BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Moise Moni Della prend l ' engagement de continuer la lutte d ' Etienne Tshisekedi (vidéo)

February 20, 2017

infos en vidéos le journal Politique Moise Moni Della prend l ' engagement de continuer la lutte d ' Etienne Tshisekedi (vidéo)

Moise Moni Della prend l ' engagement de continuer la lutte d ' Etienne Tshisekedi (vidéo)

Mfumu Ntoto : Kabila a le droit de refuser le premier ministre présenté par le rassemblement conformément à l ' article 78 (vidéo)

February 20, 2017

infos en vidéos Politique Mfumu Ntoto : Kabila a le droit de refuser le premier ministre présenté par le rassemblement conformément à l ' article 78 (vidéo)

Mfumu Ntoto : Kabila a le droit de refuser le premier ministre présenté par le rassemblement conformément à l ' article 78 (vidéo)

VIDEO des FARDC: la Communauté internationale fait pression sur le gouvernement

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1AxfvLDejVSmjePPAOlktYFOEa2Qq4vQpzO2w9E1QKjajaN63HHyRNwKF3kE93NRo3mUo204RLv74BbDl75aS-ICe8PxEQ5ImnvXkkqycNs3C3sS2qPyUDoJVkq-3eP4JmsRKTzEA104i/s1600/Snapshot_575.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1AxfvLDejVSmjePPAOlktYFOEa2Qq4vQpzO2w9E1QKjajaN63HHyRNwKF3kE93NRo3mUo204RLv74BbDl75aS-ICe8PxEQ5ImnvXkkqycNs3C3sS2qPyUDoJVkq-3eP4JmsRKTzEA104i/s400/Snapshot_575.jpeg" width="400" /></a></div>
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La France et les Etats-Unis haussent le ton pour demander une enquête indépendante sur une vidéo mettant en cause l'armée congolaise tirant à bout portant sur des adeptes de Kamwina Nsupa.« Nous exhortons les autorités congolaises à faire au plus vite la lumière sur ces agissements inacceptables et à identifier les responsables, qui devront répondre de leurs actes« , a déclaré le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Romain Nadal, dans un communiqué.<br />
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La France « condamne les violences meurtrières » dans cette région  du Kasaï, au centre de la République démocratique du Congo, et appelle les autorités et l’armée congolaises à « assumer leur responsabilité première de protection des populations civiles, dans le plein respect des droits de l’homme« , poursuit le porte-parole.<br />
<br />
De son côté, le secrétaire d’État américain a exprimé sa « profonde préoccupation » à l’égard de cette vidéo montrant les forces armées de la République démocratique du Congo (RDC) menant des exécutions sommaires de civils dans le pays.Dans une déclaration de son porte-parole, M. Mark Toner, Washington a déclaré que l’incident pourrait constituer des violations flagrantes des droits de l’homme.<br />
<br />
« Les États-Unis sont profondément préoccupés par la vidéo qui semble montrer des éléments des forces armées de la République démocratique du Congo exécutant sommairement des civils, y compris des femmes et des enfants« .<br />
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« Ces exécutions extrajudiciaires, si elles sont confirmées, constitueraient des violations flagrantes des droits de l’homme et menaceraient d’inciter à la violence et à l’instabilité généralisées dans un pays déjà fragile« , a-t-il poursuivi.<br />
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« Nous demandons au gouvernement de la République démocratique du Congo de lancer une enquête immédiate et approfondie en collaboration avec les organisations internationales chargées du suivi des droits de l’homme », a-t-il conclu.<br />
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La vidéo, diffusée  samedi sur internet, montre « des membres présumés des forces armées de la République démocratique du Congo se livrant à des exécutions extrajudiciaires contre la population civile, y compris des femmes et des enfants, dans la région du Kasaï« , au centre du pays, relève-t-il.<br />
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Samedi, après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo non authentifiée mettant en cause l’armée dans un massacre de civils au Kasaï, le gouvernement congolais avait qualifié de « montage » ce film tourné selon un plan-séquence unique avant de reconnaître que des soldats congolais avaient pu commettre des « excès » en réprimant la rébellion Kamwina Nsapu, qui déstabilise le sud de la province du Kasaï central depuis septembre 2016.<br />
<br />
Avec AFP.

Politique VIDEO des FARDC: la Communauté internationale fait pression sur le gouvernement

La France et les Etats-Unis haussent le ton pour demander une enquête indépendante sur une vidéo mettant en cause l'armée congolaise...

Pas d’accord entre Kimbuta et l’UDPS au sujet du « mausolée » pour Tshisekedi

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWGZ9Uu_u5BtmWSJo1rtgCN4Qq4AgC4yNywd7Bu5L3ZcG2xCpajaIT4GsM6YzAB969fBjK9NV29wzyolWRCk5PQoiAgMBx1lbo1h_pTS6bRTb_4osCwMWXgZFT2AyVkDUdX6A-OcfRUHIH/s1600/Snapshot_573.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="233" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWGZ9Uu_u5BtmWSJo1rtgCN4Qq4AgC4yNywd7Bu5L3ZcG2xCpajaIT4GsM6YzAB969fBjK9NV29wzyolWRCk5PQoiAgMBx1lbo1h_pTS6bRTb_4osCwMWXgZFT2AyVkDUdX6A-OcfRUHIH/s400/Snapshot_573.jpeg" width="400" /></a></div>
Aucun accord n'a été trouvé au sujet du lieu de la sépulture du leader de l'UDPS à l'issue de la réunion tenue cette après-midi entre le gouvernement provincial et des représentants de la famille d'Etienne Tshisekedi, apprend-t-on.Des membres de la famille d’Étienne Tshisekedi et ceux de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) sont arrivés cet après-midi à l’Hôtel de Ville de Kinshasa où ils ont été conviés par le gouverneur André Kimbuta pour une « séance de travail » concernant le dossier de la sépulture du leader de l’opposition décédé le 1er février dernier à l’âge de 84 à Bruxelles.<br />
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Dans son allocution de bienvenue, le gouverneur de la ville-province de Kinshasa, André Kimbuta Yango a appelé à des obsèques « dignes » de Tshisekedi dans la capitale congolaise.<br />
<br />
« L’UDPS pour moi, c’est une école que le président Tshisekedi a formé. Nous sommes tous passés par là. Moi-même je cris haut et fort que par mon oncle, je suis passé par là (…) Donc, ne pensez pas qu’il y a deux camps en ce qui concerne ce deuil, et qu’il y a les uns qui observent et d’autres des acteurs. Tout le monde est acteur, et tout le monde veut que le président Tshisekedi soit pleuré dignement dans cette ville« , a expliqué André Kimbuta.Le gouvernorat de Kinshasa a refusé tous les endroits proposés par l’UDPS à l’issue de cette rencontre avec la délégation conduite par M. Kabund.  De son côté le parti de Tshisekedi songe désormais à l’endroit où est situation le siège de l’UDPS , dans la commune de Limete.<br />
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En effet, l’UDPS a présenté vendredi, dans une lettre adressée au gouverneur de Kinshasa, quatre sites à travers la capitale de la République démocratique du Congo pour l’inhumation de son leader.<br />
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« Pour la bonne organisation de ses obsèques et après concertation avec la famille biologique de l’illustre disparu en ce qui concerne le lieu de son enterrement, quatre propositions de sites que nous vous soumettons par ordre de préférence ont retenu notre attention. Il s’agit des endroits suivants: la place de l’indépendance en face du palais de la justice dans la commune de Gombe, la place pont Cabi dans la commune de Kasavubu, l’esplanade du palais du peuple dans la commune de Lingwala, dans la commune de limete entre 7è et 12 ième rues« , dit cette lettre de Jean-Marc Kabund, Secrétaire général de l’UDPS, au gouverneur André Kimbuta.<br />
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politico.cd

Politique Pas d’accord entre Kimbuta et l’UDPS au sujet du « mausolée » pour Tshisekedi

Aucun accord n'a été trouvé au sujet du lieu de la sépulture du leader de l'UDPS à l'issue de la réunion tenue cette après-mid...

