BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Enterrement Tshisekedi : 3 mois après sa mort, toujours un casse tête pour l’UDPS

May 04, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhS7y2lOHylHjSidC8Ox2s6xSNlLE8KJ6jdt6BzsJ5Sc1vRtjKdCDHTB4FkyUosh2q7iowfeDfJ8Ksvu-xxWvWkeoAJP52kCqJB-vIuiY5fRNxeE1rnXpkFo2P2plE0iAIPb2eBUm95I2I/s1600/Snapshot_610.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhS7y2lOHylHjSidC8Ox2s6xSNlLE8KJ6jdt6BzsJ5Sc1vRtjKdCDHTB4FkyUosh2q7iowfeDfJ8Ksvu-xxWvWkeoAJP52kCqJB-vIuiY5fRNxeE1rnXpkFo2P2plE0iAIPb2eBUm95I2I/s400/Snapshot_610.jpeg" width="400" /></a>A y voir de très près, l’UDPS ne sait pas trop à quel saint se vouer. Depuis le décès d’Etienne Tshisekedi, le 1er février 2017 à Bruxelles, le lieu d’inhumation est toujours incertain. Toujours d’incertitudes sur le lieu de son enterrement. Toujours en discussion et sans compromis. Toujours dans les propositions et sans un programme fixe. Ça se passe entre UDPS et les autorités congolaises. Un scénario qui ressemble à un match de ping pong entre UDPS et Kinshasa.<br />
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Les lieux, ce n’est pourtant pas ça qui manque à Kinshasa. Plusieurs sites différents les uns des autres, ont déjà été proposés mais dur d’en arriver à un consensus entre sa famille, son parti et le pouvoir de Kinshasa. Un vrai dialogue des sourds.<br />
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Pont Cabu, Cimetière de la Gombe… On y revient<br />
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A l’annonce de sa mort, le gouvernement congolais propose à la famille d’enterrer l’ancien Premier ministre au cimetière de la Gombe. Le gouverneur de la ville André Kimbuta s’implique dans les préparatifs, quelques membres de la famille dont un des fils Tshisekedi visite le carré réservé au cimetière de la Gombe. La famille semble favorable à cette proposition, mais le parti hésite et les militants protestent.<br />
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Le parti d’Étienne Tshisekedi, par la voix de son Secrétaire Général Kabund, s’oppose finalement à la proposition du gouvernement congolais et propose à la place d’autres sites qu’ils estiment plus honorifiques pour l’éternel opposant aux pouvoirs de Mobutu, ensuite  Kabila père et fils.<br />
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Les lieux proposés par l’UDPS ne sont pas du goût des autorités congolaises : D’abord Limete, siège du parti. Tshisekedi  vivait  non loin de là depuis plusieurs années et était très attaché à cet endroit.  Mais c’est un quartier résidentiel. À Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, les morts sont toujours inhumés dans des endroits appropriés : “ des cimetières” comme partout ailleurs sans doute.<br />
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En général, les cimetières sont situés à plusieurs kilomètres loin des quartiers résidentiels. C’est le cas par exemple du cimetière de Benseke, Benseke nouvelle cité, situés à l’ouest de la ville ou encore entre ciel et terre… situé à l’est de Kinshasa. Le seul cimetière situé à proximité  des quartiers résidentiels c’est celui de la Gombe. Il est en plein centre ville sur le réputé boulevard du 30 juin.<br />
