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Nord-Kivu : Martin Fayulu intensifie la pression pour le respect constitutionnel

March 08, 2016

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Pari réussi pour le député Fayulu à Goma. Le président de l’Ecidé a mobilisé la population au stade Volcan avec un message majeur : faire échec à toute manœuvre visant le glissement et la violation de la Constitution.<br />
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Le président de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé), Martin Fayulu, s’est lancé sur le front Est du pays. Objectif : raviver la pression pour le respect du calendrier électoral, en ce qui concerne l’élection présidentielle en novembre 2016. Sa tournée politique de trois jours au Nord-Kivu, du 3 au 6 mars, a mis la ville en ébullition, au-delà de la redynamisation des activités de l’Ecidé. A ses côtés, tous les autres partis de l’Opposition à Goma, notamment l’UDPS, l’UNC, le MLC, le RCDK-ML, l’UDECF et le PCP se sont associés.<br />
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Dès son arrivée à Goma, jeudi 3 mars, cet élu du peuple a tenu à exprimer sa solidarité à la jeunesse consciente de la RDC en assistant, dès-son arrivée à Goma au procès « injuste » mené contre neuf jeunes du Nord-Kivu emprisonnés depuis novembre 2015 pour avoir dénoncé les massacres récurrents de la population à Beni. Le lendemain, Martin Fayulu a assisté au procès de six activistes du mouvement Lucha, arrêtés le 16 février.<br />
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Dans la foulée, c’est un imposant carnaval motorisé qui a rythmé la ville. Parti du siège de l’Ecidé situé au rond point Rutshuru, les véhicules et motos ont pris la direction du marché Virunga; avant d’emprunter la rue 1 km témoin, le rond point Tigo puis le centre médical Amis Kivu où l’affluence a contraint le député Fayulu à une marche à pied sur plus d’un kilomètre (jusqu’à la concession RVA). Le carnaval a ensuite pris la direction de la route principale, la polyclinique musulmane jusqu’à la station Niyetu, sur une distance d’environ deux kilomètres. Le carnaval s’est poursuivi jusqu’à l’entrée du musée et de l’Office des routes. De là, la foule s’est encore imposé la marche à pied jusqu’au stade Volcan, où des foules avaient pris place.<br />
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Inopportunité du dialogue<br />
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Le président de l’Ecidé a fixé les Gomatraciens sur la nécessité du respect constitutionnel et l’inopportunité du dialogue politique avant de déplorer les violations des droits de l’Homme, des libertés fondamentales, la mauvaise gouvernance et l’insécurité.<br />
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Pour Martin Fayulu, il est encore possible d’organiser l’élection présidentielle en novembre de l‘année en, cours. C’est le sens même du combat que mène le Front citoyen. « C’est fini le Congo ne sera plus comme avant. L’éveil doit se faire pour le changement et c’est maintenant. Il nous faut travailler pour le pays afin de transformer ce que Dieu nous a donné », a-t-il déclaré.<br />
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S’inspirant de la vision de Patrice-Emery Lumumba, Martin Fayulu croit en la possibilité de faire du Congo le centre de rayonnement de l’Afrique: « Le problème aujourd’hui, c’est l’impératif de la tenue des élections dans le strict respect des articles 70 et 73 de la Constitution », a-t-il rappelé.<br />
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Reçu tour à tour dans les médias locaux, notamment sur la radiotélévision Kivu One et Okapi, Martin Fayulu s’est appesanti sur les préoccupations essentielles du Nord-Kivu, à savoir la sécurité et le développement. Ces mêmes préoccupations ont figuré au menu des échanges qu’il a eus avec les différents groupes, à savoir la Dynamique de l’opposition, les représentants de neuf communautés du Nord-Kivu (Baraza Lawaze), la Société civile Lucha, la Société civile l’autre front et les étudiants de l’université et instituts supérieurs du Nord-Kivu.<br />
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Avant de regagner Kinshasa, le président de l’Ecidé a animé une conférence-débat dans la salle Full Gospel où plus de 1500 personnes ont pris part, notamment des notabilités locales.<br />
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De ce séjour, le député national Martin Fayulu a été éclairé sur les conflits et l’insécurité à l’Est du pays. Un éclairage qui devra, sans doute, déboucher sur des initiatives de contrôle parlementaire.<br />
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A cette occasion, l’orateur et les participants ont réfléchi sur le paradoxe d’un pays riche avec une population pauvre.<br />
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Par P.M.<br />
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Politique Province Nord-Kivu : Martin Fayulu intensifie la pression pour le respect constitutionnel

Pari réussi pour le député Fayulu à Goma. Le président de l’Ecidé a mobilisé la population au stade Volcan avec un message majeur : fair...

Dossier Hutus-Nandes-Ituri : Vital Kamerhe «Le Pacificateur» chez le P.M Matata Ponyo

March 08, 2016

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Vital Kamerhe, président de L'UNC ne économise pas pour me retour de la paix à l’est de la RDC. Celui qu’on appelle le «pacificateur» a enfilé de nouveau ce costume dont il ne s’est jamais departi en fait. Après la Monusco et le Sénat, le Président National de l’UNC Vital Kamerhe, en sa qualité de notable du grand Kivu, a été reçu ce mardi 8 mars 2016 par le Premier ministre Augustin MATATA PONYO. Dans une séance de travail de 45 minutes, Vital Kamerhe accompagné d’une délégation des représentants Hutus, Nandes et de l’Ituri ont présenté au chef du gouvernement l’état des lieux de la situation sécuritaire dans le Nord-Kivu marquée par des tueries cycliques dans la région. Vital Kamerhe et sa suite ont remis un mémorandum qui reprend des pistes des solutions durables pour éviter l’embrasement de cette situation dramatique; une solution qui privilégie la restauration de l’autorité de l’Etat. De son coté, Matata Ponyo s’est dit aussi préoccupé par cette situation. Il a rassuré ses interlocuteurs de son implication totale à cette question et il a promis de transmettre toutes ces propositions de solution au Président de la République. Cette tournée-plaidoyer devrait se poursuivre encore aux autres institutions de la République. Le Pacificateur veut faire bouger les lignes car il arbore l’immobilisme. Il s’agit des vies humaines après tout.<br />
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7sur7.Cd<br />
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Province Société Dossier Hutus-Nandes-Ituri : Vital Kamerhe «Le Pacificateur» chez le P.M Matata Ponyo

Vital Kamerhe, président de L'UNC ne économise pas pour me retour de la paix à l’est de la RDC. Celui qu’on appelle le «pacificateur» ...

Journée internationale de la femme : La RDC a encore beaucoup à apprendre sur les droits du sexe dit faible

March 08, 2016

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Instituée avec tambour et trompette en 1977 par l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies, avant d’être entérinée par une Résolution du Conseil de sécurité de cette structure universelle, la Journée internationale de la femme est vieille aujourd’hui de 39 ans ! Signataire de la Charte des Nations Unies, dès le lendemain même de son accession à l’indépendance en 1960, la République démocratique du Congo célèbre cette journée mémorable avec une tonalité variant selon les humeurs des tenants de régimes politiques du moment, mais aussi et surtout selon la personnalité des femmes influentes qui y jouaient quelques rôles prépondérants ou supposés tels !<br />
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Comme le veut une tradition, qui remonte à quatre décennies, la’ journée internationale de la femme sera marquée ce jour par un discours de circonstance du Secrétaire Général des Nations Unies, invitant les Etats à mettre en œuvre des instruments internationaux qui plaident en faveur des droits de femmes ainsi que des projets favorables à leur promotion dans différentes domaines.<br />
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A la suite de l’allocution du locataire du Palais de verre, viendront des communications des Etats, par le biais de ministres ayant les affaires de femmes dans leurs responsabilités. Qu’en sera-t-il aujourd’hui de la RDC où, pendant de longues semaines, des femmes de toutes conditions se sont fortement mobilisées et dépensées pour donner un cachet spécial à l’événement.<br />
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Quel sens donner aux réjouissances de ce jour?<br />
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En effet, les femmes qui trouvent rarement des occasions de s’exprimer sans tabous sur leurs problèmes, leurs aspirations, leurs ambitions, leurs choix ? mais aussi su les inquiétudes qui les caractérisent dans leur féminité indistinctement sont à l’honneur … mais pourquoi ? Les femmes de la RD Congo vont fêter aujourd’hui et veulent que leur joie d’être femmes se prolonge jusqu’à la fin du mois de mars, au cours duquel leur journée, est mondialement célébrée. Mais l’opinion publique nationale et internationale, qui note les atrocités dont elles sont sujettes à l’intérieur des frontières de leur pays depuis de longues décennies, continue de se demander si cette joie est partagée par toutes les femmes de la RDC, malgré les inégalités et injustices caractérisant ce pays. En fait, que dire des centaines de jeunes filles, de jeunes femmes et des mères de tous les âges violées dans l’indifférence générale? Que dire des millions de filles qui n’ont pas accès à l’instruction des millions de femmes en âge de travailler condamnés à un désœuvrement sans visage ; des millions de femmes qui ne sont ni électrices ni éligibles ; des millions de femmes qui ne peuvent pas ester en justice par la force des choses, etc.<br />
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Les femmes de la RDC qui s’étaient laissées entraînées dans le courant des femmes du monde désireuses de se libérer définitivement des structures mentales, politiques et juridiques du passé ne peuvent que se contenter de petites choses aujourd’hui de petits postes ministériels, des fonctions subalternes dans les institutions politiques, dans les entreprises publiques, dans les services administratifs de l’Etat, etc. Que de temps ainsi perdu dans la conquête de leurs droits, après la Conférence internationale dédiée aux femmes à Beijing en l’an 1995. Où veulent donc aller les femmes de la RD Congo à la recherche de leur vraie place dans le concert des Nations?<br />
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Nous rappelons pour la circonstance que malgré la disposition constitutionnelle qui parle de la parité Hommes- Femmes, les femmes congolaises sont toujours à la queue, sous représentées. Malgré des ouvertures pour les postes de gouverneurs et vice-gouverneurs les femmes congolaises sont également à la queue. Bien qu’elles aient fondé 11 partis politiques, des barrières continuent à se multiplier devant elles pour l’avenir. Quels sens donner aux réjouissances du 8 mars 2016? Que les femmes de la RDC répondent à la question posée.<br />
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Par KAMBALE MUTOGHERWA<br />
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Société Journée internationale de la femme : La RDC a encore beaucoup à apprendre sur les droits du sexe dit faible

Que de temps perdu dans la conquête de leur destinée après la conférence de Beijing en l’an 1995 ! Instituée avec tambour et trompette en 1...