Le Rassemblement ne transmettra pas trois noms de candidats à Kabila (Jean-Claude Vuemba)

February 20, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgd8M5Nzg75UAEfb-Au7ZFqHZ1loggOQJ2UW7g56I2-sbvkRnt_Lk5UfdSVgiIANi3jlOFbIIuvIUgKQHDFkZS4MrOJ7DxlGj4MDstAxF9sqiywsW6I0s1STIDTID4Dj18cD-FMM9UMmXdC/s1600/Snapshot_572.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgd8M5Nzg75UAEfb-Au7ZFqHZ1loggOQJ2UW7g56I2-sbvkRnt_Lk5UfdSVgiIANi3jlOFbIIuvIUgKQHDFkZS4MrOJ7DxlGj4MDstAxF9sqiywsW6I0s1STIDTID4Dj18cD-FMM9UMmXdC/s400/Snapshot_572.jpeg" width="400" /></a>Le député congolais, membre de l'opposition, accuse le président Joseph Kabila, qui a dit attendre qu'on lui présente trois candidats Premier ministre, de vouloir bloquer l'application de la CENCO. Désignation du Premier ministre et du président du Conseil national de suivi de l’accord, la Majorité présidentielle et le Rassemblement campent sur leur position. Face à ce statuquo, Jean-Claude Vuemba Luzamba accuse Joseph Kabila. Pour ce membre du Conseil des sages du Rassemblement, le président de la République fait tout pour gripper la machine. Aux évêques membres de la CENCO qu’il a reçus lundi matin, le président de la République a affirmé qu’il est toujours dans l’attente de trois noms candidats Premiers ministre. Le président Kabila a même exhorté le Rassemblement à trouver un candidat consensuel pour la présidence du Conseil des sages du Rassemblement.<br />
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Fâché, Jean-Claude Vuemba ne jure que sur le respect strict de l’accord de la Saint-Sylvestre. « Je crois que monsieur Kabila ou ses conseillers ne comprennent pas l’accord de la Saint-Sylvestre. Cet accord dit que le Rassemblement envoie le nom du Premier ministre. C’est inscrit nulle part dans la Constitution où dans des lois de la République qu’il faut envoyer trois noms. Nous comprenons que monsieur Kabila veut amener les gens à un blocage. Nous sommes respectueux des textes, de la Constitution, des lois ainsi que des accords que nous avons signés. Nous allons lui envoyer le nom du Premier ministre« , a-t-il insisté sur les ondes de Top Congo FM.<br />
<br />
Sur les ondes de la même radio, Jean-Claude Vuemba a manifesté son mécontentement face à ce qu’il a qualifié d’immixtion du Chef de l’Etat dans la cuisine interne du Rassemblement. « Monsieur Kabila nous exige un consensus sur la désignation du président du Conseil national de suivi, est-ce que nous lui avons exigé un consensus par rapport à ses délégués au Centre interdiocesain? C’est le Rassemblement qui enverrait le nom du président du Conseil national de suivi. Ça ne doit pas être quelque chose qu’on doit partager avec la Majorité« , a-t-il tonné.<br />
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A en croire ses propos, Joseph Kabila ne veut en aucun cas de la paix au pays. « Si monsieur Kabila continue comme ça, je crois que le Rassemblement doit prendre ses responsabilités. Nous allons stopper toute relation avec la CENCO pour que le peuple congolais se prenne en charge« , a-t-il menacé.<br />
Concernant le respect de la dernière volonté d’Étienne Tshisekedi, Jean-Claude Vuemba s’est montré intransigeant. « Nous avons un testament laissé par monsieur Étienne Tshisekedi wa Mulumba, le héros national. Il avait déjà envoyé aux évêques le nom du Premier ministre à transmettre à monsieur Kabila« , a-t-il tranché.<br />
politico.cd

Politique Le Rassemblement ne transmettra pas trois noms de candidats à Kabila (Jean-Claude Vuemba)

Le député congolais, membre de l'opposition, accuse le président Joseph Kabila, qui a dit attendre qu'on lui présente trois candidat...

Primature: la revanche de Joseph Kabila à l’UDPS ?

February 20, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2o3LQNIQwi4v3daJFh0g-7-1MCMLJn9GpkO0S0J9mkHOjKhOs8MEAB0PeYQQIBz87BBYbsW8yRWZmFu-5q7HtZHqoeh0z-JP8BWsV4VhoFL6S4CVyw1dYUrVVE19K9UQZ2iAp5WRnSnuw/s1600/Snapshot_571.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2o3LQNIQwi4v3daJFh0g-7-1MCMLJn9GpkO0S0J9mkHOjKhOs8MEAB0PeYQQIBz87BBYbsW8yRWZmFu-5q7HtZHqoeh0z-JP8BWsV4VhoFL6S4CVyw1dYUrVVE19K9UQZ2iAp5WRnSnuw/s400/Snapshot_571.jpeg" width="400" /></a>Depuis le temps qu’on la dit en phase terminale, cette fois-ci, si les conditions sont réunies, il paraît que c’est pour de bon.<br />
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Joseph Kabila est sorti de son silence ce matin. Après plusieurs sollicitations des évêques-médiateurs des échanges directs entre l’opposition et la Majorité présidentielle, le président de la république les a enfin reçus au Palais de la nation.<br />
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L’accord de la Saint Sylvestre au menu de la discussion, sa mise en œuvre serait en train de pousser ses derniers soupirs sauf qu’il y a deux conditions: le rassemblement doit  proposer une liste des candidats pour le poste de premier ministre à Joseph Kabila. Si cette condition passait comme une rumeur il y a quelques semaines, aujourd’hui elle est bien réelle. Kabila l’a dit, lui-même aux évêques.<br />
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À travers cette insistance, Kabila pose une condition qui ressemble à des cailloux dans les chaussures du Rassemblement. <br />
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Alors que le Rassemblement n’a pas encore réagi, l’UDPS réplique sans attendre à travers son secrétaire général: Kabund à Kabila : le Rassemblement ne proposera pas des noms à Kabila, même pas deux. Rideaux ! <br />
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L’unité du rassemblement mise à rude épreuve <br />
Deuxième chose qui est considérée comme une condition que Kabila pose à son tour au rassemblement: la liste des candidats Premier ministre doit lui être présentée par le nouveau président du conseil des sages du Rassemblement. Etienne Tshisekedi étant mort. Kabila  invite-t-il le rassemblement à se rassembler de nouveau ? Est-ce son rôle ?<br />
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Déjà assez fragile ce jours-ci , cette condition risque de diviser davantage le rassemblement et même  l’opposition à quelques mois de la présidentielle. Car, on le sait, la question met les membres du rassemblement en inimitié. Entre Katoto Katebe qui voit en cette proposition l’occasion de retourner au Congo, après une  longue période d’exil en Belgique,  Félix Tshisekedi qui se voit déjà Premier ministre, Olenga Nkoy qui estime être le mieux placé pour prendre la tête du Conseil de sages du Rassemblement, Matungulu qui exhibe son expérience et qui aux yeux des certains politiques reste un technocrate, bon pour l’administration , Martin Fayulu l’un des opposants les plus coriaces pour le pouvoir de Kinshasa depuis 2015 préfère soutenir Félix Tshisekedi  et un Moïse Katumbi qui se range du côté des taiseux sur la question brûlante. Il y a aussi Kiakwama qui caresse ouvertement l’idée de succéder à Etienne Tshisekedi au poste de président du conseil de sages. Une situation qui ressemble de plus en plus à  “opesi Mbwa, Mbwa aboyi “ au sein de cette plateforme.<br />
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Joseph Kabila, l’occasion de prendre sa revanche à l’Udps ? <br />
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La question vaut son pesant d’or. Kabila a remplacé son père en 2001 dans des conditions que seul lui et les proches collaborateurs de l’ancien président Congolais maîtrisent. Les militants de l’Udps rêvaient le même scénario pour Félix Tshisekedi. C’est sans compter sur Joseph, qui ne se laisse pas séduit par les dernières propositions du rassemblement. Son point de vue semble d’ailleurs avoir convaincu les évêques: <br />
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“Le principe est maintenant claire que le prochain président du Conseil des sages du Rassemblement sera le président du conseil national de suivi de l’accord, et celui qui doit présenter la liste des candidats premiers ministres » a conclu L’Abbe Nshole, au sortir de cette rencontre. <br />
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L’heure des négociations Udps – Kabila, appartient désormais au passé ? En tout cas, à en croire la froideur avec laquelle Joseph Kabila communique et ce malgré l’insistance du rassemblement qui a remis officiellement le nom de Félix Tshisekedi la semaine dernière comme candidat premier ministre allant jusqu’à suspendre Katoto Katebe qui ne cachait pas ses ambitions sur ce poste. <br />
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L’UDPS, la course pour s’affirmer encore … ou presque. <br />
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Les négociations entre Majorité présidentielle et l’UDPS ne datent pas d’aujourd’hui. Il y a eu plusieurs rencontres informelles pour préparer cette période de transition. Des rencontres qui n’ont jamais abouti. <br />
<br />
Ibiza, Paris, Kinshasa. L’Udps a toujours changé d’avis comme une chemise en posant des conditions que Kabila n’a jamais pu [ ou n’a jamais voulu] réunir. <br />
<br />
Aujourd’hui L’udps veut à tout prix la primature mais en étant rallier à Moïse Katumbi, dernier frondeur du pouvoir de Kinshasa à travers le G7, une Plateforme constituait d’anciens ministres et collaborateurs proche de Joseph Kabila. <br />
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Ce dernier qui cumule 17 ans à la tête de la RDC s’amuse à faire marcher le Rassemblement à 10 mois presque de la tenue des élections, selon l’accord de la Saint Sylvestre. Mais jusqu’où le rassemblement tiendra-t-il ? Jusqu’à quel point la candidature de Félix Tshisekedi, sera-t-elle soutenue au sein de cette plateforme ?<br />
<br />
Ange Kasongo

Politique Primature: la revanche de Joseph Kabila à l’UDPS ?