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Autre proposition de l’UDPS ; le pont Cabu dans la commune de Kasa – vubu, une commune assez mouvementée de Kinshasa. C’est un terrain assez vaste, non loin des commerces. Un lieu assez historique  pour l’UDPS. Un meeting avait eu lieu à cet endroit au tout début des activités du parti d’Étienne Tshisekedi mais le gouvernement a piétiné la proposition.<br />
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Boulevard Triomphale, encore un autre terrain situé entre les communes de Kasa-vubu et Limeté en diagonale du grand stade des martyrs de Kinshasa. C’est à cet endroit que Tshisekedi avait tenu son tout dernier meeting politique à Kinshasa devant des milliers de kinois. Cette proposition aussi n’est pas validée par les autorités congolaises.<br />
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Finalement, Kinshasa et l’Udps ne se mettent toujours pas d’accord. Au vue des différentes positions de la famille politique et biologique d’Étienne Tshisekedi, en l’espace de trois mois, André Kimbuta, gouverneur de la ville va carrément décider de suspendre les travaux déjà entamés au cimetière de la Gombe.<br />
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L’UDPS ne jure désormais que par Limete<br />
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Le mois dernier, Félix Tshisekedi annonçait au cours d’une émission à Top Congo la volonté du parti et de la famille d’enterrer le sphinx de Limete dans le Kasaï, son fief, par rapport à sa tribu. La dernière fois qu’il y était, c’était en 2011, lors de la campagne présidentielle.<br />
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Aujourd’hui les choses semblent [ encore] avoir évoluées. C’est désormais Limete ou rien. Signe, le secrétaire général du parti: Jean Marc Kabund.<br />
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Dans un communiqué rendu public par l’UDPS, le parti d’Étienne Tshisekedi informe au gouverneur de la ville de la décision du parti :  « Tenant compte de l’envergure nationale de l’illustre disparu et nous référant à la loi et à la pratique en matière des inhumations dans la ville de Kinshasa et à travers le pays, notamment le cas du professeur Bianganyi Tampon, enterré dans l’enceinte de l’Université chrétienne Cardinal Malula, située sur l’avenue Saïo, dans la commune de Kasa-Vubu, nous avons choisi d’enterrer le président Etienne Tshisekedi wa Mulumba à la permanence du parti, sur le petit boulevard Lumumba, dans la commune de Limete», dit un communiqué signé le 28 avril dernier par son secrétaire général Jean-Marc Kabund. Pour l’occasion, l’UDPS a également appelé  l’Hôtel de Ville de Kinshasa de mettre en place les dispositions nécessaires pour la sécurisation des obsèques. Quant au rapatriement du corps de l’ancien président de l’UDPS, la date du 12 mai 2017 est toujours maintenue.<br />
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À la demande du parti d’Étienne Tshisekedi, la Mission des Nations unies en RDC (Monusco) s’est également dit disposée à apporter son appui sécuritaire pour le rapatriement de la dépouille d’Etienne Tshisekedi avec la coopération de la Police Nationale Congolaise. Désormais, il y a donc une date, certes, mais toujours pas d’endroits fixe.<br />
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Ange Kasongo