Gouverneurs des partis ou du peuple : on s’interroge …

March 08, 2016

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Selon le législateur congolais, un mandat électif peut être convoité par un parti ou un regroupement politique, sur pied d’une liste de prétendants préalablement établie et visée par son correspondant officiel ou encore à titre individuel par un candidat opérant sous le statut d’indépendant. En principe, un membre d’un parti non retenu par ce dernier pour une compétition électorale n’a qu’une alternative : se résigner ou se « rebeller » et assumer les conséquences de son acte.<br />
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Mais, pour l’élection des gouverneurs des vingt-une nouvelles provinces, le scénario auquel assiste le commun de Congolais pousse à se demander si le pays va avoir affaire, après le 26 mars 2016, à des gouverneurs des partis ou du peuple. La question se pose avec beaucoup de pertinence au regard des événements qui entourent la sélection des candidatures et la pré-campagne électorale.<br />
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Tout se passe comme si les futurs gestionnaires de nouvelles provinces seront exclusivement au service de leurs partis et regroupements politiques et non pas du peuple. En effet, ainsi que tout le monde le sait, l’électoral naturel du candidat gouverneur et vice-gouverneur de province est exclusivement constitué des députés provinciaux. Or, le mandat du député provincial émane du souverain primaire.<br />
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En d’autres termes, au moment de déposer son bulletin dans l’urne pour le choix du futur gouverneur ou vice-gouverneur de province, le député provincial devrait tenir compte de la volonté de celui qui lui a conféré le statut d’électeur au second degré. Il ne s’agit pas, pour le cas d’espèce, de se laisser embrigader dans des consignes de partis et regroupements politiques, à moins que telle soit la volonté de sa base politique et sociologique.<br />
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Que veut le peuple?<br />
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Avant sa mie en application en août 2015, dans les troublantes circonstances dont tout le monde se souvient, avec la nomination des Commissaires Spéciaux, le découpage territorial  avait connu une période de flottement de 8 ans, puisque la Constitution de la République l’ayant formellement avalisé était promulguée en février 2006. Le gel du passage du pays de 11 à 26 provinces était principalement dicté par le souci de ne pas créer de nouvelles entités territoriales mort-nées.<br />
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Mais que veut le peuple à travers cette innovation ? On peut affirmer, sans peut d’être contredit, que le Congolais du Kwango, du Kwilu, du Maindombe, de l’Equateur, de Tshuapa, de Mongala, du Sud-Ubangui, du Nord-Ubangui, de Tshopo, de l’Ituri, du Haut-Uélé, du Bas-Uélé, du Sankuru, du Kasaï Oriental, du Lomami, du Kasaï, du Kasaï Central, du Haut- Lomami, du Lualaba, du Haut-Katanga et de Tanganyika ne demandent qu’une, chose mieux vivre aujourd’hui qu’hier.<br />
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Point n’est besoin de rappeler que le découpage territorial a généré’ de nouvelles provinces sans administration publique, sans unités de production, sans routes, sans écoles ou hôpitaux de référence, sans universités et instituts supérieurs viables, sans chambres froides, sans barrages, sans usines de traitement d’eau potable, sans marchés modernes, sans industrie, petites et moyennes entreprises, sans ports ni aéroports modernes, etc. Tout est à créer, tout est à rebâtir… partout, sans moyens conséquents.<br />
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Si l’élection de nouveaux gouverneurs de provinces est politisée au point de propulser, à leur tête, des « pantins articulés » appelés à agir au doigt et à l’œil de leurs « autorités morales » planquées à Kinshasa, leurs chances dé développement risquent d’être hypothéquées.<br />
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Le pays va être confronté, à brève échéance, à des responsables de la territoriale complètement déconnectés de leurs administrés et partant condamnés à vivre en conflit permanent avec ceux-ci ou leurs représentants. Quel service aura-t-on rendu aux gouverneurs et vice-gouverneurs indésirables par les autochtones ?<br />
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Pendant que le peuple attend que ses futurs élus fassent son bonheur, à travers la mise en valeur des ressources naturelles et humaines, la gaffe à éviter serait de devenir prisonniers de leurs clans politiques, avec pour préoccupation majeure satisfaire les caprices de leurs  parrains », en pillant les maigres ressources disponibles, aggravant ainsi le spectre de la pauvreté qui plane un peut partout.<br />
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Députés provinciaux : sursaut d’orgueil impossible ?<br />
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Si les députés provinciaux tiennent encore à leur honneur et à leur dignité vis-à-vis des électeurs qui leur avaient permis de se hisser dans les organes délibérants du Congo profond, ils devraient le démontrer lors de l’élection, toute proche, de futurs gouverneurs et vice-gouverneurs de nouvelles provinces, en faisant un choix utile et indépendant. Nullement aveugles ni dupes, les populations des quatre coins de la République sont prêtes à prendre acte, le 26 mars 2016, des votes que vont émettre ceux qui avaient pris l’engagement de les représenter dignement et de travailler pour leur bien-être. S’il se trouve, parmi eux, des individus sans morale, qui auront accepté de monnayer leurs votes, cela finira bien par se savoir. Mais alors, garde au retour de la manivelle, lorsque sonnera le glas des élections provinciales !<br />
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Par KIMP<br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh839lPmXKENOxIzcGs7OiRiR73aZvNeJsiIQRriHBFeKmBKvaUOW2dzRCCw_CiGeTb1sNrIoqruO1TEuInvqWlqNd4fJNfqqHqAHVTvHWzTGFpscEx765X8YNxfNkBVG9OkBmc67K3b7E/s400/Snapshot_87.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Gouverneurs des partis ou du peuple : on s’interroge …

Selon le législateur congolais, un mandat électif peut être convoité par un parti ou un regroupement politique, sur pied d’une liste de pr...

