BA SANGO YA CONGO KINSHASA

D’APRES UNE ENQUETE D’OPINIONS 60% DES KINOIS FAVORABLES À LA PROLONGATION DU MANDAT DE JOSEPH KABILA

August 04, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvWCixBwTYFQJgO6rIhM98ZhZ4KT9uAWALTI2lSD4t9bYDcmKxAqC67UlaWg3B2wamcbInfQlKUWYf5qHqOP024a3f2pUoidnNf_1HtdDvVl7bsuEKccGslD6VpSjdvTiIqyH_sf41Jopb/s1600/Snapshot_145.png" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvWCixBwTYFQJgO6rIhM98ZhZ4KT9uAWALTI2lSD4t9bYDcmKxAqC67UlaWg3B2wamcbInfQlKUWYf5qHqOP024a3f2pUoidnNf_1HtdDvVl7bsuEKccGslD6VpSjdvTiIqyH_sf41Jopb/s400/Snapshot_145.png" width="400" /></a></div>
La révélation est de la maison de sondage " Les Points " à Kinshasa. " 60% des Kinois sont favorables à la prolongation du mandat actuel du Président Joseph Kabila ", renseignent les résultats d’une enquête d’opinions, menée du 17 au 18 juillet dans la capitale congolaise. Sur un total de 1000 personnes qui ont constitué l’écAantillon de cette étude, 68%, toutes obédiences politiques confondues, ont reconnu les réalisations de Joseph Kabila. Cependant, quant à la possibilité d’une alternance politique au profit de l’Opposition politique, pour continuer l’œuvre du développement du pays amorcée par le Raïs, 59% des Kinois sont restés sceptiques. Cependant, à la question de savoir s’il était encore possible d’accorder une nouvelle chance au Président joseph Kabila de briguer un troisième mandat, la majorité des enquêtés de la maison Les points ont estimé que cela devrait faire l’objet d’un accord devant conduire à l’organisation d’un référendum populaire sur la question. Ci-dessous, les détails de ladite enquête. FDA 
 
SONDAGE LES POINTS : AU-DELA DU DEBAT CONSTITUTIONNEL, 
Le Point de vue de la majorité silencieuse sur le mandat de Kabila 
C’était jusque-là les oubliés du débat politique en cours. Eux qui constituent le peuple et que les belles plumes qualifient à juste titre de " majorité silencieuse ". Les politiques, dans la majorité comme dans l’opposition parlent en leur nom, souvent sans se soucier le moins du monde de savoir quel est leur point de vue. La maison de sondage Les Points installée à Kinshasa leur a accordé la parole en ce mois de juillet 2015 pour qu’ils disent eux-mêmes ce qu’ils pensent au sujet des questions qui alimentent le débat politique actuel en République Démocratique du Congo. Si cela ne dépendait que d’eux, le président Joseph Kabila, élu en 2006 et réélu en 2011, donc interdit par la constitution rd congolaise de rempiler en 2016 devrait bénéficier d’un mandat supplémentaire pour poursuivre son œuvre. 
 
SATISFAIT DE SON ŒUVRE, LE PEUPLE NE CONÇOIT PAS L’APRES KABILA MAINTENANT. 
Les résultats du sondage quantitatif réalisé par la maison Les Points sur un échantillon de 1.000 personnes dans la capitale congolaise, sont très instructifs et même surprenants. A l’évidence, l’opinion de la majorité silencieuse est aux antipodes du verbiage politicien. Pour elle, les œuvres du Président sont évidentes et fort appréciables. 68% des personnes interrogées sont de cet avis contre 28% qui disent ne pas être satisfaites des réalisations de l’actuel locataire du Palais de la Nation de la Gombe. 60% des enquêtés sont d’avis qu’il sied d’accorder à Joseph Kabila Kabange la chance de poursuivre une œuvre qui porte des fruits en lui accordant un mandat supplémentaire, pendant que 31% pensent le contraire. 9% de personnes interrogées se sont abstenus de répondre à cette question qui fait l’impasse sur les dispositions constitutionnelles en vigueur. 
 