Politique Enterrement Tshisekedi : 3 mois après sa mort, toujours un casse tête pour l’UDPS

A y voir de très près, l’UDPS ne sait pas trop à quel saint se vouer. Depuis le décès d’Etienne Tshisekedi, le 1er février 2017 à Bruxelles,...

AU-DELA DE LA RENCONTRE D’HIER ENTRE JOSEPH KABILA ET BRUNO TSHIBALA GOUVERNEMENT : UNE LONGUE ATTENTE PRÉJUDICIABLE AU PAYS

May 04, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbQn9PlZ0WouqVmqIGA65hN8zr_CuIlm9MF3gZDEYFGhYiz7c1FWrmuEwQliIjsjMIeBXhW-7ugbYtnj2jT4qK_6_Xg8GKrpCOVm-RNMzDQpK30eU1wH0w3VTFhxpouEjFCJ8DBuRPTEQ/s1600/Snapshot_110.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbQn9PlZ0WouqVmqIGA65hN8zr_CuIlm9MF3gZDEYFGhYiz7c1FWrmuEwQliIjsjMIeBXhW-7ugbYtnj2jT4qK_6_Xg8GKrpCOVm-RNMzDQpK30eU1wH0w3VTFhxpouEjFCJ8DBuRPTEQ/s400/Snapshot_110.jpeg" width="400" /></a></div>
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* Près d’un mois après la nomination de Bruno Tshibala, la RD Congo vit à cheval sous le régime d’un Premier ministre nommé, mais non encore investi, et d’un autre Premier ministre en exercice, mais sans impérium. <br />
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La fin du suspense, c’est peut-être pour très bientôt. En tout cas, c’est le nouveau Premier ministre, Bruno Tshibala, qui a annoncé lui-même l’imminence de la publication de son gouvernement à l’issue de sa rencontre, hier mercredi 3 mai, avec le chef de l’Etat Joseph Kabila. <br />
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" Dans très peu de temps, nous aurons la responsabilité d’annoncer au peuple congolais la composition du gouvernement d’union nationale ", a déclaré le Premier ministre Bruno Tshibala, au sortir de son entretien avec le président Kabila. C’est son deuxième tête-à-tête avec le Raïs depuis sa nomination, le 7 avril dernier.<br />
Le patron de l’Exécutif national indique par ailleurs avoir fait au président de la République, un rapport d’étape sur la formation de son Cabinet. <br />
" J’ai remis à ce sujet un rapport écrit au Président de la République ", a-t-il garanti, précisant que d’ici quelques jours, le peuple congolais sera fixé au sujet de la formation du gouvernement d’union nationale, conformément à la Constitution et à l’Accord politique du 31 décembre 2016.<br />
A quatre jours près, cela fera un mois depuis la nomination de Bruno Tshibala au poste de Premier ministre. Constat, toujours pas de Gouvernement. On pensait même que cette équipe gouvernementale serait publiée juste au lendemain de la signature de l’Arrangement particulier. Que non.<br />
Ca confirme ce que Forum des As avait écrit une fois : il y a bien eu des noms que le président Joseph Kabila a retoqués. Pas seulement. Cette longue attente du Cabinet Tshibala s’explique aussi par " la pêche aux gros poissons qui continue ". On explique que l’objectif pour le tandem Kabila-Tshibala, c’est de ratisser large. Surtout du côté du Rassemblement aile Limete. <br />
Tout ceci est louable dans la mesure où l’équipe post Accord de la Saint Sylvestre est estampillé Gouvernement d’union nationale. C’est dire que dans les circonstances actuelles, il est impérieux d’avoir un Exécutif bénéficiant d’une base sociologique et politique aussi large que possible. <br />
Cependant un bémol, c’est que le pays s’est payé le luxe d’être sevré d’un gouvernement de plein exercice à un moment crucial. Au plan social, la détérioration continue de monnaie nationale face au dollar fait des malheurs dans de nombreux ménages congolais. Avec le risque d’une implosion sociale. <br />
Sur le plan économique, le pays n’a toujours pas de budget pour l’exercice en cours. Et la ligne votée pour les crédits provisoires est arrivée au bout. Or, estiment les observateurs, seul un gouvernement avec plein pouvoir peut défendre le budget devant l’Assemblée nationale. <br />
Sur le plan politique, l’enjeu électoral commande que la RDC soit dirigée par un Cabinet de plein exercice. Ce qui n’est pas actuellement le cas.<br />
Ce sont là autant de raisons qui auraient pu militer soit pour les prolongations avec le gouvernement actuel soit pour la célérité dans la mise en place de l’équipe Tshibala. Ce Cabinet sera composé de 54 membres, le premier ministre y compris, avec pour mission principale, l’organisation des élections et le social.

Politique AU-DELA DE LA RENCONTRE D’HIER ENTRE JOSEPH KABILA ET BRUNO TSHIBALA GOUVERNEMENT : UNE LONGUE ATTENTE PRÉJUDICIABLE AU PAYS

* Près d’un mois après la nomination de Bruno Tshibala, la RD Congo vit à cheval sous le régime d’un Premier ministre nommé, mais non enc...