Incertitude à neuf mois de la fin du mandat

March 08, 2016

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Partira, partira pas ? Envisage-t-il oui ou non de modifier la constitution pour s‘octroyer un 3ème ou plusieurs autres mandats à la tête du pays ? A neuf mois de la fin de son second et dernier mandat constitutionnel, le président de la République, Joseph Kabila ne laisse rien transparaitre sur ses réelles intentions autour de ces questions cruciales qui agitent le pays depuis plusieurs mois. A l’absence de la parole présidentielle, ses lieutenants et autres sociétaires de la Majorité présidentielle rivalisent de déclarations les unes annonçant “la passation civilisée du pouvoir à la fin du mandat”, les autres « le report technique inévitable des élections”, les autres encore “l’ardent désir de voirie président Joseph Kabila poursuivre le plus longtemps possible sa mission à la tête du pays “. A cette cacophonie délibérément entretenue par l’entourage présidentiel s’ajoute la difficulté à convoquer le dialogue national inclusif largement rejeté par l’opposition et bon nombre de Congolais. Conséquence, le pays s’enfonce chaque jour dans l’impasse avec un énorme risque de sombrer dans l’instabilité et le chaos. Qui arrêtera cette folle descente aux enfers du pays, ce dangereux glissement vers un nouveau chaos politique ? Le président Joseph Kabila, l’opposition et la communauté internationale, les trois principaux acteurs de la politique Rd congolaise, ont-ils encore des recettes pour sauver le pays du naufrage ? La Référence plus reprend l’intéressante analyse ci-dessous publiée par Christophe Rigaud dans Afrikarabia, Le titre est du journal<br />
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La tension politique s’accroît à mesure que les élections s’éloignent en République démocratique du Congo (RDC). La tenue de la prochaine élection présidentielle, fin 2016, devient de plus en plus improbable. La Commission électorale (CENI) a récemment annoncé avoir besoin de 13 à 16 mois pour nettoyer le fichier électoral et inscrire les nouveaux majeurs. Un retard « technique » qui amène à prolonger de plusieurs mois le mandat du président Joseph Kabila, qui prend fin en décembre 2016 – voir notre article. La Constitution interdisant au chef de l’Etat de briguer un troisième mandat, l’opposition accuse le pouvoir de faire glisser sciemment le calendrier électoral afin de plonger le pays dans une période de transition politique. Un scénario à haut risque au vue de la forte répression politique qui s’abat sur les opposants au président congolais. Les manifestations sont le plus souvent réprimées dans la violence, comme en janvier 2015, ou assorties de nombreuses arrestations d’opposants, comme à la suite de la journée ville morte du 16 février 2016.<br />
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Majorité : vers une transition imposée ?<br />
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Comment sortir de ce bloquage politique ? Joseph Kabila, l’opposition congolaise et la communauté internationale ont chacun leur stratégie. Pour le président congolais, la solution passe un dialogue national avec l’ensemble des acteurs politiques et de la société civile. L’objectif est de trouver une solution négociée au retard des élections et un nouveau calendrier électoral consensuel. Le hic, c’est que l’opposition ne veut pas de ce dialogue qui apparaît comme un piège tendu par le chef de l’Etat pour se maintenir au pouvoir après 2016. Mais depuis que la CENI, elle même, affirme qu’elle ne pourra tenir les délais, la donne a changé. Le 20 décembre 2016, au lendemain de la fin du mandat de Joseph Kabila, il faudra bien trouver une solution et se mettre d’accord sur la mode de gouvernance : prolongation du mandat du président actuel, transition, président intérimaire… les scénarios sont multiples. Le G7, le groupe des anciens frondeurs de la majorité, avait avancé l’idée d’une transition de 3 mois avec la présidence intérimaire attribuée à Léon Kengo, le président du Sénat, deuxième personnage de l’Etat. Mais pour éteindre la crise politique, Joseph Kabila peut également sortir de son silence : donner une date pour la présidentielle et assurer aux Congolais qu’il ne se représentera pas pour un troisième mandat, comme le lui interdit la Constitution. Pour l’heure, Joseph Kabila ne s’est jamais exprimé sur la question. En retardant les élections, Joseph Kabila pousse donc l’opposition à participer au dialogue, ce qu’elle refuse jusque là.<br />
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Opposition : compter que sur la rue<br />
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L’opposition peut-elle stopper la crise politique ? Oui, à une seule condition : participer au dialogue initié par le président Kabila et lui offrir sur un plateau, moyennant des postes ministériels, un prolongement de son mandat. Autant dire que l’opposition n’y est pas du tout disposée, estimant que le président doit respecter la Constitution et quitter le pouvoir après 2016. L‘opposition estime également que la responsabilité des retards dans l’organisation des élections sont imputables au gouvernement, à la CENI et au président Kabila qui n’ont pas su nettoyer le fichier électoral à temps et débloquer les moyens financiers nécessaires depuis les élections contestées de 2011. Mais pour obliger le pouvoir a organiser les élections dans les temps, les moyens de pression des opposants sont limités. La majorité pratique la politique du fait accompli, condamnant l’opposition à venir s’assoir autour de la table. Pour continuer à peser, les opposants congolais ne peuvent compter que sur la rue. En janvier 2015, la mobilisation contre la modification de la loi électorale avait fait plier le gouvernement, mais à quel prix… Les manifestations avaient été violemment réprimées par la police et les ONG internationales avaient déploré « au moins 42 morts ». Pour contourner la répression, l’opposition s’est récemment tournée vers un autre type de mobilisation : l’opération ville morte, avec un certain succès. Le jeudi 3 mars, les opposants ont incité la population a faire du bruit (sifflets et casseroles) pendant 1/2 heure à 20 heures… avec un bilan plus mitigé. Des actions moins dangereuses pour les Congolais qui souhaitent y participer, mais aussi moins efficaces pour faire bouger le gouvernement et la CENI.<br />
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Une communauté internationale de moins en moins écoutée<br />
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Reste la fameuse « communauté internationale ». Un vocable qui perd petit à petit de sa substance à mesure que les pays occidentaux se désengagent de l’Afrique. La nouvelle doctrine de l’ONU qui consiste à trouver « une solution africaine à chaque problème africain » se met doucement en place. Problème : l’ONU est de moins en moins écoutée, comme pour la crise au Burundi et l’Union africaine (UA) se perd dans ses propres contradictions avec les régimes plus ou moins démocratiques du continent qu’elle peine à sanctionner. Le seul pays qui hausse régulièrement le ton contre Kinshasa, sont les Etats-Unis. Pour Washington, Joseph Kabila doit respecter la Constitution et accepter une alternance paisible avec son successeur. Barack Obama s’est entretenu au téléphone sur le sujet avec Joseph Kabila en mars 2015, le Secrétaire d’État John Kerry s’est rendu dans la capitale, en mai 2014, et les envoyés spéciaux des États-Unis dans la région des Grands Lacs, Russ Feingold et aujourd’hui Tom Perriello, ont effectué des dizaines de visites pour délivrer ce même message. Des appels consciencieusement ignorés par le président congolais et sa majorité. Dernièrement, le gouvernement américain a brandi la menace de sanctions si le président Kabila ne quittait pas le pouvoir fin 2016. Cela sera-t-il suffisant pour bousculer le pouvoir ? Pas si sûr, dans la mesure où les caciques de la majorité sont nombreux à défendre un système dont ils profitent amplement. En dehors des Etats-Unis, les autres pays et l’Union européenne sont plutôt discrets sur la question. Comme la France ou la Belgique qui sont sortis de leur silence fin février pour dénoncer la condamnation à deux ans de prison des six militants de la Lucha. Belgique et France ont demandé à la RDC « de respecter la liberté d’expression et de garantir un débat démocratique serein »… pas de quoi inquiéter Kinshasa qui a aussitôt dénoncé « une ingérence » dans les affaires d’un pays souverain.<br />
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Vers le pourrissement<br />
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Dans un contexte de crise politique larvée qui peut déraper à tout moment, les solutions de sortie de conflit sont restreintes. Seuls Joseph Kabila, la rue et les Etats-Unis ont des leviers assez puissants pour peser sur le cours des événements. Joseph Kabila n’aura de cesse de vouloir assoir à sa table le maximum d’opposants pour négocier une prolongation de son mandat. Son arme : retarder le calendrier électoral et mettre ainsi l’opposition devant l’obligation de dialoguer. Concernant l’opposition, sa principale force reste la rue. Très divisée et face au « trop plein » de leaders potentiels, la mobilisation populaire reste le moyen le plus efficace de peser et de faire pression sur le pouvoir. Mais pour déjouer la forte répression et les arrestations en masse d’opposants, il faudra faire preuve d’actions originales, comme la journée ville morte ou l’opération sifflets. Autre atout, l’opposition peut maintenant compter sur le relai des mouvements citoyens comme Filimbi ou la Lucha, très implantés dans la jeunesse et chez les étudiants. Certains se prennent à rêver d’un scénario « à la Burkina »… mais pour l’heure la capacité de ces mouvements à mobiliser dans la rue reste limitée. Quant au troisième acteur, la communauté internationale, elle pèse de moins en mois sur le dossier congolais et sert de simple valeur d’ajustement au pouvoir et à l’opposition pour valider leur stratégie. Pour exemple : l’ONU a été sollicitée par l’UDPS pour « modérer » le dialogue politique, mais le pouvoir semble peu enclin à sa présence. Résultat : le dialogue est au point mort et l’ONU en dehors du jeu. En conclusion, Joseph Kabila reste bel et bien le maître du jeu. Comme à son habitude il joue la montre et le pourrissement de la situation. Une stratégie risquée dans un contexte où la situation économique et sociale peut amener à des débordements dans la rue. Et au regard de la violente répression de janvier 2015, le bilan humain d’un tel embrasement peut s’avérer dramatique. Seul le président Joseph Kabila a les moyens de calmer le jeu et d’apaiser la crise… en sortant de son silence.<br />
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Christophe RIGAUD – Afrikarabia<br />
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Politique Incertitude à neuf mois de la fin du mandat

Partira, partira pas ? Envisage-t-il oui ou non de modifier la constitution pour s‘octroyer un 3ème ou plusieurs autres mandats à la tête ...

Dialogue politique : la Majorité tâtonne

March 08, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgepknoACa4uBsjdHZeI6bR9UZw7__fz-6Bj2JWiHtHqD6be20lDT0T2j_4wBlnjg-g6mTRrkjGM8_d-ZqfuKNcD_zEVToobBT4PGZHMM6zrw25q7sFTX6_-MyOMiOVPT428iWp5d_rwBs/s1600/Snapshot_372.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgepknoACa4uBsjdHZeI6bR9UZw7__fz-6Bj2JWiHtHqD6be20lDT0T2j_4wBlnjg-g6mTRrkjGM8_d-ZqfuKNcD_zEVToobBT4PGZHMM6zrw25q7sFTX6_-MyOMiOVPT428iWp5d_rwBs/s400/Snapshot_372.jpeg" width="400" /></a><br />
Ya-t-il encore de bonne raison de croire au dialogue politique de la MP ? Apparemment, les chances de la tenue de ce forum s’égrènent. La déroute du culte œcuménique du 5 mars 2016 en est une belle illustration. Comme un bateau ivre, la MP tente le tout pour le tout pour maintenir le cap, mais en vain. La dynamique du terrain lui est tellement hostile qu’elle se fourvoie dans les tâtonnements, sans jamais se résoudre à reconnaître qu’elle est poursuivie par un signe indien.<br />
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Par inconscience politique, la Majorité présidentielle (MP) a vidé de toute sa substance le dialogue politique prôné par son autorité morale, le chef de l’Etat. Ne sachant plus à quel saint se vouer, elle se laisse aller à l’énervement. Avec raison, quand on sait que toutes les stratégies mises en œuvre pour réussir son pari de glissement se sont soldées par des échecs cuisants. Cette ire se lit à longueur des journées sur les visages de ses adeptes qui se découvrent par la violence verbale à l’endroit de l’Opposition. En clair, ils voient le dialogue se dérober sous leurs pieds.<br />
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Convaincue de la difficulté d’imposer son projet, la MP tente le tout pour le tout. A Kinshasa et dans plusieurs villes du pays, elle a déployé tous ses cadres et fanatiques pour propager l’évangile du dialogue. Leur discours, tenu dans un contexte politique, particulièrement tendu, passe difficilement dans l’opinion. Et pour cause ? L’arrogance et le triomphalisme qu’affichent les plus caciques de ses membres. En lieu et place de prêcher par les actes pour rassurer les plus sceptiques, la MP use plutôt d’intimidation promettant la géhenne à tous ceux qui entraveraient son projet – de glissement. Une stratégie suicidaire qui a fini par entamer la crédibilité du dialogue.<br />
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UN RÉFÉRENDUM, NOUVELLE GAFFE<br />
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On n’est pas étonné que près de cinq (5) mois se soient déjà écoulés depuis la signature le 28 novembre 2015 de l’ordonnance présidentielle convoquant le dialogue. La MP fait semblant de tenir. Mais, dans ses rangs, on sent déjà quelques réticences à persister sur la voie du dialogue. Une stratégie de campagne mal dosée a fini par réduire toutes les chances de réunir plus de monde autour du projet de dialogue. En réalité, ceux qui font semblant de soutenir le dialogue n’accordent que peu de crédit à l’initiative du chef de l’Etat.<br />
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En tout cas, s’ils le font, ce n’est pas de bon cœur. Soit, c’est pour éviter la fougue de l’autorité morale de la MP, soit pour le besoin de lucre. L’échec du culte œcuménique et la débandade qui s’en est suivie en sont une belle illustration.<br />
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A force d’aligner des échecs en mettant en œuvre des stratégies qui se sont révélées contre-productives, la MP a perdu les pédales. Dans ses rangs, on ne jure plus que par un slogan «advienne qui pourra». Mesure-t-on la gravité d’une telle déclaration ? C’est le jusqu’auboutisme qui va heurter les règles démocratiques telles que prévues dans la Constitution du 18 février 2006.<br />
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On est ri plus ni moins dans un cas de figure de tâtonnement. « La tenue du dialogue devient de plus en plus hypothétique. Mais, on ne laissera pas faire. Nous iron. jusqu’au bout », a fait remarquer un partisan du dialogue, très proche de la Majorité. Un autre s’est montré plutôt évasif. « Vouloir ou pas, le dialogue aura lieu. Même en retard», a-t-il indiqué, sans ferme conviction.<br />
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Il ne faut pas s’étonner que la MP présente dans les tout prochains jours un nouveau visage. Elle n’attend plus que la rentrée parlementaire prochaine pour corser sa ligne dure. Il s’agit du référendum que les bonzes de la MP veulent imposer au peuple après l’avoir privé de son droit de se choisir les gouverneurs de province à travers les députés provinciaux. Tout se passe comme si la MP s’est préparée à l’assaut final.<br />
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Seulement voilà. Si, c’est juste pour tirer des griffes constitutionnelles son autorité morale, la MP se trompe énormément. Car, en prônant cette ligne dure – comme c’est déjà le cas – la MP va allonger la liste de ses adversaires politiques aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la RDC. Ce qui va desservir son chef et mettre définitivement une croix sur le projet du dialogue.<br />
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Pour le moment, la Majorité au pouvoir a plutôt intérêt à se ressaisir et prendre un temps de réflexion pour’ recadrer sa stratégie. Si le dialogue tarde à se mettre en place1 c’est parce qu’elle a cru qu’il était facile de prendre ses adversaires pour des cons. Elle devrait avoir le courage de s’assumer. En restreignant l’espace politique par des arrestations arbitraires, brimades et autres intimidations, la MP a semé le doute dans les rangs de ceux qui pouvaient l’aider à concrétiser son projet de dialogue. Son intrusion dans les opérations d’élections des gouverneurs dans les 21 provinces nées du démembrement a été fatale pour son image. Elle a fait preuve de mauvaise foi en voulant piloter en solo et à sa guise le processus électoral.<br />
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Le dialogue va chavirer. C’est désormais une certitude. La faute, c’est encore et toujours à la MP qui, à force de tâtonner, à signer l’arrêt de mort de l’initiative de son autorité morale, Joseph Kabila.<br />
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Par LE POTENTIEL<br />
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Politique Dialogue politique : la Majorité tâtonne

Ya-t-il encore de bonne raison de croire au dialogue politique de la MP ? Apparemment, les chances de la tenue de ce forum s’égrènent. La d...

