiywJ02M4DrdPRulEmcharT-huoaPTg6_yEVFF36EktD1_29pWX2CJ4QeJGyP1eA-XHu9jkwtzP1JePfc4O4_duVyaIvqa55iru9dBBCp1hCTwGTnpf8bl_ikvkQ_RZWpFZ-Gr0QysbaSI/s1600/Snapshot_616.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="352" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiywJ02M4DrdPRulEmcharT-huoaPTg6_yEVFF36EktD1_29pWX2CJ4QeJGyP1eA-XHu9jkwtzP1JePfc4O4_duVyaIvqa55iru9dBBCp1hCTwGTnpf8bl_ikvkQ_RZWpFZ-Gr0QysbaSI/s1600/Snapshot_616.jpeg" width="640" /></a><br />
-        Excellences messieurs et dames les membres du Corps diplomatique et assimilés<br />
-        Monsieur le président du Comité local d’organisation<br />
-        Messieurs les représentants des équipes engagées<br />
-        Chers membres de la Commission d’organisation de la CAN<br />
-        Distingués invités en vos titres et rangs respectifs<br />
-        Mesdames et messieurs<br />
-        Chers amis des médias<br />
<br />
Permettez-moi tout d’abord de remercier le président du Comité local d’organisation pour les paroles aimables qu’il a eu à mon endroit, ainsi qu’à l’endroit de l’ensemble de la délégation de la CAF. Afin de bien marquer le fait que nous nous sentons ici chez Nous, au cœur de l’Afrique et au bord de l’Océan Atlantique, dans cette ville de Malabo qui se transforme sans cesse, jour après jour, je me permets également de souhaiter la bienvenue à tous.<br />
<br />
<br />
Monsieur le président de la République de Guinée Equatoriale, Son Excellence Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, souffrez que je porte atteinte à votre modestie, en vous disant une nouvelle fois, du haut de cette tribune, toute la gratitude de la Confédération Africaine de Football et de la grande famille du football africain.<br />
<br />
Nous vous sommes reconnaissants pour la décision prise d’accueillir ici en Guinée Equatoriale, dans des conditions particulières, à peine deux mois avant le coup d’envoi,  la 30e édition Coupe d’Afrique des Nations Orange. Une décision courageuse, salutaire, preuve s’il en était encore besoin de votre attachement à l’idéal d’une Afrique unie, indépendante et émergente.<br />
<br />
Permettez-moi, Excellence Monsieur le Président, de paraphraser ce proverbe qui indique que : ceux qui donnent peuvent ne pas se rappeler, mais ceux qui reçoivent ne doivent jamais l’oublier. Je puis vous garantir que la Confédération Africaine de Football n’oubliera jamais.<br />
<br />
<br />
C’est l’occasion pour moi de rappeler que depuis 57 ans, des dignes fils d’Afrique, dont je salue la mémoire, pour ceux passés à la postérité, ont donné de leur temps, de leur énergie, de leurs ressources, pour bâtir patiemment la Confédération Africaine de Football. Cette maison qui, aujourd’hui, fait la fierté de tous les Africains. Pour nous, il est donc hors de question de laisser la possibilité à qui que ce soit de détruire cette œuvre dont l’édification a été patiemment élaborée.<br />
<br />
Ce soir, nous rentrons dans la dernière ligne droite qui nous mène vers la phase finale de la 30e édition de la Coupe d’Afrique des Nations Orange. Un moment privilégié de célébration, tous les deux ans, de l’excellence africaine, sur le continent et au-delà. La dernière édition en Afrique du Sud a enregistré une audience cumulée de près de 10 milliards de téléspectateurs et les perspectives s’annoncent meilleures.<br />
<br />
Félicitations à la Guinée Equatoriale, pays hôte de la compétition, et aux quinze (15) autres sélections nationales, qualifiées à l’issue d’une phase éliminatoire dont le suspens a été maintenu jusqu’au coup de sifflet du dernier match il y a exactement deux semaines.<br />
<br />
<br />
La phase de groupes de ces éliminatoires a inauguré une programmation inédite sur le continent. Avec deux matchs à disputer pour chaque sélection nationale en moins d’une semaine, ce qui a parfois imposé des déplacements d’une extrémité à l’autre sur le continent.<br />
<br />
Le pari a été tenu avec brio, car aucun match n’a été différé et encore moins reporté. C’est l’occasion pour moi de tirer un coup de chapeau à nos associations membres qui ont pu, une nouvelle fois, administrer la preuve de leur professionnalisme avec, il faut le reconnaitre, le soutien de leurs gouvernements.<br />
<br />
Le déroulement de ces éliminatoires a malheureusement été impacté par l’épidémie de fièvre Ebola qui a frappé de plein fouet la Guinée, la Sierra Leone et le Libéria, causant des milliers de morts.<br />
<br />
Une situation sanitaire qui nous a amenés à pratiquer une application stricte des mesures de précaution prescrite par l’Organisation Mondiale de la Santé qui a proscrit les rassemblements de masse dans les pays durement affectés. C’est pourquoi la CAF a décidé, depuis le 12 août 2014, d’interdire le déroulement de toutes ses compétitions dans ces trois pays.<br />
Nous profitons de cette occasion pour remercier l’Organisation Mondiale de la Santé pour sa guidance et réitérons notre engagement à maintenir cette collaboration.<br />
<br />
« Ensemble nous pouvons battre Ebola», comme le dit si bien le slogan la campagne de sensibilisation que nous avons initiée depuis le 17 novembre 2014 en partenariat avec la FIFA et des joueurs de renommée mondiale.<br />
<br />
La CAF entend jouer  pleinement sa partition dans ce combat contre ebola en utilisant toutes ses compétitions, notamment  la Coupe d’Afrique des Nations Orange, comme plateforme de sensibilisation. Point n’est besoin de rappeler que quand le football parle tout le monde écoute.<br />
<br />
Toutefois, nous faisons chorus avec la présidente de la Commission de l’Union Africaine, Mme Nkosazana Dlamini Zuma, pour dire que l’épidémie à virus ebola ne saurait être un prétexte pour paralyser le continent tout entier et consacrer sa mise en quarantaine. Comme avec d’autres défis auquel l’Afrique a eu à faire face par le passé, l’épidémie à virus ebola sera surmontée et vaincue.<br />
<br />
Excellence Monsieur le Président de la République, distingués invités, mesdames et messieurs,<br />
<br />
Réussir l’organisation d’une Coupe d’Afrique des Nations Orange en moins de deux mois peut apparaître comme un pari risqué. Mais nous ne doutons pas un seul instant de ce que l’Afrique en général, et la Guinée Equatoriale en particulier, ont aujourd’hui la maturité nécessaire et ce qu’il faut en termes d’infrastructures et ressources, tant humaines que matérielles, pour relever le défi.<br />
<br />
Nous sommes convaincus que nous aurons ici en Guinée Equatoriale une compétition aux standards mondialement admis et que la compétition a toujours garantis.<br />
<br />
D’ores et déjà, je souhaite la bienvenue à Malabo, Bata, Mongomo et Ebibeyin aux équipes qualifiées, aux supporters et hommes de médias du monde entier qui sauront une nouvelle fois apprécier la légendaire hospitalité africaine.<br />
<br />
Vive le football africain Et Célébrons l’Afrique !<br />
<br />
Je vous remercie<br />
<br />
<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/fDU5F1lWWHY?feature=player_detailpage" width="640"></iframe>