EXAMEN D’ETAT 2017 APRÈS LA DISSERTATION, LES FINALISTES DU SECONDAIRE RESTENT MOTIVÉS POUR LA SUITE DES ÉPREUVES

May 04, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7jIsiSNniduKVPGk2gffbp55vnaxeFM1-TnwTOjyfeG6SIAdyeO85tgRZknuFBShi_8nlwzQn03VcF1vH_XuDFLw5kxMvjXXCVjtyECA5f8GOrTX6y4ze7eGt7hVyAG4bHqFJqG1iJnQ/s1600/Snapshot_111.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7jIsiSNniduKVPGk2gffbp55vnaxeFM1-TnwTOjyfeG6SIAdyeO85tgRZknuFBShi_8nlwzQn03VcF1vH_XuDFLw5kxMvjXXCVjtyECA5f8GOrTX6y4ze7eGt7hVyAG4bHqFJqG1iJnQ/s400/Snapshot_111.jpeg" width="400" /></a></div>
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Les finalistes du secondaire de la ville province de Kinshasa ont débutés mardi 2 mai, les épreuves d’examen d’Etat hors Session. Hier mercredi, ils ont enchaîné avec l’épreuve de l’Oral de français après avoir démarré avec la dissertation le mardi dernier. Les deux examens à savoir la rédaction et l’oral de français, se sont bien déroulés. Il ne reste plus qu’à se concentrer sur la suite de l’examen.<br />
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Tous les finalistes interrogés ont affirmé avoir bien rédigé leur dissertation et bien répondu aux questions orales de français. Les élèves de la 6ème année des Humanités, pour la plupart vêtu de chemise ou de blouse blanche toutes neuves, sortaient des salles d’examen très joyeux. Aucun n’avait admis s’être trompé, ne serait-ce que sur une ligne. Ceci juste par ce qu’ils ont eu une bonne période de préparation. <br />
Dans la commune de Limete, qui fait partie de la sous-division Kin-Est, l’ambiance était festive. Les élèves ont rempli les trottoirs du Boulevard Lumumba. De la 1ère à la 18ème rue, que des bleus et blancs. <br />
Le collège Saint Raphaël de la 1ère rue avait, comme bon nombre d’écoles de Kinshasa, servi de centre d’examen d’Etat. Là aussi c’était le même constat. Les candidats aux épreuves ne s’empêchaient de manifester leur éphorie au sortir des salles pour retrouver leurs camarades de classe.<br />
C’est le cas d’Elle élève de St Raphaël. Pour cette finaliste, tout s’est passé comme souhaité. « La Dissertation s’était bien passée l’oral aussi. Comme je le souhaitais. J’ai retrouvé tous les thèmes appris en classe », a-t-elle déclaré, entourée de ses camarades. <br />
Giresse, finaliste de l’école C.A.P n’a pas échappé à la règle. Pour lui, c’était aussi l’occasion de remercier ses professeurs. « Je remercie mes professeurs car, à voir le sujet qui m’a été donné, c’est comme-si c’était un simple exercice de classe. Ils nous ont très bien enseigné. Je souhaite que la suite soit abordable comme cela l’avait été pour ce premier jour », a pour sa part indiqué le finaliste de C.A.P du quartier Funa.<br />
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L’EDUCATION ETAIT L’UN DE THEME LE PLUS EXPLOITE <br />
Dans la commune de Matete, les candidats au bac se sont également félicités du déroulement de l’examen. « Forum des As » a sillonné dans plusieurs centres de passation d’Examen d’Etat de cette circonscription avant, pendant et après cette épreuve de rédaction. <br />
La même ambiance de fête et d’euphorie, observée dans les autres communes de la capitale, se faisait sentir auprès de ces prétendants au diplôme d’Etat. <br />
Tous habillés d’une nouvelle tenue et bien coiffés, se contentaient d’immortaliser ce moment en posant devant des photographes. C’est le cas de Naomie, finaliste du lycée Molende qui a passé sa dissertation et son examen oral au centre du lycée Gérard Kwilu. <br />
Pour elle, ces deux premiers examens n’étaient pas trop compliqués. « La dissertation s’est bien passée car le sujet avait comme thème l’éducation qui est un thème très souvent développé en classe en guise de préparation », a-t-elle confié. <br />
Une autre finaliste rencontrée dans un autre centre de Matete, Sarah, affirme avoir eu la chance de tomber sur le thème éducation. C’est aussi le cas d’autres élèves de 6ème de cette sous division.<br />
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TOUS ONT BIEN TRAVAILLE ? <br />
C’est pourtant ce qu’ont affirmé tous ces candidats au bac qui se déambulaient aux environs des centres d’Examen. Mais, la réalité est autre. Contrairement à ce que ces élèves soutiennent au sortir des salles, les observateurs eux sont d’avis que tous les finalistes portes le même discours après l’examen au fil des ans. Discours qu’ils résument en ces termes : c’était très facile « to panzi » (comprenez : on a bien travaillé). <br />
Tout ce qui plait à ces jeunes, c’est de se retrouver dans le local devant son item (questionnaire). Bien qu’ayant séché les cours depuis la signature des fiches d’identification des finalistes, mais également suite à la pression de l’école en rapport avec les frais scolaires. <br />
Pour ces esprits avertis, c’est aussi là les raisons qui poussent à ne pas croire aux propos de ces élèves de 6ème secondaire lorsqu’ils sortent de salles d’examen. Toutefois, il ne manque pas non plus de ceux-là qui travaillent bien leurs examens.

Education la Nation EXAMEN D’ETAT 2017 APRÈS LA DISSERTATION, LES FINALISTES DU SECONDAIRE RESTENT MOTIVÉS POUR LA SUITE DES ÉPREUVES

Les finalistes du secondaire de la ville province de Kinshasa ont débutés mardi 2 mai, les épreuves d’examen d’Etat hors Session. Hier me...