Le 8 mars ba jeunes filles ba tikali sima te na maputa, affaire ya ba papa ya libanda ( vidéo )

March 08, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixrgjUxajXL23EEYK33fZ7p6-9ZolGLFIvde5cv-wYaDknzTER4BCMJ2rKkNl4wbbETm_mC-omqo1Fl85OndhKddlR6-ncltNiZv4YkMjSpIwY7XQ1LC7G2qkyrZpOaZaO_M1qqzNVE4A/s1600/Snapshot_466.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixrgjUxajXL23EEYK33fZ7p6-9ZolGLFIvde5cv-wYaDknzTER4BCMJ2rKkNl4wbbETm_mC-omqo1Fl85OndhKddlR6-ncltNiZv4YkMjSpIwY7XQ1LC7G2qkyrZpOaZaO_M1qqzNVE4A/s400/Snapshot_466.jpeg" width="400" /></a></div>Le 8 mars ba jeunes filles ba tikali sima te na maputa, affaire ya ba papa ya libanda ( vidéo )<br />
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Au tour de Kinshasa infos en vidéos Le 8 mars ba jeunes filles ba tikali sima te na maputa, affaire ya ba papa ya libanda ( vidéo )

Le 8 mars ba jeunes filles ba tikali sima te na maputa, affaire ya ba papa ya libanda ( vidéo )

"THE LEGEND" KOFFI OLOMIDE s' exprime à cœur ouvert chez Ika de jong : Je souhaite jouer au stade de France (vidéo)

March 08, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiK0jW3cX4PnySph2UdyQoUs5uVEq9VZv2OOjrv_b4BpCScp5vlptBxT700jdHFGt1c_HFy5vpvnOovrAchLq80tyBW505MCQxgzTdQXTh1blCYjQFK-aNdsGZHYQfsrot44YAXe3xaaYw/s1600/Snapshot_465.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="302" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiK0jW3cX4PnySph2UdyQoUs5uVEq9VZv2OOjrv_b4BpCScp5vlptBxT700jdHFGt1c_HFy5vpvnOovrAchLq80tyBW505MCQxgzTdQXTh1blCYjQFK-aNdsGZHYQfsrot44YAXe3xaaYw/s400/Snapshot_465.jpeg" width="400" /></a></div>"THE LEGEND" KOFFI OLOMIDE s ' exprime à cœur ouvert chez Ika de jong : Je souhaite jouer au stade de France (vidéo)<br />
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"THE LEGEND" KOFFI OLOMIDE s ' exprime à cœur ouvert chez Ika de jong : Je souhaite jouer au stade de France (vidéo)

Tokomiwapi? Ndeko Eliezer Asali Djalelo ya maman Olive na ndenge ya Kafu kafu (vidéo)

March 08, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Tokomiwapi? Ndeko Eliezer Asali Djalelo ya maman Olive na ndenge ya Kafu kafu (vidéo)<br />
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infos en vidéos le journal le JT de la RTVS1 Tokomiwapi? Ndeko Eliezer Asali Djalelo ya maman Olive na ndenge ya Kafu kafu (vidéo)

Tokomiwapi? Ndeko Eliezer Asali Djalelo ya maman Olive na ndenge ya Kafu kafu (vidéo)

Kinshasa: La journée de prière pour le dialogue noyée sous les eaux de pluie (vidéo)

March 08, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Kinshasa: La journée de prière pour le dialogue noyée sous les eaux de pluie (vidéo)<br />
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Au tour de Kinshasa infos en vidéos Politique Kinshasa: La journée de prière pour le dialogue noyée sous les eaux de pluie (vidéo)

Kinshasa: La journée de prière pour le dialogue noyée sous les eaux de pluie (vidéo)

Carine Mokonzi la Baronne, Est-ce Deplick Pomba a zongi na Wenge Maison Mère? ( vidéo)

March 08, 2016

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Carine Mokonzi la Baronne, Est-ce Deplick Pomba a zongi na Wenge Maison Mère? ( vidéo)<br />
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Carine Mokonzi la Baronne, Est-ce Deplick Pomba a zongi na Wenge Maison Mère? ( vidéo)

Top Presse : Thomas Lohaka plaide pour le retour de Jean Pierre Bemba , parle des ses relations froides avec Fidèle Bababala. (vidéo)

March 08, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4munLlBerK9yfuSqM9zC5Y0IAvAinda-2ye_C6DH_i3yWCsYjPqG-ENNnmz325Dv5E1Djpe5FiEKTzsNXUI2yJEAo2A0YEsz-KmXAn0NiGXUFPPolMW-GdiekDLgz8dE_7G6a0KGjE4w/s1600/rtiuhgb+hg.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4munLlBerK9yfuSqM9zC5Y0IAvAinda-2ye_C6DH_i3yWCsYjPqG-ENNnmz325Dv5E1Djpe5FiEKTzsNXUI2yJEAo2A0YEsz-KmXAn0NiGXUFPPolMW-GdiekDLgz8dE_7G6a0KGjE4w/s400/rtiuhgb+hg.jpg" width="400" /></a></div>Top Presse : Thomas Lohaka plaide pour le retour de Jean Pierre Bemba , parle des ses relations froides avec Fidèle Bababala. (vidéo)<br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4munLlBerK9yfuSqM9zC5Y0IAvAinda-2ye_C6DH_i3yWCsYjPqG-ENNnmz325Dv5E1Djpe5FiEKTzsNXUI2yJEAo2A0YEsz-KmXAn0NiGXUFPPolMW-GdiekDLgz8dE_7G6a0KGjE4w/s400/rtiuhgb+hg.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

infos en vidéos Politique Top Presse : Thomas Lohaka plaide pour le retour de Jean Pierre Bemba , parle des ses relations froides avec Fidèle Bababala. (vidéo)

Top Presse : Thomas Lohaka plaide pour le retour de Jean Pierre Bemba , parle des ses relations froides avec Fidèle Bababala. (vidéo)

RobinhO Mundibu parle de ses performances : Na zo Bimisa Générique ya Sika ( vidéo)

March 08, 2016

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RobinhO Mundibu parle de ses performances : Na zo Bimisa Générique ya Sika ( vidéo)<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/vsnN2Q3Jr20" width="600"></iframe><br />
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RobinhO Mundibu parle de ses performances : Na zo Bimisa Générique ya Sika ( vidéo)

Ex drummer de Koffi OLOMIDE TSHETSHE DE BALL depuis Angola très fâché akebisi Fabrigas aseki Fally Ipupa (VIDÉO)

March 08, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEguaLWFbfvTgFJIB7Vw9E-H7vW5PU6ZSTxhkdoSbsfvzhqPIGqYxx-tqvCviW1rUMS42DhkX112kqeBtEggmB_D63ut7Mgm4TJn6yFh_diepSdLDPbI_Bd3uATA1SPfZuJHhJ9Arg6cZJs/s1600/Snapshot_683.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEguaLWFbfvTgFJIB7Vw9E-H7vW5PU6ZSTxhkdoSbsfvzhqPIGqYxx-tqvCviW1rUMS42DhkX112kqeBtEggmB_D63ut7Mgm4TJn6yFh_diepSdLDPbI_Bd3uATA1SPfZuJHhJ9Arg6cZJs/s200/Snapshot_683.jpeg" width="200" /></a><br />
Ex drummer de Koffi OLOMIDE TSHETSHE DE BALL depuis Angola très fâché akebisi Fabrigas aseki Fally Ipupa (VIDÉO)<br />
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Voici Pourquoi Dr.Mpuila a enterré la hache de guerre contre Louis Michel.. La Journée internationale de la femme le 8 mars 2016: La Place de la Femme Congolaise dans la Civilisation du Troisième Millénaire selon Dr.Mpuila et Ekumani Wetshi (VIDÉO)

March 08, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivUfcVMXYsb58yT72pj9fWleLNxYLwlBeDUNHumocTsyj7wHzDCPrwRr1g9JXIgg1juqp2KLoflPe6HoYc6CUL0i4ALQ8cxJTkAcs0PBwnHePQkuhdEhQw6samclYb5yWh7h3YNtr-c0k/s1600/Snapshot_681.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivUfcVMXYsb58yT72pj9fWleLNxYLwlBeDUNHumocTsyj7wHzDCPrwRr1g9JXIgg1juqp2KLoflPe6HoYc6CUL0i4ALQ8cxJTkAcs0PBwnHePQkuhdEhQw6samclYb5yWh7h3YNtr-c0k/s200/Snapshot_681.jpeg" width="200" /></a><br />
Voici Pourquoi Dr.Mpuila a enterré la hache de guerre contre Louis Michel.. La Journée internationale de la femme le 8 mars 2016: La Place de la Femme Congolaise dans la Civilisation du Troisième Millénaire selon Dr.Mpuila et Ekumani Wetshi (VIDÉO)<br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivUfcVMXYsb58yT72pj9fWleLNxYLwlBeDUNHumocTsyj7wHzDCPrwRr1g9JXIgg1juqp2KLoflPe6HoYc6CUL0i4ALQ8cxJTkAcs0PBwnHePQkuhdEhQw6samclYb5yWh7h3YNtr-c0k/s400/Snapshot_681.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Voici Pourquoi Dr.Mpuila a enterré la hache de guerre contre Louis Michel.. La Journée internationale de la femme le 8 mars 2016: La Place ...