Depuis le temps qu’on la dit en phase terminale, cette fois-ci, si les conditions sont réunies, il paraît que c’est pour de bon. Joseph Ka...

Imbroglio à Kinshasa sur la consommation des billets de grosses coupures . " BATU BAZO SUANA " (vidéo)

February 20, 2017

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Imbroglio à Kinshasa sur la consommation des billets de grosses coupures . " BATU BAZO SUANA " (vidéo)

Succession à Tshisekedi: Olenga Nkoy candidat, met en garde le G7

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHuQQtsDKCk2CDL7nRTxWVSM8jAX8CQWGz87ghO7un7QOaovOUQlZPd-GswJp1xjwEich9xheQ-LrQwVxZMMnr0FI2u-r4J6bw5KHyzAl41uYEqBOSejtF3txmnZX7iv9oV-3siDFv9ULw/s1600/Snapshot_58.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHuQQtsDKCk2CDL7nRTxWVSM8jAX8CQWGz87ghO7un7QOaovOUQlZPd-GswJp1xjwEich9xheQ-LrQwVxZMMnr0FI2u-r4J6bw5KHyzAl41uYEqBOSejtF3txmnZX7iv9oV-3siDFv9ULw/s400/Snapshot_58.jpeg" width="400" /></a></div>
<br /><br />Le président des Forces Novatrices pour l’Union et la Solidarité (Fonus) et membre de la dynamique de l’opposition aile Kiakwama, Joseph Olenga Nkoy se dit être candidat à la succession d’Étienne Tshisekedi à la tête du conseil des sages du Rassemblement et au comité national de suivi de l’accord du 31 décembre.<br /><br /> <br /><br /><br />«Mes amis de la dynamique de l’opposition m’ont désigné comme candidat au remplacement d’Étienne Tshisekedi à la tête du conseil des sages du Rassemblement et au CNSA (…) c’est pour poursuivre la lutte d’Étienne Tshisekedi», a déclaré Joseph Olenga Nkoy ce lundi 20 février en conférence de presse.<br /><br />Ce dernier met cependant en garde le G7 contre une campagne de diabolisation sur sa personne suite à sa candidature<br /><br /><br />«Je dis à mes amis de G7 que je les aime beaucoup (…) ils ne doivent pas payer les journalistes dans les réseaux sociaux pour me combattre. On doit garder l’unité du Rassemblement. S’ils me combattent comme ils ont commencé à le faire, je vais aussi réagir car je ne le laisserai pas battre, je suis un vieux routier en politique. Ils doivent privilégier les idées et non mettre en avant leur argent pour nuire aux autres», a poursuivi le président des Fonus avant d’ajouter: «être opposant ne veut pas dire avoir de l’argent, ou être pauvre. C’est par rapport à un pouvoir qu’on est opposant», a t-il conclu.<br /><br />De la primature<br /><br />Pour Le président Olenga Nkoy, Etienne Tshisekedi avait bel et bien laissé un nom à la CENCO.<br /><br /><br />«Le président Tshisekedi avait effectivement laissé un nom à la CENCO et le testament du président Tshisekedi doit être respecté», a-t-il insisté.<br /><br />Stanys Bujakera Tshiamala

Politique Succession à Tshisekedi: Olenga Nkoy candidat, met en garde le G7

Le président des Forces Novatrices pour l’Union et la Solidarité (Fonus) et membre de la dynamique de l’opposition aile Kiakwama, Joseph O...

Moise Moni Della soutient la candidature de Moise Katumbi à la tête du Rassemblement pour succéder à Etienne Tshisekedi (vidéo)

February 20, 2017

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Mise au point du Ministre de l ' intérieur : Profanation de la paroisse st Dominique , conflit Kamwina Nsapu , Né Mwanda Nsemi et autres (vidéo)

February 20, 2017

infos en vidéos Politique Mise au point du Ministre de l ' intérieur : Profanation de la paroisse st Dominique , conflit Kamwina Nsapu , Né Mwanda Nsemi et autres (vidéo)

Mise au point du Ministre de l ' intérieur : Profanation de la paroisse st Dominique , conflit Kamwina Nsapu , Né Mwanda Nsemi et autres...

Les élèves des collèges Alingba et zuza dénoncent la vente de leurs écoles par des militaires à la solde de Kabila . " Colonel Willy " (vidéo)

February 20, 2017

Au tour de Kinshasa Education infos en vidéos le monde Politique Les élèves des collèges Alingba et zuza dénoncent la vente de leurs écoles par des militaires à la solde de Kabila . " Colonel Willy " (vidéo)

Les élèves des collèges Alingba et zuza dénoncent la vente de leurs écoles par des militaires à la solde de Kabila . " Colonel Willy ...

Dernier lieu de repos de Tshisekedi : André Kimbuta propose à l ' UDPS et à la famille un espace aménagé près du Boulevard du 30 Juin (vidéo)

February 20, 2017

infos en vidéos Politique Dernier lieu de repos de Tshisekedi : André Kimbuta propose à l ' UDPS et à la famille un espace aménagé près du Boulevard du 30 Juin (vidéo)

Dernier lieu de repos de Tshisekedi : André Kimbuta propose à l ' UDPS et à la famille un espace aménagé près du Boulevard du 30 Juin (v...

Carine Mokonzi sans crainte aniati CELEO , JB MPIANA , WERRASON ET ADT YANKIMPUY (vidéo)

February 20, 2017

. Au tour de Kinshasa infos en vidéos Musique Carine Mokonzi sans crainte aniati CELEO , JB MPIANA , WERRASON ET ADT YANKIMPUY (vidéo)

Carine Mokonzi sans crainte aniati CELEO , JB MPIANA , WERRASON ET ADT YANKIMPUY (vidéo)

Migue Niema na ndaku ya Koffi Olomide pona ko senga Pardon Après avoir ko finga Koffi Olomide na Zobozi . " Ferre Gola nde abandaki " (vidéo)

February 20, 2017

infos en vidéos Politique Migue Niema na ndaku ya Koffi Olomide pona ko senga Pardon Après avoir ko finga Koffi Olomide na Zobozi . " Ferre Gola nde abandaki " (vidéo)

Migue Niema na ndaku ya Koffi Olomide pona ko senga Pardon Après avoir ko finga Koffi Olomide na Zobozi . " Ferre Gola nde abandaki ...

Le gouverneur Kimbuta propose l'ex-cimetière de la Gombe pour l 'inhumation d ' Etienne Tshisekedi

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxzLNM2M-pW5-eydmuAZ4RycetB6THdB3qR4TCARw2QTstdURkqVcO_D6-MolZKjNw8Cx4oP96K76b9uzvzXjyz2mVcJFHCD7U2jIXtcxJhbHvt-_pPbFzc102iR0CyX8_N7WehAZdLQqy/s1600/Snapshot_853.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="252" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhxzLNM2M-pW5-eydmuAZ4RycetB6THdB3qR4TCARw2QTstdURkqVcO_D6-MolZKjNw8Cx4oP96K76b9uzvzXjyz2mVcJFHCD7U2jIXtcxJhbHvt-_pPbFzc102iR0CyX8_N7WehAZdLQqy/s400/Snapshot_853.jpg" width="400" /></a></div>
Le gouverneur Kimbuta propose l'ex-cimetière de la Gombe. Le SG UDPS a proposé le siège du parti pour le mausolée .<br />
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/ZuENzvUUhmY" width="480"></iframe><br />
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Le gouverneur de la ville province de Kinshasa André Kimbuta  a proposé qu’Etienne Tshisekedi  ,  autorité morale de l’UDPS décédée 1 fevrier dernier en Belgique soit enterré au cimetière de la Gombe dans le centre de Kinshasa.</div>
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Le patron de la ville de Kinshasa l’a proposé  ce lundi 20 février à une délégation de la famille politique et biologique du sphinx de limeté  conduite par le secrétaire général de l’UDPS Jean Marc Kabund au cours d’un échange à l’hôtel de ville de Kinshasa.</div>
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Cette délégation s’est opposée à la proposition du gouverneur et a sollicité de ce dernier de permettre l’inhumation de Tshidekedi à la permanence de l’UDPS dans la commune de Limeté.</div>
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Les deux parties se sont séparées sans entente.</div>
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Stanys Bujakera</div>
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Politique Le gouverneur Kimbuta propose l'ex-cimetière de la Gombe pour l 'inhumation d ' Etienne Tshisekedi

Le gouverneur Kimbuta propose l'ex-cimetière de la Gombe. Le SG UDPS a proposé le siège du parti pour le mausolée . Le gouverne...