AU COURS DE LA MATINEE POLITIQUE ORGANISEE MARDI A KINSHASA KABUND-A-KABUND APPELLE À " LUTTER POUR LE RESPECT DE L’ACCORD DU 31 DÉCEMBRE "

May 04, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbqypsC5MaTLVCGmWZ7PkYDwJ8s50AQtI6tWg-UEMRKKkwlJj8QXmeFnyz55z5AcU9ALWRKGKBapBs9Y3MKNVrbi8XJ02zC4HSydfgLzAujzuEgSIIu-1oMh-KXUe7Gke61GZrSHNPOh8/s1600/Snapshot_112.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbqypsC5MaTLVCGmWZ7PkYDwJ8s50AQtI6tWg-UEMRKKkwlJj8QXmeFnyz55z5AcU9ALWRKGKBapBs9Y3MKNVrbi8XJ02zC4HSydfgLzAujzuEgSIIu-1oMh-KXUe7Gke61GZrSHNPOh8/s400/Snapshot_112.jpeg" width="400" /></a></div>
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Le secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean Marc Kabund-A-Kabund a appelé les combattants de l’UDPS à se battre pour le respect de l’Accord du 31 décembre. Il l’a dit au cours de la matinée politique de l’UDPS organisée mardi 2 mai à la permanence du parti à Kinshasa. Kabund a rappelé que ce compromis politique est " l’unique source de légitimité de toutes les institutions à mandat électif, en cette période de transition ", mais " violé ", a-t-il soutenu devant ses militants, par le pouvoir. Dans une adresse très offensive, le Sg de l’UDPS a annoncé le recours désormais à l’article 64 de la Constitution jusqu’à l’obtention de l’application intégrale de l’Accord de la Saint Sylvestre. <br />
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Le patron du parti tshisekediste relève que l’accord politique inclusif du Centre Interdiocésain du 31 décembre 2016 a été signé de bonne foi pour aider le pays à avoir l’alternance démocratique en organisant des bonnes élections. " Cet accord a donné l’espoir au peuple congolais. Nous avions voyagé à travers le monde pour aboutir à ce compromis politique. Mais il a été violé ". Et pour Jean-Marc Kabund-A-Kabund, c’est " un immense défi que le pouvoir lance aux congolais comme peuple". <br />
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UNE LONGUE TRANSITION COMME SOUS MOBUTU<br />
" Prenez-vous en charge. Si vous attendez que l’union européenne, les USA parlent, nous aurons une très longue transition comme ce fut le cas après la Conférence nationale", a fait savoir Jean-Marc Kabund. Le Sg de l’UDPS insiste auprès de ses militants éméchés : " Prenez-vous en charge ne doit pas être un slogan. Personne d’autre en dehors du peuple ne peut sauver ce pays. Ce discours, a-t-il rappelé, Etienne Tshisekedi de son vivant l’a fait plus d’une fois. Je suis étonné que chaque fois que l’occasion se présente pour sauver ce pays, vous reculez", a dit le Sg Kabund. "Il faut accepter de mourir pour ce pays. Quand vous refusez de mourir pour ce pays, il restera entre les mains des étrangers", a insisté le Sg de l’UDPS. <br />
Evoquant la signature de l’Arrangement particulier intervenue le 27 janvier au Palais du peuple, Jean-Marc Kabund a qualifié cette manif de "vaste blague", "une plaisanterie". <br />
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OPERATION PAS DE VEHICULE SANS RAMEAUX<br />
Lors de cette matinée politique, Jean-Marc Kabund a confirmé l’arrivée à Kinshasa le 12 mai courant de la dépouille d’Etienne Tshisekedi. Et pour l’accueil du corps de l’illustre disparu, le SG de l’UDPS a demandé aux combattants du parti de lancer l’opération "pas de véhicule sans rameaux à Kinshasa". Ce, en reconnaissance du combat politique d’Etienne Tshisekedi. Kabund a aussi appelé les militants du parti de déployer des banderoles annonçant l’événement.

Politique AU COURS DE LA MATINEE POLITIQUE ORGANISEE MARDI A KINSHASA KABUND-A-KABUND APPELLE À " LUTTER POUR LE RESPECT DE L’ACCORD DU 31 DÉCEMBRE "

Le secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean Marc Kabund-A-Kabund a appelé les combattants de l’...