infos en vidéos Sport TIRAGE AU SORT DE LA CAN ORANGE, GUINÉ . : DECOUVREZ LE TABLEAU FINAL ET LES ADVERSAIRES DE LA RDC

Malabo, 3 décembre 2014 - Excellence Monsieur le président de la République de Guinée Equatoriale - Excellences messieurs e...

Non à l’insécurité : ISP, étudiants en colère, Muyej éteint le feu ! un étudiant a perdu la vie ( article et vidéo)

December 03, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivpDdKREV9Hbb8qeTIX0PVtBFWU5ZSxL2JSxRnoufQ46MY-C9kxngvrFUR8zdcKsdwOkudYKg9sg899Y3uBuFCwt9CPkgfMt9fb74G2kHn7Gmy6KofXbMKkbc9CZULNWp1Uzn51HjSZsU/s1600/iospp.jpg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
<br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivpDdKREV9Hbb8qeTIX0PVtBFWU5ZSxL2JSxRnoufQ46MY-C9kxngvrFUR8zdcKsdwOkudYKg9sg899Y3uBuFCwt9CPkgfMt9fb74G2kHn7Gmy6KofXbMKkbc9CZULNWp1Uzn51HjSZsU/s1600/iospp.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivpDdKREV9Hbb8qeTIX0PVtBFWU5ZSxL2JSxRnoufQ46MY-C9kxngvrFUR8zdcKsdwOkudYKg9sg899Y3uBuFCwt9CPkgfMt9fb74G2kHn7Gmy6KofXbMKkbc9CZULNWp1Uzn51HjSZsU/s1600/iospp.jpg" width="320" /></a></div>
<strong style="line-height: 1.6em;"><em>Ce sont des étudiants aux esprits surchauffés qui, dès les premières heures de ce mardi, 2 décembre 2014, ont décidé de manifester leur ras-le-bol  dans la rue.  Traits tirés sur les visages, ils s’en sont pris à quelques  véhicules des  passants. Ils ont également barricadé toutes les voies jouxtant l’entrée de l’ISP et la sortie, de l’autre côté des Affaires Etrangères. Puis,  avec des sifflets, rameaux  et autres petits grelots en mains, ils sont sortis en masse, pour tenter de se diriger vers chez Richard Muyej, le Ministre de l’Intérieur, Affaires Coutumières,  Sécurité et Ordre Public dont le cabinet est situé à quelques encablures du lieu de la manifestation, vers l’autre versant arrière-gauche   de la Banque Centrale du Congo, à la Gombe.   Mais, la Police les en a  empêchés à tel point qu’ils n’ont pu avancer. Ils ont, par contre, été contraints de rester dans l’enceinte de l’ISP jusqu’à nouvel ordre.  Comme  en pareille circonstance, des débordements  ne manquent pas.  Etudiants et policiers ont dû difficilement faire bon ménage, du moins dans les premières minutes de la manifestation. Il a fallu attendre quelques heures, un peu  plus tard, pour que le calme revienne.  Aux dernières nouvelles, une délégation  constituée des autorités académiques ainsi que de quelques représentants des étudiants a conféré avec Muyej, comme initialement souhaité. Il en est  ressorti  que des mesures sécuritaires préventives seront  dorénavant prises, pour endiguer, de façon définitive, ce genre de pratique  devenue  monnaie courante à l’ISP et dans les environs. Autrefois, l’on se souviendra que  la Paroisse Sacre-Cœur  en avait déjà  fait les frais. Mais,  l’événement n’avait peut-être  pas  connu un tel retentissement,  une telle ampleur que celui d’hier, avec la montée en furie  des étudiants prêts à tout, y compris à se casser en mille morceaux, pour peu que  l’ordre et la sécurité soient rétablis.  Il y  va de la qualité de la formation dispensée à la jeunesse estudiantine, l’élite de demain en RD. Congo. </em></strong><br />
<br />
<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="//www.youtube.com/embed/ajHypuR3tks?feature=player_embedded" width="640"></iframe><br />
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Que s’est-il passé exactement ?    </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Des hommes armés non autrement identifiés   ont fait irruption dans l’enceinte de l’Institut Supérieur   Pédagogique dans la nuit du 1<sup>er</sup>  au 2 décembre. Selon  des  témoignages concordants  de la part des  étudiants, ces malfrats étaient  au nombre de  trois dont deux en uniforme  et un en tenue civile.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Un étudiant a fait savoir qu’ils n’en étaient pas là, à leur premier coup. Au mois de novembre dernier, ils  avaient réédité   le même  exploit  à  quatre reprises. D’ailleurs,   l’un des gardes  universitaires  s’en était  tiré avec une épaule grièvement  blessée  par balle.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Ainsi, pour exprimer leur ras-le-bol, ont-ils  brandi,  haut les mains,  les branches d’arbres, les rameaux  pour crier à l’insécurité qui bat son plein  au sein de  cette institution d’enseignement supérieur et  universitaire.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>A bas l’insécurité</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Les inscriptions sur lesquelles on pouvait lire : « Non à l’insécurité dans les Homes, nous voulons la paix… ». Ces derniers ont scandé des  chansons hostiles à l’endroit de ces hommes en uniforme  qui, selon eux,  perturbent leur quiétude surtout à des heures tardives.  A en croire une étudiante,  l’événement s’est déroulé dans la nuit du lundi 1<sup>er</sup> au  mardi 2 décembre lorsque ces hommes ont pénétré malicieusement  l’enclos de l’Institut Supérieur Pédagogique de la Gombe (ISP/Gombe), avant de tenter d’atteindre leur cible.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Et,  de  poursuivre, l’un des  gardes de cet établissement s’est approché d’eux pour savoir ce qu’ils voulaient. Et, malheureusement pour lui,  ces impitoyables l’ont tellement  roué des coups qu’il a fait une brutale et forte  hémorragie, toute la nuit.   </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Une des  sources  universitaires  rapportent, en plus,   que l’infortuné garde aurait  été admis en soins intensifs dans   un centre médical de la place. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Cri de cœur des autorités</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Face à cette situation, les autorités académiques se disent impuissantes pour  sécuriser les étudiantes logées au Home et s’en remettent  aux autorités compétentes.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
A cet effet,  Emilienne Akonga, Secrétaire générale Académique de l’ISP/Gombe, a confié que pour la sécurité des étudiantes, « nous avions demandé des éléments de la police, mais on nous a dit qu’on ne peut pas nous envoyer les policiers parce que cette zone est protégée par la garde républicaine. A notre niveau, nous avions renforcé l’éclairage et la sécurité de nos  grilles »,  s’est-elle indignée.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Pour sa part, le responsable de la police de la ville de Kinshasa dit être au courant de la situation et que des dispositions nécessaires seront prises pour que ces genres d’incidents ne se répètent plus.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Gombe sous menace</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Alerté, le Bourgmestre de la Commune, Dolly Makambo a fait le déplacement de l’Institut pour s’enquérir de la situation.  Aussitôt arrivé, il a été mis au courant de tout ce qui s’est passé dans ce site universitaire.  Il a promis d’y veiller.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Muyej appelle les étudiants au calme </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Réunis dans la salle de promotion, les autorités académiques et les  étudiants ont  constitué une équipe pour aller exposer  cette situation auprès du Ministre  de l’Intérieur, Richard Muyej,  en  son cabinet de travail. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Il y a lieu de souligner qu’il  a prêté  une oreille attentive à leurs préoccupations.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
A  son corps défendant, Muyej  a appelé tout le monde  au calme. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Séance tenante, il  a rassuré cette délégation de l’ISP  et a   promis  de   déployer, toutes affaires cessantes,  une unité de la police nationale,  pour assurer la sécurité. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Il a, enfin,  décidé de prendre  en charge les soins médicaux du gardien ainsi  agressé par ces hommes en uniforme.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>