POUR FRANCIS KALOMBO, "KABILA SUIT LES TRACES DE MOBUTU"

March 08, 2016

<h2 class="intro" style="background-color: white; border: 0px; box-sizing: border-box; clear: both; font-family: Universltw02-67boldcn; font-size: 20px; font-weight: normal; line-height: 1.2em; margin: 0px; padding: 0px; text-rendering: optimizeLegibility; width: 618.625px;"><strong style="box-sizing: border-box;"><div style="box-sizing: border-box; font-size: 15px; font-weight: normal; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQS_lzbKkXRSCzYu-AcJqn-1d1RT97lc15OFkANOqWh82FIYKtzaVaXqVzCszbxfH6LM9F1vzluEC_fuM0xpD7ddxGDlgAoyVoFZpt3EQhWbI-mzhMmpM93FSvu_PoJKDt0HpL3uckBqw/s1600/Snapshot_52.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQS_lzbKkXRSCzYu-AcJqn-1d1RT97lc15OFkANOqWh82FIYKtzaVaXqVzCszbxfH6LM9F1vzluEC_fuM0xpD7ddxGDlgAoyVoFZpt3EQhWbI-mzhMmpM93FSvu_PoJKDt0HpL3uckBqw/s400/Snapshot_52.jpeg" width="400" /></a>Ce député de la majorité présidentielle dénonce les manoeuvres de son propre camp pour prolonger le mandat de Joseph Kabila en RDC au mépris de la consitution</div></strong></h2><span class="pave img_right_block" id="ads_pave_col_right" style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; display: block; float: right; font-family: "arial"; font-size: 15px; height: auto; line-height: 20px; margin: 20px 0px 20px 20px; width: 300px;"></span><br />
<div style="box-sizing: border-box; font-size: 15px; height: 1px; line-height: 1.6em; padding: 0px; text-align: justify; width: 1px;"></div><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Vous êtes parmi les premiers disciples de Joseph Kabila, pourquoi l’avoir quitté après 15 ans auprès de lui ?</b><br />
Je n’ai pas quitté la personne. Je me suis opposé au système qui est en train de se mettre en place. Nous assistons à la reprise en main du pouvoir par les mêmes que la population a chassés en 1997 et qui ont pris les armes dans des mouvements rebelles. Ils installent aujourd'hui une dictature qu’aucun Congolais ne peut accepter après avoir vécu 32 ans sous le règne de Mobutu. </div><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Le Président Kabila est-il selon vous sous l’influence de ces personnes ?</b><br />
Oui parce qu’il ne fait rien pour les retenir. Il suit les traces de Mobutu. La répression a atteint un tel niveau aujourd’hui que toutes les personnes qui expriment une opinion qui n’est pas celle de la majorité présidentielle sont traquées. La traque s’étend même aux membres de leur propre famille. C’est le cas de Moïse Katumbi (ndlr: l’ancien gouverneur du Katanga fait figure de Leader de l’opposition). On a découvert il y a quelques jours qu’un individu espionnait ses enfants. On ne compte plus le nombre de prisonniers politiques au Congo.De nombreux organisateurs de la journée ville morte du 16 février ont été emprisonnésde même que Christopher le président de la société civile. Plusieurs chaines de télévisions et radios privées qui ont osé recevoir des opposants ont été fermées. </div><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Comment ces «Mobutistes» sont-ils parvenus à s’immiscer dans l’intimité de Joseph Kabila ?</b><br />
Après la chute de Mobutu, une guerre a éclaté le 2 août 1998. Elle a duré cinq ans et fait plusieurs millions de victimes. Un accord a été signé à Sun City en 2003 mettant fin au conflit. Elle a donné lieu à une réconciliation nationale. Les mobutistes qui avaient rejoint des mouvements rebelles ou créé des partis d’opposition à l’étranger sont revenus au pays.  Joseph Kabila s'est allié avec les mobutistes pour être réélu président de RDC en 2006. Ils étaient encore faibles à l'époque. Ils ont commencé à prendre de l’importance au début de son deuxième mandat en 2011. Tout responsable politique attaché au respect de la constitution et des droits de la république s’est alors vu écarté du pouvoir au profit de ces anciens mobustistes et ex-rebelles. Après avoir écrit trois lettres au Président de la République pour tirer la sonnette d’alarme, des ministres, des chefs de partis et des parlementaires ont été chassés de la majorité. Sept partis l’ont quittée pour former le mouvement G7 qui peine à vivre aujourd’hui. </div><h2 style="background-color: white; border-bottom-color: rgb(220, 220, 220); border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1px; border-top-color: rgb(220, 220, 220); border-top-style: solid; border-top-width: 1px; box-sizing: border-box; clear: both; font-family: Universltw02-67boldcn; font-size: 30px; font-weight: normal; letter-spacing: -0.059em; line-height: 1em; margin: 0px 0px 30px; padding: 30px 0px; text-align: center; text-rendering: optimizeLegibility; text-transform: uppercase; width: 618.625px;">"LES CONGOLAIS SONT TRÈS ATTACHÉS À LEUR CONSTITUTION"</h2><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Les Congolais ont-ils conscience du retour en force des Mobutistes ?</b><br />
Oui bien sûr et c’est pour cela qu’ils résistent. Le peuple ne se laissera pas faire. Comme disait l’ancien Président américain Hamilton, «il peut arriver à un peuple de réélire les mêmes personnes qu’il a chassé autrefois du pouvoir, mais si ces personnes font la même chose que ce pourquoi ils ont été chassés cette fois-là ils seront pendus.»  </div><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Outre les Mobutistes, qui sont aujourd’hui les alliés de Kabila ?</b><br />
Des hommes politiques qui ont été vomis par la population et qui ont échoué aux élections. Kabila les impose comme ministres, commissaires spéciaux, ou candidats aux postes de gouverneurs. </div><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Peut-il ainsi espérer rester plus de trente ans au pouvoir, comme Mobutu ?</b><br />
Je ne pense pas. D’abord Joseph Kabila n’est pas arriver au pouvoir comme Mobutu. Il a été élu président de la République démocratique du Congo réunifiée grâce à la communauté internationale. Des moyens financiers et humains colossaux ont été déployés pour mettre fin au conflit. Dix-sept mille casques bleus ont été envoyés et aujourd’hui encore, il en reste 15.000 sur le territoire. La mission de maintien de paix au Congo est encore la plus grand opération de l'Onu. Il est en quelques sortes redevable à la communauté internationale. Enfin, au terme de la négociation de Sun City qui a réunifié le pays, la RDC s’est vue doté d’un instrument fruit d’un large consensus: sa constitution. Elle a été adoptée par Referendum avec 85% de «oui». Aujourd’hui, les Congolais sont très attachés au respect de cette constitution, fruit de nombreux sacrifices. </div><h2 style="background-color: white; border-bottom-color: rgb(220, 220, 220); border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1px; border-top-color: rgb(220, 220, 220); border-top-style: solid; border-top-width: 1px; box-sizing: border-box; clear: both; font-family: Universltw02-67boldcn; font-size: 30px; font-weight: normal; letter-spacing: -0.059em; line-height: 1em; margin: 0px 0px 30px; padding: 30px 0px; text-align: center; text-rendering: optimizeLegibility; text-transform: uppercase; width: 618.625px;">"LE MANDAT DE KABILA SE TERMINE LE 19 DÉCEMBRE"</h2><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Est-ce la raison pour laquelle Kabila n’ose pas encore y toucher ?</b><br />
La majorité présidentielle a tenté de le faire, mais ils n’y sont pas parvenus. La population y est farouchement opposée. </div><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Vous êtes juristes de formation, ce texte constitutionnel lui autorise-t-il d’une manière ou d’une autre à prolonger son mandat ?</b><br />
Non, d’aucune manière. Le but recherché par les constituants originaires est l’alternance démocratique et le refus total des présidents à vie. Si l’on s’en tient au texte, le mandat de Joseph Kabila se termine le 19 décembre 2016 à minuit. Il sera dès lors dans l’incapacité définitive d’exercer sa fonction présidentielle. L’article 75 de la constitution prévoit alors, en cas de vacance de pouvoir, qu’il revient au président du Sénat de prendre la tête du pays avec une seule mission: l’organisation les élections dans les trois mois qui suivent. Certains membres de la majorité présidentielle évoquent l’article 70 pour essayer de faire croire à l’opinion que Joseph Kabila peut rester au delà du 19 décembre 2016. Car selon le deuxième paragraphe de cet article, le Président doit rester en fonction jusqu’à l’entrée effective du nouveau président élu. C’est vrai mais ils oublient de mentionner que cet article ne peut être opposable que si un nouveau Président a été élu conformément aux articles 73 et 74 ! Le nouveau Président élu n’entre en fonction que dans les dix jours qui suivent la proclamation des résultats définitifs. C’est pendant cette période limitée à dix jours que le Président reste aux commandes.</div><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Si la Commission électorale nationale et indépendante ne peut organiser d’élections dans les délais, que prévoit le texte?</b><br />
Il est impossible de dire: «puisqu’on ne peut organiser des élections, alors je reste». Au contraire. L’article 69 de la constitution fait du Président de la République l’arbitre du bon fonctionnement des institutions. Si la Ceni est dans l’incapacité d’organiser des élections, c’est sa responsabilité à lui. Or, lorsqu’on interroge aujourd’hui la Ceni elle répond que c’est l’exécutif qui ne lui donne pas de moyens pour tenir ces élections dans les délais. En tant qu’arbitre et patron de l’exécutif, Joseph Kabila est donc doublement responsable. S’il en était autrement, ce serait trop simple. Une fois élu, un Président pourrait ne pas vouloir organiser des élections pour sa succession et rester en fonction à vie.</div><h2 style="background-color: white; border-bottom-color: rgb(220, 220, 220); border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1px; border-top-color: rgb(220, 220, 220); border-top-style: solid; border-top-width: 1px; box-sizing: border-box; clear: both; font-family: Universltw02-67boldcn; font-size: 30px; font-weight: normal; letter-spacing: -0.059em; line-height: 1em; margin: 0px 0px 30px; padding: 30px 0px; text-align: center; text-rendering: optimizeLegibility; text-transform: uppercase; width: 618.625px;">"IL DEVRAIT SUIVRE L'EXEMPLE DU PRÉSIDENT HAÏTIEN MICHEL MARTELLY"</h2><div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Kabila, est-il prêt à entendre un tel discours ?</b><br />
Ce n’est pas un discours, c’est ce que dit la constitution. Ceux qui rappellent aujourd’hui les principes de ce texte sont pointés du doigt. Ils subissent la répression comme certains membres de la majorité comme moi. En janvier 2015, je me suis exprimé contre la révision constitutionnelle et contre une des dispositions de la loi électorale qui prévoyait le recensement de la population avant les élections, un moyen de gagner du temps… Le gouvernement venait de présenter ce projet devant la représentation nationale. J’ai dit que c’était de la poudre aux yeux. La preuve, aucun recensement n’a eu lieu aujourd’hui. </div><span class="pave img_right_block" style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; display: block; float: right; font-family: "arial"; font-size: 15px; height: auto; line-height: 20px; margin: 20px 0px 20px 20px; width: 300px;"></span><a href="https://www.blogger.com/null" id="eztoc13193645_1" name="eztoc13193645_1" style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 20px; outline: none;"></a><a href="https://www.blogger.com/null" id="eztoc13193645_2" name="eztoc13193645_2" style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 20px; outline: none;"></a><a href="https://www.blogger.com/null" id="eztoc13193645_3" name="eztoc13193645_3" style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 20px; outline: none;"></a><br />
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial; font-size: 15px; line-height: 1.6em; margin-bottom: 30px; margin-top: 30px; text-align: justify;"><b style="box-sizing: border-box;">Kabila serait-il prêt aujourd’hui à reconnaître sa responsabilité et à se démettre de ses fonctions si des élections n’étaient pas organisées dans les délais ?</b><br />
Il en va dans son intérêt et celui du peuple congolais. S’il décidait de respecter la constitution il en sortirait grandi. Plutôt que d’écouter les conseils des « mobutistes », il devrait suivre l’exemple du Président haïtien. (ndlr: Michel Martelly a quitté le pouvoir en Haïti le 8 février parce qu’il ne pouvait organiser les élections dans les temps.) Il pourrait aussi s’inspirer de Boni Yahi au Bénin qui après avoir échoué par un vote au Parlement à modifier sa constitution a accepté de se désister et d’organiser des élections. Kabila n’a même pas essayer de voter une modification de la constitution parce qu’il sait qu’il ne peut le faire.</div><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQS_lzbKkXRSCzYu-AcJqn-1d1RT97lc15OFkANOqWh82FIYKtzaVaXqVzCszbxfH6LM9F1vzluEC_fuM0xpD7ddxGDlgAoyVoFZpt3EQhWbI-mzhMmpM93FSvu_PoJKDt0HpL3uckBqw/s400/Snapshot_52.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique POUR FRANCIS KALOMBO, "KABILA SUIT LES TRACES DE MOBUTU"