LIBERTE DE LA PRESSE JED INVITE LES JOURNALISTES À PLUS DE PROFESSIONNALISME PAR LE RESPECT DU CODE D’ÉTHIQUE

May 04, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBd19wf_HHzatI0UtMeQbVVFoDZcGCFRTw13ic3vRY1JCSPvODcWHbrYbDeKzlV-HW8DYkdqQnocrrNfYRoxXl7iNWbzmijAwTL8w7ssT0oXpO4Izgh4vWBDvKSNKSN9w9iK6rbVZPPjk/s1600/Snapshot_113.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBd19wf_HHzatI0UtMeQbVVFoDZcGCFRTw13ic3vRY1JCSPvODcWHbrYbDeKzlV-HW8DYkdqQnocrrNfYRoxXl7iNWbzmijAwTL8w7ssT0oXpO4Izgh4vWBDvKSNKSN9w9iK6rbVZPPjk/s400/Snapshot_113.jpeg" width="400" /></a></div>
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Kinshasa a célébré hier mercredi, la journée mondiale de la liberté de la presse. Cette journée était placée sous le thème : « Des esprits critiques pour des temps critiques : Le rôle des médias pour la promotion des sociétés justes, pacifique et inclusive ». Une occasion pour le Secrétaire général de l’ONG Journaliste en danger (JED) d’exhorter les journalistes à faire preuve de professionnalisme par le respect strict de leur code d’éthique et de déontologie ; ainsi que de la charte de responsabilité des journalistes en période de crise, adoptée lors du dernier colloque de la presse.<br />
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En marge de la célébration de la journée mondiale de la presse, JED a formulé une série de recommandations aux journalistes, au Président de la République, au Parlement, aux instances de régulation ainsi qu’aux partenaires, afin de permettre à la presse de jouer correctement et dans la sérénité le rôle qu’on attend d’elle pour consolider la paix et la démocratie, à quelques mois des élections dont tout le monde souhaite qu’elles soient libres, et transparentes. <br />
Tshivis Tshivuadi demande au président de la République, un geste en faveur de la presse, en décrétant un moratoire suspendant les emprisonnements des journalistes pour délits de presse autres que les incitations à la haine et à la violence. Ce, en attendant l’adoption par le parlement et la promulgation d’une loi sur la dépénalisation des délits de presse, a ajouté Tshivis Tshivuadi. <br />
Que le Chef de l’Etat ordonne la libération des personnes arrêtées pour les motifs liés à la liberté de presse, ou d’expression, et la réouverture de tous les médias actuellement fermés sur l’ensemble du territoire national. Aussi, qu’il engage un procureur général de la République à initier dorénavant des poursuites judiciaires à l’encontre de tous ceux qui s’attaquent aux journalistes à cause de leur travail ou violent impunément la liberté de l’information. <br />
Au parlement, JED demande l’inscription de la dépénalisation de presse à l’ordre du jour de ses plus proches sessions. Puis, de voter, un budget annuel d’aide à la presse conçue, non comme un cadeau du Prince à la presse, mais comme une contribution de la collectivité à sa propre information. <br />
En outre, JED invite les instances de régulation des médias, d’inscrire dans leurs programmes prioritaires à soumettre au gouvernement et aux partenaires de la RDC l’aide à la presse, le renforcement des capacités des médias congolais, l’indépendance et l’accès aux médias publics de tous les courants de pensée et d’opinion. <br />
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« SANS LA LIBERTE DE LA PRESSE, PAS DE PAIX DURABLE »<br />
Le secrétaire général de JED a souligné le fait que sans la paix, il n’y a pas de liberté, et encore moins de liberté de la presse. De même, a-t-il poursuivi, sans la liberté de la presse, corollaire de la liberté d’expression et d’opinion, il n’y a pas de paix durable. <br />
Il estime qu’après 26 ans de célébration, il serait mieux pour la RDC de nuancer en parlant de la journée pour la liberté de la presse. D’après lui, cette nuance voudrait dire que la liberté de la presse demeure depuis plusieurs années, si pas un leurre, mais une quête derrière laquelle courent les journalistes depuis des années. <br />
Ensuite, Tshivis Tshivuadi a mentionné : « La situation actuelle de la liberté de la presse, et des médias dans notre pays est déplorable et devrait nous interpeller, tous et chacun ». « Aujourd’hui, le tableau général de l’exercice de la liberté de la presse dans notre pays, indique un recul, aussi bien concernant le nombre toujours élevé des violations que nous enregistrons ». <br />
Pour sa part, le président de l’Union nationale de la presse du Congo a mis l’accent sur le rôle des médias et les défis qui incombent aux médias congolais en cette période particulière. Kasonga Tshilunde a préconisé de l’approche trois « P » visant à assurer un environnement médiatique sécurisé à savoir : « P » comme prévention de la violence contre les médias, « P » comme protection des journalistes et « P » comme poursuite des auteurs des crimes. <br />
Le représentant de l’UNESCO en RDC a lu le message de la directrice générale de cette organisation des nations unies. <br />
La cérémonie a commencé par un carnaval motorisé dénommé « carnaval de la liberté » pour lancer la campagne : « Engageons nous… pour des médias libres, pour la paix et pour la cohésion nationale ».

