BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Télé Réalité Vol 21 Carine Mokonzi A Changé Papouche Robinio Mundibu Ma NIKE Azo Pesa Ye Conseil.(vidéo)

June 06, 2017

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Odon Mbo, Youyou Muntu Mosi, Youri Kalenga disent NON aux concerts de FALLY IPUPA et HERITIER WATANABE(vidéo)

June 06, 2017

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RADEK: «J'ai été empoisonné», annonce sa candidature à la Présidence + Fally Ipupa & Héritier Wata pas des Concerts(vidéo)

June 06, 2017

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Bishop TSHATUMBA très fâché contre Odon MBO abimisi makambu ebele eza somo(vidéo)

June 06, 2017

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Bishop TSHATUMBA très fâché contre Odon MBO abimisi makambu ebele eza somo(vidéo)

Ouverture du procès sur les assassinats des experts de l’ONU en RDC

June 06, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3DTbDSrQVB-LaCTmCy2pI5F0fPi4B6-Sxcf8TPln4AzdzJvAIlHGrgFJMNCDHN5FBMkwgraeWcOURc06M_sAkrVBP4I7opvRFTvUPiYqiGR9G2j1tBT-0krkMuclOfuq8JdRaUNoY8Gu7/s1600/Snapshot_997.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="312" data-original-width="537" height="231" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3DTbDSrQVB-LaCTmCy2pI5F0fPi4B6-Sxcf8TPln4AzdzJvAIlHGrgFJMNCDHN5FBMkwgraeWcOURc06M_sAkrVBP4I7opvRFTvUPiYqiGR9G2j1tBT-0krkMuclOfuq8JdRaUNoY8Gu7/s400/Snapshot_997.jpeg" width="400" /></a>Les autorités judiciaires de l’armée ont a ouvert lundi le procès sur les assassinats de deux experts de l’ONU tués en mars dans le Kasaï, renseigne des sources concordantes.<br />
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Le tribunal militaire de garnison de Kananga a «ouvert le procès aujourd’hui (lundi 5 juin) avant de le renvoyer à lundi (12 juin) sur demande du ministère public», a déclaré à l’AFP Me Trésor Kabangu, avocat de deux présumés assassins des experts de l’ONU. Les deux présumés assassins, Evariste Ilunga (élève, âgé de 16 ans) et Mbayi Kabasele (vendeur d’huile de palme, âgé de 30 ans), ont comparu et sont poursuivis pour «crime de guerre par meurtre, crime de guerre par mutilation, terrorisme, participation à un mouvement insurrectionnel», a-t-il expliqué. En mai, la justice avait indiqué que 16 personnes étaient « incriminées » dans cette affaire. La demande de renvoi a été faite après que la défense eut mis en cause la «compétence du tribunal: est-il habilité à juger le crime de guerre?», s’est interrogé Me Kabangu, qui estime par ailleurs que la détention de ses clients est  irrégulière ». « Il faut régulariser la détention» et «nous souhaitons que ce procès soit un combat loyal», a-t-il ajouté. L’Américain Michael Sharp et la Suédo-chilienne Zaida Catalan, deux experts missionnés par le secrétaire général de l’ONU pour enquêter sur les violences dans la province du Kasaï-central, secouée par la rébellion de Kamwina Nsapu, chef traditionnel tué en août 2016 lors d’une opération militaire, avaient été enlevés le 12 mars et leurs corps retrouvés 16 jours plus tard dans une fosse commune. Ce procès s’est ouvert, 48 heures après le séjour du président Joseph Kabila au Kasaï, sa première visite officielle dans la région, huit mois après l’éclatement des violences.<br />
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POLITICO.CD <br />
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Justice Ouverture du procès sur les assassinats des experts de l’ONU en RDC

Les autorités judiciaires de l’armée ont a ouvert lundi le procès sur les assassinats de deux experts de l’ONU tués en mars dans le Kasaï, r...

L’interview de Kabila est une « déclaration de guerre contre le peuple congolais », affirme Kabund

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTm3OL1NIDTmwuPK4-mlvHKXbh5sEyyqdfz93uJfEcX5LUS58mAqPUquTtd3-qKK2qaJOJ4Ea0Om1CAAU1qo2U0TNqEZ3qpeQRwDYx_0TPQQjLVu9mLcERgcvUORFhbRuovSvPmLdO9TNZ/s1600/Snapshot_996.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="410" data-original-width="539" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTm3OL1NIDTmwuPK4-mlvHKXbh5sEyyqdfz93uJfEcX5LUS58mAqPUquTtd3-qKK2qaJOJ4Ea0Om1CAAU1qo2U0TNqEZ3qpeQRwDYx_0TPQQjLVu9mLcERgcvUORFhbRuovSvPmLdO9TNZ/s400/Snapshot_996.jpeg" width="400" /></a></div>
Dans un long entretien exclusif à POLITICO.CD, l’actuel leader du parti d’Étienne Tshisekedi a tenu à répondre au président Joseph Kabila, dont l’interview à la presse allemande a créé une véritable vague des réactions.<br />
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L‘interview du Joseph Kabila le week-end dernier à la presse allemande a provoqué une véritable vague des réactions dans le pays, tant du côté de l’opposition. Au téléphone de POLITICO.CD, Jean-Marc Kabund, Secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), principal parti de l’opposition en République démocratique du Congo, s’insurge contre la sortie du président congolais. POLITICO.CD. Le président Joseph Kabila a largement laissé entendre que les élections qui devraient se tenir avant la fin de cette année pourraient être reportées. Sans toutefois parler de report, le Président insiste néanmoins sur l’organisation des « bonnes » élections « en temps nécessaire », vous avec lu cette interview, qu’en pensez-vous?  Il y avait des doutes dès lors que Kabila et sa bande s’évertuait à torpiller l’accord du 31 décembre, cela prouvait à suffisance qu’il n’est pas dans la logique de l’organisation des élections. C’est surtout cette attitude qui nous a amené même à aller négocier, parce qu’il n’avait pas organisé  les élections dans le délai constitutionnel. Quant à l’interview de Monsieur Kabila, dire qu’il n’avait pas promis les élections, moi je me pose la question: s’il revient à lui de promettre ou d’organiser les élections comme lui l’entend. C’est vraiment absurde. Je trouve que cette façon de dire les choses, c’est même enfantin. Les congolais n’ont pas besoin d’une promesse de sa part pour aller voter. C’est un droit des Congolais, c’est un droit constitutionnel. C’est un devoir pour cette nation, un devoir pour le gouvernement de ce pays d’organiser les élections conformément à la Constitution. Conformément au voeu populaire, à l’issue d’un processus de dialogue et qui a abouti par un accord à Sun city. Cet accord qui a finalement donné naissance à la constitution, qui exige au pays de marcher sur la voie de la démocratie. Avoir un processus électoral régulier pour renforcer la démocratie dans notre pays. C’est ne pas à lui de promettre ou de ne pas promettre des élections. POLITICO.CD: Qu’en dit l’UDPS alors? On comprend sa logique maintenant. Kabila veut subordonner l’organisation des élections à sa survie politique, à sa personne… c’est qui est anormal. Des déclarations pareilles peuvent s’apparenter à une déclaration de guerre contre le peuple congolais, parce que dire aujourd’hui qu’il n’avait pas promis des élections, et vouloir prétendre qu’il ne veut pas des élections chaotiques…quand est-ce que lui trouvera opportun d’organiser ces élections?  C’est Kabila qui est le chaos, c’est lui l’incarnation du chaos dans ce pays. C’est ne pas les élections, c’est ne pas le peuple congolais. POLITICO.CD. Ceci ne resemble-t-il pas à la même situation que l’année dernière? Vous avez dit toute à l’heure que le pouvoir n’a pas de volonté d’organiser les élections, une situation constatée l’année dernière,  face à laquelle nous avions finalement eu des dialogues et des accords. N’allons-nous pas vers la même direction?  Non. Le Rassemblement n’est pas dans cette logique, vraiment, nous ne sommes pas dans cette logique. Nous croyons que notre bonne foi était déclarée et constatée même. Nous sommes allés négocier avec Monsieur Kabila pour lui offrir une sortie honorable. Mais, il est aujourd’hui évident que lui était un shérif qui est vraiment-là déterminé à s’accrocher au pouvoir contre vents et marées. Il est prêt à marcher sur les cadavres des congolais. Il est prêt à verser le sang des congolais pour se maintenir au pouvoir… au niveau du Rassemblement nous pensons que chaque chose à son temps. Il y a eu le temps des négociations et c’est passé. Lorsque lui-même Kabila ne saisie pas cette opportunité, nous croyons que maintenant les réflexions iront ailleurs. POLITICO.CD: Ailleurs où? Nous allons réfléchir, à l’issue d’un conclave, nous sortirons nos résolutions. Mais, comme nous l’avons toujours dit: face à une injustice qui s’érige en droit dans une République, vous connaissez la suite: c’est l’auto-prise en charge du peuple. Le peuple est en droit de refuser l’injustice qu’une oligarchie institue en loi. Parce que, lorsque nous allons de violation en violation de nos lois, même les accords politiques que nous signons de bonne foi comme sortie de crise et que ces gens-là ne veulent pas respecter… donc ils n’aiment pas la République, ils n’aiment pas le peuple congolais, alors le peuple se prendra en charge. POLITICO.CD: N’allons-nous pas vers la même situation que l’année dernière? Nous estimons que présentement, l’heure est grave. Mais l’histoire ne pourra plus se répéter. Si Kabila pense que nous irons encore jusqu’au 31 décembre, après cela, il va mettre ses soldats dans les rues de Kinshasa pour effrayer les gens, tuer …. et après nous inviter à la table des négociations; cette page est tournée. Nous ne reviendrons plus sur les erreurs du passé. Bien que cela, a été une façon d’éviter le chaos pour notre pays et de le faire partir honorablement, il a refusé, nous allons réfléchir et nous donnerons notre position, mais j’écarte l’hypothèse d’un autre dialogue en dehors de l’accord du Centre interdiocésain qu’il a foulé au pied. POLITICO.CD Et l’accord du 31 décembre, qu’en pensez-vous à présent? D’ailleurs dans ce conclave, nous allons discuter au sujet de ce Dialogue de l’Interdiocésain: est-ce que cet accord vaut encore la peine? Cet accord tient-il encore? Et surtout que nous sommes au mois de juin aujourd’hui, et que l’arrangement particulier qui devrait accompagner sa mise en application a été tripatouillé…. on se rend compte que Kabila s’est entêté, il a défié tout un peuple, il fait comme bon le semble…. nous allons proposer des réponses. POLITICO.CD : Merci Jean-Marc Kabund  Merci à vous. Propos recueillis par Litsani Choukran.<br />
politico.cd