Le gouvernement lance un ultimatum à Ne Muanda Nsemi . "Nous allons passer à l'acte très bientôt" (Shadari)

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0fwfmnBPdS2jUBAQZGZVH-NbEiztZgsrwfLexZpfkEhsaT0BT9Gm6GbioKeoORbHQ7fMgiGaH917eSOjgcmQqQcv-C-fRTItEgV3CPBT7KORii9Cag6sorU1-2jaAzJTyqpMZl1v1nM2k/s1600/Snapshot_852.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0fwfmnBPdS2jUBAQZGZVH-NbEiztZgsrwfLexZpfkEhsaT0BT9Gm6GbioKeoORbHQ7fMgiGaH917eSOjgcmQqQcv-C-fRTItEgV3CPBT7KORii9Cag6sorU1-2jaAzJTyqpMZl1v1nM2k/s400/Snapshot_852.jpg" width="400" /></a></div>
Invité à se rendre aux forces de police qui ont encerclé sa résidence, la justice voudrait entendre le président de BDM, accusé d'être l'instigateur de crimes commis au Kongo Central et à Kinshasa.<br />
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Ce qui lui est reproché<br />
<br />
"Son discours et son comportement sont de nature à aller contre les lois du pays et la Constitution de la République", a dit à TOP CONGO FM, le vice-premier ministre, en charge de l'intérieur.<br />
<br />
"Aujourd'hui c'est un homme, par tout ce qu'il a fait, qui a causé morts et désolation à Kinshasa et au Kongo Central".<br />
<br />
Selon le ministre, "ce qui se passe est qu'il a des problèmes sentimentaux avec sa famille et son vice-président. Il veut prendre une deuxième femme qui est sa prophétesse. Ce problème sentimental a été transformé en problème national et politique".<br />
<br />
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Ultimatum à se rendre<br />
<br />
Pour Shadari Ramazani, Ne Mwanda Nsemi "doit répondre de ses actes devant la justice. Nous voulons que ça se passe sans casse comme s'il était quelqu'un de civilisé. C'est pourquoi nous lançons un ultimatum à Ne Muanda Nsemi pour qu'il se rende afin que la justice s'occupe de lui".<br />
<br />
Le vice-premier ministre n'a pas souhaité dire quand expire l'ultimatum.<br />
<br />
"Lui-même le sait parce que ses adeptes ont été en contact avec nos services. Nous attendons voir ce que ça peut donner. Mais en tout cas, nous allons passer à l'acte très bientôt".

Politique Le gouvernement lance un ultimatum à Ne Muanda Nsemi . "Nous allons passer à l'acte très bientôt" (Shadari)

Invité à se rendre aux forces de police qui ont encerclé sa résidence, la justice voudrait entendre le président de BDM, accusé d'être...

Kinshasa : Norah Pelenda ayambi comédien Mike la duchesse awuti Belgique (vidéo)

February 20, 2017

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Succession difficile au Rassemblement, entre "nouveaux" et "vieux" opposants

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBr3ulBgwqpNd_R1L24yP7vVMHdgq-7fGXbHYuatGOKm8r2ZdOiGIbwCqIDsf8731qALQ9oF0qZxd8fvCTDyY9FMyXwSmca5YHvB8tcx_NZfRiLe1kqcZ7HcyMCdWRAhJ3IgdgdMBB7UjD/s1600/Snapshot_850.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="196" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBr3ulBgwqpNd_R1L24yP7vVMHdgq-7fGXbHYuatGOKm8r2ZdOiGIbwCqIDsf8731qALQ9oF0qZxd8fvCTDyY9FMyXwSmca5YHvB8tcx_NZfRiLe1kqcZ7HcyMCdWRAhJ3IgdgdMBB7UjD/s400/Snapshot_850.jpg" width="400" /></a></div>
Selon les critères proposés par Joseph Olenghankoy, ni le G7, ni l'AR (Alternance pour la République ne peuvent prétendre à la présidence du Rassemblement.<br />
<br />
Pour ce membre du Conseil des sages, "il faut avoir fait notamment 15 ans dans l'opposition et appartenir à un parti politique qui a plus de 20 ans d'existence".<br />
<br />
En concertations autour de la désignation de celui qui Presidence du conseil des sages, les membres du Rassemblement devraient, selon lui, se référaient à l'histoire récente de l'opposition.<br />
<br />
Pour Olenghankoy, ces critères sont non négociables.<br />
<br />
<br />
En ligne de mire, Lumbi et Katumbi<br />
<br />
"Le président du Rassemblement doit venir d'un parti qui a plus de 20 ans d'existence. Le leader du Rassemblement doit avoir un CV politique costaud, il doit avoir plus de 15 ans dans l'opposition, ne pas être conflictuel, être un meneur d'hommes incarnant les idéaux de Tshisekedi. Cette personne doit avoir pignon sur rue et être capable de donner un mot d'ordre pouvant être suivi".<br />
<br />
Pierre Lumbi, dans l'opposition des années Mobutu, était récemment conseiller spécial du président Kabila tandis que Moise Katumbi (qui n'est pas officiellement  membre du Rassemblement), candidat des G7 et AR à la future élection présidentielle, a démissionné de sa fonction de gouverneur du Katanga à la veille de la désignation des commissaires spéciaux.<br />
<br />
"On ne va quand même pas mettre notre destinée entre les mains de lieutenants déçus du président Kabila", a dit à Kabila, un membre du Rassemblement, "opposant de longue lutte et de longue date".<br />
<br />
<br />
Le G7 peut briguer la présidence (Mwando)<br />
<br />
"Il ne faut pas dire que le G7 vient d'arriver dans l'opposition. Le G7 va avoir bientôt 2 ans dans l'opposition, y a apporté énormément, est parmi les plateformes qui sont à la base de la fondation du Rassemblement. Le G7 a le droit, peut-être plus que certains, de prétendre briguer le poste du président du Rassemblement", a dit à TOP CONGO FM, Christian Mwando Nsimba.<br />
 <br />
Transfuge de la Majorité présidentielle, il se réfère à la bible. <br />
 <br />
"Paul n'était pas parmi les gens qui ont commencé avec Jésus mais sa contribution dans l'église a été plus grande".<br />
 <br />
Pour Christian Mwando Nsimba, "il n'est pas question de commencer de remonter au déluge pour chercher qui va diriger le Rassemblement, un patrimoine commun que nous avons créé ensemble. Nous devons avoir des critères objectifs. Il faut quelqu'un qui a une envergure politique, la sagesse..., la crédibilité nationale et internationale ainsi que la capacité de résister à la corruption pour continuer la lutte que nous avons commencé ensemble".

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Expression : Gino Kaporedji aseki mignon ndenge Akimi wenge BCBG . " Petit wana abandaki ko attaquer pona azwa Gaz " (vidéo)

February 20, 2017

infos en vidéos Musique Expression : Gino Kaporedji aseki mignon ndenge Akimi wenge BCBG . " Petit wana abandaki ko attaquer pona azwa Gaz " (vidéo)

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Musique Catalogue plus avec Nana Boduga dans Kin 24 ( vidéo du vendredi 20/02/2017 )

February 20, 2017

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LES 4 VÉRITÉS DE RAMAZANI SHADARY