Ce député de la majorité présidentielle dénonce les manoeuvres de son propre camp pour prolonger le mandat de Joseph Kabila en RDC au mépris...

FERRE GOLA : Chikito de retour na G7 , est ce que Werrason nde akosaki ye ? (vidéo)

March 08, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZjHhyphenhyphenBFDGV1TYBFUhihcQ4EDbdqytmaxoUQiKyoc9_QH2f45H_jzZLZKAQJuqOsH7EfsrldnF_Rb4a2d4wnggDwhagHqGyhtMh7zFGjfj5cAZU4ytuar5NV9Qh8Md4LGqAUvrc5JpuB4/s1600/Snapshot_451.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZjHhyphenhyphenBFDGV1TYBFUhihcQ4EDbdqytmaxoUQiKyoc9_QH2f45H_jzZLZKAQJuqOsH7EfsrldnF_Rb4a2d4wnggDwhagHqGyhtMh7zFGjfj5cAZU4ytuar5NV9Qh8Md4LGqAUvrc5JpuB4/s400/Snapshot_451.jpeg" width="400" /></a></div>
FERRE GOLA : Chikito de retour na G7 , est ce que Werrason nde akosaki ye ? (vidéo)<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/ktMpT5E2SLg" width="600"></iframe><br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZjHhyphenhyphenBFDGV1TYBFUhihcQ4EDbdqytmaxoUQiKyoc9_QH2f45H_jzZLZKAQJuqOsH7EfsrldnF_Rb4a2d4wnggDwhagHqGyhtMh7zFGjfj5cAZU4ytuar5NV9Qh8Md4LGqAUvrc5JpuB4/s400/Snapshot_451.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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FERRE GOLA : Chikito de retour na G7 , est ce que Werrason nde akosaki ye ? (vidéo)

Défaite du Daring face à Munganoo : Le DCMP émet une réserve....... et déplore la publication à la hâte du Calendrier du Play-Off (vidéo)

March 08, 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQipRei0dfiXr3axYFKqGwBrdL2WL584FAI3eEJqdOWqpTvGEjSGTz7xYQ1CSAxa5uBSHTVfiB2ILFv4GuOHJ3Y_ztirBhi3hGFlPUGI6i2gR4z9i2qzadoJIMnFr3mwdLOIW-goyzXms/s1600/zahriha+ssbd.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQipRei0dfiXr3axYFKqGwBrdL2WL584FAI3eEJqdOWqpTvGEjSGTz7xYQ1CSAxa5uBSHTVfiB2ILFv4GuOHJ3Y_ztirBhi3hGFlPUGI6i2gR4z9i2qzadoJIMnFr3mwdLOIW-goyzXms/s400/zahriha+ssbd.jpg" width="400" /></a></div>Défaite du Daring face à Munganoo : Le DCMP émet une réserve.......  et déplore la publication à la hâte du Calendrier du Play-Off (vidéo)<br />
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infos en vidéos le journal le JT de la RTVSI1 Sport Défaite du Daring face à Munganoo : Le DCMP émet une réserve....... et déplore la publication à la hâte du Calendrier du Play-Off (vidéo)

Défaite du Daring face à Munganoo : Le DCMP émet une réserve....... et déplore la publication à la hâte du Calendrier du Play-Off (vidéo) ...

Didier lacoste très en Colère Contre Ferre GOLA et Fally Ipupa batika kolanda ye somo trop! (VIDÉO)

March 08, 2016

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Didier lacoste  très en Colère Contre Ferre  GOLA et  Fally Ipupa  batika kolanda ye somo trop! (VIDÉO)</h3>
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infos en vidéos Musique Didier lacoste très en Colère Contre Ferre GOLA et Fally Ipupa batika kolanda ye somo trop! (VIDÉO)

Didier lacoste très en Colère Contre Ferre GOLA et Fally Ipupa batika kolanda ye somo trop! (VIDÉO)

MIBA : 264 millions USD pour liquider les arriérés des salaires

March 08, 2016

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La Minière de Bakwanga est à la recherche d’un montant de 264 millions de dollars US pour apurer les arriérés des salaires de son personnel classé dans les catégories des retraités, licenciés et révoqués qui ont investi les maisons résidentielles.<br />
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Selon la délégation syndicale, c’est depuis 2008 que la Minière de Bakwanga connait des difficultés financières qui n’ont pas permis un fonctionnement normal de l’entreprise. La vétusté des engins commis à l’exploitation de la roche mère de Kimberlite en serait la cause.<br />
<br />
Actionnaire majoritaire, l’Etat congolais doit à la MIBA une somme de 3 milliards de dollars US au titre de loyer de 427 maisons occupées par certaines autorités politico-administratives, policières, militaires et judiciaires. Les nouvelles autorités de la MIBA seront désignées lors de la prochaine réunion du conseil d’administration prévue au 15 mars.<br />
<br />
Avant sa chute, la MIBA produisait 10.OOO carats de diamant par jour contre 700 carats seulement actuellement au lieu de 5.000 il y a deux mois.<br />
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(ACP) <br />
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Economie la Nation MIBA : 264 millions USD pour liquider les arriérés des salaires

La Minière de Bakwanga est à la recherche d’un montant de 264 millions de dollars US pour apurer les arriérés des salaires de son personnel...

L’artiste comédienne Maman Top traite Ursil PESHANGA de Lesbienne et Aboyi Fiston sai-sai pe alakisi mobali naye ( VIDÉO)

March 08, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhInFNzI9MY8Vsi6PLzRIOqfOJsvZCxDyMCkXtNLYc-FzMV6CxBIi8Fiwu_ngq0ZcQLwYnM2iOshx1SjD_xwWXHl0GeDrmLB4eXWKI8ABjPjVHMPuufVCmo0qPBptsjXBshmlsjyYi_cy4/s1600/Snapshot_656.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="118" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhInFNzI9MY8Vsi6PLzRIOqfOJsvZCxDyMCkXtNLYc-FzMV6CxBIi8Fiwu_ngq0ZcQLwYnM2iOshx1SjD_xwWXHl0GeDrmLB4eXWKI8ABjPjVHMPuufVCmo0qPBptsjXBshmlsjyYi_cy4/s200/Snapshot_656.jpeg" width="200" /></a><br />
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L’artiste comédienne Maman Top traite  Ursil PESHANGA de  Lesbienne  et Aboyi  Fiston sai-sai pe alakisi mobali naye (VIDÉO)</h3>
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infos en vidéos Théâtres Congolais L’artiste comédienne Maman Top traite Ursil PESHANGA de Lesbienne et Aboyi Fiston sai-sai pe alakisi mobali naye ( VIDÉO)

L’artiste comédienne Maman Top traite Ursil PESHANGA de Lesbienne et Aboyi Fiston sai-sai pe alakisi mobali naye (VIDÉO)