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Dans un long entretien exclusif à POLITICO.CD, l’actuel leader du parti d’Étienne Tshisekedi a tenu à répondre au président Joseph Kabila,...

AUGUSTIN KABUYA de l' UDPS abimisi ba vérités cachées nionso sur le premier ministre Bruno Tshibala (VIDEO)

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkmwZLRz-i7EIAkRQed7CeHzK2FlEaKmSW2jRmVnF8HCdIbWLI6NDogS3ZAADDEVvAHG337cPVIBDv493qXoYtsEALf551gx0Xn9tfDoWFnPS53SP8-NNI_PuD2yUD619H745LEtqEOrJZ/s1600/Snapshot_994.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="469" data-original-width="628" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkmwZLRz-i7EIAkRQed7CeHzK2FlEaKmSW2jRmVnF8HCdIbWLI6NDogS3ZAADDEVvAHG337cPVIBDv493qXoYtsEALf551gx0Xn9tfDoWFnPS53SP8-NNI_PuD2yUD619H745LEtqEOrJZ/s400/Snapshot_994.jpeg" width="400" /></a></div>
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AUGUSTIN KABUYA de l' UDPS abimisi ba vérités cachées nionso sur le premier ministre Bruno Tshibala (VIDEO)</h3>
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AUGUSTIN KABUYA de l' UDPS abimisi ba vérités cachées nionso sur le premier ministre Bruno Tshibala (VIDEO)

Héritier Watanabe : premier Concert de R.kelly anale et Olivera au sein "The Team Wata" eyindaki mabe (VIDEO)

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkK4xXZdCD7XvG6aZ91cyTGaeUbp-lka8gDlv4tLTZT6473VVpoKDwHdwcmBoCRN3odDRe16cgMaUu-MvX7Mhdg4vWh3hId6EfrhA0gi76oVvRgvBXSTVXsFoyQAigaVWEuk6sqkfIih6N/s1600/Snapshot_995.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="293" data-original-width="624" height="187" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkK4xXZdCD7XvG6aZ91cyTGaeUbp-lka8gDlv4tLTZT6473VVpoKDwHdwcmBoCRN3odDRe16cgMaUu-MvX7Mhdg4vWh3hId6EfrhA0gi76oVvRgvBXSTVXsFoyQAigaVWEuk6sqkfIih6N/s400/Snapshot_995.jpeg" width="400" /></a></div>
Héritier Watanabe : premier Concert de R.kelly anale et Olivera au sein   "The Team Wata" eyindaki mabe (VIDEO)<br />
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Héritier Watanabe : premier Concert de R.kelly anale et Olivera au sein "The Team Wata" eyindaki mabe (VIDEO)

Kinshasa-Kasaï O.: Le numéro vert 472222 pour dénoncer les abus sexuels contre les ados

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1HWOanfa0DErekliUPWDDlKODKhuGo4DSWCfJgjzuFHSn_-wJZ7msz4b_-ENEVzE_lcv_yQj7zxZAKaTwInK_Tg-ygUObQwCn-KvXsRZQzMlkRSn1lUaS-QH0sLIyvcnCyLyI3nAy9So/s1600/Snapshot_951.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="330" data-original-width="561" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1HWOanfa0DErekliUPWDDlKODKhuGo4DSWCfJgjzuFHSn_-wJZ7msz4b_-ENEVzE_lcv_yQj7zxZAKaTwInK_Tg-ygUObQwCn-KvXsRZQzMlkRSn1lUaS-QH0sLIyvcnCyLyI3nAy9So/s400/Snapshot_951.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />Les Ong SANRU et CORDAID ont mis en place un numéro vert pour dénoncer tout acte de violence sexuelle à l’encontre des adolescentes à Kinshasa et au Kasaï Oriental et les jeunes filles en vue de réduire le risque de contamination. Le numéro 472222 a été révélé samedi au stade vélodrome de Kintambo par des artistes congolais de la musique et du théâtre. Le numéro 472222 est ouvert 24h/24 gratuitement.<br /><br />«Ne gardons pas silence ! Il faut tout de suite dénoncer tout acte de violence sexuelle dont nous sommes témoins. Nous ne devons pas avoir peur, mais plutôt faire peur à ceux qui croient qu’ils peuvent impunément violer sans être sanctionné (…)», a lancé la chanteuse Anitha Mwarabu à l’assistance après un spectacle.<br /><br />La sensibilisation a tourné autour du message: «Lève ta voix, engage-toi contre les violences et le VIH/SIDA chez les adolescents, les jeunes femmes»<br /><br />Le spectacle a été organisé dans le cadre du projet «Réduction de la vulnérabilité des adolescents et jeunes femmes aux violences et au VIH/Sida», exécuté avec l’appui du Fonds Mondial et dont la mise en œuvre est assurée par les associations SANRU et CORDAID. Ses objectifs : réduire les violences basées sur le genre(VBG) en milieu communautaire et scolaire, améliorer les connaissances des adolescentes et jeunes femmes en matière de santé sexuelle et reproductive ainsi qu’en matière de leurs droits humains, et enfin, améliorer l’accès des adolescents, des jeunes femmes et hommes, à des services de santé adaptés aux adolescents. Le projet sera développé dans deux provinces, Kinshasa (milieu urbain) et au Kasaï Oriental (milieu rural). Six zones de santé ont été sélectionnées à savoir : Kintambo, Makala, Kalamu 1 pour Kinshasa et Muya, Diulu et Nzaba pour le Kasaï Oriental.<br /><br />2,5 millions de dollars sont est disponibilisés afin d’obtenir l’engagement des principaux  concernés dans cette lutte pour atteindre les objectifs assignés.</span>

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Les Ong SANRU et CORDAID ont mis en place un numéro vert pour dénoncer tout acte de violence sexuelle à l’encontre des adolescentes à Kins...