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjv8oWSmpw117ZhLZN7Kbl6GUxVNaeoYLsq9l3xBGix2fkoZBoIobT8w59r_2sqGRHhHKq5ODEnPTXQE5p6vLir41SjPcmuOAmqfShttHoIAr3f59ftZ5-5Z6j-ANVEnm4LDMnBnAwY7TQ/s1600/Snapshot_237.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjv8oWSmpw117ZhLZN7Kbl6GUxVNaeoYLsq9l3xBGix2fkoZBoIobT8w59r_2sqGRHhHKq5ODEnPTXQE5p6vLir41SjPcmuOAmqfShttHoIAr3f59ftZ5-5Z6j-ANVEnm4LDMnBnAwY7TQ/s400/Snapshot_237.jpg" width="397" /></a></div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />"La solution à ces problèmes étant politique, le gouvernement préconise des rencontres avec les notabilités de chacun des quatre coins du pays", a annoncé hier, le vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité.<br /><br />Aux problèmes politiques, des solutions politiques. Pas un secret de confessionnal. Le vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Emmanuel Ramazani Shadary, l’a déclaré hier dimanche 19 février, au cours d’une rencontre avec la presse, au 9ème étage de la 2ème Tour du Pullman Kinshasa Grand Hôtel. Pour un dimanche, d’aucun croiraient à un dîner de prière pour les chevaliers de la plume et du micro. Rien de semblable. Au contraire. Une demi-heure a suffit pour Emmanuel Ramazani Shadary, de présenter aux hommes des médias, le tableau synoptique de la situation sécuritaire qui prévaut dans certains coins du territoire national. A savoir, la ville de Kinshasa, les provinces du Kongo Central, du Tanganyika et du Kasaï. <br />Les quatre aires géographiques reprises ci-dessus étant sous les feux de l’actualité nationale, le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité n’a pas cherché de mots pour dresser un état des lieux. Preuve qu’il a la parfaite connaissance de la situation dans différents "fronts". De l’affaire Bundu Dia Mayala, à la "nébuleuse" Kamuina Nsapu dans l’espace Kasaïen, en passant par la situation dans le Tanganyika, Emmanuel Ramazani Shadary n’a fait mystère d’aucun sujet.<br /><br />BDM : UENAFFAIRE SENTIMENTALE<br />En ce qui concerne l’Affaire Bundu Dia Mayala du député national Zacharie Ne Muanda Nsemi, le conférencier a précisé qu’elle n’avait aucun soubassement politique. "Il s’agit d’une affaire sentimentale qui s’est transformée en un problème d’Etat", a déclaré Emmanuel Ramazani Shadary. L’affaire, selon lui, remonte depuis décembre dernier. Le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a fustigé le fait qu’une aventure amoureuse sans succès, en arrive à troubler l’ordre public, avant d’engendrer des échauffourées entre les forces de l’ordre et les adeptes de BDM.</span><div>
<span style="font-size: large;"><br />En présence du ministre de la Communication et des médias, ainsi que tous les responsables des services de sécurité, l’orateur a rappelé que du 22 au 24 janvier puis le 3 février en cours, "des jeunes drogués et endoctrinés à souhait ont ravi des armes aux forces de l’ordre, bloqué le trafic sur la Nationale n°1, blessé des agents de l’ordre à l’arme blanche et à l’arme à feu, organisé des expéditions punitives contre les biens du BDM Papy Matenzolo, vice-ministre aux ITPR, des postes de police et des véhicules des privés ont aussi été vandalisés". </span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Tout en rappelant la séquence du 13 février à Ngiri-Ngiri et au quartier Joli parc dans la commune de Ngaliema, le vice-Premier ministre rassure : "Jusqu’à ce jour, la police encercle la résidence, de manière à ne laisser sortir que des personnes qui se rendent et à éviter que des opérations de vengeance ne soient menées à l’encontre de paisibles citoyens. Voilà une affaire à suivre, surtout sur le plan judiciaire".<br /><br />PLUSIEURS ARMES DE GUERRE ENTRE LES MAINS DE LA MILICE KAMUINA NSAPU<br />"La récupération politicienne du phénomène Kamuina Nsapu dans le Kasaï-Central est telle que toute la province, dans tous les cinq territoires et la ville de Kananga, connait presque chaque jour des provocations de ces jeunes drogués et instrumentalisés", a renchéri le VPM et ministre de l’Intérieur et de la sécurité. Selon lui, ce phénomène s’est développé de manière tentaculaire et a pris plusieurs visages. </span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />A en croire Emmanuel Ramazani Shadary, il s’agit de "Kamuina Nsapu original", constitué des adeptes initiés de feu Kamuina Nsapu. Le deuxième Kamuina Nsapu est un groupe de bandits, de criminels ainsi que d’autres repris de Justice recourant à des pratiques magiques appelées " Tshizaba", pour se rendre invulnérables. Le troisième "Kamuina Nsapu" se veut un mouvement culturel. Selon le ministre, Il regroupe des prétendants malheureux à la succession à divers postes du pouvoir coutumier des groupements voisins. Puis, finalement, le "Kamunia Nsapu" politique formé des acteurs politiques récupérant ce phénomène comme fonds de commerce, en remettant argent et autres pièces de violence à ces jeunes gens. </span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Selon ce membre du Gouvernement, la situation à l’heure actuelle reste sous le contrôle des forces loyalistes. Néanmoins, Emmanuel Ramazani Shadary soulève une exception. Celle du Kasaï-Central où la récupération politicienne du phénomène "Kamuina Nsapu" est telle tous les cinq territoires de la province, y compris la ville de Kananga, connaissent presqu’au quotidien, des provocations de ces jeunes gens drogués et instrumentalisés. <br />"A ce stade, plusieurs armes de guerre sont détenues par cette milice "Kamuina Nsapu à plusieurs facettes. Après les contacts pris avec différents acteurs ici à Kinshasa, nous envisageons des solutions politiques, coutumières et humanitaires sur terrain et militaires si les armes ne sont pas rendues de manière pacifique en vue de d’une pais durable dans cette partie du territoire national", prévient le VPM et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité. </span></div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<span style="font-size: large;">Evoquant des images sur de prétendues atrocités des FARDC sur les miliciens Kamuina, et qui circulent depuis peu sur les réseaux sociaux, Emmanuel Shadary parle d’un montage grossier dont le seul but est de jeter un discrédit aussi bien sur les forces loyalistes que sur le Gouvernement.<br />Quant à l’insécurité dans la province du Tanganyika, le conférencier renseigne qu’il s’agit d’un processus d’émancipation mal négocié des peuples autochtones Pygmées, instrumentalisées par certaines Ong. Depuis, le voisinage Bantu et Pygmées devient de plus en plus dangereux, les deux communautés ayant développé une haine viscérale sans pareil. Selon le ministre, les affrontements entre les deux communautés ont surgi dans un contexte marqué par la réduction des opportunités économiques, du fait de la surexploitation de la pêche et de la chasse, pendant les guerres qui ont endeuillé la région. Les causes de cette déflagration la réclamation des terres propres aux pygmées, la nomination de leurs propres chefs de Groupements et des secteurs ainsi que des Administrateurs des territoires. A cela s’ajoutent la construction des infrastructures de base pour les pygmées et la réclamation, sans délai, de mariages mixtes par les pygmées d’épouser les filles Bantu comme ceux-ci épousent les leurs.<br /><br /><br />L’IMPLICATION DES ORIGINAIRES POUR UNE ISSUE <br />Dans chacun des quatre cas, le ministre a reconnu que derrière les acteurs clairement affichés, se cachent des "nègres". Des tireurs de ficelles qui se recrutent parmi les acteurs politiques et qui exploitent ces différents conflits à leurs dépens. Une vérité que le Gouvernement n’ignore pas. Par la bouche de son vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, l’Exécutif national n’entend pas se laisser distraire par ce qu’il qualifie de fausse compassion des héros dans l’ombre. </span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />"Nous sommes conscients de la gravité de la situation et nous connaissons bel et bien tous les opérateurs politiques et autres qui s’activent à instrumentaliser les conflits communautaires. Ils auront à répondre de leurs forfaits le moment venu. Car, comme dit la sagesse populaire, l’oiseau a oublié le piège, mais le piège se souvient de l’oiseau" a déclaré Emmanuel Ramazani Shadary. L’ancien président du Groupe parlementaire PPRD et alliés sait donc de quoi il parle.<br /><br />Loin, et même très loin de s’avouer vaincu, le Gouvernement privilégie la voie de la conciliation. En ce qui concerne particulièrement la situation dans le Kasaï-Central, l’Exécutif a la conviction que pour le moment, les espoirs pour une solution pacifique reposent sur l’implication des originaires et sur la conscientisation des tireurs de ficelles. "Au cas où ces derniers refuseraient de renoncer à leur entreprise, ils rencontreraient la justice sur leur chemin", promet le VPM. <br /><br />"Quant au cas Ne Munda N’semi à ce jour retranché dans sa résidence de ma Campagne, les Forces de l’ordre lui donnent encore la chance de se rendre pour éviter les dégâts et se mettre à la disposition de la justice pour répondre de ses actes", a conclu Emmanuel Ramazani Shadary. Face à la situation générale du pays, somme toute caractérisée par des foyers de tension et d’insécurité, un appel a été lancé au quatrième pouvoir, la Presse, afin de réfléchir sur les voies d’issue. <br />Laurel KANKOLE <br /><br /><br />Communication de Son Excellence Monsieur le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et Sécurité sur la situation sécuritaire à Kinshasa, au Kongo central, dans les Kasaï, dans le Tanganyika<br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br /><br />Avant toute chose, je des à vous remercier vivement d’avoir accepté notre invitation de ce jour. Vous avez été contactés par mes services pour vous enquérir de la situation sécuritaire qui prévaut dans coins de la République, à savoir Kinshasa et le Kongo Central, l’espace Kasaïen et le Tanganyika, notamment. Ces provinces étant aujourd’hui sous les feux de l’actualité, il me semble légitime à la presse que vous êtes, de chercher à obtenir la bonne information, auprès des autorités habilitées à la fournir. Et c’est pourquoi il est était de mon devoir de vous inviter pour qu’à travers vous l’opinion soit parfaitement bien éclairée.