NE MUANDA NSEMI demande Pardon à Tous Les Acteurs Politique Qu' iL a Offensés

March 08, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjr2ju7HL46fxk9ZoCqzppBcWyIyHiDWjq5Xek_UEZ2aRZytS96XdmQH2rW6Hf7YSb6sQf-DdKyDO-hP3wn-QYg7W_VykCNh4Wv41gHZvOYuNHrxz1IOPFygfIjPNp7DzXOzI_zT4qiu9s/s1600/Snapshot_653.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjr2ju7HL46fxk9ZoCqzppBcWyIyHiDWjq5Xek_UEZ2aRZytS96XdmQH2rW6Hf7YSb6sQf-DdKyDO-hP3wn-QYg7W_VykCNh4Wv41gHZvOYuNHrxz1IOPFygfIjPNp7DzXOzI_zT4qiu9s/s400/Snapshot_653.jpeg" width="400" /></a>La culture de la miséricorde préoccupe au plus haut point Ne Muanda Nsemi. Se référant à Nelson Mandela et à Jésus-Christ, il demande pardon à tous les acteurs politiques qu’il estime avoir offensés et promet en même temps de pardonner à tous ceux qui lui ont fait du tort. Ce mea culpa et cette culture du pardon, Ne Muanda Nsemi en fait part dans le dernier numéro de son dépliant ’’Kongo dieto’’ n°2368, paru le 3 mars 2016.<br />
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Au nombre de ces politiques avec qui il tient à se réconcilier, le numéro un de Bundu dia Mayala cite le chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange, Marie-Thèrese Nlandu, Jean-Claude Mvuemba, Vital Kamerhe, Moïse Katumbi, Tshisekedi wa Mulumba, Jean-Pierre Bemba et Kengo wa Dondo. <br />
Trêve de conflits inutiles. Ne Muanda Nsemi a, dans la foulée, promis de pardonner le Géneral Raüs pour avoir été à la tête de l’assaut des adeptes de Bundu dia Kongo, son mouvement mystico-spirituel, en 2008, tout en lui demandant de payer les dommages et intérêts. Au Général Kalume, il accorde pardon pour ses tentatives de nuire à sa personne.<br />
Il a également présenté ses excuses au gouverneur de la ville, André Kimbuta, à la majorité présidentielle comme à l’opposition, à Eddy Kapend, à Azarias Ruberua, ainsi qu’à tous les kassaïens, pour avoir parfois été dur à leur égard.<br />
<br />
APPEL AU PARDON MUTUEL<br />
Le numéro un du parti politique Bundu dia Mayala a, par ailleurs, souligné que « le pardon mutuel et la collaboration franche entre acteurs politiques congolais et d’autres personnalités constitue le moyen par excellence de trouver des réponses appropriées aux problèmes auxquels la RDC se trouve confrontée ».<br />
Déterminé à collaborer actuellement avec tout le monde, Ne Muanda Nsemi a indiqué que le dialogue, la vérité et la réconciliation sont la voie du salut pour la République démocratique du Congo. Il estime que les Congolais doivent se parler et se pardonner mutuellement pour tous les maux commis.<br />
<br />
HARO SUR LES INJURES !<br />
« Il faut que le temps des injures tous azimuts prenne fin », souligne-t-il. Selon Ne Muanda Nsemi, l’heure des querelles inutiles, des guerres, des injures est révolue. Le sang du peuple congolais ne doit plus couler. A cette occasion, il invite tous les acteurs politiques à la culture du dialogue et du pardon.<br />
« Il est temps de reconnaitre la Vérité sur les forfaits commis, de demander pardon et de rechercher une véritable réconciliation », souligne Ne Muanda Nsemi, avant de rappeler que Nelson Mandela a aussi pardonné ses détracteurs d’hier, après sa sortie de la prison. Il en est de même du fils de Dieu, Jésus Christ, pour ceux qui lui ont voulu la mort.<br />
<br />
L’HEURE DU DIALOGUE A SONNE !<br />
Ne Muanda Nsemi a avancé qu’il est temps pour lui et à sa formation politique d’arrêter d’injurier. C’est plutôt l’heure du dialogue pour une réconciliation qui viendra du fond du cœur. Car, indique-t-il, il s’agit des filles et fils du même pays.<br />
Il a, par ailleurs, rappelé que nombre des fois où il s’est attaqué à telle ou telle personnalité du pays, c’était en réaction aux provocations précédentes. Il a souligné qu’il n’a jamais été le premier à attaquer une personnalité politique ou militaire du pays. Ce sont plutôt les autres qui ont toujours été les premiers à l’injurier, conclut-il.<br />
Orly-Darel NGIAMBUKULU<br />
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Politique NE MUANDA NSEMI demande Pardon à Tous Les Acteurs Politique Qu' iL a Offensés

La culture de la miséricorde préoccupe au plus haut point Ne Muanda Nsemi. Se référant à Nelson Mandela et à Jésus-Christ, il demande pardon...

Kinshasa : après la pluie, c’est la catastrophe au marché de Selembao !

March 08, 2016

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Les vendeurs et ceux qui fréquentent le marché Selembao se plaignent de l’état de ce lieu public de vente après la pluie. C’est là, le cri de cœur qu’ils ont exprimé à des fins limiers qui y sont, dernièrement,  descendus. En effet, à leurs dires, après que dame la pluie soit passée, ce marché se retrouve dans un piteux état. L’eau se mélange avec la terre pour créer de la boue dans tous les coins et recoins. Et, les poubelles de fortune en gestation çà et là s’éparpillent un peu partout, tout en laissant des odeurs dignes de la pire des décharges d’immondices. Tout cela engendre un environnement hautement insalubre. Cette situation s’est encore produite le 5 mars 2016 suite à la pluie particulièrement torrentielle qui s’est abattue sur la Ville-Province de Kinshasa. Comme quoi, au marché de Selembao, après la pluie c’est la catastrophe. Cet état de fait attriste au plus haut point les commerçants qui notent parfois une faible fréquentation de la population. L’insalubrité s’érige alors en vrai obstacle à la santé et à la vente.<br />
<br />
Confessions<br />
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Un quidam habitué audit marché s’est confié : «Nous ne fréquentons pas ce marché pendant la pluie ou après parce qu’on ne sait alors pas où mettre les pieds et, par ailleurs, quoi acheter. Car, les vendeurs n’ont pas de place ‘’propre ‘’ pour exposer la marchandise». Dans ce même registre, une vendeuse a soutenu que la vente devenait de plus en plus dure après une pluie. «On ne vend pas pendant ou après la pluie. En cause, la boue et l’impraticabilité du marché», lance-t-elle, avec un air de regret et de tristesse. Elle a fustigé la gestion de ce marché public par les autorités qui prélèvent chaque jour, hormis le samedi, de l’argent auprès de tout tenancier d’une boutique, d’un magasin, etc. «Les clients fuient l’intérieur pour la boue et nous étalons ainsi les marchandises ailleurs que sur les emplacements habituels.  Nous y vendons à manger. Mais, dans toute cette saleté, il y a des mouches qui circulent, l’odeur, et bien d’autres facteurs qui pèchent contre l’hygiène », conclut-elle.<br />
<br />
Deborah Kasoki<br />
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Au tour de Kinshasa Société Kinshasa : après la pluie, c’est la catastrophe au marché de Selembao !

Les vendeurs et ceux qui fréquentent le marché Selembao se plaignent de l’état de ce lieu public de vente après la pluie. C’est là, le cri...

Election des gouverneurs et vice-gouverneurs. NCPS : Steve Mbikayi continue d’exiger l’annulation pure et simple !