JC Katende : «Kabila veut rester au pouvoir, il a mis la démocratie entre parenthèses»

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihK-5hlp33InjwrJ4keNKvU9hOEZggQcKHwj9kgr9bPP7yqZI2vIvSAJ1OjtsS0ol_TkGp-ibKPFGDN7nzKIS5lo8d0-zxIwbW8riuCVj48lUxQtP-krPFPCeQdhkPfyu-PiJ16P-4SXo/s1600/Snapshot_950.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="305" data-original-width="561" height="216" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihK-5hlp33InjwrJ4keNKvU9hOEZggQcKHwj9kgr9bPP7yqZI2vIvSAJ1OjtsS0ol_TkGp-ibKPFGDN7nzKIS5lo8d0-zxIwbW8riuCVj48lUxQtP-krPFPCeQdhkPfyu-PiJ16P-4SXo/s400/Snapshot_950.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />Le président de l’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme (ASADHO) a invité ce lundi 5 juin 2017 les regroupements socio-politiques congolais à mutualiser leurs efforts pour “faire face aux enjeux politiques du mois de décembre 2017” en RDC. Pour Jean Claude Katende, les récentes déclarations du président Joseph Kabila dans l’interview accordée au média allemand Der SPIEGEL démontrent clairement sa volonté de “rester au pouvoir”.<br /><br />«L’agenda de Kabila devient de plus en plus clair. Nous savons tous que Joseph Kabila veut rester au pouvoir et pour cela il a mis la démocratie entre parenthèses. Je fais appel à toutes les plates-formes politiques, religieuses et de la société civile, à organiser le peuple pour faire face aux enjeux du mois décembre 2017. Nous voulons le départ de Kabila», a dit Katende.<br /><br />Le président de l’ASADHO demande à ceux qui veulent le départ de Kabila d’ici décembre de poser des actions pour l’y contraindre.<br /><br />Katende se dit «personnellement étonné et interpellé par l’agitation suscitée dans les milieux politiques et sociaux par les délations faites par le président de la république».<br /><br />Dans l’interview au média allemand, Joseph Kabila avait notamment dit «Je n’ai rien promis. J’aimerais que les élections se déroulent le plus tôt possible. Mais nous voulons des élections parfaites, pas n’importe quelles élections».</span>

Politique JC Katende : «Kabila veut rester au pouvoir, il a mis la démocratie entre parenthèses»

Le président de l’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme (ASADHO) a invité ce lundi 5 juin 2017 les regroupements socio-po...

L’Assemblée Nationale a rejeté le projet de loi modifiant la recomposition de la Cour constitutionnelle

June 06, 2017

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<span style="font-size: large;"><br /><br />L’Assemblée nationale a rejeté ce lundi 5 juin 2017 le projet de modification de la loi sur l’organisation et le fonctionnement de la cour constitutionnelle. Les députés nationaux évoquent une entorse et un vice de procédure.<br /><br />« Il y a eu vice de forme parce que le projet de loi émane du gouvernement et c’est le premier ministre qui écrit au président de l’Assemblée nationale, mais celui-ci n’a pas respecté cette procédure. On a l’impression que c’est le ministre de la justice qui a lui-même saisi l’Assemblée nationale. C’est la raison pour laquelle nous avons demandé son rejet, et le président de l’Assemblée nationale s’est rendu compte qu’il y avait entorse. En bref, ce projet a été rejeté et nous espérons que ça ne reviendra plus, » a dit à ACTUALITE.CD le député UNC Juvenal Munuboce lundi 5 juin 2017.<br />Le Ministre de la justice avait déposé en début de session un projet de modification de de la loi de 2013 sur l’organisation et le fonctionnement de la Cour constitutionnelle. Thambwe Mwamba avait sollicité notamment la révision à la baisse du nombre des juges qui devrait passer de 9 à 5, « pour plus de souplesse dans l’administration de la justice » avait-il dit.</span>

Politique L’Assemblée Nationale a rejeté le projet de loi modifiant la recomposition de la Cour constitutionnelle

L’Assemblée nationale a rejeté ce lundi 5 juin 2017 le projet de modification de la loi sur l’organisation et le fonctionnement de la cour...

REVUE A MI-PARCOURS DU POLE DE CROISSANCE OUEST LA BANQUE MONDIALE PEAUFINE L’ÉCLOSION D’UNE ZONE ÉCONOMIQUE SPÉCIALE À MALUKU

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy-y-cRVD4Qy33gdqw_4GxEsa8Kx8aXDAjpfPb7UAAg0Fzv5KnyugHGFe-q7eiksIjZpLhIfr6KRixQiAkXE-YCsaeeYqFYqaV_oysnByiaUAa4XDZpLPUClTmQ1IyC1f5kuIu_yOXmQXI/s1600/Snapshot_234.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="485" data-original-width="645" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiy-y-cRVD4Qy33gdqw_4GxEsa8Kx8aXDAjpfPb7UAAg0Fzv5KnyugHGFe-q7eiksIjZpLhIfr6KRixQiAkXE-YCsaeeYqFYqaV_oysnByiaUAa4XDZpLPUClTmQ1IyC1f5kuIu_yOXmQXI/s400/Snapshot_234.jpeg" width="400" /></a></div>
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La Banque mondiale s’attend à développer, d’ici à 2019,une zone économique spéciale en République démocratique du Congo.Destiné à impulser nombre d’activités économiques dans l’aire ciblée et dans ses environs, ce pôle de développement sera bientôt opérationnel à Maluku, dans la périphérie du centre urbain de Kinshasa. Où en est-on aujourd’hui avec la mise en œuvre de ce projet ? Deux experts de la Banque mondiale éclairent l’opinion.<br />
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La mise en œuvre de la zone économique spéciale en République démocratique du Congo s’inscrit dans le cadre du Projet de développement des pôles de croissance ouest (PDPC), lancé le 26 avril 2014 à Kinshasa, renseigne Mme Milaine Rossanaly, spécialiste de la Banque mondiale en matière de développement du secteur privé.<br />
Le PDPC, poursuit-elle, intervient dans deux secteurs : tout d’abord l’agriculture, à travers le développement de la chaine de valeur agricole dans la province du Kongo central, et ensuite le développement du secteur privé. C’est dans ce domaine que sont prévus le financement de la Zone économique spéciale de Maluku à hauteur de 27 millions de dollars américains et l’amélioration proactive du climat des affaires dans la zone ciblée, précise l’intervenante.<br />
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REVUE A MI-PARCOURS<br />
S’adressant à la presse, Milaine Rossanaly a fait remarquer que le projet PDPC, financé à hauteur de 110 millions de dollars américains, arrive à échéance en 2019. D’où, la revue à mi-parcours amorcée il y a plus de deux semaines."Nous avons eu la chance d’observer la mise en œuvre du projet ici à Kinshasa, et nous sommes même allés dans la province du Kongo central.Nous avons constaté entre Matadi et Kinshasa le train d’avancement des activités", a déclaré la spécialiste de la Banque mondiale, cochargée du projet PDPC.<br />
"Le projet de développement des pôles de croissance ouest se décline en plusieurs activités, souligne Milaine Rossanaly.La première consiste en la mise en place d’un Partenariat Public-Privé (PPP). C’est dans ce cadre que le projet finance le recrutement d’un conseiller en transaction qui va appuyer le Gouvernement dans l’identification d’un développeur de la Zone économique spéciale pour Maluku et la conclusion d’un partenariat public-privé".<br />
"La deuxième activité, poursuit-elle,c’est la mise en place d’une autorité de régulation des zones économiques spéciales. C’est dans cette optique que le projet aide au recrutement de l’unité de gestion de ces zones économiques et contribue au renforcement des capacités et à l’opérationnalisation de cette unité".<br />
"La troisième activité, note Milaine Rossanaly, est relative au financement des infrastructures de base autour et à l’intérieur de la Zone économique spéciale de Maluku. Cette composante est liée à des conditions de décaissement dans le respect des mesures environnementales et sociales, telles que définies dans l’Accord de financement signé entre la Banque mondiale et le Gouvernement congolais".<br />
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RECRUTEMENT<br />
"Actuellement, il y a déjà un conseiller en transactions qui a été recruté par le Projet, et qui commence ses activités sur une période de 16 mois", annonce la spécialiste de la Banque mondiale en matière de développement du secteur privé.<br />
"Nous sommes aussi, martèle-t-elle, dans un processus de mise en place de l’autorité des zones économiques spéciales. A cet effet, il y a déjà une loi qui établit les statuts juridiques et institutionnels de cette agence. Une fois que ces éléments de base seront mis en place, qu’il y aura un PPP signé et qu’une agence sera effectivement établie pour réguler les des zones économiques spéciales, c’est en ce moment-là que le projet va financer ces infrastructures de base".<br />
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QUID DE L’INDEMNISATION DE LA POPULATION ?<br />
Aux dires de Milaine Rossanaly, la Banque mondiale a pris le soin de recenser, avant indemnisation, la population qui occupait jadis les 244 hectares mobilisées à Maluku pour les travaux de différents projets envisagés par cette institution de Breton woods. <br />
A ce jour, signale-t-elle, 90% des personnes recensées sont aujourd’hui indemnisées, conformément au Plan de réinstallation des populations, validé aussi bien par le Gouvernement que par la Banque Mondiale en 2012. Et le processus de compensation poursuit son cours, fait-elle remarquer.<br />
<br />
LES TYPES D’INFRASTRUCTURES ENVISAGEES ?<br />
Concernant les types d’infrastructures envisagées à l’intérieur et à l’extérieur de la Zone économique spéciale de Maluku, des études de faisabilité ont été menées par une firme indépendante, en fonction de la demande de la population locale, signale Milaine Rossanaly.<br />
"Il s’agit particulièrement d’infrastructures physiques (dures) et d’infrastructures institutionnelles (règlementaires)", précise Dr Gokhan Akinci, expert mondial dans le développement des Zones économiques spéciales. "En ce qui concerne les infrastructures institutionnelles, renseigne-t-il, le projet finance l’élaboration d’un cadre juridique règlementaire et légal qui soit bancable, solide, de manière à pouvoir attirer des investisseurs au Congo, et pouvoir assurer un environnement des affaires sécurisé".<br />
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IMPULSER LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE<br />
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"Dans un contexte de fragilité dans lequel se trouve la RDC, la partie infrastructures physiques n’est qu’un élément du développement, indique Dr Gokhan Akinci. Il faut surtout se focaliser sur l’établissement d’un cadre juridique légal qui soit attirant et protège les investisseurs".<br />
"Le projet, poursuit-il, finance aussi la mise en place d’une agence de régulation des zones économiques spéciales qui sera en charge de réguler cet espace.C’est vraiment un élément important susceptible de booster le développement économique de la RDC, notamment l’agro-industrie. Il faut ainsi tous ces préalables pour pouvoir attirer les opérateurs économiques".<br />
"Nous voulons ainsi promouvoir des Zones économiques spéciales qui puissent impulser le développement économique autour d’elles sans céder à la tentation de s’isoler. Et de profiter de l’ensemble des initiatives qui sont entrain d’être développées autour, qu’elles soient publiques ou privées, en vue de créer des synergies de développement", conclut Dr Gokhan Akinci.