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />1. de la situation dans le Kongo Central et dans la ville de Kinshasa<br />Les partisans du parti politique dénommé BUNDU DIA MAYALA, issu de la transformation du mouvement politico-religieux BUNDU DIA KONGO, ont provoqué des troubles sanglants dans la province du Kongo Central, du 22 au 24 janvier et le 3 février 2017, particulièrement dans les agglomérations de Kimpese, Luozi, Kisantu, Lukala et Mbanza-Ngungu.<br />Ces jeunes gens droguées et endoctrinés à souhait ont ravi des armes aux forces de l’ordre, bloqué le trafic sur la Nationale N° 1, blessé des agents de l’ordre à l’arme blanche et à l’arme à feu, organisé des expéditions punitives contre les biens du Vice-Ministre Mantezolo, dont la résidence, la boulangerie et la radio ont été pillées et saccagées. Des postes de police et des véhicules de privés ont aussi été vandalisés.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Les dégâts humains se sont élevés à 7 morts (dont un policier et 6 militants BDM), 25 blessés (dont 19 policiers et 6 partisans BDM). L’autorité publique a rapidement pris toutes les dispositions requises pour rétablir l’ordre public, normaliser la circulation sur la Nationale N° 1, procéder à l’arrestation de fauteurs de troubles, récupérer les armes arrachées des mains des agents de l’ordre, assurer la prise en charge des blessés et organiser l’inhumation des victimes, après identification et concertation avec leurs familles.<br />Mesdames et Messieurs,<br />Comment expliquer l’irruption de cette folie meurtrière, après quelques années d’hibernation du mouvement BUNDU DIA KONGO, son semblant de mutation en parti politique et la participation de ses membres à des débats politiques en cours ? La vérité des faits déclencheurs est d’une banalité qui tranche pourtant avec la gravité de leur violence et le niveau de leur barbarie. Une affaire de famille, mieux une affaire sentimentale, est devenue un problème d’Etat.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />En effet, c’est depuis décembre dernier que monsieur Ne Muanda Nsemi, député national décide et annonce d’épouser une amie à sa femme et prophétesse inspiratrice de sa propre spiritualité. Cette acte de haute trahison de leur " spiritualité " a choqué plus d’un au sein de Bundu dia mayala qui considéraient leur gourroux comme un demi-dieu qui malheureusement se laissa entrainé dans les sentiments charnels contraires à ses propres enseignements et doctrines.</span></div>
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<span style="font-size: large;">Le premier à constater la trahison, c’est bien Monsieur Mantezolo Papy, premier personnage proche de Ne Muanda Nsemi, Vice- président du parti, et beau- frère à Ne Muanda Nsemi et Vice-président des ITPR.<br />Piqué au vif, le député Ne Muanda Nsemi a décidé de sévir en demandant au Chef du parti de démissionner du poste qu’il occupe au Gouvernement. Prenant sa liberté, le beau-frère a choisi de démissionner du parti, de dénoncer, sur la place publique, les frasques du chef spirituel et de préserver la moralité.<br />C’est suite à cette dénonciation que des partisans ont été envoyés en expédition punitive contre les biens de leur ancien chef, désormais tombé en disgrâce, et que le conflit familial s’est mué en trouble à l’ordre public, puis en échauffourées avec les forces de l’ordre, et en menées subversives. Pour habiller ses actes, le député national Ne Muanda Nsemi a renoué avec ses vieux discours xénophobes, des appels à la désobéissance, dont le comble de l’ignominie aura été une déclaration proférant des attaques à l’encontre de la personne du Chef de l’Etat, et invitant différentes communautés de notre pays à s’engager dans une rébellion contre les institutions légalement établies.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Face à cette évolution préoccupante, j’ai organisé, en date du 7 février 2017, une rencontre avec la notabilité de la province du Kongo Central, toutes tendances confondues. La notabilité a rejeté les déclarations du député Ne Muanda Nsemi et condamné ses propos irrévérencieux et xénophobes. Elle a aussi exprimé ses regrets pour les outrages visant le Chef de l’Etat. Elle a enfin adressé au peuple Ne Kongo des appels à la tolérance et à la cohabitation pacifique avec toutes les autres communautés congolaises.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Mesdames et Messieurs,<br />Les propos d’accalmie ont sorti le député Ne Muanda Nsemi de ses gonds. Il a alors réuni ses partisans et ses lieutenants, puis convoqué ses adeptes de différents coins du Kongo Central, à venir à Kinshasa, sous le couvert d’une campagne de prières et de spiritualité. C’est au cours de cette campagne de plus ou moins 30 personnes qu’il a annoncé qu’il allait organiser une attaque et frapper la ville si le Kongo central n’était pas proclamé pays indépendant appartenant aux seuls Ne kongo, sans Muluba, Muswahili, Mungala et Mutu ya Bandundu.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Le 13 février 2017, vers 15H, dans sa résidence secondaire, sise n° 22, av. Bosenge, Commune de Ngiri Ngiri dans la ville de Kinshasa, des partisans du député Ne Muanda Nsemi agressent les dissidents proches de Mantezolo considéré comme traître. Des voisins alertent alors la police du quartier, qui se rend sur les lieux et subit des attaques de la part de ces adeptes totalement drogués et exaltés, qui brandissent des armes blanches et des armes de guerre. La police leur arrachera 4 AK47 et 1 Uzi.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Dans la foulée des incidents survenus à Ngiri-Ngiri, la résidence principale du député Ne Muanda Nsemi au n° ... av Haute Tension, dans la Commune de Ngaliema, va connaître une agitation similaire. Un voisin, dont le seul péché était de parler swahili, a vu son véhicule vandalisé. Des passants parlants tshiluba ont aussi été agressés. La police est arrivée et a fait face à des altercations. Deux jeeps de la police ont été incendiées sur le champ. C’est alors que la police a établi un siège autour de cette résidence. Il a été procédé à l’arrestation de 22 personnes dont 8 blessés graves. La CICR a eu accès à la résidence dès le lendemain 14 février pour assurer les premiers soins aux blessés, tous surpris de découvrir qu’ils n’étaient guère invulnérables.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Jusqu’à ce jour, la police encercle la résidence, de manière à ne laisser sortir que des personnes qui se rendent et à éviter que des opérations de vengeance ne soient menées à rencontre de paisibles citoyens. Voilà une affaire à suivre, surtout sur le plan judiciaire.<br />Mais, d’ores et déjà, nous pouvons noter la forte mobilisation de la notabilité ne Kongo, qui désapprouve les actes de barbarie et de folie qui détruisent leur Province et portent atteinte à leur culture de paix et de convivialité. Il n’a cependant pas manqué l’une ou l’autre voix discordante, dans cet aréopage de consensus.</span></div>
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<span style="font-size: large;"> Ainsi, tel autre élu a cru bon de récupérer les actes de violence et les paroles d’intolérance, au motif, qu’il se serait agi de canaux d’expression des frustrations communautaires, sans se rendre à l’évidence non seulement que le conflit avait une origine familiale et que jamais une communauté ne devrait se reconnaître dans les paroles de quelqu’un pour qui elle demande un traitement médical. Nous ne revenons pas ici aux tracts appelant la xénophobie et l’autonomie du Kongo central. Tracts jetés à Borna et dans certaines communes de Kinshasa, Ngaba, Makala, notamment.<br /><br />2. Le Phénomène Kamuina Nsapu dans l’espace kasaïen<br />Mesdames et Messieurs,<br />Qu’en est-il de la situation dans l’espace kasaïen, dans les provinces du Kasaï, du Kasaï Central, du Kasaï Oriental, voire de Lomami ? Il vous souviendra, en effet, qu’en date du 12 janvier 2017, j’ai eu à répondre à une question d’actualité que m’avait adressée le Député National Martin Kabuya, élu de Dibaya, sur ce phénomène. Laissez-moi juste vous rafraîchir brièvement la mémoire sur ce que j’avais déjà dit et vous apporter quelques éléments nouveaux en rapport avec la gestion qui s’en est suivie. </span></div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<span style="font-size: large;">Suite à des incompréhensions entre les services de l’Etat Mr JP Nsapu Mpandi et depuis avril 2016, ce dernier ressortissant du village Kamuina Nsapu, Groupement Bajila Kasanga, Secteur Dibatayi, Territoire de Dibaya, Province du Kasaï Central, a levé une milice, qui s’est illustrée par des actes d’hostilité au pouvoir par la mise à sac des symboles de l’Etat, le recrutement d’enfants mineurs d’âge, l’érection de barrières, les fouilles systématiques des passants, l’insurrection armée contre les forces de l’ordre, etc.<br />Après avoir sévi dans le secteur de Dibatayi et dans le Territoire de Dibaya, ce mouvement s’est étendu aux Territoires voisins de Tshikapa en Province du Kasaï et à Kabeya Kamwanga et Miabi au Kasaï Oriental, en semantinutilement mort et désolation, jusqu’à atteindre MueneDitu au Lomami.