L’OPPOSITION CONSTITUE-T-ELLE UNE ALTERNATIVE CREDIBLE ? 
Pour la première fois, un jugement de valeur de l’opinion publique sur l’opposition congolaise que peu de chercheurs introduisent dans leurs enquêtes a été abordé dans un sondage. Constitue-elle une alternative crédible pour ce pays avec ses problèmes prioritaires ? 59% des sondés estiment que non. 31% des personnes interrogées lui font confiance pendant que 10% se sont abstenus de répondre à la question. 
Les personnes qui ont répondu aux questions du sondage Les Points se sont définies à 14% comme favorables à l’opposition et 8% proches de la majorité au pouvoir tandis que 11% se sont déclarés membres de la société civile et, à ce titre " apolitiques " et 67 % sans opinion ni appartenance à quelque courant politique ou social que ce soit. 
Cette dispensation renferme plusieurs renseignements susceptibles de bouleverser nombre d’idées reçues. Ainsi, les milieux politiques qui multiplient gesticulations, intrigues et discours populistes ne représentent en réalité, toutes tendances confondues, que 22% de la population kinoise, alors que les citoyens non engagés aussi bien socialement que politiquement constituent 67% de la même population. On comprend pourquoi il y a toujours de la " clientèle " disponible pour les partis politiques nouvellement créés. Mais on découvre surtout qu’il faut se méfier des prétentions des uns et des autres d’avoir " le peuple " derrière eux. Nous laissons le lecteur découvrir lui-même les résultats du sondage tels que présentés par la maison Les Points. 
 
o FICHE TECHNIQUE ET METHODOLOGIE DU SONDAGE 
o Sondage exclusif Les Points. 
o Conception questionnaire : LESPOINTS et partenaires. 
o Méthodologie : Sondage quantitatif par la méthode des quotas : 
o Echantillon Général :1000 personnes, représentatives de la population de Kinshasa, âgés de 18 ans et plus, constitué d’après la méthode des quotas (sexe, âge, Etat civil, profession, tendances politiques et provinces d’origine) ; 
o Mode de récolte des données : Enquête réalisée face à face, enquêteurs enquêtés ; 
o Terrain d’application : Kinshasa. 
o Date de terrain : du17au18Juillet2015 
Comme pour toute enquête quantitative, cette étude présente des résultats soumis aux marges d’erreur inhérentes aux lois statistiques. 
 
INTERVALLE DE CONFIANCE A 95% DE CHANCE 
Effectif 5 ou 95% 10 ou 90% 20 ou 80% 30 ou 70% 40 ou 60% 50% 
1000 1,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 
La marge d’erreur varie en fonction de la taille de l’échantillon et du pourcentage observé. Dans le cas d’un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage mesuré est de 20%, la marge d’erreur est égale à 2,5. Le vrai pourcentage est donc compris entre 17,5% et 22,5%. 
 