REVUE A MI-PARCOURS DU POLE DE CROISSANCE OUEST LA BANQUE MONDIALE PEAUFINE L’ÉCLOSION D’UNE ZONE ÉCONOMIQUE SPÉCIALE À MALUKU

Au tour de Kinshasa Economie REVUE A MI-PARCOURS DU POLE DE CROISSANCE OUEST LA BANQUE MONDIALE PEAUFINE L’ÉCLOSION D’UNE ZONE ÉCONOMIQUE SPÉCIALE À MALUKU

La Banque mondiale s’attend à développer, d’ici à 2019,une zone économique spéciale en République démocratique du Congo.Destiné à impulse...

JACQUES NDJOLI, ANDRÉ MBATA ET GEORGES KAPIAMBA ÉVALUENT L’ACCORD DU 31 DÉCEMBRE

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEF_WQr2p1VPihDHK3GAYzWHfVoSY5dVF4ONyijZilUVubhNB_omPBgleNJWVdqrbq9iGL_YUSX8AvtHxLK-IOgj8fnAk-UaTuhdnlhTYJZjuS52Iz_9FK2QjxLl0Bq-PTbxhLMoHUV4Ef/s1600/Snapshot_232.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="485" data-original-width="645" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEF_WQr2p1VPihDHK3GAYzWHfVoSY5dVF4ONyijZilUVubhNB_omPBgleNJWVdqrbq9iGL_YUSX8AvtHxLK-IOgj8fnAk-UaTuhdnlhTYJZjuS52Iz_9FK2QjxLl0Bq-PTbxhLMoHUV4Ef/s400/Snapshot_232.jpeg" width="400" /></a></div>
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Les professeurs Jacques Ndjoli, André Mbata et Me Georges Kapiamba ont animé hier lundi 5 juin 2017, au Centre Carter à Kinshasa, une conférence-débat sur " l’Accord du 31 décembre et le rétablissement de l’ordre constitutionnel en RDC ".<br />
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Le premier à parler, le prof Ndjoli a planché sur le " Processus électoral : état des lieux et perspectives d’avenir".<br />
L’orateur a rappelé que la CENI avait promis de mettre le fichier électoral à la disposition du pays au plus tard le 31 juillet. Or, l’enrôlement à Kinshasa prend fin, sauf imprévu, en août. Visiblement, analyse le Pr Ndjoli, " la CENI n’est pas pressée pour organiser les élections dans le délai fixé par l’Accord de la Saint Sylvestre". Surtout que, poursuit-il, dans ces opérations d’enrôlement, " nous naviguons à vue, ne sachant où nous allons".<br />
Ndjoli, qui est aussi l’un des ténors du MLC, ne s’explique pas qu’il n’y ait pas de calendrier électoral à ce jour. Donc, selon l’ancien vice-président de la CENI, tout est organisé pour retarder les élections et avoir un autre glissement.<br />
De son côté, Me Georges Kapiamba de l’ACAJ qui s’est appesanti sur "les mesures de décrispation politique, six mois après l’Accord", regrette que les 9 mesures prises au Centre Interdiocésain pour décrisper le climat politique, souffrent de leur application, six mois après.<br />
Pendant le dialogue organisé par les évêques catholiques, révèle Me Georges Kapiamba, il y avait 427 cas à traiter, parmi lesquels sept emblématiques. Sur les sept, quatre ont bénéficié de la mesure, dont Roger Lumbala, Mbusa Nyamwisi... Alors que les cas Diomi, Katumbi, Muyambo...sont restés lettre morte.<br />
Aujourd’hui, de 427 cas, on est passé à 531 cas. Donc, selon Me Kapiamba, " au lieu de libérer les gens, on en a encore arrêté davantage après la signature de l’Accord qui insiste sur la décrispation de l’environnement politique ".<br />
Les partis politiques de l’Opposition sont toujours victimes de dédoublement, les manifestations politiques interdites sur la place publique...<br />
Clôturant l’étape des exposés, le professeur André Mbata a entretenu son auditoire sur la "légitimité des institutions et retour à l’ordre constitutionnel en RDC ".<br />
Pour ce constitutionnaliste, et, par ailleurs, cadre de l’Opposition congolaise, " le président de la République n’est plus légitime car le peuple ne se reconnait plus dans son pouvoir", son mandat constitutionnel ayant déjà expiré depuis le 19 décembre 2016.<br />
De même que les députés nationaux tombés dans l’illégitimité depuis février dernier, les sénateurs depuis une décennie comme les députés provinciaux...

Politique JACQUES NDJOLI, ANDRÉ MBATA ET GEORGES KAPIAMBA ÉVALUENT L’ACCORD DU 31 DÉCEMBRE

Les professeurs Jacques Ndjoli, André Mbata et Me Georges Kapiamba ont animé hier lundi 5 juin 2017, au Centre Carter à Kinshasa, une con...

MOTION DE DEFIANCE CONTRE LE GOUVERNEUR DE PROVINCE LA DSCRD/KWILU DÉNONCE LES IMMIXTIONS INTEMPESTIVES DANS L’ÉLAN DE L’ASSEMBLÉE PROVINCIALE