Au tour de Kinshasa infos en vidéos Non à l’insécurité : ISP, étudiants en colère, Muyej éteint le feu ! un étudiant a perdu la vie ( article et vidéo)

Ce sont des étudiants aux esprits surchauffés qui, dès les premières heures de ce mardi, 2 décembre 2014, ont décidé de manifester leu...

CAN 2015 : RENDEZ-VOUS CE MERCREDI POUR LE TIRAGE AU SORT

December 03, 2014

<h3>
La RDC, comme les autres pays qualifiés à la CAN 2015, connaîtra ses adversaires ce mercredi 3 décembre au terme du tirage au sort qu’effectuera la Confédération africaine de football (Caf).</h3>
<div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXH1qAIB_WLUT7ULQFP_IMYyvs6vLB8m0jMNC1CO-GkEXXQ0JRPw5thhd-IqgmT78DbMe-yAb3epA9Kp2R-8upjHgJvGXTt6WXN9ihnidd5pqltawIR0na14dRL-ikKkDONgtQlg0s8oU/s1600/Snapshot_7.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXH1qAIB_WLUT7ULQFP_IMYyvs6vLB8m0jMNC1CO-GkEXXQ0JRPw5thhd-IqgmT78DbMe-yAb3epA9Kp2R-8upjHgJvGXTt6WXN9ihnidd5pqltawIR0na14dRL-ikKkDONgtQlg0s8oU/s1600/Snapshot_7.jpeg" width="398" /></a></div>
<div>
Repêchés en dernière minute comme meilleur troisième de tous les groupes à l’issue de la phase éliminatoire, les Léopards savent qu’ils ne rencontreront pas la Guinée, le Sénégal et moins encore le Congo-Brazzaville lors des rencontres du premier tour de ces joutes internationales. Les quatre pays sont dans le même chapeau D. Par conséquent, les rd-Congolais pourraient être logés dans le même groupe que les redoutables équipes du Cameroun ou de la Côte d’Ivoire avec lesquelles ils ont disputé la qualification, de l’Algérie auteur d’un parcours sans faute et même le Ghana. Le onze national doit s’attendre donc à tout.</div>
<br />
<b>MODE D’EMPLOI DU TIRAGE AU SORT</b><br />
<br />
A l’issue de sa réunion du 1er décembre 2014 à Malabo en Guinée Equatoriale, la Commission d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations a adopté la procédure du tirage au sort de la phase finale de la 30e édition, prévue en Guinée Equatoriale du 17 janvier au 8 février.<br />
Les 16 équipes qualifiées ont été réparties en 4 pots en fonction du classement de la CAF établi sur la base de leurs performances respectives lors des 3 dernières phases finales de la CAN (2010, 2012, 2013) et des éliminatoires des CAN 2012, 2013 et 2015. Les résultats obtenus lors des éliminatoires de la Coupe du monde de la FIFA 2014 ont été également pris en compte.<br />
Le pot 1 comprend les têtes de série. La Guinée Equatoriale en tant que pays hôte sera tête de série et en position A1.<br />
La 1ère partie du tirage consistera à désigner le groupe dans lequel vont figurer respectivement le Ghana, la Côte d’Ivoire et la Zambie. Les boules contenant les noms des pays seront placés dans un pot et celles contenant les indices B1, C1, D1 dans un autre.<br />
La 2e étape verra le tirage au sort des équipes du pot 4 avec la 1ère tirée en position A4, la suivante en B4 ainsi de suite. L’opération sera répétée à l’identique pour les pots 3 et 2 avec les équipes placées dans les groupes.Pot 1 : Guinée Equatoriale, Ghana, Côte d’Ivoire, Zambie<br />
Pot 2 : Burkina Faso, Mali, Tunisie, Algérie<br />
Pot 3 : Cap-Vert, Afrique du Sud, Cameroun, Gabon<br />
Pot 4 : Guinée, Sénégal, RD Congo, Congo<br />
<strong><br />
</strong><br />
<strong><br />
</strong> <strong>R.M</strong><br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXH1qAIB_WLUT7ULQFP_IMYyvs6vLB8m0jMNC1CO-GkEXXQ0JRPw5thhd-IqgmT78DbMe-yAb3epA9Kp2R-8upjHgJvGXTt6WXN9ihnidd5pqltawIR0na14dRL-ikKkDONgtQlg0s8oU/s1600/Snapshot_7.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br />
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Le direct<br />
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<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe>

Sport CAN 2015 : RENDEZ-VOUS CE MERCREDI POUR LE TIRAGE AU SORT

La RDC, comme les autres pays qualifiés à la CAN 2015, connaîtra ses adversaires ce mercredi 3 décembre au terme du tirage au sort qu’effec...