II. RENSEIGNEMENTS GENERAUX 
A son accession à la souveraineté nationale et internationale en 1960, la République Démocratique du Congo s’est ouverte à un nouvel avenir de grandeur. Puissance au cœur de l’Afrique, cette grandeur rejaillissait aussi sur le continent tout entier au regard, non pas seulement de sa position stratégique, mais aussi de son potentiel économique et minier convoité de tous. 
L’enjeu de cette grandeur passait par l’engagement effectif de ses fils et filles de transformer ses potentialités en richesses concrètes, mais aussi de transformer le pays pour le mettre au diapason des normes infrastructurelles internationales. Malheureusement, les convoitises de tous ordres de par le monde, particulièrement dans les pays occidentaux, et les antagonismes politiques intérieurs, couplés à une mégestion sans cesse grandissante, ont plongé le pays dans une profonde régression. De l’économique aux infrastructures, tous les indicateurs étaient vite passés au rouge avant que le pays ne s’inscrive pour longtemps au bas des statistiques, en contradiction avec les énormes potentialités dont il regorge. 
La courbe descendante a ainsi continué à se frotter avec les bas fonds jusqu’à ce que, grâce à un sursaut nationaliste inattendu, des fils et filles du pays se lèvent avec beaucoup de courage et de persévérance contre une dictature vermoulue qui avait longtemps paupérisé le pays sur tous les plans. 
On avait cru que la chute de la dictature allait coïncider avec un nouvel espoir pour un avenir radieux pour le pays, mais c’était compter sans la farouche détermination des groupes d’intérêts mercantilistes qui tenaient à tout prix à maintenir la RDC sous coupe réglée en y suscitant allègrement des cycles d’agressions et de rébellions. 
L’assassinat le 16 janvier 2001 de M’zee Laurent Désiré Kabila, le révolutionnaire tombeur de Mobutu, a constitué à cet égard un véritable coup de tonnerre dans le firmament des patriotes congolais. Beaucoup assimilent cette élimination du libérateur à la réalisation d’une malédiction pour le pays de Lumumba, son inspirateur. Lorsqu’il accède à la magistrature suprême après l’assassinat de son père et camarade de lutte, le nouveau Président, Joseph Kabila, prend vite la mesure de l’urgence qui impose une action en profondeur pour redresser le bateau en perdition. Aux efforts de pacification et de réunification qu’il impose au pays et aux apprentis sorciers qui en préparaient la balkanisation, viendront s’ajouter des programmes de reconstruction et de modernisation qui, en quelques huit années, ont pu donner une nouvelle image qui, progressivement, change la RDC des années coloniales et post coloniales. 
À la faveur de ses programmes des cinq chantiers (2006-2011), puis de la révolution de la modernité (de 2011 à ce jour), le pays subit sans désemparer une véritable cure de normalisation. On assiste depuis lors à des améliorations inédites dans les secteurs des infrastructures routières, aéroportuaires, fluviales et ferroviaires en passant par l’économie et les finances ou la desserte en énergie qui présentent de plus en plus une image de modernité. 
Aujourd’hui, par exemple, il est possible de joindre Lubumbashi par la route au départ de Kinshasa. Il n’est donc pas étonnant que, à la suite du Président de la République, nombre de Congolais commencent à croire en la possibilité d’une émergence de la RDC à l’horizon 2030. Bien entendu, il reste encore du travail au plan social pour atteindre cet objectif, mais, unanimement, les observateurs reconnaissent que les réalisations déjà remarquables et l’élan pris par la RDC ne laissent aucun doute quant au réalisme d’une telle vision optimiste. 
C’est sur la base de ces réalisations et de ces observations que nous avons été amenés à initier le présent sondage qui a pour but de mesurer effectivement le niveau de reconnaissance de ces améliorations et de leur apport dans la vie des Congolais en général et des habitants de Kinshasa, ville frondeuse et théoriquement acquise à l’opposition en particulier, ainsi que leur appréciation des œuvres que le président Joseph Kabila Kabange a, du moins à ce stade, accomplies pour leur pays. 
Cette enquête par sondage a été réalisée dans la capitale congolaise, du 17 au 18 juillet 2015 auprès d’un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la ville de Kinshasa, réparties selon les tendances politiques dont 67% issues de la couche la plus majoritaire des Kinois n’appartenant à aucune tendance politique ni à la société civile, contre 14% de Kinois très engagés dans l’opposition, 8% partageant les idées de la majorité au pouvoir et 11% se réclamant de la société civile, un nouveau concept très en vogue qui se réfère à des citoyens qui ne se soucient que des questions liées au bien-être collectif sans parti-pris d’ordre idéologique. 
Après stratification des données récoltées sur le terrain, 68% (graphique 1) des Kinois reconnaissent les actions à impact visible et durable réalisées par le Président Joseph Kabila depuis son avènement à la tête du pays. Dans cette catégorie des répondants, 9% (graphique 2) sont des sympathisants de l’opposition, 92% (graphique 3) avouent appartenir à la majorité présidentielle, 61% (graphique 4) à la société civile et 79% (graphique 5) au reste de la population, ce qui représente la majorité des Kinois. Ce groupe des répondants, tout en se plaignant des insuffisances de la politique sociale du gouvernement qui continue à battre de l’aile, estime que le Chef de l’Etat a réalisé des actions qui ont contribué à améliorer l’image de marque de la RDC dans le domaine des infrastructures. 
Certains des enquêtés, Congolais de la diaspora approchés par nos enquêteurs, ont reconnu avec beaucoup d’enthousiasme l’utilité et la pertinence des actions réalisées par le Chef de l’Etat. 
A la question de savoir si on devrait accorder au Président Kabila une nouvelle chance de poursuivre son œuvre, les Kinois trouvent que cela devrait faire l’objet d’un dialogue politique entre toutes les forces vives de la nation et particulièrement la classe politique. Cela devrait, à leur avis, passer par un accord en vue de l’organisation d’un référendum sur la question. Ils sont 60% (graphique 6) des Kinois à soutenir l’idée d’une éventuelle prolongation du mandat du Chef de l’Etat, tout en mettant l’accent sur le social qui reste le point faible de la gestion du pays par Kabila. 
Quant à savoir si l’opposition politique congolaise représente une alternative pour continuer avec les actions de la modernisation de la RDC qui ont été amorcées par le Président Kabila, 59% (graphique 11) des Kinois en doutent, estimant que l’opposition ne constitue pas une alternance crédible pour assurer l’élan de la modernisation de la RDC, car l’opinion publique est trop tenue en haleine du fait des sempiternelles querelles et des divisions qui naissent au jour le jour dans le camp de l’opposition et le balbutiement enregistré dans leurs prises des décisions. Allusion est faite à cet égard aux revendications se rapportant au calendrier électoral voulu global dans un temps et partiel dans un autre et aux disputes internes sur le dialogue national, lesquelles ne rassurent guère quant aux chances de voir émerger dans cette cacophonie un leadership efficace et soucieux du bien-être de la population. Par contre, 31% (graphique 11) des Kinois maintiennent leur confiance aux forces politiques de l’opposition et trouvent que celle-ci représente une alternative crédible pour assurer la continuité de la modernisation de la RDC, même sous un autre chef d’Etat. 
 