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigJ9wEpSA54IvvzuZ1-nxzBtGojawzuIAqJRZakkKt9eZ0PMkl5KHX8q2Ix4IBFoCVXy7FLznQH8qwjxsOzc6gzl76Z2qaFs-7Kv87PWXaVQumatR3YTVA-X8OmkjR69PPtxbmbyJoP_OD/s1600/Snapshot_233.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="485" data-original-width="645" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigJ9wEpSA54IvvzuZ1-nxzBtGojawzuIAqJRZakkKt9eZ0PMkl5KHX8q2Ix4IBFoCVXy7FLznQH8qwjxsOzc6gzl76Z2qaFs-7Kv87PWXaVQumatR3YTVA-X8OmkjR69PPtxbmbyJoP_OD/s400/Snapshot_233.jpeg" width="400" /></a></div>
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La Dynamique de la Société civile pour le renouveau et le développement du Kwilu (DSRCD/Kwilu) demande au Gouvernement central " de ne pas arrêter l’élan de l’Assemblée provinciale par des immixtions intempestives, contraires à son rôle constitutionnel de contrôler l’action de l’Exécutif provincial.<br />
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" A l’occasion, la DSRCD/Kwilu encourage les députés provinciaux qu’elle voudrait voir " ne pas se laisser influencer par des intérêts partisans de leurs familles politiques, n’envisager que l’intérêt supérieur de la province, de faire preuve d’impartialité et d’aller jusqu’au bout de la démarche… ". <br />
La Dynamique de la Société civile pour le renouveau et le développement du Kwilu l’a dit dans une déclaration lue par son porte-parole, Mme Camile Ndombe, à l’issue de sa réunion extraordinaire sur l’actualité de l’heure de la province, tenue le dimanche 4 juin au Centre culturel congolais Kiese Mey. <br />
La réaction de la DSCRD/Kwilu ferait suite au rappel à Kinshasa, par les autorités gouvernementales, du président de l’Assemblée provinciale, ainsi que le gouverneur de province et les trois groupes parlementaires du Kwilu. Ce, juste au moment d’organiser l’interpellation du chef de l’exécutif provincial. <br />
En date du 24 mai dernier, l’Assemblée provinciale du Kwilu avait lancé une motion de défiance contre le Gouverneur de province, Godel Kinyoka, dont la gestion de plus en plus contestée ne saurait laisser indifférents les fils et filles du Kwilu. <br />
La position de la DSCRD/Kwilu dans cette affaire est toute simple : demander au Gouverneur Godel Kinyoka de se prêter en toute responsabilité à l’exercice démocratique, en fournissant à l’Assemblée provinciale ses moyens de défense. <br />
On rappelle que la DSCRD/Kwilu avait lancé dans son message d’il y a quatre mois déjà, le 7 février dernier, un S.O.S stigmatisant la léthargie totale et le manque de flexibilité de l’Exécutif provincial. Avec recul, cet appel à redorer le blason du Kwilu des années 60, comme la province pilote de la RDC, ne semble pas avoir été entendu. <br />
Heureusement qu’il faut compter avec les animateurs de la DRSC RD/Kwilu, notamment Jean-Marie Ntantu Mey (Promoteur), Mbusu Ngamani Dosithé, Marie-Camille Ndombe (Porte-parole), Jules Lubuma Olia, Dieudonné Kinwa, très déterminés dans leur démarche à faire bouger les lignes.

MOTION DE DEFIANCE CONTRE LE GOUVERNEUR DE PROVINCE LA DSCRD/KWILU DÉNONCE LES IMMIXTIONS INTEMPESTIVES DANS L’ÉLAN DE L’ASSEMBLÉE PROVINCIALE

Politique Société MOTION DE DEFIANCE CONTRE LE GOUVERNEUR DE PROVINCE LA DSCRD/KWILU DÉNONCE LES IMMIXTIONS INTEMPESTIVES DANS L’ÉLAN DE L’ASSEMBLÉE PROVINCIALE

La Dynamique de la Société civile pour le renouveau et le développement du Kwilu (DSRCD/Kwilu) demande au Gouvernement central " de ...

INITIATIVE DE LA NOUVELLE CHAMBRE DE COMMERCE NATIONALE JEUDI ENTREPRISE : LE RENDEZ-VOUS MENSUEL DES OPÉRATEURS ÉCONOMIQUES PREND CORPS

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0C6yuiEoFXSieltzYgQbOfeh1o2jBZy1q_vXEHus6VNqZgwXJZ7lDAcakjAkzcNmjOH9gZzGJqBDi4WnJTsCA9WsMkVx62q81KTOdUZueDUF1qK-VAuqXkqZRunoDcOtUOnDdzy4M97a7/s1600/Snapshot_231.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="485" data-original-width="645" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0C6yuiEoFXSieltzYgQbOfeh1o2jBZy1q_vXEHus6VNqZgwXJZ7lDAcakjAkzcNmjOH9gZzGJqBDi4WnJTsCA9WsMkVx62q81KTOdUZueDUF1qK-VAuqXkqZRunoDcOtUOnDdzy4M97a7/s400/Snapshot_231.jpeg" width="400" /></a></div>
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Les opérateurs économiques œuvrant en République démocratique du Congo ont désormais un nouveau cadre d’échange qui leur permet d’être régulièrement au parfum des opportunités d’affaires et de discuter sur les entraves au décollage économique.Depuis le lancement du premier ’’Jeudi Entreprise 2017’’ le 11 mai dernier à Kinshasa, les promoteurs des petites et moyennes entreprises ont l’occasion de se retrouver mensuellement autour des experts pour trouver des pistes de solution à leurs problèmes.<br />
En programmant ces rendez-vous d’échanges une fois par mois, Mme Caroline Poncelet Lokemba et son partenaire Mme Malou Nzuzi Ntumba, respectivement présidente de la Nouvelle Chambre de Commerce Nationale (NCCN-RDC) et Directrice générale de Coaching Service Business, ont tenu à tisser un réseau efficace des opérateurs économiques en vue de faire face aux défis économiques.<br />
Lors de la première rencontre du jeudi 11 mai, plusieurs participants venant des PME locales ont répondu au rendez-vous des organisateurs. Au cours de cette matinée, ils ont eu l’occasion d’être éclairés sur ’’la stimulation des échanges intersectoriels et des alternatives du financement’’.<br />
Développé par l’orateur-principal, M. Alain BolodjwaIbola, chercheur indépendant en économie de développement et développement durable, ce sujet a permis aux entreprises de la place de trouver ’’des réponses concrètes à leurs problématiques quotidiennes’’, a commenté Mme Caroline Poncelet Lokemba.<br />
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UNE VALEUR AJOUTEE POUR LES ENTREPRISES<br />
Les représentants des PME présents au "Jeudi Entreprise" saluent cette initiative qui leur donne l’opportunité d’être bien renseignés sur le monde des affaires où ils évoluent.<br />
Nombreux sont ceux qui ont apprécié les interventionsde Jean-Philippe Mukuaki de la Société Financière Internationale (SFI),d’Henri Iyangwa (entrepreneur et Directeur de cabinet honoraire du ministre des PME), et d’Alain Lubamba (PDG d’Emi Consulting), qui a éclairé leur lanterne à propos du Fonds d’investissement privé. <br />
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DEVELOPPER LE RESEAUTAGE<br />
Ils ont ainsi appris qu’une somme d’environ 500 millions de dollars américains est mise à la disposition des entrepreneurs qui souhaiteraient à investir en RDC.<br />
Ainsi, pour arriver à bénéficier de ces fonds d’intérêt public, les opérateurs économiques ont compris qu’il est nécessaire de se regrouper à travers le réseautage (Networking), sur base notamment des secteurs d’activités, et de faire du lobbying pour avoir accès à ce financement. <br />
Et donc pour que les PME ne puissent pas œuvrer en ordre dispersé et tâtonner dans la gestion des fonds publics, il a été jugé nécessaire de multiplier ces rencontres d’échanges qui permettent déjà de renforcer les capacités des participants, en vue de les aider à gérer à bon escient les ressources qui seront mises à leur disposition pour l’intérêt général.<br />
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ENCOURAGER LES FORMATIONS CONTINUES<br />
"Les représentants des PME ont bien compris qu’il est nécessaire de renforcer leurs capacités. Et que de toutes les façons, le renforcement des capacités est une formation en continue. Tous les jours en effet, il y a des nouveautés, des innovations technologiques ou autres, qui s’intègrent dans le monde des affaires. Et c’est donc aux chefs d’entreprise, aux cadres et aux simples employés de s’adapter pour pouvoir être compétitifs", commente à ce propos Mme Malou Nzuzi Ntumba de Coaching Service Business.<br />
"En devenant un carrefour d’opérateurs économiques, le Petit Déjeuner Conférence de ’’Jeudi Entreprise’’ se donne pour vocation d’aider les PME à devenir plus performantes dans tous les domaines", conclut la présidente de la NCCN-RDC, Mme Caroline Poncelet, fixant le prochain rendez-vous au 6 juillet prochain.

INITIATIVE DE LA NOUVELLE CHAMBRE DE COMMERCE NATIONALE JEUDI ENTREPRISE : LE RENDEZ-VOUS MENSUEL DES OPÉRATEURS ÉCONOMIQUES PREND CORPS

Economie INITIATIVE DE LA NOUVELLE CHAMBRE DE COMMERCE NATIONALE JEUDI ENTREPRISE : LE RENDEZ-VOUS MENSUEL DES OPÉRATEURS ÉCONOMIQUES PREND CORPS

Les opérateurs économiques œuvrant en République démocratique du Congo ont désormais un nouveau cadre d’échange qui leur permet d’être ré...