Média LIBERTE DE LA PRESSE JED INVITE LES JOURNALISTES À PLUS DE PROFESSIONNALISME PAR LE RESPECT DU CODE D’ÉTHIQUE

Kinshasa a célébré hier mercredi, la journée mondiale de la liberté de la presse. Cette journée était placée sous le thème : « Des esprit...

TSHANGU LE DÉLABREMENT AVANCÉ DE LA ROUTE MOKALI PARALYSE LES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES

May 04, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJpYgKQhPZXOdJjKpjoMYP-Pcijf2XHFkOjVStTufERdfoSNsg-yE7qK4RU0aqkgMMlYqcC0hjlUlS0YAH13XelJqMFbg-CvCw3NufnhRWkVs0S94iEKddx-QnllaP2jfsOlvn71XpR5I/s1600/Snapshot_114.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJpYgKQhPZXOdJjKpjoMYP-Pcijf2XHFkOjVStTufERdfoSNsg-yE7qK4RU0aqkgMMlYqcC0hjlUlS0YAH13XelJqMFbg-CvCw3NufnhRWkVs0S94iEKddx-QnllaP2jfsOlvn71XpR5I/s400/Snapshot_114.jpeg" width="400" /></a></div>
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La route Mokali, l’une des principales artères de la commune de Kimbanseke, dans le district de la Tshangu se meurt. Elle est à moitié impraticable actuellement. Ce qui a un impact considérable sur la vie économique de plusieurs quartiers de ce coin de Kinshasa.<br />
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La route Mokali est actuellement dans un état de délabrement avancé. Des crevasses béantes et plusieurs nids de poule jonchent une bonne moitié de cette artère.Ce qui accentueen même temps l’enclavement de plusieurs quartiers de la très populeuse commune de Kimbanseke.<br />
Le délabrement de la route Mokali a aussi pour conséquence la rareté des véhicules sur cette artère. Véhicules des particuliers comme des transports en communs. <br />
Des familles qui disposent des véhicules se voient du coup obligés de trouver un parking ailleurs. <br />
Les quelques conducteurs qui continuent de desservir cette route éprouvent d’énormes difficultés. Des cavités béantes qui se sont déclarées ici et là, dans le tronçon compris entre l’avenue Bandundu et l’arrêt Mabanza, empêchent les véhicules d’arriver jusqu’au terminus de cette route.<br />
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UN DELABREMENT QUI FAIT LE BONHEUR DES TAXI-MOTOS<br />
« Nous rencontrons beaucoup de difficultés pour assurer le transport des passagers. La réhabilitation de cette route s’impose, d’autant plus qu’elle a vocation à désenclaver cette municipalité à forte démographie », a indiqué un conducteur abordé sur cette artère.<br />
A la moindre pluie, la route Mokali devient davantage un calvaire pour ses usagers. Les véhicules n’arrivant plus à assurer le déplacement des passagers et de leurs biens, place est désormais aux taxis-motos, avec tous les risques qu’ils impliquent.<br />
Les plus affectés par cette situation sont visiblement les opérateurs économiques qui alimentent les petits marchés de cette contrée. « Les véhicules n’arrivent plus à transporter nos marchandises jusqu’à nos destinations. Nous sommes obligés de dépenser d’importantes sommes pour les acheminer au lieu de négoce », s’est plaint un commerçant. <br />
« Nous sommes très au regret de constater que la situation sur notre route s’aggrave dans l’indifférence totale des décideurs politiques, voire nos députés nationaux et provinciaux. Aucune autorité n’a jusque-là fait une descente officielle ici pour s’enquérir de ce délabrement et de ce qu’il implique », ont rapporté les habitants de la commune de Kimbanseke.<br />
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DES ACCIDENTS DE CIRCULATION<br />
La route Mokali enregistre quotidiennement un nombre impressionnant d’accidents de circulation. Des observateurs avertis attribuent cette augmentation d’accidents à l’état de délabrement avancé dans lequel se trouve cette avenue, à l’excès de vitesse des motards et au mauvais état des transports en commun.<br />
« Le trafic en taxis-motos sur cette route est en majeure partie assuré par des jeunes de moins de 25 ans. Habillés souvent en singlet et culotte, ces jeunes gens conduisent tout en étant en état d’ivresse, confie un passager. Ils roulent à très vive allure, amorçant parfois des dépassements de bande sans tenir compte d’autres engins sur la chaussée ». <br />
Tout compte fait, la situation qui prévaut actuellement sur la route Mokali mérite une attention particulière des autorités de la ville. Ces dernières sont appelées à intervenir au plus vite pour sauver cette artère qui contribue considérablement au désenclavement de la commune de Kimbanseke en particulier et du district de la Tshangu en général.<br />
La route Mokali est l’une des grandes ruelles que compte le district de la Tshangu, dans la partie Est de Kinshasa. Perpendiculaire au boulevard Lumumba, elle part de l’arrêt Pascal à l’arrêt Ngambuya Pont.