RESULTATS DE L’ENQUETE 
QUESTION 1. Etes-vous satisfait des réalisations du Président Kabila ? 
RÉPONSE 
GRAPHIQUE 1. BASE : 1000/100% 
GRAPHIQUE 2 BASE : 140/100% GRAPHIIQUE 3 BASE : 80/100% 
GRAPHIQUE 4 BASE : 110/100% GRAPHIQUE 5 BASE : 670/100% 
QUESTION 2 Pensez-vous qu’on devrait accorder au Président Kabila une nouvelle chance de poursuivre son œuvre ? 
RÉPONSE 
GRAPHIQUE 6. BASE:1000/100% 
GRAPHIQUE 7. BASE : 140/100% GRAPHIIQUE 8. BASE : 80/100% 
GRAPHIQUE 9. BASE : 110/100% GRAPHIQUE 10. BASE : 670/100% 
QUESTION 3. Pensez-vous que l’opposition politique congolaise représente une alternative crédible pour continuer avec les actions de la modernisation de la RDC, comme amorcé par le Président Kabila ? 
RÉPONSE 
GRAPHIQUE 11. BASE : 1000/100% 
GRAPHIQUE 12. BASE : 140/100% GRAPHIQUE 13. BASE : 80/100% 
GRAPHIQUE 14. BASE : 110/100% GRAPHIQUE 15. BASE : 670/100% 
 
Le direct 
 
 
<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe> 
 
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvWCixBwTYFQJgO6rIhM98ZhZ4KT9uAWALTI2lSD4t9bYDcmKxAqC67UlaWg3B2wamcbInfQlKUWYf5qHqOP024a3f2pUoidnNf_1HtdDvVl7bsuEKccGslD6VpSjdvTiIqyH_sf41Jopb/s320/Snapshot_145.png" rel="image_src" width="400"></link>

polique D’APRES UNE ENQUETE D’OPINIONS 60% DES KINOIS FAVORABLES À LA PROLONGATION DU MANDAT DE JOSEPH KABILA

La révélation est de la maison de sondage " Les Points " à Kinshasa. " 60% des Kinois sont favorables à la prolongation du ...