Non à l’insécurité : ISP, étudiants en colère, Muyej éteint le feu !

December 03, 2014

<h3>
*Ce sont des étudiants aux esprits surchauffés qui, dès les premières heures de ce mardi, 2 décembre 2014, ont décidé de manifester leur ras-le-bol  dans la rue.  Traits tirés sur les visages, ils s’en sont pris à quelques  véhicules des  passants. Ils ont également barricadé toutes les voies jouxtant l’entrée de l’ISP et la sortie, de l’autre côté des Affaires Etrangères. </h3>
<div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFKgRri8Qs8RPwFFaQlVF0yoenvznZ2VRW4Hr4TdVh8OIupA8k1f03TsuXbqhpg0fzw9P-qxb7g3aSndYDSQmvByZIk1EwNZYfViRdeFuncEnxCFMzQaaHKnz6WmNFYZWZTB8voNxfG74/s1600/Snapshot_6.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="278" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFKgRri8Qs8RPwFFaQlVF0yoenvznZ2VRW4Hr4TdVh8OIupA8k1f03TsuXbqhpg0fzw9P-qxb7g3aSndYDSQmvByZIk1EwNZYfViRdeFuncEnxCFMzQaaHKnz6WmNFYZWZTB8voNxfG74/s1600/Snapshot_6.jpeg" width="400" /></a></div>
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Puis,  avec des sifflets, rameaux  et autres petits grelots en mains, ils sont sortis en masse, pour tenter de se diriger vers chez Richard Muyej, le Ministre de l’Intérieur, Affaires Coutumières,  Sécurité et Ordre Public dont le cabinet est situé à quelques encablures du lieu de la manifestation, vers l’autre versant arrière-gauche   de la Banque Centrale du Congo, à la Gombe.   Mais, la Police les en a  empêchés à tel point qu’ils n’ont pu avancer. Ils ont, par contre, été contraints de rester dans l’enceinte de l’ISP jusqu’à nouvel ordre.  Comme  en pareille circonstance, des débordements  ne manquent pas.  Etudiants et policiers ont dû difficilement faire bon ménage, du moins dans les premières minutes de la manifestation. Il a fallu attendre quelques heures, un peu  plus tard, pour que le calme revienne.  Aux dernières nouvelles, une délégation  constituée des autorités académiques ainsi que de quelques représentants des étudiants a conféré avec Muyej, comme initialement souhaité. Il en est  ressorti  que des mesures sécuritaires préventives seront  dorénavant prises, pour endiguer, de façon définitive, ce genre de pratique  devenue  monnaie courante à l’ISP et dans les environs. Autrefois, l’on se souviendra que  la Paroisse Sacre-Cœur  en avait déjà  fait les frais. Mais,  l’événement n’avait peut-être  pas  connu un tel retentissement,  une telle ampleur que celui d’hier, avec la montée en furie  des étudiants prêts à tout, y compris à se casser en mille morceaux, pour peu que  l’ordre et la sécurité soient rétablis.  Il y  va de la qualité de la formation dispensée à la jeunesse estudiantine, l’élite de demain en RD. Congo. </div>
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Que s’est-il passé exactement ?    <br />
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Des hommes armés non autrement identifiés   ont fait irruption dans l’enceinte de l’Institut Supérieur   Pédagogique dans la nuit du 1er  au 2 décembre. Selon  des  témoignages concordants  de la part des  étudiants, ces malfrats étaient  au nombre de  trois dont deux en uniforme  et un en tenue civile.<br />
<br />
Un étudiant a fait savoir qu’ils n’en étaient pas là, à leur premier coup. Au mois de novembre dernier, ils  avaient réédité   le même  exploit  à  quatre reprises. D’ailleurs,   l’un des gardes  universitaires  s’en était  tiré avec une épaule grièvement  blessée  par balle.<br />
<br />
Ainsi, pour exprimer leur ras-le-bol, ont-ils  brandi,  haut les mains,  les branches d’arbres, les rameaux  pour crier à l’insécurité qui bat son plein  au sein de  cette institution d’enseignement supérieur et  universitaire.<br />
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A bas l’insécurité<br />
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Les inscriptions sur lesquelles on pouvait lire : « Non à l’insécurité dans les Homes, nous voulons la paix… ». Ces derniers ont scandé des  chansons hostiles à l’endroit de ces hommes en uniforme  qui, selon eux,  perturbent leur quiétude surtout à des heures tardives.  A en croire une étudiante,  l’événement s’est déroulé dans la nuit du lundi 1er au  mardi 2 décembre lorsque ces hommes ont pénétré malicieusement  l’enclos de l’Institut Supérieur Pédagogique de la Gombe (ISP/Gombe), avant de tenter d’atteindre leur cible.<br />
<br />
Et,  de  poursuivre, l’un des  gardes de cet établissement s’est approché d’eux pour savoir ce qu’ils voulaient. Et, malheureusement pour lui,  ces impitoyables l’ont tellement  roué des coups qu’il a fait une brutale et forte  hémorragie, toute la nuit.   <br />
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Une des  sources  universitaires  rapportent, en plus,   que l’infortuné garde aurait  été admis en soins intensifs dans   un centre médical de la place. <br />
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Cri de cœur des autorités<br />
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Face à cette situation, les autorités académiques se disent impuissantes pour  sécuriser les étudiantes logées au Home et s’en remettent  aux autorités compétentes.<br />
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A cet effet,  Emilienne Akonga, Secrétaire générale Académique de l’ISP/Gombe, a confié que pour la sécurité des étudiantes, « nous avions demandé des éléments de la police, mais on nous a dit qu’on ne peut pas nous envoyer les policiers parce que cette zone est protégée par la garde républicaine. A notre niveau, nous avions renforcé l’éclairage et la sécurité de nos  grilles »,  s’est-elle indignée.<br />
<br />
Pour sa part, le responsable de la police de la ville de Kinshasa dit être au courant de la situation et que des dispositions nécessaires seront prises pour que ces genres d’incidents ne se répètent plus.<br />
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Gombe sous menace<br />
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Alerté, le Bourgmestre de la Commune, Dolly Makambo a fait le déplacement de l’Institut pour s’enquérir de la situation.  Aussitôt arrivé, il a été mis au courant de tout ce qui s’est passé dans ce site universitaire.  Il a promis d’y veiller.<br />
<br />
Muyej appelle les étudiants au calme <br />
<br />
Réunis dans la salle de promotion, les autorités académiques et les  étudiants ont  constitué une équipe pour aller exposer  cette situation auprès du Ministre  de l’Intérieur, Richard Muyej,  en  son cabinet de travail. <br />
<br />
Il y a lieu de souligner qu’il  a prêté  une oreille attentive à leurs préoccupations.<br />
<br />
A  son corps défendant, Muyej  a appelé tout le monde  au calme. <br />
<br />
Séance tenante, il  a rassuré cette délégation de l’ISP  et a   promis  de   déployer, toutes affaires cessantes,  une unité de la police nationale,  pour assurer la sécurité. <br />
<br />
Il a, enfin,  décidé de prendre  en charge les soins médicaux du gardien ainsi  agressé par ces hommes en uniforme.<br />
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La Pros. </div>
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Le direct<br />
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Au tour de Kinshasa Education la Nation Non à l’insécurité : ISP, étudiants en colère, Muyej éteint le feu !