March 08, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiid9zrzXu-8pG9H37Oawpnasfj9TXaNX2w5uDDYuWEL8IC_lUqDlpKlQ0wFgXxuqjC8a0gSmr3qsMqob3iNe-BAiZkFLNX_ZyVvT8ozKKzAAQkTJVwcCjShGfJHjZJgtRSLMm39Zwd9EE/s1600/Snapshot_646.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiid9zrzXu-8pG9H37Oawpnasfj9TXaNX2w5uDDYuWEL8IC_lUqDlpKlQ0wFgXxuqjC8a0gSmr3qsMqob3iNe-BAiZkFLNX_ZyVvT8ozKKzAAQkTJVwcCjShGfJHjZJgtRSLMm39Zwd9EE/s400/Snapshot_646.jpeg" width="400" /></a>La Nouvelle Classe Politique et Sociale/opposition nationaliste a réagi hier, lundi 7 mars 2016, sur toutes les questions brûlantes de l’heure. Dans une déclaration lue par son porte-parole, en la personne de Steve Mbikayi Mabuluki, ce regroupement politique a donné sa position notamment, sur la problématique du dialogue qui tarde à venir, la question de l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs et aussi des manifestations organisées ci et là par la classe politique pour défendre l’indéfendable. Avant toute chose, la NCPS a salué et félicité le peuple béninois et Boni Yayi, le Président sortant pour avoir organisé leur 6ème élection démocratique dans le respect des délais constitutionnels.<br />
<br />
En ce qui concerne la question du dialogue, la Nouvelle Classe Politique/Opposition Nationaliste constate que le dialogue annoncé depuis plus de huit mois reste au centre du débat politique. Convoqué par une ordonnance présidentielle, ce dialogue, qui peine à démarrer, divise l’opinion nationale. D’un côté, se trouve une partie de la classe politique favorable à la participation à ces assises et, de l’autre, ceux qui,  apparemment, sont hostiles à sa tenue. Comble de malheur, poursuit l’opposition nationaliste, ce processus qui a été confié aux mains étrangères semble échapper complètement à tous les acteurs nationaux. «La divergence persistante dans la classe politique donne davantage le droit et même l’audace à certains gouvernements et sénateurs étrangers de décider à notre place et de donner des injonctions à notre pays, à la grande satisfaction des acteurs politiques nationaux connus pour leur soumission à l’impérialisme international ! Une attitude humiliante pour tout nationaliste. La Nouvelle classe Politique/Opposition Nationaliste trouve irresponsable de la part de la classe politique congolaise, toutes tendances confondues, le fait de laisser le destin de son peuple entre les mains étrangères. C’est se soumettre implicitement à leur dictat», a dit Steve Mbikayi. S’agissant de l’élection des Gouverneurs et vice-gouverneurs, la Nouvelle Classe politique/opposition Nationaliste rappelle que cette élection est dénuée de tout sens dans la mesure où les nouvelles provinces n’ont pas de députés élus, ceux issus des anciennes provinces ne peuvent constituer un corps électoral pour des raisons évidentes. Il y a aussi lieu de se demander de combien d’années seront faits les mandats des gouverneurs issus de cette mascarade d’élection dans la mesure où lors des joutes électorales prochaines, les députés provinciaux légitimes seront élus et ne pourront logiquement contrôler ces gouverneurs. Ci-dessous, l’intégralité de la déclaration politique de la NCPS/opposition Nationaliste !  <br />
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NOUVELLE CLASSE POLITIQUE ET SOCIALE/OPPOSITION NATIONALISTE<br />
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DECLARATION POLITIQUE<br />
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Les partis politiques et associations membres de la Nouvelle Classe Politique et Sociale/opposition Nationaliste se sont retrouvés ce lundi 07 février 2016 à leur siège pour passer en revue la situation politique de l’heure.<br />
<br />
Après échange, il s’est dégagé que l’actualité politique reste dominée par l’attente du début du dialogue National inclusif et par la problématique de  l’élection des gouverneurs dans les nouvelles provinces. Avant d’entrer en la matière la Nouvelle Classe  Politique a commencé par féliciter le peuple Béninois et Boni YAYI son Président sortant pour avoir organisé leur 6ème élection démocratique, dans le respect des délais constitutionnels et dans la paix. Partant de ce bel exemple, la NCPS souhaite que notre pays s’inspire de ce modèle pour que les futures joutes électorales soient un moment de joie et non des troubles et de déchirement. Avec un peu de patriotisme, nous y arriverons.<br />
<br />
DE LA CONVOCATION DU DIALOGUE NATIONAL INCLUSIF<br />
La Nouvelle Classe Politique/Opposition Nationaliste constate que le dialogue annoncé depuis plus de huit mois reste au centre du débat politique. Convoqué par une ordonnance présidentielle ce dialogue qui peine à démarrer divise l’opinion nationale.<br />
<br />
D’un côté se trouve une partie de la classe politique favorable à la participation à ces assises et de l’autre une autre apparemment hostile à sa tenue.<br />
<br />
Comble de malheur, ce processus qui a été confié aux mains étrangères semble échapper complètement à tous  les acteurs nationaux. La divergence persistante dans la classe politique donne davantage le droit et même l’audace à certains gouvernements et sénateurs étrangers de décider à notre place et de donner des injonctions à notre pays, à la grande satisfaction des acteurs politiques nationaux connus pour leur soumission à l’impérialisme international ! Une attitude humiliante pour tout nationaliste.<br />
<br />
La Nouvelle classe  Politique/Opposition Nationaliste trouve irresponsable de la part de la classe politique congolaise, toutes tendances confondues, le fait de laisser le destin de son peuple entre les mains étrangères. C’est se soumettre implicitement à leur dictat.<br />
<br />
Dans une attitude attentiste, les politiciens congolais se sont confié des « beaux rôles ! Les uns pour organiser chants, danses et prières à la gloire du dialogue et les autres pour mener campagnes ici et ailleurs contre la tenue dudit dialogue !<br />
<br />
Pendant ce temps, les jours passent et nous nous approchons dangereusement de la fin de mandat de deux institutions encore légitimes : L’Assemblée Nationale et le Président de la République. Bientôt, toutes les institutions de la République seront illégitimes et fonctionneront dans l’illégalité. Car, il est certain qu’en dépit de toute démagogie, nous n’aurons pas des élections dans les délais  prescrits par la constitution. Plutôt que de nous fier tous aux bruits des sirènes qui nous viennent de New York, Londres, Paris et Bruxelles, nous qui faisons face à la réalité, nous devons faire montre de responsabilité en nous réappropriant le processus du dialogue par la mise en place immédiate d’un comité préparatoire qui, pour répondre au vœux des un et des autres, collaborera avec le facilitateur désigné, dans la préparation du dialogue proprement dit. Une fois mis en place, le comité préparatoire attirera du monde. La sélection naturelle s’occupera du reste !<br />
<br />
La Nouvelle Classe Politique/Opposition nationaliste invite les acteurs politiques congolais à mettre fin au comportement folklorique sur la question  pour les uns et à renoncer à un radicalisme artificiel et irresponsable pour les autres. Il est temps de passer aux choses sérieuses et d’arrêter avec la politique de la terre brûlée.<br />
<br />
2.  De l’élection des gouverneurs de nouvelles provinces<br />
<br />
La Nouvelle Classe politique/opposition Nationaliste rappelle que cette élection est dénuée de tout sens dans la mesure où les nouvelles provinces n’ont pas de députés élus, ceux issus des anciennes provinces ne peuvent constituer un corps électoral pour des raisons évidentes.<br />
<br />
Il y a aussi lieu de se demander de combien d’années seront faits les mandats des gouverneurs issus de cette mascarade d’élection dans la mesure où lors des joutes électorales prochaines, les députés provinciaux légitimes seront élus et ne pourront logiquement contrôler ces gouverneurs ! Nous réitérons notre demande de voir cette élection annulée.<br />
<br />
Cette parodie d’élection des gouverneurs n’a eu pour mérite que de faire constater la dépendance de la CENI à une famille politique pour avoir exécuté à la lettre les injonctions venues de cette dernière ! Cette dépendance manifeste de la CENI réconforte notre vœu de dialogue en vue notamment de mettre en place un nouveau bureau de la CENI, dont le président devra être désigné en toute transparence, contrairement à la désignation du président actuel et de son prédécesseur.<br />
<br />
Pour un processus électoral équitable, juste, transparent et démocratique, le dialogue nous permettra aussi de dégager un consensus autour des animateurs de la cour constitutionnelle et de la territoriale.<br />
<br />
Au vu de cette réalité politique et des difficultés d’ordre technique, il est aujourd’hui démagogique d’affirmer que les élections seront organisées dans le respect des délais constitutionnels.<br />
<br />
Le réalisme voudrait que la classe politique se mette d’accord autour d’un calendrier électoral consensuel, pour l’organisation des élections dans un délai raisonnable.<br />
<br />
Pour plus d’inclusivité du processus électoral et par pragmatisme, la Nouvelle Classe Politique/Opposition Nationaliste réaffirme son idée d’une gestion collégiale d’une période transitoire qui débutera à la fin du mandat du chef de l’Etat actuel. Pour ne pas violer la constitution, cette transition sera la résultante d’une convention constitutionnelle avalisée par la cour constitutionnelle, partant d’une interprétation consensuelle de la teneur de l’article 70 de notre constitution.<br />
<br />
Tout autre comportement serait irresponsable et susceptible de mettre le Pays à feu et à sang. Comportement affiché dans le but de conserver illégalement le pouvoir ou d’y accéder par des voies antidémocratiques !<br />
<br />
Nous osons croire que l’échec des actions populistes initiées par les uns et les autres ces derniers jours leur permettra d’avoir les deux pieds sur terre, et d’aborder les questions politiques avec réalisme et responsabilité.<br />
<br />
TIMBELA !<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 07 mars 2016<br />
<br />
Steve MBIKAYI MABULUKI<br />
<br />
Porte-parole<br />
<br />
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiid9zrzXu-8pG9H37Oawpnasfj9TXaNX2w5uDDYuWEL8IC_lUqDlpKlQ0wFgXxuqjC8a0gSmr3qsMqob3iNe-BAiZkFLNX_ZyVvT8ozKKzAAQkTJVwcCjShGfJHjZJgtRSLMm39Zwd9EE/s400/Snapshot_646.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Affaire prisonniers et exilés politiques : le Front du Peuple chez Boshab !

March 08, 2016

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqGd0MpJNUg7OfXB35FN4PaBztNCyzf_zqCgAISzT5WeTUkh9BkzsPtFFxRkWcMQU6Y2qO5ETqXEgrUkpS1AMZkj69-ph239t5bnk6vi4gRNBb8N1jF8ScY1MiPDoZMeLR9Xh1RmeTUqs/s1600/Snapshot_341.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqGd0MpJNUg7OfXB35FN4PaBztNCyzf_zqCgAISzT5WeTUkh9BkzsPtFFxRkWcMQU6Y2qO5ETqXEgrUkpS1AMZkj69-ph239t5bnk6vi4gRNBb8N1jF8ScY1MiPDoZMeLR9Xh1RmeTUqs/s400/Snapshot_341.jpeg" width="400" /></a><br />
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Les personnalités du Front du peuple se sont rendues hier, lundi 7 mars 2016, au cabinet du Vice-premier Ministre et Ministre en charge de l’Intérieur et Sécurité, Evariste Boshab. Plusieurs points étaient au centre de leurs échanges. Il s’agit, entre autres, de la libération de tous les prisonniers politiques, la question des exilés politiques notamment, Roger Lumbala, le dialogue, les élections, etc.  La Délégation des alliés de Tshisekedi conduite par Jean-Pierre Lisanga Bonganga pense qu’en marge du prochain dialogue, il serait souhaitable de décrisper certaines situations avec la libération de tous les prisonniers politiques dont Christopher Ngoy, Jean-Claude Muyambo, Mbonekube, Diomi Ndongala, etc.             <br />
<br />
«Le Front du Peuple, c’est un regroupement composé des alliés du Président Etienne Tshisekedi et dans ce regroupement, il y a des plateformes, des partis et personnalités politiques. Il y a aussi des membres de la société civile qui soutiennent l’option et la vision d’Etienne Tshisekedi. La vision concernant le dialogue sous la médiation internationale. Nous sommes venus rencontrer le Vice-premier dans une très bonne ambiance. On a parlé Congo, on a parlé peuple, tout  s’est bien passé. Nous lui avons soumis deux petites préoccupations», a-t-il expliqué au sortir de leurs entretiens. Et de poursuivre que premièrement, il faut rappeler que nous avons décrété le mois de mars mois du dialogue sous la médiation internationale, mais nous nous sommes rendus compte que dans notre équipe il y a des joueurs qui manquent notamment,  Christopher Ngoy qui est arrêté, nous lui avons parlé de ce cas.<br />
<br />
En allant vers le VPM Evariste Boshab, le Front du Peuple voulait obtenir l’implication de ce membre du Gouvernement pour que la situation soit décantée. Il a même rappelé à la presse tout en saluant l’esprit d’écoute du Ministre de l’Intérieur et Sécurité et l’ambiance des échanges. <br />
<br />
«Nous voulons qu’il puisse voir comment être notre interlocuteur, il nous a promis d’amener le problème dans d’autres ministères pour que dans 15 jours, nous puissions revenir pour la réponse. Nous avons aussi parlé d’un autre joueur qui est Roger Lumbala, présentement en exil et le Vice-premier nous a promis de la même manière que dans 15 jours nous aurons la réponse», a-t-il martelé.<br />
<br />
La question des combattants arrêtés lors de la célébration de la ville morte a été aussi abordée lors de ces échanges. A ce sujet, le Porte-parole du Front du Peuple s’est exprimé en ces termes : «Nous avons parlé de nos combattants que ce soit ceux de l’UDPS et d’autres partis qui ont été arrêtés lors de la manifestation de la ville morte. A ce sujet, le Vice-premier Ministre a demandé la liste de tous ces détenus pour voir comment il va intervenir et ce, en toute responsabilité. Il nous a, par la même occasion, invités de venir de temps à temps vu que c’est un ministère très important.  Nous sommes sortis dans des très bonnes conditions et nous remercions le VPM pour l’accueil».        <br />
<br />
Kevin Inana<br />
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqGd0MpJNUg7OfXB35FN4PaBztNCyzf_zqCgAISzT5WeTUkh9BkzsPtFFxRkWcMQU6Y2qO5ETqXEgrUkpS1AMZkj69-ph239t5bnk6vi4gRNBb8N1jF8ScY1MiPDoZMeLR9Xh1RmeTUqs/s400/Snapshot_341.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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