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Dans le cadre de la recherche des solutions, il a été fait recours à :<br />o Des missions de bons offices ;<br />o Le rétablissement de l’ordre public par la police et l’Armée, suite à des attaques à mains armées, avec des armes de guerre et des armes de chasse ;<br />o Des arrestations de miliciens et autres chefs de bandes ou seigneurs de guerre ;<br />o J’ai aussi organisé récemment des rencontres avec la notabilité du Kasaï (a. Députés nationaux et Sénateurs b. Députés provinciaux et Gouverneurs de province c. membres du Gouvernement central, Notables et Chefs coutumiers). Il a été noté le développement tentaculaire du phénomène, qui depuis lors a pris plusieurs visages comprenant :<br />a. Kamuina Nsapu original constitué des adeptes initiés de Kamuina Nsapu lui-même ;<br />b. Kamuina Nsapu des bandits et des criminels ainsi que d’autres repris de justice recourant à des pratiques magiques (Tshizaba) pour se rendre invulnérables ;<br />c. Kamuina Nsapu culturel des prétendants malheureux à la succession à divers postes du pouvoir coutumier des Groupements voisins ;<br />d. Kamuina Nsapu politique constitué des opérateurs politiques récupérant ce phénomène comme fonds de commerce en remettant argent et autres pièces de violence à ces jeunes gens.<br /><br />A ce jour, la situation dans le Kasaï-Oriental et le Kasaï est maîtrisée et est donc sous contrôle, pour en coir le Chef de l’Exécutif Provincial. Par contre, au Kasaï-Central, la récupération politicienne du phénomène " KamuinaNsapu " est telle que toute la Province dans tous les 05 Territoires et la Ville de Kananga connaît presque chaque jour des provocations de ces jeunes drogués et instrumentalisés.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />A ce stade, plusieurs armes de guerre sont détenues par cette milice de " Kamuina " à plusieurs facettes. Après les contacts pris avec différents acteurs ici à Kinshasa, nous envisageons des solutions politiques, coutumières et humanitaires sur terrain, et militaires si les armes ne sont pas rendues de manière pacifique en vue d’une paix durable dans cette partie du Territoire National.<br /><br />C’est ici l’occasion d’évoquer les images qui circulent sur les réseaux sociaux et qui présentent des atrocités attribuées aux FARDC engagées contre les miliciens opérant sous le label de Kamuina Nsapu. Le Ministre de Communication et Médias a déjà publié un communiqué faisant le point sur ce film manifestement monté pour discréditer nos Forces armées et discréditer le Gouvernement de la République. Depuis les opérations engagées dans le secteur le 21 décembre 2017, il aura fallu près d’un mois pour concocter ce lynchage médiatique, dont certains opérateurs politiques font aujourd’hui leurs choux gras, à travers des communiqués tonitruants, dans lesquels ils livrent aux gémonies le Gouvernement. Sans céder à l’hystérie, le Gouvernement continuera sa politique de gestion responsable de tous les incidents sécuritaires, à travers des mécanismes appropriés, notamment ceux qui font appel à des enquêtes administratives et judiciaires.<br /><br />3. Le conflit entre les communautés Bantu Balubakat et les Pygmées dans la Province du Tanganyika<br />Dans la Province du Tanganyika, tout comme ailleurs à travers le territoire national, les communautés Pygmées et celles Bantu ont toujours vécu en harmonie et de manière complémentaire. Mais, depuis ces dernières années, à Mambasa comme à Nyunzu, des Ong, qui prétendent militer pour la cohabitation pacifique entre les peuples de la RDC, sont passées distiller la haine entre les Bantu et les Pygmées, en prônant, un processus d’émancipation violente et empreinte d’intolérance. </span></div>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<span style="font-size: large;">C’est ce qui s’est passé dans le Tanganyika et qui se solde aujourd’hui à travers le développement d’une haine sans pareille entre Bantu et Pygmées<br />Les affrontements entre ces deux communautés ont surgi dans un contexte marqué par la réduction des opportunités économiques, du fait de la surexploitation de la pêche et de la chasse, pendant les guerres qui ont endeuillé la région. Des pygmées, appelés depuis PERCI (personnel civil), avaient appuyé nos Forces armées contre les envahisseurs, puis contre les seigneurs de guerre. Après le retour de la paix, certains Bantu voulaient les maintenir en état d’infériorité n’ont pas compris que les temps avaient changé et qu’il fallait accéder à certaines demandes d’émancipation formulées par ces compatriotes.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Quelles sont les causes de cette déflagration communautaire ?<br />1° Réclamation des terres propres aux " pygmées " ;<br />2° Nomination de leurs propres Chefs de Groupements et des Secteurs ainsi que des Administrateurs des Territoires. Bref, un élan d’émancipation ; 3° Construction des infrastructures de base (écoles et hôpitaux propres à eux) ; 4° Réclamation sans délai de mariages mixtes par les " Pygmées " d’épouser les filles " bantu " comme ceux-ci épousent les leurs.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />4. Conséquences de ces dispositions urgentes troubles <br />Au moment où notre pays est résolument engagé sur la voie de l’organisation des élections, par la CENI, les provinces touchées par des troubles graves subissent aussi des perturbations majeures qui compromettent les opérations d’enrôlement des électeurs. Des masses de déplacées ne peuvent pas s’enrôler ou vont s’enrôler dans des circonscriptions autres que celles de leurs lieux de résidence habituelle. La situation se normalise de plus en plus à Nyunzu, Manono et Kabalo pendant que des efforts sont en cours par le rétablissement total de l’ordre public à Moba, alors que la Province organise un grand forum d’ici le mardi prochain (le 22 février 2017) pour régler ces conflits intercommunautaires.<br /><br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br />Le gouvernement de la République est pleinement conscient d’une chose, à savoir que les premières solutions durables à ces problèmes sont d’abord de type politique et communautaire. C’est pourquoi nous privilégions à Kinshasa, au Tanganyika, dans l’espace kasaïen et dans le Kongo Central, les rencontres avec la notabilité, les forums intercommunautaires.<br />Les solutions de type militaire ou policier constituent seulement des appuis pour la sauvegarde d’un climat propice à la concertation et au dialogue. De même, les solutions judiciaires sont appelées au secours pour garantir la justice et la paix.<br /><br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br />Mais pour le moment, les espoirs pour une solution pacifique dans l’espace Kasaïen reposent sur l’implication des originaires et à la conscientisation des tireurs des ficelles bien identifiés qui rencontreront la justice sur leur chemin s’ils ne renoncent pas à leur entreprise macabre.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Quant au cas de Ne Muanda N’semi à ce jour, retranché dans sa résidence de Ma Campagne dans la Commune de Ngaliema, les forces de l’ordre lui donnent encore la chance de se rendre pour éviter les dégâts et se mettre à la disposition de la Justice pour répondre de ses actes.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Pour le Tanganyika, le Gouvernement entend organiser dans les jours qui viennent, une rencontre de deux communautés pour analyser les revendications des uns et des autres et envisager les pistes de solution susceptibles de réinstaurer la paix durable entre les deux communautés. C’est la raison de la convocation du forum qui s’ouvre la semaine prochaine à Kalemie.<br /><br /><br /><br />Mesdames et Messieurs de la Presse,<br />Si j’avais déjà évoqué la circulation sur les réseaux du film accusant les Farces de crimes atroces, je ne saurais clore cette communication sans évoquer les actes de vandalisme perpétrés ce matin dans la paroisse saint Dominique dans la Commune Limete/Ville de Kinshasa. Une horde d’une vingtaine de personnes, prétendument militants de l’UDPS, ont fait irruption dans cette paroisse vers 5h du matin et ont profané le tabernacle et tout saccagé : l’hôtel, la statue de la Vierge Marieet les bancs. Ils ont ainsi mis en exécution les menaces proférées depuis la veille contre les installations et édifices de l’Eglise catholique, en citant nommément les églises et les écoles.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Des incidents similaires venaient d’avoir lieu, hier samedi 18 février 2017, au Grand Séminaire Malole de Kananga dans le Kasaï Central. Les miliciens Kamuina, qui avaient occupé cet établissement d’enseignement supérieur, ont saccagé les installations, brûlés les biens des formateurs. Il a fallu une action forte de l’armée pour les en déloger. Nous condamnons avec la dernière énergie tous ces actes barbares contraires aux principes démocratiques.<br />Nous sommes pleinement conscients de la gravité de la situation et nous n’entendons pas se faire distraire par la fausse compassion des tireurs de ficelles, nous connaissons bel et bien tous les opérateurs politiques et autres qui s’activent à instrumentaliser les conflits communautaires. Ils auront à répondre de leurs forfaits le moment venu ; car, comme dit la sagesse ancestrale, l’oiseau a oublié le piège, mais le piège se souvient de l’oiseau.</span></div>
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<span style="font-size: large;"><br />Je ne saurais non plus terminer mes propos sans exhorter au 4e pouvoir qui est la presse, surtout la presse nationale qui maîtrise mieux nos problèmes, de jouer son rôle, d’apporter sa contribution dans toutes ses questions nationales qui nous intéressent tous. J’exhorte dans ma vision d’aborder les questions publiques, j’exhorte la presse congolaise qui est organisée, avec la collaboration du Ministre des Médias de réfléchir sur un thème simple : " comment communiquer pour amener la paix dans cette partie du Territoire National ". Votre réflexion aiderait le pouvoir public et nous aiderait tous à éviter d’autres victimes.<br />Merci de votre aimable attention. Encore une fois merci.</span></div>