*Ce sont des étudiants aux esprits surchauffés qui, dès les premières heures de ce mardi, 2 décembre 2014, ont décidé de manifester leur ra...

DE RETOUR DU XVEME SOMMET DE LA FRANCOPHONIE A DAKAR AUBIN MINAKU ET RAYMOND TSHIBANDA ÉCHAPPENT À LA MORT

December 03, 2014

<h3>
* Le ministre des Transports attendu à l’Assemblée nationale pour apporter<br />
des explications techniques sur cet avion qui a failli se crasher.<br />
Lundi 1er décembre a failli être un jour sombre pour le peuple congolais. Le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, et le ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, ont échappé à la mort. </h3>
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L’avion du Gouvernement congolais qui les ramenait de Dakar au Sénégal où ils venaient de participer au XVème sommet de la Francophonie a failli se crasher. L’appareil a eu un déséquilibre alors en plein vol. Avaient pris place à bord de cet avion deux députés nationaux et autres membres de la délégation. Happy end comme on dit, car l’irréparable n’est pas arrivé. Cela ne dédouane cependant pas le ministre des Transports et Voies de communication. Justin Kalumba est invité à l’Assemblée nationale pour fournir des explications techniques en rapport avec cet appareil que le Gouvernement avait acquis tout récemment.</div>
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Dans une motion incidentielle, le député Jean-Claude Vuemba a estimé urgent d’entendre le ministre des Transports. " C’est lui qui doit nous fournir des explications techniques sur cet avion que le Gouvernement venait d’acquérir récemment. Il doit éclairer la représentation nationale sur cet avion qui commence déjà à poser des dégâts. Le ministre doit nous dire si les esprits de mort qu’il combat dans les rues de Kinshasa sont maintenus dans les airs. Il doit nous éclairer sur l’état dans lequel le Gouvernement a acheté cet appareil. Nous voulons dire aussi qu’à travers cette motion, tous les députés expriment leur solidarité à l’ endroit de notre président", a indiqué l’auteur de la motion. En fait, le député Vuemba a pris cette initiative à la suite de l’information livrée par le rapporteur de l’Assemblée nationale à la plénière.<br />
Cette information, le rapporteur l’a puisée dans la lettre écrite par son président aux membres du bureau depuis la capitale du Sénégal. A travers cette correspondance lue à l’attention des députés, Aubin Minaku informait toute la Chambre du mauvais temps qu’il venait de connaître dans l’avion qui le ramenait au pays. En fait, l’appareil a échappé à un crash, lundi 1er décembre 2014, à Dakar au Sénégal. Et pour cause, un hublot a été brisé vingt minutes après le décollage. Cette situation a fait basculer l’appareil qui a subi la dépression d’air. Le pilote a simplement décidé de retourner sur Dakar où il a effectué un atterrissage forcé. Et c’est ce qui a sauvé le président de la Chambre et tous ceux qui avaient pris place à bord de cet appareil. " De la capitale sénégalaise, a informé le rapporteur de la Chambre, le président Aubin Minaku a pris un vol régulier pour Paris. Et c’est ce jeudi 4 décembre qu’il arrive à Kinshasa avec toute sa suite ".<br />
Dans cet avion qui transportait Aubin Minaku, se trouvaient également le ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, deux députés nationaux et les autres membres de la délégation. A la suite de cet incident, les députés attendent de pieds fermes le ministre des Transports et Voies de communication, Justin Kalumba pour parler de l’état de l’avion qui a failli plonger le pays dans les pleurs. Dorian KISIMBA</div>
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Le direct<br />
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Politique DE RETOUR DU XVEME SOMMET DE LA FRANCOPHONIE A DAKAR AUBIN MINAKU ET RAYMOND TSHIBANDA ÉCHAPPENT À LA MORT

* Le ministre des Transports attendu à l’Assemblée nationale pour apporter des explications techniques sur cet avion qui a failli se crash...

Vite l’évaluation du Processus électoral : Le MLC invite la CENI à convoquer les acteurs politiques