Au tour de Kinshasa Economie Société TSHANGU LE DÉLABREMENT AVANCÉ DE LA ROUTE MOKALI PARALYSE LES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES

La route Mokali, l’une des principales artères de la commune de Kimbanseke, dans le district de la Tshangu se meurt. Elle est à moitié im...

UNE COMPAGNIE CHINOISE DÉBUTE L’AMÉLIORATION D’UNE ROUTE DANS LA CAPITALE RWANDAISE

May 04, 2017

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La compagnie chinoise China Road and Bridge Cooperation (CRBC) a entamé un projet de mise à niveau de route urbaine à Kigali, capitale du Rwanda, qui devrait améliorer la situation générale en matière de trafic à Kigali et dans le reste de ce pays enclavé.<br />
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Ce projet d’amélioration de route de 54,56 kilomètres, financé par la Banque chinoise d’import-export sous la forme d’un prêt à taux préférentiel, permettra d’augmenter efficacement la capacité du trafic routier dans les zones urbaines de Kigali, de faciliter les voyages des habitants locaux, de promouvoir le développement du tourisme, et de promouvoir le développement de l’économie locale.<br />
La ville de Kigali connaît une croissance soutenue, avec un afflux de population important, et ce projet d’amélioration routière s’inscrit dans la perspective d’élargir les routes du Rwanda pour répondre aux besoins d’une population croissante, a déclaré mardi à Xinhua le maire de Kigali, Pascal Nyamulinda, à l’issue d’une visite sur le site, ajoutant qu’il était ravi du bon travail effectué par la compagnie chinoise et de l’avancement satisfaisant du projet.<br />
L’ingénieur de la ville de Kigali, Alphonse Nkurunziza, a déclaré à Xinhua que ce projet améliorerait la circulation et d’autres conditions dans le quartier d’affaires central de la ville, pour l’emploi, les transports publics et bien d’autres aspects. Il a également estimé que les travaux avançaient très bien.<br />
MM. Nkurunziza et Nyamulinda, ainsi que le directeur général de l’Agence de développement des transports du Rwanda, Guy M. Kalisa, et d’autres responsables rwandais, ont visité ensemble ce chantier mardi, en compagnie de l’ambassadeur de Chine au Rwanda, Rao Hongwei.<br />
La CRBC livrera à la ville une route de bonne qualité et elle a pris des mesures pour veiller à ce que ce projet soit achevé dans les temps avec un bon niveau de qualité, a assuré Li Jianbo, directeur général du bureau à Kigali de la CRBC.<br />
La CRBC est implantée au Rwanda depuis 43 ans, et elle a achevé il y a 40 ans, son premier projet dans ce pays, la route de Kigali-Rusumo, longue de 160 kilomètres, qui est encore aujourd’hui en bon état et a conservé sa réputation de « route africaine modèle ».<br />
La CRBC a reçu en mars le prix de la qualité de l’ingénierie, pour un autre projet de mise à niveau de route urbaine à Kigali, qui a également valu à la compagnie une récompense pour contribution distinguée à l’embellissement de la ville de Kigali en 2010.

Environnement Politique Société UNE COMPAGNIE CHINOISE DÉBUTE L’AMÉLIORATION D’UNE ROUTE DANS LA CAPITALE RWANDAISE

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