Politique LES 4 VÉRITÉS DE RAMAZANI SHADARY

"La solution à ces problèmes étant politique, le gouvernement préconise des rencontres avec les notabilités de chacun des quatre co...

Chercher Kinshasa: des élèves manifestent contre « la spoliation » de leurs écoles

February 20, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZoSSSoCtC2Bqc7oVQEuDDKtX51TkVX30skHjiSkr3rQv349pXOOTYOQUl2sJ7_HsIplwBM6MusOyUjcqSTzuKIz3aDmDO13qizwh1M-5SCdF_S8iNdxuBMpNgO4MGDVlss4i2So9pyoQ/s1600/Snapshot_236.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="282" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZoSSSoCtC2Bqc7oVQEuDDKtX51TkVX30skHjiSkr3rQv349pXOOTYOQUl2sJ7_HsIplwBM6MusOyUjcqSTzuKIz3aDmDO13qizwh1M-5SCdF_S8iNdxuBMpNgO4MGDVlss4i2So9pyoQ/s400/Snapshot_236.jpg" width="400" /></a></div><div><span style="font-size: large;"><br />
</span></div><span style="font-size: large;"><div><span style="font-size: large;"><br />
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</span></div>Les élèves des collèges Alingba et Zuza ont manifesté lundi 20 février pour dénoncer ce qu'ils qualifient de «spoliation » du site où sont construits leurs établissements scolaires, situés sur l’avenue Kasa-Vubu, dans la commune de Kintambo à Kinshasa.</span><div><span style="font-size: large;"><br />
</span></div><div><span style="font-size: large;"><br />
</span></div><div><span style="font-size: large;"><br />
</span></div><div><span style="font-size: large;"> Ils accusent un officier de la police et un magistrat qui seraient devenus les propriétaires du site où sont érigées leurs écoles. «Nous, élèves des frères chrétiens de Kintambo, venons dénoncer la spoliation du site qui abrite nos écoles, à savoir : Collèges Alingba et Zuza ainsi que notre imprimerie scolaire», a déclaré le représentant de ces élèves. </span></div><iframe width="480" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/tL747PivCa8" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br />
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</span></div><div><span style="font-size: large;">Selon lui, le site où sont construites les deux écoles appartient à la Congrégation des Frères des écoles chrétiennes depuis 1939. L’élève dit regretter que ce site reçoive depuis trois ans des visites des hommes en uniforme qui, selon lui, perturbent le fonctionnement de leurs écoles.</span></div>

Education Province Chercher Kinshasa: des élèves manifestent contre « la spoliation » de leurs écoles

Les élèves des collèges Alingba et Zuza ont manifesté lundi 20 février pour dénoncer ce qu'ils qualifient de «spoliation » du site où...

RDC: le cardinal Monsengwo condamne les attaques contre des édifices de l’église catholique

February 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg77aU30MELBgoSCaDigUirmYXTgE-m31QkWe1dGw0Bwqk_b8uajn9rEysoUkjcf2xpqFDvGFaFldyT3qAkJLxS8YY02ChbWwvrZq-Tuc1NZ2JgPizlHWowVUoMG7nF4dVd6tm4tUXY7X4/s1600/Snapshot_235.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg77aU30MELBgoSCaDigUirmYXTgE-m31QkWe1dGw0Bwqk_b8uajn9rEysoUkjcf2xpqFDvGFaFldyT3qAkJLxS8YY02ChbWwvrZq-Tuc1NZ2JgPizlHWowVUoMG7nF4dVd6tm4tUXY7X4/s400/Snapshot_235.jpg" width="400" /></a></div>
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Le cardinal Laurent Monsengwo a condamné dimanche 19 février les attaques perpétrées le week-end contre des édifices de l’église catholique. Il a notamment cité le Grand séminaire de Malole à Kananga et la paroisse Saint-Dominique à Kinshasa. «Nous avons appris avec indignation, le samedi 18 février 2017, l’incendie d’une partie du grand séminaire de Malole par des inciviques. De plus, le dimanche 19 février 2017, la paroisse Saint Dominique de Limete a été visitée par une vingtaine de jeunes gens mal intentionnés», a fait savoir le cardinal Monsengwo dans un communiqué. </span><div>
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<span style="font-size: large;">L’archevêque de Kinshasa a également regretté les propos « discourtois » qu’un groupe de jeunes ont tenu il y a deux semaines contre les responsables de l’église lors de leur passage à l’Archevêché de Kinshasa. Pour le prélat, «ces événements laissent croire que l’Eglise catholique est visée, de manière intentionnelle, pour torpiller sa mission de paix et de réconciliation, au moment où la CENCO poursuit sa mission de bons offices au centre interdiocésain». Il a, en outre, réaffirmé son soutien à la CENCO qui assure la médiation dans les discussions entre le pouvoir et l’opposition.</span></div>
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<span style="font-size: large;"> «En communion avec la CENCO, nous soutenons sa démarche et tous ses efforts pour l’avènement d’un Etat de droit afin que les institutions destinées à gérer le pays soient mises en place, pour améliorer les conditions de vie du peuple congolais, dont la misère ne fait que s’accentuer, et garantir les libertés fondamentales et la dignité humaine», a-t-il souligné. Le cardinal Laurent Monsengwo a indiqué que l’épiscopat congolais ne joue qu'un rôle de médiateur. Il appelle les acteurs politiques à reconnaître, devant la nation et la communauté internationale, « leur velléité politique et la turpitude de leurs choix qui conduisent au blocage des institutions». </span></div>
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<span style="font-size: large;">«Nous invitons les uns et les autres à faire preuve de sagesse, de retenue, d’esprit démocratique pour résoudre la question relative à la désignation du Premier ministre et aux autres questions connexes, en vue de décanter la crise qui ne fait que durer et risque de mettre en péril la tenue des élections prévues à la fin de cette année selon les accords de la Saint Sylvestre», a ajouté le cardinal. Un accord politique a été signé par le pouvoir et l’opposition le 31 décembre dernier sous l’égide des évêques catholiques. </span></div>
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<span style="font-size: large;">Les deux parties discutent encore des modalités de mise en œuvre de ce compromis politique qui prévoit notamment la tenue d’élections présidentielle et législatives avant la fin de cette année.</span></div>

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Ken Mpiana félicite Carine Mokonzi azo sala boulot kitoko pona Héritier Watanabe et répond ADT Yanki Mpuy (VIDEO)

February 20, 2017

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Le Point : La ministre de droits humains ,Marie Ange mushobekwa , condamne Né Mwanda Nsemi et les adeptes de Kamwina Nsapu (vidéo)

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