December 03, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhuJ189WOBYVhGYnwPpALBMvjlyfntlided0EqNeFe8FOnafcguLb3b1QZ4SwMBNGb1zsyWllQ9uLpVAn1u0VtAYcyFJe61PnsuhVt4bmICP08EVoa8hiDjnc1T8Ldu0ENylmZXNmzw2I/s1600/Snapshot_614.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhuJ189WOBYVhGYnwPpALBMvjlyfntlided0EqNeFe8FOnafcguLb3b1QZ4SwMBNGb1zsyWllQ9uLpVAn1u0VtAYcyFJe61PnsuhVt4bmICP08EVoa8hiDjnc1T8Ldu0ENylmZXNmzw2I/s1600/Snapshot_614.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhuJ189WOBYVhGYnwPpALBMvjlyfntlided0EqNeFe8FOnafcguLb3b1QZ4SwMBNGb1zsyWllQ9uLpVAn1u0VtAYcyFJe61PnsuhVt4bmICP08EVoa8hiDjnc1T8Ldu0ENylmZXNmzw2I/s1600/Snapshot_614.jpeg" width="400" /></a><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;"><em>Le Comité Exécutif National du MLC s’est réuni hier,  mardi 2 décembre 2014, au siège national du Parti. Parmi les points abordés, le MLC s’inquiète, sérieusement, du retard pris par la CENI dans le cadre de l’élaboration d’un calendrier électoral global, consensuel et la réalisation participative de certains préalables nécessaires à la tenue d’élections libres, démocratiques et transparentes dans le strict respect de la Constitution. Aussi, le MLC demande-t-il à la CENI de convoquer, sans délai, une réunion d’évaluation du processus électoral avec les principaux acteurs politiques de la majorité et l’opposition.</em></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><u>MOUVEMENT DE LIBERATION DU CONGO</u></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>                                  MLC</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>                  Avec Dieu, nous vaincrons</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>                           <u>Communiqué</u></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le Comité Exécutif National du Mouvement de Libération du Congo s’est réuni, ce mardi 02 décembre 2014 au siège national du Parti.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Après avoir examiné les points inscrits à l’ordre du jour et analysé l’actualité politique du pays, le MLC fait la déclaration suivante :</div>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li><strong><u>De la situation d’insécurité à BENI</u></strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le Mouvement de Libération du Congo condamne les tueries dont la population de BENI est victime et l’insécurité générale qui y règne. Le MLC exige du gouvernement congolais la prise de mesures énergiques capables de mettre un terme au calvaire de la population de BENI. Le MLC demande aussi à la MONUSCO, conformément à son mandat, d’accompagner les autorités congolaises dans cette croisade contre la barbarie et l’insécurité qui ont élu domicile à l’Est de notre pays.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le MLC exprime sa compassion et sa solidarité avec nos compatriotes de l’Est en général, victime de cette insécurité et ceux de BENI en particulier.</div>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li value="2"><strong><u>De l’affaire HUMAN RIGHTS WATCH</u></strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Après avoir suivi dans les médias la polémique suscitée par la publication du rapport de HUMAN RIGHTS WATCH, relatif à l’opération «LIKOFI», le MLC fait les observations suivantes :</div>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li>L’opération policière menée par les agents de la Police Nationale Congolaise contre les groupes d’individus appelés « KULUNA » qui sèment la terreur et l’insécurité dans certains quartiers de la ville de Kinshasa était une nécessité</li>
<li>Néanmoins, conformément aux principes régissant un Etat de droit, toutes les opérations ou activités des agents de l’Etat doivent se faire dans le strict respect de la loi et des règlements de la République</li>
<li>S’il s’avère que lors du déroulement de l’opération « LIKOFI » certains  agents de la Police Nationale Congolaise ont commis des exactions, des crimes ou autres délits, ils devront en répondre personnellement devant les instances compétentes</li>
<li>Il est irresponsable de rejeter d’un revers de la main le rapport HUMAN RIGHTS WATCH en se parant du manteau de la souveraineté nationale pour couvrir, le cas échéant, certaines violations de droit de l’homme</li>
<li>Il est donc nécessaire et utile de mettre en place une commission d’enquête mixte, (Police nationale, Société civile et membres du Parlement) afin de vérifier la véracité des allégations contenues dans ce rapport et proposer des mesures adéquates.</li>
</ol>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li value="3"><strong><u>Du processus électoral  </u></strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le MLC  s’inquiète sérieusement du retard pris par la Commission Electorale Nationale et Indépendante dans le cadre de l’élaboration d’un calendrier électoral global, consensuel et la réalisation participative de certains préalables nécessaires à la tenue d’élections libres, démocratiques et transparentes dans le strict respect de la Constitution.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
A ce sujet, le MLC demande à la CENI, de convoquer sans délai une réunion d’évaluation du processus électoral avec les principaux acteurs politiques de la majorité et l’opposition.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le MLC a suivi avec attention l’évolution de la situation politique au BURKINA FASO et invite dès lors la classe politique congolaise, singulièrement la majorité au pouvoir, à en tirer toutes les leçons utiles à la préservation de la paix sociale et des acquits démocratiques.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Par ailleurs, le MLC  a suivi avec intérêt la mise en place des organes dirigeants de l’office national d’identification de la population, ONIP en sigle. Tout en partageant le souci de maîtrise des données démographiques de notre pays, le MLC s’inquiète de la politisation de cet établissement public par la nomination de seules personnalités politiques de la majorité au pouvoir.</div>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li value="4"><strong><u>De la situation du Sénateur Jean-Pierre BEMBA GOMBO</u></strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le MLC  se réjouit de constater que le long procès politique infligé à son Président National arrive enfin à son terme. Ayant suivi attentivement les déclarations finales du Bureau du Procureur et celles de la défense, le MLC félicite l’équipe d’avocats du Sénateur Jean-Pierre BEMBA pour la qualité du travail abattu, travail qui a éclairé l’opinion sur l’innocence de notre Président National.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Dans l’attente du verdict qui interviendra dans un délai raisonnable, le MLC appelle ses cadres et militants à la mobilisation générale pour affronter les défis et les enjeux politiques qui se présenteront devant nous lors du prononcé du verdict qui, logiquement et raisonnablement, ne peut être qu’un verdict d’acquittement de notre Président National.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
 « Avec Dieu, nous vaincrons »</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Fait à Kinshasa, le 02/12/2014</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Thomas LUHAKA LOSENDJOLA </strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Secrétaire Général </strong></div>
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Le direct<br />
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<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe><br />