ELECTIONS DANS LES DELAIS L’OPPOSITION NE DOIT PAS SE TROMPER DE CIBLE

June 06, 2017

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* Plutôt que de vouloir charger le chef de l’Etat, elle devrait encourager la CENI pour la tenue effective des scrutins. <br />
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Dans son édition d’hier lundi, Forum des As s’est fait l’écho de l’interview du Président Joseph Kabila au célèbre journal hebdomadaire allemand, Der Spiegel. Comme il fallait s’y attendre, les propos du Raïs tenus au cours de cet entretien, ont été commentés en sens divers dans les états-majors des partis politiques à Kinshasa. De la situation actuelle du pays, à la tenue des élections, en passant par la révision constitutionnelle, le Président Joseph Kabila n’a fait mystère d’aucun sujet. Son intervieweur a eu des réponses à toutes les questions. Même les des plus embarrassantes. D’ores et déjà, cet entretien du Raïs ressemble à un plat délicieux offert en mode self-service. Chaque acteur politique a le libre choix du morceau de sa préférence. <br />
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En ce qui concerne le volet élections, certaines figures de l’Opposition ont reproché au Chef de l’Etat, de ne s’être pas clairement prononcé sur son avenir politique. Selon les auteurs de la critique, le Président Joseph Kabila devait, expressisverbis, déclarer qu’il ne se représentera pas lors du prochain scrutin pour briguer un troisième mandat consécutif. Plus qu’une ritournelle, cette question ne soulève aucun nouveau problème. C’est donc du déjà entendu. Et même une préoccupation maintes fois exprimée et entendue. Et, à chaque fois que cette question est posée, des esprits bienpensants y ont toujours répondu, en se référant à la Constitution. Et dire que même Joseph Kabila, le plus directement concerné, n’a jamais déclaré officiellement qu’il allait se présenter pour un troisième mandat. <br />
Et, pas plus tard que le samedi dernier, dans son interview à Der Spiegel, Joseph Kabila est encore revenu sur cette matière. A l’une des questions de son interlocuteur qui voulait lui tirer le ver du nez, Joseph Kabila a déclaré : " Je ne veux pas parler d’un troisième mandat, parce que nulle part dans la Constitution on parle d’un troisième mandat. C’est une invention provenant de cerveaux éclairés quelque part en Europe ou ailleurs. "A une autre question subsidiaire toujours au même sujet, le Président Joseph Kabila a répondu de manière incisive : " (…) Nous n’avons pas l’intention de violer la Constitution. Comment le faites sans violer la constitution. " Que peut-on donc retenir ? Les exégètes de différents discours de Joseph Kabila, sans nécessairement se livrer à un exercice rigoureux d’analyse de contenu, auront constaté une chose. C’est que le Président Joseph Kabila est resté constant dans ses propos. A chaque fois que l’occasion lui en donne de parler de ce sujet, le Raïs a toujours promis de respecter la Constitution.<br />
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DES CONTRADICTIONS MANIFESTES<br />
A qui pourrait profiter la tenue des élections dans les délais en RD Congo ? Pas forcément à qui l’on croit. Sans doute qu’après le rendez-vous manqué de décembre 2016, la classe politique a intérêt à créer les conditions favorables à la tenue des élections crédibles. Et donc, des scrutins bien organisés qui auraient comme conséquence l’acceptation des résultats par tous. Pour y parvenir, l’implication de tous les acteurs au processus électoral s’avère indispensable. Hélas. <br />
On observe cependant, certaines postures des politiciens qui donnent l’impression de vouloir se mettre en marge même de ce processus électoral. Bien pire. Les mêmes acteurs politiques reprochent au Président Joseph Kabila de se substituer à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et, en même temps, lui imputent le retard dans la tenue effective des élections. Il se pose là, un vrai problème qui se décline en termes de contradictions. <br />
Aux yeux de plusieurs analystes, ce jugement parait de trop. Et même sans aucun fondement, dès lors qu’il ne repose sur aucune prémisse pertinente. Au-delà de la constitution, la RD Congo est - juridiquement et politiquement - présentement aussi gérée par l’Accord politique du 31 décembre 2016. Ce compromis politique prévoit l’organisation des élections au plus tard à la fin de l’année 2017 en cours. Soit dans un peu plus de six mois. Et, à une question de Der Spiegel en rapport avec la tenue des élections, Joseph Kabila, tout en expliquant les différents contextes politiques ayant prévalu à la tenue des cycles électoraux antérieurs, n’y est donc pas allé avec le dos de la cuillère. " J’aimerais que les élections se déroulent le plus tôt possible. Mais nous voulons des élections parfaites. Pas n’importe quelles élections. Et c’est la Commission électorale nationale indépendante qui organise les élections dans ce pays. C’est ce que la plupart des gens oublient…"<br />
Appartient-il vraiment au Président de la République de rappeler aux Congolais que l’organisation matérielle des élections est une prérogative de la Ceni ? Sans doute pas. Mais en même temps, ce rappel vaut la peine, compte tenu de la confusion délibérément entretenue par certains acteurs politiques qui tendent à faire porter à Joseph Kabila, le chapeau soit du retard, soit de la non-tenue des scrutins dans les délais prévus. Sans doute qu’en sa qualité de garant de la République et surtout, du bon fonctionnement des institutions, le Président de la République a le droit de regard. Cependant, en ce qui concerne les élections, il faut rappeler qu’il s’agit des matières éminemment techniques relevant de la compétence exclusive de la Ceni.<br />
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LA CENI AVANCE ...<br />
C’est donc cette Ceni qui, en dépit des écueils de tous ordres, décline son chronogramme. Après la première phase des Opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs, dans la plupart des provinces du Nord, du Sud, de l’Est, Nord-est et du Sud-Est de la République, la Ceni vient de donner le coup desdites opérations dans le reste des pays de la RD Congo. En l’occurrence la ville province de Kinshasa. L’objectif étant d’identifier et d’enrôler le plus d’électeurs possibles. Près de 44 millions d’électeurs prévus. Au jour d’aujourd’hui, les statistiques de la Centrale électorales attestent qu’on est bien au-delà de la moitié des prévisions. Soit plus de 22 millions de Congolais ont déjà été enrôlés. Ce qui est un record dans un pays continent comme la RD Congo, où les infrastructures demeurent un véritable défi à relever.<br />
Plutôt que de se perdre en conjectures, la classe politique rd congolaise devrait plutôt encourager l’élan de la Centrale électorale, qui jusqu’à preuve du contraire, en train de remplir sa part de contrat. S’il est admis que la tenue des élections est un système, alors il faudrait également accepter que seule, la Ceni ne saurait rien faire. Il faudrait impérativement des moyens de sa politique. D’où, l’obligation pour le Gouvernement de mobiliser les quelque huit cents millions de dollars USD, comme la part réservée à l’organisation des élections dans le Budget de l’Etat 2017. Aux partis politiques, les efforts devront être consentis pour mobiliser leurs membres et partisans à se faire enrôler. Ainsi, chacun aura apporté du sien dans la réussite du processus électoral que tous veulent apaisé, transparent, et crédible.

la Nation Politique ELECTIONS DANS LES DELAIS L’OPPOSITION NE DOIT PAS SE TROMPER DE CIBLE

* Plutôt que de vouloir charger le chef de l’Etat, elle devrait encourager la CENI pour la tenue effective des scrutins. Dans son éditi...