« LA DYNAMIQUE DES PARLEMENTAIRES ACQUIS AU BON SENS » INTERPELLE MATATA

August 04, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkZeQiVbXLe3w92EnuOSkZRs2BE1LRV2iTWGR6dzt0fSZy3oFGnnff9do3YnNrOhobD-iENM1VBVsqShOCZQlYjxPSw75jCOPHXwt7obDF_ie1LhdXAFXao-NaEqKfmqagQ0SxzLxz6bqO/s1600/Snapshot_945.png" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkZeQiVbXLe3w92EnuOSkZRs2BE1LRV2iTWGR6dzt0fSZy3oFGnnff9do3YnNrOhobD-iENM1VBVsqShOCZQlYjxPSw75jCOPHXwt7obDF_ie1LhdXAFXao-NaEqKfmqagQ0SxzLxz6bqO/s400/Snapshot_945.png" width="400" /></a></div>* Ces élus du peuple recommandent au chef du Gouvernement de mettre fin au système de prise en charge des enseignants par les parents. 
 
Dans une lettre ouverte adressée au Premier ministre, la « Dynamique des parlementaires acquis au bon sens » recommande au ched du Gouvernement de mettre fin au système de prise en charge des enseignants par les parents dès la rentrée scolaire 2015-2016. Ces élus demandent également de rendre effectif l’article 43 de la Constitution et estiment qu’il faut prévoir un budget conséquent dans le projet de loi des finances 2016, afin d’améliorer substantiellement les conditions de vie et de travail dans le secteur de l’éducation. " Que le Gouvernement accorde une priorité à la mécanisation des enseignants à partir de septembre 2015 dans la mesure où les ressources humaines sont au centre de l’action de tout système qui prône l’émergence ", soulignent-ils. 
Selon ces parlementaires, depuis 2010, le Gouvernement a mis en application certaines dispositions qui n’ont connu aucun succès dans la mesure où la prise en charge des élèves, des enseignants, des chefs d’établissements, des inspections, des bureaux gestionnaires, voire des divisions de l’EPS-INC, etc. continuent à peser sur les parents sous la dénomination " collation ou motivation ". 
 
Mathy MUSAU 
 
Le direct 
 
 
<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe> 
 
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkZeQiVbXLe3w92EnuOSkZRs2BE1LRV2iTWGR6dzt0fSZy3oFGnnff9do3YnNrOhobD-iENM1VBVsqShOCZQlYjxPSw75jCOPHXwt7obDF_ie1LhdXAFXao-NaEqKfmqagQ0SxzLxz6bqO/s400/Snapshot_945.png" rel="image_src" width="400"></link>

Politique « LA DYNAMIQUE DES PARLEMENTAIRES ACQUIS AU BON SENS » INTERPELLE MATATA

* Ces élus du peuple recommandent au chef du Gouvernement de mettre fin au système de prise en charge des enseignants par les parents. Dan...

APRES LE RENDEZ-VOUS MANQUE AU SENAT LE BUREAU POLITIQUE DE LA MP CALME LE JEU

August 04, 2015

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQgs1HYZgQXKg6sOKreCQImfkdVRKM6GBmzgGf1Fi8-f3H-9OcxMT0yJPEqfkN_Gwh1Jfs9WbtEyqzmEbwamFTr9VjcwBAq2mIi8BXhdKlHb4MviLzFOamCmURxgQBrYXWoAUqDqFr2R6r/s1600/Snapshot_944.png" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQgs1HYZgQXKg6sOKreCQImfkdVRKM6GBmzgGf1Fi8-f3H-9OcxMT0yJPEqfkN_Gwh1Jfs9WbtEyqzmEbwamFTr9VjcwBAq2mIi8BXhdKlHb4MviLzFOamCmURxgQBrYXWoAUqDqFr2R6r/s400/Snapshot_944.png" width="400" /></a></div>* Une nouvelle session extraordinaire convoquée à la Chambre 
haute pour finalement voter la loi portant répartition des sièges. 
 