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December 02, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfH669kt8wx7FOIqExWbQ8F5Fy_pUHb_s0xwX852V27OnVW6v0E2JWNW9Wksrp4EBdI22BZpk1XxrDkJ0WsnVYNLetN7alYE4q1P9CYbecPmfd46JpuhkaMVDj8D9x9kmWb5QYm7ExhRo/s1600/Snapshot_612.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfH669kt8wx7FOIqExWbQ8F5Fy_pUHb_s0xwX852V27OnVW6v0E2JWNW9Wksrp4EBdI22BZpk1XxrDkJ0WsnVYNLetN7alYE4q1P9CYbecPmfd46JpuhkaMVDj8D9x9kmWb5QYm7ExhRo/s1600/Snapshot_612.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="326" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfH669kt8wx7FOIqExWbQ8F5Fy_pUHb_s0xwX852V27OnVW6v0E2JWNW9Wksrp4EBdI22BZpk1XxrDkJ0WsnVYNLetN7alYE4q1P9CYbecPmfd46JpuhkaMVDj8D9x9kmWb5QYm7ExhRo/s1600/Snapshot_612.jpeg" width="400" /></a><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;"><em>Enfin, c’est le 8 janvier prochain, à Lagos, au Nigeria, que le Glo-Caf Awards va procéder à la nomination du meilleur joueur africain de l’année évoluant dans le monde, et le meilleur joueur africain évoluant en Afrique. Ils étaient nombreux dans les listes, à ce stade très décisif, ils ne restent plus que cinq dans chaque catégorie.</em></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Dans la catégorie du meilleur joueur évoluant sur le continent africain, Firmin Mubele Ndombe, auteur de 6 buts à la dernière Ligue de champions de la Caf, est le seul Congolais encore en lice pour la conquête de ce titre. Ses compatriotes, Jean Kasusula Kilitsho du Tout-Puissant Mazembe Englebrt et Lema Mabidi de l’As VClub ont été écartés de la course. Une performance bien méritée de Firmin Mubele qui a convaincu tout le monde dans ce bon parcours de l’As Vclub en Ligue de champions de la Caf, édition 2014. Ses quatre challengeurs à ce niveau ne sont autres que : Akram Djahnit et El Hedi Belamieri, deux joueurs algériens de l’Entente Sportive Sétif, le Tunisien Fakhereddine Ben Youssef du CS Sfaxien, et le gardien sud-africain des Orlando Pirates, Senzo Meyiwa, assassiné à la fin du mois d’octobre dernier. Tout est jouable pour Mubele qui peut surprendre.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
La balle est donc dans le camp des entraîneurs des équipes nationales et des Directeurs Techniques Nationaux de toutes les 54 pays membres de la CAF qui sont déjà à pied d’œuvre pour départager les cinq concurrents. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Par ailleurs, il y a lieu de préciser que cette liste sera de nouveau réduite à 3 joueurs dans les jours à venir, avant la grande cérémonie officielle de la proclamation du vainqueur le 8 janvier à Lagos (Nigéria). Le gagnant de cette catégorie succèdera à l’Egyptien Mohamed Aboutreika.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Concernant l’autre challenge pour un trophée individuel, Yannick Bolasie (joueur de Crystal Palace (Angleterre) ne figure pas sur la liste de cinq finalistes pour le titre de meilleur joueur africain de l’année 2014.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le triple tenant du titre, l’Ivoirien Yaya Touré est toujours en course  face à Asamoah Gyan (Ghana), Ahmed Musa (Nigeria), Vincent Enyeama (Nigeria) et Pierre-Emerick Aubameyang (Gabon).</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>G.E</strong></div>
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Sport Glo-Caf Awards : Firmin Mubele Ndombe veut exploser !

Enfin, c’est le 8 janvier prochain, à Lagos, au Nigeria, que le Glo-Caf Awards va procéder à la nomination du meilleur joueur africain d...

Le Camp Kamerhe s’oppose au dialogue !

December 02, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi08BRtAV6hggP8zpbNF8XVco4cnZuDtJEChFn_EzE5Tlp30rYaLu1MkmEjZNZ-Ji149YIpXpaxPbX6S52dpH0QMP0t95u6cMss0TZd6dP50yUJQ3FvRcZ6orpcMJFFrNFAsUv8klaHUJY/s1600/Snapshot_611.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;">Aussi surprenant que peut paraître le virage à 90° opéré par l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) de Vital Kamerhe qui décline désormais toute idée de dialogue politique avec le pouvoir, la nouvelle mérite bien  une analyse approfondie. Une telle prise de position lourde de conséquences n’a rien de spontané. Kamerhe calcule et fait avancer ses pions. C’est lui qui prend des initiatives avec une certaine longueur d’avance par rapport à ses collègues. Dans deux ans, se dit-il, l’actuelle législature arrive à terme. Kamerhe veut alors jouer sa chance au fond et prendre le chapeau qu’il convoite. Le dialogue politique, s’il est convoqué, ne sera pas bénéfique à l’Opposition, confie-t-il. Dans la mesure où ce dialogue pourrait déboucher sur une transition, coiffée par le Président Joseph Kabila, de deux ou trois ans. </strong><strong style="line-height: 1.6em;">Par ailleurs,</strong><strong style="line-height: 1.6em;"> Kamerhe a demandé à l’Udps d’oublier la bataille de la conquête de l’impérium de Tshisekedi, le Président Joseph Kabila ayant consommé trois années du mandat réclamé.</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le Bureau politique de l’UNC, qui s’est réuni le lundi 1<sup>er</sup> décembre courant, a cru dénicher un piège que leur aurait tendu le pouvoir avec la création et la mise sur pied de l’Office National de l’Identification de la Population (ONIP), dont la finalité est de procéder au recensement administratif et scientifique de la population. L’UNC trouve exorbitant le budget, 500 millions de dollars américains, dont a besoin l’ONIP pour s’acquitter de sa tâche. Pour Vital Kamerhe et son parti, ces masses importantes d’argent devraient plutôt servir à financer l’organisation de la présidentielle et des législatives dans le délai constitutionnel. Parallèlement, l’UNC estime que l’une des priorités est l’organisation des élections provinciales de façon à mettre fin à l’illégitimité des Assemblées provinciales, du Sénat et des Gouverneurs de provinces. Au nom de la continuité de l’Etat, le dénombrement de la population serait remis à plus tard. Rien n’urge, insiste Kamerhe. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>L’Udps appelée à changer son  fusil d’épaule</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
La nouvelle ligne tracée par Vital Kamerhe sera-t-elle acceptée et suivie par ses collègues de l’Opposition politique, l’Udps en particulier ? Difficile à y répondre pour le moment. Néanmoins, Kamerhe a demandé à l’Udps d’oublier la bataille de la conquête de l’impérium de Tshisekedi, le Président Joseph Kabila ayant consommé trois années du mandat réclamé. Selon Vital Kamerhe, l’année 2016 sera hautement politique avec plusieurs scrutins. En principe, la convocation de l’élection présidentielle est prévue 90 jours avant l’expiration du mandat. Va-t-on l’entendre de cette oreille du côté des jusqu’au-boutistes de l’Udps, ceux-là mêmes qui donnent du fil à retordre au Secrétaire général Bruno Mavungu ? La pilule sera amère à avaler, à première vue. Parce que, jusque-là, l’Udps a fait de la conquête de l’impérium,  une question existentielle. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’Udps envoie ses combattants battre le macadam afin d’exiger la convocation du dialogue politique sans exclusive, sous une médiation internationale. Que de marches de protestation, toujours réprimées, n’ont pas été organisées par les Forces politiques et  sociales à Kinshasa ?  Quoi qu’il en soit, l’heure est venue où les acteurs politiques doivent se remettre à l’évidence et opérer des choix stratégiques, si et seulement si les opposants envisagent une alternance en 2016. Rien, au stade actuel, ne permet de penser que si des élections sont organisées dans les conditions actuelles, l’Opposition les gagnerait. Il n’est pas exclu que, dans les jours à venir, l’Opposition se déchire pour des problèmes d’égo. Une Opposition désunie, sans stratégie commune de conquête de pouvoir, ne ferait trembler  personne. Ainsi, plutôt que de s’asseoir et regarder venir les choses, l’Opposition ferait œuvre utile en s’organisant autour d’un programme commun, d’abord et, plus tard, d’un leader devant  incarner  ses principales aspirations.</div>
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Politique Le Camp Kamerhe s’oppose au dialogue !