Le fichier électoral ne sera pas disponible en juillet, mais en octobre

June 06, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpwrt6LfTV5nE6v1QpeIqMwb3FKFiuf16idMmHlbkcxSLcGG3E17WoQ-m5KIJZG8nkXNB0MHWlbPXqhmZsZ_nLsTDselc9s8qJ95t4D4cJe9A0Zk-1f-XVsqqGMmNHM52omSXlYII-4Bg/s1600/Snapshot_948.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="316" data-original-width="561" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpwrt6LfTV5nE6v1QpeIqMwb3FKFiuf16idMmHlbkcxSLcGG3E17WoQ-m5KIJZG8nkXNB0MHWlbPXqhmZsZ_nLsTDselc9s8qJ95t4D4cJe9A0Zk-1f-XVsqqGMmNHM52omSXlYII-4Bg/s400/Snapshot_948.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />Le fichier électoral ne pourra plus être disponible fin juillet, comme cela était annoncé par la CENI. D’après des sources internes de la centrale électorale contactées par ACTUALITE.CD, c’est finalement au mois d’octobre que la liste globale des électeurs pourra être prête et présentée à la session du mois de septembre. Une communication officielle pourra être faite dans les semaines à venir.<br /><br /><br /><br /><br />Selon des sources du bureau de la CENI, ce retard est dû à plusieurs paramètres dont l’insécurité au centre du pays et l’instabilité politique. Sur le plan sécuritaire, notre source donne l’exemple de l’incendie le 12 mars 2017 de l’Antenne de la CENI à KAZUMBA par des présumés miliciens de KAMUINA NSAPU qui a causé la perte de plusieurs matériels dont 476 Urnes, 47 Panneaux Solaires, 43 Générateurs, 45 Batteries solaires, 12 motos, et 33 Thurayas. Avant cela, l’entrepôt de la CENI à Dimbelenge a été pillé le 12 décembre 2016 soit huit jours après le pillage du bureau de Kabeya Kamuanga. Les opérations électorales vont reprendre dans cette partie du pays probablement le 25 juin. La formation des agents a déjà commencé.<br /><br /><br /><br /><br />L’autre paramètre cité par le bureau de la CENI est le retard pris à Kinshasa. Lequel retard serait dû à l’instabilité politique qui serait notamment causé par l’incertitude du rapatriement de la dépouille de Tshisekedi.<br /><br /><br /><br /><br />« Nous avons commencé avec un mois de retard à Kinshasa. Nous voulions que toutes les parties se mettent d’accord afin d’éviter d’être victime collatérale des probables manifestations au cas où il y aurait débordement pendant la période des obsèques. Il y a eu aussi un problème budgétaire. Le gouvernement Badibanga fonctionnait avec un crédit budgétaire qui n’avait quasiment pas de ligne consacrée à l’appui aux opérations électorale», a dit à ACTUALITE.CD un membre du bureau de la CENI.<br /><br />Le travail de consolidation dudit fichier électoral a déjà débuté avec les résultats d’autres provinces. A la capitale, les opérations dureront au moins trois mois, à compter depuis fin mai. Selon la CENI, près de 5.000.000 d’enrôlés sont attendus pour Kinshasa.<br /><br /><br /><br /><br />Le retard dans la nomination et l’installation du nouveau gouvernement conjugué avec les éléments présentés par la CENI rendent hypothétique l’organisation des élections fin 2017 comme souhaité et inscrit dans l’accord politique du 31 décembre 2017.</span>

Politique Le fichier électoral ne sera pas disponible en juillet, mais en octobre

Le fichier électoral ne pourra plus être disponible fin juillet, comme cela était annoncé par la CENI. D’après des sources internes de la ...

« Le président Kabila n’était pas en campagne électorale aux Kasaï » – (Mende)

June 06, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiisgV4bbxR2bpYtZckWuQ6pM0Px4Pc1bo6HI0aN-EhR-S9ymTAUGQHvk0I25AICvch4-q81umvJ6khR4EYM-g8SttOx74pC8xuBtlC7mAHR7IKYm6ALtaeIAnJq2KAFBRB3iLE_y8_BM/s1600/Snapshot_947.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="333" data-original-width="561" height="236" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiisgV4bbxR2bpYtZckWuQ6pM0Px4Pc1bo6HI0aN-EhR-S9ymTAUGQHvk0I25AICvch4-q81umvJ6khR4EYM-g8SttOx74pC8xuBtlC7mAHR7IKYm6ALtaeIAnJq2KAFBRB3iLE_y8_BM/s400/Snapshot_947.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br />Le Ministre Lambert Mende estime ce lundi 5 juin 2017, que la récente tournée du Président Joseph Kabila dans les Kasaï va permettre de consolider la paix et la sécurité dans la région. Dans cette interview à ACTUALITE.CD, le Porte-parole du gouvernement rassure que les “mesures sécuritaires sont efficaces dans l’espace Kasaï”<br /><br />Quel est votre réaction en rapport avec la visite de Joseph Kabila aux Kasaï ?<br /><br />C’est une itinérance qui rentre dans les pratiques de la gestion du pouvoir présidentiel depuis toujours. Là où il y a des problèmes, le président s’y rend pour soutenir les efforts des autorités locales pour la solution dans le domaine de sécurité. Donc c’est un bilan positif que nous faisons de ce contact que le président a eu avec la population et les autorités locales.<br /><br />Pourquoi est-ce que le président n’a fait aucun discours ?<br /><br />Le président n’y est pas allé en campagne électorale pour faire des discours. Il est allé prendre des dispositions pratiques pour faire en sorte que les menaces contre la population ne puissent se répéter. Vous savez que les dispositions sécuritaires sont plus efficaces lorsqu’elles ne sont pas connues du public. Parce que lorsque vous prenez des dispositions sécuritaires en public, vous informez aussi l’ennemi pour qu’il puisse les contourner.<br /><br />Peut-on dire que la paix est acquise dans cette partie du pays ?<br /><br />La paix n’a jamais été acquise nulle part. Même à Kinshasa, en Europe il faut veiller toujours. Bien sûr qu’il y a la rupture de la paix aux Kasaï mais cela ne veut pas dire que le fait que le président s’y est rendu, a directement transformé cette partie du pays en un eldorado où tous les mauvais garçons cessent de s’agiter. L’essentiel c’est que l’État a amélioré son dispositif pour répondre à toutes les tentatives qui visent à violer la sécurité des citoyens.</span>

Politique « Le président Kabila n’était pas en campagne électorale aux Kasaï » – (Mende)

Le Ministre Lambert Mende estime ce lundi 5 juin 2017, que la récente tournée du Président Joseph Kabila dans les Kasaï va permettre de co...

Mende : « Le président Kabila n’était pas partie prenante aux discussions pour promettre les élections en 2017 »

June 06, 2017

<div style="box-sizing: border-box; line-height: 1.6875rem; margin-bottom: 30px; padding: 0px;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiWFYM4ifLqlH1GRY9_0BSVSYjbOiUrKVt4ju-eSokZUUlr77RCyAQMKif1VTyJ9x8DVz2IVNUMkkOsdFYbAH5KfeCxFItKvjiXRCv1MyoNjTuVx6fp1m6ptdv6XpquIq9U0g0c0FJ060/s1600/Snapshot_946.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="479" data-original-width="561" height="340" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiWFYM4ifLqlH1GRY9_0BSVSYjbOiUrKVt4ju-eSokZUUlr77RCyAQMKif1VTyJ9x8DVz2IVNUMkkOsdFYbAH5KfeCxFItKvjiXRCv1MyoNjTuVx6fp1m6ptdv6XpquIq9U0g0c0FJ060/s400/Snapshot_946.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><br /><br /><span style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">Le Ministre de la communication et médias Lambert Mende a réagi ce lundi 5 juin 2017 à propos des déclarations du président Kabila qui a déclaré, dans un entretien accordé à un hebdomadaire allemand le samedi 03 juin qu’il n’avait rien promis quant à la tenue des élections en décembre 2017. Le porte-parole du gouvernement a renchéri que le chef de l’Etat n’a jamais été partie prenante dans les négociations au centre interdiocésain pour promettre la tenue des élections en 2017, selon l’accord de la Saint-Sylvestre.</span><br /><br /><br /><span style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">«Le président n’était pas partie prenante dans les discussions. Les discussions concernaient les parties politiques prenantes. Il y avait la Majorité présidentielle, la société civile et l’opposition. Le président est celui qui a demandé aux évêques de rapprocher des points de vue. On lui a fait un rapport sur les dispositions qui ont été prises. Mais personne n’a dit que les 32 personnes qui étaient au centre interdiocésain étions substitués aux institutions de la République notamment le Président», a indiqué Lambert Mende.</span><br /><br /><br /><span style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;">D’après le Porte-parole du gouvernement, la question des élections en 2017 revient à la CENI.</span><br /><br /></span><span style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;"><span style="font-size: large;">«D’ailleu</span><i style="box-sizing: border-box; line-height: inherit;"><span style="color: #181818; font-family: roboto;"><span style="background-color: white; font-size: 1.125rem;">rs il (le Président Kabila) a pris la précaution de dire qu’à propos des élections, ce n’est même pas lui qui pouvait prendre un tel engagement. C’est plutôt la CENI qui doit être interrogée sur le fait de savoir si oui ou non il y aura des élections en telle date. Il ne faut pas attribuer au Président un rôle que la Constitution ne lui reconnaît pas»,</span></span></i></span><span style="background-color: white; color: #181818; font-family: roboto; font-size: 1.125rem;"> a-t-il martelé.</span></div>

Politique Mende : « Le président Kabila n’était pas partie prenante aux discussions pour promettre les élections en 2017 »

Le Ministre de la communication et médias Lambert Mende a réagi ce lundi 5 juin 2017 à propos des déclarations du président Kabila qui a ...