La session extraordinaire du Parlement congolais, clôturée vendredi au Sénat et dimanche à l’Assemblée nationale, a plongé le microcosme politique du pays dans une effervescence inhabituelle. Et pour cause, le projet de loi portant répartition des sièges voté par les députés, ne l’a pas été au Sénat, faute de quorum. Depuis, cette situation a donné lieu à des supputations de tous genres. 
D’ores et déjà, certains érudits de la politique rd congolaise ont vu un bras de fer engagé entre les deux chambres sœurs du Parlement. Certains ont même perçu l’ombre d’une crise intra institutionnelle qui profilait à l’horizon. Que de commentaires ! Que de spéculations. Le Congolais moyen a -t-il été en droit de penser déjà, à un début de pourrissement de la situation politique au moment où le pays se trouve bien engagé dans l’organisation d’un nouveau processus électoral ? Si crise y en a eu combien de temps devrait-elle durer ? 
Voilà qu’au moment où la rumeur et toute la rumeur trône encore la rue de Kinshasa, le Bureau politique de la Majorité présidentielle (MP), s’emploie à la décrispation. Les membres de cette structure de la plate-forme présidentielle, réunis hier, ont convenu de calmer le jeu. L’option de convoquer le Sénat en une nouvelle session extraordinaire a été confirmée. Et, c’est à partir de ce lundi 10 août que les Sénateurs devront reprendre le chemin de l’hémicycle pour finalement voter le projet de loi portant répartition des sièges. 
 
LES RAISONS D’UN VOTE MANQUE 
Le Sénat a dit " Non au… " " Le Sénat n’a pas voté le projet de loi portant répartition des sièges faute de quorum… " Chacun a trouvé sa formule pour le dire. Cette loi, indispensable à l’organisation des élections locales et urbaines en RD Congo, n’a pas été votée par les Sénateurs. Evidemment, au jour et à l’heure du vote, de nombreux sénateurs ont été présents partout sauf au Palais du peuple. Des indiscrétions émanant du Bureau politique de la MP laissent entendre que la plupart des Sénateurs, présents au Palais du Peuple depuis plusieurs heures de la matinée, gagnés par la fatigue, ont eu du mal à continuer à attendre une plénière de clôture qui a commencé très tard en fin d’après-midi. 
D’autres élus des élus se sont retrouvés, le 2 août, en-dehors de la ville de Kinshasa. Les uns ont été dans la suite du chef de l’Etat à Lubumbashi. D’autres ont aussi accompagné le président de la République à Goma. A ces déplacements s’ajoutent des cas de maladies. Car, certains sénateurs se sont retrouvés plusieurs jours avant la clôture de la session extraordinaire du 15 juillet, en dehors du pays pour raisons de santé. Et un membre du Bureau politique de la MP de conclure : « Compte tenu du nombre déjà réduit des membres qui composent cette Chambre haute du Parlement (constitutionnellement et théoriquement 108 sénateurs), il a donc été impossible pour Léon Kengo Wa Dondo de réunir le quorum requis pour statuer valablement ». 
Après la première session extraordinaire du Parlement, ouverte le 04 juillet dernier et qui s’est clôturée à la fin du même mois, le Sénat se retrouve, cette fois-ci, seul en une deuxième session extraordinaire pour le même motif : l’examen et le vote du projet de loi portant répartition des sièges. Rendez-vous est donc pris pour le lundi prochain. Pourvu que cette fois-ci soit la bonne.FDA 
 
Le direct 
 
 
<iframe allowtransparency="true" frameborder="0" height="100" scrolling="no" src="http://static.infomaniak.ch/infomaniak/radio/html/topcongofm2_player.html" width="468"></iframe> 
 
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQgs1HYZgQXKg6sOKreCQImfkdVRKM6GBmzgGf1Fi8-f3H-9OcxMT0yJPEqfkN_Gwh1Jfs9WbtEyqzmEbwamFTr9VjcwBAq2mIi8BXhdKlHb4MviLzFOamCmURxgQBrYXWoAUqDqFr2R6r/s400/Snapshot_944.png" rel="image_src" width="400"></link>

Politique APRES LE RENDEZ-VOUS MANQUE AU SENAT LE BUREAU POLITIQUE DE LA MP CALME LE JEU

* Une nouvelle session extraordinaire convoquée à la Chambre haute pour finalement voter la loi portant répartition des sièges. La sessio...

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]