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Marie Olive Lembe confirme être la représente valable de Joseph Kabila à Isiro lors de la messe du Jubilé d'or de la sœur Marie-Clémentine Anuarite Nengapeta célébrée par le Cardinal Mosengo ( vidéo)

December 02, 2014

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December 02, 2014

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Lundi 8 décembre 2014 : Kabila va parler à la nation !

December 02, 2014

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-mNQmKovvF23zTDfzpjEYXT1p96zPk87BIs-H8EEnFMHG8rs5Zq3yYz7gth9FuuIce0AVq7fvVHicZA5Brj9H72Zv7ZYsAUsTcntHEA34x2YJGxqcltlaji5g7ypgQbVdvkZwig1OKbw/s1600/Snapshot_602.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /></div>
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong style="line-height: 1.6em;">Toutes les questions brûlantes d’actualité seront évoquées par le Président Joseph Kabila. Constitution, dialogue, Gouvernement de cohésion, processus électoral, ADF, FDLR, économie, décentralisation, Institutions, etc. C’est  ce samedi 6 décembre 2014 qu’il  devrait, en principe,  prononcer son traditionnel discours sur l’état de la Nation, devant les deux Chambres du Parlement réunies en Congrès. Mais, aux dernières nouvelles, le Chef de l’Etat  pourrait, sauf changement de dernière minute,   parler le   lundi 8 décembre 2014, dans la matinée. Des sources officieuses  justifient ce report par des problèmes liés naturellement  à  l’agenda  du Président Kabila.</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Tout le week-end, Joseph Kabila expédiait, à Dakar,  au Sénégal, les affaires courantes de sa présidence à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Trop sollicité, au four et au moulin, le Président Congolais aura joué un rôle important dans l’atterrissage en douceur du Sommet de Dakar dont le principal objectif était la désignation d’un successeur au Secrétaire Général de l’OIF sortant, Abdou Diouf. A Kinshasa, le Protocole d’Etat congolais, a-t-on appris, aurait pris du retard dans les préparatifs du Congrès. Surtout que le Chef de l’Etat avait dans sa suite,  le Président de l’Assemblée Nationale, Aubin Minaku, chargé de coprésider le Congrès avec le Président du Sénat, Léon Kengo.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>L’installation de la Cour Constitutionnelle</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
D’autres sources rapportent aussi que Joseph Kabila aurait bien voulu présenter, au Congrès, une sorte de bilan à mi-mandat. L’installation effective de la Cour Constitutionnelle devrait, logiquement, étoffer le bilan de trois années de mandat. En effet, la Cour Constitutionnelle est le juge pénal du Président de la République et du Premier Ministre. C’est l’instance judiciaire qui va désormais trancher le conflit entre le pouvoir central et les provinces, le conflit de compétence entre les Institutions, les contentieux électoraux ainsi que la Constitutionnalité des textes de lois. Par les temps qui courent, le rôle de la Cour Constitutionnelle devrait encore croître politiquement. En cas de force majeure, par exemple, si la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) ne parvenait pas à organiser les élections dans le délai, comme cela avait été le cas pour le second tour de la Présidentielle en 2006, seule la Cour Constitutionnelle est compétente en la matière. Une telle hypothèse n’est pas totalement à exclure. A l’allure où vont les choses, la CENI risque effectivement de se retrouver dans une situation inconfortable. Les lois électorales dites essentielles tardent à venir. La logistique nécessaire fait encore défaut. D’où, la crainte d’un éventuel glissement. Mais, une prorogation n’est pas automatique. Elle doit être dûment motivée. Pour que la décision de la Cour Constitutionnelle soit acceptée, sans soulever des vagues, il faudrait qu’elle soit prise par des personnalités dont l’intégrité, la compétence et la probité morale ne sont entachées d’aucun microbe. Si jusque-là, la Cour Constitutionnelle a été bien accueillie dans le microcosme politique congolais et même dans l’opinion, c’est parce qu’elle est dirigée par des personnalités non contestées. Des gens comme Félix Vunduawe y sont pour beaucoup. Professeur des Universités, homme politique rompu, Vunduawe pourrait, une fois confirmé à la tête de la Cour Constitutionnelle, bien crédibiliser la structure. Une décision, qui serait prise sous sa présidence, aurait beaucoup de chance de passer dans l’opinion que si un cacique patenté du régime était aux commandes.   </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Parmi les structures à installer, figurent également en bonne place, le Conseil Economique et Social ainsi que le Conseil National des Droits de l’Homme. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>De grands enjeux en perspective</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Beaucoup d’acteurs politiques attendent le Président Kabila sur le terrain de la révision constitutionnelle. C’est peine perdue, fait-on savoir du côté de ceux qui connaissent bien Joseph Kabila. Au même moment, l’Opposition radicale espère que le Président de la République, dans son allocution, ne manquera pas de faire allusion au fameux dialogue politique sans exclusive. Comme on le voit, beaucoup d’attentes soulevées, y compris les plus irréalistes. Il y en a qui rêvent, non sans raison, de l’avènement d’un Gouvernement de cohésion nationale. En revanche, le Président pourrait s’étendre sur des questions relatives à la sécurité du pays. Dans le Grand-nord de la Province du Nord-Kivu, à Beni précisément, des terroristes étrangers associés à leurs complices congolais commettent des tueries massives, à l’aveuglette. Il y a peu, Joseph Kabila s’y est rendu. Mais, les massacres n’ont pas cessé. La situation dans la partie orientale du pays exige une thérapeutique de choc.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Puisqu’il peut s’agir d’un discours bilan à  mi-parcours, ce sera l’occasion de vanter les actions déjà réalisées par Joseph Kabila et son Gouvernement. Au nombre desquelles, le parc agroindustriel de Bukanga Lonzo. Sans doute, le Président ne manquera pas de parler de la stabilisation du cadre macroéconomique, la victoire sur Ebola ainsi que tant d’autres acquis de la révolution. La victoire,  quoique restant à consolider sur le M23, les diverses menaces  de certains groupes armés contre la paix dans l’Est, ne manqueraient nullement à occuper une place prépondérante dans une telle allocution.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13.1428575515747px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Le 30 juin 2014, en marge des festivités marquant le 54<sup>ème</sup> anniversaire de l’accession de la RD. Congo à l’indépendance, le Président avait promis un certain nombre de choses. Une évaluation s’avère nécessaire.</div>
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