Télé réalité vol 20: Carine Mokonzi alongoli bague ya Fiançaille akangi sainty na muasi ya paris (VIDEO)

June 05, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihHrLvSBGTd16LoppvYq6ojjWmeew3AGJkjBCGY7qcT_w2gKcDwzg327lNnwwFQPTI3EiDg5plE6vcdvbtP4qUUnkEkt3JKP2vo9Sf6jmHFr4SZxHlOpP4hyphenhyphenMypq4WxL8Xu1sO0BTIm4lF/s1600/Snapshot_1259.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="297" data-original-width="628" height="188" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEihHrLvSBGTd16LoppvYq6ojjWmeew3AGJkjBCGY7qcT_w2gKcDwzg327lNnwwFQPTI3EiDg5plE6vcdvbtP4qUUnkEkt3JKP2vo9Sf6jmHFr4SZxHlOpP4hyphenhyphenMypq4WxL8Xu1sO0BTIm4lF/s400/Snapshot_1259.jpeg" width="400" /></a></div>
Télé réalité vol 20: Carine Mokonzi alongoli bague ya Fiançaille akangi  sainty na muasi ya paris (VIDEO)<br />
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="330" src="https://www.youtube.com/embed/BraP9JTJRGk?autoplay=1
" width="634"></iframe><br />
<span style="background-color: white; font-family: "youtube noto" , "roboto" , "arial" , sans-serif; font-size: 20px;"><br />
</span> <span style="background-color: white; font-family: "youtube noto" , "roboto" , "arial" , sans-serif; font-size: 20px;"><br />
</span>

infos en vidéos Société Télé réalité vol 20: Carine Mokonzi alongoli bague ya Fiançaille akangi sainty na muasi ya paris (VIDEO)

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Exclusivité : 5Oème Anniversaire de JB MPIANA, Abbé COCOa lelisi batu na ba chants ya Papa Chéri (VIDEO)

June 05, 2017

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JB Mpiana papa Yodji et sa fille soraya na Fête ya anniversaire na ye Botala Cadeaux ba yelaki ye (VIDEO)

June 05, 2017

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Tokomi wapi ? Le président Joseph Kabila abuakisi ba accord ? (VIDEO)

June 05, 2017

infos en vidéos Politique Tokomi wapi ? Le président Joseph Kabila abuakisi ba accord ? (VIDEO)

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Mende : « Le président Kabila n’était pas partie prenante aux discussions pour promettre les élections en 2017 » (AUDIO)

June 05, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8_XnBeaaYpSKv-Mc_9GkN5OINPuFkxnF003c1MEcx-QV3zH__iXgYP7wOoZuilDLmVIqVbjdP2D4n-juRgEUuPt4sWVBxxiLY-CDUD7ANn6wH_QnyG0GzP2ekCz2CykLL3G9MlQOY2qsH/s1600/Snapshot_1242.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="445" data-original-width="685" height="258" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8_XnBeaaYpSKv-Mc_9GkN5OINPuFkxnF003c1MEcx-QV3zH__iXgYP7wOoZuilDLmVIqVbjdP2D4n-juRgEUuPt4sWVBxxiLY-CDUD7ANn6wH_QnyG0GzP2ekCz2CykLL3G9MlQOY2qsH/s400/Snapshot_1242.jpeg" width="400" /></a></div><br />
Le Ministre de la communication et médias Lambert Mende a réagi ce lundi 5 juin 2017 à propos des déclarations du président Kabila qui a déclaré, dans un entretien accordé à un hebdomadaire allemand le samedi 03 juin qu’il n’avait rien promis quant à la tenue des élections en décembre 2017. Le porte-parole du gouvernement a renchéri que le chef de l’Etat n’a jamais été partie prenante dans les négociations au centre interdiocésain pour promettre la tenue des élections en 2017, selon l’accord de la Saint-Sylvestre.<br />
<br />
«Le président n’était pas partie prenante dans les discussions. Les discussions concernaient les parties politiques prenantes. Il y avait la Majorité présidentielle, la société civile et l’opposition. Le président est celui qui a demandé aux évêques de rapprocher des points de vue. On lui a fait un rapport sur les dispositions qui ont été prises. Mais personne n’a dit que les 32 personnes qui étaient au centre interdiocésain étions substitués aux institutions de la République notamment le Président», a indiqué Lambert Mende.<br />
<br />
D’après le Porte-parole du gouvernement, la question des élections en 2017 revient à la CENI.<br />
<br />
«D’ailleurs il (le Président Kabila) a pris la précaution de dire qu’à propos des élections, ce n’est même pas lui qui pouvait prendre un tel engagement. C’est plutôt la CENI qui doit être interrogée sur le fait de savoir si oui ou non il y aura des élections en telle date. Il ne faut pas attribuer au Président un rôle que la Constitution ne lui reconnaît pas», a-t-il martelé.<br />
<br />
Stanys Bujakira<br />
<br />
<iframe width="100%" height="150" scrolling="no" frameborder="no" src="https://w.soundcloud.com/player/?url=https%3A//api.soundcloud.com/tracks/326198849&auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false&visual=true"></iframe>

Politique Mende : « Le président Kabila n’était pas partie prenante aux discussions pour promettre les élections en 2017 » (AUDIO)

Le Ministre de la communication et médias Lambert Mende a réagi ce lundi 5 juin 2017 à propos des déclarations du président Kabila qui a dé...

Mgr. Mulumba: Le gouvernement souhaite que soit mentionné «les obsèques sont organisées sous le haut patronage du chef de l’Etat»

June 05, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-RdrISr2YyH6KS-RFuMjTEX0IwexPifwSAgtRk_cGZMj9d9yokOvbDcnjgKdgPEhp2SM4DWQIcX7dsZaQDP7_7rMkwhSVMebwv34mgGKyovNV4S-FzXv11h1hv0s8oDJlauT0ZIy7byuU/s1600/Snapshot_953.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="272" data-original-width="535" height="202" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-RdrISr2YyH6KS-RFuMjTEX0IwexPifwSAgtRk_cGZMj9d9yokOvbDcnjgKdgPEhp2SM4DWQIcX7dsZaQDP7_7rMkwhSVMebwv34mgGKyovNV4S-FzXv11h1hv0s8oDJlauT0ZIy7byuU/s400/Snapshot_953.jpeg" width="400" /></a></div>
<br />
L’UDPS, la famille biologique d’Étienne Tshisekedi et le gouvernement se sont accordés sur plusieurs points au sujet de l’organisation des obsèques d’Étienne Tshisekedi.<br />
<br />
Mais selon Mgr Gérard Mulumba chef de la famille Tshisekedi, un seul point divise encore les parties à savoir, la formulation d’un paragraphe à figurer dans le communiqué final des discussions.<br />
<br />
«Le gouvernement veut qu’il soit mentionné dans le communiqué final des discussions que les obsèques sont organisées sous le haut patronage du chef de l’État», mais cette proposition est rejetée par l’UDPS qui veut que ça soit «sous le haut patronage de l’État congolais, c’est l’unique point de divergence», a dit Mgr Gérard Mulumba ce lundi 5 juin 2017 à ACTUALITE.CD.<br />
<br />
Un cadre de l’UDPS qui a requis l’anonymat accuse le gouvernement de vouloir compliquer les choses.<br />
<br />
«C’est le gouvernement qui complique cette histoire pour rien, l’UDPS a accepté de coopérer, mais le gouvernement vient avec d’autres conditions inutiles», a-t-il dit.<br />
<br />
Étienne Tshisekedi est décédé depuis le 1 février dernier à Bruxelles. Le gouvernement et la famille biologique d’Étienne Tshisekedi ainsi que l’UDPS n’avaient toujours pas parvenu à trouver un accord notamment sur le lieu d’inhumation.<br />
<br />
Stanys Bujakera

Politique Mgr. Mulumba: Le gouvernement souhaite que soit mentionné «les obsèques sont organisées sous le haut patronage du chef de l’Etat»

L’UDPS, la famille biologique d’Étienne Tshisekedi et le gouvernement se sont accordés sur plusieurs points au sujet de l’organisation de...

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